Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Daho Pleyel Paris
J'ai craqué bien-sûr dès sa sortie... même si ça ne remplace pas l'émotion de son concert il y a un an.
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J'ai craqué bien-sûr dès sa sortie... même si ça ne remplace pas l'émotion de son concert il y a un an.
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Jardin du Luxembourg. Un homme s'adresse à une femme qu'il s'apprête à rejoindre : il lui raconte l'histoire des mythiques chaises du Jardin, lui parle de La Nausé de Sartre, fait un détour par la Fontaine Médicis. Puis il poursuit « en sa compagnie » une exploration sentimentale et savante de Paris. À chaque rue traversée sont convoqués des anecdotes méconnues, des auteurs oubliés et célèbres ou des souvenirs personnels, du temps où le narrateur visitait de nuit les catacombes, escaladait les toits de Paris ou rencontrait à la bibliothèque la femme qui l'attend aujourd'hui. Dans ce récit aussi érudit qu'accessible, Alexandre Lacroix réussit à partager sa connaissance époustouflante de la ville et à mettre en scène un Paris intime et éternel.
Et, ce faisant, il transforme ce roman géographique en un singulier voyage amoureux. Portrait d'Alexandre Lacroix par Arnaud Février.
http://www.franceculture.fr/oeuvre-voyage-au-centre-de-paris-de-alexandre-lacroix
Les Echos Par Laurence Salmon | 15/02/13
C’est un chantier ambitieux et complexe s’il en est. Le Grand Paris, initié par Nicolas Sarkozy en 2007, concerne l’avenir et le rayonnement de la région capitale. L’objectif est d’en faire une métropole attractive, multiple, solidaire et durable, sur fond de compétition économique internationale.
L’équation se résume assez simplement, de prime abord. Le projet du Grand Paris vise à redessiner les contours du territoire francilien, regroupant un peu plus du sixième de la population nationale (11,5 millions d’habitants), avec pour objectif, de booster l’économie de cette région qui contribue pour près de 30 % à la richesse du pays. « L’image de ce territoire est difficilement perceptible, sorte de marée urbaine où des pouvoirs politiques, techniques, économiques s’exercent à des échelles différentes, parfois complémentaires, parfois coïncidentes », souligne Jean-Pierre Courtiau, rédacteur en chef du nouveau magazine Objectif Grand Paris. Selon les porteurs du projet, il y a urgence à clarifier cette image au vu des dysfonctionnements de toutes sortes (saturation des transports en commun, pénurie de logements, inégalités territoriales et sociales…) qui entravent la qualité de vie de la région et son développement. La réussite du Grand Paris sous-tend la création d’une identité métropolitaine forte, qui passe par le rééquilibrage entre l’hyperattractivité de Paris, héritée de l’histoire du pays, et les banlieues, qui seraient à terme intégrées, comme jadis les faubourgs. En clair, il s’agit de sortir Paris du périphérique qui l’enserre, qui l’étouffe et qui génère de l’exclusion. Quel est le périmètre de ce Grand Paris ? Rien n’est pour l’instant encore tout à fait précisé. La Seine serait l’axe majeur autour duquel la métropole a vocation à s’ordonner. Mais là comme ailleurs, l’entrelacement des niveaux de réflexion et de décision complexifie le débat. Des réponses sont à trouver urgemment. On n’a guère le choix si la région capitale veut consolider sa place de pôle attractif, de première région économique d’Europe, dans un contexte de mondialisation marqué par la forte concurrence entre les villes-mondes, ces fameuses grandes métropoles à l’image de New York, Londres, Tokyo, Shanghai ou Hongkong. C’est à Nicolas Sarkozy que l’on doit ce plan stratégique pour l’aménagement de l’Île-de-France. En 2007, il déclarait vouloir faire du Grand Paris, « un laboratoire de la modernité humaine ». Pour ce faire, dix équipes internationales d’architectes et urbanistes furent mises à contribution pour enrichir la réflexion. Ce brainstorming fit l’objet d’une exposition à la Cité de l’architecture et du patrimoine en 2009. Avec rien que du beau monde : Richard Rogers, Jean Nouvel et Christian de Portzamparc, le jeune Djamel Klouche, Antoine Grumbach, Roland Castro… Impossible de tous les citer et de tout résumer. Mais tenter retrouver la mixité sociale perdue faisait en tout cas consensus. Une seconde consultation a été programmée en 2012, par l’Atelier international du Grand Paris. Cette structure, née en 2010, a pour mission de poursuivre cette production d’idées et de scénarios, et