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Rechercher : LA CÖTE ST ANDRE

  • Eglise St ANDRE de la Côte St André

    Précédentes notes sur la Côte St AndréP1260811.JPGP1260809.JPGP1260803.JPG

    P1260808.JPGCette église romane située au cœur de la ville a été édifiée entre 1088 et 1102, et plusieurs fois remaniée jusqu'au xixe siècle15. Les styles roman, gothique et moderne coexistent donc. La partie la plus ancienne en est assurément la croisée du transept avec sa coupole sur trompes, mais l'étude archéologique de l'édifice reste à faire16. L'église est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 5 février 198217.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/La_C%C3%B4te-Saint-Andr%C3%A9

    Précédentes notes sur la Côte St AndréP1260810.JPG

  • Monuments aux morts de la Côte St André

    Autres notes sur la Côte St AndréP1260807.JPG

    P1260816.JPGAutres notes sur la Côte St André

    Ce monument a été fait par le sculpteur et athlète Alexandre Maspoli (Genève, 1875 - Caluire-et-Cuire (Rhône), 1943) et par J. Lesage. Le monument a été réalisé en 1922 et inauguré le 6 août de la même année. La composition est riche en symbolique24 (coq, poilu, croix de guerre, palmes de la paix) et rappelle le travail des femmes pendant la guerre25. Les sculptures sont en bronze et calcaire de Villebois. À l'époque le coût a été de 33 335 francs. On retrouve le " poilu " du monument de La Côte Saint-André sur le monument des Avenières (Isère). Le monument aux morts est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 1er avril 200326 et labellisé « Patrimoine du xxe siècle » de l'Isère.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/La_C%C3%B4te-Saint-Andr%C3%A9

  • L'artiste contemporain et la nature. Parcs et paysages européens(Gibert Paris St Denis )

    Colette Garraud, avec la collaboration de Mickey Boël
    L'artiste contemporain et la nature. Parcs et paysages européens

    Consacré à la création contemporaine européenne, dans les parcs, les jardins, le long des sentiers, des berges, en plein champ ou au cœur des forêts, cette enquête porte sur ces lieux d'art «naturels» ou «semi-naturels» et sur la place que tient l'idée de nature dans la motivation des artistes. Elle est introduite par une présentation historique de notions telles que Earth Art, Land Art, art environnemental, art in situ...

    Dans sa première partie, l'ouvrage décline thématiquement cette relation de l'art à la nature. L'auteur y traite d'abord des différentes catégories de lieux selon leur caractère, du «grand paysage» au parc urbain, leurs dimensions, le degré d'intervention et d'appropriation par l'artiste qui peut en faire son atelier ou son territoire privé. Sont recensés également les matériaux utilisés (naturels ou artificiels, sans omettre le recours à l'immatérialité du son et de la lumière), la question de l'échelle de l'objet dans sa relation au site, les modalités de sa découverte par la marche, l'usage de marqueurs, le déplacement (Wooden Boulder de David Nash).

    Les objets de nature manipulés par les artistes se meuvent en effet sur une échelle de temps qui, au regard de la temporalité humaine, touche aux extrêmes (temps cosmique, temps géologique, temps cyclique de la vie végétale) mais peut se clore sur des évènements éphémères. L'insertion de l'oeuvre dans un environnement naturel a profondément modifié les rapports qu'elle entretient avec le temps. L'artiste (Giuliano Mauri, par exemple) sera amené tantôt à œuvrer avec des temps longs, tels ceux de la croissance végétale, tantôt confronté à la destruction rapide. A cet égard, la ruine, traditionnel objet de méditation sur le temps, fera dans l'ouvrage de multiples occurrences.

    Toutefois, s'il est vrai qu'aujourd'hui beaucoup d'interventions artistiques en milieu naturel sont éphémères et souvent pérennisées par la photographie, l'ouvrage, qui se veut une invitation au voyage, met surtout l'accent sur les réalisations durables, et visibles sur le site pour lequel elles ont été conçues.

    Sont étudiées ou citées les œuvres de plus de trois cent artistes, parmi lesquels Magdalena Abakanowicz, Marina Abramovic, Carl Andre, Lothar Baumgarten, Marinus Boezem, Daniel Buren, Eduardo Chillida, Tony Cragg, Chris Drury, Ian Hamilton Finlay, Fischli et Weiss, Dan Graham, Andy Goldsworthy, Antony Gormley, Veronica Janssens, Sol LeWitt, Richard Long, François Morellet, Robert Morris, David Nash, Claudio Parmiggiani, Giuseppe Penone, Anne et Patrick Poirier, Jean-Pierre Raynapol, Sarkis, Richard Serra, Robert Smithson, Bernar Venet, herman de vries... Certains de ces artistes ont placé l'idée de nature au cœur de leur œuvre, d'autres se confrontent occasionnellement au paysage.

