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Les musées de la Ville de Paris vous accueillent tout l'été !
En juin, un grand nombre des musées de la Ville de Paris vous ont ouvert leurs portes et vous avez pu (re)découvrir le musée Bourdelle, le musée de la Libération de Paris - musée du général Leclerc - musée Jean Moulin, le musée de la Vie romantique, la Maison de Balzac, le Petit Palais, le musée Cernuschi et les Catacombes de Paris.
Les 10 bonnes raisons de revenir dans les musées de la Ville de Paris
Après plus de trois mois de fermeture, nous faisons le point sur l’actualité dans les musées de la Ville de Paris, une occasion de revenir nous voir et redécouvrir plus beaux jardins et leur cafés qui ont enfin rouverts ! Une onzième raison s'ajoute à la longue liste avec notre article sur les plus beaux jardins des musées de la Ville de Paris.
Les Contes étranges de N.H. Jacobsen Jusqu'au 26 juillet 2020 - musée Bourdelle
La première exposition en France consacrée à Niels Hansen Jacobsen (1861-1941) entraîne le visiteur dans l’univers étrange et onirique du sculpteur et céramiste danois, contemporain de Bourdelle. Voir le reportage de l'exposition
Retrouvez vos proches au musée !
Du 20 au 26 juillet, venez nombreux profiter des derniers jours de l'exposition N.H. Jacobsen au musée Bourdelle. Pour l'achat de trois billets au tarif plein, vous bénéficiez d'un quatrième billet offert (tarif gratuit à ajouter lors de la mise au panier sur la billetterie en ligne ou directement en caisse du musée).
*Offre exclusive du 20 au 26 juillet 2020, dans la limite des places disponibles. La présence simultanée des quatre visiteurs au contrôle d'accès est requise. En cas de non-respect des conditions de l'offre, un complément devra être réglé en caisse.
Les expositions en cours
La Comédie humaine, Balzac par Eduardo Arroyo Jusqu'au 16 août 2020 - Maison de Balzac
La Maison de Balzac présente un artiste qui est le seul à s’être intéressé à la fois à la figure de Balzac, aux personnages tirés de ses romans mais aussi aux endroits où l’écrivain a vécu. Les œuvres d’Arroyo forment la première tentative d’illustration de la Comédie humaine par un artiste d’envergure. Voir le reportage de l'exposition
Poussez les portes du Musée d'Art moderne de Paris pour deux après-midi riches de partage, d'émotions et de découvertes en famille, éveillez vos sens et attisez votre curiosité ! Venez en famille partager des ateliers pour petits et grands le week-end du 4 et 5 décembre en partant à la découverte de l'univers d'Anni et Josef Albers, couple à la fois d'artistes et d'enseignants, ou de la céramique sous toutes ses formes !
Gratuit* *Inscription sur place uniquement, dans la limite des places disponibles
Le week-end du 11 et 12 décembre, le musée Bourdelle donne rendez-vous aux familles sous le signe de l'Olympiade culturelle. Une occasion de partager des moments uniques en famille sur le thème de l'art et du sport. Au programme : ateliers de modelage autour de la figure d'Héraklès archer et visites contées narrant les exploits de célèbres personnages athlétiques de la mythologie grecque.
Réservation en ligne sur la billetterie de Paris Musées.
Le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris consacre une grande exposition au couple Anni et Josef Albers. Visible jusq'au 9 janvier 2022, cette première rétrospective française réunit 350 œuvres (graphiques et textiles, peintures, photographies, mobilier) et fait le portrait d’un couple uni, dans l’art comme dans la vie.
Le Petit Palais consacre au peintre russe Ilya Répine (1844-1930) sa toute première rétrospective française. Si Répine est aujourd'hui méconnu en France, il est encore très célèbre en Russie. Son œuvre couvre près de soixante ans d’histoire ; avant-goût pour mieux le connaître, en cinq chefs-d’œuvre.
Activités
Les Paris de l'Art du mois
Paris Musées vous propose un programme de cours d’histoire de l’art qui vous fait voyager dans le temps à la découverte de Paris et de son univers artistique.
