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Claudel Camille

  • J'ai relu hier le parcours de visite du musée Camille Claudel visité le 14 juillet 2017

    Camille CLAUDEL (1864 - 1943), Les Causeuses au paravent, 1893 - 1905, bronze et marbre ou albâtre teinté, fonte Eugène Blot, 1905, H.32 L.34 P.24 cm, Musée Camille Claudel Nogent-sur-Seine, inv.2010.1.17, achat à Reine-Marie Paris en 2008

    Le 14 juillet 2017, nous avons vu au Musée Camille Claudel

     

    Camille CLAUDEL (1864 - 1943), Les Causeuses au paravent, 1893 - 1905, bronze et marbre ou albâtre teinté, fonte Eugène Blot, 1905, H.32 L.34 P.24 cm, Musée Camille Claudel Nogent-sur-Seine, inv.2010.1.17, achat à Reine-Marie Paris en 2008Crédits Photo : musée Camille Claudel, Yves Bourel

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  • L'actualité de l'art et de son marché le 21 janvier 2015

    Logo LeJournaldesArts.fr 
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    * vente de la collection Marcilhac, chez Sotheby's, Paris
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    * Nouvelle poussée des ventes publiques
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    L'année 2014 s'annonce exceptionnelle pour New York et Londres. En France, les maisons de ventes sont loin de faire aussi bien.
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    * Helge Achenbach
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    * Le conseiller en art Achenbach est condamné à verser 19,4 millions de dommages et intérêts aux héritiers Albrecht
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    Alors que la procédure pénale suit son cours, la procédure civile s'est achevée le 20 janvier. La collection d'art d'Helge Achenbach sera vendue aux enchères en mai et juin prochain.
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    * Camille Claudel, L'Âge mûr
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    * Un regard neuf sur Camille Claudel
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    La Piscine de Roubaix dissèque les inspirations de la sculptrice, ne voulant pas la réduire à une confrontation avec Rodin.
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  • J'ai lu cette semaine:Hors-série : Camille Claudel

     

    Signature : CDA - 20 novembre 2014
     
    Hors-série : Camille Claudel

    Edité à l'occasion du 150e anniversaire de la naissance de Camille Claudel, ce hors-série revient sur les pièces phares de l'artiste.

     

    Il permet, en parallèle de l'exposition que lui consacre La Piscine - Musée d'Art et d'Industrie André Diligent - Roubaix, de replacer son oeuvre dans la valse de l'Art Nouveau.

  • Catégories : CELLES QUE J'AIME, Claudel Camille, Des femmes comme je les aime

    Vidéo : Avant-première - Camille Claudel à la Piscine de Roubaix

    Vidéo : Avant-première - Camille Claudel à la Piscine de Roubaix

     
    Camille Claudel, La Vague ou Les Baigneuses, 1897 - 1903, onyx et bronze sur socle en marbre, 1903, H. 62 ; L. 56 ; P. 50 cm. Paris, Musée Rodin (Photo Christian Baraja.)

    Alors qu'a ouvert, début novembre, l'exposition "Camille Claudel. Au miroir d'un art nouveau" à la Piscine de Roubaix, Guy Boyer reçoit le directeur du musée, Bruno Gaudichon, pour faire le point sur le mythe qui entoure l'artiste.

  • L'Oeil N°672 Octobre 2014

    L'Oeil
      

    Ce mois-ci L’Œil fait genre. Le magazine consacre ses pages aux femmes, à toutes celles qui, artistes, muses et épouses, conservatrices de musées, commissaires d’expositions et collectionneuses, « ont fait et font l’art ». Pourquoi ? Parce que l’actualité immédiate autour des artistes du Deuxième Sexe s’y prête, voire le réclame. L’importante rétrospective « Niki de Saint Phalle », qui se tient  au Grand Palais du 17 septembre au 2 février, ouvre une saison qui met à l’honneur Sonia Delaunay, Camille Claudel et Tania Mouraud, pour les événements les plus médiatiques.  Si toutes les quatre ont nourri un travail singulier réductible  à aucun autre, fût-il celui d’hommes aussi importants que Jean Tinguely, Robert Delaunay ou Rodin, toutes ont en commun d’être des artistes indépendamment de leur sexe, et de voir enfin leur travail réévalué par un système (écoles, galeries, musées) qui leur a ...

