Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Art
La Belgique veut lister les œuvres pillées par la France
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La Belgique veut lister les œuvres pillées par la France
Fiac 2014 : un beau succès public
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Cap sur l'Ecole de Porto
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Helena Almeida, le corps à l'épreuve
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Manuélin ou néo-Manuélin
Enquête
La beauté pure du design portugais
Nouveau talent
Victoria Wilomtte / David Claerbout / Fabien Verschaere
7,90 €
Exposition du 20 janvier 2007 au 22 avril 2007 Médiathèque Jean Lévy 32/34 rue Edouard Delesalle 59000 Lille Dans les années 1930, le visage de la Grèce se régénère. Les répercussions qui sont alors nombreuses entre arts décoratifs et arts plastiques, entre écriture et illustration, entre pittoresque et dépaysement ont forcé les artistes à repenser l’illustration des classiques et à définir une grécité qui échappe au classicisme et aux récupérations réactionnaires. Les principaux artistes modernes (Braque, Hayter, Laurens, Le Corbusier, Masson, Matisse, Picasso, Springer, Zadkine…) défendent et maintiennent une certaine image de la Grèce, éclairée ou vivante, complexe et solaire à travers l’illustration de textes fondateurs ou de véritables manifestes sur l’art de vivre et de penser un retour éclairé aux sources. L’exposition offre l’occasion d’appréhender un milieu éditorial marqué, pour différentes raisons, par la Grèce. Aux figures de Christian Zervos de la revue Cahiers d’art et de la galerie éponyme s’ajoute celle de Tériade, d’origine grecque également, directeur de la revue Verve et éditeurs de grands livres ou encore de Hercule Joannidès Zélateur discret de la revue le voyage en Grèce qui voulait « créer un lien entre la Grèce et ses voyageurs par l’intermédiaire des écrivains, des artistes et des savants contemporains ». L’exposition articulera livres illustrés, estampes originales et dessins mais aussi manuscrits enluminés et éditions rares conservés dans le fonds de la Bibliothèque Municipale de Lille afin de rendre perceptible, dans le temps, les différentes interprétations et d’éprouver la pérennité de cette référence au prisme de son actualisation et de ses instrumentalisations. Les sections seront toutes accompagnées par des revues (L’Esprit Nouveau, Cahiers d’art, Minotaure, Verve, Le Voyage en Grèce…) conçues comme un véritable« atelier » où s’élaborent autant l’esprit de la Grèce moderne que son imaginaire. Une importante documentation iconographique, photographique et littéraire sera également présentée dans leur relation avec l’estampe et l’image imprimée. Un catalogue de 160 pages / 120 illustrations en couleurs est édité par De Gourcuff à cette occasion. Visites guidées, colloque, conférences et activités pédagogiques seront proposés autour de l’exposition. L’exposition est co-réalisée par le Musée d’art moderne de Lille Métropole et la Bibliothèque Municipale de Lille dans le cadre de l’opération Feuille à Feuille. Estampe et images imprimées dans les collections des musées du Nord - Pas de Calais, labellisée exposition d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication, Direction des Musées de France. Entrée libre du mardi au samedi de 12h00 à 18h45 Ouverture exceptionnelle les dimanches 4 février, 4 mars, 1er et 22 avril de 14h00 à 18h45 Renseignements : Médiathèque Jean Lévy Tel : 03 20 15 97 20 Musée d’art moderne de Lille Métropole : http://www.mamlm.fr/ Url de référence : http://www.bm-lille.fr/bmlille/bmlille.php?rub=44 http://www.fabula.org/actualites/article17769.php