- les 2 et 3 décembre - à partir du 7 décembre en streaming : "Les ateliers parisiens du Moyen Âge : objets d'art, ivoires, manuscrits" - les 9 et 10 décembre - à partir du 14 décembre en streaming : "Les ateliers parisiens du Moyen Âge : architecture, sculpture" - les 16 et 17 décembre - à partir du 21 décembre en streaming : "Graveurs et orfèvres parisiens de la Renaissance".
En présentiel à l'auditorium du Petit Palais ou en streaming, en abonnement ou à l'unité, réservez dès maintenant vos cours d'histoire de l'art !
Les plus belles vues des toits de Paris, dans une balade panoramique du point du jour au crépuscule
Feuillage infini de zinc, d’ardoise et de cuivre oxydé, d’où émergent les dorures des grands monuments, les toits de Paris forment la plus emblématique canopée du monde. Ce leporello de 18 m de long déplié reprend 8 vues emblématiques, chaque fresque ayant été réalisée à partir de 200 images. Un repérage des principaux monuments parisiens et une légende historique viennent compléter le livre.
Une carte pour chaque quartier. Les meilleures adresses pour se restaurer, prendre un verre, sortir ou faire du shopping. Les astuces de notre auteur pour mieux profiter de votre séjour.
The Art Newspaper édition française est partenaire de la 23e édition d'Art Paris, qui inaugurera, du 9 au 12 septembre 2021, le Grand Palais Éphémère, à Paris. - Présentation de «Promesses», un secteur dédié aux jeunes galeries et à la création émergente.
Chers publics, Paris Musées vous souhaite une excellente année 2022 !
Bien que le contexte de ce début d'année soit encore fragile, nous abordons 2022 avec une programmation foisonnante et audacieuse. Nous espérons, grâce à de nombreux rendez-vous, vous accompagner au fil d'une année pleine d’émerveillements et de découvertes culturelles au cœur de nos collections permanentes et de nos expositions temporaires.
Belle et heureuse année à toutes et tous, Les équipes de Paris Musées
Partez à l’aventure dans le nouveau Musée Carnavalet - Histoire de Paris week-end festif en famille ! Danse, théâtre, musique, chant : découvrez le musée autrement et prenez part aux activités qui se déroulent au fil des époques de l’histoire de Paris : • Pour les plus jeunes : séances de lecture, ateliers créatifs et corporels dans les salles du musée. • Pour les plus grands : un jeu de piste vous initiera aux mystères de la Révolution française.
En partenariat avec l’École du Louvre et le Conservatoire à rayonnement régional
Gratuit - Inscription sur place pour certaines activités, dans la limite des places disponibles
Les Nuits de la lecture 2022 sont à retrouver cette année au musée Carnavalet - Histoire de Paris, au musée de la Vie romantique ainsi qu'au musée Bourdelle.
Au programme : • Musée de la Vie romantique : lecture dessinée et atelier d'illustration avec l'illustratrice Nathalie Novi et Fabrice Colin pour leur album jeunesse "Le musée imaginaire de Jane Austen". • Musée Bourdelle : lecture en nocturne par Thomas Sacksick, comédien, du récit Cet Amour-là de Yann Andréa - autour de sa passion amoureuse pour Marguerite Duras. • Musée Carnavalet - Histoire de Paris : honneur à la "Belle Époque" avec un programme dédié à Marcel Proust et Anna de Noailles. Nocturne de l'exposition "Marcel Proust. Un roman Parisien" jusqu'à 21h30. • Maison de Victor Hugo - Paris : dans son appartement de la place des Vosges, la Maison de Victor Hugo vous invite à une soirée de lectures partagées. Soirée animée par la Compagnie In Cauda, dimanche 23 janvier à 19h30. Entrée gratuite sur inscription.
La maison de Victor Hugo propose 8 représentations exceptionnelles dans le salon rouge de l’adaptation du poème la "Fin de Satan" que Hugo annonce dans la Préface de la Première Série de La Légende des Siècles, qu’il travaille entre 1860 et 1862, et qui sera publié de manière posthume en 1886. C'est un long cri de douleur, de rage et d'amour mêlé ; c'est une supplique enragée adressée à Dieu lui-même pour tenter d'infléchir son verdict à l'envie. Dans sa chute Lucifer devient Satan, et la vengeance sera terrible ! Son Salut, et celui de sa divine création, l'Homme, c'est d'engendrer avec son rival rejeté, le seul espoir au mal ainsi créé, la liberté.
