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Rechercher : travaux

  • Les travaux de la Voie Lyonnaise n°3 ont démarré

    Les premiers coups de pioches ont été donnés à Couzon-au-Mont-d’Or ! Les travaux de la Ligne 3 ont lieu sur l’avenue Gabriel Péri, entre le chemin des Carrières et l’avenue du général de Gaulle.
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    Biennale des langues : ça continue tout le weekend

    La Caravane des dix mots vous accueillent depuis hier et jusqu'au 22 mai à la première biennale des langues dans la cour du Centre Berthelot à Lyon 7 ! Au programme, des conférences, des rencontres, des ateliers pour les petits et les grands pour célébrer la richesse culturelle et linguistique du monde.
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  • Mes travaux universitaires de Deug:Kandinsky et la couleur(16/20)

              Kandinsky_white_oval.jpg En 1997, en Deug de Lettres modernes(Sorbonne) par correspondance, j’ai eu un cours passionnant sur « Les Correspondances », exactement « Théories des correspondances : de l’audition colorée à une grammaire des formes. »

    Ce cours était assuré par Madame Jany Berretti que je cite : « Le poème de Baudelaire intitulé « Correspondances » est bien connu. C’est de tous les poèmes des Fleurs du Mal, celui qui a suscité le plus de gloses et de débats. Ce cours propose une réflexion et une recherche autour de cette affirmation que :

     

     

                    Les parfums, les couleurs et les sons se répondent[1]

     

     

     

     

     

    Je tiens ici à remercier ici Madame Jany Berretti pour ces cours passionnants(celui-ci et celui sur Virginia Woolf précédemment évoqué), ses conseils tout au long de mes études et son amitié.

     

     

    Dans ce cours, j’ai eu à traiter d’un sujet : « En vous appuyant sur des exemples précis(tableaux ou textes théoriques, analyses de tableaux), vous réfléchirez aux diverses fonctions que peut remplir la couleur en peinture. Le but de votre étude sera de montrer en quoi consiste la nouveauté des conceptions de Kandinsky dans ce domaine. »

     

     



    [1] Charles Baudelaire, Œuvres complètes. Préface, présentation et notes de Marcel A. Ruff, doyen de la faculté des lettres et sciences humaines de Nice. L’Intégrale. Seuil, 1968.  Les Fleurs du Mal, Correspondances, p.46.

     

     Je supprime ce travail ici en vue d'une prochaine publication...

     

     

     Un tableau de Kandinsky, Ovale blanc, peint en 1919 (huile sur canevas) sur Wikipédia

  • Climat: une étude met en doute les travaux du Giec sur le Bangladesh

     22/04/10  - 11H17 - AFP  ]

    © AFP/Archives - Jewel Samad

    Une nouvelle étude publiée jeudi au Bangladesh met en doute les travaux du Groupe intergouvernemental d'experts de l'ONU sur l'évolution du climat (Giec), affirmant que les prévisions alarmistes sur la hausse du niveau des eaux, dans son rapport 2007, sont exagérées.

    Le Giec, déjà critiqué pour des erreurs dans son rapport 2007, estime qu'une hausse du niveau de la mer d'un mètre inonderait 17% du Bangladesh et créerait 20 millions de réfugiés d'ici 2050. Après la publication de cette prévision, le Bangladesh a été unanimement considéré comme l'un des Etats risquant d'être le plus exposé aux conséquences du réchauffement de la planète.

    Mais, souligne une nouvelle étude financée par la Banque de développement asiatique, la prévision ne tient pas compte du rôle que pourraient jouer au moins un milliard de tonnes de sédiments, charriés par les rivières de l'Himalaya jusqu'au Bangladesh chaque année, pour contrer la hausse du niveau des eaux.

    "Les sédiments façonnent les côtes du Bangladesh depuis des milliers d'années", relève Maminul Haque Sarker, directeur du Centre pour les services d'information sur l'environnement et la géographie, basé à Dacca, qui a dirigé les recherches pour cette étude.

