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Rechercher : château la coste

  • Vol spectaculaire au Château de Fontainebleau

    Logo LeJournaldesArts.fr
    L'actualité de l'art et de son marché le 1er mars 2015
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    *Le musée chinois
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    *Vol spectaculaire au Château de Fontainebleau
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    La couronne du roi de Siam a disparu, avec une quinzaine d'objets du cabinet chinois de l'impératrice Eugénie au château de Fontainebleau. La mauvaise nouvelle doit être officiellement annoncée bientôt par le président de l'établissement, Jean-François Hébert, et la ministre Fleur Pellerin.
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  • Château-Lagrange,sous influence japonaise

    Publié le 20/03/2014 par
    Château Lagrange, 30 ans d'influence japonaise
    Photo : Château Lagrange



    En savoir plus : http://avis-vin.lefigaro.fr/connaitre-deguster/o111126-chateau-lagrange-30-ans-d-influence-japonaise#ixzz2wgNXuyFl

    Le château Lagrange a été acheté en 1983 par le groupe nippon Suntory, le plus ancien fabricant et distributeur de boissons alcoolisées du Japon, qui en a fait une valeur sûre de Saint-Julien

    Le château Lagrange, dont le nom n’a rien à voir avec le célèbre mathématicien mais doit être beaucoup plus pragmatique en raison de l’existence d’une grange, est connu depuis le 17e siècle et même plus loin, en 1289 avec un ordre religieux qui possédait un hôpital sur la propriété. Il est situé à la limite ouest de Saint-Julien près du château Gruaud-Larose. Dès 1787, Thomas Jefferson l’avait classé sous le nom d’Arboete au rang de troisième cru. Le château a pris un essor significatif avec son achat en 1824 par le comte Charles Marie Tanneguy Duchâtel à John Lewis Brown qui possédait aussi Cantenac-Brown. Le comte qui allait devenir le ministre de l’intérieur entre 1840 et 1848 de Louis-Philippe après avoir été plusieurs fois ministre avant, a laissé la gestion quotidienne à son régisseur Gallos qui était aussi celui de Mouton-Rothschild.

    Avec l’aide de son efficace régisseur, le comte s’est lancé dans une politique d’achat des parcelles, il en a plus que doublé la surface, et surtout dans un assainissement général du vignoble en installant un drainage, ce qui s’est révélé très efficace ; il a aussi créé des installations techniques performantes. En 1855, le château a été classé au troisième niveau et Mouton-Rothschild premier des seconds crus. Au décès du comte en 1867, le château dépassait les 300 ha. La succession a été assurée brièvement par sa veuve puis son fils avant d’être vendu en 1875. La famille acheteuse de Muicy Louys a subi la terrible crise du phylloxera et le château s’est mis à péricliter. Les divers propriétaires ont vendu des parcelles, 32 ha à Jean-Eugène Borie en 1970, d’autres ont constitué Gloria d’Henri Martin.

    En 1983, la famille Cendoya qui possédait le château depuis 1925, l’a vendu au groupe japonais Suntory alors qu’il ne restait plus que 56 ha de plantés sur les 157 ha. Suntory est le plus ancien fabricant et distributeur de boissons alcoolisées au Japon (1899). Sur les conseils de Michel Delon du château Léoville-Las-Cases, est engagé un nouveau directeur, Marcel Ducasse. Le professeur Emile Peynaud est aussi intervenu pendant les six premières années. Marcel Ducasse a pris sa retraite en 2007 et il avait été remplacé par Bruno Eymard qui a géré le château jusqu’à fin 2013. Le nouveau directeur général est Mathieu Bordes.

    Une rénovation spectaculaire

    Sous l’impulsion de Marcel Ducasse, le groupe japonais s’est lancé dans une spectaculaire rénovation et le château a repris l'avance technologique qu’il avait au temps du comte Duchâtel. D’ailleurs un trieur optique est à l’œuvre depuis quatre millésimes et le château emploie en permanence plusieurs stagiaires de la Faculté d’œnologie de Bordeaux. De nouvelles cuves permettent de mieux affiner le parcellaire qui a été redécoupé. La qualité des vins a bondi de façon remarquable. Dès le millésime 1985, puis 1986, les vins qui étaient avant de piètre qualité, ont repris leur niveau comme la démontré la dégustation organisée début 2014 au château. Les 1989, 1990, 1995 et 1996 sont aussi de superbes jalons. Aujourd’hui, 115 ha sont plantés, l’encépagement qui a beaucoup évolué depuis 1983 est constitué de 65% de cabernet-sauvignon, 28% merlot et 7% de petit verdot. Le château produit, bon an, mal an, 300 000 bouteilles de grand vin et près de 500 000 bouteilles de second vin, créé pour la première fois en 1985, les Fiefs de Lagrange, et qui jouit d’une belle réputation. Le château produit aussi depuis 1997 un peu de vin blanc sur 4 ha, les Arums de Lagrange, avec 60% de sauvignon blanc, 30% de sémillon et 10% de muscadelle.

    Le vignoble, d’un seul tenant, est entièrement situé sur l’appellation Saint-Julien sur un plateau de graves de l’ère du Gunz qui sont parfaites pour le cabernet-sauvignon. Le vignoble qui était auparavant majoritairement planté en merlot, a été peu à peu rééquilibré. Le cabernet franc, toujours très mince dans ce type de terroir a été entièrement éliminé. Avec le réchauffement, le petit verdot qui comme son nom l‘indique avait toujours du mal à mûrir, a trouvé sa place. Les vendanges sont maintenant effectuées selon la division parcellaire, les vins sont vinifiés très classiquement et élevés en fût dont environ 60% sont neufs pour le grand vin, 20% pour le second vin et 80% pour le vin blanc.

    Les vins du château Lagrange sont d’une belle régularité, grand vin comme second vin. Les "petits" millésimes, s’ils sont moins denses, sont toujours bien réussis et les grands millésimes méritent une bonne dizaine d’années de garde pour trouver leur équilibre. Leur tenue dans le temps est superbe. En bref, le château Lagrange est une valeur sûre de Saint-Julien.

    Dégustation verticale de 1985 à 2012 : les commentaires de Bernard Burtschy



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  • Les Arts décoratifs à Marseille Château Borély

    19 février 2014

    À l’occasion de la réouverture, après rénovation, du musée Borély, Beaux arts éditions publie un hors-série exceptionnel sur ce chef-d’œuvre de l’architecture baroque et sur ces étonnantes collections.
    Réalisée au XVIIIe siècle par de riches négociants marseillais, les Borély, et aujourd’hui classée au registre des monuments historiques et labellisée "musée de France", la bastide Borély accueille les collections d’Arts
    décoratifs – mobiliers, textiles, céramiques et verres, arts graphiques et objets d’art – de faïence et de mode, du XVIIe siècle à l’époque contemporaine.
    Le musée des Arts décoratifs occupera une place unique au sein d’un espace cher aux Marseillais, qui auront le plaisir de retrouver un lieu témoignant de l’histoire patrimoniale.

     

    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-695-Les-Arts-decoratifs-a-Marseille.html

  • Le Château Colcombet ce matin(photos perso)

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    Le lycée(où je commencerais à travailler lundi), installé dans « le Château Colcombet », ancienne demeure bourgeoise du siècle dernier, offre une palette étendue de formations, de la 3ème à projet professionnel au BTS.

    http://www.lerenouveau.org/

    Au XIXe siècle, les industriels et négociants stéphanois ont bâti ou restauré des « châteaux » au Minois, la Mure, le Cluzel, la Réardière, Landuzière, le Bois des Soeurs, Cizeron.
     
    Le château du Minois ou château Colcombet, quant à lui, domine la Commune.
    Antoine Neyron, premier maire élu de Saint-Étienne en 1790, riche négociant stéphanois acquit ce domaine et entreprit la construction du château.
    Il fut achevé en 1804. Sa petite fille l’apporta en dot à André Thomas Colcombet en 1826. Celui-ci créa le parc avec une très grande variété d’arbres et arbustes. Une donation a été faite en 1984 au profit de la Commune. Il abrite le lycée privé hôtelier « le Renouveau » depuis 1995.
  • Château de Montauban(photos perso)

    arles 18 mai 2012 128.jpgarles 18 mai 2012 131.jpgarles 18 mai 2012 132.jpgarles 18 mai 2012 133.jpg

    C’est ici, au pied de ses moulins que Daudet venait retrouver la nature, rencontrer le berger jean Seguin, Peyré « tueur de loup » (pour avoir éliminé le dernier loup du pays).
    Une demeure cossue du XIXe siècle dans un merveilleux parc, en bordure est du village.
    Si, bon marcheur, vous y venez depuis le « Moulin de Daudet », vous coulerez doucement par un sentier pierreux, rencontrerez plusieurs moulins souvent bien fatigués et le chenal ancestral qui conduit au village une eau abondante, fraîche et limpide. La remontée sera plus dure, mais, faut ce qu’il faut !!

    Cette demeure célébrée dans la préface des “Lettres de mon Moulin”, fut avant tout un lieu de calme et de repos pour Alphonse Daudet : “Maison bénie, que de fois je suis venu là, me reprendre à la nature, me guérir de Paris et de ses fièvres...” Cette superbe bâtisse à façade à pignon de la fin du XVIIIème, début XIXème siècle, était la demeure de la famille Ambroy qui accueillit l’auteur lors de ses séjours en Provence.