Durée : 55 minutes Réservation en ligne obligatoire.
Première ville à accueillir trois fois les Jeux olympiques depuis l’ère moderne, Paris s’apprête à recevoir en grande pompe les délégations du monde entier, l’été prochain. À un an de cet événement mondial, ô combien commenté, L’Hebdo souhaite regarder dans le rétroviseur et raconter les Jeux de 1924. Cent ans ont passé avec son lot de révolutions culturelles, économiques ou sociétales. Pourtant, il existe certains parallélismes flagrants entre ces Jeux et ceux qui se profilent à l’horizon. En racontant le siècle dernier, l’héritage de 1924 semble, aujourd’hui encore, être visible. «L’histoire ne se répète pas, elle bégaie», selon la citation généralement attribuée à Karl Marx. Une chose est certaine:à Paris, l’histoire olympique a toujours quelque chose d’incroyable.
Littérature étrangère:nos 6 coups de cœur à lire cet été
Envie de lire cet été ? Les spécialistes de L’Hebdo vous livrent chaque semaine leurs conseils, fruits de leurs lectures de l’année. Ce week-end, la littérature étrangère.
Avant qu’il ne retrouve sa place dans la sacristie de la cathédrale, le trésor de Notre-Dame de Paris fait l’objet d’une exposition au musée du Louvre, en charge de sa conservation depuis l’incendie. Ce hors-série retrace l’histoire mouvementée du trésor, de ses origines médiévales à sa disparition durant la Révolution, jusqu’à sa reconstitution au XIXe siècle qui voit la création de chefs-d’œuvre d’orfèvrerie imaginés par Viollet-le-Duc.
Au sommaire :
-Une histoire millénaire et méconnue : De ses origines médiévales à son éblouissante renaissance au xixe siècle, le trésor de Notre-Dame de Paris porte le récit d’une histoire passionnante. Entretien avec Jannic Durand et Anne Dion-Tenenbaum, commissaires de l’exposition au musée du Louvre. -Culte des reliques et trésors d’église : Au Moyen Âge, l’accumulation de richesses et d’instruments liturgiques précieux au nom de Dieu sert les appétits de pouvoir des prélats tout en exaltant la dévotion des fidèles. La vénération des reliques donne également lieu à la création de pièces extraordinaires. -Le trésor de Notre-Dame avant la Révolution : Il n’en reste quasiment rien aujourd’hui. Pourtant, au Moyen Âge et sous l’Ancien Régime, le trésor de la cathédrale parisienne était l’un des plus beaux de France. Inventaires, manuscrits et sources illustrées permettent d’imaginer sa magnificence passée. -Viollet-le-Duc et le renouveau gothique : L’image longtemps dépréciée du Moyen Âge n’a plus cours au XIXe siècle. Architecte autodidacte et féru d’architecture gothique, Viollet-le-Duc devient le fer de lance de la restauration des monuments médiévaux. Son approche rationaliste aura une influence déterminante sur les générations futures. -Le trésor ressuscité au XIXe siècle : Le regain catholique inauguré par le Concordat signe la renaissance du trésor de Notre-Dame de Paris, qui s’enrichit de regalia, dons royaux et princiers, commandes exceptionnelles. Le travail conjugué de Viollet-le-Duc et de « son » orfèvre Poussielgue-Rusand marque l’apogée de ce renouveau. -Portfolio : Focus sur quelques pièces exceptionnelles du trésor de Notre-Dame créées au XIXe siècle, des instruments du sacre de Napoléon Ier jusqu’aux somptueux objets liturgiques et reliquaires dessinés pour beaucoup par Eugène Viollet-le-Duc et réalisés par les plus grands orfèvres du temps.
Entretien, études d’œuvre, infos pratiques… Ce hors-série constitue une présentation richement illustrée de l’exposition « Le trésor de Notre-Dame de Paris » au musée du Louvre en préparation ou en complément de votre visite !