Exact contemporain d’Eugène Delacroix, Bra participa fortement de l’époque romantique par sa personnalité intransigeante et illuminée. Ces encres inconnues, sélectionnées parmi les quelques dix mille feuillets légués à sa ville natale démontrent une nature rebelle exaltée, opposée à tout académisme. Ce très singulier romantique, second Prix de Rome en 1818, reçut d’importantes commandes officielles sous la Restauration et la Monarchie de Juillet (Palais du Louvre et Arc de Triomphe, Versailles, statues d’églises, marbres et plâtres au musée de la Chartreuse à Douai...). Estimé des cercles intellectuels et savants, Bra, indépendant des milieux artistiques parisiens, fascina Balzac et George Sand. Outre L’Evangile rouge (1826-29), journal intime nourri de ses étranges visions du monde, de ses délires spirituels et de ses théories de l’art originales, ses manuscrits témoignent, pour reprendre les mots de Jacques de Caso, « d’un dérangement émotionnel à caractère mystique, » suscitant une ferveur créatrice prolifique et fébrile. Cultivant un graphisme compulsif qui griffe la feuille à l’encre de Chine, Bra développe des motifs complexes aux commentaires obscurs sur des concepts obsessionnels et des pensées tourmentées :Têtes de feu et autoportraits, hiéroglyphes, Être Suprême, chimères, taches et abstractions… Son inspiration fantastique évoque les univers habités de Goya, William Blake ou Victor Hugo. Son génie illuminé précède ainsi de manière prémonitoire certains dessins et poèmes automatiques des surréalistes. Exceptionnelle par son ampleur, cette manifestation sera une découverte magistrale pour tous les publics. Commissariat Daniel Marchesseau, directeur conservateur général du Patrimoine Jacques de Caso, commissaire invité professeur emeritus, Université de Berkeley, Usa. Musée de la Vie romantique Hôtel Scheffer-Renan 16 rue Chaptal - 75009 Paris tél. : 01 55 31 95 67 fax. : 01 48 74 28 42 Ouvert tous les jours, de 10h à 18h sauf les lundis et jours fériés Contact Presse Céline Poirier tél. : 01 55 31 95 63 celine.poirier@paris. http://www.paris.fr/portail/Culture/Portal.lut?page_id=144&document_type_id=2&document_id=24980&portlet_id=9873
Source de l'image:http://www.galeriefrance.net/region/21/boushra1.php
Benyezza Boushra réside à Montélimar (Drôme). Artiste accomplie, elle a eu comme maître plusieurs artistes de renom, tant en France qu'à l'étranger.
Depuis plus de 10 ans maintenant, BOUSHRA réalise des ouvres plus qu'insolites: des tableaux de sable. Venant de tous les coins du monde, le sable plus ou moins fin, de différentes couleurs, de textures diverses permet une précision visuelle incroyable. La technique utilisée permet d'obtenir une grande précision dans le détail grâce à la finesse de certains sables et demande une grande patience et de la minutie.
Les couleurs, quant à elles, sont pour la plupart obtenues en travaillant le sable pendant une durée dont elle a le secret. Ce procédé exclusif confère à BOUSHRA la possibilité de travailler avec ou sans modèles et elle possède à son actif plus de 300 réalisations... Elle a déjà participée à plus d'une vingtaine d'expositions.
Source de l'article:http://www.galeriefrance.net/region/21/boushra1.php
Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni, plus connu sous le nom de Michel-Ange (Caprese, au nord d'Arezzo en Toscane, le 6 mars 1475 et mort à Rome, le 18 février 1564), est un peintre, sculpteur, poète et architecte italien de la Renaissance
Ses sculptures les plus connues incluent le David, la Pietà de la basilique Saint-Pierre dont il a également conçu le dôme, le tombeau de Jules II et notamment le Moïse. Pour la peinture, on retient le plafond de la chapelle Sixtine, le Jugement dernier au-dessus de l’autel, le Martyre de saint Pierre dans la chapelle Paolina du Vatican.
sOURCE: Wikipedia
http://www.normandie-impressionniste.fr/fr/home
La manifestation plurielle Normandie impressionniste propose des expositions au Musée des beaux-arts de Rouen (avec Monet, Pissaro et Gauguin) mais aussi au Havre (Degas et Signac) et à Giverny. Jusqu'en décembre.
Le monde de jeudi
Les enquêteurs n'ont constaté aucune effraction dans le musée Cantini, pour le vol de ce pastel estimé à 800.000 euros.
New York Envoyée spéciale
Un stand vide a frappé les esprits à la Foire d'art de Miami, début décembre 2009. L'occupant aurait eu des problèmes de transport. Officieusement, la galerie Christian Haye, qui se trouve sur la 57e Rue à Manhattan, avait fait brutalement banqueroute. Une preuve, parmi d'autres, que les marchands qui ont pignon sur rue dans la capitale mondiale de l'art contemporain sont frappés par la crise.
