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Rechercher : musée d'art moderne de st etienne

  • Peut-être lors d'un prochain séjour dans le Nord:LE MUSEE D'ART MODERNE LILLE METROPOLE

    176146082.jpg

    Vue du chantier du Musée. Photo : Max Lerouge / LMCU
    Inauguré le 13 novembre 1983 et situé dans un vaste parc, le Musée d’art moderne a été conçu par l’architecte Roland Simounet pour abriter la prestigieuse donation faite par Geneviève et Jean Masurel à la Communauté Urbaine de Lille en 1979.
    La plupart des grands artistes d’avant-garde ayant vécu en France dans la première moitié du XXe siècle y sont représentés. La collection comporte notamment des chefs-d’oeuvre cubistes de Georges Braque, Henri Laurens, Pablo Picasso ainsi que des ensembles de référence d’oeuvres de Fernand Léger, Joan Miró et Amédéo Modigliani.
    Le Fauvisme, le Surréalisme, l’École de Montparnasse, l’École de Paris, l’Art Naïf et les artistes du Nord de la France y sont également représentés.
    Depuis son ouverture, le musée constitue une collection d’art contemporain rassemblant des oeuvres d’artistes français et étrangers.

    Le Musée d'art moderne Lille Métropole a fermé ses portes pour des travaux d'extension et de modernisation le  29 janvier 2006. Une extension conçue par l'architecte Manuelle Gautrand permettra de présenter en permanence, à l'automne 2009, la collection d'art brut donnée en 1999 par l'association L'Aracine à la Communauté urbaine de Lille. Le Musée bénéficiera, dans sa configuration nouvelle, de vastes salles d'exposition temporaire, continuant ainsi à proposer de expositions d'envergure consacrées à l'art moderne, l'art contemporain et l'art brut. La bilbliothèque Dominique Bozo sera agrandie et restructurée. À sa réouverture, le Musée sera le seul, sur un plan international, à proposer au public l'accès à une prestigieuse collection d'art moderne, à un ensemble d'art contemporain de référence ainsi qu'à une collection d'art brut sans égal en France.
    Durant sa fermeture le Musée propose un programme d'expositions temporaires et d'activités pédagogiques et culturelles.

     QUELQUES NOUVELLES DES COLLECTIONS

     ACTUALITES DES ACTIVITES CULTURELLES

     EXPOSITIONS HORS LES MURS

     Diaporama : LE WEEK-END DE CLÔTURE

      DEVENEZ PARTENAIRE DU MUSEE

    http://mam.cudl-lille.fr/mam.php

    Le pire c'est que j'ai habité pendant 4 ans pas très loin et que je n'y suis jamais allée. Honte sur moi! Mais je ne suis pas la seule dans ce cas, je crois?...

  • Expositions en cours au Musée d'art moderne de Saint-Etienne

    agathe,pitie,apocalypse
    "Apocalypse" (détail), 2011. Encres de Chine pigmentées, aquarelles et dorure liquide sur papier à la cuve. 100 × 140 cm. © A. Pitié. Collection Benjamin Nay.
      
    Agathe PITIÉ
     
    Du 17 mai 2014 au 31 août 2014
    Exposition du 5e Prix des Partenaires du Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole, attribué à Agathe Pitié (née en 1986, à Castres).

    Agathe Pitié réalise de très grands dessins à l'encre, méticuleusement composés d'une multitude de personnages et de scènes qui se renvoient les unes aux autres. Si le trait fait référence aux maîtres du Moyen Age, les personnages figurés appartiennent tant aux mythes anciens qu'à l'actualité du XXIe siècle.
     
    marina,perez simao,oiseaux
    Marina Perez Simao, "Oiseaux" (extrait de la série), 2009. Fusain, crayon et acrylique sur papier coréen. Dimensions : 105 X 74 cm. © M. Perez Simao.
      
    Acquisitions du Club des Partenaires
    Collection du Musée // Dessins
    Du 17 mai 2014 au 31 août 2014
    En parallèle à l'exposition Agathe Pitié (5e Prix des Partenaires), le Musée propose une exposition des oeuvres acquises par le Club des Partenaires depuis 2007.

    Le Club des Partenaires soutient la politique d'acquisition d'oeuvres pour la collection du Musée. Sur proposition de l'équipe du musée, des oeuvres ont été acquises chaque année depuis 2007 et plus particulièrement des travaux sur papier, axe d'acquisition développé ces dernières années.

    Les artistes :
    Françoise Pétrovitch / Rebecca Bournigault / Marina Perez Simao / Anne Laure Sacriste / Min Jung Yeon / Stéphanie Nava.

     

    http://www.mam-st-etienne.fr/index.php?rubrique=30

  • J'ai visité le Musée d'Art Moderne de Saint-Etienne

    sté11 octobre 2009 003.jpgLe Musée d'Art Moderne de Saint-Etienne a été inauguré le 10 décembre 1987.
    Le Musée d'Art Moderne émane du Musée d'Art et d'Industrie dont il constituait l'une des sections.
    Il prend place, aujourd'hui encore, avec le Musée de la Mine et le Musée d'Art et d'industrie rénové, dans un complexe de musées dont l'une des missions essentielles a été, depuis la fin du XIXème siècle, le rassemblement de collections unissant les productions de l'art et de la technique à l'ère industrielle.