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  • Catégories : CELLES QUE J'AIME, Claudel Camille

    Par Danièle Kapel-Marcovici Présidente de la Villa Datris

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    Pourquoi la Villa Datris a-t-elle choisi d’exposer uniquement des sculptrices ?

    Tout simplement parce que cela est passionnant et nécessaire et que cela s'impose comme une évidence : la réalité montre que les artistes femmes sont moins exposées que les hommes, et la parité artistique est loin d'être habituelle dans les musées et lieux culturels...

    Plus symboliquement, la Villa Datris souhaite, à travers cette exposition, rendre hommage aux sculptrices et aux femmes. Montrer leur tempérament pionnier, leur talent, leur spécificité, ce qu'elles ont apporté au monde de l'art. Leur donner une visibilité, une reconnaissance.

    Pour la Villa Datris, tout cela s'intègre dans une démarche cohérente, une fidélité à certaines convictions qui sont celles de la Fondation RAJA - Danièle Marcovici que j'ai créée en 2006, dont la mission est d'apporter son soutien aux femmes à travers le monde, qui offre son parrainage à l'exposition Sculptrices.

    Avec l'exposition Sculptrices, la Villa Datris souhaite "donner une visibilité et une reconnaissance" à ces artistes qui revendiquent non pas un art 'au féminin', mais la sculpture par les femmes. Sous l'égide de la 'Blue Goddess' de Niki de Saint Phalle, Thoëris divinité égyptienne baroque et mordante, protectrice de la fécondité féminine, cette "exposition-manifeste" propose une lecture éclectique et fantaisiste, jubilatoire et sans concession de la création en trois dimensions telle qu'elle est perç­­­ue et pratiquée par les femmes.­­ Surprenante, l'exposition Sculptrices réunit une soixantaine d'artistes, avec plus de 90 œuvres, dont une vingtaine de sculptures sont à découvrir dans le jardin de la Villa Datris, avec une sélection d'œuvres d'artistes confirmées ou émergentes de la scène internationale telles Ghada Amer, Rina Banerjee, Louise Bourgeois, Martha Boto, Geneviève Claisse, Camille Claudel, Parvine Curie, Odile Decq, Nathalie Elemento, Camille Henrot, Rebecca Horn, Louise Nevelson, Meret Oppenheim, Sarah Oppenheimer, Marta Pan, Alicia Penalba, Germaine Richier, Niki de Saint Phalle, Chiharu Shiota, Kiki Smith, Jessica Stockholder, Joana Vasconcelos...

    ­A mille lieues de la vision traditionnelle de la sculpture, les sculptrices s'approprient cet art réputé 'viril' et s'expriment librement à travers les techniques les plus variées : de l'assemblage à la taille directe sur bois, du marbre au métal, de la porcelaine au néon...
    Il en résulte une approche de la sculpture sans détour, émotionnelle ou cérébrale, trou­­blante ou rebelle, toujours engagée et profondément ancrée dans la chair et l'esprit.

    Réalisant avec Sculptrices une nouvelle avancée autour de la création des femmes, la Villa Datris souhaite amorcer une réflexion sur leur démarche, leur vision du monde et de l'art, à travers cette exposition qui se veut avant tout "joyeuse" et accessible au plus grand nombre.

    http://www.villadatris.com/fr/expositions/exposition-2013/sculptrices/edito.html

  • Catégories : A voir, CELLES QUE J'AIME, Claudel Camille, Des expositions

    Bientôt au Musée de l'Orangerie

    22 février - 11 juin 2012

    Claude Debussy est sans conteste le compositeur du tournant du XIXe siècle qui trouva l'essentiel de son inspiration dans le domaine de la poésie contemporaine et des arts visuels. D'emblée, il s'intéressa aux artistes les plus novateurs, aux figures les plus en marge des académismes en cours.

    L'exposition propose d'évoquer les rencontres majeures du musicien avec les artistes et poètes de son temps, évoqués notamment par les collections de trois familles amies qui le soutinrent dans les années difficiles qui précédèrent la création de Pelléas et Mélisande : celle du peintre Henry Lerolle (1848-1929), du compositeur Ernest Chausson (1855-1899) et d'Arthur Fontaine (1860-1931), conseiller d'Etat.
    En ces milieux où le raffinement, le goût et la simplicité excluent toute mondanité, le musicien pouvait admirer des œuvres de Degas, Renoir, Vuillard, Gauguin, Camille Claudel, Maurice Denis, Redon, Bonnard, Carrière, Puvis de Chavannes. Des tableaux, dessins et pastels seront accompagnés de lettres et photographies de ces artistes, d'éditions originales de Gide, Louÿs et Valéry, de manuscrits de Chausson et Debussy.


    Autour de l'exposition

    Visite-conférence
       du 3 mars au 10 juin (durée : 1h30)
       mercredi à 16h15
       samedi et dimanche à 11h
       (sauf jours fériés)

    Atelier jeune public "Debussy" (8/12 ans)
       du 7 mars au 6 juin (durée : 2h)
       mercredi à 15h

    Conférences à l'auditorium
       mercredis 7, 14, 21 et 28 mars à 19h

    Concerts du soir dans les salles des Nymphéas
       vendredis 9 et 23 mars, 6 avril et 4 mai à 19h

    Lecture
       vendredi 11 mai à 19h

    Film : Revoir Nijinski danser
       tous les jours à 11h10 et 15h55 dans la salle audiovisuelle

    Musique : Sonorisation de la 1ère salle des Nymphéas avec des œuvres de Claude Debussy
       tous les jours à 11h et 15h (durée : 20 mn)


       La Mer, trois esquisses symphoniques, par l'Orchestre Philarmonique de
                        Radio France sous la direction de Myung-Whun Chung
                        Récitant Didier Sandre
    Le concert, enregistré le 28 janvier 2012 à la salle Pleyel, sera diffusé le samedi 28 avril à 16h sur France Musique, puis en réécoute pendant 1 mois sur le site de France Musique. Y sont présentées des correspondances entre Debusssy, Baudelaire, Verlaine et les peintres Turner, Whistler ou Monet.

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  • Catégories : CELLES QUE J'AIME, Claudel Camille, Des expositions

    Je viens de lire:Camille Claudel, un destin malheureux, un talent exceptionnel

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    Un Hors Série du Figaro


    À l’occasion de la rétrospective Camille Claudel au musée Rodin en avril 2008, le Figaro Hors-Série propose un numéro autour de l’œuvre de cette artiste au destin tragique. Isabelle Schmitz, membre de la rédaction du Figaro Hors-Série, nous présente ce numéro exceptionnel.


    Extrait de l’éditorial de Michel de Jaeghere, directeur de la rédaction du Figaro hors-série :

    « Pas plus qu’à ses contemporains, ce n’est pas par son art que Camille Claudel s’est imposée à la postérité. Plutôt par un désastre : celui de son existence. Sa beauté, sa passion, sa folie, son enfermement. Sa mort était passée inaperçue, après trente ans d’internement au milieu des déments : elle était alors oubliée depuis longtemps. L’ouverture de la salle consacrée à son œuvre au musée Rodin en 1951, n’avait eu, à son tour, aucun retentissement. Interrogé la même année par Jean Amrouche pour un entretien radiodiffusé, Paul Claudel avait eu ces mots terrifiants : « Ma sœur Camille ! Ah, c’est un sujet terriblement triste et dont il m’est difficile de parler (…). La nature s’était montrée prodigue à son égard ; ma sœur Camille avait une beauté extraordinaire, de plus une énergie, une imagination, une volonté tout à fait exceptionnelles. Et tous ces dons n’ont servi à rien : après une vie extrêmement douloureuse, elle a abouti à un échec complet (…) Moi, j’ai abouti à un résultat. Elle, elle n’a abouti à rien (…) ».
    Elle n’avait abouti à rien. Elle n’avait obtenu ni fonction officielle, ni siège à l’Académie. Ni ambassade, ni médaille. Elle s’était contentée de poursuivre la beauté et d’y brûler sa vie. Perdue pour les grandeurs d’établissement.
    La redécouverte viendrait de la littérature, avec la biographie romancée d’Anne Delbée, Une femme (1982), que suivrait le beau film de Bruno Nuytten (1988), servi par la ressemblance troublante, incroyable d’Isabelle Adjani avec son modèle. Le succès populaire ouvrait enfin, à la grande oubliée, l’occasion d’une revanche, fût-ce parfois au prix de raccourcis saisissants. Camille Claudel, c’était une femme, un malheur, un destin. Une femme libérée des conventions étroites de la morale bourgeoise, qui s’était sacrifiée à l’admiration qu’elle portait, en Rodin, à un géant de l’histoire de l’art aux ridicules de notable, aux indélicatesses de grand mâle dominant. Une artiste brisée dans son inspiration par les contraintes de l’atelier. Une insoumise poussée à la folie par le manque d’amour et de reconnaissance […]. »


