Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Rechercher : la côte st andré
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Fin de: Paul Durand-Ruel et le post-impressionnisme, exposition à la Propriété Caillebotte, du 8 avril au 20 septembre 2
Paul Durand-Ruel est bien connu comme le défenseur de « la belle École de 1830 » (Delacroix, Corot, Daubigny, Millet...) et surtout comme « le marchand des Impressionnistes» (Monet, Renoir, Degas, Manet, Sisley...). En revanche, on ignore généralement qu’il a apporté le même soutien indéfectible à cinq peintres de la génération post-impressionniste (Moret, Maufra, Loiseau, G. d’Espagnat et André) qui étaient attachés à sa galerie par un contrat moral d’exclusivité
Maxime Maufra, Holdburn Head (Scrabster) (Ecosse) Thurso, 1895, Huile sur toile, Collection Association des Amis du Petit Palais, Genève, © Studio Monique Bernaz, GenèveCette méconnaissance tient pour une part à ce qu’il n’a pas vécu assez longtemps pour assurer leur succès. Ils sont entrés dans son écurie au milieu des années 1890 - il avait déjà dépassé la soixantaine -, à un moment où l’impressionnisme commençait tout juste à être reconnu par la critique et par les amateurs d’art éclairés : c’est en 1895 que Monet expose triomphalement chez Durand-Ruel sa série des Cathédrales de Rouen. Quand le galeriste meurt en 1922, après s’être retiré des affaires depuis quelques années, ses poulains n’ont pas eu le temps d’atteindre la grande notoriété.
Cette méconnaissance tient pour une autre part à ce que ces peintres – aujourd’hui bien présents dans les grands musées, dans les collections privées et sur le marché international de l’art - n’ont bénéficié, au cours des années passées, d’aucune exposition collective qui aurait permis de les découvrir en tant que groupe, d’apprécier leur valeur et de mesurer leurs affinités. Et cela alors même que Durand-Ruel les faisaient très souvent exposer ensemble, tant à Paris qu’à New York.
Le propos de l’exposition est de réparer cette injustice, en présentant des toiles très rarement exposées, mais révélatrices du grand art de ces peintres.
L’exposition permettra de dégager les proximités stylistiques de ces peintres de la « troisième génération Durand-Ruel ». Trois d’entre eux - Henry Moret, Maxime Maufra et Gustave Loiseau - sont des paysagistes et des marinistes, qui s’inscrivent dans le sillage de l’impressionnisme, tout en lui apportant de notables inflexions. Henry Moret et Maxime Maufra, en particulier, ont participé, à la fin des années 1880, à l’aventure de Pont-Aven, aux côtés de Paul Gauguin et du groupe synthétiste. Les deux autres – Georges d’Espagnat et Albert André – s’inscrivent davantage en rupture avec l’esthétique impressionniste, préférant au paysage les scènes de genre et la peinture décorative. A cet égard, l’expo- sition de ces coloristes permettra de faire écho, en région Ile-de-France, au Festival Normandie Impressionniste, qui a choisi la couleur comme thématique de sa quatrième édition.
Enfin, l’exposition sera l’occasion de découvrir, à travers un catalogue très documenté, les relations professionnelles mais aussi amicales qui unissaient ces peintres entre eux et avec leur marchand. Les commissaires se sont livrés à un dépouillement systématique des archives de la maison Durand- Ruel - catalogues d’expositions, livres de stock, de comptabilité, de remis en dépôt – et ils ont décrypté et exploité toute la passionnante correspondance échangée entre Durand-Ruel père et fils et leurs artistes. Cela leur permet de livrer ici un travail de première main, éclairant une période très riche de l’histoire de l’artLe parcours de l'exposition
L’exposition réunit soixante peintures, généreusement prêtées pour moitié par des institutions publiques françaises et étrangères et pour moitié par des collectionneurs. La plupart n’ont jamais été montrées au public.
À l’entrée de la Ferme Ornée, le Portrait de Paul Durand-Ruel par Renoir accueille les visiteurs.
L’exposition commence au premier étage avec trois paysagistes et marinistes : Gustave Loiseau, Maxime Maufra et Henry Moret. Chevalet sous le bras, tenant dans leurs mains des toiles de moyen format, ces trois peintres arpentent inlassablement, par tous les temps, les rivages et les falaises de la Normandie et de la Bretagne, cherchant dans un style spontané à capter les lumières fugaces et insaisissables de ces régions côtières.