    De précédentes "études sur les effets du changement climatique au Bangladesh, dont celles citées par le Giec, n'ont pas pris en compte le rôle des sédiments dans le processus d'ajustement des côtes et rivières à la hausse du niveau de la mer", a-t-il expliqué à l'AFP.

    A supposer que le niveau de la mer monte d'un mètre maximum, la plupart du littoral du Bangladesh restera intact, assure M. Sarker.

    "Selon les découvertes de l'étude, il apparaît que la plupart du littoral, notamment l'estuaire de Meghna, l'un des plus grands au monde, s'élèvera au même rythme que celui du niveau de la mer", a-t-il ajouté.

    Selon lui, l'étude montre que les phénomènes d'inondations vont changer en raison de la hausse de la montée des eaux "mais ils seront moins importants que ce qui a été prédit" par le Giec et d'autres études.

    Interrogé par l'AFP, le chef du Giec, l'Indien Rajendra Pachauri a défendu son organisation contre cette nouvelle polémique. "On ne peut pas parvenir à des conclusions sur la base d'une seule étude, a-t-il déclaré. Le Giec examine une série de publications avant d'avoir une vision objective de ce qui risque de se produire".

    Le rapport du GIEC fait autorité dans le monde en matière d'évaluation du réchauffement climatique et de ses impacts.

    M. Pachauri a cependant indiqué que les conclusions des nouvelles recherches publiées au Bangladesh seraient prises en compte dans leur prochaine étude. "La science évolue. Dans une grande partie du monde il n'y a pas assez de recherche, nous accueillons donc avec plaisir cette étude", a-t-il souligné.

    Cette mise en cause intervient quelques mois seulement après de précédentes critiques concernant des prévisions sur la fonte des glaciers de l'Himalaya dans son rapport 2007 qui a valu au Giec le Prix Nobel de la paix.

    Le GIEC avait estimé que les glaciers de l'Himalaya reculaient plus vite que d'autres et "pourraient disparaître d'ici 2035, voire avant". Ces estimations ont été jugées excessives et basées sur des sources peu sûres par des scientifiques et hommes politiques sceptiques sur le réchauffement climatique.

    Rajendra Pachauri avait dû reconnaître une "regrettable erreur" provenant de "procédures établies qui n'ont pas été correctement suivies", tout en assurant que la conclusion générale du rapport était "solide".

    Par Shafiq ALAM

    http://www.lesechos.fr/depeches/science-environnement/afp_00246588-climat--une-etude-met-en-doute-les-travaux-du-giec-sur-le-bangladesh.htm

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  • Travaux de littérature, n° XXIII : ”Les Écrivains français et le monde arabe”

    Parution revue

    Information publiée le dimanche 19 septembre 2010 par Matthieu Vernet (source : ADIREL)

     

    Travaux de Littérature, Vol. XXIII : "Les Écrivains français et le monde arabe"

    Sous la direction de Ralph Heyndels

    Adirel, 2010.

    EAN 9782951840386

    396 pages

    Présentation de l'éditeur :

     


    Ce volume, comme celui de 2011 sur « les Amériques », s'inscrit dans la suite du récent colloque de l'ADIREL (mars 2008 en Sorbonne), dont les actes ont constitué le volume XXII de la série des TL : La Littérature française au croisement des cultures. Il explore un champ qui y avait été abordé de manière insuffisante, surtout si l'on considère l'importance de la question arabe – limitée ici, comme il se doit, à ses composantes littéraires – dans le monde moderne.

