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  • Comme la Comédie théâtre de St Etienne, le théâtre de Toulon est scène nationale

    Inauguré en septembre 2011, le Théâtre Liberté, dirigé par Charles Berling et Pascale Boeglin-Rodier, labellisé ''scène nationale'', complète l'offre culturelle du centre-ville (cinémas, Musée d’Art, bibliothèque centrale, Hôtel des Arts, Opéra…).

    Un nouvel outil culturel en coeur de ville.

    Le Liberté, scène nationale de Toulon, a ouvert ses portes au public en septembre 2011, au coeœur du carré haussmannien de la Haute-Ville, en présence du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, du Maire de Toulon, et de nombreuses personnalités du monde du spectacle dont Emmanuelle Béart, Fanny Ardant, Nathalie Baye, Tonie Marshall, etc.

    Ce vaste chantier, difficile en raison de la présence d’eau dans le sous-sol et d’amiante dans les combles de l’ancien cinéma, aura duré 4 ans (juillet 2007 - été 2011) pour un coût total de 12,7 millions d'euros.

    Labellisé scène nationale et dirigé par Charles et Philippe Berling, deux enfants du pays, ce nouvel équipement poursuit l'objectif de devenir un pôle artistique et culturel majeur de création en Méditerranée.

    • Lieu de rencontres et d'échanges, le Le Liberté, scène nationale de Toulon invite les publics à des actions participatives et pédagogiques,
    • En phase avec son temps, il met aussi l'accent sur le développement des cultures numériques. Ainsi, une programmation audiovisuelle (projections, expositions et conférences) fait écho à sa programmation tournée vers le spectacle vivant,
    • Agencés autour du hall traversant de la Place de la Liberté à la rue Gimelli, la salle Albert Camus (703 places)le Petit Théâtre entièrement modulable (130 places) et la salle de projection (146 places) permettent d'’accueillir les spectateurs dans des espaces conviviaux et accessibles.

    https://toulon.fr/envie-bouger/proxy/theatre-liberte

    Dominée par la façade cossue du théâtre de Toulon, cette vaste place étale ses terrasses dès que le soleil pointe. Quelques palmiers, la statue de Jules Muraire - plus connu sous le nom de Raimu ! on flâne et on s'attarde ici avec plaisir ?

    https://www.lebonguide.com/loisirculturel/place-victor-hugo_58216

    voyage à Toulon:

    les  autres épisodes:

    http://www.lauravanel-coytte.com/voyage-a-toulon-du-28-juillet-au-1-er-aout-2022

  • St Rémy de Provence le week-end dernier

    Saint Rémy de Provence, petite ville du parc Naturel régional des Alpilles, vous invite à découvrir ses richesses : culture, patrimoine et fêtes.

    100_1941 ST REMY.JPG

    Dans la  capitale provençale de l’art de vivre où est né Nostradamus, vous trouverez : la gastronomie, les produits du terroir, l’huile d’olive, les vignobles « AOC les Baux de Provence », les hôtels et chambres d’hôtes de charme, les campings de qualité et les locations, l’artisanat, le marché Provençal, les artistes, les belles boutiques et galeries d’art, les ballades et randonnées nature, les lieux peints par Van Gogh, le site archéologique romain, les traditions, les festivals et 300 jours de soleil par an ...
    http://www.saintremy-de-provence.com/

  • Jules Janin à St Etienne(photo de ce midi)

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    JANIN JULES (1804-1874)