Loiseau ouvre cette première section avec quatorze toiles, représentant des vues de deux grands ports normands, Rouen et Dieppe, ainsi que des paysages d’Ile-de-France. Influencé par Monet, il peint en série les mêmes motifs à diverses saisons, tels un magnifique Bords de l’Eure (Château-musée de Dieppe) traité par petites hachures ou Le Pont du chemin de fer à Pontoise représenté sous la neige (Museum der Bildenden Künste, Leipzig).
Puis, avec un ensemble de vingt-quatre toiles, Moret et Maufra élisent la Bretagne comme leur terrain de jeu pictural. Souvent compagnons de travail, ils sont fascinés par la mer et produisent, dans un style synthétiste ou impressionniste selon le cas, de multiples vues du littoral, dans des compositions similaires, tels par Moret L’Île de Groix (musée de la Compagnie des Indes, Lorient) et par Maufra Les trois falaises, St Jean-du-doigt (musée de Quimper) où le regard plonge sur la mer et les rochers. Parfois, la mer disparaît au profi de la falaise animée de personnages, comme dans Les Rochers au bord de l’Aven de Moret (musée de Pont-Aven). Ou bien Maufra assiste, auprès des pêcheurs, à l’échouage d’un bateau un jour de mer agitée (Le Bateau à la côte, Morgat, musée André Malraux, Le Havre).
On descend au rez-de-chaussée et là l’ambiance change complètement avec Albert André et Georges d’Espagnat. Ces deux peintres, représentés par un ensemble de vingt-deux toiles, délaissent la mer au profit des scènes de genre et des portraits intimistes. La couleur s’intensifie et le format des toiles peut atteindre des tailles spectaculaires, tels La Gare de banlieue (musée d’Orsay) par Georges d’Espagnat ou La Femme en bleue (musée d’art sacré du Gard) par Albert André. Dans La Femme aux paons (A. André) et Après-midi d’automne (G. d’Espagnat), tous deux en mains privées, l’écriture, très décorative, se rapproche de celle des Nabis.
Avec ce parcours en deux étapes, le visiteur accompagne les artistes dans leur recherche d’une nouvelle esthétique, qui les amène à s’éloigner peu à peu de l’impressionnisme, tout en gardant l’amour du plein air et la quête de la lumière qui ont fait son succès.Info pratiques
Propriété Caillebotte
8 Rue de Concy, 91330 Yerres
PF7Q+GG Yerres
proprietecaillebotte.com
01 80 37 20 61Pierre AimarLundi 27 Janvier 2020 -
premiers neiges chez nous ce matin
je descends ma côte pour le marché
j'spère que ça ne glisse pas
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J'ai vu pour la 1 ère fois vendredi l'église en face de mon cdi:Église Saint-Jean-Baptiste
LA PAROISSE NOTRE DAME DE LA JOIE
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Mon texte inédit sur ce blog:L'ombre de ce(ux)que j'aime
Le thème de la semaine
Merci ami(e)s auteures et auteurs pour vos belles écritures
Cette semaine nous vous proposons simplement de commencer votre texte par cet incipit :L'ombre de ...
Ombre d'une colline, d'un bâtiment, d'une personne, d'une âme errante, ou de ce qui vous plaira.
Vos imaginations fertiles et débordantes sauront nous surprendre, nous amuser, nous effrayer.