    « Le mérite de la rétrospective qu’organise aujourd’hui le musée Rodin est de compléter cette vision forcément simplificatrice en donnant à une œuvre trop longtemps méconnue la toute première place. De faire la part de ce qu’elle doit à la « syntaxe de Rodin », de ce qu’elle a de proprement novateur, par la peinture des états d’âme, l’emploi subtil de matériaux précieux, la volonté de rompre avec les canons de l’académisme, le don de transfigurer en allégories les choses vues. Le paradoxe est qu’elle nous offre, par là, l’occasion de parcourir la plus subtile des autobiographies. Non seulement, avec L’Implorante, L’Age mûr, par la mise en scène romantique de ses malheurs et de ses déchirements, mais, plus secrètement, par l’alternance des personnages aux yeux clos, concentrés, vulnérables, abandonnés à la promesse de l’amour ou tendus vers une beauté intérieure, inaccessible, avec les visages aux regards levés vers le ciel, comme aspirés par une espérance invincible (…). Camille Claudel n’a pas laissé d’autoportrait spirituel. Impénétrable, elle semble protéger de nos regards un secret indicible. »

    Sommaire

    Les mouvements de l’âme
    Journées de la vie d’une artiste
    L’extase et l’agonie
    Auguste et Camille
    La petit Paul
    La tension intérieure, entretien avec Aline Magnien
    Naissance d’un mythe
    A nous deux Paris
    Le silence et la mer
    L’emmurée
    Les vestiges du jour
    Le dossier de l’écran

    L’année Claudel
    Une saison chez Rodin
    Entretien avec Dominique Viéville
    Plaisirs et lectures

    En savoir plus

    Une grande rétrospective Camille Claudel est présentée au Musée Rodin à Paris du 15 avril au 20 juillet 2008

    Le Figaro hors-série est disponible en kiosque. Pour acheter d’anciens numéros, cliquez ici

    http://www.canalacademie.com/Camille-Claudel.html

  • Catégories : CELLES QUE J'AIME, Claudel Camille, Des musées

    Le palais des Beaux-Arts de Lille visité en mars 2008

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    Le Palais des Beaux-Arts de Lille, l’un des premiers musées français, abrite dans son imposant bâtiment caractéristique du répertoire architectural du XIXe siècle, des collections de peinture européenne, un cabinet des dessins, un département des Antiquités, du Moyen Âge et de la Renaissance, des céramiques des XVIIe et XVIIIe siècles, des sculptures françaises du XIXe siècle et des Plans-Reliefs du XVIIIe siècle.

    Les travaux de rénovation, achevés en 1997, ont permis non seulement l’agrandissement du musée (d’une surface de 15 000 m2, il est passé à 22 000 m2) mais aussi l’aménagement des sous-sols où sont aujourd’hui installées les galeries consacrées au Moyen Âge et à la Renaissance et la salle des Plans-Reliefs. Une salle d’expositions temporaires, un auditorium, une bibliothèque et des ateliers pédagogiques y ont aussi été créés.
    Le "bâtiment-lame" situé à l’arrière du bâtiment principal et renvoyant ainsi son reflet dans ses parois de verre, abrite les bureaux de la conservation et de l’administration, le cabinet de dessins, les ateliers de restauration et le restaurant.