Il suffit de se promener à New York et de pousser les portes, pour constater que les dizaines de galeries qui y sont installées font le dos rond depuis plus d'un an. Partout, le niveau des ventes a chuté, et le prix des oeuvres a baissé.
Ce sont les petites et moyennes galeries qui souffrent le plus, celles qui représentent les artistes les moins bankables - les moins connus par les spéculateurs. Durant les six premiers mois de 2009, environ vingt-cinq galeries auraient fermé. Certaines s'étaient pourtant fait une réputation en défendant des artistes émergents : Roebling Hall, Rivington Arms, Clementine, Bellwether...
Certains lieux, comme la jeune galerie Smith-Steward, ont "évolué pour devenir un centre d'expositions sans adresse permanente", apprend-on. Objectif : ne pas disparaître et attendre de dénicher un loyer moins cher.
Dans le quartier de Chelsea, à l'ouest de Manhattan, haut lieu des galeries de la ville, "le trafic piétonnier s'est remarquablement amoindri là où les foules se bousculaient l'année passée", remarque le New York Times. Les traders qui aimaient à s'offrir des pièces à 10 000 dollars ont déserté. Désormais, les affaires se font avec les collectionneurs les plus riches. Ceux encore capables de dire, comme le rapporte un galeriste : "J'ai perdu 7 milliards de dollars dans la crise, mais il me reste 200 millions, largement de quoi me refaire." Selon le Baer Faxt, site Internet qui observe le marché de l'art international, "les affaires se sont amoindries de 50 % à 80 %" dans les six premiers mois de l'année, ce qui est vertigineux.
Les plus puissantes des galeries, comme Paula Cooper, Luhring Augustine ou Cheim & Read, parviennent cependant à tenir. Mais elles ont dû réduire drastiquement les coûts : licenciement d'une partie du personnel, pression accrue sur les vendeurs d'oeuvres (payés à la commission) ou évincement des artistes dont les ventes sont les plus faibles. La galerie 303 (303Gallery) se concentre désormais sur un seul espace à Chelsea, contre deux auparavant. Certains artistes doivent aussi payer les frais de production de leurs oeuvres, auparavant couverts par les galeries.
Si ce n'est Charles Cowles, lieu trentenaire et spécialisé dans la photographie, aucune grosse machine n'a mis la clé sous la porte. Larry Gagosian, considéré comme le marchand le plus puissant au monde, installé dans trois espaces à New York, deux à Londres et un à Rome, a même annoncé qu'il doublerait sa surface en 2010, en s'installant à Los Angeles. "Je dois travailler deux fois plus, mais j'ai réussi à attirer une douzaine de nouveaux clients", confie un de ses vendeurs.
Autre signe d'un fossé grandissant entre petits et gros, la puissante et européenne galerie Hauser & Wirth, déjà installée à Zürich et à Londres, a ouvert en septembre un espace à New York, dans l'Upper East Side. "Tout le monde réduit les frais en ce moment, mais nous réfléchissons sur vingt ans", explique un des directeurs.
New York entretient néanmoins sa réputation, son pouvoir d'attraction et sa folle énergie. Pendant que beaucoup se lamentent, les projets continuent d'y fleurir. Surtout venant d'institutions qui continuent de trouver des fonds et du mécénat. Ainsi le prestigieux Whitney Museum, dévolu à l'art américain, souhaite ouvrir une nouvelle aile dans le Meatpack, au sud de Chelsea, et à l'orée de la High Line, inaugurée à l'été 2009 et qui est une ancienne voie ferrée transformée en promenade verte par les architectes Diller et Scofidio - elle devrait être prolongée en 2010.
De son côté, la Dia Art Foundation, qui joue un rôle primordial dans la conservation de chefs-d'oeuvre de l'art contemporain, comme la Spiral Jetty, joyau monumental du land art que Robert Smithson a imaginé au nord du lac Salé (Utah), projette de revenir à Chelsea cinq ans après y avoir renoncé. Mais son directeur, le Français Philippe Vergne, a annoncé "une architecture modeste", afin que l'essentiel de l'argent "soit dépensé pour les artistes". Pour l'instant, la Dia se contente de montrer de petites expositions dans les espaces de la Hispanic Society of America, au coeur du quartier d'Harlem.