Envoyer vos participations avant le dimanche 25 Octobre à minuit vers à l’adresse mail habituelle : impromptuslitteraires[at]gmail.comhttp://impromptuslitteraires.blogspot.fr/p/le-theme-de-la-semaine.html
L'ombre de ce(ux)que j'aime
L'ombre des paysages où j'ai vécus et/ou vibrés plane sur moi comme une protection invisible contre la violence et la bêtise du monde. Sans fermer les yeux, juste par la pensée, je retrouve leurs odeurs, leurs couleurs, leurs bruits. Je sens dans ma bouche le goût de noisette des côtelettes d'agneau de Casablanca, je touche le tissu que mon mari fabriquait dans l'usine qu'il dirigeait là-bas. Je sens le vent de la vallée du Rhône ralentir la progression de mon vélo dans la Drôme des Collines. Je prends à nouveau les lacets de l'Ardèche au-dessus de la rivière de montagne qui menaçait de déborder. La basilique de St Quentin se dessine au loin lorsque nous arrivons chez mes beaux-parents. Je frémis de peur et de nostalgie mêlées en passant au milieu des coteaux de Champagne. Je remonte la colline qui mène à l'atelier de Cézanne juste au-dessus d'Aix-en-Provence. Je découvre avec émerveillement la basilique Sainte-Sophie même si je l'ai vu cent fois dans des livres. Je sens mon corps bouger au-dessus des vagues de la Manche dans le ferry vers l'Angleterre. J'échange mon premier baiser dans la forêt noire allemande. A l'angle de la rue montante vers notre villa, le petit cimetière ariégeois apparaît. Je me marie à nouveau en Auvergne: c'était bien , comme un cliché vrai, le plus beau jour de ma vie. La Sagrada Familia est aussi époustouflante dans la réalité que dans la biographie de Gaudi. L'avion descend vers la lagune et Venise surpasse mon imaginaire littéraire et pictural. La bière des petits bistrots de Belgique le dimanche coule dans ma gorge, l'ambiance y est si bon enfant. Nous partons à la recherche de bisons de Lozère mais le brouillard est si dense que tout y disparaît. Je visite la Pinacothèque, le Louvre, le Jeu de Paume, Orsay, l'Orangerie, le Luxembourg, le musée Delacroix, André, Le, Le, le Petit-Palais. Je trotte d'une exposition à une autre, avide d'art.. Je m'arrête devant les œuvres, leurs contours ou les idées qu'elles véhiculent. Le lac Léman s'étire entre Suisse et France, me rendant mon reflet lors de notre premier voyage. J'ai tout de suite aimé Villefranche sur Saône et son musée Paul-Dini. Je mange un steak américain dans un bistrot sympa de la Grand-Place de Lille. Le Palais du Facteur-Cheval est bien l'architecture idéale d'un génie. Je comprends en le traversant pourquoi le Vercors a abrité tant de luttes. Il a plu sur la Côte d'Azur et Marseille quand qu'y marchais parfois. Ça n'atténuait pas leur intérêt.
Je pourrais citer d'autres lieux tant les paysages sont ceux de mon âme. Ils me permettent de faire pâlir les moments de doute ou de peur à l'ombre de leur aura.19 octobre 2015
Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 14 livres en vente par les bannières sur ce blog
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Le Château Colcombet ce matin(photos perso)
Le lycée(où je commencerais à travailler lundi), installé dans « le Château Colcombet », ancienne demeure bourgeoise du siècle dernier, offre une palette étendue de formations, de la 3ème à projet professionnel au BTS.
Au XIXe siècle, les industriels et négociants stéphanois ont bâti ou restauré des « châteaux » au Minois, la Mure, le Cluzel, la Réardière, Landuzière, le Bois des Soeurs, Cizeron.Le château du Minois ou château Colcombet, quant à lui, domine la Commune.
Antoine Neyron, premier maire élu de Saint-Étienne en 1790, riche négociant stéphanois acquit ce domaine et entreprit la construction du château.
Il fut achevé en 1804. Sa petite fille l’apporta en dot à André Thomas Colcombet en 1826. Celui-ci créa le parc avec une très grande variété d’arbres et arbustes. Une donation a été faite en 1984 au profit de la Commune. Il abrite le lycée privé hôtelier « le Renouveau » depuis 1995. -
J'ai aimé parcourir:L'art français. Le XIXe siècle : 1819-1905(BU)
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De Manufrance au Planétarium
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Picasso, Léger, Masson : Daniel-Henry Kahnweiler et ses peintres
Jusqu'au 12 janvier 2014
Depuis sa réouverture, le LaM rend régulièrement hommage aux collectionneurs, galeristes et amateurs d’art qui, en alliant passion et patience, discrétion et générosité, on fait toute la richesse des collections des musées de France. Grâce aux prêts généreux du Centre Georges Pompidou, le musée retrace dans un parcours exceptionnel l’histoire de la Galerie Louise Leiris. Riche en rebondissements, elle est étroitement liée à la collection d’art moderne du LaM : Roger Dutilleul et Jean Masurel lui ont été fidèles pendant plusieurs décennies, constituant un ensemble d’oeuvres à la fois personnel et fortement imprégné des principes esthétiques du maître des lieux, Daniel-Henry Kahnweiler.