Réunissant 130 œuvres, la dernière exposition orchestrée au musée Cognacq-Jay par Annick Lemoine avant son départ pour le Petit Palais retrace la foisonnante carrière du peintre Louis-Léopold Boilly (1761-1845) qui, soixante années durant, posa un œil à la fois tendre et malicieux sur le quotidien des Parisiens. Privilégiant la scène de genre à la grande peinture, l’anecdotique à l’historique, l’artiste offre au spectateur la vision d’un Paris insolite, décalé, celui du carnaval et du Guignol, celui de la lanterne magique et des cabarets. On s’amusera à identifier d’une œuvre à l’autre les innombrables autoportraits, souvent teintés d’une féroce dérision, semés sur ses toiles par l’artiste, véritable Hitchcock de son temps. Fasciné par les innovations techniques liées à l’optique, Boilly fut un inlassable collectionneur d’instruments (chambres noires, télescopes, lorgnettes, pantographes, zograscopes…) dont il usa afin de perfectionner « l’art de la feinte » qui contribua à asseoir sa renommée. Présentés dans l’exposition, nombre de ses trompe-l’œil constituent de saisissants tours de force qui ne manqueront pas de mystifier le regard du visiteur. O.P.-M. « Boilly (1761-1845). Chroniques parisiennes », jusqu’au 26 juin 2022 au musée Cognacq-Jay.
— DU CÔTÉ DE L'ARCHÉOLOGIE
Le Bacchus retrouvé
Un magnifique Bacchus antique en bronze du début de notre ère vient d’être restitué au musée du Pays Châtillonnais – Trésor de Vix. Découvert en 1894 lors de fouilles, l’œuvre d’une quarantaine de centimètres représente le dieu sous les traits d’un jeune enfant potelé, vêtu d’une nébride (peau de bête) et chaussé de riches cothurnes. Réalisée selon la technique de la fonte à la cire perdue, cette pièce est très rare. Elle fut volée au musée en pleine nuit en 1973 ; depuis, une copie en plâtre était exposée dans les salles. Sa redécouverte a été rendue possible grâce à Arthur Brand, fondateur de l'agence Artiaz qui, dès 2019, identifie cette œuvre dans une collection particulière. Le travail mené par l’Art Crime Unit, département spécialisé de la police néerlandaise, et l’OCBC, a permis au musée de Châtillon-sur-Seine de retrouver ce petit chef-d’œuvre. É.F.
Bien connue pour son magnifique Apollon en bronze découvert en 1823 et aujourd’hui au musée du Louvre, ainsi que pour son impressionnant théâtre, la ville de Lillebonne, l’antique Juliobona, propose une ambitieuse politique de valorisation de son patrimoine archéologique gallo-romain. Lancé en 2018, ce programme, intitulé « Juliobona, la cité antique sur la Seine », est soutenu par la communauté de communes Caux Seine agglo, en partenariat avec le Département de la Seine-Maritime et la ville de Lillebonne, avec l'aide de la Drac Normandie, de la Région Normandie, de la Métropole Rouen Normandie et du musée du Louvre.
Il entend ainsi faire revivre le prestigieux passé, mais oublié, de la capitale des Calètes, l’une des plus importantes villes du Nord de la Loire du Ier au IIIe siècle de notre ère. Dans la continuité du colloque organisé en 2019, Caux Seine agglo organise une deuxième journée de rencontres professionnelles le 24 mars prochain. Axée sur « L’habitant au cœur des projets de valorisation des patrimoines », elle abordera la question de la place du grand public dans la mise en lumière et en valeur des richesses qui l’entourent au quotidien dans la ville. É.F. Colloque, le jeudi 24 mars 2022 de 9h à 17h à l’abbaye du Valasse, 289 rue de la Briarderie, 76210 Gruchet-le-Valasse.Informations et inscription ici.
LIN architects urbanists (Berlin) et FBCC ont signé les gares des stations Barbara et Bagneux-Lucie Aubrac, deux nouvelles gares de la ligne 4 du métro parisien ouvertes en janvier 2022 à Bagneux et Montrouge (Hauts-de-Seine), pour la RATP (maître d’ouvrage). Communiqué.
Barbara et Bagneux – Lucie Aubrac sont les stations n° 28 et 29 de la ligne 4, traversant Paris du nord au sud sur une longueur désormais de 14 kilomètres environ.