    La seconde partie propose une description de quelques-uns des lieux européens regroupant un grand nombre d'œuvres en Allemagne, Belgique, Espagne, France, Italie, Norvège, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède, Suisse.

    Colette Garraud est professeur des écoles nationales supérieures d'art, actuellement chargée de mission à la Délégation aux Arts plastiques. Elle est l'auteur de textes divers autour de la question «art et nature» (L'idée de nature dans l'art contemporain, Flammarion, 1993).

    Mickey Boël

    http://www.paris-art.com/editeur-design/l-artiste-contemporain-et-la-nature-parcs-et-paysages-europeens/garraud-colette-boel-mickey/1968.html

  • JOYEUSE ST DIDIER

    Combien ?

    Combien  de fêtes avons-nous arrosé ensemble ?

    Combien d’anniversaires fêtés en couple ?

    Je pourrais les dénombrer mais qu’importe

    Le nombre de bouteilles de champagne

    Que nous avons bues, les bougies qu’on souffle

    Sur des gâteaux, l’essentiel est tout autre.

     

    L’essentiel est que tu saches combien je t’aime,

    Combien les fêtes que nous célébrons et les anniversaires

    Que nous fêtons sont les étapes d’un voyage

    Amoureux dans des paysages que je garde

    Comme des cartes postales envoyées avec âme.

    Combien de décors avons-nous vécus ensemble ?

    Si je chéris ces lieux de vie pour leur constance

    Je chéris aussi la tienne dans les joies et les larmes

    Et je ne saurais assez t’exprimer ma reconnaissance.

     

    JOYEUSE FETE

    19 mai 2016

    Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 14 livres en vente par les bannières sur ce blog

     

  • Dans ma ville, St Etienne

    Publications dans Poésie en Stéphanie(cf. publications en revue)  du Cercle des Lettres et des Arts de Saint-Etienne(CLA):http://henrylucienmerle.over-blog.com/

     

     

     

    Lecture de deux de « Mes paysages de Nerval et Baudelaire » à la soirée poétique du Cercle des Lettres et des Arts de Saint-Etienne

     

    Participations aux activités de "Lire à ST Etienne (à titre professionnel et personnel):articles dans le journal local ex: repas des Universitaires

  • St Didier en Velay dimanche

    P1260554.JPGSaint-Didier-en-Velay est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle porte ce nom seulement depuis 1925 (loi du 5 avril 19251) suite à la création de la commune de la Séauve-sur-Semène dont le territoire s'est détaché de celui de Saint-Didier. Avant cette date, elle portait le nom de Saint-Didier-la-Séauve. Déjà en 1866, le territoire de Saint-Didier avait été amputé d'une partie de ses terres lors de la création de la commune de Pont-Salomon1.

    Ses habitants sont appelés les Désidériens, le nom venant du latin Desiderius (Didier).

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Didier-en-Velay

    P1260553.JPG

  • Dimanche, nous repartons de St Quentin

    où habitent mes beaux-parents

    avec nos derniers affaires laissées avant notre départ du Maroc, il y a six ans

    Epilogue d'une aventure malheureuse(un épisode ci-dessous) que les habitués de ce blog connaissent

    Un petit coucou du cyber le 29/04/2008

    Hier, nous avons visité le musée des papillons de Saint-Quentin que mon mari Saint-quentinois n'avait jamais vu.
    Magnifique!!!!
    et ça m'a fait penser aux "Papillons" de Nerval dont je parle dans mon mémoire de maîtrise(lien ci-contre).


    Les papillons
    I

    De toutes les belles choses
    Qui nous manquent en hiver,
    Qu'aimez-vous mieux ? - Moi, les roses ;
    - Moi, l'aspect d'un beau pré vert ;
    - Moi, la moisson blondissante,
    Chevelure des sillons ;
    - Moi, le rossignol qui chante ;
    - Et moi, les beaux papillons !

    Le papillon, fleur sans tige,
    Qui voltige,
    Que l'on cueille en un réseau ;
    Dans la nature infinie,
    Harmonie
    Entre la plante et l'oiseau !...

    Quand revient l'été superbe,
    Je m'en vais au bois tout seul :
    Je m'étends dans la grande herbe,
    Perdu dans ce vert linceul.
    Sur ma tête renversée,
    Là, chacun d'eux à son tour,
    Passe comme une pensée
    De poésie ou d'amour !

    Voici le papillon "faune",
    Noir et jaune ;
    Voici le "mars" azuré,
    Agitant des étincelles
    Sur ses ailes
    D'un velours riche et moiré.

    Voici le "vulcain" rapide,
    Qui vole comme un oiseau :
    Son aile noire et splendide
    Porte un grand ruban ponceau.
    Dieux ! le "soufré", dans l'espace,
    Comme un éclair a relui...
    Mais le joyeux "nacré" passe,
    Et je ne vois plus que lui !

    II

    Comme un éventail de soie,
    Il déploie
    Son manteau semé d'argent ;
    Et sa robe bigarrée
    Est dorée
    D'un or verdâtre et changeant.

    Voici le "machaon-zèbre",
    De fauve et de noir rayé ;
    Le "deuil", en habit funèbre,
    Et le "miroir" bleu strié ;
    Voici l'"argus", feuille-morte,
    Le "morio", le "grand-bleu",
    Et le "paon-de-jour" qui porte
    Sur chaque aile un oeil de feu !

    Mais le soir brunit nos plaines ;
    Les "phalènes"
    Prennent leur essor bruyant,
    Et les "sphinx" aux couleurs sombres,
    Dans les ombres
    Voltigent en tournoyant.

    C'est le "grand-paon" à l'oeil rose
    Dessiné sur un fond gris,
    Qui ne vole qu'à nuit close,
    Comme les chauves-souris ;
    Le "bombice" du troëne,
    Rayé de jaune et de vent,
    Et le "papillon du chêne"
    Qui ne meurt pas en hiver !...

    Voici le "sphinx" à la tête
    De squelette,
    Peinte en blanc sur un fond noir,
    Que le villageois redoute,
    Sur sa route,
    De voir voltiger le soir.

    Je hais aussi les "phalènes",
    Sombres hôtes de la nuit,
    Qui voltigent dans nos plaines
    De sept heures à minuit ;
    Mais vous, papillons que j'aime,
    Légers papillons de jour,
    Tout en vous est un emblème
    De poésie et d'amour !

    III

    Malheur, papillons que j'aime,
    Doux emblème,
    A vous pour votre beauté !...
    Un doigt, de votre corsage,
    Au passage,
    Froisse, hélas ! le velouté !...

    Une toute jeune fille
    Au coeur tendre, au doux souris,
    Perçant vos coeurs d'une aiguille,
    Vous contemple, l'oeil surpris :
    Et vos pattes sont coupées
    Par l'ongle blanc qui les mord,
    Et vos antennes crispées
    Dans les douleurs de la mort !...

    Gérard de NERVAL (1808-1855)
    (Recueil : Odelettes)

    http://poesie.webnet.fr/poemes/France/nerval/30.html

    Il y avait aussi 2 expositions dont je vous parlerais dès que possible car là, je vais essayer de trouver une option pas trop chère pour avoir un PC (le mien est dans son carton à Casa) et internet en Ardèche.
    Cet après-midi, piscine.
    Le 1 er mai, la Somme, chez le frère de lait de mon mari.

  • Au Mont St Michel, nous avons aimé:

    L'abbaye, les musées, l'église paroissiale :

    Le Mont Saint-Michel, au milieu de la baie, accueille chaque année près
    de 2,5 millions de visiteurs, pèlerins ou simples touristes.
    A l’entrée de cette cité médiévale, l’ancien Corps de Garde des Bourgeois, face aux canons, abrite l’office de tourisme. Lieux de visite du Mont Saint-Michel : le chemin des rempartsEn passant la porte du Boulevard, puis celle du Roy munie d’un pont-levis, vous rencontrez la Grande Rue avec ses musées, ses commerces et ses maisons du XV et XVI ème siècles (le passage du pont-levis conduit également sur votre droite, au chemin des remparts).
    L’Eglise Paroissiale, petit édifice du XV et XVIème siècles est dédiée à Saint-Pierre, patron des pêcheurs.
    Enfin, l’ascension du Grand Degré est un prélude à la Merveille et à la visite de l’Abbaye.

    Après avoir admiré l’Abbaye, vous pourrez contempler la beauté incomparable de la Baie en descendant le chemin des remparts, ou en choisissant le chemin de ronde, sur votre gauche, jalonné de petits jardins, auquel vous avez également accès par le porche des Fanils.
     
    http://www.ot-montsaintmichel.com/index.htm

     

  • Mort de l’artiste Carl Andre, pionnier de l’art minimal : « Les mots en “isme”, c’est de la connerie. La seule chose qui

    Carl Andre, pionnier de l'art minimal, est décédé le 24 janvier 2024 à l'âge 88 ans; L'artiste au Dia: Beacon à New York en 2015 © Photo : Bill Jacobson studio, New York

    Derrière l'austérité de l’homme se cachait le talent d’un grand artiste qui a révolutionné la sculpture. Carl Andre, pionnier de l’art minimal et maître de l'épure, est décédé mercredi 24 janvier à l'âge de 88 ans.

    https://www.connaissancedesarts.com/arts-expositions/art-contemporain/mort-de-lartiste-carl-andre-pionnier-de-lart-minimal-les-mots-en-isme-cest-de-la-connerie-la-seule-chose-qui-compte-cest-lart-11188904/

  • Les cartes postales littéraires de St Etienne

     
    Carte d'identité: Laura,44 ans, née à Troyes(10 Aube, Champagne-Ardennes)
    Activité: documentaliste contractuelle dans l'éducation nationale
    Objectif : vivre de ma plume, travailler  dans le domaine de l'art et/ou en librairie
    Mon itinéraire préféré: celui qui va de chez moi à la gare Chateaucreux avec vue sur le stade Geoffroy-Guichard et derrière la campagne
    Mon adresse préférée: a librairie de Paris où j'ai travaillé en décembre
    Mon livre péféré: les Œuvres complètes de Nerval en 3 volumes à la Pléiade
    Ma carte postale: un acrostiche publié dans "Poésie en Stéphanie" et dans mon livre "Acrostiches"

     

    Sinistre dans mon esprit

     

    Atrophié par les préjugés

     

    Imaginée puis vécue pleinement

     

    Noire tu étais, ville minière

     

    Tu es devenue ma ville

     

     

     

    Entièrement mienne, défendue contre

     

    Toutes les attaques

     

    Insidieuses des lieux communs

     

    Et de ceux qui ne savent pas

     

    Naître dans un nouveau paysage

     

    Notoirement connue puis reconnue

     

    Entièrement mienne, ma ville

     

     

     

     

      17/12/2007

     

     

    Née en Champagne que j'ai quittée à 25 ans, j'ai depuis vécu dans le Nord, le Sud-ouest, la Haute-Loire (où je me suis mariée), Saint-Etienne, le Maroc, la Drôme pour finalement il y a 3 ans faire le choix de vivre à Saint-Etienne pour sa culture et son paysage  d'âme.
  • St Brieuc,une cité millénaire

     

    La première page de son histoire est écrite par Brieuc, moine d'Outre Manche, qui s'installe avec 80 compagnons le long du Gouët vers 485 pour prêcher la bonne parole et donne son nom à la ville. Le cœur historique se construit autour de la cathédrale forteresse, édifiée à partir de 1210, un des joyaux de la cité. Aujourd'hui encore, un quartier ancien illustre la richesse des échanges économiques des XVe et XVIe siècles avec de belles maisons à colombages, des rues moyenâgeuses et des places récemment restaurées.
    Les vestiges de la Tour de Cesson se dressent à 70 mètres de haut sur un éperon rocheux qui domine la baie et rappellent son rôle protecteur jusqu'en 1598, date à laquelle elle fut démantelée.
    Un siècle plus tard, Saint-Brieuc prend comme emblème le griffon, croisement d'aigle et de lion, puis sous la révolution, devient le chef-lieu du département des Côtes du Nord. L'arrivée du chemin de fer correspond à une période de pleine expansion tandis que la ville s'étend le long de ses trois vallées. Le négoce bat son plein. Quant à l'industrie, des noms prestigieux ont laissé leur empreinte dans l'histoire de la cité au début du XIXe siècle comme Lucien Rosengart, associé aux pièces de mécanique de précision pour l'automobile et les frères Chaffoteaux qui ont marqué la fabrication d'appareils sanitaires et de chauffe-eaux. Rebaptisé en 1990, le département devient Côtes d'Armor.

    La montée en puissance du Légué

    Le port participe au développement de la ville dès le début du XIXe siècle : les quais prennent forme ; les entreprises se multiplient pour accueillir de nombreuses activités de négoce (sécheries de morue, bois, fer, grains, chanvre, hydrocarbure…) et des magasins d'armement de navires. En 1885, le bassin à flot est inauguré.

    http://www.saint-brieuc.fr/ville-attractive/bienvenue-a-saint-brieuc/decouvrez-visitez-saint-brieuc/