Celui qui va devenir le marchand des cubistes « héroïques », Georges Braque et Pablo Picasso, ouvre sa première galerie en 1907. Fernand Léger, Juan Gris et plus tard Henri Laurens rejoignent son « écurie ». La Première Guerre mondiale contraint Kahnweiler à ouvrir une seconde galerie en 1920, la Galerie Simon, qui accueille une nouvelle génération d’artistes : André Beaudin, Eugène de Kermadec et surtout André Masson, point de contact avec le surréalisme. À cette époque apparaît la figure de Louise Godon, sa belle-fille, qui assiste Kahnweiler dans la gestion de son établissement. Devenue l’épouse de Michel Leiris en 1926, elle rachète le fonds et donne son nom à la galerie lorsque le marchand est à nouveau contraint de quitter Paris, pendant la Seconde Guerre mondiale. Toujours maître à bord et fidèle à ses artistes, Kahnweiler organise à partir des années 1950 d’innombrables expositions Picasso, dont il a désormais l’exclusivité.
Déployée dans les salles de présentation permanente, l’exposition présente côte à côte des oeuvres du LaM issues de la Donation Geneviève et Jean Masurel, et celles que Louise et Michel Leiris ont offertes au Musée national d’art moderne - Centre Georges Pompidou. Assortie de prêts complémentaires provenant de collections privées et publiques, elle retrace l’histoire d’une galerie plus que centenaire. La figure de Michel Leiris, discrète mais présente pendant plusieurs décennies, permet, en contrepoint, de poser un regard original sur les « terrains » partagés du poète, des marchands et de leurs artistes : primitivisme, autobiographie et écriture.
Cette exposition, célébrant les 30 ans du musée, bénéficie des prêts exceptionnels du Musée national d’art moderne / Centre Georges Pompidou, Paris. Elle est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction générale des patrimoines/Service des musées de France. Elle bénéficie à ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’État.
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Expo Amil 2010
Tableau de notre propriétaire, André Cubertefon avec des feuilles collées.
Précédente note sur cette expo hier.
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Réécouté:Django Reinhardt avec le quintette du Hot club de France (Pour Elisabeth)
Guitariste (1910-1953)
Celui par qui tout commence. Avant lui, pas de musique de ce style. C’est lui qui, en mélangeant la tradition Tzigane et le Jazz américain puis le bop, va lancer une nouvelle forme de musique, appelé aujourd’hui swing, Jazz manouche, Gypsy Jazz. Ce site est un hommage à ce musicien extraordinaire.
Biographie :
Naissance le 23 janvier 1910 en Belgique de Jean-Baptiste Reinhardt dit "Django"
1923 : A treize ans il se produit au banjo au côté de Jean Vaissade dans les bals de Paris.
1928 : Suite à un incendie dans sa roulotte le rendant infirme de la main gauche, il se rééduque en pratiquant la guitare
1930 : il joue beaucoup sur la Côte d'Azur.
1933 : il rencontre Alix Combelle et Stéphane Grappelli. Avec ce dernier il va créer "Le Hot Club de France" avec qui il va se tailler une très grande réputation dans le monde entier. De nombreux solistes américains de passage en France se produisent avec lui : Coleman Hawkins, Benny Carter, Bill Coleman, ...
Pendant l'occupation, il joue avec Pierre Fouad et Hubert Rostaing (Grapelli préférant rester à Londres).
Après la guerre il tente l'aventure américaine mais sa difficulté d'adaptation dans les grands orchestres (Duke Ellington), lui valent un revers de carrière qui le marquera longtemps.
De retour à St Germain, il enthousiasme encore toute une génération par sa virtuosité et son talent d'improvisateur. Il se retire à Fontainebleau.
