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Rechercher : art brut

  • Mario Fortuny y Marsal au Musée Goya le 17 octobre 2008

    fortuny.jpgLa Bataille de Tétouan

    Fortuny y Marsal, Mariano (1838-1874), peintre espagnol de tableaux historiques et de scènes de genre qui subit l'influence de Meissonnier et de Goya.

    Fortuny étudia pendant quatre ans à l'académie de Barcelone où il reçut l'enseignement de Claudio Lorenzale y Sugranes. Lauréat du prix de Rome en 1857, il partit pour l'Italie où il approfondit ses connaissances. En 1860, le gouvernement de Barcelone le désigna comme peintre officiel de l'invasion espagnole au Maroc ; il en rapporta notamment l'un de ses chefs-d'œuvre, la Bataille de Tétouan, gigantesque fresque historique. La découverte de l'Orient influença grandement la première partie de son œuvre. Fortuny se rendit par la suite à Paris et travailla aux côtés de Gérôme avant de s'installer à Rome, où il demeura pour le restant de ses jours. Il se spécialisa dans la réalisation de scènes de genre et dans l'exécution de gravures à l'eau-forte et d'aquarelles. Ses tableaux furent caractérisés par un assemblage de petites touches donnant à la surface de l'œuvre un aspect frémissant. Son intérêt pour la restitution des nuances atmosphériques annonça les débuts du mouvement impressionniste. En outre, ses relations fructueuses avec le marchand d'art parisien Goupil lui assurèrent un succès international considérable et firent sa fortune. Parmi ses œuvres les plus significatives figurent la Vicaria (1870, musée d'Art moderne, Barcelone), la Course de taureaux (1870, musée du Prado, Madrid) et Madame Fortuny (1874, British Museum, Londres).

    En Italie et en Espagne, Fortuny exerça une très grande influence sur les artistes contemporains ; son œuvre fut ainsi copiée à de nombreuses reprises.

    Son fils, Mariano Fortuny y Madrazo (1871-1949), s'illustra, quant à lui, en tant que peintre et créateur de tissus.

    http://fr.encarta.msn.com/encyclopedia_741524745/Fortuny_y_Marsal_Mariano.html#81570554

    Récapitulatif de mes notes de voyage dans le Sud-Ouest: http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/10/22/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-du-16-au-19-octobr.html
  • Nous avons vu (et aimé puisque j'en parle ici) des photographies de Christophe Marlot le 8 novembre 2008

    lentement.jpgdans le hall de la Tourette à Tournon-sur-Rhône(07,Ardèche; jusqu'au 13 novembre 2008).

    Cette photo est celle de l'affiche et fait partie d'une série appelée "Lentement"

    Les étés se suivent ; pour beaucoup, gris, froids et humides ; moroses en général. A oublier rapidement, comme autant de parenthèses que l’on doit refermer au plus vite, en pensant déjà aux saisons suivantes.

    Si l’on peut … Car la conjoncture est défavorable. Car la mondialisation est en marche et les inégalités trop flagrantes. Là-bas, au bout du monde, tout comme ici ... Là-bas, en Chine, tout comme aux Etats-Unis, où, paraît-il, la crise fait des ravages …


    Le pays a un nouveau dirigeant que l’on voit partout - un peu trop sans doute - et qui s’essaye, vaille que vaille, à cautériser là où il y en a le plus grand besoin. Mais le cœur n’y est plus. La fiche de paie est demeurée identique depuis des années - quand elle n’a pas diminué, malgré les heures supplémentaires -, et le bas de laine a beaucoup rétréci ; chacun le constate et le déplore. Salaire coincé et chômage à la fin du trimestre, peut-être. Qui peut le dire ?

    Néanmoins, l’été est là, qui pointe son Soleil entre la fraîcheur et les averses ... Alors, il faut en profiter autant que possible. Ce qui est pris n'est plus à prendre. Les 35 heures - pour ce qu’il en reste -  ont cela de bon que l’on peut s’évader plus souvent. Oh ! S’évader … Pas bien loin, et pas bien longtemps … Faut pas se leurrer. Et sans faire d’extras, également. Sans se ruiner ... S'échapper juste un peu. Pour oublier les tracas et s’amuser au plus pressé.