    Pour les critiques rigoureux du xixe siècle, le nom de Jules Janin est synonyme de négligence et d'opportunisme dans l'exercice du métier d'homme de lettres. De 1830 à 1874, Janin est critique littéraire au Journal des débats. Celui qu'on surnomma le « prince des critiques » tire gloire d'y avoir écrit deux mille deux cent quarante feuilletons hebdomadaires : « deux mille deux cent quarante sacs de papier, de vent, de niaiseries, de truquages », à en croire Thibaudet. Partisan déterminé de la monarchie de Juillet, fort richement payé et très sûr de lui, il sait user et abuser des pouvoirs qu'une presse en plein essor confère aux feuilletonnistes et aux critiques. D'une belle absence de principes, il ne défend les romantiques contre les traditionalistes (Nisard) que pour mieux les attaquer ensuite. Ce bavard, aimé du public louis-philippard, passe à l'époque pour brillant et plein d'humour. Pourtant, la collection de ses feuilletons publiée sous le titre d'Histoire de la littérature dramatique est aujourd'hui peu lisible, de même que les autres œuvres de cet intarissable polygraphe, auteur d'essais historiques (son Barnave eut un retentissement certain en 1831) mais aussi de contes et romans ; le plus célèbre de ces derniers, L'Âne mort ou la Femme guillotinée (1829), est une parodie, qui se veut cinglante et n'est que sotte, du Dernier Jour d'un condamné de Victor Hugo.

    Mais le meilleur recours de Jules Janin contre l'oubli est d'avoir suscité l'une des plus justes fureurs de Baudelaire en 1865. Après avoir lu un article où « le prince des critiques » tançait Heine pour sa mélancolie et proposait la joyeuse humeur de Béranger en modèle à tous les poètes, Baudelaire écrivit le projet d'une Lettre à Jules Janin, que les progrès de la maladie l'empêchèrent d'achever et de publier mais qui reste l'un des textes capitaux pour la compréhension intime du romantisme : « Vous êtes un homme heureux. Je vous plains, Monsieur, d'être si facilement heureux. Faut-il qu'un homme soit tombé bas pour se croire heureux ! [...]. Ah ! vous êtes heureux, Monsieur. Quoi ! — Facile à contenter, alors ? — J'irai jusque-là que je vous demanderai si les spectacles de la terre vous suffisent. Quoi ! jamais vous n'avez eu envie de vous en aller, rien que pour changer de spectacle ! J'ai de très sérieuses raisons pour plaindre celui qui n'aime pas la Mort ! [...]. Ciel mélancolique de la poésie moderne. Étoiles de première grandeur. »

    Claude BURGELIN

    http://www.universalis.fr/encyclopedie/jules-janin/

  • J'ai vu ce matin au MAM de St Etienne: LÉA BELOOUSSOVITCH

    Feelings on felt

     DATESDU 16 DÉCEMBRE 2020 AU 15 AOÛT 2021

     LIEUMAMC+

    LE DESSIN AUX CONFINS DE L'ABSTRACTION

    Découvrez l'approche singulière du dessin de Léa Belooussovitch à travers une quarantaine d'œuvres réalisées à main levée et au crayon de couleur sur du feutre textile blanc. L'artiste réinterprète selon un long processus, des photographies de nature violente issues des médias. Cette démarche confère un nouveau souffle à ces photographies, en faisant ressortir la part d’humanité qu’il y reste.

     

    Les dessins de Léa Belooussovitch répondent à un même protocole. Elle commence par sélectionner dans la presse ou sur Internet des images qui nous assaillent quotidiennement, liées à des faits d’actualités dramatiques : attentats au Pakistan, scènes de guerre en Syrie... L'artiste se concentre sur la représentation de victimes anonymes blessées ou vulnérables. Léa Belooussovitch soumet ces images-sources à diverses manipulations (recadrage, agrandissement) avant d’entamer leur transfert sur le support du feutre. Ce travail lent et répétitif d’accumulation des traits du crayon de couleur altère l’aspect lisse de la matière et lui confère un volume duveteux.

    Les formes qui émergent sont des halos colorés brouillant la reconnaissance de la scène. Dans ce passage du pixel au pigment, la netteté de l’image initiale se mue ainsi en un dessin flou qui semble contenir et atténuer sous sa surface la douleur de la représentation. Le titre de chaque œuvre ancre néanmoins le dessin dans le réel en situant la ville, le pays et la date de l’événement tragique. La bande blanche de feutre laissée vierge en haut du dessin suggère, quant à elle, le recadrage effectué à partir de la photographie d’origine.