    Daudet y faisait des séjours réguliers avec son épouse Julia à partir de 1863 à l'invitation de ses cousins, la famille Ambroy.
    Le château est propriété municipale, les visites sont payantes.

    http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=13038_3

  • Grimpette du 17 août 2008: Château de Crussol

    Crussol_2003-11-01_010.jpg

    Le château de Crussol est un château (maintenant en ruines) construit en pierres calcaires au début du XIIe siècle sur une hauteur dominant la vallée du Rhône, juste en face de Valence. Il est situé sur la commune de Saint-Péray dans le département de l'Ardèche.

     

    Sommaire

    Situation

    Posé sur la crête de la colline de Crussol, au bord d'une falaise de plus de 200 mètres de haut, le château domine Saint-Péray à l'Ouest, Guilherand-Granges et Valence à l'Est. Le site s'étend sur 3 hectares, il comprend la Villette, un ensemble composé d'une centaine de maisons, et le château lui-même au sommet de la colline, le tout ceinturé par des remparts encore bien visibles.

    Histoire

    La colline est occupée depuis l'époque romaine, où un temple est édifié. Un premier ensemble fortifié est construit au Sud pendant le Ve siècle mais abandonné quelques siècles plus tard pour le site actuel, situé au Nord. Le premier château fort, construit probablement au cours du Xe siècle, était une construction en bois. Après avoir brûlé, il est rebâti en pierre au XIIe siècle, par un seigneur nommé Gérald Bastet, afin de contrôler la voie de communication existante le long du Rhône.

    A la fin du XVe siècle, un mariage unit la famille Crussol à la famille Uzès. Le château est alors abandonné pour celui d'Uzès, plus confortable. Les guerres de religion lui redonnent un certain attrait puisqu'il est pris et incendié à plusieurs reprises par les différents belligérants. Il est définitivement rasé au cours du XVIIe siècle.

    Le 3 septembre 1855, un tir de mine dans la carrière située sous le château provoque la destruction d'une partie de l'édifice. Le site est classé Monument historique en 1927. En 1952, la foudre détruit une partie du donjon.

    Aujourd'hui

    La commune de Guilherand-Granges a acheté les ruines en 1984, mais le site est situé sur la commune de Saint-Péray. Le syndicat intercommunal regroupant ces deux communes et celle de Soyons travaille aujourd'hui à la réhabilitation du site. On peut voir aujourd'hui une belle avancée des travaux de rénovation.

    Galerie

    commons:Accueil

    Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Château de Crussol.

    Voir aussi

    Références

    • Michel Riou, l'Ardèche Editions Gérard Tisserand, 2000
    • Michel Riou et Michel Rissoan, "l'Ardèche Terre de Châteaux" Editeur : Les Vivaraises - La Fontaine de siloe, 2004
    • Robert Bornecque, Histoire de Valence et de sa région : Die-Crest, Editions Horvath, Roanne

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Crussol

    Cette note a été selectionnée par Lartino:

    http://www.lartino.fr/lauravanelcoytte/grimpette-17-aout-chateau-crussol-pa977.html

  • Je crois que c'est la première fois que je visite le château

    alors que je vais dans cette ville depuis 10 ans

    Le Château de Tarasconhttp://chateau.tarascon.fr/

    Découvrez les expositions du château

    J'ai aussi vu les expositions du château

    DEUX PROPOSITIONS CULTURELLES POUR TOUS LES PUBLICS

    Le Château de Tarascon propose tout au long de l'année un programme riche et varié d'expositions autour de deux thématiques.

     

     ACTE 1 - PATRIMOINE ET HISTOIRE

    Partez à la découverte de l'histoire du Château de Tarascon, de ses différents hôtes et de la richesse patrimoniale de ce monument d'exception, l'une des plus belles forteresses de France.

     

    EXPOSITION EN COURS :

    LES PRINCES D'ANJOU,  COMTES DE PROVENCE ET CHEVALIERS DES ARTS

    L'exposition présente la dynastie européenne des princes d'Anjou et les oeuvres des artistes Pietro da Milano, Nicolas Froment, Barthélémy d'Eyck, etc. illustrant l'importance de cette cour princière qui voulait égaler celle des rois de France et des ducs de Bourgogne. Une visite passionnante vous attend.

    VUES CROISEES, TARASCON-BEAUCAIRE

    L’exposition Vues croisées Tarascon-Beaucaire  a été réalisée en partenariat avec les associations Société d’Histoire Les Amis du Vieux Tarascon, Renaissance du Vieux Beaucaire et Mme et M. Sanchis, collectionneurs. Elle retrace l'histoire de la foire de Beaucaire et présente une collection inédite de gravures et des cartes postales autour du passage du Rhône entre Tarascon et Beaucaire.

