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Je continue dans le boulevard Saint-Michel, Place de la Sorbonne d’où la librairie PUF ( où j’achetais des livres quand j’étais en prépa à Paris(il y a 20 ans) a disparu.
Il ne neigeait pas (mais l'aspect est tout de même hivernal) pas mais beaucoup de vent et un léger grésil ; ambiance fantomatique qui aurait plu à Nerval, je pense, même si ce n'est pas celle de son poème dont le cadre est plutôt agréable et bucolique, on peut parler de locus amoenus.
Depuis la première publication de cette note, mes photos ont été développées et scannées.
La 2 e est imparfaite mais c'est pour donner une idée des merveilles de ce jardin.
Je parle aussi de ce jardin dans mon mémoire "Des paysages de Baudelaire et Nerval" que vous pouvez acheter en passant par la bannière en haut de ce blog.
3 petits marque-pages en souvenir et des tonnes de dépliants pour approfondir la visite.
Les grandes écuries et le musée du cheval sont fermés mais on aperçoit dans la brume le célèbre hippodrome où se court le prix de Diane.
Je suis dans le Valois de Nerval !!!!
Une belle balade dans l'histoire et l'art.... très fatigante. Des épaules aux pieds, des piques de douleur dont j'ai eu confirmation de la cause avec une radio hier : écrasement d'un disque qui pince le nerf sciatique.
J'étais contente de partir... mais aussi bien contente de rentrer chez moi à22h30 après plus de 5h de route.
Impossible de vous parler de toutes les choses vues, les impressions.
J'ai aussi plein de notes et de lectures à propos de ce voyage.
Ce choix de visite (notamment)à cause de cette femme et d'une autre, Séraphine de Senlis auquel le musée consacre une expo temporaire, prolongée jusqu'au 30 mars 2009 :
Re-métro jusqu'à Saint-Mandé où j'ai vécu à la même époque pendant un an dans une chambre de bonne au 6 e sans ascenseur (escalier en colimaçon super quand on arrive ou repart avec ses valises) , WC sur le palier.
J'ai pris l'immeuble en photo et j'ai trouvé sur un petit marché chez un bouquiniste un super livre sur Nerval :
J'ai pris le métro jusqu'à Alma(là où Lady Di s'est tué) puis traversé la Seine vers le Quai Branly. De là, le musée est assez discret mais derrière, on aperçoit majestueuse, la Tour Eiffel.
D'ailleurs, après avoir acheté mon billet d'entrée, je suis allée me balader sur le Champ de Mars en attendant l'ouverture du musée.
Il faisait beau et d'un côté, on aperçoit les Invalides
et de l'autre le Trocadéro.
Quand on entre dans la cour, le musée est magnifique même si le jardin doit être plus beau au printemps.
Quant au musée au lui-même, il est aussi une belle réussite, un écrin splendide pour les sublimes pièces.
En plus des collections permanentes (où il faudrait passer beaucoup de temps pour tout voit, tout lire et commencer à comprendre) :
Un petit tour par la boutique pour ramener des marque-pages pour ma collection et admirer les livres beaux et intéressants.
En plus des dépliants du musée et des notes prises ; des notes, j'en ai pris partout ; je vous les livrerai un jour...
En sortant, difficile de trouver un endroit pas cher pour manger mais j'y suis arrivé : des petits resto self-service ont fleuri dans Paris... comme les vélos (vélib' et autres).
LE 1 ET L'IMAGERIE D'ÉPINAL INAUGURENT LES IMAGES DU 1
PARIS SERA TOUJOURS PARIS un dessin de Serge Bloch
Initiative en partenariat avec l'IMAGERIE D'ÉPINAL
Le 1 et l’Imagerie d’Épinal inaugurent avec ce numéro spécial sur Paris les images du 1. 100 tirages du dessin de Serge Bloch, numérotés et signés par l’artiste, ont été réalisés à cette occasion. Découvrez-les ici : www.imagerie-epinal.com
TOUS NOS VŒUX ! Pour terminer cette année si particulière, le 1 a choisi de consacrer un numéro exceptionnel à Paris, que vous pourrez trouver en kiosque jusqu’en février. Par deux fois en 2015, la capitale a été frappée par des actes terroristes d’une violence qui nous a laissés sans voix. Et pourtant, plus que jamais, il faut parler, écrire, exprimer ce que Paris ne cesse de nous inspirer : d’abord une joie de vivre inextinguible, une envie de partager son histoire et sa modernité. Il fallait bien un numéro double du 1, un « 2 en 1 », pour traverser la ville d’hier à demain, et quitter l’année qui s’achève en vous souhaitant, amis lecteurs, une très belle et bonne année. Rendez-vous le 6 janvier pour le premier numéro de 2016 !
« L’esprit de Paris est dans la tête des étrangers »
entretien avec PHILIPPE MEYER
Depuis longtemps, Paris fascine : son nom est synonyme de liberté, de plaisir aussi. Cette ville qui concentre tous les pouvoirs, voit converger tous les talents. Mais elle a perdu son ventre, elle s’embourgeoise et son âme s’étiole, déplore le chroniqueur.
Un mois après les attentats du 13 novembre, la romancière se souvient. De ceux-là et de ceux de janvier. De l’inquiétude, de la colère et de la foule assemblée place de la République. Et pour se donner du courage, elle repense aux poètes et aux écrivains qui ont chanté Paris, cette ville qui ne finit pas.
Le premier poster du numéro est dédié à l’avenir de la capitale, le Grand Paris. Roland Castro, Jean-Paul Viguier, Matthieu Wotling (agence Kengo Kuma) et Mickaël Raffegeau (agence Philippe Gazeau) expliquent leurs projets. Nous publions leurs croquis, ainsi qu’une carte des nouvelles lignes de métro.
un double poster avec une illustration de SERGE BLOCH
Leurs visages rayonnent de bonheur, leur silhouette esquisse une tour Eiffel. Ce sont deux amoureux, deux anges, qui s’embrassent. Un hommage de Serge Bloch à sa ville d’adoption à découvrir au verso de notre poster où, à travers une sélection d’extraits, des écrivains, de Hugo à Virginie Despentes, nous présentent leur Paris.
De la Cité de la Mode et du Design, aux quais aménagés pour les piétons en passant par les toits végétalisés du quartier Beaugrenelle, Patrick de Carolis dévoile les nouveaux aspects des bords de Seine. Le plateau de l'émission est installé dans l'un des plus somptueux hôtels particuliers de la capitale : l'hôtel
de Lauzun, construit au XVIIe siècle sur l'Ile Saint-Louis. Au XIXe siècle, l'hôtel a accueilli les réunions du «club des Haschichins», composé de Théophile Gautier, Eugène Delacroix, Gustave Flaubert, Alexandre Dumas et Honoré de Balzac. Au programme également, la visite des appartements de la duchesse de Sully, récemment réaménagés avec du mobilier du XVIIe siècle, et la demeure de la famille de Beauharnais, actuelle résidence de l'ambassadeur d'Allemagne. Au sommaire :
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De la Cité de la Mode et du Design, aux quais aménagés pour les piétons en passant par les toits végétalisés du quartier Beaugrenelle, Patrick de Carolis dévoile les nouveaux aspects des bords de Seine. Le plateau de l'émission est installé dans l'un des plus somptueux hôtels particuliers de la capitale : l'hôtel
de Lauzun, construit au XVIIe siècle sur l'Ile Saint-Louis. Au XIXe siècle, l'hôtel a accueilli les réunions du «club des Haschichins», composé de Théophile Gautier, Eugène Delacroix, Gustave Flaubert, Alexandre Dumas et Honoré de Balzac. Au programme également, la visite des appartements de la duchesse de Sully, récemment réaménagés avec du mobilier du XVIIe siècle, et la demeure de la famille de Beauharnais, actuelle résidence de l'ambassadeur d'Allemagne. Au sommaire :
Tél. : 33 (0)1 45 63 77 41 Email : p.ageon@free.fr Ouvert du lundi au samedi de 11h à 19h. Métro : Saint-Philippe du Roule SITE INTERNET En cours de préparation
26 galeries parisiennes créent un nouvel événement qui conforte la place de Paris comme capitale des arts premiers.
Les arts premiers fascinent car ils racontent une histoire dont on ne saisit parfois que les contours et qui ne livre souvent qu’une partie de ses secrets. Cet appétit pour l’art tribal, très répandu en Europe et aux Etats-Unis, se développe dans le monde entier.
Expositions à thèmes, pièces exceptionnelles, Paris Tribal dévoilera ses trésors dans une vision large et transversale des arts premiers : Arts d’Afrique, d’Amérique, d’Asie, d’Indonésie et d’Océanie.
Souhaitant rendre hommage aux liens unissant le Québec et la France, qui remontent précisément à la période dite de la « Belle Époque », le Musée de la Civilisation du Québec propose de revenir sur le bouillonnement culturel qui caractérisa, le « Gai Paris » entre 1889 et 1914, à travers une exposition qui convoquera à la fois les hauts lieux de la vie parisienne et le tumulte créatif, axé autour de la figure centrale de l’artiste moderne. Objets, photographies, peintures feront revivre cette période si particulière de l’histoire, que viendra encore étoffer l’évocation de spectacles, d’ambiances, du théâtre au cabaret, des fêtes foraines au music hall, du cinéma à l’Exposition Universelle. Une exposition riche et émouvante qui fait renaître de ses cendres, le temps d’une visite, une époque à jamais perdue – à redécouvrir grâce au hors-série Beaux-Arts.
Exposition au musée de la civilisation de Québec du 19 juin 2013 au 23 février 2014 puis au Petit-Palais à Paris
Pourquoi la capitale passionne-t-elle autant? Un an après le best-seller du comédien Lorànt Deutsch, l'universitaire anglais Graham Robb et le romancier Philippe Cavalier répondent.
Pour comprendre ce qui fait le charme de Paris, au sens le plus puissant du mot, il faut avoir présent à l'esprit que la capitale de la France est une toute petite ville, pas plus étendue que la bourgade du Texas du même nom, un concentré urbain où des siècles et des siècles d'histoire ont laissé leur dépôt, où des univers hétéroclites, politiques, populaires, intellectuels, religieux, ont cohabité. «Paris est un livre d'images fait de calques superposés, surpeuplé de morts et hantés par des vivants», écrit l'Anglais Graham Robb, docteur en littérature française, tombé dans le chaudron magique de Paris à l'âge de dix-sept ans, quand ses parents l'envoyèrent dans la capitale avec les poèmes de Baudelaire en poche. C'est par les yeux de l'auteur des Tableaux parisiens, puis à travers les romans de Balzac qu'il apprit à connaître et à aimer la ville. C'est pourquoi son Histoire de Paris n'est pas une histoire comme les autres. Érudite, romanesque, pleine de détails, elle se compose de douze récits qui mettent en scène des personnalités, célèbres ou obscures, qui ont vécu à Paris du XVIIIe au XXIe siècle.
Le volume s'ouvre sur le jeune Bonaparte qui découvre Paris et rôde timidement autour du Palais-Royal, alors haut lieu de la débauche, pour jeter sa gourme. Dans l'un des chapitres suivants, nous voilà place de la Concorde, pendant la Révolution: devant des milliers de spectateurs, Charlotte Corday, qui avait revêtu le costume de son Caen natal pour son exécution, lance la mode des coiffes normandes à dentelles… Sous la monarchie de Juillet, le dramaturge Henry Murger menait une dangereuse vie de bohème, poussant l'audace jusqu'à fleurir son balcon… alors que les pots de fleurs aux fenêtres, qui causaient trop de décès, avaient été prohibés. Au fil des siècles, les récits de Robb le confirment, il y a des constantes de la vie parisienne. Le problème des transports en est une, assurément. Une péripétie de la vie sentimentale d'Henry Murger, justement, se trouva compliquée par la grève des cochers du 6 mars 1848. Le 21 juin 1793, Paris, telle une déesse antique jalouse, mit des bâtons dans les roues de la famille royale. Alors qu'elle devait rejoindre secrètement la rue de l'Échelle où le roi l'attendait pour s'enfuir, Marie-Antoinette se perdit dans le dédale des rues autour des Tuileries. Sans ce contretemps, Louis XVI n'eût sans doute pas été intercepté à Varennes et le cours de l'histoire en eût été changé. Cet épisode, contesté, est pourtant vraisemblable, affirme Robb, qui rappelle qu'il fallut attendre 1850 pour qu'un préfet avisé fasse inscrire sur des plaques le nom des rues. Avant cette date, les cochers, qui connaissaient très mal Paris, ne desservaient qu'un seul quartier, indiqué par une lanterne de couleur accrochée à leur fiacre.
Le roi des catacombes
Enfin vint le métro, dont l'auteur évoque les premiers pas au fil d'un chapitre consacré à Proust, qui justement ne se risqua jamais sous terre. Un récit épique, où l'on apprend que certaines rames étaient équipées de distributeurs de parfum afin que les personnes incommodées par l'odeur de leur voisin puissent humecter leur mouchoir et s'en couvrir le nez.
Tout se tient, écrivait Balzac, à Paris plus qu'ailleurs. Graham Robb est friand de digressions et incises qui jettent des ponts entre les époques. Le récit de l'inauguration du Centre Pompidou par Giscard est l'occasion de faire un clin d'œil à la sœur de Blaise Pascal, qui, trois siècles plus tôt, devant l'église Saint-Merri, attendait le premier omnibus parisien, service dont l'auteur des Provinciales avait lancé l'idée.
L'universitaire anglais est fasciné par la passion des hommes politiques pour Paris. Napoléon n'eut pas le temps de rebâtir la ville à son idée, mais on sait que lors de ses campagnes militaires, en Russie et ailleurs, il continuait de s'intéresser à la voirie, à signer des décrets sur les égouts. C'est en rentrant de Londres, qu'il adorait, que Napoléon III dessina au crayon de couleur sur un plan de Paris les avenues qu'Haussmann percera. Hitler rêvait de voir Paris. Le 23 juin 1940, dans une ville désertée, il effectua un tour des monuments que Robb retrace minute par minute. Ailleurs, il rend hommage à un autre grand souverain de Paris, injustement méconnu, l'architecte Guillaumot, lequel édifia dans le sous-sol de Paris, qui s'affaissait, une énorme cathédrale, un royaume souterrain qui reproduit exactement le tracé des rues de surface. On s'étonne que le roi des catacombes n'ait même pas une rue à son nom dans la ville qu'il a sauvée de l'effondrement. L'universitaire anglais, avec un discret humour qui fait la saveur de ses récits, suggère que «c'est parce qu'on ne veut pas rappeler à ses habitants que Paris est bâti sur du vide»…
Lorànt Deutsch, la vedette en Seine
Le ton est décomplexé, l'allure juvénile et le pas vif, façon néo-piéton de Paris. En l'espace d'une année, le comédien Lorànt Deutsch a réussi à séduire un demi-million de lecteurs avec son histoire de la capitale. Métronome, l'histoire de France au rythme du métro parisien (Michel Lafont) révèle les petits secrets de la cité et de ses fondateurs. Il y a de l'Alain Decaux chez ce garçon dont la curiosité et le caractère encyclopédiste font la force. Loin des textes ardus de certains historiens et à mille lieues du discours convenu des guides, Lorànt Deutsch a réussi à imposer sa vision de Paris. Fort de son succès, son éditeur l'a persuadé d'éditer une version illustrée du livre. Elle sortira le 14 octobre, assortie de photographies mettant en scène le baladin Deutsch dans son décor préféré. (Françoise Dargent )
Une histoire de Paris par ceux qui l'ont fait de Graham Robb, traduit de l'anglais par Isabelle D. Taudière, Flammarion, 540 p, 24 €.
JO - En remettant le rapport préconisant une candidature parisienne pour les Jeux olympiques en 2024, Bernard Lapasset a affirmé qu'elle serait «financièrement responsable».
LE SCAN SPORT - Le dossier parisien présenté jeudi fait la part belle aux installations sportives déjà existantes, dans un souci de maîtrise du budget.
« Merveilleux Paris » On connait l’adage. Les cordonniers sont les plus mal chaussés. Avoir à côté de chez soi des trésors mondiaux n’est pas la garantie de les connaitre comme sa poche. Combien de fois un Francilien visite-t-il la tour Eiffel dans sa vie ? Parfois moins qu’un Américain. Être touriste dans sa propre ville, redécouvrir ce qui nous parait évident, voilà l’objet de ce quatorzième numéro de la collection Patrimoine & balades. Et si on redécouvrait l’histoire des monuments ou sites les plus iconiques de la capitale ? Des endroits qu’on a l’impression de connaitre sur le bout des doigts alors qu’en vrai… ce n’est pas si vrai.
La tour Eiffel, par exemple ? Vous saviez, vous, que son concepteur, le célèbre Gustave, avait installé son appartement au troisième étage, à 285 m de haut, et qu’on peut y jeter un coup d’œil encore maintenant ? A peine plus bas, à 210 m du plancher des vaches, on vous emmène aussi au sommet de Montparnasse en vous déroulant l’histoire du premier gratte-ciel parisien qui a révolutionné les techniques de construction des buildings. On prend aussi de la hauteur en contemplant les Champs-Elysées – ancien lieu mal famé jusqu’à ce que Louis XIV mandate son jardinier, Le Nôtre, pour qu’il aménage ce « Grand cours » - depuis la terrasse de l’Arc de Triomphe qui recèle, on l’oublie, de nombreux trésors artistiques témoins de l’histoire de France depuis le XIXe siècle. Pas d’impasse : une virée sur les bateaux-mouche, un tour au Père-Lachaise, une incursion au Panthéon à la découverture de l’histoire du pendule Foucault, une balade dans le stade de Roland-Garros, sur la place des Vosges ou dans les ruelles de Saint-Germain-des-Prés… On coche les immanquables, mais on les découvre avec un pas de côté. Et les musées ? Vous êtes certains que le Louvre ou Orsay n’a plus de secrets pour vous ? On vous parie le contraire Et pour terminer, passons de l’autre côté de l’écran et dans le Paris d’Amélie Poulain et dans celui d’Emily in Paris.
Information publiée le mercredi 1 décembre 2010 par Matthieu Vernet
Samedi 4 décembre 2010, Paris, Sorbonne, Amphi Michelet
NERVAL Samedi 4 décembre 2010, 9h30-13h Sorbonne, amphi Michelet (entrée par le 46 rue Saint-Jacques) sous la direction de Jean-Nicolas Illouz et Jean-Luc Steinmetz
Henri Scepi Nerval et la poésie sibylline
Emmanuel Buron Autour du "Choix des poésies de Ronsard" […] publié par Gérard en 1830
Jean-Nicolas Illouz La poésie à l'épreuve de la photographie : Nerval devant Nadar
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