    Ralph Heyndels, Variations sur un mirage

     

     

    I - Émerveillements, échanges et malentendus

     

     

    Michelle R. Warren, La Chanson de Roland et l'objet « arabe »

    Jean-Claude Vallecalle, Réinventer l'Autre : l'image du monde arabe dans l'épopée franco-italienne du XIVe siècle

    Edith Karagiannis-Mazeaud, Images du monde arabe dans les relations de voyage de Pierre Belon et d'André Thevet

    Marie-Christine Gomez-Géraud, Arabe et Arabie : enquête sur les récits des pèlerins à Jérusalem (1550-1615)

    Christian Zonza, Les Mémoires du capitaine Foucques : un « témoignage-avertissement » à l'adresse du roi

    Anne Duprat, Politiques barbaresques : les états corsaires d'Afrique du Nord dans la littérature française du XVIIe siècle

    Alia Baccar, La représentation des Arabes chez Mme de Lafayette

    Suzanne Guellouz, Une fiction qui fait l'histoire : la Relation historique et galante de l'invasion de l'Espagne par les Arabes de Baudot de Juilly (1699)

    Aurélie Gérard, Dom Calmet (1672-1757) et le monde arabe : une tolérance ambigüe

    Laurent Versini, Montesquieu face au monde musulman : une remise à jour

    Béatrice Didier, L'article « Mahométisme » de l'Encyclopédie

    Émilie Klene, Loin des charmeurs de serpents : le Voyage dans l'Empire de Maroc de Jean Potocki

     

     

     

     

    II - Rencontres fascinées, appropriations et conversions

     

     

    Constantin Makris, Le « Voyage de Tunis » de Chateaubriand : séjour désenchanté sur les terres de Barbarie et pèlérinage méditatif à Carthage

    Daniel S. Larangé, L'initiation libanaise de Gérard de Nerval. Voyage mystique dans « Druses et Maronites »

    Françoise Gaillard, Un libéral pris dans ses contradictions,Tocqueville et l'Algérie

    Jacques Noiray, Expériences du grotesque : l'image du monde arabe dans la correspondance et les carnets de voyage de Flaubert

    Pierre Brunel, Rimbaud-Arabie

    Guy Galazka, L'ombre du Dôme du Rocher, voyageurs français en Terre sainte au XIXe siècle

    Slimane Lamnaoui, L'image du Maroc dans la littérature de voyage de la fin du XIXe siècle aux années trente : un visage de l'altérité arabe

    Raïd Zaraket-Belabed, De l'Algérianisme à l'école d'Alger, l'évolution de l'idée d'algérianité

    Hélène Tatsopoulos, La passion algérienne selon Jules Roy et Jean Pélégri

    Farid Laroussi, Séductions : lettres françaises et monde arabe dans le XXe siècle colonial et post-colonial

     

     

    III - Enjeux poétiques, séductions et représentations

     

     

    David Ellison, André Gide et le monde arabe

    Jacques Isolery, Les rendez-vous de l'âme et le dialogue renaissant, François Augiéras et le monde arabe

    Agnès Spiquel, Albert Camus parle des Arabes

    Jérôme Neutres, Le « rêve flottant au-dessus du monde arabe » de Jean Genet

    Ève de Dampierre, Michel Butor en Égypte : un poète aveuglé et visionnaire

    Rita El Khayat, D'une hypothétique littérature féminine maghrébine et arabe, de l'Académie française et d'Assia Djebar

    Mireille Rosello, Écriture inséparabe : Hélène Cixous

    Gaëtan Brulotte, Le monde arabe dans l'oeuvre de Le Clézio

     

     

    Index des noms d'auteurs

     


    A D I R E L

    (ASSOCIATION POUR LA DIFFUSION DE LA RECHERCHE LITTÉRAIRE)

    59ter, rue des Peupliers, 92100 BOULOGNE, France

    www.adirel.com

    Président d'honneur : U Georges Straka

    Conseil d'administration : Madeleine Bertaud (Nancy), Alain Couprie (Paris XII), Pierre-Jean Dufief (Paris X), Gilles Ernst (Nancy), Luc Fraisse (Strasbourg), Éric Francalanza (Bordeaux), Edouard Guitton (Rennes), Robert Kopp (Bâle), Philippe Ménard (Sorbonne), Dominique Millet-Gérard (Sorbonne), François Moureau (Sorbonne), François Roudaut (Montpellier), Laurent Versini (Sorbonne)

     


    Madame, Monsieur,

    L'ADIREL, créée en 1988, travaille à la diffusion de la recherche littéraire par divers moyens (publications, conférences, colloques, etc.). Chaque année, en septembre, elle édite un volume de la série Travaux de Littérature. Le domaine des T. L. couvre la production littéraire française, du Moyen Âge à l'époque contemporaine. Les articles y sont rédigés en français.