Décès le 16 mai 1953 à Samois (France)http://www.djangostation.com/jazzmanouche.php?article84: extraits à écouter sur ce site et plein d'autres choses
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Sport du 6 octobre 2021
médiathèque pour retours et réservation
psy du centre anti douleur
+parler de ma côte
+ PATCHS CHAUD ET FROID POUR MON DOS
brassière pour que les baleines du soutien-gorge ne blessent pas ma côte envoie de consolidation
j'espère
pour la douleur
et pour refaire de la gym
et retourner à la piscine
pour mon dos
mon moral
et tout mon corps
3,95 km
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AUCTION.FR
Le 15 Février, suivez la vente aux enchères de tableaux anciens et modernes, et d’un bel ensemble d'art animalier de la maison Chaville Enchères. Vous pourrez enchérir sur une œuvre de Charles Camoin datant de 1925. Cette huile sur toile intitulée « Confidences près du pont » est estimée 20 000 € (Lot 100). Le même jour, la maison Mercier & Cie dirigera une grande vente cataloguée d’art classique à Lille. Ne manquez pas ce tableau flamand attribué à Martin Van Cleve représentant la kermesse de Saint Sébastien. Cette huile sur panneau du XVIème siècle sera mise en vente pour une estimation comprise entre 60 000 et 80 000 € (Lot 277, photo ci-contre).Coup de cœur de la semaine :
Auction.fr est heureux de vous présenter la belle vente organisée par la maison Prunier le 15 Février à Louviers. Cette vente présentera des œuvres du Moyen Age, de Haute époque et des objets de curiosités. Découvrez notamment un ensemble de trois groupes sculptés en ronde bosse en bois polychrome et or provenant d’un retable illustrant des scènes de la dormition : l’apparition de l’archange Gabriel, le décès de Marie entourée des apôtres (photo ci-contre) et la scène de l’Assomption. Cet ensemble datant du XVème siècle et provenant probablement de Bourgogne est estimé entre 20 000 et 25 000 € (Lot 22).
Bonnes enchères sur Auction.fr !Voir toutes les prochaines ventes Résultats à noter : Lot 117 : Kaws – “Control”, Acrylique sur toile, 2013
Estimation : 120 000 / 150 000 €. Adjudication : 218 800 € (Frais compris)
Artcurial, 04/02/2015.
Lot 25 : Jean Adrien Mercier - HST
Estimation : 2 000 / 2 500 €. Adjudication : 5 200 €
Millon, 04/02/2015.
Lot 229 : École Crétoise, XVIIe siècle, d’après Emmanuel Lombardos -
Icône, tempera et or sur bois enduit.
Estimation : 12 000 / 18 000 €. Adjudication : 40 000 €
Eric Pillon Enchères, 08/02/2015.Voir les derniers résultats de ventes Zoom sur les ventes à venir Cocteau, Matisse, Picasso, méditerranéens
Le musée Jean Cocteau collection Séverin Wunderman commémore cette année le cinquantième anniversaire de la mort de Jean Cocteau par une exposition évènement intitulée Cocteau, Matisse, Picasso, méditerranéens.
Ce nouvel accrochage, qui occupe tous les espaces d’exposition du musée du 11 octobre 2013 – date anniversaire de la disparition du poète – au 3 novembre 2014, replace l’oeuvre des trois grands artistes contemporains dans le contexte artistique extraordinairement fertile de la Côte d’Azur des années d’après-guerre, à travers peintures, dessins, céramiques, mais aussi tapisseries et lithographies. Des photographies et extraits de films montrent le travail de création de Jean Cocteau à Santo Sospir, Pablo Picasso à Vallauris et Henri Matisse à Vence.
Les créatures fantastiques – faunes, centaures et sphinx – y côtoient les poissons, les pêcheurs mais aussi les scènes de corrida, les arlequins ou la danse. Le parcours muséographique évoque aussi les ateliers des trois artistes dans le Sud ainsi que les chapelles peintes et autres décors monumentaux entrepris dans la région, révélant la suprématie de l’acte graphique et d’un « art méditerranéen » propre à ces trois génies.
