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Rechercher : art brut

  • Art

    La Belgique veut lister les œuvres pillées par la France

     

    La Belgique veut lister les œuvres pillées par la France

    Nos voisins du Nord nous accusent d'avoir volé et gardé des objets d'art pendant la Première République, époque à laquelle la souveraineté française s'appliquait également au territoire belge.

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    Les toiles se font une toilette

     
    Les toiles se font une toilette

    Né à la Renaissance, le bain obsède les artistes du XIXe siècle avant d'être tourné en dérision par les plasticiennes féministes. Le Musée Marmottan Monet, à Paris, se jette à l'eau.

  • Art

    Fiac 2014 : un beau succès public

     

    Fiac 2014 : un beau succès public

    La 41e édition de la foire parisienne a connu une hausse de fréquentation par rapport à 2013, avec plus de 74.000 entrées.

    Le musée Picasso pris d'assaut lors de sa réouverture

     

    Le musée Picasso pris d'assaut lors de sa réouverture

    EN IMAGES Plusieurs milliers de personnes sont venus admirer les œuvres du maître espagnol pour la réouverture de son musée au grand public.

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    Suzanne Pagé : «Le public doit vivre une expérience émotionnelle»

     
    Suzanne Pagé : «Le public doit vivre une expérience émotionnelle»

    Après trente-trois ans au Musée d'art moderne de la Ville de Paris, elle est devenue, en 2006, la directrice artistique de la Fondation Louis Vuitton, qui ouvre aujourd'hui ses portes.

  • Art

    Anish Kapoor, roi à Versailles en 2015

     

    Anish Kapoor, roi à Versailles en 2015

    L'artiste anglo-indien qui avait attiré un public record avec son Monumenta au Grand Palais en 2011 prend la succession de Lee Ufan dans les jardins du Château. Après Koons, Murakami, Venet ou Penone, il est l'artiste très attendu de l'été 2015.

    La sculpture d'Arne Quinze fait grand bruit

     

    La sculpture d'Arne Quinze fait grand bruit

    LA CHRONIQUE DE VALÉRIE DUPONCHELLE- L'artiste belge explique la chute de son installation à Mons par un défaut de «nœud dans une des poutres porteuses».

  • Magazine Connaissance des Arts février 2015

     

    Signature : CDA - 22 janvier 2015
     
    Magazine Connaissance des Arts février 2015

    Au sommaire : spécial Portugal, les plus beaux azulejos portugais, les trésors de la Fondation Gulbenkian...

     

    Actualités
    Pourquoi ce numéro Spécial Portugal
    Portfolio
    Les azulejos en majesté
    L'Evénement
    Rapide panorama du Portugal des artistes
    Collection privée
    Le nouveau pôle de l'Art brut
    L'oeil de...
    Merci monsieur Gulbenkian !
    Architecture
    Cap sur l'Ecole de Porto
    Photographie
    Helena Almeida, le corps à l'épreuve
    Style
    Manuélin ou néo-Manuélin
    Enquête
    La beauté pure du design portugais
    Nouveau talent
    Victoria Wilomtte / David Claerbout / Fabien Verschaere

     

    7,90 €

  • La Grèce des modernes : l'impression d'un voyage, les artistes, les écrivains et la Grèce (1933-1968)

    medium_grece.jpg Exposition du 20 janvier 2007 au 22 avril 2007 Médiathèque Jean Lévy 32/34 rue Edouard Delesalle 59000 Lille Dans les années 1930, le visage de la Grèce se régénère. Les répercussions qui sont alors nombreuses entre arts décoratifs et arts plastiques, entre écriture et illustration, entre pittoresque et dépaysement ont forcé les artistes à repenser l’illustration des classiques et à définir une grécité qui échappe au classicisme et aux récupérations réactionnaires. Les principaux artistes modernes (Braque, Hayter, Laurens, Le Corbusier, Masson, Matisse, Picasso, Springer, Zadkine…) défendent et maintiennent une certaine image de la Grèce, éclairée ou vivante, complexe et solaire à travers l’illustration de textes fondateurs ou de véritables manifestes sur l’art de vivre et de penser un retour éclairé aux sources. L’exposition offre l’occasion d’appréhender un milieu éditorial marqué, pour différentes raisons, par la Grèce. Aux figures de Christian Zervos de la revue Cahiers d’art et de la galerie éponyme s’ajoute celle de Tériade, d’origine grecque également, directeur de la revue Verve et éditeurs de grands livres ou encore de Hercule Joannidès Zélateur discret de la revue le voyage en Grèce qui voulait « créer un lien entre la Grèce et ses voyageurs par l’intermédiaire des écrivains, des artistes et des savants contemporains ». L’exposition articulera livres illustrés, estampes originales et dessins mais aussi manuscrits enluminés et éditions rares conservés dans le fonds de la Bibliothèque Municipale de Lille afin de rendre perceptible, dans le temps, les différentes interprétations et d’éprouver la pérennité de cette référence au prisme de son actualisation et de ses instrumentalisations. Les sections seront toutes accompagnées par des revues (L’Esprit Nouveau, Cahiers d’art, Minotaure, Verve, Le Voyage en Grèce…) conçues comme un véritable« atelier » où s’élaborent autant l’esprit de la Grèce moderne que son imaginaire. Une importante documentation iconographique, photographique et littéraire sera également présentée dans leur relation avec l’estampe et l’image imprimée. Un catalogue de 160 pages / 120 illustrations en couleurs est édité par De Gourcuff à cette occasion. Visites guidées, colloque, conférences et activités pédagogiques seront proposés autour de l’exposition. L’exposition est co-réalisée par le Musée d’art moderne de Lille Métropole et la Bibliothèque Municipale de Lille dans le cadre de l’opération Feuille à Feuille. Estampe et images imprimées dans les collections des musées du Nord - Pas de Calais, labellisée exposition d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication, Direction des Musées de France. Entrée libre du mardi au samedi de 12h00 à 18h45 Ouverture exceptionnelle les dimanches 4 février, 4 mars, 1er et 22 avril de 14h00 à 18h45 Renseignements : Médiathèque Jean Lévy Tel : 03 20 15 97 20 Musée d’art moderne de Lille Métropole : http://www.mamlm.fr/ Url de référence : http://www.bm-lille.fr/bmlille/bmlille.php?rub=44 http://www.fabula.org/actualites/article17769.php