    Dans le passé, nous avons proposé des vol. de varia et quelques vol. thématiques : 1995, La Culpabilité dans la littérature française (dir. sc. : É. Guitton). 1998, Le Manuscrit littéraire... (dir. sc. : L. Fraisse). 1999, Architectes et architecture dans la littérature française (dir. sc. :M. Bertaud).

    Depuis 10 ans, nous ne publions plus que des volumes thématiques :

    - 2001, L'Écrivains éditeur. Première partie (dir. sc. : F. Bessire ; épuisé).

    - 2002 : L'Écrivain éditeur, Deuxième partie (id.).

    - 2003 : Les Grandes Peurs. Première Partie » (dir. sc. : M. Bertaud).

    - 2004 : Les Grandes Peurs. 2 : L'« Autre ». Actes du colloque de Nancy, 2003 (id.).

    - 2005 : L'Écrivain et le grand homme (dir. sc. : Pierre-Jean Dufief).

    - 2006 : L'Écrivain et ses institutions (dir. sc. : Roger Marchal).

    - 2007 : Le statut littéraire de l'écrivain (dir. sc. : Lise Sabourin).

    - 2008 : La spiritualité des écrivains (dir. sc. : Olivier Millet).

    - 2009 : La littérature française au croisement des cultures. Actes du colloque de mars 2008 à Paris-Sorbonne (dir. sc. : M. Bertaud).

    - 2010 : Les écrivains français et le monde arabe (dir. sc. : Ralph Heyndels)

    À paraître : 2011, Les écrivains français devant les Amériques (dir. sc. : Sylvain Menant)

    2012, Les écrivains français devant la mort (dir. sc. : Laurent Versini).

     


    Nous serions heureux de vous compter parmi les membres de l'ADIREL!

    · Membres adhérents, C. E. : 55 € (soit 16 € de cotisation et 39 € d'abonnement aux Travaux de Littérature). Autres pays : 60 €.

    · Étudiants (jusqu'à la soutenance de la thèse de doctorat) : 30 €

    · Membres bienfaiteurs : à partir de 70 €.

    Il est naturellement possible d'adhérer à l'ADIREL sans cotiser aux T.L.

    Règlement depuis la France : par chèque, libellé à l'ordre de l'ADIREL et adressé à Éric Francalanza, 30, Allée des tourterelles, F – 33480 SAINTE-HÉLENE. Ou par virement au compte de l'ADIREL, n° 30056 00030 003054 43262 37, HSBC, 103, Champs-Elysées, 75008 PARIS. Si vous faites un mandat postal à l'ordre de l'ADIREL, envoyez-le au siège.

    Pour nos membres étrangers, y compris ceux de la Communauté Européenne : faites un virement bancaire international, sur le compte de l'ADIREL, sans frais pour nous. Notre IBAN (identifiant bancaire international) est : FR 76 30056 00030 00305443262 37. SWIFT : CCF RF RPP.

    la Présidente le Secrétaire général

    Madeleine BERTAUD Luc FRAISSE

     





  • Avant de reprendre le train jeudi, j'ai vu les travaux du quartier

    Tribune de Lyon

      
    13 chantiers sont en cours dans le quartier de la Part-Dieu, presque au même moment.
    La Part-Dieu a 13 chantiers simultanément. © Susie Waroude

    En plus du chantier de la place Béraudier et de la construction de la tour To-Lyon, c’est l’ensemble du quartier de la Part-Dieu qui est le théâtre d’un vaste plan de rénovation. En tout, ce sont 13 chantiers qui se déroulent de façon quasiment simultanée.

    Cet article fait partie de notre dossier le monstrueux chantier de la Part-Dieu.

    Parmi ces projets, certains sont déjà terminés. On peut notamment citer l’extension et la rénovation du centre commercial, l’aménagement d’un « mail » piéton, une large voie plantée d’arbres réservée aux piétons, le long de la rue Servient. Mais aussi la création de 138 logements et de 8 600 m2 de bureaux, d’espaces de coworking, de commerces et d’un centre culturel au sein du projet Émergence Lafayette.

    Une métamorphose ambitieuse sur les rails de la gare

    L’un des points décisifs de ce vaste chantier, c’est le renouvellement de la gare Part-Dieu. Conçue lors de sa création en 1983 pour 35 000 usagers par jour, la gare est aujourd’hui exploitée par plus de 100 000 personnes : « Demain, on sera aux environs de 130 000 usagers et la gare est déjà extrêmement utilisée et bondée. À cela, il faut ajouter l’aspect sécurité qui est alarmant ; vous comprenez l’importance de moderniser la gare », explique Stéphane Reymond, directeur régional chez Vinci Immobilier.

    Lire aussi sur Tribune de Lyon : Le nouveau quartier de la Part-Dieu entre en gare

    Ainsi la gare et ses espaces ont été entièrement repensés grâce aux trois nouvelles galeries (Béraudier, Pompidou et Villette) qui doivent permettre de doubler sa surface.

    Avec la démolition des halls sud et nord de la place Béraudier ainsi que celle du bâtiment L’Orient, ce sont de très grands portiques de 35 mètres de portée, soit toute la profondeur de la future gare, qui accueilleront les voyageurs 

    « Le nouveau hall de la gare vient d’ouvrir. Respirez un bon coup avant d’entrer », prévient d’emblée Denis Planus, le directeur du projet. Le nouveau hall sera accessible à la mi-juin après la déconstruction de la passerelle provisoire mise en place en 2020. Du côté de l’avenue Georges-Pompidou, des aménagements sont prévus pour les nouveaux accès aux quais. Ils doivent s’achever en 2023.

    La voie L, une nouvelle voie pour améliorer la régularité des trains

    Après quatre ans de travaux, une nouvelle voie, la voie L, est entrée en service le 5 juin dernier après une opération « coup-de-poing » et la fermeture de la gare pendant le week-end de la Pentecôte pour finaliser l’ensemble.

    Lire aussi sur Tribune de Lyon : Après une opération « coup de poing », la gare Part-Dieu dotée d’une douzième voie

    Elle vise à améliorer la régularité des trains de la plus grande gare lyonnaise. Au total, les travaux d’agrandissement de la gare Part-Dieu auront coûté 87,6 millions d’euros. L’Union européenne a contribué à hauteur de 20 %, en parallèle de l’État et la Région Auvergne-Rhône-Alpes (27 % chacun) et SNCF Réseau (26 %).

    Un projet hors norme

    Le chantier de la Part-Dieu est l’un des plus gros, sinon le plus gros dans la métropole de Lyon. C’est un véritable défi d’organisation pour imbriquer la douzaine de chantiers et garder le confort des usagers. Par exemple, pour éviter de déstabiliser et faire trembler les bâtiments alentour, les ingénieurs ont utilisé la « technique en taupe » pour construire le parking « à l’envers ». Au lieu de faire un trou pour ensuite bâtir les fondations, cette technique consiste à creuser sous les dalles qu’on vient de poser. « C’est plus compliqué, mais ça permet d’apporter une stabilité aux chantiers hors norme comme celui-ci », explique Denis Planus, le directeur du chantier.

    Mais ce n’est pas la seule innovation. Malgré la présence d’une nappe phréatique, il n’y aura pas de pompage continu permettant de faire contre-pression. À la place, il aura été décidé d’utiliser la technique en « radier ancré », via une multitude de micropieux dans le sol. Cette technique permet de contrebalancer en usant de la poussée d’Archimède. Enfin, pour éviter que les va-et-vient des trains ne viennent perturber le sommeil des clients de l’hôtel quatre étoiles de la To-Lyon, les dalles sont posées sur des ressorts. De quoi garantir un sommeil qui roule.