    Les collections mondialement renommées du Palais des Beaux-Arts retracent un panorama complet des plus grands foyers artistiques européens du XIIe au XXe siècle.
    Le département du Moyen Âge et de la Renaissance présente de grands chefs-d’oeuvre européens de la sculpture et de l’orfèvrerie romanes et gothiques (Vieillard de l’Apocalypse de Saint-Omer, Encensoir aux hébreux, Retable de saint Georges) et de la Renaissance (Donatello). La peinture italienne, espagnole, des pays germaniques et surtout des anciens Pays-Bas est bien représentée (Dirk Bouts, Jan Bellegambe).
    Le département des peintures compte plus de 650 tableaux parmi lesquels : l’école flamande, qui comprend un ensemble rare de Maniéristes du Nord (Barthel Bruyn, Van Hemessen, ateliers de Brueghel et de Bosch), de majestueux tableaux d’autel (Rubens, Van Dyck et Jordaens), ainsi qu’une collection de peinture hollandaise (Emmanuel de Witte, Pieter Codde, Jacob Van Ruisdael, Pieter Lastman) représentative de la quasi-totalité des genres pratiqués à Amsterdam, Anvers, Delft, Haarlem et Utrecht au XVIIe siècle.
    De Champaigne à Manet, le parcours de peinture française est également très complet ; certains tableaux constituent des jalons essentiels de son évolution (David, Chardin, Delacroix, Courbet…). Les bouleversements esthétiques du XIXe siècle sont représentés en peinture par Monet, Sisley, Seurat, Puvis de Chavannes et en sculpture par Pajou, David d’Angers, Carpeaux, Camille Claudel, Rodin.
    La peinture italienne n’a pas bénéficié des grands envois de l’Etat à l’époque de Napoléon mais comporte toutefois des œuvres insignes de Véronèse, Tintoret, Bassano.
    Le cabinet espagnol restitue, en peu de tableaux, l’intensité spirituelle de cette école, avec les chefs d’œuvre de Goya, Greco, Ribera et Valdes Leal.
    Enfin, le cabinet des dessins riche de 4 000 feuilles, dont 30 dessins de Raphaël, fait du musée de Lille une référence mondiale pour tous les amateurs et les spécialistes du genre.
    Le musée réserve aussi une section à l’archéologie méditerranéenne (Egypte, Nubie, Grèce, Chypre, Italie).

    Mais le Palais des Beaux-Arts de Lille, c’est aussi une programmation culturelle qui se situe à la croisée des époques et des disciplines artistiques (littérature, théâtre, musique, danse, cinéma, vidéo, installations..), avec des rendez-vous réguliers qui incitent à une découverte sans cesse renouvelée de ses collections et de ses expositions par tous les publics.

    http://www.palaisdesbeauxarts.fr/spip.php?rubrique2

    Je crois que je l'avais dèjà visité à sa réouverture, quand je vivais dans le Nord mais j'avais du me concentrer sur l'expo sur Watteau alors que là, j'ai commencé par les collections permanentes. J'en ai pris plein les yeux, j'ai pris beaucoup de notes(de futures notes ici si je trouve le temps), j'ai discuté avec quelqu'un du musée.

    Un tableau de Brueghel le jeune(d'après Brueghel l'Ancien) dans la salle des maniéristes du nord du département des peintures:La prédication de Saint Jean-Baptiste

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    Les prédicateurs protestants parcouraient les Pays-Bas et prêchaient les nouveaux enseignements à ciel ouvert. Il en allait de même pour les anabaptistes qui se réclamaient de Saint Jean-Baptiste. Bruxelles montre une réunion de son époque, mais remplace le prédicateur par Saint Jean-Baptiste. De son bras gauche, il désigne le Christ qui se distingue des autres spectateurs par sa robe claire (voir détails).

    http://www.pieter-bruegel.com/salles/prediction.htm

  • Catégories : CELLES QUE J'AIME, Claudel Camille, Des lieux

    Noté pour un futur voyage littéraire en France

    (Dans un journal local dont je n'ai pas retrouvé l'article sur le net)

    Association Camille et Paul Claudel en Tardenois

     

    4 rue de Rugny
    0Tél. : 03 23 55 23 77
    Fax : 03 23 55 23 77
    Mèl : rondin.m@free.fr
    2130 Arcy-Sainte-Restitue

    CAMILLE ET PAUL CLAUDEL, ANCRAGE D’UNE ŒUVRE DANS LE PAYS NATAL 



    “ Je suis à la fois un voyageur et un enraciné ”