    Par ce brouillage des repères et cette mise à distance de la violence, Léa Belooussovitch nous interpelle autant sur notre rapport à l’information que sur le voyeurisme, tout en activant notre imaginaire. Le caractère esthétique et sensible, voire sensuel, de ses dessins dissimule sous un voile pudique de douceur la présence/absence de l’humain confronté aux atrocités et aux soubresauts du monde contemporain. Cette démarche vise à démontrer combien, selon les mots de l’artiste, "la violence de l’information a pris le dessus sur l’humanité que l’événement contient".

    Léa Belooussovitch est invitée dans le cadre de la 10e édition du Prix des Partenaires. Le Musée décerne ce Prix chaque année à un artiste émergent, grâce au soutien de ses mécènes.


    Prolongez votre visite de l'exposition à la bibliothèque Jean Laude du Musée. Découvrez une sélection de livres d’artistes sur les thématiques des violences, des conflits, des guerres, dans le cadre des expositions de Léa Belooussovitch, Feelings on felt et d'Éric Manigaud, La mélancolie des vaincus. Que ce soit au travers de reproductions de photographies ou encore de coupures presse, appréhendez des épisodes marquants de l'histoire ayant inspiré ces deux artistes dans leurs œuvres.

    La bibliothèque, située au premier étage du musée, vous accueille de 14 h à 18 h le lundi, mercredi, jeudi et vendredi et sur rendez-vous en juillet et août.

    L'ARTISTE

    Léa Belooussovitch est née en 1989 à Paris, elle vit et travaille à Bruxelles. Elle est diplômée en dessin de l'ENSAV La Cambre, Bruxelles en 2014. Son travail est présent dans des collections privées et publiques. Elle est représentée par la galerie Paris-Beijing à Paris.

    En savoir plus : http://www.leabelooussovitch.com/

    COMMISSARIAT

    Alexandre Quoi
    Responsable du département scientifique du MAMC+

    LIVRE D'ARTISTE

    Léa Belooussovitch. Feelings on felt
    Livre d'artiste. Entretien de Léa Belooussovitch avec Alexandre Quoi. Édition bilingue français – anglais. Coédition avec The Drawer. 100 pages. Prix : 23 euros.ISBN 9782955992784

    ENV. 40 DESSINS

    UN PROCESSUS LENT ET RÉPÉTITIF

    PARTENAIRES

    https://mamc.saint-etienne.fr/fr/expositions/lea-belooussovitch

  • J'ai vu ce matin au MAM de St Etienne: ÉRIC MANIGAUD

    ÉRIC MANIGAUD

    La mélancolie des vaincus

     DATESDU 16 DÉCEMBRE 2020 AU 15 AOÛT 2021

     LIEUMAMC+

    DES DESSINS SAISISSANTS À PARTIR DE PHOTOS D'ARCHIVES

    Éric Manigaud prend pour sujet des épisodes de l'Histoire du XXe siècle, dont certains méconnus. L'exposition rassemble ainsi une soixantaine de dessins réalisés à partir de photographies d’archives, empreintes d’une mémoire collective sensible.

    Le visiteur est immergé dès la première salle dans la matière première qui nourrit l'art d'Éric Manigaud. Des archives originales côtoient planches médicales, plaques photographiques et magazines. Des dessins de matières, eau, terre, racines en gros plan, transportent d'emblée le visiteur au cœur de l’organique. Il se perd dans les gris ouatés, la brillance du graphite, la texture du papier, le tout se confondant avec la matière représentée.

    L’histoire du siècle dernier, faite d’anonymes, surgit dans la salle suivante : un couple assassiné, des femmes japonaises aux dos brûlés, des corps à terre, des espaces laissés vides après le drame... L'artiste reproduit des documents photographiques dans un format agrandi. Il porte alors à l’échelle humaine des scènes difficiles à regarder, presque insoutenables. Une confrontation physique s'instaure avec ces images souvent censurées ou confidentielles en leur temps, peut-être en vue d’une acceptation.

    Pour Éric Manigaud, le passage du document au dessin se fait armé d’une gamme de crayons gras et de poudre graphite. Il effectue des micro-hachures centimètre carré par centimètre carré grâce à la projection de l’image agrandie sur le papier. Cette pratique "neutralise" l’image et met à distance les traumas du passé.

    La série Madge Donohoe, du nom d’une médium australienne des années 1930, ponctue l'exposition. La médium entrait en contact avec l'au-delà en pressant son visage contre une plaque photographique. Les dessins d’Éric Manigaud dégagent tout à coup une force libératrice, puisée dans le registre de l’inconnu.

    Les figures aperçues dans les salles précédentes, gueules cassées, regards prisonniers de la folie ou visages terrifiés par l’arrestation policière, passent alors du statut de fantômes à celui de vaincus, laissant un amer sentiment mélancolique.


    Prolongez votre visite de l'exposition à la bibliothèque Jean Laude du Musée. Découvrez une sélection de livres d’artistes sur les thématiques des violences, des conflits, des guerres, dans le cadre des expositions d'Éric Manigaud, La mélancolie des vaincus et de Léa Belooussovitch, Feelings on felt. Que ce soit au travers de reproductions de photographies ou encore de coupures presse, appréhendez des épisodes marquants de l'histoire ayant inspiré ces deux artistes dans leurs œuvres.

    La bibliothèque, située au premier étage du musée, vous accueille de 14 h à 18 h le lundi, mercredi, jeudi et vendredi, et sur rendez-vous en juillet et août.

    L'ARTISTE

    Éric Manigaud est né en 1971, il vit et travaille à Saint-Étienne. Agrégé d’arts plastiques, il expose régulièrement son travail en France et à l’étranger. Ses œuvres font partie de collections publiques et privées. Il est représenté par la galerie Sator à Paris, la Galerie C à Neuchâtel et la Fifty One Gallery à Anvers.

    En savoir plus : https://galeriesator.com/eric-manigaud-oeuvres

    COMMISSARIAT

    Aurélie Voltz
    Directrice du MAMC+

    CATALOGUE

    Éric Manigaud, La mélancolie des vaincus
    Textes d'Aurélie Voltz, Jean-Christophe Bailly et Philippe Dagen. Bilingue français – anglais. Coédité avec Snoeck Publishers, les galeries C, Fifty-One et Sator. 100 pages. ISBN 9789461616289. Prix : 25 euros.
     

    ENV. 60 DESSINS

    CONFRONTATION PHYSIQUE À L'IMAGE

    PARTENAIRES

    https://mamc.saint-etienne.fr/fr/expositions/eric-manigaud

  • J'ai vu ce matin au MAM de St Etienne: HASSAN SHARIF

    HASSAN SHARIF

    I am the single work artist

     DATESDU 5 MARS AU 26 SEPTEMBRE 2021

     LIEUMAMC+

    UNE PREMIÈRE RÉTROSPECTIVE RICHE ET FOISONNANTE !

    L'artiste émirati Hassan Sharif (1951-2016) est considéré comme l’un des artistes les plus influents du monde arabe aujourd’hui ; il a créé une œuvre d'une variété étonnante. Venez découvrir au MAMC+ l'exposition I am the single work artist (Je suis l’artiste d’une œuvre unique) : dessins, performances et expérimentations marqués par l’art conceptuel répondent aux accumulations, découpages, tressages d’objets glanés dans les marchés, parfois déployés en des installations monumentales.

    Artiste, enseignant, critique, Hassan Sharif concourt à changer le paysage artistique de son pays pour l’affranchir de la calligraphie traditionnelle. Durant quatre décennies, il développe un important corpus d’œuvres : dessins, peintures, performances, sculptures et installations. Contrepied à cette foisonnante production, le titre de l’exposition (I am the single work artist - Je suis l’artiste d’une œuvre unique) suggère que cet ensemble doit être compris comme un seul geste conçu dans la durée et la répétition.

    La pratique d’Hassan Sharif évolue dans un contexte économique et social bouleversé par la découverte du pétrole, sa commercialisation en 1958 puis la création des Émirats arabes unis en 1971. Son œuvre est marquée par la transformation accélérée de Dubaï, alors modeste territoire en une mégalopole de luxe. Il critique une modernisation à marche forcée au fil de ses caricatures publiées jusqu’en 1979, date à laquelle il se concentre sur sa pratique artistique. Sa formation londonienne ouvre son regard sur l’art constructiviste britannique, l’art minimal et Fluxus, dont il combine habilement les influences. Ses performances dans le désert de Hatta, au début des années 1980, figurent parmi les premiers gestes conceptuels dans le Golfe : sauter, jeter une pierre, enregistrer un rocher, disparaître derrière une dune... Des photographies, des collages ou des écrits documentent ses actions, dans sa cour intérieure, dans un taxi ou dans les souks.

    Organisant des expositions éphémères et subversives avec le collectif de l’Atelier Al Mureijah, il porte peu à peu un intérêt aux matériaux et objets de pacotille, qu’il trouve en quantité croissante sur les marchés. Procédant par accumulations, découpages, tressages, assemblages, il développe un pan majeur de son travail qu’il qualifie d’"archéologie urbaine". À partir des années 2000, alors que ses installations deviennent monumentales, il reprend sa pratique picturale, qu’il agrémente des mêmes objets de la vie quotidienne. Le style grotesque et la touche expressionniste illustrent autrement, avec réalisme, une société de consommation aux codes grossiers.

    Parallèlement à ces installations, Hassan Sharif développe un travail plus ascétique et graphique tout aussi répétitif : les "semi-systèmes". À partir de calculs mathématiques, il se fixe des règles pour créer des dessins géométriques, en d’infinies colonnes de lignes et de droites segmentées. Il laisse la fatigue et l’ennui le gagner pour y introduire des erreurs, laissées visibles. À l’image de son œuvre, les semi-systèmes exposent une confrontation à l’autorité et les moyens d’y échapper.

    Le travail d’Hassan Sharif trouve un écho dans de nombreux positionnements artistiques occidentaux des années 1970 aux années 1990. Dans le prolongement de l’exposition, deux salles sont consacrées aux collections du MAMC+, s’arrêtant en particulier sur l’art minimal, Fluxus, la performance ou Supports/Surfaces.

    Cette exposition itinérante a été conçue par la Sharjah Art Foundation, Sharjah, E.A.U., et organisée par Hoor Al Qasimi. L'itinérance européenne de l'exposition a été organisée par la Sharjah Art Foundation en collaboration avec le KW Berlin, le Malmö Konsthall et le Musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole.

    L'ARTISTE

    Hassan Sharif est né en Iran en 1951 et décède à Dubaï en 2016. Dans les années 1970, il est caricaturiste pour le journal Akhbar Dubaï. Au début des années 1980, il part étudier à Londres, à la Byam Shaw School of Art. Diplômé en 1984, il s’installe dans les Émirats et réalise ses premières expositions, fonde plusieurs associations d’artistes, tout en poursuivant sa pratique et une activité de critique d’art. Son travail a été présenté à l’occasion d’expositions collectives à la Whitechapel Gallery à Londres et au New Museum à New York... Il fut exposé à deux reprises dans le pavillon des Émirats arabes unis de la Biennale de Venise en 2009 et 2015. Ses œuvres font partie des plus grandes collections publiques telles que le Guggenheim New York, le Guggenheim Abu Dhabi, le Centre Pompidou, la Tate Modern ou le Mathaf : Arab Museum of Modern Art à Doha. Il est représenté par la galerie gb agency à Paris.

    COMMISSARIAT

    Hoor Al Qasimi
    Directrice de la Sharjah Art Foundation

    Aurélie Voltz
    Directrice du MAMC+

    CATALOGUE

    Hassan Sharif. I am the single work artist
    Coéditée par la Sharjah Foundation et Koenig Books, cette monographie offre une vision intime de l’œuvre plurielle de l’artiste, enrichie de nouvelles traductions de ses écrits. Bilingue anglais – arabe. 320 pages. Prix : 22 euros.

    PLUS DE 150 ŒUVRES

    PARTENAIRES

    https://mamc.saint-etienne.fr/fr/expositions/hassan-sharif

  • Hier, pour la Nuit des musées, nous avons visité au MAM de St Etienne

     
     
    Valérie Jouve, Sans titre (Les Arbres)
    Valérie Jouve, Sans titre (Les Arbres), 2004-2018. C-Print. Courtesy galerie Xippas. © Valérie Jouve / ADAGP, Paris 2018.
      
    Valérie Jouve
    Formes de vies
    Du 19 mai 2018 au 16 septembre 2018
    Découvrez la première exposition à Saint-Étienne de Valérie Jouve, artiste originaire de la région stéphanoise ! Née à Firminy en 1964, le Musée accueille la photographe, vidéaste et réalisatrice dans le cadre son 30e anniversaire.

    Valérie Jouve présente pour cette exposition un film et des photographies figurant des lieux (maison, façade, rue, ville, paysage), et des êtres (arbre, individu).
    Laurent Gueneau, Guangzhou, Question de NatureVues urbainesCollection de photographies du Musée
    Du 19 mai 2018 au 16 septembre 2018
    Explorez la riche collection de photographies du Musée à travers un accrochage inédit en connivence avec l'exposition "Formes de vies" de Valérie Jouve. ''Vues urbaines'' présente des oeuvres peu montrées, offrant une perspective sur la Ville et ses habitants, à travers les époques et les lieux, de Londres à Chicago, en passant par Saint-Étienne et sa région.

    Laurent Gueneau, "Guangzhou, Question de Nature", 2015. 110 x 138 cm. © L. Gueneau.

    http://www.mam-st-etienne.fr/index.php?rubrique=6

    Précédente sur cette nuit des musées

    Précédentes notes sur ce musée

    WP_20180519_063.jpgWP_20180519_064.jpg

  • ”Dernière nuit à Montréal” d' Emily St. John Mandel

    C'est l'histoire de Lilia, enlevée à sept ans par son père, et de la longue cavale qui dura toute son adolescence. C'est l'histoire de Christopher, le détective engagé par la mère de Lilia pour la retrouver et de sa fille Michaela, qui rêvait d'être funambule avant de finir dans une boîte minable de Montréal. Michaela sait ce que Lilia a toujours ignoré : la raison de sa cavale. C'est enfin l'histoire d'Eli, étudiant passionné par les langues et la fragilité des sentiments qu'elles servent à exprimer, qui a hébergé Lilia à New York suffisamment longtemps pour tomber amoureux d'elle et partir à sa recherche lorsque, une fois de plus, elle s'enfuit. C'est dans une Montréal hypnotique que se dénouera cette "histoire de fenêtres brisées et de neige", une histoire en forme d'éclats de miroir brisé qui, une fois reconstitué, dessine une vision déchirante du monde.


    http://www.payot-rivages.net/livre_Derniere-nuit-a-Montreal-Emily-St-John-Mandel_ean13_9782743623791.html

  • Nous avons participé hier soir à la Nuit des musées à St Etienne

    12e Nuit Européenne des Musées au Musée d’art moderne et contemporain

    VISITE DES EXPOSITIONS - De 18 h à minuit.
    Visitez 4 expositions et la collection du Musée, avec des chefs-d’œuvre de Pablo Picasso, Andy Warhol... mais aussi des créations de jeunes artistes. Si vous voulez en savoir plus et discuter, participez aux visites guidées gratuites, destinées aux adultes ou aux enfants (départ toutes les 30 min). Attention, derniers jours pour découvrir l’exposition "Mémoires" de Jacques Villeglé !

    CONCERT - De 20 h à 23 h.
    Le Musée et le Fil vous invitent à vivre une Nuit Européenne des Musées pleine de rebondissements avec le concert "La légende d’Eboa King".
    6 musiciens (guitare, basse, batterie, clavier, saxo, trompette) pour un groove afro-soul jazz aux accents funky, où la voix de Pat Kalla immerge le public… "Une alchimie réussie qui transmet l’énergie !". Buvette et snack sur place avec le Remue-Méninges.

    "LA CLASSE, L'ŒUVRE !"
    RENCONTRE(S) AUTOUR D'UNE ŒUVRE
    Pendant la Nuit Européenne des Musées 2016, découvrez le projet "Rencontre(s) autour d’une œuvre". Durant l’année écoulée, des élèves d’écoles et collège de proximité ont visité le Musée, étudié les œuvres de la collection, expérimenté avec un artiste, grâce au dispositif national "La classe, l’œuvre !".
    "La classe, l'œuvre" se déroule dans le cadre d'un partenariat entre le ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche, et le ministère de la culture et de la communication.
    De 18 h à 20 h
    Les élèves présentent aux visiteurs des œuvres du Musée et les fruits de leurs expérimentations. Des outils numériques de médiation, réalisés avec Zoomacom et le Pôle Information Jeunesse de Saint-Priest-en-Jarez, sont également à découvrir/tester.
    Avec les élèves et enseignants du Collège Les Champs de Saint-Étienne, de l’École Jean Macé et de l’École Jules Ferry de Saint-Priest-en-Jarez.

    LANCEMENT DU "PASS MUSÉES"
    Abonné au stade, aux magazines, au ciné… Et pourquoi pas aux Musées ?
    Soyez libres d'être curieux !
    Le PASS MUSÉES ? Un nouvel abonnement pour accéder aux musées en toute liberté.
    Pour 20 €, un abonnement parfait pour vivre l’expérience musée en toute liberté : entrée illimitée pendant un an, à compter de la date d'achat, au Musée d’art moderne et contemporain, au Puits Couriot / Parc-musée de la Mine, au musée d’Art et d’Industrie et à la Cité du design.
    Offre spéciale...
    Les 100 premiers abonnés se verront offrir une pochette remplie de surprises et du "Pass musées", le tout pour le même prix !
    Offre disponible dès le samedi 21 mai au Musée d’art moderne et contemporain, au Puits Couriot / Parc-musée de la Mine, au musée d’Art et d’Industrie et à la Cité du design !

     

    http://saint-etiennetourisme.com/fr/

     

  • Nous avons visité le 1 er AOUT 2019:St-Quentin 2050

    Sur quelles orientations reposera la Ville dans 30 ans ?

    À la suite de la démarche de prospective citoyenne « Saint-Quentin 2050, l’avenir est entre nos mains », venez partager la vision des habitants et des acteurs socio-économiques sur le Saint-Quentin de demain ! Venez découvrir les différentes orientations sur lesquelles reposera la Ville dans 30 ans !

    https://www.saint-quentin.fr/actualite/1859/283-actualites.htm

    voyage-ete-2019/

    montargis-loiret-centre-val-de-loire/

    paris/

  • Nous avons aimé samedi à Montpellier:l'aqueduc St Clément

    AQUEDUC SAINT CLEMENT (DIT DES ARCEAUX)