d’articuler de façon cohérente la constellation de projets de développement urbain, petits et grands, qui alimentent le chantier du Grand Paris. L’alternance politique à la tête du pays n’a pas remis pas en cause le Grand Paris. « Je prends un engagement, celui de créer les conditions nécessaires à l’émergence d’une métropole parisienne capable d’affronter, à l’échelle pertinente, tous les défis qui se présentent à elle », a rassuré François Hollande, quelques jours à peine après son élection à l’Elysée, en mai 2012. Toutefois, en décembre dernier, la remise à Cécile Duflot, ministre de l’Egalité des territoires et du Logement, du rapport Auzannet concernant le financement et le phasage du Grand Paris Express a jeté un froid. En effet, la pierre angulaire du Grand Paris est ce projet de supermétro automatique souterrain en forme de double boucle dont le coût avait été estimé, sous l’ère Sarkozy, à plus de 30 milliards d’euros. À charge pour ce « grand huit » de façonner et d’oxygéner durablement cette ville de demain, qui compte aujourd’hui 41 millions de déplacements quotidiens. Or la réévaluation des coûts (plus 9 milliards d’euros) et l’allongement du calendrier (plus 5 ans) font craindre qu’il soit sacrifié sur l’autel de la crise. La ministre rendra son arbitrage en février. « Paradoxalement, l’impôt pour le Grand Paris, lui, est prélevé depuis des mois auprès des entreprises, alors que le projet n’est pas encore lancé », s’étonnait un chef d’entreprise dans les colonnes des Echos. L’inquiétude grandit. De la réalisation du Grand Paris Express dépendent notamment les projets de construction de logements, question effectivement cruciale qui vise à réduire les déséquilibres sociaux et territoriaux. À suivre, donc
http://associationgrandparis.fr/2013/02/15/le-grand-paris-au-milieu-du-gue/
Réalisé par Johnny Hostile (Savages) et mixé par Tony Visconti (Bowie, Morrissey, etc..) cette relecture du titre composé par Arthur Baker et sorti sur l’album "Merge" en 1989, est l’un des deux inédits du nouveau best of "L ‘homme qui marche". Ce single sortira en 45 t vinyle le 6 novembre avec en face B, le mix alternatif de Johnny Hostile.
http://musique.fnac.com/a9133988/Etienne-Daho-Paris-sens-interdits-Vinyl-single#ficheResume
Expositions : Paris, carrefour des mondes
Exposition mayas : rois et dieux en ambassade
26/3/15 - 00 H 00 Pour voir en quoi la lecture influe sur moi, cf. mes 14 livres en vente sur ce blog
Poursuivant son étude rigoureuse à travers des documents multiples – lettres, archives, rapports de police, descriptions de témoins comme Restif de La Bretonne, Sébastien Mercier ou Siméon-Prosper Hardy, libraire rue Saint-Jacques –, Arlette Farge réussit à traquer l'impalpable, l'air du temps, les « mentalités », le quotidien du XVIIIe siècle. Sa passionnante immersion dans l'univers de la rue parisienne, lieu de vie et aussi de mort, capte les liens qui attachent le peuple à ce qu'il y rencontre, ces objets auxquels il se heurte, qui, à son insu la plupart du temps, modèlent son comportement, dessinent et meublent un espace où il doit se faire une place, où il tente d'être heureux ou simplement de survivre.
Des objets inanimés et aussi des animaux, aimés ou fuis – chiens, vaches, chevaux, porcs, chats, rats – qui envahissent la ville. Parmi eux, elle détecte des constantes de la hiérarchie sociale, les chiens pouvant être élevés pour l'agrément ou demeurer des « bêtes de misère ». Mais elle s'intéresse davantage bien sûr à ce qui occupe l'espace urbain et qui en même temps configure l'espace mental, arpenté, délimité, rêvé, aux choses et à ce qu'elles transforment et symbolisent.
Le voyage commence par une vue de la ville prise sur les hauteurs – Notre-Dame ou Saint-Cloud comme le Paris de Rohmer dans L'Anglaise et le Duc – à travers des buées noires de fumée et blanchies par le plâtre. Après avoir repéré les monuments emblématiques de la religion, du pouvoir, de la santé, Arlette Farge s'intéresse à ce qui circule au fil des rues bruyantes, sales et encombrées – personnes, nouvelles, potins –, au regard qu'échangent entre elles les classes sociales, destinées à se croiser, et elle s'attache à l'évocation d'objets oubliés ou méprisés par les historiens. Ainsi le regrat, plat vendu dans la rue, est-il composé des restes de nourriture des gens aisés. Le regrattier, chargé de le vendre, y ajoute souvent des denrées avariées. Cet objet, écrit-elle, « est une sorte d'intermédiaire, une tension falsificatrice entre pauvre et pauvre ».
Dans cet espace, la circulation est avant tout celle de l'eau, dont Arlette Farge étudie la fonction poétique dans l'imaginaire à l'œuvre dans les hôtels du Marais; elle mesure aussi l'enjeu de pouvoir représenté par la Seine, artère de la cité, souvent polluée, lieu de rivalités entre la prévôté, la lieutenance de police ou le roi. Autour du fleuve s'organise un monde de porteurs d'eau, bains publics, fontaines, jardiniers. Le jardin est partout, dans la culture anarchique du blé sur la plaine Maillot, des châtaigniers au Pré-Saint-Gervais, dans la belle ordonnance des promenades: le Palais-Royal où règne la fébrilité, les Tuileries au superbe verger, les Champs-Élysées où le peuple aperçoit les grands. Lieux d'urbanité comme les boulevards qui enserrent alors Paris, synthèse de la ville et du jardin avec leurs doubles rangées d'arbres, trouée vers l'air et la lumière.
C'est l'époque où l'on veut voir la nuit, ne plus être contraint d'affronter les dangers de la vie nocturne. Aussi vif que celui d'une eau pure et rare, le désir de clarté rejoint l'aspiration au savoir. À la lumière, mais aussi aux Lumières. Deux tiers des Parisiens ne savent pas lire, mais aimeraient déchiffrer les placards, affiches, libelles, souvent orduriers et violents. Car la violence est partout, dans les lieux et objets de supplices publics – carcans, potences pour les femmes, écartèlements pour les hommes –, dans l'agression des odeurs pestilentielles ou l'agonie des animaux de boucherie, le sang des bêtes ruisselant au fil des rues.
DE MARTINOIR Francine
26/3/15 - 00 H 00
Pour voir en quoi la lecture influe sur moi, cf. mes 14 livres en vente sur ce blog
Comédie musicale philosophico-burlesque en un acte sur la gastronomie française
Comédie musicale philosophico-burlesque en un acte sur la gastronomie française
Au beau milieu du XIXe siècle, le gourou d’une communauté secrète réunit autour de lui trois fidèles pour célébrer une cérémonie dédiée à la… gourmandise ! Dans un huis clos ubuesque et débridé, ils rendent hommage au sixième péché capital et aux plus grands
cuisiniers qui, de Carême à Brillat Savarin, ont fait l’histoire de la table. S’enivrant de spiritueux raffinés et de jeux de mots truculents, ils dévorent coup sur coup hors-d’œuvre, viandes, desserts et digestifs. Toujours enjoués, non sans frôler à l’occasion la querelle voire l’indigestion, ces quatre ripailleurs offrent au spectateur un menu flatteur pour le palais comme pour l’esprit : alternant airs de chansonnier et pages
enjouées signées Hervé, Offenbach, Audran, Lecocq ou Serpette, ils laissent libre cours à une parodie épicée, faisant découvrir les richesses d’un répertoire oublié dans une ambiance festive.
En écoute ici
Camille Poul soprano, Caroline Meng mezzo-soprano, David Ghilardi ténor, Arnaud Marzorati baryton, Mélanie Flahaut flageolet et basson, Isabelle Saint-Yves violoncelle, et Daniel Isoir piano | |
Conception et direction artistique | Arnaud Marzorati |
Dramaturgie et mise en scène | Florent Siaud |
Lumières | Nathalie Perrier |
Production Palazzetto Bru Zane - Centre de musique romantique française
Coréalisation C.I.C.T / Théâtre des Bouffes du Nord
Avec le soutien de la Fondation Royaumont
www.bru-zane.com
http://www.bouffesdunord.com/fr/saison/53984d671eeb7/le-ventre-de-paris
À l’occasion du bicentenaire de la seconde abdication de Napoléon et cloturant les commémorations liées à l’Empire, l’exposition « Napoléon et Paris » au musée Carnavalet raconte avec panache les liens de l’empereur avec sa capitale.
http://www.connaissancedesarts.com/
"Rassemblement éclair" des VTC à Paris La loi devant mettre fin à la guerre entre taxis et voitures avec chauffeur impose aux VTC de retourner à leur base après chaque course. Lire |
Le Cab, AlloCab, Chauffeur-Privé... : les VTC manifestent à leur tour
La loi censée mettre fin à la guerre entre les taxis et les voitures avec chauffeur impose à ces dernières de retourner à leur base après chaque course. Lire |
Entre 1853 et 1870, des travaux gigantesques dirigés par le préfet Haussmann ont totalement remodelé Paris. Beaucoup critiqué, Haussmann a pourtant aéré et assaini la capitale, et lui a donné l'essentiel de son aspect actuel.