A l’échelle de la métropole, le prolongement de la ligne 4 s’inscrit dans le réseau du Grand Paris Express. Son terminus sera en interconnexion avec la gare Bagneux de la ligne 15 sud, actuellement en chantier. Ainsi, la ligne 4 deviendra une des lignes radiales reliant la boucle complète de la ligne 15 au centre de Paris.
Les deux stations se trouvent au sud de Paris, sur le territoire des communes de Montrouge et de Bagneux ; ce sont des territoires en pleine évolution, fortement liée à la nouvelle offre de transport public de la ligne 4 et du Grand Paris Express.
La station Barbara se trouve sur la limite de la commune, face au cimetière, et Bagneux – Lucie Aubrac au bord de la cité Pierre Plate. L’entrée principale de Barbara sur l’avenue Henri Ginoux a été conçue de manière à pouvoir accueillir un bâtiment en superstructure. Celui-ci est une résidence pour jeunes chercheurs, actuellement en chantier et qui sera inaugurée courant 2022.
A Bagneux, les entrées principale et secondaires sont marquées par des toitures circulaires pour être facilement repérables dans leur contexte. Ce contexte est celui de la ZAC Victor Hugo, grand projet de requalification et densification urbaine menée par l’agence Arte Charpentier. La station se trouve sous la place Lucie Aubrac, en face de l’entrée de la gare Bagneux du Grand Paris Express (architecte Marc Barani), dont la mise en service est prévue pour 2025.
Les stations ont été conçues d’une part en fonction de la géologie et d’autre part, de la configuration urbaine. La station Barbara, dans les anciennes carrières de Montrouge, est essentiellement construite de manière traditionnelle avec une voûte de 13m de diamètre environ au-dessus des quais ; ces derniers se trouvent à 14m sous le niveau voirie.
Les accès à la station et aux locaux techniques sont situés dans deux puits aux extrémités de la gare, construits suivant la technique des parois moulées à ciel ouvert.
Bagneux est une gare avec un quai central et un quai latéral, qui se trouvent à 7m sous le niveau voirie. De part cette faible profondeur, la gare a été construite en tranchée ouverte. Un couloir de liaison assure l’intermodalité avec la ligne 15 du Grand Paris Express.
Les deux éléments principaux du concept architectural des espaces voyageurs des stations sont le revêtement mural et la lumière. Le revêtement mural fait référence au carreau biseauté blanc du métro historique : il est blanc, reflète la lumière, et il a un relief.
Les espaces voyageurs sont entièrement blancs ; le relief mural, une ondulation d’une profondeur de 28mm, est déployée sur l’ensemble des murs ainsi que sur la voûte de Barbara, sur le béton comme sur la tôle émaillée.
Cette homogénéité est essentielle pour l’atmosphère (lumière et son) des gares. Il est complété par un sol noir en asphalte.
L’éclairage artificiel se fait de deux manières : en indirect, avec des lignes lumineuses non visibles, par exemple dans les mains courantes des escaliers, ainsi que des objets, des cercles lumineux, iconiques et mis en scène.
Le palmarès de la 33ème édition du prestigieux Praemium Imperiale a été annoncé le 15 septembre 2022 à la Bourse de Commerce (Paris), saluant le travail de Kazuyo Sejima & Ryue Nishizawa de l’agence SANAA dans la catégorie architecture. Palmarès complet.
Guidé par une ombre errante, l'écrivain-narrateur déambule de nuit dans un Paris étrangement vide, se remémorant des scènes proches ou lointaines, des existences anonymes ou fameuses, des personnalités tutélaires (Villon, Hugo, Artaud...). Mille vies l'ont précédé dans cette ville qui l'a vu naître et mettre au monde lui-même tant de personnages. Un récit sur la présence des absents, qui mêle l'autofiction au fantastique pour esquisser un art poétique.
L’agence Vincent Lavergne Architecture Urbanisme (VLAU), a livré en décembre 2021 à Paris (XIIIe) la réhabilitation, extension et surélévation de la Tour Watt. Désormais habillée de trois formats de résilles Métal Déployé, cette peau de métal recouvre les quatre façades et unifie le corps supérieur de la tour.
La tour Watt, initialement constituée de 175 logements datant des années 70, était destinée au personnel roulant de la SNCF. « C’est une icône du XIIIe arrondissement tel qu’il était il y a trente ans ; populaire, industriel et infrastructurel. Sa transformation exprime la capacité d’un quartier entier à muter, à renaître au gré des stimulations. Les conditions changeantes du quartier doivent se retrouver dans l’architecture de la tour », explique Vincent Lavergne.
Filiale de SNCF Immobilier, ICF Habitat a initié en 2015 la requalification de la tour Watt. Aujourd’hui, après restructuration complète par le cabinet d’architecture Vincent Lavergne, l’ouvrage compte désormais 6 053 m² de surface de plancher
« Adossée au socle recouvrant les voies ferrées, la Tour Watt se retrouve aujourd’hui dans une situation de pivot et de connecteur urbain entre deux époques, entre deux niveaux de ville, l’ancienne et la nouvelle », souligne Vincent Lavergne. De fait, la transformation architecturale du bâtiment constitue un signal fort de la mutation urbaine du quartier.
La façade
Autrefois tournant le dos aux voies, environnement bruyant et hostile au repos, la tour se retourne et fait à présent face au jardin. Elle regarde dans toutes les directions et dispose à ce titre de quatre façades principales. Ainsi sont créés des logements tournés vers la Seine avec des vues inattendues sur Paris.
Au-dessus du socle minéral, les étages supérieurs sont revêtus de panneaux de métal déployé (aluminium), et donnent l’impression de s’extraire du sol pour s’élever vers le ciel en renvoyant ses reflets. Cette peau métallique, recouvre les quatre façades et unifie le corps supérieur de la tour.
Cette nouvelle peau, composée de trois formats de résilles, donne au bâtiment une certaine élégance en harmonie avec le quartier. Cela permet également d’y intégrer une nouvelle épaisseur d’isolant qui assure un meilleur confort pour les résidents et des performances environnementales à la hauteur des prescriptions du Plan Climat de la Ville de Paris.
Prestations Métal Déployé
Le choix du métal déployé n’est pas fondé uniquement sur ses qualités esthétiques tant il offre des systèmes de pose économiques et faciles à mettre en œuvre ainsi que des qualités environnementales. « Pour la tour Watt, à l’issue d’études et de simulations, la société Métal Déployé a conçu et fabriqué près de 1 156 panneaux pour une surface totale de 3 115m² », explique Alain Ouenne, chargé de prescription.
En l’occurrence, il s’agit de panneaux constitués de trois références de Métal Déployé en aluminium, posés sur une structure mixte béton-bois. Les plus grands (1 500 x 3 000mm) sont légers, ils ne pèsent que 20kg !
« Ici, le calepinage et la solution de mise en œuvre ont permis d’atteindre les objectifs du maître d’œuvre », conclut Alain Ouenne. De fait, une telle réalisation est issue d’une collaboration étroite entre le bureau d’études de Métal Déployé et l’agence d’architecture Vincent Lavergne, la faisabilité économique et l’étude d’impact thermique du matériau étant réalisées avant la mise en fabrication des panneaux prêts à poser.
Ces panneaux sont durables, ne rouillent pas, demandent peu d’entretien et ont permis à la réhabilitation, extension et surélévation de la tour Watt de s’inscrire dans le plan « Climat Ville de Paris » et le plan « Climat air-énergie territorial ».
Implanté à Montbard en Bourgogne depuis 1902, METAL DEPLOYE® est le leader français de la production et de la transformation de métal déployé pour l’architecture. L’équipe METAL DEPLOYE® s’appuie sur son expérience et son expertise technique pour la réussite de tous les projets architecturaux.