    COORDONNÉES

    Les Arceaux
    34000 MONTPELLIER
    Montpellier Centre

  • Château du Jarez à St Chamond le 12 août 2018

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    • Conçue par l’architecte Léon Lamaizière (1855-1941), cette maison est liée à la Compagnie des Hauts Fourneaux Forges et Aciéries de la Marine et des Chemins de fer et du directeur, Adrien de Montgolfier.
      Ce château est situé dans un parc d’accès public. 
      Le bâtiment accueille aujourd’hui des salles de réception, l’association Rhino Jazz(s) Festival, l’association Saint-Chamond Handball et le relais Malakoff Loire.

      PLUS D'INFOS...

       INFOS PRATIQUES

      Adresse : 11 rue Benoît Oriol 42400 Saint-Chamond

      http://www.monweekendasaint-etienne.com/saint-etienne-metropole/la-vallee-du-gier/saint-chamond/le-chateau-du-jarez

  • Feu d'artifice du 14 juillet 2022 à St Etienne

    Le spectacle était en l'air:IMG_4644.JPG

    IMG_4606.JPGIMG_4609.JPGIMG_4612.JPGIMG_4616.JPG

     

    mais aussi sur le Zenith:

    En repartant vers 23h

    j'ai pu voir la fan zone du tour installée pour le lendemain et le Zenith en vert:

    super organisation de la ville avec tram gratuit jusqu'à 3hIMG_4653.JPG

     

    IMG_4600.JPGIMG_4602.JPGIMG_4605.JPG

  • Mon texte inédit sur ce blog:Du France au St François

    Semaine du 22 avril au 5 mai 2019 - La dernière séance

     
    La dernière séance

    Sur une proposition de Andiamo nous vous suggérons d'évoquer les petits cinoches de quartiers, il y en avait au moins un près de chez vous, oui ? sinon inventez-le et en vers ou en prose racontez-nous votre dernière séance.
    Vous avez jusqu'au 5 mai à minuit pour envoyer votre texte à l'adresse habituelle impromptuslitteraires[at]gmail.com après quoi le guichet sera fermé.
     
    https://impromptuslitteraires.blogspot.com/2019/04/semaine-du-22-avril-au-5-mai-2019
     

     

    Du France au St François

    Lorsque je suis arrivée à St Etienne en vers l'an 2000, j'ai été séduite entre autres  par l'accueil des gens et l'importance du choix dans la vie culturelle notamment au niveau du cinéma:  deux cinémas grand public avec une vingtaine de salles  où nous allions  et deux art et essai; le Méliès que je fréquentais régulièrement et le France.  Le Méliès était en travaux pour installation et agrandissement sur un nouveau site. Quand nous sommes rentrés du Maroc et que j'ai pu choisir où je voulais vivre, j'ai choisi St Etienne. 

    La suite ici

    24 avril 2019

  • L'arrivée du tour à St-Etienne vendredi

    je m'arrête à l'arrêt Roger-Rocher

    et je rebrousse vers l'arrivée:

    IMG_4658.JPGIMG_4660.JPGJe m'installe  entre l'arrivée et le podium, comme il y a trois ans avec mon mari

    mais je suis prise par l'ambiance que j'aime tant

    les photographes

    le barnum du tour si bien organisé

    les motos

    les voitures

    l'hélicoptère

    le bruit des gens qui tapent sur les barrières qui annoncent les coureursIMG_4672.JPG

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    la voiture-balaiIMG_4693.JPG

    le directeur du tour

    et le démontage 

    dont la organisation m'intéresse

    et moi, je remonte

    vers le tram

    dans le sens contraire 

    et j'aperçois Bernard Thevenet qui était en dédicace à la librairie

    https://www.placedeslibraires.fr/agenda-121680/dedicace-avec-bernard-thevenet/

    en 2019:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2019/07/14/saint-etienne-etape-du-tour-de-france-arrivee-hier-et-depart-6164018.html

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