Entre 1853 et 1870, des travaux gigantesques dirigés par le préfet Haussmann ont totalement remodelé Paris. Beaucoup critiqué, Haussmann a pourtant aéré et assaini la capitale, et lui a donné l'essentiel de son aspect actuel.
« Un atelier à ciel ouvert », par Caroline Mathieu.
(pdf - 113 Ko)
Les métamorphoses de Paris dans les années 1860 coïncident avec l’émergence d’une « nouvelle peinture », souvent fascinée par le décor urbain et en quête de motifs modernes. [...]
Notre sélection de liens autour du Paris d’Haussmann.
En lien avec le thème de ce numéro, des dossiers pédagogiques pour l´enseignement au collège et au lycée.
08'23"
Le Paris d’Haussmann
03'31"
Les Buttes-Chaumont
03'55"
L’Opéra en son quartier
04'52"
Le quartier des Halles
http://www.cndp.fr/tdc/tous-les-numeros/le-paris-dhaussmann.html
http://www.crypte.paris.fr/la-crypte/la-crypte
Philharmonie de Paris : 45 000 visiteurs en 5 jours VIDÉO. Le "centre Pompidou de la musique" a ouvert ses portes le 14 janvier. Premier bilan après les journées portes ouvertes. Lire |
"Opération nettoyage" dans les cellules d'islamistes radicaux Téléphones portables et clés USB ont été découverts dans les cellules de certains prisonniers condamnés pour des actes terroristes. Lire |
Attentats à Paris : le rôle des médias en question |
Le sociologue Jean-Marie Charon revient sur le traitement médiatique des attentats contre "Charlie Hebdo" et l'Hyper Cacher. Lire |
Le Conseil de Paris rejette la tour Triangle, Hidalgo conteste le vote
Le Conseil de Paris a rejeté le projet de la tour Triangle aujourd'hui (83 voix pour, 78 contre) mais le vote est contesté par l'exécutif.
La maire de Paris Anne Hidalgo a déclaré : "le vote est nul" sous prétexte que des élus de l'opposition auraient montré leurs bulletins, alors que le vote était à bulletin secret.
La première opposante, Nathalie Kosciusko-Morizet, lui a répondu : "Le vote est acquis."
La décision devrait être désormais prise par le tribunal administratif.
lundi 17 novembre 2014 - 13:57 | ||
Tour Triangle: le Conseil de Paris vote contre le projet | ||
Les conseillers de Paris ont voté contre le projet de gratte-ciel de la Porte de Versailles, à 83 contre 78. Anne Hidalgo conteste le résultat du vote. | ||
> Lire la suite |
Jacques Herzog | ||
Jacques Herzog, marié, deux enfants, est plus expansif que son clone, n’a pas de cheveux, adore le foot, répond plus volontiers aux interviews. Lui et Pierre de Meuron, son ami, son associé, font partie du club très fermé des "starchitectes". La Tate Modern, le "Nid d’oiseau" de Pékin, l’Arena de Munich, la tour Roche – la plus haute de Suisse – c’est eux. La planète entière les accueille à bras ouverts, Paris fait la moue avec la tour Triangle. |
Si vous comptez vous rendre à Paris prochainement (les chanceux!), deux expositions présentées à la Cinémathèque française sont à marquer dans vos agendas. D'abord, celle de François Truffaut, disparu il y aura 30 ans en octobre.
Le cinéaste et sa relation profonde avec la littérature seront à l'honneur avec une exposition-événement qui retrace son foisonnant parcours à partir de scénarios annotés, d'ouvrages raturés, de correspondances, de notes manuscrites et de carnets, d'objets, de photos et d'affiches. Autant d'archives appartenues au réalisateur de La nuit américaine que sa famille a déposé à la Cinémathèque à la fin des années 1990.
L'autre expo à retenir sera dédiée au grand Michelangelo Antonioni (Blow up, Zabriskie Point). Là aussi, le public aura l'occasion de découvrir de nombreuses archives. Photographies, lettres, témoignages, peintures et textes permettront d'explorer l'univers d'un des plus impressionnants créateurs du XXe siècle.
Appelez-moi madame Thor
http://paris.peninsula.com/en/default
Paris : bienvenue au Peninsula ! VIDÉO. Le groupe hôtelier de luxe de Hong Kong ouvre son premier palace à Paris. Le Point.fr l'a visité |
Le Peninsula Paris ouvre ses portes au cœur de la capitale
Promenade dans Paris avec Thierry Marx