En savoir plus : Alain OUENNE Chargé de prescription Mobile : +33 (0) 6.45.58.61.76 E-mail : a.ouenne@metaldeploye.com
METAL DEPLOYE – Expanded metal Groupe DROUAULT INDUSTRIES Tél: +33 (0) 3.80.89.92.24 Fax: +33 (0) 3.80.92.13.74 Web : www.metaldeploye.com
Lieu de toutes les splendeurs et de tous les fantasmes, Paris fascine. Ce serait pourtant oublier le versant le plus sombre de la capitale : celui de ses crimes et mystères. Passionné de criminologie et d’histoire, Paul El Kharrat s’est penché sur ces affaires qui ont secoué la Ville Lumière de la Révolution française à la Seconde Guerre mondiale. Car si les meurtres bouleversent la petite histoire, celle des individus, ils peuvent également faire trembler la grande. En s’intéressant à ces hommes et ces femmes, monstres sanguinaires déterminés ou assassins désespérés, Paul El Kharrat dessine en creux les XIXe et XXe siècles en France. On plonge dans la Terreur de la Révolution avec Jourdan Coupe-tête ; on rencontre le meurtrier de Jean Jaurès au nom de famille prédestiné et on frémit dans l’antichambre de la mort de Marcel Petiot pendant l’Occupation. Paul El Kharrat vous invite à un terrifiant voyage dans le temps à la découverte d’un Paris à la fois mythique et mystérieux.
On a beaucoup étudié les diverses façons dont Paris a été perçu par des écrivains et des poètes, mais ce n’est nullement de ces divers regards sur la grande ville qu’il est question dans ces conférences. Remarquant que le XVIIIe et le XIXe siècle ont répandu par les rues et les boulevards de Paris une foule, une "multitude", d’un caractère nouveau, privée des signes apparents autant que distinctifs qui avaient permis aux époques précédentes d’en reconnaître, individu par individu, l’inscription dans l’ordre divin – dans l’être –, Yves Bonnefoy a cherché à comprendre l’effet que ce qui semble ainsi une épiphanie du néant a eu sur quelques poètes : estimant que cet effet a retenti au cœur même de leur expérience le plus spécifiquement poétique, pensant aussi qu’il leur a révélé la nature essentielle de la poésie, qui est de fonder l’être sur rien que le vœu qu’il y ait de l’être. Un projet certes difficile à dégager des émotions et des rêveries ordinaires. Mais que Paris a donc aidé à percevoir, au seuil d’une "heure nouvelle" du poétique dont la conscience de soi va être la grande tâche, autant que la cause de devenir. L’enquête, faute de temps, s’est limitée à Gérard de Nerval et à Baudelaire, celui-ci étant l’initiateur principal de cette modernité, pressentie aussi par Edgar Poe. Mais, commençant avec Hugo et Vigny, cette réflexion aurait pu s’étendre à Rimbaud, Mallarmé, Apollinaire, les surréalistes.
Collection : Conférences Del Duca Ces conférences ont été prononcées les 26, 27 et 29 novembre 2001 dans l’auditorium de la Bibliothèque nationale de France, site François-Mitterrand, dans le cadre du cycle des grandes conférences de la Bibliothèque nationale de France, grâce au soutien de la fondation Simone et Cino del Duca.
Le Petit Palais retrace dans une exposition l’entrée de Paris dans la modernité, de la Belle Époque jusqu’aux Années folles, une période qui voit la capitale devenir un foyer culturel bouillonnant, attirant de nombreux artistes. Ce hors-série dresse un panorama du tourbillon créatif qui emporte Paris, touchant tous les domaines de la création : peinture, sculpture, arts décoratifs, mode, théâtre, danse, photographie, cinéma…
Au sommaire :
Un ballet mécanique artistique : Conservatrice en chef du patrimoine et commissaire de l’exposition au Petit Palais, Juliette Singer revient sur les grands enjeux du Paris de la modernité. Pépinières de l’art neuf : De la Belle Époque aux Années folles, Paris attire, accueille et concentre une population cosmopolite d’artistes faisant de Montmartre, puis de Montparnasse, les creusets de l’avant-garde. Salons et anti-salons : La multiplicité des Salons de peinture à Paris, de la fin du XIXe siècle jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, traduit les dissensions artistiques, éthiques, sociales et politiques qui animent les acteurs d’un marché de l’art en plein essor. Artistes artisans : Innovations techniques et mécaniques, mode, danse… De nouvelles disciplines enrichissent la création artistique en ce début de siècle. Au sein de l’exposition, on assiste à un véritable