Alors que Chelsea décline ou se renouvelle, un autre quartier de l'art s'affirme dans le bas de Manhattan : le Lower East Side, longtemps populaire, réservé aux nouveaux immigrants, entre l'East Village et Chinatown. On y trouve désormais des parkas à 20 dollars comme des escarpins à 500 dollars. Depuis la création du New Museum, il y a deux ans, dévolu à l'art contemporain, le quartier attire les galeries. Une vingtaine se sont installées depuis un an, dont les Zürcher, un couple de Français. Une cinquantaine de petites structures viennent s'accoler aux restaurants chinois et agences de voyage.
Un dernier lieu fait parler de lui, cette fois sur la très chic et chère Park Avenue : l'Armory. Ancien quartier général de la jeunesse dorée partant pour la guerre, ce magnifique bâtiment de la fin du XIXe siècle a été sauvé de la ruine par une association, pour en faire un lieu de culture. Elle a chargé les architectes suisses Herzog et de Meuron (la Tate Modern de Londres, c'est eux) de le restaurer. 40 millions de dollars ont déjà été investis. Opéra, théâtre et art contemporain trouvent leur place dans des salles superbes dessinées par Louis Comfort Tiffany, l'inventeur de l'Art nouveau américain.
En mai, le Français Christian Boltanski installera dans les 5 000 m2 de l'armurerie l'installation qu'il dévoile au Grand Palais, à Paris, à partir du 3 janvier. New York aurait-elle trouvé son grand palais ?
Une grande déception attend les visiteurs venus à la découverte de Brasilia. Les principaux monuments à l'origine de sa renommée, ne sont pas ouverts au public, ils sont même devenus parfois invisibles ! En raison du 50e anniversaire de la capitale du Brésil, renommée pour ses bâtiments futuristes et visionnaires, qui sera célébré le 21 avril 2010, des gros travaux ont été lancés, tous en même temps.
La cathédrale de Brasilia, dessinée par l'architecte Oscar Niemeyer.
L'élégante et arrondie cathédrale dessinée par Oscar Niemeyer, l'architecte des grandes oeuvres de cette ville planifiée, est dissimulée sous une bâche blanche, et des panneaux d'aluminium bloquent son accès souterrain par le couloir de marbre noir. Dix ans après le Jubilée de l'Eglise catholique, la cathédrale subit de nouveaux travaux. Cette fois, les vitraux de la Française Marianne Peretti doivent être remplacés ; certains viendront d'Allemagne.
Autre chantier, celui du palais du président du Brésil. Sur la place des Trois-Pouvoirs, le Planalto sans vitre, semble révéler son squelette. La fameuse rampe de marbre blanc, sur laquelle sont accueillis les chefs d'Etat étrangers, est dissimulée par des panneaux où s'exposent des photos en noir et blanc de la construction, entre 1957 et 1960.
Installé depuis plusieurs mois au Centre culturel de la Banque du Brésil voisin, le président Luiz Inácio Lula da Silva avait un jour confié travailler "dans une vraie favela". Le palais du Planalto n'avait jamais subi de rénovation : les fils et câbles couraient ou pendaient le long des murs de béton gris. Les travaux vont remédier à ce problème, et mettre le bureau du chef de l'Etat aux normes de sécurité.
Sur cette même place, le "panthéon de la patrie" est fermé au public depuis plusieurs mois, son périmètre étant présenté comme "dangereux". Malgré sa récente inauguration, en 1986, l'édifice en forme de colombe, perd son revêtement de marbre blanc.
La "pyramide aztèque" du Théâtre national a, elle, perdu les volumes de béton blanc des murs latéraux, créés par l'artiste Athos Bulcão. Les formes irrégulières ont été décrochées il y a deux ans, et pas encore replacées, "pour des problèmes bureaucratiques."
L'eau s'infiltre
Les bâtiments de Brasilia ont pour la plupart un air fatigué. "Cela s'explique par la rapidité de leur exécution, estime Alfredo Gastal, responsable de l'Institut du patrimoine historique (Iphan). La technologie du béton armé n'en était alors qu'à ses débuts, il y a eu des excès de barres de fer dans les structures, où l'eau s'infiltre et engendre la rouille."
Le manque d'entretien est flagrant, par exemple à l'Igrejinha, la chapelle dédiée à Fatima inaugurée en 1958. Des azulejos d'Athos Bulcão sont cassés, endommagés, salis par des tags.
Ajoutons que Brasilia est aujourd'hui un immense chantier de voirie : avec un nombre grandissant de véhicules (9 000 immatriculations nouvelles chaque mois), des avenues sont en train d'être élargies, sans résoudre les engorgements. "Les voitures risquent d'étouffer cette ville inscrite au Patrimoine mondial de l'Unesco", s'inquiète Alfredo Gastal.
Brasilia sera-t-elle en beauté pour souffler ses 50 bougies ? Rien n'est moins sûr. En plus du retard sur des chantiers, une crise politique paralyse l'administration de la capitale, à cause d'une affaire de corruption. Fin novembre, le gouverneur de la ville, José Roberto Arruda, a en effet été filmé en train de recevoir des paquets de billets de banque. Sa seule présence pourrait ternir les festivités.
Une toile de Modigliani, initialement signalée disparue, a été retrouvée dans la maison, selon le parquet de Toulon, qui a précisé que le vol était survenu entre mercredi et jeudi.
Le ou les auteurs se sont introduits dans la résidence après avoir fracturé une porte-fenêtre, a précisé une source proche de l'enquête. C'est le gardien qui a découvert le vol jeudi après-midi et donné l'alerte.
Le propriétaire, un Français en vacances en Suède au moment des faits, a été contacté pour confirmer l'authenticité des oeuvres dérobées et leur valeur. Il a regagné son domicile pour procéder à un inventaire de sa collection, qui permettra d'établir le montant exact du préjudice, a-t-on précisé au parquet.
La section recherches de la gendarmerie de Marseille et le groupement de gendarmerie du Var ont été saisis de l'enquête. L'Office central de lutte contre les trafics de biens culturels (OCBC) a également été informé.
Ce vol intervient après la disparition à Marseille d'un pastel d'Edgar Degas, intitulé "Les Choristes", prêté au musée Cantini par le musée d'Orsay le temps d'une exposition.
LIRE AUSSI :
» Un tableau de Degas dérobé à Marseille
Éric Biétry-Rivierre
18/02/2010 | Mise à jour : 18:39
Jusqu'au 9 mai au Palais des beaux-arts, 23 rue Ravenstein, 1000 Bruxelles. Tél. : + 32 (0) 2 507 82 00. www.bozar.be. Catalogue BAI, 195 p., 35 euros.
"Merci à tous des commentaires à l'égard de mes oeuvres , je vous annonce la naissance de l'Association marocaine régionale " Triangle d'Or " des Arts plastiques à Taza , certainement va s'élargir avec l'adhésion de de nouveaux membres de la région , n'hésitez pas à visiter ce site : http://www.triangledor.c.la à bientot"
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/05/21/belmadani-elmadani.html#c5069434
LOT 58:
Jean Cocteau. 1889 - 1963. Poète, cinéaste.
10 poèmes, ou brouillons écrit à l'encre noire, sur des ff. de format in-4, entre 1910 et 1912.
Tel que :
Art - Le Gynécée de Rouveyre : Déjà, monsieur Rouveyre sur les couvertures complaisantes d'un journal parisien persécuta d'une plume synthétique et farouche une femme célèbre et malheureuse. Cette fois, tordue en des spasmes sadiques, ouverte avec une exagération japonaise pour quelques baisé monstrueux... Au verso, Cocteau a dessiné à pleine page, un personnage, au crayon et à l'encre noire, ci-dessous.
... J'écoutai en pleurant quand tu disais des vers Et tu semblais debout avec tes bras ouverts Attendre ta lèvre au don d'une lèvre de fée.
... Moi qui tente aimer la solitude, en ces jours où l'adorable trouble est entrée dans mon coeur et dans le grand jardin, le repos sans rendez-vous fait battre encore les étranges suffocations de l'attente.
On joint :
3 brouillons mss. de poèmes
2 pp. mss. comportant un monogramme et un dessin avec la phrase suivante : Quand on a la veine d'avoir votre nom, on est tenu de posséder ce monogramme
1 p. mss. Lorsque s'ouvrit Sésame. Contes. Jean Cocteau. 1910
L'ensemble
Estimation : 1 200 / 1 500 €
Vente du Mardi 14 octobre 2008
Livres Modernes
Kahn-Dumousset - Paris
Philippe Viguié Desplaces (Figaroscope)
21/11/2008
2004 Netherlands Board of Tourism & Conventions
A l'approche des fêtes, Amsterdam propose cinq grandes expositions. A ne plus savoir où jeter les yeux.
L'exposition qui commence. C'est celle consacrée à caspard David Friedrich et aux paysages romantiques. Elle se tient dans le joli Musée de l'Ermitage, succursale de l'Ermitage de Saint-Petersbourg. Pour l'occasion, neuf tableaux du grand peintre romantique allemand ont quitté la Russie. Mis en perspective avec des contemporains, c'est un voyage passionnant dans l'oeuvre d'un peintre qui a souffert d'un rappochement avec le nationalisme allemand. Jusqu'au 17 janvier 2009.
L'exposition décoiffante. Au premier étage du Rijksmuseum, on pénètre en silence et par petits groupes dans une immense salle plongée dans l'obscurité. Au centre, posé sur un plot savamment éclairé dans une vitrine blindée, se trouve un crâne d'homme recouvert de 8 600 diamants. C'est l'oeuvre de Damien Hirst qui a aussi commenté dans la salle voisine 16 oeuvres choisies des collections. Jusqu'au 15 décembre.
L'exposition classique. Le Van Gogh Museum montre les plus belles acquisitions de la Fondation Rembrand, association de donateurs privés qui depuis cent vingt-cinq ans, achète des oeuvres majeures pour les musées hollandais. Cette exposition baptisée «125 Favourites» présente, entre autres merveilles, des oeuvres de Vermeer, Appel, Picasso, Matisse, Chagall... Jusqu'au 18 janvier.
L'exposition des chefs d'oeuvre. Les plus belles toiles de Rijksmuseum, en travaux, sont réunies dans une exposition sur le thème de l'âge dor hollandais installée dans l'aile Philips du Musée. On y voit La Ronde de nuit de Rembrandt, deux Vermeer, mais aussi de l'orfévrerie, du mobilier, des objets d'art... Plus de 500 pièces qui constituent le meilleur de la production hollandaise au XVIIème siècle. Jusqu'en 2012.
L'exposition à venir. «Feu sacré» a lieu dans la Nieuwe Kerk et traite de la spiritualité dans l'art moderne : Mondrian, Malevitch, Bacon, Gilbert and George... Du 13 décembre au 19 avril, elle se veut une des plus belles de la fin d'années.
Notre avis. Il est rare qu'une seule ville propose une offre culturelle aussi dense. Profitez-en. Et pourquoi pas en famille avec une offre Thalys très adaptée. Amsterdam fascine les enfants et les ados adoreront le mélange culture-shopping.
Comment y aller ? Avec Thalys qui let Amsterdam à 4 h 11 de la gare du Nord, 6 fois par jour. A partir de 25 € en confort 2 et 35 € en confort 1 (apéro et repas servis à la place). Nouveauté : le Wi-Fi permet de se connecter sur Internet durant tout le trajet. Tél. : 0892 35 35 36
Où dormir ? Le College Hotel, dans le quartier des musées est un ancien collège transformé en luxueux hôtel avec un fonctionnement original puisqu'il emploie en majorité des étudiants de l'école hôtelière d'Amsterdam. Deux avantages : un service enthousiaste et une pléthore de personnel... Pour 40 chambres, on compte 80 personnes. Le bar est fréquenté par une clientèle d'habitués, l'occasion de cotoyer des Hollandais. Le restaurant design est logé dans l'ancien gymnase avec une formule unique à trois plats pour 42 € ! (La nuit à partir de 250€). Tél. :00 31 20 57 11 511
Où déjeuner ? De Kas est une adresse très tendance un peu en dehors de la ville installée dans une ancienne serre. On y va en tram n° 93, Kamerlingh Onneslaan.
Où dîner ? Le Garage. Une adresse très branchée dans le quartier des musées : le restaurant est aménagé dans un ancien garage. Ruysdaelstraat 54, 56.
Plus d'info ? Retrouvez Amsterdam sur http://blog.lefigaro.fr/weekend
http://www.lefigaro.fr/scope/articles-week-end/2008/11/21/08009-20081121ARTFIG00733-du-cote-d-amsterdam-.php
François Taillandier
04/12/2008 | Mise à jour : 11:05 |
Républicain farouche, le caricaturiste Daumier ne cessa de moquer le bedonnant Louis-Philippe. Mais il fut aussi un visionnaire de son siècle,à l'égal de Balzac.
Fêtons pour son bicentenaire Honoré Daumier (1808-1879), qui trône en son siècle comme un roi. Roi, il le devint en défiant l'autre roi, le médiocre Louis-Philippe, qu'il représenta en poire, puis en Gargantua mangeur d'impôts, déféquant des prébendes et nominations pour sa clientèle politique. L'esprit de Rabelais se réincarnait ainsi dans ce républicain farouche. Les quelques mois de prison qu'il subit à cette occasion furent son sacre.
En 1835, le roi Poire interdit la caricature politique. Pour Daumier, dessinateur vedette du Charivari et autres feuilles contestataires, cet oukase fut une chance. Ne pouvant plus taper directement sur le monarque et ses ministres, il entreprit de dessiner les Français tels qu'ils étaient, bourgeois, artistes, hommes de loi, ouvriers… Il devint ainsi l'autre Honoré, le Balzac de la lithographie. Il contribua d'ailleurs à illustrer la grande édition de La Comédie humaine. Il multiplia les séries consacrées aux divers types sociaux. Ainsi disposons-nous pour la France du XIXe siècle de ce que les Bruegel nous donnèrent pour la Flandre du XVIe. Il est bien sûr le grand-père de tous les caricaturistes de presse. Pourtant, son œuvre ne se réduit pas à cela. Daumier est un visionnaire. Il y a chez lui la malice des chapiteaux médiévaux, la violence d'un Jacques Callot, la maestria souveraine des esquisses d'un Rembrandt ou d'un Rubens et toute la tradition de l'estampe populaire (très vivace sous la Révolution). Son art de la caricature emprunte aux grandes sources classiques. Avant de faire ses portraits charges, il réalise ces extraordinaires petits bustes polychromes qu'on peut voir au Musée d'Orsay. Il tord les formes, dramatise le mouvement.
Il y a en lui un sculpteur, un statuaire nerveux et puissant comme son compatriote Puget. Lorsque l'histoire s'en mêle, il atteint à la grandeur épique : l'homme mort du massacre de la rue Transnonain (1834) est un cri d'horreur à la Goya devant la répression. Mais ce moderne pourra aussi, en des satires amicales, figurer Nadar en ballon « élevant la photographie à la hauteur d'un art », ou Victor Hugo « répondant par des pensées sombres à des questions graves ». Le sourire ne perd jamais ses droits.
Très en avance sur son temps
On peut regretter le texte parfois trop savant et parfois trop elliptique de ce livre ; l'essentiel est qu'on y trouve toutes les facettes de son art, et les pistes multiples de son inspiration et de son influence. Baudelaire voyait en lui « un des hommes les plus importants pas seulement de la caricature, mais de l'art moderne ». Son œuvre de peintre compte des toiles très en avance sur son temps, Le Fardeau, Les Lutteurs, La Partie de dames. Les grands novateurs, les Manet, les Degas, ont médité cette œuvre. Les dessinateurs du début du XXe, les Capiello et les Steinlen, les George Grosz et les Félicien Rops, lui doivent tous quelque chose. Et probablement Flaubert ou Zola n'eussent pas été ce qu'ils sont sans la vision de Daumier, qui avait commencé en tant que saute-ruisseau chez un notaire. Exactement comme l'autre Honoré.
Daumier et la caricature de Ségolène Le Men Citadelles & Mazenod, 240 p., 69 €.
http://www.lefigaro.fr/livres/2008/12/04/03005-20081204ARTFIG00403-la-bete-noire-du-roi-poire-.php
Image:
Tiens bon peuple !
1862
Gravure
10 x 15 cm
Musée d'Orsay Paris
http://www.honore-daumier.com/
Toutes mes notes sur Daumier:
http://www.lauravanel-coytte.com/search/daumier
Chalet Oldenhorn, fusain sur papier, 103 x 137 cm, 2005 |
http://www.blancpain-artcontemporain.ch/artistes/amy_oneill/amy_oneill_02.htm
Pas cette toile-là mais ce genre de toile.
Récapitulatif de toutes mes notes sur ce voyage: http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/10/22/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-du-16-au-19-octobr.html#commentsde Patrick Neu à Castres le 16 octobre 2008
"Si la série des "Iris" paraît manifester une virtuosité figurative d'un autre âge, c'est bien parce que dans l'alchimique mélange des pigments, de l'eau et des fibres du papier, Patrick Neu dévoilé discrètement – avec une transparence pour ainsi dire : cristalline ! – une parenté secrète, une identité profonde de substances et d'activité entre l'aquarelle et la fleur… "
http://www.exporevue.com/magazine/fr/index_patrick_neu.html
Récapitulatif de toutes mes notes sur ce voyage: http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/10/22/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-du-16-au-19-octobr.html#comments
Les iris de mon jardin et des alentours
Si cette note ne vous intéresse pas ou si vous voulez en voir plus, vous pouvez aller voir :
1. Du nouveau dans ma bibliothèque Babelio(en haut de la colonne de droite) :
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/01/07/un-nouveau-livre-lu-sur-babelio.html#comments
2. Mes textes publiés:
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/01/09/mes-derniers-textes-publies-ici.html#comments
3. Dernier récapitulatif de mon avant-dernier voyage :
4. Mes notes publiées (hors photos et textes) :
5. Mes photos publiées:
6. Mes réponses à vos commentaires:
7. Des nouvelles de ma blogosphère :
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/03/des-nouvelles-de-ma-blogosphere.html#comments
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Alain Huck, Kuroi Ame, 2008. Fusain/papier. 250x368 cm
Courtesy Galerie Sollertis, Toulouse. © Alain Huck
Je n'ai pas vu cette toile mais c'est pour donner une idée...
«Etre ce que je suis, suivre ce qui sera, ce que vous êtes nous l'étions, ce que nous sommes vous le serez», répète l'artiste, un peu fataliste. Regardez sa forêt, suivez la ligne de fuite tracée au fusain et vous verrez apparaître dans le travail d'Alain Huck, le point de rencontre du songe et de la réalité. Au croisement du figuratif et de l'abstraction, l'esthétique géométrie de ses dessins semblent restituer le souvenir flou des rêves et cristallisé des instants perdus, une impression d'inachevé.
Entre les formes verticales, horizontales, végétales, banales, surgissent, pleins de nostalgie, des espaces vides à remplir d'imaginaire.
Entre gris clair et gris foncé, la lumière oscille d'un passé clair à un obscur futur. Elle capte le regard du visiteur, l'interroge sur sa manière de lire l'histoire, voir le quotidien, se représenter l'avenir. Antre d'un progrès technologique vers lequel Alain Huck suggère de ne pas aller sans hésiter, sans se méfier de l'éventualité de ses méfaits.
Visiteur : vas, vis et deviens un amateur d'art contemporain
http://www.paris-art.com/agenda/expos/d_annonce/zoom/16671/Alain-Huck-11926.html
Récapitulatif de toutes mes notes sur ce voyage: http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/10/22/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-du-16-au-19-octobr.html#commentshttp://www.smedieux.com/nouveautes.php
Récapitulatif de toutes mes notes sur ce voyage: http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/10/22/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-du-16-au-19-octobr.html#commentsLe musée Goya est un musée d'art hispanique unique en France. Sa collection de beaux-arts permet d'apprécier la création en Espagne, des Ibères à Picasso, autrement dit de l'Antiquité au XXe siècle.
COLLECTIONS : |
Statuettes ibères Francisco de Goya |
XIXe et XXe siècles impressionnistes et modernes : Beruete, Rusiñol, Sorolla, Zuloaga, Mallo, Bueno, Picasso... Service des publics au musée Goya Renseignements :
Catalogues des expositions : Catalogue des collections :
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http://www.ville-castres.fr/_tourisme_site//index.php?page=contenus/goya.html&titre=Musée%20Goya&id_menu=4&id_rubrique=0