    Pour avoir le détail de chaque projet livré ou en cours, cliquez sur l’un des numéros.

    La place de Milan va disparaître

    Deux tours devaient initialement sortir de la place de Milan en 2027 avant qu’elles ne soient enterrées avec l’arrivée au pouvoir des écologistes. L’une devait mesurer 128 mètres, la seconde de 165 à 220 mètres. Avec la fin de ce projet, c’est l’ensemble de la place qui a été repensé… pour disparaître.

    Lire aussi sur Tribune de Lyon : Part-Dieu. La Métropole fait disparaître la place de Milan

    « Il n’y aura plus de place de Milan. Cette place est un non-lieu qui ne sert à rien. L’espace public sera compensé par l’ouverture de la place Béraudier et du boulevard Vivier-Merle », affirme Béatrice Vessillier, vice-présidente de la Métropole de Lyon chargée de l’Urbanisme.

    L’îlot sera reconfiguré avec des immeubles de bureaux et de logements, mais dont la taille sera limitée à 50 mètres de hauteur. Après avoir été désamianté, l’immeuble B5 doit disparaître, à l’inverse de celui du Sytral, l’immeuble B12, qui doit être réhabilité d’ici 2025.

    Une large place pour la végétation

    Comme partout dans le reste de la ville, la majorité écologiste ambitionne de faire passer au vert la Part-Dieu avec un vaste plan de végétalisation pour lutter contre les effets du réchauffement climatique et de la pollution. Dans le quartier, des moyens ont été mis en œuvre pour suivre cet objectif avec la plantation d’arbres à haute tige.

    Lire aussi sur Tribune de Lyon : Lyon 3e. Un nouveau visage présenté pour la Part-Dieu

    À l’horizon 2024, l’esplanade Mandela, qui englobe le fort de Montluc, va s’agrandir et s’étendre au nord de l’avenue Félix-Faure sur près de 1,7 hectare. Ce sont 55 arbres qui viennent d’être plantés depuis janvier dernier avant que ne commencent des travaux d’aménagements à l’automne prochain, notamment autour de la piste cyclable avec une centaine d’arbres.

    Lire aussi sur Tribune de Lyon : Végétalisation : l’opposition accuse les Verts de gonfler leur bilan lyonnais

    Depuis 2019, des travaux d’envergure ont également été lancés pour « apaiser » le boulevard Vivier-Merle qui fait la jonction entre le nord et le sud de la ville. Ceux-ci doivent s’achever en 2024 avec une meilleure circulation et plus de végétalisation.

    Cet article fait partie de notre dossier le monstrueux chantier de la Part-Dieu.

     

    https://tribunedelyon.fr/urbanisme-immobilier/les-multiples-chantiers-de-la-part-dieu/

    Toute la balade

  • Travaux sur le réseau Stas : les bus remplacent les T1 durant deux mois

    Ce n’est pas rien comme chantier. Au total, 1,6 km de rails vieillissants seront remplacés cet été sur la ligne 1 du tramway, dans le secteur de Bergson. Conséquence, du 27 juin au 26 août, le bus remplace le tramway entre la Cité du design et l’hôpital Nord. Autre perturbation liée au chantier : le tram 2 ne circulera pas.

    Par C.GIL - 21 juin 2022 à 19:09 | mis à jour le 22 juin 2022 à 12:30 - Temps de lecture : 2 min
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    Les travaux commenceront lundi 27 juin pour deux mois. Photo Progrès/Christian GIL

    La nouvelle ne va pas forcément faire plaisir aux usagers des tramways de l’agglomération stéphanoise. À partir du lundi 27 juin et jusqu’au 26 août, des travaux lourds vont être engagés sur la ligne historique du tram, celle qui conduit les voyageurs de l’hôpital Nord à Solaure.

    Durant ces deux mois, des bus de remplacement emprunteront le même itinéraire que les tramways en desservant les arrêts situés sur la voie de circulation générale.

    Onze stations (hôpital Nord, parc Champirol, lycée Simone-Weil, Cité de l’agriculture, Musée d’art moderne, Terrasse, quartier Grouchy, Roger-Rocher, rue Barra, Chaléassière et Cité du design) sont concernées par ce chantier, mené par Saint-Étienne Métropole.

    Une rénovation qui s’élève à 3,3 millions d’€ HT

    Un chantier qui vise, dans le cadre de l’entretien du patrimoine des transports urbains de l’agglomération, à renouveler 1,6 km de rails sur le secteur de Bergson. Cette infrastructure, qui repose sur des bastaings bois, datant de la mise en exploitation du tram, il y a 140 ans, présentait des signes d’usure importants. Ils devaient être impérativement remplacés.

    Le coût total de cette lourde rénovation s’élève à 3,3 millions d’€ HT, financé par Métropole. Ces travaux bénéficient de subventions issues des Plans de Relance État et Département de la Loire, respectivement pour des montants de 450 000 € HT et 165 000 € HT.

    Même si la desserte en tram sera maintenue à 80 % pour les usagers, ces travaux auront des répercussions sur les autres lignes. Ainsi, le tram T1 circulera de Solaure à la Cité du design. Le bus de substitution (T1B) assurera le transport des voyageurs de la Cité du Design à l’hôpital Nord. En revanche, le tram T2 (Chateaucreux-Cité du design) ne circulera pas et sera remplacé par les lignes T1 et T3.

    https://www.leprogres.fr/transport/2022/06/21/travaux-sur-le-reseau-stas-les-bus-remplacent-les-trams-sur-la-ligne-1-durant-deux-mois

    https://www.reseau-stas.fr/fr/actus-et-infos-reseau/3/travaux-tramway-ete-2022-vos-lignes-sadaptent/134/10401

  • Fermeture pour travaux de la Maison de Balzac de janvier à septembre 2012

    Pendant cette période des parcours-promenades, autour du Paris de Balzac et la traversée des passages avec Balzac, vous sont proposés (toutes les dates et modalités de réservation en bas de la page, rubrique liens du bloc). La bibliothèque sera fermée à partir du 27 mars.

    Résidence de l'écrivain Bertrand Leclair à la maison de Balzac autour du "Bonhomme Pons". 3ème rendez-vous mensuel avec Pierre Rosenberg - Samedi 24 mars à 15h30-17h.

    "Balzac, le Cousin Pons, le Bonhomme Pons… "

    Le troisième rendez-vous mensuel de la résidence de Bertrand Leclair à la Maison de Balzac. Entretien de Bertrand Leclair avec Pierre Rosenberg, de l'Académie française, President honoraire du Musée du Louvre.
    Pour dialoguer avec Balzac d’hier et d’aujourd’hui, la maison de Balzac avec le concours de la Société des amis de Balzac et de la Maison, invite en résidence l’essayiste et romancier Bertrand Leclair, de janvier à septembre 2012. Avec « Le Bonhomme Pons », ce dernier propose une réécriture contemporaine du « Cousin Pons » qui devient une figure actuelle.
    La résidence est ponctuée de plusieurs grands rendez-vous mensuels et d’un atelier de lecture hebdomadaire.
    Compte rendu des séances sur remue.net/spip.php?rubrique502  

     

    Réservation souhaitée au 01.55.74.41.80


     

    Nouveau parcours : la traversée des passages avec Balzac

    Evocation des galeries de bois du Palais Royal, prototype des passages et aujourd'hui disparues. Au XIXe siècle la foule se concentre dans les passages et galeries, lieu de vie, de promenades et de rencontres. Vous entendrez la voix de Balzac décrire tout ce qui s'est cristallisé autour de ce phénomène architectural qui lui est contemporain.