éloge de la vitesse. Art patriotique : Les manifestations patriotiques organisées par les autorités pendant la Grande Guerre parviennent difficilement à occulter les ravages du conflit révélés par les revues illustrées et les récits d’anciens poilus. En temps de guerre : Pendant le conflit, après une brève interruption, la vie culturelle reprend de plus belle et les artistes continuent de créer. Une époque exaltée : Marquées par un imaginaire de frivolité, d’exubérance et d’effervescence culturelle, les Années folles témoignent de la soif de vivre qui suit la Première Guerre mondiale. Choquer le bourgeois : En multipliant les manifestes et les scandales, dadaïstes et surréalistes s’emploient à bousculer l’ordre établi pour mieux « régénérer la société ». Paris « lumière liberté » : Le XXe siècle est le laboratoire fécond de l’image en mouvement : le cinéma incarne l’attrait de la vitesse et le tourbillon créatif de cette période révolutionnaire – non seulement par ses innovations techniques, mais aussi dans ses moeurs profondes. Années folles au spectacle : Si l’on a coutume de coller l’épithète « folles » aux années qui courent de 1919 à 1929, c’est pour traduire au mieux le climat d’allégresse qui survient après la période de souffrances et de privations de la Première Guerre mondiale. 1925 : Paris, ville moderne : L’événement de ce quart de siècle consacre les arts décoratifs dans une immense exposition transversale, Paris accueille des créateurs et créatrices du monde entier, toutes disciplines confondues, dans cette célébration des arts et de l’industrie : l’Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes.
Entretien, études d’œuvre, infos pratiques… Ce hors-série constitue une présentation richement illustrée de l’exposition « Le Paris de la modernité (1905-1925) » au Petit Palais en préparation ou en complément de votre visite !
À 4 jours du début de Paris-Nice 2024, le Tour de France Club vous emmène sur les routes de la Course au soleil. Découvrez le parcours sur lequel vont s'affronter les coureurs pendant une semaine et tentez de pronostiquer le vainqueur du classement général.
Enfin, regardez le trailer des jeux vidéos du Tour de France 2024 et profitez d'une promotion exceptionnelle sur les éditions 2023.
La 82e édition de Paris-Nice prend une dimension inédite en lançant les grands débats d’une saison dont l’un des temps forts se jouera à nouveau à quelques pas de la Promenade des Anglais, avec l’arrivée finale du Tour de France. Déjà lauréat de Paris-Nice en 2022, Primoz Roglic vise d’entrer cette année dans le club des vainqueurs des trois grands tours cyclistes et démarre sa campagne sur la Course au soleil, avec comme principal adversaire Remco Evenepoel. Plusieurs prétendants sont en mesure de se mêler au duel attendu, dont David Gaudu, Carlos Rodriguez, Joao Almeida, Mattias Skjelmose ou Matteo Jorgenson.
Misez sur votre favori pour la victoire parmi tous les coureurs en course sur le Tour de France Club. Analysez les profils des étapes et faites le bon pronostic pour la victoire finale pour tenter de remporter le sweatshirt officiel de Paris-Nice de la boutique.
Retrouvez Tour de France 2024 et Pro Cycling Manager 2024 le 06 juin 2024 ! Un nouveau mode multijoueur et une gestion de vos sponsors vous attendent.
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De Pieter Brueghel l'ancien à Jan Brueghel le Jeune, l'exposition de la Pinacothèque nous plonge dans la peinture flamande des XVIe et XVIIe siècle. Fêtes populaires, œuvres florales, scènes religieuses ou peintures de paysages, ce hors-série donne un vaste aperçu de la production picturale de la « dynastie Brueghel » et de ses héritiers.
Ce spectacle inédit s'appuie sur le livre d'entretiens menés par la journaliste Annick Cojean, "Une farouche liberté", avec Ariane Ascaride et Philippine Pierre-Brossolette.
Il raconte soixante-dix ans de combats, d'engagement au service de la justice et de la cause des femmes menés par une femme d'exception, Gisèle Halimi.
Ariane Ascaride et Philippine Pierre-Brossolette interprètent tous les visages de la célèbre avocate éprise de liberté : la femme politique rebelle, la jeune fille, la mère, la grand-mère, l'amoureuse...
Prochaine Séance disponible: Vendredi 17 Mars 2023 à 19h00
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