     

     

    ACTE 2 - PATRIMOINE ET CREATION CONTEMPORAINE

    Explorez le château au fil des parcours d'art contemporain présentés dans les majestueux appartements des princes d'Anjou, côté ville. Ces expositions sont proposées dans le cadre du projet "Monument d'exception # Création contemporaine" qui favorise le dialogue entre un monument historique et les artistes contemporains.

     

    EXPOSITION EN COURS :

    Amandine Ys

    La Ville de Tarascon vous invite à découvrir les œuvres picturales d’Amandine Ys au travers d’une exposition inédite qui investit le salon d’apparat du roi René Ier, duc d’Anjou, prince mécène et chevalier des arts. Amandine YS dévoile ici son musée imaginaire fondé sur un dialogue permanent entre deux univers, symbolique et réel. Elle métamorphose les êtres et les choses : les figuiers tortueux deviennent des êtres christiques ; les portraits de ses amis, un hommage à l’humanité souffrante. Sa peinture porte en elle la trace de ceux qui ont résisté ; résisté aux vents contraires de l’Histoire, résisté aux passions. Amandine YS, artiste d’aujourd’hui, contribue à nourrir le dialogue entre le patrimoine et la création contemporaine, au service de tous les publics.

    http://chateau.tarascon.fr/d%C3%A9couvrir-expositions.html

  • Hors-série : Le Château de Cormatin

    Hors-série : Le Château de Cormatin

    Signature : CDA - 23 avril 2015
     
    Hors-série : Le Château de Cormatin

    Le Château de Cormatin, non loin de Cluny, en Bourgogne du sud, fut constuit par les marquis d’Huxelles, qui traduisirent par l’opulence de leur château leur réussite sociale.

     

    Si l'aspect général extérieur garde les traces des châteaux fortifiés, l'intérieur abrite le plus bel exemple en province de décor Louis XIII : 4 pièces ornées, des murs au plafond, de somptueux décors peints et sculptés, rare témoignage de l'esprit, de la culture et des habitudes de vie nobiliaire au début du XVIIe siècle.

     

  • Paysages sonores au château d'Avignon

     

    Signature : Myriam Boutoulle - 17 juillet 2014
     
    Arno Fabre, Cloche, 2012-2013, bronze, acier, chêne, électronique, 235 x 160 x 125 cm (©Arno Fabre)

    Arno Fabre, Cloche, 2012-2013, bronze, acier, chêne, électronique, 235 x 160 x 125 cm (©Arno Fabre).

     

     

    Depuis son classement au titre des Monuments historiques en 2003, le domaine départemental du château d’Avignon ouvre ses portes chaque été à un parcours d’art contemporain qui puise son inspiration dans l’histoire même du bâtiment.

    Autour de cette ancienne résidence de chasse dotée d'aménagements techniques novateurs à la fin du XIXe siècle se déploie une immense prairie cultivée de neuf hectares, des bâtiments annexes abritant un complexe hydraulique et un réseau savant de canaux d'irrigation. Dans ce parc à l'anglaise et dans les dépendances techniques du château, douze plasticiens et créateurs sonores ont été invités à travailler in situ. Imaginés en écho à l'esprit des lieux, leurs installations, objets, vidéos et performances « façonnent » la matière sonore dans cette manifestation intitulée « Domaine des murmures #1 », qui se poursuivra à l'été 2015. Les oeuvres réparties dans le domaine donnent à voir ou à entendre, éveillent les sens ou les perturbent, jouent sur l'étonnement ou l'illusion et invitent à prêter une oreille attentive à l'environnement. Ainsi les dispositifs d'écoute imaginés par Julien Clauss, Pierre-Laurent Cassière et Carole Rieussec placent le visiteur au coeur de « paysages sonores ». Configurés comme des espaces d'expériences à vivre, ils mettent l'accent sur la perception et la matérialité du son. Le premier artiste a installé un dispositif sur le toit du château d'eau diffusant des harmoniques en crescendo (Milieux continus). Le second a conçu un Schizophone, « casque de désorientation » qui révèle en stéréo une multitude de sons habituellement inaudibles. Quant à l'artiste électro-acoustique Carole Rieussec, elle invite le visiteur à une « déambulation sonore » dans le parc, équipé d'un casque diffusant une composition musicale inédite. Dans le même ordre d'idées, Marie Chéné et Pascal Messaoudi ont détourné l'audio-guide du château pour créer une fiction sonore accompagnant le visiteur dans son exploration des lieux : « Le texte d'un audio-guide est un texte qu'on écoute peu. On y cherche des informations, pas une émotion littéraire ou esthétique. Pourtant, si on le prend au mot, il se révèle d'une surprenante richesse. En remontant les mots de l'audio-guide dans un ordre différent, en jouant sur leurs différentes acceptions, on fait apparaître une version alternative qui était là, en germe, et qui éclaire différemment le lieu, change notre regard, introduit du jeu », explique Marie Chéné, qui identifie des corpus de mots avant de jouer avec leurs sonorités. Mais le parc du château transformé en domaine bruissant de murmures donne aussi à voir des sculptures sonores, telles Cloche d'Arno Fabre ou Sirène d'Emma Dusong. Pour compléter cet ensemble de créations récentes, le Centre national de création musicale de Marseille propose une installation du pionnier de la « peinture sonore » Knud Viktor et un programme de concerts et de performances, lors du week-end d'ouverture les 19 et 20 juillet.

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    Infos pratiques

     
    Le Domaine des murmures #1
     

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  • Paysages sonores au château d'Avignon

    Arno Fabre, Cloche, 2012-2013, bronze, acier, chêne, électronique, 235 x 160 x 125 cm (©Arno Fabre)

    Depuis son classement au titre des Monuments historiques en 2003, le domaine départemental du château d’Avignon ouvre ses portes chaque été à un parcours d’art contemporain qui puise son inspiration dans l’histoire même du bâtiment.

  • LE CHÂTEAU DE CHAUMONT-SUR-LOIRE

     





     

     

    Entretien avec l'architecte des B

    La forteresse de Chaumont sur Loire fut bâtie vers l’an 1000 pour surveiller la frontière entre les comtés de Blois et d’Anjou. En 1465, Louis XI fait brûler et raser le château qui sera reconstruit quelques années plus tard.
    Propriété de la famille d’Amboise durant 500 ans, c’est Charles II d’Amboise qui inaugure sa métamorphose en château d’agrément dans le style Renaissance. Le décor sculpté prend de l’importance et devient l’élément majeur des façades extérieures.

    En 1550, Catherine de Médicis acquiert le domaine, mais ne lance pas de grands chantiers sur le château, dont elle se sépare en 1560, au profit de Diane de Poitiers. L’ancienne favorite du roi met en œuvre les travaux qui lui confèrent sa physionomie actuelle, avec en particulier, l’achèvement des chemins de ronde du châtelet d'entrée et de la tour Saint-Nicolas.

    En 1750, Jacques-Donatien Leray ordonne la destruction de l’aile Nord et ouvre ainsi un point de vue unique sur la Loire. Il accueille le sculpteur italien Jean-Baptiste Nini. Le château présente aujourd’hui la plus belle collection au monde de médaillons « pièces uniques » de ce célèbre sculpteur.

    En 1875, Marie-Charlotte-Constance Say achète le château et se marie avec le prince Henri-Amédée de Broglie. Elle décore les pièces avec du mobilier Renaissance et supervise de nombreux travaux pour rendre la demeure digne des plus grandes réceptions. C’est l’architecte Paul-Ernest Sanson qui sera en charge de ce chantier. Ce dernier conçoit également les luxueuses écuries. Enfin, l’architecte Marcel Boille procède à l’édification de la ferme modèle du Domaine.

    Cédé à l’Etat en 1938 par la Princesse d'Orléans et Bourbon, le Domaine de Chaumont-sur-Loire est la propriété de la Région Centre depuis 2007 et Etablissement Public de Coopération Culturelle depuis janvier 2008.

    http://www.domaine-chaumont.fr/fr_chateau_chateau-chateau?scat=5a&expandable=2

  • Nous avons vu pendant notre séjour:Château de Madon

    Image illustrative de l'article Château de MadonLe château de Madon est situé sur la commune de Candé-sur-Beuvron, dans le département de Loir-et-Cher.

    Le monument fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 10 avril 1948[1].

    Le château actuel occupe l'emplacement d'une ancienne maison de plaisance des comtes de Blois. Cette propriété appartenait autrefois à l'abbaye de Saint-Lomer qui la reçut vers l'an 1000 d'un chevalier. Les abbés de Saint-Lomer en firent un lieu de repos et de divertissement. Le 26 octobre 1498, Louis XII y vint de Blois pour y être interrogé par un conseil ecclésiastique sur sa demande d'annulation de mariage avec Jeanne de Valois. En 1698, l'abbaye de Saint-Lomer fut rattachée à l'évêché de Blois et le lieu devint la maison de campagne des évêques de Blois. De 1468 à 1505, le château primitif qui avait souffert de la guerre de Cent ans, a été reconstruit. Le château actuel fut bâti vers 1770 par monseigneur de Termont, évêque de Blois. La construction se compose d'un corps de bâtiment principal avec deux ailes perpendiculaires sur la façade d'entrée. Une grande terrasse dont l'accès se fait par deux marches, précède le château. La façade postérieure, donnant sur le parc, est semblable à la façade d'entrée, les ailes en retour formant deux avant-corps en pavillon. Sur la gauche, un grand corps de bâtiment s'accole perpendiculairement le long du château (aile Louis XIII). En face de ce bâtiment se trouve un pavillon du XVIe siècle, remanié pour en faire une dépendance. Il s'agit du vestige de l'ancien château d'époque Louis XII. Une petite chapelle est située dans le parc, couverte en dôme, avec fronton demi circulaire. Cette chapelle est construite sur une source dite miraculeuse pour les yeux, qui court dans un bassin rond se trouvant dans une cave voûtée.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Madon

  • Le château des Brouillards à Montmartre(Pour Jos)

    medium_nerval.jpg




    En lisant la note de Jos sur les demeures abandonnées(http://www.lelivrophile.com/livroblog/index.php?2007/04/16/111-s), j'ai pensé à ce lieu nervalien:

    "Son logis est partout et nulle part : il se promène au Caire quand vous le croyez citoyen résidant au divan Lepelletier [rue Le Peletier], et si vous le poursuivez en Egypte, il s'est déjà perdu dans les brouillards de Londres."
    Le Corsaire-Satan, 19 octobre 1846.

    Par son goût du voyage et de la campagne et par le nombre de ses maîtresses, ce poète à la prose lumineuse est bien un romantique. Mais le distinguent de ses compagnons de la "bataille d’Hernani" sa réelle modestie, la modération de son engagement politique... et sa maladie. De la folie qui le frappe à partir de 1841 et dont il tiendra la chronique (ce qui en fera un héros des surréalistes à venir), il tirera des correspondances entre ce que nous vivons ici-bas et les mystères de l’au-delà.

    À la différence de Sand, Lamartine, Vigny et autres Hugo, il n’a jamais eu de maison. Toute sa vie, il poursuit de l’Oise à l’Orient, en passant par bien d’autres pays, la quête de son Eternel féminin et d’une mère jamais connue, dont il ne possèdera jamais ni portrait ni souvenir…

    Gérard Labrunie naît à Paris, 96 (aujourd’hui 168) rue Saint-Martin, le 22 mai 1808. Fin 1808, ses parents doivent s’installer en Allemagne-son père est médecin des armées de Napoléon.
    Gérard est mis en nourrice à Loisy, entre Ermenonville et Mortefontaine, région d’origine de sa mère où il empruntera son nom à un "clos Nerval". En 1810, sa mère décède. Il est confié à l’oncle de celle-ci, Antoine Boucher, qui habite à Mortefontaine une maison touchant le château (disparue depuis).

    À partir de 1814, il vit avec son père à Paris, tout en retrouvant Mortefontaine et le Valois l’été, jusqu’à la mort d’Antoine Boucher en 1820.
    Élève au lycée Charlemagne, il fait la connaissance de Théophile Gautier. Il compose des vers dès 13 ans. Il n’accrochera pas aux études de médecine que son père souhaite pour lui, mais traduit à 20 ans le Faust de Goethe. Cela lui doit une belle célébrité et il rencontre Hugo et d’autres romantiques, écrit des drames avec Dumas.

    Nerval est un fidèle observateur (et transcripteur pour les journaux) du Paris juste pré-haussmannien. Mais ses domiciles parisiens sont peu connus ou ont disparu. Il n’a guère habité que de pauvres masures, et le baron Haussmann en a rasé la plupart... Quelques indices cependant :
    avec Arsène Houssaye, il habite en 1834 impasse du Doyenné (qui se trouvait sur l’actuelle place du Carrousel, au coeur du Louvre) et vit une idylle sans issue avec l’actrice Jenny Colon. Avec elle comme avec d’autres avant et après, c’est l’histoire d’une rencontre ratée, d’un réel échappé pour un idéal qu’il ne trouvera jamais,
    en 1835, il est basé 5 rue des Beaux-Arts,
    il habite 14 rue de Navarin (9ème arrondissement) avec Théophile Gautier, en 1840-1841,
    entre 1841 et 1855, il effectue des séjours dans les maisons de santé des docteurs Blanche père et fils, à l’actuel 22 rue de Norvins (alors rue Traînée) à Montmartre, pour le père -maison remplacée aujourd’hui par un immeuble-, et à l’hôtel de Lamballe à Passy, pour le fils (aujourd’hui 17 rue d’Ankara),
    il habite en 1846 le Château des Brouillards à Montmartre, 13 allée des Brouillards, au bout de la rue Girardon,
    et, en 1848, 4 rue Saint-Thomas-du-Louvre (rue détruite en 1850 par le percement de la rue de Rivoli),
    en 1850, il habite 9 rue du Mail. Sentant la maladie le poursuivre, il se plonge dans l’écriture et essaie de retrouver les origines de ses obsessions (par exemple dans Sylvie, une des Filles du feu écrite en 52-53 après un séjour dans le Valois pendant l’été 52),
    le 30 janvier 1855, on le trouve pendu à une grille de la rue de la Vieille Lanterne. Sans doute parce que, par cette nuit où il fait moins dix-huit degrés, on lui a fermé la porte d’un asile pour vagabonds et une folle rage le prend... Sur ce lieu, d’après les recherches effectuées par les surréalistes dans l’entre deux-guerres, se trouverait maintenant la cage du souffleur du Théâtre de la Ville, place du Châtelet...
    d’autres adresses parisiennes du poète : 16 rue de Douai, 39 rue de La Rochefoucauld, rue Saint-Thomas-du-Louvre, rue Monthyon.

    Autres demeures de l’auteur

    Gérard de Nerval est un grand voyageur, toujours de l’encre et du papier à la main.
    Par exemple, après la mort de Jenny Colon, il embarque début 1843 pour un voyage d’une année en Orient. Nombreux sont les hôtels d’Orient et d’Europe qui l’hébergent, tel l’hôtel du Brochet, près du lac de Constance (Allemagne), en 1840.

    Plus près de nous, l’hôtel de la Sirène, au fond d’une cour sur la rue du Général Leclerc à Meaux (aujourd’hui transformé en appartements), l’a hébergé à plusieurs reprises.
    Non loin de là, Senlis, dont le poète était amoureux.

    Pour visiter le lieu

    Comme lieux nervaliens ouverts à la visite, il n’y a que les bois et étangs du Valois…

    À voir aux alentours

    Quelques traces littéraires autour de Mortefontaine...
    Rousseau à Ermenonville,
    Constant à Hérivaux (Luzarches),
    Dumas et Vigny à Valgenceuse,
    Daniel Boulanger et Louis Bromfield à Senlis.

    Et à Montmartre, sur la butte :

    Léon Bloy,
    Francis Carco et Roland Dorgelès,
    Alphonse Allais,
    Georges Courteline,
    Marcel Aymé,
    Pierre Mac Orlan,
    Max Jacob,
    Céline,
    ...

    Petite bibliographie

    Aurélia, Promenades et souvenirs, Lettres à Jenny, Pandora, et Les filles du feu, les chimères. Gérard de Nerval. Éditions Garnier-Flammarion, n° 250 et 44.
    Balade en Oise sur les pas des écrivains. Marie-Noëlle Craissati. Éditions Alexandrines.
    Gérard de Nerval. Claude Pichois et Michel Brix. Éditions Fayard, 1995.
    Paris des écrivains. Sous la direction de Laure Murat. Editions du Chêne, 1997.
    Dans les hameaux de "Sylvie". Article de Robert Coiplet dans Demeures inspirées et sites romanesques, tome II, Éditions de l’Illustration.


    http://www.terresdecrivains.com/Gerard-de-NERVAL.html

  • Le Château d'Auvers-sur-Oise

    Le château d’Auvers-sur-Oise


     

     

     

    à travers les âges

    9.00 € TTC

     
    21 mai 2014

    Construit en 1635 par Zanobi Liobi, financier italien, le château d’Auvers-sur- Oise n’a eu de cesse de passer de mains en mains jusqu’à son rachat par le conseil général du Val-d’Oise en 1987. À l’origine édifiée dans un style architectural caractéristique de l’Italie du XVIIe siècle, la propriété fut réaménagée en 1662 pour devenir un château de facture française. Mais c’est au XVIIIe siècle qu’il subit une transformation totale : seule la façade nord de style Louis XIII est d’origine, désormais accompagnée de deux pavillons. De la fin du XVIIe au XXe siècle, le château ne fut habité qu’occasionnellement. Lors de son rachat par le département, il fut entièrement restauré dans l’optique d’accueillir les visiteurs à l’occasion de diverses expositions. Depuis 1994, les murs du château accueillent un parcours multimédia, « Voyage au temps des impressionnistes », présentant plus de 500 œuvres au moyen d’effets spéciaux sonores et visuels, d’écrans géants et de bornes tactiles. Tout au long d’un parcours de 12 salles, le public peut ainsi s’immerger dans le monde des impressionnistes, du Paris haussmannien à l’arrivée du chemin de fer, découvrant ainsi le monde artistique et le mode de vie des Français du XIXe siècle.
    Avec ce hors-série, Beaux Arts éditions se concentre sur l’historique de la demeure avant de présenter le parcours dédié à la société du temps des impressionnistes, offrant au lecteur une iconographie détaillée.

    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-827-Le-Chateau-d-Auvers-sur-Oise.html

  • Musée de Normandie-Château de Caen

    Carte du châteauAchetez

    Le château de Caen

    La ville de Caen est née de la volonté de Guillaume, duc de Normandie, à la veille de la conquête de l'Angleterre. À Caen, le duc a fait construire deux abbayes et son puissant château. La forteresse témoigne encore de tous les siècles d'une histoire commencée dans la grande épopée de Guillaume le Conquérant.

    Construit vers 1060 par Guillaume le Conquérant, le château ducal est devenu une résidence favorite des ducs de Normandie, rois d'Angleterre qui lui ont donné l'ampleur d'une des plus vastes enceintes fortifiées d'Europe.
    A travers les siècles, le château de Caen s'est transformé en forteresse royale puis en caserne de conscrits : chaque période de son histoire a laissé autant d'indices semés au fil du temps. Ce passé prestigieux se laisse découvrir depuis les remparts restaurés dominant le palais des ducs de Normandie et les vestiges du  donjon ; il se révèle dans la visite des monuments abrités derrière les murailles.
    Passées les portes fortifiées et leurs impressionnantes barbacanes, on pénètre désormais dans "l'enceinte des musées" - Musée de Normandie, Musée des Beaux-Arts - espace d'expositions, de spectacles, de découvertes et de détente.
     

    Caen Castle is one of the biggest medieval enclosures in Europe. The palace of William the Conqueror, royal fortress and then infantry barracks, each century of its history has left so many marks over the passage of time, from the restored ramparts overlooking the keep, the Exchequer’s Hall,St George’s church or the Governor’s Lodge… Once you pass through the gates with their impressive defences, you enter the museum area with its hall for exhibitions, events, exploration and relaxation.

     
    Agenda  :
    Murder Party au château, spéciale étudiant(e)s : 4 octobre 2018 à 18h30 + d'infos
    Escape Game "L’adoubement sous Henri Ier Beauclerc" : dim. 25 novembre 2018 et 3 mars 2019 + d'infos
    Musée de Normandie : www.musee-de-normandie.fr
    Musée des Beaux-Arts : www.mba.caen.fr

    mes livres par les bannières sur ce blog

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    Le Musée de Normandie est un des musées municipaux de la Ville de Caen, créé en 1946 et ouvert au public en 1963. Musée d'histoire et de société, riche d'importantes collections archéologiques et ethnographiques, le Musée de Normandie présente un panorama de la vie des populations sur le territoire de toute la Normandie, de la préhistoire aux grandes migrations du haut moyen âge, des mutations de l'espace rural jusqu'aux premiers bouleversements de la société industrielle.

     

    Des premiers feux aux premiers monuments, des Gaulois aux Romains, des royaumes francs aux pirates saxons… la grande histoire de la formation d'un territoire précède l'évocation plus paisible des paysages et de l'habitat, de l'artisanat et des techniques, des costumes et des coutumes… Le Musée donne à voir et à comprendre, au fil du temps, les objets et pratiques du quotidien comme les chefs-d'œuvre des arts et traditions populaires.

     

    Les collections permanentes se déploient dans les salles de l'ancien Logis des Gouverneurs du Château de Caen dans une scénographie conçue pour une visite libre et un riche programme d'activités à destination de tous les publics : visites commentées, parcours-découvertes, ateliers pédagogiques, animations et spectacles.

    Les expositions temporaires consacrées à l'histoire normande, aux régions d'Europe, aux évolutions de la société et des modes de vie… sont accueillies dans les Salles du Rempart au cœur des vestiges archéologiques mis en scène dans une architecture innovante et respectueuse des traces du passé.

    Dans les coulisses du Musée, le centre de documentation, accessible à tous, le laboratoire de restauration et les riches réserves contribuent à la conservation, à l'enrichissement des collections et au renouvellement constant des présentations.

    http://musee-de-normandie.caen.fr/qui-sommes-nous

  • Nous avons vu hier: le Château d'Hyères

    Image illustrative de l’article Château d'Hyères

    Le château d'Hyères est un château médiéval en ruine qui se situe au sommet de la colline du Castéou (198 m), un des sommets des Maurettes, dominant la ville de Hyères, dans le département du Var. Les vestiges du château sont classés monuments historiques par liste de 1862 ; le rempart et le vieux château sont inscrits depuis le 27 janvier 19261.

    La devise du château, Arearum Castrum (le château de l'aire) est gravée dans l'entrée du château. La ville était d'ailleurs appelée par ce nom au début du Moyen Âge2.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_d%27Hy%C3%A8res