Près de quatre cents pièces, issues du fonds du musée mais aussi de prêts extérieurs, sont présentées : des oeuvres inédites de Picasso, exposées pour la première fois depuis leur donation par André Verdet aux villes de Saint-Paul-de-Vence et de Cordes-sur-Ciel ; des oeuvres préparatoires de Matisse pour la chapelle de Vence, prêtées par les soeurs dominicaines ; les collections particulières de Carole Weisweiller, du photographe Lucien Clergue, témoin vivant et ami de Picasso et Cocteau, de Ioannis Kontaxopoulos, grand collectionneur de l’oeuvre de Jean Cocteau ; mais aussi des oeuvres des collections du musée Matisse à Nice, du musée Picasso à Antibes, du Centre Pompidou à Paris, de la Maison Jean Cocteau à Milly-la-Forêt, des ateliers Madeline Laupin et de l’association Regards de Provence.
http://museecocteaumenton.fr/fr/article/cocteau-matisse-picasso-mediterraneens
Rouge Brésil de Jean-Christophe Rufin - vol 3 LE MEILLEUR DU PRIX GONCOURT(j'ai juste acheté le 1 er mais j'essaierais d
Cette collection exceptionnelle propose 40 romans sélectionnés par Le Figaro littéraire et l’Académie Goncourt depuis sa création en 1903. L’occasion inédite de découvrir ou de redécouvrir les plus grands auteurs dans une seule et même collection, qu’ils soient contemporains ou qu’ils aient marqué la littérature du XXe siècle : de Romain Gary à Michel Houellebecq en passant par Marcel Proust, Jean-Christophe Rufin, André Malraux, Erik Orsenna, Marguerite Duras, Elsa Triolet, Marie NDiaye, Edmonde Charles-Roux, Maurice Genevoix, Patrick Modiano, Amin Maalouf, Laurent Gaudé, Paule Constant, Tahar Ben Jelloun… Chaque roman est préfacé par un juré de l’Académie Goncourt, et présenté, en quatrième de couverture, par Etienne de Montety, directeur du Figaro littéraire.
12,90 €DISPONIBLEDepuis vingt ans, Jean-Christophe Rufin occupe l’une des toutes premières places parmi les écrivains français. Rouge Brésil y a contribué.
En 1555, le chevalier de Villegagnon débarque sur une côte d’Amérique du Sud. Sa colonie, installée dans une baie que l’on n’appelle pas encore Rio de Janeiro, se voudrait une société idéale. L’époque est aux utopies, mais la nature humaine en décidera autrement.
Avec ce magistral roman, Rufin poursuit une œuvre picaresque, commencée avec L’Abyssin et qui interroge notamment la première rencontre entre deux civilisations. L’aventure est belle, même si elle se fracasse sur les récifs de la réalité et de l’histoire.
À la parution du roman, on pouvait lire dans Le Figaro : « Écrit avec une fougue d’explorateur et une précision de naturaliste, Rouge Brésil est gorgé des senteurs, des lumières de ces tropiques où tout inlassablement se décompose et germe à nouveau. » Ces senteurs, ces lumières en font le charme, intact vingt ans après sa parution.https://boutique.lefigaro.fr/produit/133956-rouge-bresil-de-jean-christophe-rufin-vol-3?
Neige en décembre
Photos perso du 17 décembre 2010 à St-Bonnet le Château (Loire, 900 m d'altitude)
Hier, j''étais à la visite préparatoire pour les profs de la Biennale(autres notes à venir)
Edition abonné C'est parti pour un mois de design à St Etienne
J'ai fini hier soir: Rilke, Une existence vagabonde(BU)
https://brisees-opac.univ-st-etienne.fr/cgi-bin/koha/opac-detail.pl?biblionumber=462760
J'ai lu:
https://brisees-opac.univ-st-etienne.fr/cgi-bin/koha/opac-detail.pl?biblionumber=195336
J'ai fini hier soir:Le paysage et son ombre
https://brisees-opac.univ-st-etienne.fr/cgi-bin/koha/opac-detail.pl?biblionumber=130551
J'ai lu hier soir:Mankell par Mankell(BU)
https://brisees-opac.univ-st-etienne.fr/cgi-bin/koha/opac-detail.pl?biblionumber=465426
Comme tous les mercredis dans mon 2 e CDI, je lis la presse papier:
FEST'U 2019: nous y étions (comme l'année dernière) hier soir
Comme tous les mercredis dans mon 2 e CDI, je lis la presse papier: