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Des poèmes

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes, Musique

    Charles Trénet "Chanson d'automne" | Archive INA pour le défi 256 des Croqueurs de mots par Colette

     

    Ohé Mâtelôts !!!

    Me voici de retour 

    Comment allez-vous???

    Avez-vous passé un peu de bon temps en cette période

    un peu morose, faut bien reconnaître.

    Pour ma part, toujours sollicitée par les uns et les autres

    mais je reviens ici toujours avec le même plaisir.

    Pour cette quinzaine, c’est Colette qui s’y colle.

    Voici ce qu’elle nous propose.

    Pour le lundi 15 novembre :

    À partir de phrases de chansons, n’importe lesquelles,

    d’un ou de plusieurs chanteurs, sur l’automne ou le thème de votre choix,

    assemblez ces phrases pour en faire un texte cohérent.

    Pour les jeudis poésie des 11 et 18 novembre,

    chanson ou poésie sur le choix de votre thème.

    ou

    libre, bien entendu :

    Poème personnel, choix de poème, haïkus,

    acrostiche, citations etc. …

    Le môt de Dômi

    Si on chantait, si on chantait … avec Colette …

    Je me souviens, à mes tout débuts  dans la blogosphère

    je m’exprimais souvent en utilisant des titres de chansons.

    Je ne sais pas si je pourrais encore le faire

    mais en tout cas je vais m’y appliquer

    et j’attends avec impatience vos participations.

    Voilà que déjà …

    http://croqueursdemots.apln-blog.fr/si-on-chantait-si-on-chantait-avec-colette-defi-256/?utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_campaign=chez-les-croqueurs-de-mots_12

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes

    La Vie Par Procuration

    Elle met du vieux pain sur son balconPour attirer les moineaux, les pigeonsElle vit sa vie par procurationDevant son poste de télévision
    Levée sans réveilAvec le soleilSans bruit, sans angoisseLa journée se passeRepasser, poussièreY a toujours à faireRepas solitairesEn points de repèreLa maison si netteQu'elle en est suspecteComme tous ces endroitsOù l'on ne vit pasLes êtres ont cédéPerdu la bagarreLes choses ont gagnéC'est leur territoireLe temps qui nous casseNe la change pasLes vivants se fanentMais les ombres, pasTout va, tout fonctionneSans but, sans pourquoiD'hiver en automneNi fièvre, ni froid
    Elle met du vieux pain sur son balconPour attirer les moineaux, les pigeonsElle vit sa vie par procurationDevant son poste de télévisionElle apprend dans la presse à scandaleLa vie des autres qui s'étaleMais finalement, de moins pire en banalElle finira par trouver ça normalElle met du vieux pain sur son balconPour attirer les moineaux, les pigeons
    Des crèmes et des bainsQui font la peau douceMais ça fait bien loinQue personne ne la toucheDes mois, des annéesSans personne à aimerEt jour après jourL'oubli de l'amourSes rêves et désirsSi sages et possiblesSans cri, sans délireSans inadmissibleSur dix ou vingt pagesDe photos banalesBilan sans mystèreD'années sans lumière
    Elle met du vieux pain sur son balconPour attirer les moineaux, les pigeonsElle vit sa vie par procurationDevant son poste de télévisionElle apprend dans la presse à scandaleLa vie des autres qui s'étaleMais finalement, de moins pire en banalElle finira par trouver ça normalElle met du vieux pain sur son balconPour attirer les moineaux, les pigeonsLa vie des autres qui s'étaleMais finalement, de moins pire en banalElle finira par trouver ça normalElle met du vieux pain sur son balconPour attirer les moineaux, les pigeons
    Source : LyricFind
    Paroliers : Jean-Jacques Goldman
    Paroles de La vie par procuration © Jrg Musicales

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes, Musique

    J'aime regarder les filles

    J'aime regarder les filles qui marchent sur la plage
    Sur leur peau le soleil caresse bien trop sage
    Le vent qui les décoiffe un goût de sel sur mes lèvres
    J'aime
    J'aime regarder les filles qui marchent sur la plage
    Les hanches qui balancent et les sourires fugaces
    Je regarde les vagues qui jouent avec leur corps
    J'aime
    J'aime regarder les filles qui marchent sur la plage
    Leurs poitrines gonflées par le désir de vivre
    Leurs yeux qui se détournent quand tu les regardes
    J'aime
    J'aime regarder les filles qui marchent sur la plage
    Le soleil sur leur peau qui jour à cache-cache
    Et des ombres solaires le parfum volage
    J'aime (les filles, les filles)
    Regarder les filles (les filles, les filles), les filles (les filles, les filles)
    J'aime regarder les filles (les filles, les filles)
    Le soleil sur leur peau (les filles, les filles)
    Leur hanches qui balancent (les filles)
    Leur poitrine gonflée (les filles)
    J'aime regarder les filles (les filles, les filles, les filles, les filles)
    J'aime
    J'aime
    J'aime regarder les filles qui marchent sur la plage
    Quand elles se déshabillent et font semblant d'être sages
    Leurs yeux qui se demandent mais quel est ce garçon
    J'aime
    J'aime regarder les filles qui marchent sur la plage
    Leur ventre qui se colle sur le sable chaud
    Le vent qui les décoiffe et les sourires fugaces
    J'aime regarder les filles qui marchent sur la plage
    J'aime
    Regarder les filles
    Les filles, les filles
    J'aime
    Regarder les filles
    Regarder les filles
    J'aime regarder les filles
    J'aime regarder les filles
    Les filles, les filles, les filles, les filles
    Les filles, les filles, les filles, les filles, les filles, les filles
    J'aime regarder les filles
    J'aime regarder les filles
    J'aime regarder les filles
    Source : LyricFind
    Paroliers : Patrick Coutin
    Paroles de J'aime… regarder les filles © Sony/ATV Music Publishing LLC

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes, Musique

    Je réécoute mes cassettes: J'ai la guitare qui me démange - Yves Duteil pour le lundi en musique de Passiflore

    Paroles de la chanson J'ai La Guitare Qui Me Démange par Yves Duteil

    J'ai la guitare qui me démange,
    Alors je gratte un p'tit peu.
    Ça me soulage et ça s'arrange
    Mais ça fait pas très sérieux.
    Pardonnez-moi, c'est très étrange,
    Ça me prend là où ça veut.
    C'est la guitare qui me démange,
    Alors je gratte un p'tit peu.

    J'aurais pu, c'est héréditaire,
    Être officier d'Etat major,
    Archevêque ou vétérinaire,
    Clerc de notaire ou chercheur d'or.
    Le hasard et la génétique
    En ont voulu tout autrement.
    J'ai mis les doigts dans la musique,

    Et c'est ainsi qu'à présent...

    J'ai la guitare qui me démange,
    Alors je gratte un p'tit peu.
    Ça me soulage et ça s'arrange
    Mais ça fait pas très sérieux.
    Dans l'industrie, l'électronique,
    Le commerce et les assurances,
    J'avais des dons pour la pratique,
    Oui, mais côté références...

    J'ai la guitare qui me démange,
    Alors je gratte un p'tit peu.
    Ça fait du bien dans les phalanges,
    Mais ça fait pas très sérieux.
    Y a rien à faire pour que ça change,
    Faut se faire une raison.
    J'ai la guitare qui me démange,

    Alors j'écris des chansons.

    J'ai appris à lire, à écrire
    Et je compte sur mes dix doigts
    Pour composer de doux délires
    À partir de n'importe quoi.
    Ne croyez pas que je m'amuse,
    Que je cours après les honneurs.
    Si je taquine un peu la muse,
    C'est pas pour les droits d'auteur.

    J'ai la guitare qui me démange,
    Alors je gratte un p'tit peu.
    Ça me soulage et ça s'arrange,
    Mais au bout d'une heure ou deux,
    Quand je me prends pour un artiste,
    Ça donne un résultat miteux,
    Ça me rend profondément triste,

    Et quand je suis malheureux...

    J'ai la guitare qui me démange,
    Alors je gratte un p'tit peu.
    Ça me soulage et ça s'arrange,
    Mais c'est un cercle vicieux.
    Y a rien à faire pour que ça change,
    Faut se faire à cette idée.
    J'ai la guitare qui me démange,
    Alors j'essaie de chanter.

    J'ai consulté un spécialiste
    Pour me guérir, mais sans succès.
    Il m'a dit "Si le mal persiste,
    Essayez de prendre un cachet."
    Avant même que je le comprenne,
    J'étais déjà dev'nu chanteur,
    Et c'est pour ça que sur la scène,

    Entre les deux projecteurs...

    J'ai la guitare qui me démange,
    Alors je gratte un p'tit peu.
    Ça me soulage et ça s'arrange
    Et si c'est pas très sérieux,
    C'est la plus belle leçon d'musique
    Que j'ai reçue depuis toujours;
    C'est la meilleure thérapeutique
    Quand j'ai des chagrins d'amour.

    J'ai la guitare qui me démange,
    Alors je gratte un p'tit peu.
    Ça me soulage et ça s'arrange
    Et quand je serai très vieux,
    À ma mort, je veux qu'on m'installe
    Avec ma guitare à la main.
    Si vous voyez ma pierre tombale

    Qui gigote à la Toussaint...

    C'est la guitare qui me démange,
    Alors je gratte un p'tit peu
    Dans les nuages avec les anges
    Et tout là-haut dans les cieux.
    Pardonnez-moi si ça dérange :
    Ça me prend là où ça veut.
    C'est la guitare qui me démange,
    Alors je gratte un p'tit peu.
    Y a rien à faire pour que ça change,
    Et si, dans un jour ou deux,
    Y a la guitare qui vous démange,
    Alors c'était contagieux.

     

     

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes, Musique

    Phil Barney - Un enfant de toi

    C'était le mois de février
    Ton ventre était bien rond
    C'est vrai qu'on l'attendait
    On voulait l'appeler Jason

    Ce matin-là, il faisait froid
    J'avais rendez-vous au studio
    Et tout en soufflant sur mes doigts
    J'disais l'petit s'ra un verseau

    Avoir un seul enfant de toi
    Ça f'sait longtemps que j'attendais
    Le voir grandir auprès de toi
    C'est le cadeau dont je rêvais
    Qu'il ait ton sourire, ton regard
    Quand tu te lèves le matin 

    Avec l'amour et tout l'espoir
    Que j'ai quand tu me tiens la main

    Et puis on m'a téléphoné
    Et moi bien sûr, j'ai tout quitté
    Les choeurs, les cuivres et la rythmique
    J'dev'nais papa, c'était magique

    Puis le taxi m'a déposé
    Devant la porte de la clinique
    Et comme un fou je suis monté
    Garçon ou fille c'était critique

    Avoir un seul enfant de toi
    Ça f'sait longtemps que j'attendais
    Le voir grandir auprès de toi
    C'est le cadeau dont je rêvais
    Qu'il ait ton sourire, ton regard
     

    Quand tu te lèves le matin
    Avec l'amour et tout l'espoir
    Que j'ai quand tu me tiens la main

    On m'a tendu un paquet d'langes
    Dans lequel petit homme dormait
    Puis on m'a dit, d'une voix étrange
    Que c'était tout ce qui m'restait

    Tout le monde était très gentil
    Et moi je ne comprenais pas
    Que dans son coeur y'avait la vie
    Et qu' dans le tien, il faisait froid

    Ça fait dix ans qu't'as fait le vide
    Ça fait dix ans qu'tu n'es plus là
    C'est le p'tit homme qui compte mes rides
    Il dit qu'il t'aime à travers moi 

    Personne depuis n'a pris ta place
    L'enfant est là et j'l'aime pour deux
    Ton image est bien trop vivace
    Et c'est bien celle que j'aime le mieux

    Avoir un seul enfant de toi
    Ça f'sait longtemps que j'attendais
    Le voir grandir auprès de toi
    C'est le cadeau dont je rêvais
    Qu'il ait ton sourire, ton regard
    Quand tu te levais le matin
    Avec l'amour et tout l'espoir
    Qu' j'avais quand tu m'tenais la main

    https://www.paroles.net/phil-barney/paroles-un-enfant-de-toi

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes, Musique

    Maritie et Gilbert Carpentier - YouTube pour la La Musique du Mercredi chez ZAZARAMBETTE

    Paroles
    Déjà lavé, en pyjama qui m'gratteDans la télé, des Claudettes en grappeParce que demain y a pas écoleMike Brandt, Sacha Distel
    Play-back et pattes d'éléphantsRouflaquettes et costume blancIls avaient des beaux habitsQu'ils doivent regretter amèrement aujourd'hui
    Ils portaient bien la moustacheDans des décors pas encore kitschMicro tenu du bout des doigtsEn éloignant le fil d'un geste du bras
    Maritie et Gilbert CarpentierSont heureux de vous présenterAttention, l'émission va commencerMaritie et Gilbert Carpentier
    Quelques décors pour faire BroadwayUn réverbère, un cabaretUn faux saloon, c'est l'AmériqueEt des trucages préhistoriques
    Ils s'appelaient presque tous MichelPolnareff, Jonasz, DelpechMichel Fugain, Michel BergerEt Michel le Forestier
    Maritie et Gilbert CarpentierSont heureux de vous présenterAttention, l'émission va commencerMaritie et Gilbert Carpentier
    Y avait tellement d'applaudissementsQu'on dirait une émission d'maintenantAmbiance Fox-trot, Sylvie VartanEt des danseurs partout, tout l'temps
    Quand ils s'trompaient de caméraUn petit tour et les revoilàLe doigt vers l'objectif, je chante pour toiOn a tout à apprendre de Claude François
    Maritie et Gilbert CarpentierSont heureux de vous présenterAttention, l'émission va commencerMaritie et Gilbert Carpentier
    Puis défilait le génériqueQui annonçait le moment tragique"Les enfants, allez vous coucher"Impossible de négocier, je sais, j'ai essayé
    Maritie et Gilbert CarpentierSont heureux de vous présenterAttention, l'émission va commencerMaritie et Gilbert Carpentier
    Maritie et Gilbert CarpentierSont heureux de vous présenterAttention, l'émission va commencerMaritie et Gilbert Carpentier
    Maritie et Gilbert CarpentierSont heureux de vous présenterAttention, l'émission va commencerAvec les moyens techniques de la SFP
    Source : Musixmatch
    Paroliers : Bruno Nicolini / Jean-francois Berger / Bruno Nicolini (benabar)
    Paroles de Maritie et Gilbert Carpentier © Universal Music Publishing, Ma Boutique

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes, Musique

    La montagne pour la musique du mercredi chez Zazarambette

    Paroles
     
    Ils quittent un à un le paysPour s'en aller gagner leur vie, loin de la terre où ils sont nésDepuis longtemps ils en rêvaientDe la ville et de ses secrets, du formica et du cinéLes vieux, ça n'était pas originalQuand ils s'essuyaient machinal, d'un revers de manche les lèvresMais ils savaient tous à proposTuer la caille ou le perdreau et manger la tomme de chèvre
    Pourtant, que la montagne est belle, comment peut-on s'imaginerEn voyant un vol d'hirondelles, que l'automne vient d'arriver ?
    Avec leurs mains dessus leurs têtesIls avaient monté des murettes jusqu'au sommet de la collineQu'importent les jours, les annéesIls avaient tous l'âme bien née, noueuse comme un pied de vigneLes vignes, elles courent dans la forêtLe vin ne sera plus tiré, c'était une horrible piquetteMais il faisait des centenairesÀ ne plus savoir qu'en faire, s'il ne vous tournait pas la tête
    Pourtant, que la montagne est belle, comment peut-on s'imaginerEn voyant un vol d'hirondelles, que l'automne vient d'arriver ?
    Deux chèvres et puis quelques moutonsUne année bonne et l'autre non, et sans vacances, et sans sortiesLes filles veulent aller au balIl n'y a rien de plus normal que de vouloir vivre sa vieLeur vie, ils seront flics ou fonctionnairesDe quoi attendre sans s'en faire que l'heure de la retraite sonneIl faut savoir ce que l'on aimeEt rentrer dans son HLM, manger du poulet aux hormones
    Pourtant, que la montagne est belle, comment peut-on s'imaginerEn voyant un vol d'hirondelles, que l'automne vient d'arriver ?
     
    Source : LyricFind

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  • NOPLP Arsène "Santiano" (Hugues Aufray) (Avril 2020) pour le défi deJean-Marie

    C'est un fameux trois-mâts, fin comme un oiseau(Hissez haut! Santiano!)Dix-huit nœuds, quatre cents tonneauxJe suis fier d'y être matelot
    Tiens bon la vague et tiens bon le ventHissez haut! Santiano!Si Dieu veut, toujours droit devant(Nous irons jusqu'à San Francisco)
    Je pars pour de longs mois en laissant Margot(Hissez haut! Santiano!)D'y penser, j'avais le cœur gros(En doublant les feux de Saint Malo)
    Tiens bon la vague et tiens bon le ventHissez haut! Hissez haut! Santiano!Si Dieu veut, toujours droit devant(Nous irons jusqu'à San Francisco)
    On prétend que là-bas, l'argent coule à flots(Hissez haut! Santiano!)On trouve l'or au fond des ruisseaux(J'en ramènerai plusieurs lingots)
    Tiens bon la vague et tiens bon le ventHissez haut! Hissez haut! Santiano!Si Dieu veut, toujours droit devant(Nous irons jusqu'à San Francisco)
    Un jour je reviendrai, chargé de cadeauxHissez haut! Santiano!Au pays, j'irai voir Margot(À son doigt, je passerai l'anneau)
    Tiens bon le cap et tiens bon le flotHissez haut! Hissez haut! Santiano!Sur la mer qui fait le gros dosNous irons jusqu'à San Fran-cis-co
    Source : LyricFind
    Paroliers : David Louis Fisher / Jacques PlanteDéfi de Jean Marie... Hugues Aufray
    Paroles de Santiano © Warner Chappell Music France

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes, Musique

    Bopper en larmes en me préparant ce matin pour la musique du mercredi chez Zazarambette

    Paroles de la chanson Bopper En Larmes par Laurent Voulzy

    Bopper en larmes
    Ouh ouh ouh
    Bopper en larmes
    Danse et pleure
    De tout son cœur

    Bopper en larmes
    Ouh ouh ouh
    Bopper en larmes
    Que c'est beau
    Ses yeux dans l'eau

    Il beebop sa peine tout seul au bal
    Démoli par une fille brutale
    Il a des pastilles bleu ciel qu'il avale
    Pour pas que sa vie lui fasse trop mal
    Le bopper en larmes

    Pleure pleure pleure
    Voyez comme il danse
    Danse danse danse
    Dedans il pleure
    Bopper en larmes
    Pleure pleure pleure
    Shoobeedoo oh bopper
    Danse danse danse
    Dedans il pleure
    Bopper en larmes

    Bopper en larmes (2x)
    Ah...Bopper
    Pleure danse pleure
    Pleure le bopper
    Pleure danse danse pleure

    {chœurs}

    Bopper en larmes
    Ouh euh ouh
    Bopper en larmes
    Laissez faire
    Guitares d'enfer
    Bopper en larmes
    Ouh euh euh
    Bopper en larmes

    Comme un Bœing perdu plus de signal
    Dérive dans la nuit sentimentale
    Sans son amour son cristal
    Il est largué dans les étoiles
    Le bopper en larmes

    Pleure pleure pleure
    Voyez comme il danse
    Danse danse danse
    Dedans il pleure
    Bopper en larmes
    Pleure pleure pleure
    Shoobeedoo oh bopper
    Danse danse danse
    Dedans il pleure
    Bopper en larmes

    Ah...
    Bopper en larmes

    Pleure pleure pleure
    Voyez comme il danse
    Danse danse danse
    Dedans il pleure
    Bopper en larmes
    Pleure pleure pleure

    Shoobeedoo oh bopper
    Danse danse danse
    Dedans il pleure
    Bopper en larmes
    Pleure pleure pleure
    Voyez comme il danse
    Danse danse danse
    Dedans il pleure
    Bopper en larmes
    Pleure pleure pleure
    Dehors il danse le bopper
    Danse danse danse
    Dedans il pleure
    Bopper en larmes
    Pleure pleure pleure
    Voyez comme il danse
    Danse danse danse etc.
    ...

     
     
    Écoutez "Bopper En Larmes"
    sur Amazon Music Unlimited (ad)
     
    Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)

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  • NOPLP (que je regarde tous les soirs quand il y a un maestro comme en ce moment)Mickael "Que Tu Reviennes" (Patrick Fiori) (fév 2020)

    Défis  http://lejardindejeanmarie.eklablog.com

     

    Thème ce Vendredi  (Patrick Fiori)    

     

    http://lejardindejeanmarie.eklablog.com/

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes

    Mes petits CM2 me récitent: Voici les douze mois

    Voici les douze mois,
    ils marchent trois à trois.

    Avec son blanc manteau de neige,
    Janvier mène le cortège,
    Et 
    Février, sur le même rang,
    a honte d’être si peu grand.
    A ses côtés, c’est Mars fantasque, 
    le nez mouillé par la bourrasque.

    Voici les douze mois,
    ils marchent trois à trois.

    Admirez Avril qui s’avance,
    S
    on bonnet de fleurs se balance.
    M
    ai, joyeux, lui donne le bras,
    V
    êtu de rose et de lilas,
    E
    t Juin, les tempes vermeilles,
    E
    t les cerises aux oreilles.

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes, Musique

    Salvatore Adamo - Les filles du bord de mer (Live Olympia 1965) que mon mari chantait souvent

    Défis  http://lejardindejeanmarie.eklablog.com

     

    Thème ce Vendredi  (Thème spécial Adamo)

     

    Je me souviens du bord de merAvec ces filles au teint si clairElles avaient l'âme hospitalièreC'était pas fait pour me déplaire
    Naives autant qu'elle étaient bellesOn pouvait lire dans leurs prunellesQu'elles voulaient pratiquer le sportPour garder une belle ligne de corpsEt encore, et encoreZ'auraient pu danser la java
    Z'étaient chouettes les filles du bord de merZ'étaient faites pour qui savait y faire
    Y en avait une qui s'appellait EveC'était vraiment la fille d'mes rêvesElle n'avait qu'un seul défautElle se baignait plus qu'il ne faut
    Plutôt que d'aller chez le masseurElle invitait le premier baigneurÀ tâter du côté de son cœurEn douceur, en douceurEn douceur et profondeur
    Z'étaient chouettes les filles du bord de merZ'étaient faites pour qui savait y faireZ'étaient chouettes les filles du bord de merZ'étaient faites pour qui savait y faire
    Lui pardonnant cette manieJ'lui proposais de partager ma vieMais dès que revint l'étéJe commençais à m'inquièter
    Car sur les bords d'la Mer du NordElle se remit à faire du sportJe tolérais ce violon d'IngresSinon elle devenait malingre
    Puis un beau jour j'en ai eu marreC'était pis que la mer à boireJe l'ai refilée à un gigoloEt j'ai nagé vers d'autres eauxEn douceur, en douceur
    Z'étaient chouettes les filles du bord de merZ'étaient faites pour qui savait y faireZ'étaient chouettes les filles du bord de merZ'étaient faites pour qui savait y faire
    Z'étaient chouettes les filles du bord de merZ'étaient faites pour qui savait y faire
    Source : Musixmatch
    Paroliers : Salvatore Adamo / Joseph Elie De Boeck / Oscar Toussaint (oscar Saintal)

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes, Musique

    Marc Lavoine "Bascule avec moi" | Archive INA - YouTube

    Tu n'oses pas te laisser faireTu l'as jamais faitPourtant tu te couches parterreEn secretTu n'oses pas toucher ton corpsT'as peur de grandirPourtant le soir quand tu t'endorsTu te fais rougir, tu te fais rougir
    Bascule avec moi, basculeSi tu as chaud en toiC'est l'amour qui te brûleSi tu as chaud comme çaBascule avec moi, basculeSi tu as chaud en toiC'est l'amour qui te brûleSi tu as chaud comme çaBascule
    Tu n'oses pas aller jusqu'au boutTu l'as jamais faitPourtant tu te moques de toutEn secretTu n'oses pas donner ton corpsTa peur de t'ouvrirPourtant le soir quand tu t'endorsTu te fais souffrir, tu te fais souffrir
    Bascule avec moi, basculeSi tu as chaud en toiC'est l'amour qui te brûleSi tu as chaud comme çaBascule avec moi, basculeSi tu as chaud en toiC'est l'amour qui te brûleSi tu as chaud comme çaBascule
    Source : LyricFind
    Paroliers : Fabrice Aboulker / Marc Lavoine
    Paroles de Bascule avec moi © Universal Music Publishing Group

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes, Musique

    Toute la pluie tombe sur moi Ensemble des enregistrements de Sacha Distel

    Paroles
     
    Toute la pluie tombe sur moiEt comme pour quelqu'un dont les souliersSont trop étroits tout va de guingoisToute la pluie tombe sur moi
    De tous les toitsA chaque instant, je me demande vraimentCe qui m'arrive et ce que j'ai fait au Bon DieuOu à mes aïeux pour
    Qu'autant de pluie tombeSoudain comme ça, sur moiMais je me dis qu'au fondJ'en ai reçu bien d'autres dans ma vie
    Que je m'en suis toujours sorti avec le sourireToute la pluie tombe sur moiOui mais, moi je fais comme si je ne la sentais pas
    Je ne bronche pas, carJ'ai le moral et je me dis qu'après la pluieVient le beau temps et moi j'ai tout mon temps
    J'ai le moral et je me dis qu'après la pluieOui, je sais bien qu'après la pluieVient le beau temps
    Et moi j'ai tout mon tempsVient le beau tempsEt moi j'ai tout mon temps
    Source : LyricFind
    Paroliers : Burt F. Bacharach / Hal David
    Paroles de Toute la pluie tombe sur moi © BMG Rights Management

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes, Musique

    Tout, tout pour ma chérie

    Tout, tout pour ma chérie, ma chérieTout, tout pour ma chérie, ma chérieTout, tout pour ma chérie, ma chérieTout, tout pour ma chérie, ma chérie
    Toi, viens avec moiEt pends toi à mon brasJe me sens si seulSans ta voix, sans ton corpsQuand tu n'es pas làOh oui, viens!Viens près de moiJe ne connais rien de toiNi ton nom, ni l'âge que tu asEt pourtant tu ne regretteras pasCar je donne
    Tout, tout pour ma chérie, ma chérieTout, tout pour ma chérie, ma chérieTout, tout pour ma chérie, ma chérieTout, tout pour ma chérie, ma chérie
    Je suis sur un piédestal de cristalEt j'ai peur un jour de tomberSans avoir personne à mes côtésMais si tu viensViens avec moiJe sais qu'il y auraQuelqu'un qui marchera près de moiQui mettra fin à mon désarroi
    Tout, tout pour ma chérie, ma chérieTout, tout pour ma chérie, ma chérieTout, tout pour ma chérie, ma chérieTout, tout pour ma chérie, ma chérie
    Toi, viens avec moiJ'ai trop besoin de toiJ'ai tant d'amour à te donnerLaisse-moi, laisse-moi te serrer contre moiOui, viens avec moiEt ne me quitte pasJe t'attends depuis tant d'annéesMon amour, tant d'années à pleurer
    Tout, tout pour ma chérie, ma chérieTout, tout pour ma chérie, ma chérieTout, tout pour ma chérie, ma chérieTout, tout pour ma chérie, ma chérie
    Source : LyricFind
    Paroliers : Michel Polnareff
    Paroles de Tout, tout pour ma chérie © BMG Rights Management, BMG Rights Management (france)

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes, Musique

    Jolie môme

    T'es toute nue sous ton pullY a la rue qu'est maboule, jolie mômeT'as ton cœur à ton couEt l'bonheur par en d'ssous, jolie môme
    T'as l'Rimmel qui fout l'campC'est l'dégel des amants, jolie mômeTa prairie ça sent bonFais-en don aux amis, jolie môme
    T'es qu'une fleur de printempsQui s'fout d'l'heure et du tempsT'es qu'une rose éclatéeQue l'on pose à côté, jolie môme
    T'es qu'un brin de soleilDans l'chagrin du réveilT'es qu'une vamp qu'on éteintComme une lampe au matin, jolie môme
    Tes baisers sont pointusComme un accent aigu, jolie mômeTes p'tits seins sont du jourÀ la coque, à l'amour, jolie môme
    Ta barrière de frou-frousFaut s'la faire mais c'est doux, jolie mômeTa violette est l'violonQu'on violente et c'est bon, jolie môme
    T'es qu'une fleur de passe-tempsQui s'fout d'l'heure et du tempsT'es qu'une étoile d'amourQu'on entoile aux beaux jours, jolie môme
    T'es qu'un point sur les "I"Du chagrin de la vieT'es qu'une chose de la vieQu'on arrose, qu'on oublie, jolie môme
    T'as qu'une paire de mirettesAu poker des conquêtes, jolie mômeT'as qu'une rime au bonheurFaut qu'ça rime, ou qu'ça pleure, jolie môme
    T'as qu'une source au milieuQu'éclabousse du bon dieu, jolie mômeT'as qu'une porte en voile blancQue l'on pousse en chantant, jolie môme
    T'es qu'une pauvre petite fleurQu'on guimauve et qui meurtT'es qu'une femme à r'passerQuand son âme est froissée, jolie môme
    T'es qu'une feuille de l'automneQu'on effeuille, monotoneT'es qu'une joie en alléeVas chez moi la r'trouver, jolie môme
    T'es toute nue sous ton pullY a la rue qu'est maboule, jolie môme (jolie môme)
     

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