  • Un artiste à (re)découvrir:Sang d’encre - Théophile Bra, un illuminé romantique (1797-1863) au musée de la Vie Romantiqu

    medium_bra.jpg Exact contemporain d’Eugène Delacroix, Bra participa fortement de l’époque romantique par sa personnalité intransigeante et illuminée. Ces encres inconnues, sélectionnées parmi les quelques dix mille feuillets légués à sa ville natale démontrent une nature rebelle exaltée, opposée à tout académisme. Ce très singulier romantique, second Prix de Rome en 1818, reçut d’importantes commandes officielles sous la Restauration et la Monarchie de Juillet (Palais du Louvre et Arc de Triomphe, Versailles, statues d’églises, marbres et plâtres au musée de la Chartreuse à Douai...). Estimé des cercles intellectuels et savants, Bra, indépendant des milieux artistiques parisiens, fascina Balzac et George Sand. Outre L’Evangile rouge (1826-29), journal intime nourri de ses étranges visions du monde, de ses délires spirituels et de ses théories de l’art originales, ses manuscrits témoignent, pour reprendre les mots de Jacques de Caso, « d’un dérangement émotionnel à caractère mystique, » suscitant une ferveur créatrice prolifique et fébrile. Cultivant un graphisme compulsif qui griffe la feuille à l’encre de Chine, Bra développe des motifs complexes aux commentaires obscurs sur des concepts obsessionnels et des pensées tourmentées :Têtes de feu et autoportraits, hiéroglyphes, Être Suprême, chimères, taches et abstractions… Son inspiration fantastique évoque les univers habités de Goya, William Blake ou Victor Hugo. Son génie illuminé précède ainsi de manière prémonitoire certains dessins et poèmes automatiques des surréalistes. Exceptionnelle par son ampleur, cette manifestation sera une découverte magistrale pour tous les publics. Commissariat Daniel Marchesseau, directeur conservateur général du Patrimoine Jacques de Caso, commissaire invité professeur emeritus, Université de Berkeley, Usa. Musée de la Vie romantique Hôtel Scheffer-Renan 16 rue Chaptal - 75009 Paris tél. : 01 55 31 95 67 fax. : 01 48 74 28 42 Ouvert tous les jours, de 10h à 18h sauf les lundis et jours fériés Contact Presse Céline Poirier tél. : 01 55 31 95 63 celine.poirier@paris. http://www.paris.fr/portail/Culture/Portal.lut?page_id=144&document_type_id=2&document_id=24980&portlet_id=9873

  • Boushra Benyezza

    06a8f41747bfd52a3132bd2deab05788.jpgSource de l'image:http://www.galeriefrance.net/region/21/boushra1.php

    Benyezza Boushra réside à Montélimar (Drôme). Artiste accomplie, elle a eu comme maître plusieurs artistes de renom, tant en France qu'à l'étranger.
    Depuis plus de 10 ans maintenant, BOUSHRA réalise des ouvres plus qu'insolites: des tableaux de sable. Venant de tous les coins du monde, le sable plus ou moins fin, de différentes couleurs, de textures diverses permet une précision visuelle incroyable. La technique utilisée permet d'obtenir une grande précision dans le détail grâce à la finesse de certains sables et demande une grande patience et de la minutie.
    Les couleurs, quant à elles, sont pour la plupart obtenues en travaillant le sable pendant une durée dont elle a le secret. Ce procédé exclusif confère à BOUSHRA la possibilité de travailler avec ou sans modèles et elle possède à son actif plus de 300 réalisations... Elle a déjà participée à plus d'une vingtaine d'expositions.

    Source de l'article:http://www.galeriefrance.net/region/21/boushra1.php

  • Michel-Ange

    Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni, plus connu sous le nom de Michel-Ange (Caprese, au nord d'Arezzo en Toscane, le 6 mars 1475 et mort à Rome, le 18 février 1564), est un peintre, sculpteur, poète et architecte italien de la Renaissance

    Ses sculptures les plus connues incluent le David, la Pietà de la basilique Saint-Pierre dont il a également conçu le dôme, le tombeau de Jules II et notamment le Moïse. Pour la peinture, on retient le plafond de la chapelle Sixtine, le Jugement dernier au-dessus de l’autel, le Martyre de saint Pierre dans la chapelle Paolina du Vatican.

    sOURCE: Wikipedia

  • A New York, les galeries dépriment et guettent la reprise

    Il suffit de se promener à New York et de pousser les portes, pour constater que les dizaines de galeries qui y sont installées font le dos rond depuis plus d'un an. Partout, le niveau des ventes a chuté, et le prix des oeuvres a baissé.

    Ce sont les petites et moyennes galeries qui souffrent le plus, celles qui représentent les artistes les moins bankables - les moins connus par les spéculateurs. Durant les six premiers mois de 2009, environ vingt-cinq galeries auraient fermé. Certaines s'étaient pourtant fait une réputation en défendant des artistes émergents : Roebling Hall, Rivington Arms, Clementine, Bellwether...

    Certains lieux, comme la jeune galerie Smith-Steward, ont "évolué pour devenir un centre d'expositions sans adresse permanente", apprend-on. Objectif : ne pas disparaître et attendre de dénicher un loyer moins cher.

    Dans le quartier de Chelsea, à l'ouest de Manhattan, haut lieu des galeries de la ville, "le trafic piétonnier s'est remarquablement amoindri là où les foules se bousculaient l'année passée", remarque le New York Times. Les traders qui aimaient à s'offrir des pièces à 10 000 dollars ont déserté. Désormais, les affaires se font avec les collectionneurs les plus riches. Ceux encore capables de dire, comme le rapporte un galeriste : "J'ai perdu 7 milliards de dollars dans la crise, mais il me reste 200 millions, largement de quoi me refaire." Selon le Baer Faxt, site Internet qui observe le marché de l'art international, "les affaires se sont amoindries de 50 % à 80 %" dans les six premiers mois de l'année, ce qui est vertigineux.

    Les plus puissantes des galeries, comme Paula Cooper, Luhring Augustine ou Cheim & Read, parviennent cependant à tenir. Mais elles ont dû réduire drastiquement les coûts : licenciement d'une partie du personnel, pression accrue sur les vendeurs d'oeuvres (payés à la commission) ou évincement des artistes dont les ventes sont les plus faibles. La galerie 303 (303Gallery) se concentre désormais sur un seul espace à Chelsea, contre deux auparavant. Certains artistes doivent aussi payer les frais de production de leurs oeuvres, auparavant couverts par les galeries.

    Si ce n'est Charles Cowles, lieu trentenaire et spécialisé dans la photographie, aucune grosse machine n'a mis la clé sous la porte. Larry Gagosian, considéré comme le marchand le plus puissant au monde, installé dans trois espaces à New York, deux à Londres et un à Rome, a même annoncé qu'il doublerait sa surface en 2010, en s'installant à Los Angeles. "Je dois travailler deux fois plus, mais j'ai réussi à attirer une douzaine de nouveaux clients", confie un de ses vendeurs.

    Autre signe d'un fossé grandissant entre petits et gros, la puissante et européenne galerie Hauser & Wirth, déjà installée à Zürich et à Londres, a ouvert en septembre un espace à New York, dans l'Upper East Side. "Tout le monde réduit les frais en ce moment, mais nous réfléchissons sur vingt ans", explique un des directeurs.

    New York entretient néanmoins sa réputation, son pouvoir d'attraction et sa folle énergie. Pendant que beaucoup se lamentent, les projets continuent d'y fleurir. Surtout venant d'institutions qui continuent de trouver des fonds et du mécénat. Ainsi le prestigieux Whitney Museum, dévolu à l'art américain, souhaite ouvrir une nouvelle aile dans le Meatpack, au sud de Chelsea, et à l'orée de la High Line, inaugurée à l'été 2009 et qui est une ancienne voie ferrée transformée en promenade verte par les architectes Diller et Scofidio - elle devrait être prolongée en 2010.

    De son côté, la Dia Art Foundation, qui joue un rôle primordial dans la conservation de chefs-d'oeuvre de l'art contemporain, comme la Spiral Jetty, joyau monumental du land art que Robert Smithson a imaginé au nord du lac Salé (Utah), projette de revenir à Chelsea cinq ans après y avoir renoncé. Mais son directeur, le Français Philippe Vergne, a annoncé "une architecture modeste", afin que l'essentiel de l'argent "soit dépensé pour les artistes". Pour l'instant, la Dia se contente de montrer de petites expositions dans les espaces de la Hispanic Society of America, au coeur du quartier d'Harlem.

    Alors que Chelsea décline ou se renouvelle, un autre quartier de l'art s'affirme dans le bas de Manhattan : le Lower East Side, longtemps populaire, réservé aux nouveaux immigrants, entre l'East Village et Chinatown. On y trouve désormais des parkas à 20 dollars comme des escarpins à 500 dollars. Depuis la création du New Museum, il y a deux ans, dévolu à l'art contemporain, le quartier attire les galeries. Une vingtaine se sont installées depuis un an, dont les Zürcher, un couple de Français. Une cinquantaine de petites structures viennent s'accoler aux restaurants chinois et agences de voyage.

    Un dernier lieu fait parler de lui, cette fois sur la très chic et chère Park Avenue : l'Armory. Ancien quartier général de la jeunesse dorée partant pour la guerre, ce magnifique bâtiment de la fin du XIXe siècle a été sauvé de la ruine par une association, pour en faire un lieu de culture. Elle a chargé les architectes suisses Herzog et de Meuron (la Tate Modern de Londres, c'est eux) de le restaurer. 40 millions de dollars ont déjà été investis. Opéra, théâtre et art contemporain trouvent leur place dans des salles superbes dessinées par Louis Comfort Tiffany, l'inventeur de l'Art nouveau américain.

    En mai, le Français Christian Boltanski installera dans les 5 000 m2 de l'armurerie l'installation qu'il dévoile au Grand Palais, à Paris, à partir du 3 janvier. New York aurait-elle trouvé son grand palais ?

    Emmanuelle Lequeux
  • Les bâtiments novateurs de Brasilia sont fatigués

    brasilia.jpgUne grande déception attend les visiteurs venus à la découverte de Brasilia. Les principaux monuments à l'origine de sa renommée, ne sont pas ouverts au public, ils sont même devenus parfois invisibles ! En raison du 50e anniversaire de la capitale du Brésil, renommée pour ses bâtiments futuristes et visionnaires, qui sera célébré le 21 avril 2010, des gros travaux ont été lancés, tous en même temps.

    AFP/EVARISTO SA

    La cathédrale de Brasilia, dessinée par l'architecte Oscar Niemeyer.

    L'élégante et arrondie cathédrale dessinée par Oscar Niemeyer, l'architecte des grandes oeuvres de cette ville planifiée, est dissimulée sous une bâche blanche, et des panneaux d'aluminium bloquent son accès souterrain par le couloir de marbre noir. Dix ans après le Jubilée de l'Eglise catholique, la cathédrale subit de nouveaux travaux. Cette fois, les vitraux de la Française Marianne Peretti doivent être remplacés ; certains viendront d'Allemagne.

    Autre chantier, celui du palais du président du Brésil. Sur la place des Trois-Pouvoirs, le Planalto sans vitre, semble révéler son squelette. La fameuse rampe de marbre blanc, sur laquelle sont accueillis les chefs d'Etat étrangers, est dissimulée par des panneaux où s'exposent des photos en noir et blanc de la construction, entre 1957 et 1960.

    Installé depuis plusieurs mois au Centre culturel de la Banque du Brésil voisin, le président Luiz Inácio Lula da Silva avait un jour confié travailler "dans une vraie favela". Le palais du Planalto n'avait jamais subi de rénovation : les fils et câbles couraient ou pendaient le long des murs de béton gris. Les travaux vont remédier à ce problème, et mettre le bureau du chef de l'Etat aux normes de sécurité.

    Sur cette même place, le "panthéon de la patrie" est fermé au public depuis plusieurs mois, son périmètre étant présenté comme "dangereux". Malgré sa récente inauguration, en 1986, l'édifice en forme de colombe, perd son revêtement de marbre blanc.

    La "pyramide aztèque" du Théâtre national a, elle, perdu les volumes de béton blanc des murs latéraux, créés par l'artiste Athos Bulcão. Les formes irrégulières ont été décrochées il y a deux ans, et pas encore replacées, "pour des problèmes bureaucratiques."

    L'eau s'infiltre

    Les bâtiments de Brasilia ont pour la plupart un air fatigué. "Cela s'explique par la rapidité de leur exécution, estime Alfredo Gastal, responsable de l'Institut du patrimoine historique (Iphan). La technologie du béton armé n'en était alors qu'à ses débuts, il y a eu des excès de barres de fer dans les structures, où l'eau s'infiltre et engendre la rouille."

    Le manque d'entretien est flagrant, par exemple à l'Igrejinha, la chapelle dédiée à Fatima inaugurée en 1958. Des azulejos d'Athos Bulcão sont cassés, endommagés, salis par des tags.

    Ajoutons que Brasilia est aujourd'hui un immense chantier de voirie : avec un nombre grandissant de véhicules (9 000 immatriculations nouvelles chaque mois), des avenues sont en train d'être élargies, sans résoudre les engorgements. "Les voitures risquent d'étouffer cette ville inscrite au Patrimoine mondial de l'Unesco", s'inquiète Alfredo Gastal.

    Brasilia sera-t-elle en beauté pour souffler ses 50 bougies ? Rien n'est moins sûr. En plus du retard sur des chantiers, une crise politique paralyse l'administration de la capitale, à cause d'une affaire de corruption. Fin novembre, le gouverneur de la ville, José Roberto Arruda, a en effet été filmé en train de recevoir des paquets de billets de banque. Sa seule présence pourrait ternir les festivités.

    Annie Gasnier (Correspondance, Brasilia)

    http://www.lemonde.fr/culture/article/2009/12/31/les-batiments-novateurs-de-brasilia-sont-fatigues_1286312_3246.html

  • Tableaux de maîtres volés dans le Var

    AFP
    02/01/2010 | Mise à jour : 15:45
    |

    Une trentaine de tableaux de maîtres, parmi lesquels des Picasso et Rousseau, dont la valeur totale pourrait atteindre un million d'euros, ont été volés dans une propriété de La Cadière d'Azur (Var), a-t-on appris aujourd'hui de sources concordantes.

    Une toile de Modigliani, initialement signalée disparue, a été retrouvée dans la maison, selon le parquet de Toulon, qui a précisé que le vol était survenu entre mercredi et jeudi.
    Le ou les auteurs se sont introduits dans la résidence après avoir fracturé une porte-fenêtre, a précisé une source proche de l'enquête. C'est le gardien qui a découvert le vol jeudi après-midi et donné l'alerte.

    Le propriétaire, un Français en vacances en Suède au moment des faits, a été contacté pour confirmer l'authenticité des oeuvres dérobées et leur valeur. Il a regagné son domicile pour procéder à un inventaire de sa collection, qui permettra d'établir le montant exact du préjudice, a-t-on précisé au parquet.

    La section recherches de la gendarmerie de Marseille et le groupement de gendarmerie du Var ont été saisis de l'enquête. L'Office central de lutte contre les trafics de biens culturels (OCBC) a également été informé.

    Ce vol intervient après la disparition à Marseille d'un pastel d'Edgar Degas, intitulé "Les Choristes", prêté au musée Cantini par le musée d'Orsay le temps d'une exposition.

    LIRE AUSSI :
    » Un tableau de Degas dérobé à Marseille

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/01/02/01011-20100102FILWWW00483-une-trentaine-de-tableaux-de-maitres-voles-dans-le-var.php

  • J'aime les retours d'artistes sur mes notes

    belmadani.jpgBelmadani Elmadani :

    "Merci à tous des commentaires à l'égard de mes oeuvres , je vous annonce la naissance de l'Association marocaine régionale " Triangle d'Or " des Arts plastiques à Taza , certainement va s'élargir avec l'adhésion de de nouveaux membres de la région , n'hésitez pas à visiter ce site : http://www.triangledor.c.la à bientot"

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/05/21/belmadani-elmadani.html#c5069434

  • Jean Cocteau. 1889 - 1963. Poète, cinéaste. 10 poèmes, ou brouillons écrit…

    cocteau.jpg

    LOT 58:

    Jean Cocteau. 1889 - 1963. Poète, cinéaste.
    10 poèmes, ou brouillons écrit à l'encre noire, sur des ff. de format in-4, entre 1910 et 1912.

    Tel que :
    Art - Le Gynécée de Rouveyre : Déjà, monsieur Rouveyre sur les couvertures complaisantes d'un journal parisien persécuta d'une plume synthétique et farouche une femme célèbre et malheureuse. Cette fois, tordue en des spasmes sadiques, ouverte avec une exagération japonaise pour quelques baisé monstrueux... Au verso, Cocteau a dessiné à pleine page, un personnage, au crayon et à l'encre noire, ci-dessous.
    ... J'écoutai en pleurant quand tu disais des vers Et tu semblais debout avec tes bras ouverts Attendre ta lèvre au don d'une lèvre de fée.
    ... Moi qui tente aimer la solitude, en ces jours où l'adorable trouble est entrée dans mon coeur et dans le grand jardin, le repos sans rendez-vous fait battre encore les étranges suffocations de l'attente.

    On joint :
    3 brouillons mss. de poèmes
    2 pp. mss. comportant un monogramme et un dessin avec la phrase suivante : Quand on a la veine d'avoir votre nom, on est tenu de posséder ce monogramme
    1 p. mss. Lorsque s'ouvrit Sésame. Contes. Jean Cocteau. 1910

    L'ensemble

    Estimation : 1 200 / 1 500 €

    Vente du Mardi 14 octobre 2008

    Livres Modernes
    Kahn-Dumousset - Paris

    http://www.auction.fr/FR/vente_livres_autographes/v12273_kahn_dumousset/l1842683_jean_cocteau_1889_1963_poete_cineaste_10_poemes_ou_brouillons_ecrit_.html

  • Du côté d'Amsterdam

    amsterdam.jpgPhilippe Viguié Desplaces  (Figaroscope)
    21/11/2008

    2004 Netherlands Board of Tourism & Conventions
    A l'approche des fêtes, Amsterdam propose cinq grandes expositions. A ne plus savoir où jeter les yeux.
     
    L'exposition qui commence. C'est celle consacrée à caspard David Friedrich et aux paysages romantiques. Elle se tient dans le joli Musée de l'Ermitage, succursale de l'Ermitage de Saint-Petersbourg. Pour l'occasion, neuf tableaux du grand peintre romantique allemand ont quitté la Russie. Mis en perspective avec des contemporains, c'est un voyage passionnant dans l'oeuvre d'un peintre qui a souffert d'un rappochement avec le nationalisme allemand. Jusqu'au 17 janvier 2009.

     

    L'exposition décoiffante. Au premier étage du Rijksmuseum, on pénètre en silence et par petits groupes dans une immense salle plongée dans l'obscurité. Au centre, posé sur un plot savamment éclairé dans une vitrine blindée, se trouve un crâne d'homme recouvert de 8 600 diamants. C'est l'oeuvre de Damien Hirst qui a aussi commenté dans la salle voisine 16 oeuvres choisies des collections. Jusqu'au 15 décembre.

    L'exposition classique. Le Van Gogh Museum montre les plus belles acquisitions de la Fondation Rembrand, association de donateurs privés qui depuis cent vingt-cinq ans, achète des oeuvres majeures pour les musées hollandais. Cette exposition baptisée «125 Favourites» présente, entre autres merveilles, des oeuvres de Vermeer, Appel, Picasso, Matisse, Chagall... Jusqu'au 18 janvier.

    L'exposition des chefs d'oeuvre. Les plus belles toiles de Rijksmuseum, en travaux, sont réunies dans une exposition sur le thème de l'âge dor hollandais installée dans l'aile Philips du Musée. On y voit La Ronde de nuit de Rembrandt, deux Vermeer, mais aussi de l'orfévrerie, du mobilier, des objets d'art... Plus de 500 pièces qui constituent le meilleur de la production hollandaise au XVIIème siècle. Jusqu'en 2012.

    L'exposition à venir. «Feu sacré» a lieu dans la Nieuwe Kerk et traite de la spiritualité dans l'art moderne : Mondrian, Malevitch, Bacon, Gilbert and George... Du 13 décembre au 19 avril, elle se veut une des plus belles de la fin d'années.

    Notre avis. Il est rare qu'une seule ville propose une offre culturelle aussi dense. Profitez-en. Et pourquoi pas en famille avec une offre Thalys très adaptée. Amsterdam fascine les enfants et les ados adoreront le mélange culture-shopping.

      

    Carnet de Bord


    Comment y aller ?
    Avec Thalys qui let Amsterdam à 4 h 11 de la gare du Nord, 6 fois par jour. A partir de 25 € en confort 2 et 35 € en confort 1 (apéro et repas servis à la place). Nouveauté : le Wi-Fi permet de se connecter sur Internet durant tout le trajet. Tél. : 0892 35 35 36

     


    Crédits photo : Jochen Tack

    Où dormir ? Le College Hotel, dans le quartier des musées est un ancien collège transformé en luxueux hôtel avec un fonctionnement original puisqu'il emploie en majorité des étudiants de l'école hôtelière d'Amsterdam. Deux avantages : un service enthousiaste et une pléthore de personnel... Pour 40 chambres, on compte 80 personnes. Le bar est fréquenté par une clientèle d'habitués, l'occasion de cotoyer des Hollandais. Le restaurant design est logé dans l'ancien gymnase avec une formule unique à trois plats pour 42 € ! (La nuit à partir de 250€). Tél. :00 31 20 57 11 511

    Où déjeuner ? De Kas est une adresse très tendance un peu en dehors de la ville installée dans une ancienne serre. On y va en tram n° 93, Kamerlingh Onneslaan.

    Où dîner ? Le Garage. Une adresse très branchée dans le quartier des musées : le restaurant est aménagé dans un ancien garage. Ruysdaelstraat 54, 56.

    Plus d'info ? Retrouvez Amsterdam sur http://blog.lefigaro.fr/weekend

     

    http://www.lefigaro.fr/scope/articles-week-end/2008/11/21/08009-20081121ARTFIG00733-du-cote-d-amsterdam-.php

  • La bête noire du roi Poire

    tiensbonpeuple.jpgFrançois Taillandier
    04/12/2008 | Mise à jour : 11:05 |

    Républicain farouche, le caricaturiste Daumier ne cessa de moquer le bedonnant Louis-Philippe. Mais il fut aussi un visionnaire de son siècle,à l'égal de Balzac.

    Fêtons pour son bicentenaire Honoré Daumier (1808-1879), qui trône en son siècle comme un roi. Roi, il le devint en défiant l'autre roi, le médiocre Louis-Philippe, qu'il représenta en poire, puis en Gargantua mangeur d'impôts, déféquant des prébendes et nominations pour sa clientèle politique. L'esprit de Rabelais se réincarnait ainsi dans ce républicain farouche. Les quelques mois de prison qu'il subit à cette occasion furent son sacre.

    En 1835, le roi Poire interdit la caricature politique. Pour Daumier, dessinateur vedette du Charivari et autres feuilles contestataires, cet oukase fut une chance. Ne pouvant plus taper directement sur le monarque et ses ministres, il entreprit de dessiner les Français tels qu'ils étaient, bourgeois, artistes, hommes de loi, ouvriers… Il devint ainsi l'autre Honoré, le Balzac de la lithographie. Il contribua d'ailleurs à illustrer la grande édition de La Comédie humaine. Il multiplia les séries consacrées aux divers types sociaux. Ainsi disposons-nous pour la France du XIXe siècle de ce que les Bruegel nous donnèrent pour la Flandre du XVIe. Il est bien sûr le grand-père de tous les caricaturistes de presse. Pourtant, son œuvre ne se réduit pas à cela. Daumier est un visionnaire. Il y a chez lui la malice des chapiteaux médiévaux, la violence d'un Jacques Callot, la maestria souveraine des esquisses d'un Rembrandt ou d'un Rubens et toute la tradition de l'estampe populaire (très vivace sous la Révolution). Son art de la caricature emprunte aux grandes sources classiques. Avant de faire ses portraits charges, il réalise ces extraordinaires petits bustes polychromes qu'on peut voir au Musée d'Orsay. Il tord les formes, dramatise le mouvement.

    Il y a en lui un sculpteur, un statuaire nerveux et puissant comme son compatriote Puget. Lorsque l'histoire s'en mêle, il atteint à la grandeur épique : l'homme mort du massacre de la rue Transnonain (1834) est un cri d'horreur à la Goya devant la répression. Mais ce moderne pourra aussi, en des satires amicales, figurer Nadar en ballon « élevant la photographie à la hauteur d'un art », ou Victor Hugo « répondant par des pensées sombres à des questions graves ». Le sourire ne perd jamais ses droits.


    Très en avance sur son temps

    On peut regretter le texte parfois trop savant et parfois trop elliptique de ce livre ; l'essentiel est qu'on y trouve toutes les facettes de son art, et les pistes multiples de son inspiration et de son influence. Baudelaire voyait en lui « un des hommes les plus importants pas seulement de la caricature, mais de l'art moderne ». Son œuvre de peintre compte des toiles très en avance sur son temps, Le Fardeau, Les Lutteurs, La Partie de dames. Les grands novateurs, les Manet, les Degas, ont médité cette œuvre. Les dessinateurs du début du XXe, les Capiello et les Steinlen, les George Grosz et les Félicien Rops, lui doivent tous quelque chose. Et probablement Flaubert ou Zola n'eussent pas été ce qu'ils sont sans la vision de Daumier, qui avait commencé en tant que saute-ruisseau chez un notaire. Exactement comme l'autre Honoré.

    Daumier et la caricature de Ségolène Le Men Citadelles & Mazenod, 240 p., 69 €.

    http://www.lefigaro.fr/livres/2008/12/04/03005-20081204ARTFIG00403-la-bete-noire-du-roi-poire-.php

    Image:

    Tiens bon peuple !
    1862
    Gravure
    10 x 15 cm
    Musée d'Orsay Paris

    http://www.honore-daumier.com/

    Toutes mes notes sur Daumier:

    http://www.lauravanel-coytte.com/search/daumier

     

  • Les iris

    de Patrick Neu à Castres le 16 octobre 2008

    neu_fleur.jpg"Si la série des "Iris" paraît manifester une virtuosité figurative d'un autre âge, c'est bien parce que dans l'alchimique mélange des pigments, de l'eau et des fibres du papier, Patrick Neu dévoilé discrètement – avec une transparence pour ainsi dire : cristalline ! – une parenté secrète, une identité profonde de substances et d'activité entre l'aquarelle et la fleur… "

    Paul Guérin
    Strasbourg, juillet 2007

    http://www.exporevue.com/magazine/fr/index_patrick_neu.html

    Récapitulatif de toutes mes notes sur ce voyage: http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/10/22/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-du-16-au-19-octobr.html#comments

    22 avril 2009 001.jpgAvril 2009 001.jpgAvril 2009 002.jpgLes iris de mon jardin et des alentours

    Avril 2009 006.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    barrage avril 2009 021.jpget ceux de Van Gogh.

     

    Si cette note ne vous intéresse pas ou si vous voulez en voir plus, vous pouvez aller voir :

     

    1. Du nouveau dans ma bibliothèque Babelio(en haut de la colonne de droite) :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/01/07/un-nouveau-livre-lu-sur-babelio.html#comments

     

    2. Mes  textes publiés:

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/01/09/mes-derniers-textes-publies-ici.html#comments

     

    3. Dernier récapitulatif de mon avant-dernier voyage :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/10/recapitulatif-de-mon-voyage-a-paris-du-4-au-6-mars-2009.html#comments 

     

     

    4. Mes  notes publiées (hors photos et textes) :

     http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/01/mes-dernieres-notes-publiees-hors-photo-et-textes-perso.html

     

     

    5. Mes photos publiées:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/01/mes-dernieres-photos-publiees-de-la-plus-recente-a-la-plus-a.html

     

     

    6. Mes réponses à vos commentaires:

     

     http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/02/mes-dernieres-reponses-a-vos-commentaires.html#comments

     

    7. Des nouvelles de ma blogosphère :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/03/des-nouvelles-de-ma-blogosphere.html#comments

     

    Ces récapitulatifs sont là pour vous conduire à aller voir ailleurs sur ce blog et dans la blogosphère.

     

     

     

    Pour commander mes livres publiés  allez voir le haut de ce blog.

    Enfin, pour comprendre ce blog, allez voir le haut de ce blog et la colonne de droite.

     

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  • Alain Huck à Castres le 16 octobre 2008

    hunck-g-11640.jpgAlain Huck, Kuroi Ame, 2008. Fusain/papier. 250x368 cm


    Courtesy Galerie Sollertis, Toulouse. © Alain Huck

    Je n'ai pas vu cette toile mais c'est pour donner une idée...

    «Etre ce que je suis, suivre ce qui sera, ce que vous êtes nous l'étions, ce que nous sommes vous le serez», répète l'artiste, un peu fataliste. Regardez sa forêt, suivez la ligne de fuite tracée au fusain et vous verrez apparaître dans le travail d'Alain Huck, le point de rencontre du songe et de la réalité. Au croisement du figuratif et de l'abstraction, l'esthétique géométrie de ses dessins semblent restituer le souvenir flou des rêves et cristallisé des instants perdus, une impression d'inachevé.

    Entre les formes verticales, horizontales, végétales, banales, surgissent, pleins de nostalgie, des espaces vides à remplir d'imaginaire.

    Entre gris clair et gris foncé, la lumière oscille d'un passé clair à un obscur futur. Elle capte le regard du visiteur, l'interroge sur sa manière de lire l'histoire, voir le quotidien, se représenter l'avenir. Antre d'un progrès technologique vers lequel Alain Huck suggère de ne pas aller sans hésiter, sans se méfier de l'éventualité de ses méfaits. 

    Visiteur : vas, vis et deviens un amateur d'art contemporain

    http://www.paris-art.com/agenda/expos/d_annonce/zoom/16671/Alain-Huck-11926.html

    Récapitulatif de toutes mes notes sur ce voyage: http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/10/22/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-du-16-au-19-octobr.html#comments
  • J'ai (re-re)visité le Musée Goya à Castres

    goya1.jpgLe musée Goya est un musée d'art hispanique unique en France. Sa collection de beaux-arts permet d'apprécier la création en Espagne, des Ibères à Picasso, autrement dit de l'Antiquité au XXe siècle.

     

     

     

     COLLECTIONS :

    Statuettes ibères
    Primitifs des XVe et XVIe siècles : Reixach, Borassa, Mates, Maître de Viella, Macip ...
    XVIIe siècle
    Deux chefs-d'œuvre de Pacheco, maître de Velázquez :
    . Le Jugement dernier, 1611
    . Le Christ servi par les anges dans le désert, 1616
    Grands maîtres du Siècle d'Or : Velázquez, Murillo, Valdés Leal, Cano, Zurbarán, Ribera, etc.

    Francisco de Goya
    Trois œuvres majeures :
    . L'Autoportrait aux lunettes, v. 1800
    . Le portrait de Francisco del Mazo, 1815-1820
    . L'Assemblée de la Compagnie royale des Philippines dite : La Junte des Philippines, 1815
      Les quatre séries gravées :
    . Les Caprices, 1799
    . La Tauromachie, 1816
    . Les Désastres de la guerre, 1863
    . Les Disparates ou Les Proverbes, 1864

     

     

    XIXe et XXe siècles impressionnistes et modernes : Beruete, Rusiñol, Sorolla, Zuloaga, Mallo, Bueno, Picasso...
    Numismatique : belles pièces de monnaies espagnoles
    Armes : Donation Gayral (env. 400 pièces)

    Service des publics au musée Goya
    Temps libre : visites thématiques, conférences, initiation à l'histoire de l'art, stages, ateliers pour adultes et jeune public
    - Scolaires : programme d'activités d'éducation artistique

    Renseignements :
    Service des publics des musées de Castres
    05 63 71 59 23 - 05 63 17 59 28
    e.hamon@ville-castres.fr

     EDITIONS :

    Catalogues des expositions :
    - Sous le signe de Miró, 2003.
    - Obra maestras Españolas del Museo Goya, 2002.
    - Alexandre Dumas, le voyage en Espagne, 2001.
    - La musique et les arts figurés, 2000.
    - Castres et l’Édit de Nantes, 1998

    Catalogue des collections :
    - Inventaire général des collections du musée Goya, Tome I,
    - Peintures hispaniques, 2005
    - Le musée Goya, catalogue Paribas, 1997.

     

    http://www.ville-castres.fr/_tourisme_site//index.php?page=contenus/goya.html&titre=Musée%20Goya&id_menu=4&id_rubrique=0