    Une soirée entre amis. Un barbecue. Un week-end chez ton frère. Un samedi à la montagne. Quelle belle balade ! Tu te souviens ?
    Il pleut ... Le gazol à un Euro vingt l'an passé. Un cinquante cette année. Et la bagnole qui avale les départementales avec entrain ... Deux cent mille au compteur. On n’a pas de ronds pour la changer, mais on économisera un peu à partir de septembre. Le camping de ton oncle à Bergerac ... Une semaine à la mer avec les gosses … En août, ça n’a pas de prix.

    Des vacances à Arcachon, comme chaque année depuis … Depuis toujours. La même anisette, les mêmes glaçons dans le verre. La même disco qui braille tous les samedis soir … La même planche à voile. Le même sable doré … La même plage. C'est ça ou rien.

    Parfums discrets ; impressions fugaces ; petites rengaines d'été vite oubliées ... Derrière le papier photo, le milieu et le bas du pays ; de menus bonheurs et des plaisirs simples. Des heures passées à rien, les yeux rivés dans l’azur du début de saison. Le regard perdu dans le piqueté de la voûte étoilée, certains soirs plus chanceux que d’autres.  Des heures passées à rêver dans le gris d’un ciel d’été qui fuit trop vite et trop désespérément.

    Les mêmes photos que trente ans auparavant. Les mêmes couleurs qu’au milieu des années soixante-dix.

    Mais, désormais, Kevin surfe en wifi sous le parasol. Pas peur du vent. Pendant que Jennifer tchate frénétiquement, le portable en main. Forfait bloqué, évidemment. Tout va bien.


    Série de 54 photographies - 2007-2008 - 5 exemplaires numérotés + 2 épreuves d'artiste - Support glacé 320 gr, baryté à l'alumine  - Jet d'encres pigmentaires UltraChrome K3

    Christophe Marlot

    En voir plus sur son site:

    http://www.christophemarlot.net/lentement.html

    Il y a aussi une série appelée "Visare" en noir et blanc:

    "Une vision de la Roumanie, quelques semaines seulement avant l’entrée du pays dans le grand rêve européen."

    Christophe Marlot.

    Visa: rêver

    Visator: rêveur

    Vis: rêve

    Visare: rêverie

    J'ai noté ces quelques mots.

    Dans ces photos de la Roumanie, mon mari (et moi aussi)a retrouvé quelque(s) chose(s) du Maroc...

  • Picasso,1887

    picasso.jpgp.24 du Télérama hors-série, "Picasso et ses maîtres"

    "Le 30 octobre, naissance de Maria de la Concepcion Ruiz y Picasso,dite Conchita,seconde soeur du peintre. Victime de fortes fièvres à la fin de l'année 1894, elle morra de la diphtérie le 10 janvier 1895. Son père en restera profondément affecté. Pablo, qui l'adorait,aurait,selon la légende,fait le voeu d'arrêter la peinture si sa petite soeur survivait."

  • Ingres dessinateur

    Véronique Prat
    19/09/2008 | Mise à jour : 14:32 | .

    Dessins

    Musée de la Vie romantique,

    16, rue Chaptal, 75009 Paris

    (01.55.31.95.67).

    Jusqu'au 4 janvier 2009.

     
    Ingres vécut à peu près autant en Italie qu'à Paris et ne revint dans sa ville natale, Montauban, qu'à une seule occasion. Mais il lui légua près de 4 500 dessins qui font la gloire du musée municipal. Déjà sollicitée en 2006 pour la grande rétrospective consacrée au peintre par le Louvre, l'institution a consenti au musée de la Vie romantique, installé dans l'ancien atelier d'Ary Scheffer, un nouveau prêt d'une cinquantaine d'études commentées avec sagacité par l'écrivain Catherine Lépront. Ce n'est pas la première fois que le maître de la ligne pure, pour qui le dessin « était la probité de l'art », est ainsi livré au regard des littérateurs. Un Baudelaire jugeait son « libertinage sérieux et plein de conviction », un André Pieyre de Mandiargues le comparait au Robbe-Grillet de La Maison de rendez-vous pour sa façon de statufier les modèles féminins. Mais sans doute le regard d'une femme du XXIe siècle nous permettra-t-il de découvrir un autre « monsieur Ingres ».

    http://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2008/09/20/01006-20080920ARTFIG00077--ingres-dessinateur-.php

  • Picasso et le cirque

    picassoetlecirque.jpgLes liens que Picasso a entretenus avec le monde du cirque ont été très fréquents tout au long de sa carrière. Dans la Barcelone du tournant du XIXe siècle, Picasso va voir les cirques de passage dans la ville, bien qu'il ne reste aucune trace de ce moment dans son œuvre. Plus tard, les cirques ambulants des boulevards de Paris deviendront un lieu de rendez-vous habituel pour le jeune Picasso et ses amis lors de leurs premiers séjours dans cette ville. C'est à la fin de l'année 1904 et en 1905 que le cirque – le Medrano est un point de référence dans sa vie et dans son œuvre – s'érige le thème central de ses compositions de l'époque. L'artiste crée une scène fictive où des acrobates et des équilibristes – qui apparaisent déjà dans la tradition littéraire et picturale du romantisme pour symboliser la solitude et la souffrance humaine – jouent des rôles de la vie quotidienne, expriment leurs problèmes personnels, leur solitude et l'incompréhension à laquelle leurs sentiments sont en butte. Les scènes de famille où les saltimbanques et les arlequins deviennent les véritables protagonistes de cette période sont l'héritage des groupes familiaux qui ont leurs racines dans la période bleue. Ces compositions seront à l'origine d'un grand tableau auquel Picasso pensait depuis longtemps, La Famille de saltimbanques, réalisé en 1905. Comme le Minotaure le sera dans les années 1930, l'Arlequin devient l'alter ego de l'artiste. Ce personnage, qui renvoie aux personnages marginaux de la période bleue, sera le véritable héros de ce que l'on appelait la période rose.

    Pendant les années du cubisme, la famille d'Arlequin réapparaît de façon isolée dans un ensemble d'huiles réalisées en 1909. On la distingue en arrière-plan dans la nature morte Pains et compotier aux fruits sur une table. La disposition des éléments de ce tableau renvoie à une composition précédente, Carnaval au bistrot, dont les personnages font l'objet d'une métamorphose qui a pour résultat les différents éléments composant la nature morte en question. En 1915, Picasso effectue une série de recherches où il poursuit son analyse de la représentation d'Arlequin. Elle aboutissent au tableau Arlequin, propriété du Museum of Modern Art de New York, qu'accompagne toute une série d'aquarelles et qui, selon l'artiste lui-même, constitue le couronnement de son interprétation d'Arlequin. Ce genre d'exercice intensif se répétera deux ans plus tard à l'occasion de Parade, sa première et très audacieuse collaboration théâtrale. La recréation de la vie d'une baraque foraine sera prétexte à une série d'expérimentations plastiques. De cette façon, les acquis cubistes alterneront avec un naturalisme qui annonce le classicisme monumental qu'il développera au cours des années suivantes et où le personnage d'Arlequin continuera d'occuper une place centrale.

    A partir de 1920, le thème de Pierrot et Arlequin revient en force et, faisant le lien avec les personnages de 1917, on voit apparaître les deux grandes versions décisives des Trois musiciens – où l'artiste se représente à nouveau en Arlequin – qui constituent un splendie aboutissement des influences issues de son voyage en Italie.

    Les cinq magnifiques portraits monumentaux du peintre Jacint Salvadó, toujours représenté en Arlequin, réalisés en 1923, constituent une autre preuve de l'intérêt de Picasso pour la Commedia dell'Arte et de la trace qu'elle a laissée chez lui.

    Dans les années 1930, la personnalité du Minotaure, auquel l'artiste s'identifie au point d'en faire aussi son alter ego, supplante progressivement celle d'Arlequin pour finir par recueillir sa dépouille dans un dessin symbolique : La Dépouille du Minotaure en costume d'Arlequin.

    La trace du monde du cirque reste présente tout au long de sa vie. Dans ses dernières œuvres, le spectacle du cirque prend une importance particulière et l'artiste exorcise les numéros de cirque de sa jeunesse. Les amazones et les clowns resurgissent dans un exercice riche et varié où son œuvre défie l'inexorable fugacité de la vie. Picasso n'hésite pas à se laisser photographier à de nombreuses reprises sous les traits d'un clown, symbole de sa personnalité à la fois triste et héroïque. Ses amis photographes, David Douglas Duncan, André Villiers et Edward Quinn, nous en ont laissé de magnifiques témoignages.

    http://www.gianadda.ch/wq_pages/fr/expositions/picasso-et-le-cirque.php

  • ”L'art au XIX e siècle”(fini le 20)

    regnault.JPGp.8: "Les artistes néo-classiques ont comme idéal absolu la beauté, "la beauté lumineuse où puisèrent/leur seul remède au mal/les âmes nées au délire, âmes mortelles" (Ugo Foscolo, "A l'amie conalescente").

    Ci-contre, un des représentants du néo-classicisme:Jean-Baptiste Regnault, "Les Trois grâces"

    Ce tableau est la seule oeuvre célèbre de l'artiste qui peindra ce genre de peintures toute sa vie.

    Les Grâces sont des divinités mineures considérées comme les compagnes d'Aphrodite. Elles seraient les filles de Zeus et d'Eurynomé, la fille d'Océan et de Téthys. Le plus souvent au nombre de trois, les Grâces (en grec : charités - en latin : gratiae) personnifieront la beauté, la douceur et l'amitié. Elles serviront de thème à de nombreux artistes. Hésiode évoque une Grâce nommée Aglaia (l'éclatante) parfois retenue comme femme d'Héphaïstos à la place d'Aphrodite. Homère, dans "L'Iliade", l'appellera Charis. Il rapporte également la légende d'une Grâce, nommée Pasithéa, qui épousera Hypnos (le Sommeil), offerte par Héra. Cette dernière voulait endormir Zeus pour que les dieux puissent venir en aide aux Grecs.

    http://www.insecula.com/oeuvre/O0009733.html

  • Picasso à ses débuts

    picasso.jpgLes deux premiers dessins de Picasso réellement conçus pour la presse, parurent dans Joventut (Jeunesse), une autre revue catalane, fondée six mois après Pèl y Ploma. Cette publication, officiellement consacrée à " la Littérature, aux arts et aux sciences ", était en réalité davantage vouée à la défense de la cause catalane qu’aux arts plastiques. Joventut allait devenir la tribune des différents courants esthétiques européens. Picasso fut invité à illustrer deux poésies du poète Joan Oliva Bridgman. Le premier poème El Clam des verges (la Plainte des vierges) fut publié le 19 juillet 1900. Le texte exprimait la souffrance des jeunes filles en mal d’amour et leur désir d’émancipation pour échapper aux " lois abhorrées qui rendent esclaves ". La deuxième poésie, Ser o no ser (Être ou ne pas être), publiée le 16 août 1900, exhortait les artistes d’avant-garde à forger leur propre voie, loin du conformisme et des peurs engendrées par la grande aventure de la création. La collaboration de Picasso avec Joventut s’arrêta là.

    http://www.humanite.fr/PICASSO,230809

    Toutes mes notes "Picasso":

    http://www.lauravanel-coytte.com/search/picasso

  • Les périodes bleues et roses de Picasso

    saltimbanques.jpgLa période Bleue s'est étalée de 1900 à 1904. Picasso a effectué deux voyages à Paris entre 1900 et 1902, et s'y est établi en 1904. Il s'inspire des bas-fonds de Toulouse-Lautrec, qui sont pour lui misère et mélancolie, représentant ainsi le mal qui père sur le genre humain. Ainsi cette période correspond à un Picasso très pauvre et très soucieux et triste (notamment en raison du suicide de son ami le peintre Casagemas).

    Le bleu, ajouté aux visages émaciés et aux figures allongées, donne une note pathétique à ses oeuvres. Il a peint durant cette période des scènes de Paris sous son plus mauvais jour : des mendiants, des bohémiens, et des prostituées, sont les thèmes de ses oeuvres. La misère de ces personnages est encore accentuée par Picasso, qui utilise un bleu sombre et triste.
    Ex : la Grande chambre bleue, 1901
    En 1904, Picasso se fait de nouveaux amis, Apollinaire et Salomon, qui lui apportent un soutien moral important. De plus, il rencontre Fernande Olivier, qui sera sa première compagne à influencer le style, le thème et l'humeur de son oeuvre. Picasso s'égaye alors, cesse de peindre la misère, en bleu, et voit la vie sous un jour beaucoup plus agréable. C'est la période rose, qui durera deux ans (1905 et 1906).
    Pendant cette période, Picasso utilise une palette de roses et de rouges, couleurs beaucoup plus vives et gaies. Il peint des Saltimbanques, des acrobates, des arlequins...


    Ex : les Saltimbanques, 1905(ci-dessus)

    http://roland.tardieu.free.fr/Picasso/

  • Hier soir:vernissage de l'expo CQFD à l'espace Arts plastiques de Saint-Vallier

    AurelieCastella121560674434_gros.jpgAurélie Castella,artiste plasticienne

    Paysages I

    Impressions numériques sur bâche, 40 X 80 cm. 2004.

    Pour en savoir plus, allez voir son site dont j'ai extrait ces images:

    http://aureliecastella.vefblog.net/cat6/

    Florian Bonfillon, artiste plasticienflorian bonfillon.jpg

    PROCESS PAINTING 01

    Pour en savoir plus, allez-voir son site dont j'ai extrait ces images:

    http://fbonfillon.e-monsite.com/rubrique,process-painting,93164.html

    J'ai vu les 2 jeunes artistes, le maire de ma ville et des collègues de l'atelier d'écriture.

    CQFD

    Cette formule consacrée habituellement aux Sciences et Mathématiques, s'applique ici à une exposition d'art. Est-ce à dire que les artistes se doivent, durant cette monstration, de répondre de manière cartésienne à une question concrète ou métaphysique? Ou doit-on remettre en question notre savoir, nos connaissances et s'intéresser au sigle lui-même, en effet pourquoi cherchons-nous ce qu'il faut démontrer au lieu de ce qui fait défaut?

    c'est en tout cas ce que nous laisse présager le carton, qui nous présente un vide en son centre; A.Castella et F.Bonfillon cherchent-ils à combler ce vide par leurs créations, ou tentent-ils simplement de nous interroger à travers leur production sur notre relation au monde, au réel.

    (Extrait de la présentation de l'expo)

  • Des livres

    renaissance.jpg

    Deux façons diamétralement opposées d'évoquer la Renaissance.

    Collectionneurs | Zoom

    La couverture en marbre du livre le plus cher au monde, "Michelangelo. La dotta mano", réalisé par le groupe italien FMR, à New York, le 25 novembre 2008. | AP/BEBETO MATTHEWS
    Du marbre et de l'or pour l'ouvrage le plus cher du monde.
    http://www.lemonde.fr/web/sequence/0,2-3260,1-0,0.html

    D'autres notes "art":

    http://www.lauravanel-coytte.com/search/l'art

  • Le tour de l'Europe en dix grandes expositions

    18/12/2008 | Mise à jour : 11:00

    expo.jpgDe Moscou à Madrid, la sélection d'oeuvres du Figaro  à découvrir pendant les fêtes.

    L'Europe de la culture produit ces temps-ci de bien beaux fruits dans les grands musées. Les échanges ne cessent de s'intensifier pour des expositions originales, classiques ou contemporaines, où les pays se rencontrent. Les deux reines de France Catherine et Marie de Médicis célébrées à Florence, la Russie des tsars à Londres, les collections de Dresde à Saint-Pétersbourg, les peintres de Venise à Bâle… Que de croisements féconds !

    » Chez les Médicis à Florence

    » Copenhague s'ancre dans le réel

    » Un Rembrandt humaniste à Madrid

    » Serpent Cobra à Bruxelles

    » Blanche Russie à Londres

    » Trésors des Indes en Hollande

    » L'Autriche chérit son «Baiser»

    » Venise accoste en Suisse rhénane

    » Un siècle et demi de peinture allemande en Russie

    » Klee au cœur de l'Allemagne

    http://www.lefigaro.fr/culture/2008/12/18/03004-20081218ARTFIG00402-le-tour-de-l-europe-en-dix-grandes-expositions-.php

    D'autres notes "expo":

    http://www.lauravanel-coytte.com/search/expositions

  • La bible vue par les grands peintres(fini le 20)

    michel_ange_creation_l.jpgp.7: "L'Eglise est à l'origine de la fortune des sujets bibliques,puisqu'elle devait s'adresser à la vaste communauté de ses fidèles dans un langage compréhensible, à la portée de tout le monde en des temps où la plupart étaient incapables de lire les textes sacrés."

    Dans ma bibliothèque Babelio:

    http://www.babelio.com/livres/INCONNU-La-bible-vue-par-les-grands-peintres-I/103196

  • Expo vue lundi 28 avril:L'envers du motif (Frac Picardie) à Saint Quentin

    963134809.jpg

    Alighiero Boetti, Jean Dewasne, Maria Hahnenkamp, Hubert Kiecol, Annette Messager, Etienne Pressager, Guy Rombouts et Monika Droste, José Maria Sicilia, Peter Stämpfli, Craig Wood,
    exposition du 25 avril au 15 juin 2008
    Espace Saint-Jacques
    14 rue de la Sellerie 02100 Saint-Quentin
    tél. 03 23 06 93 71 fax 03 23 06 93 54

    ouverte du lundi au vendredi de13h00 à 18h00, le samedi de 14 h 00 à 18 h 00
    le dimanche de 15 h 00 à 18 h 00, sauf jours fériés, entrée libre

    journée portes ouvertes : jeudi 24 avril 2008 de10h00 à 17h30

    visites commentées à 15h00, samedi 17 mai 2008 et samedi 7 juin 2008
    entrée libre

    accueil des groupes scolaires et constitués par un animateur-conférencier sur rendez-vous en contactant l'Espace Saint-Jacques au 03 23 06 93 71

    contact : Pomme Legrand et Delphine Carré

    Image/ Etienne Pressager
    Une fin en soi, 1993
    Sans titre, Une fin en soi, 1993
    © droits réservés





    Des alphabets enluminés ou turbulents, des tapis et des ailes de papillons caressés par la lumière, des fleurs et des feuilles d'acanthes parsemées sur le papier, des réseaux géométriques subtilisés à des objets du quotidien, autant de regards et d'attitudes aux incidences différentes, propices à une interrogation renouvelée sur le motif.

    En rapport direct aux objets du quotidien identifiables d'après leurs motifs, Peter Stämpfli zoome sur le dessin des pneus pour en révéler la structure géométrique ; point par point, Craig Wood cerne les contours fantaisistes de blocs de désodorisants d'intérieur en neutralisant l'expressivité du dessin pour redéfinir les contours artificiels de la consommation de masse ; et Jean Dewasne conçoit une matrice qui entrelace des contours d'instruments de musique pour moduler un «corps musical» chromatique. Au sol, la trame du kilim d'Alighiero Boetti est l'aboutissement d'une des multiples combinaisons formelles issues d'une alternance paritaires de carrés noirs et
    blancs sur un damier.

    Maria Hanhnenkamp décline une série blanc sur blanc où le vide architectural et le motif ornemental de la feuille d'acanthe se relient par un ouvrage de couture. Tout en interrogeant la frontière entre cube blanc et motif décoratif, l'artiste dessine en creux une réflexion sur la représentation de la féminité.

    Pour José Maria Sicilia, la sensualité des couleurs ou le velouté de certaines surfaces révèlent les textures aussi délicates que celles des ailes de papillons, aussi impalpables que le suspens du temps ou de la lumière, aussi subtiles que le délitement d'une fleur. A contrario
    Hubert Kiecol fabrique des tampons de caoutchouc pour composer des champs de force contradictoires à partir de formes simples.

    A la faveur de l'imagination débridée d'Annette Messager, d'Etienne Pressager et de Guy Rombouts et Monika Droste, l'espace codifié de l'alphabet acquiert une saveur et un relief que seuls les mots suscitent d'ordinaire. Les vingt-six lettres se confrontent aux mots et aux illustrations, invectivent, servent la drôlerie et surtout rêvent de devenir «fin en soi».


    http://pedagogie.ac-amiens.fr/arts_plastiques/pages/7apamiens351.htm

  • Expo vue lundi 28 avril:LEÇONS DE CHOSES

    1320879953.gifDU 08/03/2008 au 18/05/2008Style : PeintureLieu : Musée des Papillons Eloge de la découverte et de la curiosité, éveil des sens... Il y a dans l’atmosphère des leçons de choses, le plaisir oublié pour l’observation minutieuse, le discernement et le goût du détail.Mes peintures sont des palimpsestes dans lesquels on entre par le biais de distorsions spatiales, d’inserts, de repentirs. Interroger le thème des leçons de choses c’est évoquer l’idée de “mémoire” mais jamais dans une posture nostalgique ou passéiste.Simplement en acceptant de placer ma peinture dans une histoire.Une histoire de l’école, de l’homme, de l’art.Delphine Leviste Tarif :Individuel : Tarifs en vigueurGRATUIT pour les moins de 6 ans et pour tous le premier dimanche du mois.Entrée libre le samedi 17 mai de 19h00 à 1h00 du matin à l’occasion de la Nuit des Musées.Groupe : Horaires : Ouvert du lundi au dimanche de 14h à 18hFermé le mardi. http://www.ville-saintquentin.fr/pages/popup/detail_e1.asp?id=113

  • Je viens d'admirer les dessins de ”Toulouse-Lautrec au cirque”

    par Edouard Julien dessin toulouse.jpgaux éditions Fernand Hazan dans la collection "Petite encyclopédie de l'art"

    Un de ces dessins ci-contre:

    Au Cirque : cheval et singe dressés, 1899, Craie noire, crayons de couleur et crayon noir sur papier, 43.5 x 25.5 cm

    http://www.toulouselautrec.free.fr/dessins/view.php?num=037.jpg

    qui rentre parfaitement dans ma catégorie:"La représentation des bohémiens dans l'art et la littérature":

    http://www.lauravanel-coytte.com/la_representation_des_bohemiens_art_et_litterature/

     

  • Nous avons assisté à notre 2 e vente aux enchères d'oeuvres d'art

    ici, arabes, iraniens et internationaux à la Compagnie Marocaine des Oeuvres et Objets d'Art(CMOOA)

    VOIR LE CATALOGUE EN PDF ICI:http://www.cmooa.com/catalogues/2008-03-29.pdf

    Cf. ci-dessous, et  dans une autre note, un des tableaux de la vente...

     

    Nom : Mohannad ORABI (Né en 1977)
    Artiste syrienne
    Description :

    Self Portrait, 2007

    Technique mixte sur toile

    Signée et datée en bas à gauche

    Mixed media on canvas

    Signed and dated lower left

    170 x 160 cm

    DH 35 000 / 38 000

    US$ 4,500 / 5,000

    http://www.cmooa.com/detailouver.php?ref=70&id=1887&nom=Mohannad%20ORABI%20(Né%20en%201977)

    282164545.jpg
  • Je viens de lire: Arts magazine de mars 2008

    985274935.jpget au sommaire du numéro d'avril(je ne sais pas si je le trouverais ici):

    La vie de l’art

    6 Actu

    Événements, débats, initiatives.

    10 Biz’art

    Tout ce qui nous a amusés ou énervés.

    12 La chronique du néophyte

    Un GPS pour Indiana Jones (notre reporter cobaye perdue au Louvre).

    16 On en parle

    Penck le primitif et Closky l’antipub.

    18 Secrets de fabrication

    George Rousse, explique comment il fait un rond avec une cabane de béton.

    20 Enquête

    L’armée de l’ombre de l’art contemporain.

    24 Shopping

    Stars du design, en version immaculée.

    À voir

    26 Barbier-Mueller

    Les fleurons du plus grand collectionneur d’arts premiers, exposés à Paris.

    36 Daumier

    Le dessinateur satiriste fait face à ses héritiers grâce à deux expos parisiennes.

    40 Odilon Redon

    Avignon rend hommage à l’énigmatique et inclassable artiste.

    42 Marie-Antoinette

    La reine mécène et ses goûts.

    44 Dans les galeries

    Notre choix pour avril.

    Dossier

    48 Quand les artistes créent des jardins

    Des délires de Niki de Saint Phalle aux lignes pures des paysagistes, le végétal se fait sculpture ou... tableau.

    L’art dans la vie

    64 Voyage

    Nos suggestions pour un week-end en Ombrie, l’autre berceau de la Renaissance.

    71 Métier d'art

    Le canut de Saint-Georges, à Lyon.

    74 Portfolio

    Bijoux d’artistes. Quand Calder, César ou Picasso jouaient aux joailliers.

    Comprendre

    80 Histoires de l’art

    Ça bouge, mais comment ? Un défi pour les artistes : donner l’illusion du mouvement.

    88 La chronique de Christian Monjou

    Le point de vue décalé de notre expert sur Francisco de Zurbarán.

    90 Architecture

    La tour vertigineuse de Malmö, en Suède. Un architecte, un style, un défi.

    92 Le coin du collectionneur

    Pourquoi s’inscrire à une artothèque ? Nos expertises gratuites

    94 Livres

    Les dernières sorties.

    L’agenda

    97 Le guide des meilleures expos du moment

     

    Et aussi

    4 De nous à vous… de vous à nous.

    Édito, invitations, rencontre, débats, courriers...

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    La science au secours de l’art. Enquêtez !

    http://www.artsmag.fr/article.php?menu=2&fichier=articles/23_sommaire.xml

  • Vu au Palais des Beaux-Arts de Lille le 5 mars 2008:L’Atelier de la Monnaie(commentaires réouverts)

    En 1956 à Lille, face aux contraintes formelles de l'enseignement officiel de l'école des Beaux-Arts, des étudiants s'organisent en groupe de contestation radicale. Roger Frézin, Pierre Olivier, Claude Vallois, Jean-Pierre Dutour, Jean Brisy, Jean Parsy et Lyse Oudoire sont les piliers d'un groupe nommé en 1957 'l' atelier de la Monnaie'. Le but de ces jeunes artistes qui veulent se libérer des contraintes académiques est de présenter aux Lillois la création contemporaine lors de manifestations publiques. Cette exposition au Palais des Beaux-Arts de Lille présentera une sélection des oeuvres exposées lors de ces événements interdisciplinaires et rencontres de plasticiens et de non plasticiens organisés entre 1957 et 1972. Environ 150 oeuvres, trois par père fondateur et une par artiste invité. Parmi ces invités d'honneur, nous trouvons des artistes de l'Ecole de Paris comme Balthus, des représentants de l'abstraction lyrique comme Alfred Manessier, de l'Art Informel (Jean Fautrier), des surréalistes, de l'Op Art, de la nouvelle figuration, et bien d'autres encore. A l'époque incompris du grand public et parfois de la critique, les artistes de la Monnaie avaient le courage de leurs opinions et ont fait de Lille pendant cette période un centre de présentation et de diffusion de l'art contemporain auquel l'exposition souhaite rendre hommage.

    1543437670.jpghttp://www.evene.fr/culture/agenda/l-atelier-de-la-monnaie-20966.php

    Cette exposition est maintenant finie.

    Regret: l'avoir vue à la fin de la visite du musée. Résultat: plus assez d'énergie physique(on pietine beaucoup dans les musées, faim(visite de 10h à 14h) et au bout d'un moment, je ne "vois plus rien". Etes-vous comme moi?

    Heureusement, j'ai le petit guide pour me remémorer l'expo et la poursuivre en pensée.