    Les collections du musée sont particulièrement riches (Monet, Magnelli, Picasso, Brauner, Léger...) ; elle comprend une majorité d'œuvres du XXème siècle, mais également une collection d'art ancien.
    C'est pourquoi il n'est pas possible d'exposer certains chefs-d'oeuvres en permanence, d'autant plus que certains d'entre eux font l'objet de prêts auprès de musées nationaux et internationaux, à l'occasion d'expositions temporaires.

    Seul
    e une présentation selon un rotation régulière permet d'en entrevoir l'ampleur. 

    Texte:

    http://www.mam-st-etienne.fr/

    Photo perso

    COMS OUVERTS

    ABONNEZ-VOUS AU FIL DE DISCUSSION

  • Nous avons participé hier soir à la Nuit des musées à St Etienne

    12e Nuit Européenne des Musées au Musée d’art moderne et contemporain

    VISITE DES EXPOSITIONS - De 18 h à minuit.
    Visitez 4 expositions et la collection du Musée, avec des chefs-d’œuvre de Pablo Picasso, Andy Warhol... mais aussi des créations de jeunes artistes. Si vous voulez en savoir plus et discuter, participez aux visites guidées gratuites, destinées aux adultes ou aux enfants (départ toutes les 30 min). Attention, derniers jours pour découvrir l’exposition "Mémoires" de Jacques Villeglé !

    CONCERT - De 20 h à 23 h.
    Le Musée et le Fil vous invitent à vivre une Nuit Européenne des Musées pleine de rebondissements avec le concert "La légende d’Eboa King".
    6 musiciens (guitare, basse, batterie, clavier, saxo, trompette) pour un groove afro-soul jazz aux accents funky, où la voix de Pat Kalla immerge le public… "Une alchimie réussie qui transmet l’énergie !". Buvette et snack sur place avec le Remue-Méninges.

    "LA CLASSE, L'ŒUVRE !"
    RENCONTRE(S) AUTOUR D'UNE ŒUVRE
    Pendant la Nuit Européenne des Musées 2016, découvrez le projet "Rencontre(s) autour d’une œuvre". Durant l’année écoulée, des élèves d’écoles et collège de proximité ont visité le Musée, étudié les œuvres de la collection, expérimenté avec un artiste, grâce au dispositif national "La classe, l’œuvre !".
    "La classe, l'œuvre" se déroule dans le cadre d'un partenariat entre le ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche, et le ministère de la culture et de la communication.
    De 18 h à 20 h
    Les élèves présentent aux visiteurs des œuvres du Musée et les fruits de leurs expérimentations. Des outils numériques de médiation, réalisés avec Zoomacom et le Pôle Information Jeunesse de Saint-Priest-en-Jarez, sont également à découvrir/tester.
    Avec les élèves et enseignants du Collège Les Champs de Saint-Étienne, de l’École Jean Macé et de l’École Jules Ferry de Saint-Priest-en-Jarez.

    LANCEMENT DU "PASS MUSÉES"
    Abonné au stade, aux magazines, au ciné… Et pourquoi pas aux Musées ?
    Soyez libres d'être curieux !
    Le PASS MUSÉES ? Un nouvel abonnement pour accéder aux musées en toute liberté.
    Pour 20 €, un abonnement parfait pour vivre l’expérience musée en toute liberté : entrée illimitée pendant un an, à compter de la date d'achat, au Musée d’art moderne et contemporain, au Puits Couriot / Parc-musée de la Mine, au musée d’Art et d’Industrie et à la Cité du design.
    Offre spéciale...
    Les 100 premiers abonnés se verront offrir une pochette remplie de surprises et du "Pass musées", le tout pour le même prix !
    Offre disponible dès le samedi 21 mai au Musée d’art moderne et contemporain, au Puits Couriot / Parc-musée de la Mine, au musée d’Art et d’Industrie et à la Cité du design !

     

    http://saint-etiennetourisme.com/fr/

     

  • Casse record au musée d'art moderne de Paris

    Par Tristan Vey
    20/05/2010 | Mise à jour : 19:16 Réaction (55)

    La brigade de répression du banditisme va analyser les 5 cadres évidés de leur toile.
    La brigade de répression du banditisme va analyser les 5 cadres évidés de leur toile.

    VIDÉO - Cinq toiles de grands maîtres, dont un Picasso et un Matisse, ont été dérobées dans la nuit. Le montant estimé du butin pourrait atteindre les 100 millions d'euros

    Entre 90 et 100 millions d'euros. C'est le montant estimé des cinq tableaux de grands maîtres qui ont été volés dans la nuit de mercredi à jeudi au musée d'art moderne de la Ville de Paris (16e arrondissement). Cette estimation, communiquée par la direction du musée, est cinq fois moins importante que celle annoncée auparavant par le parquet de Paris. Quel que soit le montant exact du préjudice, c'est à n'en pas douter le plus important vol constaté dans un musée français depuis le célèbre cambriolage du palais des Papes à Avignon en 1976 où 118 toiles de Picasso avait été dérobées.

    Le scénario du casse parisien est digne d'un film policier. D'après les images des caméras de surveillance, le voleur aurait en effet agi seul, au cœur de la nuit, cagoulé et vêtu de noir. Il serait entré par effraction en passant par une fenêtre après avoir coupé à l'aide d'une pince de type coupe-boulon le cadenas d'une grille. Il aurait ensuite détouré avec précaution les toiles à l'aide d'un cutter avant de les rouler pour les transporter.

    Les cinq chefs d'œuvres dérobés sont «Le pigeon aux petits pois» de Picasso, «La pastorale» de Matisse, «L'olivier près de l'Estaque» de Braque, «La femme à l'éventail» de Modigliani et «Nature morte aux chandeliers» de Léger. Des pièces d'une très grande valeur, beaucoup trop connues pour pouvoir être revendues sur les marchés traditionnels.

     

    Le musée fermé pour la journée

     

    Le signalement et la photo des tableaux ont immédiatement été mis en ligne sur les bases de données policières dans le monde entier via Interpol. La brigade de répression du banditisme a été chargée de l'enquête et le musée a été fermé pour la journée afin de faciliter le travail des enquêteurs, a indiqué Bertrand Delanoë. Le maire de Paris s'est dit «attristé et choqué de ce vol qui est une atteinte intolérable au patrimoine culturel universel de Paris».

    Les explications de l'adjoint du maire chargé de la culture, Christophe Girard :

     

     

    Cette affaire promet de relancer le débat sur la sécurité dans les musées parisiens. En juin dernier, un carnet de dessins de Picasso estimé entre 3 et 8 millions d'euros avait en effet été dérobé au musée Picasso alors que celui-ci était en pleine rénovation.

    Pour ce qui concerne le musée d'art moderne, la Ville de Paris a annoncé que l'alarme volumétrique anti-intrusion ne fonctionnait plus dans certaines salles depuis le 30 mars et qu'elle n'avait pas pu être réparée depuis. La société prestataire n'aurait en effet à ce jour toujours pas reçu le matériel de remplacement nécessaire à sa réparation. Cela n'explique toutefois pas pourquoi le dispositif vidéo qui diffusait des images en temps réèl au PC de sécurité, qui fonctionnait correctement, n'a pas permis de donner l'alerte alors que trois agents sont mobilisés chaque nuit pour surveiller les écrans de contrôle. Pour Christphe Girard, c'est simplement la preuve que l'on a affaire à un vol d' «une sophistication extrême», une «opération de grand banditisme, du crime organisé».

     

  • J'ai lu hier:”D'un siècle à l'autre”, catalogue des collections XXe siècle du Musée d'art moderne et contemporain de Sai

    D'un siècle à l'autre, catalogue des collections du Musée d'Art Moderne de Saint-Etienne Métropole

    À l'occasion de son vingtième anniversaire (1987-2007), le Musée d'art moderne et contemporain a publié aux éditions Skira un nouveau catalogue de ses collections du XXe siècle. Tout en donnant une vision d'ensemble de la collection et de ses chefs-d'œuvre, cet ouvrage met en avant la politique d'acquisition du musée durant ces vingt dernières années.

    Une édition française et une édition anglaise / Éditeur : Skira, Paris / Pages : 272 - Illustrations : 285 - Format : 24 X 28 cm / Date de parution : décembre 2007 / Prix : 35 euros version brochée ; 49 euros version reliée /

    http://www.mam-st-etienne.fr/index.php?rubrique=317

  • La prochaine fois que j'irais dans le nord, peut-être:”La piscine” de Roubaix

    1312918368.jpgLa Piscine est l'un des plus beaux musées de France installé à Roubaix dans une ancienne piscine art déco des années 30. Découvrez des collections exceptionnelles de peintures, sculptures, céramiques et tissus des 19 et 20ème siècles.


    http://www.roubaix-lapiscine.com/pages/2007/08/2-2%20-%20visite-%20animations.php

    A VOIR LA - BAS EN CE MOMENT:Le zoo d'Orsay

    Quand Emmanuelle Héran arrive comme conservatrice au musée d’Orsay, elle découvre, dans les réserves, plus de 200 sculptures animalières et décide de sortir au grand jour ces richesses oubliées. A partir de cet été, le musée parisien présentera donc une section entièrement dédiée à l’art animalier. En attendant, Orsay a prêté une partie de sa collection à La Piscine de Roubaix pour une exposition intitulée avec humour « Le Zoo d’Orsay ». C’est dans un décor vert pomme que sont exposées un peu plus de 150 œuvres signées des plus grands noms : Manet, Courbet, Delacroix, Bonnard, Pompon, Gauguin, Grasset, Doré… Les animaux sont classés par « famille ». Ainsi, peut-on, grâce à un choix varié de tableaux, dessins, pastels, sculptures et objets d’art couvrant toute la période de 1848 à 1914, passer des animaux à plumes (faisans, paons, canards, coq…), aux animaux exotiques (girafes, singes, éléphants, antilopes…), domestiques (chats, chiens, chevaux…) mais également au monde marin. Le public se retrouve à l’intérieur d’une véritable ménagerie, les cris des différents animaux étant diffusés en fond sonore. Autre exposition accrochée au même moment à La Piscine : « Bijoux-sculptures. L’art vous va si bien ! ». 150 bijoux provenant de différentes collections, dont celle de Diane Venet, épouse du sculpteur Bernar Venet et commissaire de l’exposition, proposent une autre vision de la parure aux XXe et XXIe siècles. Il n’est pas question ici de joaillerie mais d’art moderne et contemporain où l’on croise les noms de Calder, Fontana, Picasso, Rauschenberg, Kapoor… Ils ont tous créé des « sculptures to wear » souvent restées inconnues du grand public.

     

    Elodie de Boysson

    Les expositions « Le Zoo d’Orsay » et « Bijoux-sculptures. L’art vous va si bien ! » ont lieu jusqu’au 25 mai à La Piscine-musée d’Art et d’Industrie André Dilligent, 23, rue de l’Espérance, 59100 Roubaix. Renseignements : 03 20 69 23 60 et www.roubaix-lapiscine.com

    Image : François Pompon, Ours blanc, 1922, Roubaix, La Piscine, musée d’art et d’industrie André Diligent - dépôt du musée de saint-omer en 1994 (photo A. Loubry).


    http://www.connaissancedesarts.com/peinture-sculpture/actu/articles/oeuvres-expositions/point-de-vue/le-zoo-dorsay-et-bijoux-dartistes-a-roubaix.html

  • Athènes ressuscite son Olympe

    musée athènes.jpgDe notre envoyé spécial à Athènes, Éric Biétry-Rivierre
    19/06/2009 | Mise à jour : 16:37
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    Le nouveau Musée de l'Acropole est une création de l'architecte ­Bernard Tschumi (au premier plan). Crédits photo : AP

    La Grèce inaugure, samedi, un musée de 25 000 m2 en contrebas du Parthénon dans l'espoir de récupérer les importants vestiges conservés à Londres.

    Situé en contrebas du Parthénon, le nouveau Musée de l'Acropole, dû à l'architecte franco-suisse ­Bernard Tschumi, est la conséquence d'une bataille digne des Atrides. Depuis 1982, la Grèce réclame à la Grande-Bretagne la large partie subsistante de la frise de ­Phidias qui couronnait le temple dédié à Athéna. Tout le deuxième étage du bâtiment lui est consacré. Mais pour l'heure, il n'accueille quasiment que des moulages de plâtre. Plus de la moitié du décor original, en marbre, long à l'origine de 160 mètres, et riche, si l'on en croit les reproductions anciennes, de 612 figures divines, humaines et animales, se trouve au British Museum. Ces vestiges sont pourtant essentiels pour qui entend expliquer le site sacré de l'Acropole, socle de notre civilisation.

    Londres, ayant notamment fait valoir que ce trésor de l'humanité, acquis légalement en 1816, ne disposait sur place d'aucune infrastructure adéquate, Athènes a investi 129 M€ dans le projet. Et a convié samedi plus de deux cents personnalités pour juger du résultat. Des représentants de l'Union européenne et de l'Unesco, des chefs d'États, des ministres, des archéologues, des académiciens ainsi que des directeurs de musées au premier rang desquels le patron du British. Ce dernier a bien évidemment décliné l'invite comme son homologue du Louvre également en charge de quelques marbres.

     

    Y. Kolesidis pour Le Figaro.
    Y. Kolesidis pour Le Figaro.

     

     

    Guerres des dieux et des géants

     

    Si ces parties manquent, le nouveau musée se trouve toutefois bien garni. Depuis un an, 350 gros objets de l'Acropole, fragilisés par la fréquentation touristique et la pollution, ont été amenés par grue du vieux musée situé au sommet du rocher.

    Nettoyés et complétés par 4 000 pièces plus petites venues des réserves, des dernières fouilles et de différents musées grecs, ils sont bien plus lisibles. L'ensemble témoigne d'une bonne part de l'histoire de l'Acropole et de ses environs : de la préhistoire à ­l'apogée de la période classique et au Parthénon, jusqu'à l'époque romaine et l'Antiquité tardive.

    Par exemple, les métopes, ces plaques sculptées en haut relief qui rythmaient l'entablement du ­Parthénon, content dans l'ordre, quoique en pointillé puisqu'il n'en reste plus que 17 sur 92, les guerres des dieux et des géants ainsi que les combats des ­Centaures et des ­Lapithes. Les statues des frontons narrent clairement la naissance ­d'Athéna et sa dispute avec Poséidon pour la possession de l'Attique. Quant à la frise de Phidias, ses « copies d'attente » évoquent les Panathénées, ces fêtes qui voyaient tous les quatre ans la population offrir un vêtement brodé et le sacrifice de cent têtes de bétail (l'hécatombe) à la déesse de la cité.

    Bernard Tschumi, à qui l'on doit, entre autres, le parc de la Villette à Paris et l'extension du Musée d'art moderne de New York, a systématisé la lumière naturelle. Un péristyle et des façades de verre capables d'absorber ou de réfracter les rayons du soleil magnifient le grain et les reliefs de la pierre. Au premier étage par exemple, la polychromie rési­duelle des korês est parfaitement repérable. Quant aux caryatides de l'Érechthéion, placées sur une loggia, elles sont partout visibles. Dernière surprise : au rez-de-chaussée comme aux étages, un sol vitré permet d'apercevoir, entre des pilotis, les traces d'une ville du néolithique dont l'exhumation se poursuit.

    » Quelques chefs-d'oeuvre parmi tant d'autres :

     


     

    Le cortège des Cariatides. Ces statues de femmes vêtues d'une longue tunique et soutenant un entablement ornaient l'Érechthéion, un temple voisin du Parthénon qui avait de multiples fonctions. Au premier étage du musée quatre sont les originales. Une, disparue, est un moulage. Et la sixième manque : elle se trouve au British Museum. Des copies sont installées sur l'Acropole. (Photo : Y. Kolesidis)

     

     

     

     

     

     


     

    Avant le Parthénon. Dans ce fronton de l'Hekatompedon (monument de l'époque archaïque incendié par les Perses en 480 av. J.-C.), on devine deux lionnes déchirant Zeus déguisé en taureau, Hercule luttant contre un Triton et un autre monstre composé de trois figures masculines. Chacune tient un objet dans sa main gauche : le premier a l'eau, le deuxième le feu, et le troisième un oiseau symbolisant l'air. Les traces de polychromie, noir, ocre et rouge, sont encore partout visibles. (Photo : Y. Kolesidis)

    » De petites restitutions qui entretiennent l'espoir

    http://www.lefigaro.fr/culture/2009/06/18/03004-20090618ARTFIG00359--athenes-un-nouvel-ecrin-pour-l-acropole-.php

  • J'ai vu ce matin au MAM de St Etienne: HASSAN SHARIF

    HASSAN SHARIF

    I am the single work artist

     DATESDU 5 MARS AU 26 SEPTEMBRE 2021

     LIEUMAMC+

    UNE PREMIÈRE RÉTROSPECTIVE RICHE ET FOISONNANTE !

    L'artiste émirati Hassan Sharif (1951-2016) est considéré comme l’un des artistes les plus influents du monde arabe aujourd’hui ; il a créé une œuvre d'une variété étonnante. Venez découvrir au MAMC+ l'exposition I am the single work artist (Je suis l’artiste d’une œuvre unique) : dessins, performances et expérimentations marqués par l’art conceptuel répondent aux accumulations, découpages, tressages d’objets glanés dans les marchés, parfois déployés en des installations monumentales.

    Artiste, enseignant, critique, Hassan Sharif concourt à changer le paysage artistique de son pays pour l’affranchir de la calligraphie traditionnelle. Durant quatre décennies, il développe un important corpus d’œuvres : dessins, peintures, performances, sculptures et installations. Contrepied à cette foisonnante production, le titre de l’exposition (I am the single work artist - Je suis l’artiste d’une œuvre unique) suggère que cet ensemble doit être compris comme un seul geste conçu dans la durée et la répétition.

    La pratique d’Hassan Sharif évolue dans un contexte économique et social bouleversé par la découverte du pétrole, sa commercialisation en 1958 puis la création des Émirats arabes unis en 1971. Son œuvre est marquée par la transformation accélérée de Dubaï, alors modeste territoire en une mégalopole de luxe. Il critique une modernisation à marche forcée au fil de ses caricatures publiées jusqu’en 1979, date à laquelle il se concentre sur sa pratique artistique. Sa formation londonienne ouvre son regard sur l’art constructiviste britannique, l’art minimal et Fluxus, dont il combine habilement les influences. Ses performances dans le désert de Hatta, au début des années 1980, figurent parmi les premiers gestes conceptuels dans le Golfe : sauter, jeter une pierre, enregistrer un rocher, disparaître derrière une dune... Des photographies, des collages ou des écrits documentent ses actions, dans sa cour intérieure, dans un taxi ou dans les souks.

    Organisant des expositions éphémères et subversives avec le collectif de l’Atelier Al Mureijah, il porte peu à peu un intérêt aux matériaux et objets de pacotille, qu’il trouve en quantité croissante sur les marchés. Procédant par accumulations, découpages, tressages, assemblages, il développe un pan majeur de son travail qu’il qualifie d’"archéologie urbaine". À partir des années 2000, alors que ses installations deviennent monumentales, il reprend sa pratique picturale, qu’il agrémente des mêmes objets de la vie quotidienne. Le style grotesque et la touche expressionniste illustrent autrement, avec réalisme, une société de consommation aux codes grossiers.

    Parallèlement à ces installations, Hassan Sharif développe un travail plus ascétique et graphique tout aussi répétitif : les "semi-systèmes". À partir de calculs mathématiques, il se fixe des règles pour créer des dessins géométriques, en d’infinies colonnes de lignes et de droites segmentées. Il laisse la fatigue et l’ennui le gagner pour y introduire des erreurs, laissées visibles. À l’image de son œuvre, les semi-systèmes exposent une confrontation à l’autorité et les moyens d’y échapper.

    Le travail d’Hassan Sharif trouve un écho dans de nombreux positionnements artistiques occidentaux des années 1970 aux années 1990. Dans le prolongement de l’exposition, deux salles sont consacrées aux collections du MAMC+, s’arrêtant en particulier sur l’art minimal, Fluxus, la performance ou Supports/Surfaces.

    Cette exposition itinérante a été conçue par la Sharjah Art Foundation, Sharjah, E.A.U., et organisée par Hoor Al Qasimi. L'itinérance européenne de l'exposition a été organisée par la Sharjah Art Foundation en collaboration avec le KW Berlin, le Malmö Konsthall et le Musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole.

    L'ARTISTE

    Hassan Sharif est né en Iran en 1951 et décède à Dubaï en 2016. Dans les années 1970, il est caricaturiste pour le journal Akhbar Dubaï. Au début des années 1980, il part étudier à Londres, à la Byam Shaw School of Art. Diplômé en 1984, il s’installe dans les Émirats et réalise ses premières expositions, fonde plusieurs associations d’artistes, tout en poursuivant sa pratique et une activité de critique d’art. Son travail a été présenté à l’occasion d’expositions collectives à la Whitechapel Gallery à Londres et au New Museum à New York... Il fut exposé à deux reprises dans le pavillon des Émirats arabes unis de la Biennale de Venise en 2009 et 2015. Ses œuvres font partie des plus grandes collections publiques telles que le Guggenheim New York, le Guggenheim Abu Dhabi, le Centre Pompidou, la Tate Modern ou le Mathaf : Arab Museum of Modern Art à Doha. Il est représenté par la galerie gb agency à Paris.

    COMMISSARIAT

    Hoor Al Qasimi
    Directrice de la Sharjah Art Foundation

    Aurélie Voltz
    Directrice du MAMC+

    CATALOGUE

    Hassan Sharif. I am the single work artist
    Coéditée par la Sharjah Foundation et Koenig Books, cette monographie offre une vision intime de l’œuvre plurielle de l’artiste, enrichie de nouvelles traductions de ses écrits. Bilingue anglais – arabe. 320 pages. Prix : 22 euros.

    PLUS DE 150 ŒUVRES

    PARTENAIRES

    https://mamc.saint-etienne.fr/fr/expositions/hassan-sharif

  • Au Musée d'art moderne de la Ville de Paris, l'art se met à table

    Au Musée d'art moderne de la Ville de Paris, l'art se met à table

     

    Au Musée d'art moderne de la Ville de Paris, l'art se met à table

    LA CHRONIQUE DE VALERIE DUPONCHELLE - Au lendemain de l'inauguration présidentielle de la Fondation Louis Vuitton, le dîner des Amis du musée a réuni 650 convives, de Bernar Venet à Alex Israël, Marin Karmitz et MEL.

  • lMort de Léon Cligman, collectionneur et grand donateur du musée d’Art moderne de Fontevraud

    Mort de Léon Cligman, collectionneur et grand donateur du musée d’Art moderne de Fontevraud
    Léon Cligman, lors de l'inauguration FAM - ©Alexandre Helleburck

    Léon Cligman, grand industriel mais aussi mécène et résistant français, est mort à l’âge de 101 ans le 15 mai 2022. La donation de sa collection d'œuvres d'art est à l'origine de la création du musée d’Art moderne de Fontevraud.

    L’industriel et collectionneur Léon Cligman aurait fêté ses 102 ans le 26 mai prochain. Il s’est éteint la veille de premier anniversaire de la fondation du musée d’art moderne de Fontevraud. Des statuettes primitives africaines aux chefs-d’œuvre de l’art moderne, d’innombrables œuvres de différentes époques et de styles variés figurent parmi la collection qu’il avait créé avec son épouse Martine et dont il a fait don à l’État et à la Région Pays de la Loire en 2017. Pour Christelle Morançais, présidente de la Région : « Léon Cligman a mené sa vie en la tournant vers l’art, la culture et la passion de transmettre ».

    Vue du musée d’Art moderne Fontevraud ©Musée d'art moderne de Fontevraud/Marc Domage

    Vue du musée d’Art moderne de Fontevraud ©Musée d’art moderne de Fontevraud/Marc Domage

    L’industriel esthète

    Dès ses jeunes années, Léon Cligman s’engage dans de nombreuses causes. Originaire de Roumanie, il rejoint la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale et devient maire d’Issoudun à la Libération. Dans la France de l’après-guerre, il entame une brillante carrière d’industriel dans le secteur du textile, sous l’égide de sa famille qui contrôlait la Confection de l’Indre et Devanlay, puis finit par travailler pour son propre compte en fusionnant les deux entités en un colosse international, qui contrôlait les marques Lacoste ou encore JIL. En 1954, il épouse la peintre et sculptrice Martine Lévy, fille des grands collectionneurs Pierre et Denise Lévy, donateurs du musée d’Art moderne de Troyes, avec laquelle il construira une fantastique collection d’œuvres d’art.

    Vue de la collection de Léon Cligman et Martine au musée d’Art moderne de Fontevraud ©Musée d'art moderne de Fontevraud/Marc Domage

    Vue de la collection de Léon Cligman et Martine au musée d’Art moderne de Fontevraud ©Musée d’art moderne de Fontevraud/Marc Domage

    Une collection de coups de cœur

    Durant plus de 60 ans, Martine et Léon Cligman rassemblent peintures, dessins et sculptures des XIXe et XXe siècles (Corot, Derain, Buffet, Soutine, Van Dongen, Rodin, Degas, Seurat, Valadon, etc.) mais également des antiquités et des objets extra-européens provenant d’Afrique, d’Océanie, d’Asie et d’Amériques. Par ce rapprochement de formes et d’usages provenant de civilisations différentes, leur collection constitue un ensemble original et d’une grande qualité, qui témoigne en particulier des tendances figuratives et humanistes de l’Art moderne. Chaque œuvre est un « coup de cœur » et le reflet d’un regard parfaitement commun au couple. « Notre collection est une histoire d’amour, expliquaient-ils en 2020, lorsque nous avons commencé à acheter des œuvres, il ne s’agissait que d’orner nos murs, ensuite la ‘fièvre‘ s’est emparée de nous et puis la place a manqué. »

    En 2017, le couple Cligman décide de céder une très grande partie de leur collection à l’État et à la région des Pays de la Loire, pour former le fonds du nouveau musée d’Art moderne de Fontevraud, installé dans l’ancienne fannerie de l’abbaye royale. « Nous avons voulu rendre à la France ce qu’elle nous a donné », expliquait Léon Cligman en septembre dernier, lors de l’inauguration officielle du musée. Les collections abritent aujourd’hui près de 900 œuvres. Le couple a également offert 5 millions d’euros pour financer la réalisation des travaux d’aménagement du musée.

    Un défenseur de la culture

    Fervent défenseur de la culture, Léon Cligman a également été administrateur de la Fondation du patrimoine, président du Cercle des fondateurs de l’atelier lyrique de l’Opéra national de Paris ou encore administrateur du Musée des arts décoratifs de Paris. Il était enfin Commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres depuis 1985. Bruno Retailleau, Président du Centre Culturel de l’Ouest, témoigne en ces termes de son admiration : « Je salue la mémoire d’un grand capitaine d’industrie, d’un grand collectionneur et d’un grand mécène. Il avait l’amour de la France chevillé au corps et l’envie de partager avec le plus grand nombre ce qu’elle a de plus beau. »

    Léon Cligman et Martine en compagnie du premier Ministre Jean Castex lors de l'inauguration musée d’Art moderne de Fontevraud ©Inauguration FAM/©Alexandre Helleburck

    Léon Cligman et Martine en compagnie du premier Ministre Jean Castex lors de l’inauguration musée d’Art moderne de Fontevraud ©Inauguration FAM/Alexandre Helleburck

     

  • Hier, pour la Nuit des musées, nous avons visité au MAM de St Etienne

     
     
    Valérie Jouve, Sans titre (Les Arbres)
    Valérie Jouve, Sans titre (Les Arbres), 2004-2018. C-Print. Courtesy galerie Xippas. © Valérie Jouve / ADAGP, Paris 2018.
      
    Valérie Jouve
    Formes de vies
    Du 19 mai 2018 au 16 septembre 2018
    Découvrez la première exposition à Saint-Étienne de Valérie Jouve, artiste originaire de la région stéphanoise ! Née à Firminy en 1964, le Musée accueille la photographe, vidéaste et réalisatrice dans le cadre son 30e anniversaire.

    Valérie Jouve présente pour cette exposition un film et des photographies figurant des lieux (maison, façade, rue, ville, paysage), et des êtres (arbre, individu).
    Laurent Gueneau, Guangzhou, Question de NatureVues urbainesCollection de photographies du Musée
    Du 19 mai 2018 au 16 septembre 2018
    Explorez la riche collection de photographies du Musée à travers un accrochage inédit en connivence avec l'exposition "Formes de vies" de Valérie Jouve. ''Vues urbaines'' présente des oeuvres peu montrées, offrant une perspective sur la Ville et ses habitants, à travers les époques et les lieux, de Londres à Chicago, en passant par Saint-Étienne et sa région.

    Laurent Gueneau, "Guangzhou, Question de Nature", 2015. 110 x 138 cm. © L. Gueneau.

    http://www.mam-st-etienne.fr/index.php?rubrique=6

    Précédente sur cette nuit des musées

    Précédentes notes sur ce musée

    WP_20180519_063.jpgWP_20180519_064.jpg

  • Le 14 juillet, nous avons visité le:Musée d'Art moderne de Troyes(photos perso)

    13 et14.07.2017 Toyes.Nogent sur seine 113.jpg

    PEINTURE, SCULPTURE, ARTS GRAPHIQUES, ARTS DECORATIFS DU 20e s. & ART TRIBAL

    Né de la donation à l’Etat des collections réunies par Pierre et Denise Lévy, le musée abrite une remarquable sélection de peintures, sculptures, dessins, verreries et céramiques  brossant un  panorama singulier des courants majeurs de l’art français, entre 1850 et 1960.

    Des œuvres de Bonnard, Braque, Courbet, Czaky, Daumier, Degas, Despiau, Dufy, Friez, Gris, La Fresnaye, Maillol, Mare, Marquet, Matisse, Metzinger, Millet, Picasso, Rodin, Rouault, Seurat, Soutine, Vallotton, Van Dongen, Vuillard… côtoient des ensembles significatifs consacrés aux Arts Premiers (Afrique, Océanie) ou à la production d’André Derain et de Maurice Marinot, tous deux familiers des Lévy.

    Painting, sculpture, graphic arts, decorative arts (20th century) & tribal art

    The museum was created following the donation to the State of the collections of Pierre and Denise Lévy, and houses a remarkable selection of paintings, drawings, glass and ceramics, providing a unique view of the main trends in French art between 1850 and 1960.

    Works by Bonnard, Braque, Courbet, Czaky, Daumier, Degas, Despiau, Dufy, Friez, Gris, La Fresnaye, Maillol, Mare, Marquet, Matisse, Metzinger, Millet, Picasso, Rodin, Rouault, Seurat, Soutine, Vallotton, Van Dongen, Vuillard are presented alongside important collections of Tribal Art (Africa, Oceania) and works by André Derain and Maurice Marinot, both of whom were close friends of the Levys.


    En savoir +

    Le musée d’Art moderne a été créé à la suite de la donation en 1976, des grands collectionneurs, Pierre et Denise Lévy, industriels troyens du textile.

    Installée dans l’ancien palais épiscopal (16e et 17e siècles) en 1982, la collection illustre quelques-uns des grands moments de l’art en France depuis le milieu du 19e siècle jusqu’aux années 1960.

    Voir l'image en grand Modigliani, Jeanne HébuterneElle comprend des toiles d’Honoré Daumier, Gustave Courbet, des œuvres des Nabis comme Edouard Vuillard ou Pierre Bonnard, un exceptionnel ensemble du mouvement Fauve : André Derain, Georges Braque, Maurice Vlaminck, Othon Friesz… ou encore l’École de Paris représentée par Chaïm Soutine ou Amedeo Modigliani… Derain domine cet ensemble avec quelque 80 toiles. D’autres grandes signatures, Henri Matisse, Maurice Dufy, Robert Delaunay, Nicolas de StaëlBalthus, Georges Rouault… complètent ce panorama de la peinture française de la première moitié du 20e siècle.

    La sculpture est bien représentée avec Edgar Degas, Aristide Maillol ou encore Joseph Czaky, Ossip Zadkine, Charles Despiau, un ensemble unique de bronzes de Derain sans oublier Picasso et son célèbre Fou (1905), pour lequel le poète Max Jacob a posé.

    Les verreries de Maurice Marinot, verreries Art déco (plus de 140 pièces de 1912 à 1937) qui forment à elles seules une collection d’exception, dévoilent le travail tout à fait novateur de cet artiste d’origine troyenne et ami des donateurs. S’y ajoutent quelques céramiques d’Emile Lenoble, André Metthey, ou de l’atelier de Madoura-Vallauris.

    L’art primitif, dont certaines pièces ont appartenu à des artistes tel Derain ou à de grands marchands amateurs (Ambroise Vollard, Félix Fénéon, Paul Guillaume…) apporte un éclairage, voulu par les donateurs, sur les relations entre l’art moderne et l'art africain.

    En écho à la collection permanente, le musée propose régulièrement au public des expositions temporaires, des cycles de conférences sur l’histoire de l’art moderne en rapport avec les artistes de la collection ou tout simplement en liaison avec l’actualité muséographique.

     

    Voir l'image en grand Marinot, Tête de femme au collier de fleurs

     Voir l'image en grand

    13 et14.07.2017 Toyes.Nogent sur seine 114.jpghttp://www.musees-troyes.com/536-musee-d-art-moderne.htm

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    Mes 14 livres

  • Nous avons vu le 14 juillet au Musée d'Art Moderne de Troyes:Exposition Un autre Renoir

    Exposition Un autre Renoir

    17 juin - 17 septembre - Musée d'Art moderne

    Cette exposition accompagne l'ouverture au public le 3 juin 2017, de la maison ayant appartenu à Pierre-Auguste Renoir à Essoyes.

    Se composant d'une cinquantaine d'oeuvres issues majoritairement de collections publiques françaises, l'accrochage propose une relecture de la carrière d'un des artistes français majeurs des 19e et 20e siècles. Un parcours thématique interroge le mythe qui s'est construit autour de Renoir et propose de redécouvrir son oeuvre au travers de sujets peu connus telle la peinture de nature morte, l'influence d'Essoyes sur sa peinture ou encore son oeuvre sculptée.

    En savoir plus sur l'exposition

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  • Hans Hartung. La fabrique du geste au Musée d’Art Moderne de Paris

    Hans Hartung. La fabrique du geste

    À l’occasion de sa réouverture, le Musée d’Art Moderne de Paris présente une rétrospective du peintre Hans Hartung (1904–1989). L’exposition portera un nouveau regard sur l’ensemble de son œuvre. Artiste majeur de l’art du XXe siècle, Hartung place l’expérimentation au cœur de son travail. Présenté comme le chantre d’une peinture gestuelle, lyrique et émotionnelle, il se passionne pourtant pour les mathématiques. Les années 1960 marqueront un véritable tournant dans son œuvre, Hartung inscrit alors sa peinture dans une constante recherche d’innovation technique, notamment par la fabrication de multiples outils. En 1960, il remporte le grand prix de peinture de la Biennale de Venise, atteignant le sommet d’une reconnaissance internationale.
    Beaux Arts Éditions revient sur le rôle essentiel d’Hartung comme précurseur dans l’histoire de l’abstraction. Sa vie et son parcours sont indissociables de ceux d’Anna-Eva Bergman, artiste qu’il rencontre en 1929 à Paris, dont il divorce en 1938, pour se retrouver en 1952. Ils finirent leurs jour au « Champ des Oliviers », avec déjà en tête l’idée de faire de ce lieu, après leur mort, un endroit dédié au rayonnement de leurs œuvres.

    Exposition au musée d’Art moderne de Paris,
    du 11 octobre 2019 au 1er mars 2020

    68 pages - À paraître le 16 octobre 2019 - Broché - 22 × 28.5 cm - EAN : 9791020405630

    https://www.beauxarts.com/produit/hans-hartung-la-fabrique-du-geste/