    Camille et Paul Claudel en Tardenois, car on ne saurait dissocier l’un de l’autre, sont enracinés dans la même terre. La langue est pour lui ce que la terre est pour elle. Paul Claudel parle, et il le fera tout au long de sa vie, des lieux de son enfance; Camille Claudel se les approprie dans le silence de sa création. Des liens entre l’artiste et son milieu, Paul Claudel dit “qu’ils ne sont pas pure imagination de la critique. Le poète est l’homme qui parle à la place de tout ce qui se tait autour de lui."


    http://www.litterature-lieux.com/EsMaker/index.asp?Clef=15&Page=3

  • Catégories : CELLES QUE J'AIME, Claudel Camille, L'art

    En 2008, l'art féminin aura la côte

    Éric Biétry-Rivierre
    02/01/2008 | Mise à jour : 15:40 |
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    Heureux concours de circonstances, les expositions consacrées aux femmes, artistes et mécènes, vont se succéder en ce début d'année. De Camille Claudel à Louise Bourgeois, en passant par Marie-Antoinette, Patti Smith et Leonor Fini, les musées semblent s'être donné le mot pour ouvrir leurs portes aux créatrices.

    Les plus beaux hommages sont involontaires et celui de l'année qui s'ouvre est un de ceux-là. À Paris comme en province, les musées semblent s'être donné le mot pour parler des femmes artistes ou esthètes. Deux mots qui supportent indifféremment tous les sexes. Cela remonte à bien avant Simone de Beauvoir, dont ont fêtera le centenaire le 9 janvier (colloque international les 9, 10 et 11 au Réfectoire des Cordeliers, 15 rue de l'École de médecine, Paris 75006).

    Les Galeries nationales presque royales pour l'occasion du Grand Palais évoqueront Marie-Antoinette, son goût, ses amitiés, en 300 œuvres provenant de toute l'Europe, du 15 mars au 16 juin. Autre incomprise, Camille Claudel retrouvera son mentor et amant au musée Rodin qui lui consacre une rétrospective, du 16 avril au 20 juillet. Fille de Louis-Philippe, à la fois princesse et artiste romantique, Marie d'Orléans fut un peu de ces deux femmes. À travers un ensemble de peintures, de meubles et d'objets personnels dont des prêts consentis par ses descendants , le Louvre proposera une évocation de son salon gothique et de son univers intime (à partir du 18 avril au rez-de-chaussée de l'aile Richelieu). Des dessins et sculptures, dont plusieurs sur le thème de Jeanne d'Arc, seront réunis en hommage à cette grande mécène et collectionneuse, témoin exceptionnel du goût 1830. L'événement sera complété au Musée Condé de Chantilly à partir du 9 avril par des sculptures de la princesse, conservées par son frère le duc d'Aumale et restaurées spécialement.

    La dame aux araignées géantes

     

    Autre femme d'exception, notre contemporaine Patti Smith. Du 28 mars au 8 juin, la Fondation Cartier ouvrira en grand ses portes à cette chanteuse rock, aujourd'hui assagie mais à jamais poète, auteur-compositeur souvent en tournée sur toutes les routes du monde. Elle y développera son univers iconographique, moins connu, composé de films, de dessins et de photographies. Encore plus dérangeante, Louise Bourgeois investira le Centre Pompidou à partir du 5 mars, après la Tate Gallery de Londres. La dame aux araignées géantes, de bronze ou d'acier, aujourd'hui âgée de 96 ans, devrait bénéficier là d'une rétrospective à la hauteur de sa réputation d'artiste la plus reconnue parmi les plasticiens vivants. On devrait notamment voir une large sélection de pièces conçues durant ces vingt dernières années, inédites à Paris.

    Louise Bourgeois n'a jamais fait la une du Petit Écho de la Mode, ce grand ancêtre de la presse féminine auquel la Bibliothèque Forney (1, rue du Figuier, Paris 75004) consacrera une exposition à partir du 29 janvier. Pourtant, l'hebdomadaire né en 1880 ne s'est arrêté qu'en 1983 et tirait à ses plus beaux jours, dans les années 1950, jusqu'à un million d'exemplaires. Mais la vieille dame indigne a toujours cultivé la provocation.

    En province, saluons le Musée de l'hospice Saint-Roch à Issoudun, qui inaugurera le 8 février le salon parisien de Leonor Fini dont on fête également le centenaire. L'espace, présenté dans une scénographie de Giovanna Piraina, rappellera autant la femme que la créatrice. L'appartement de la rue de la Vrillière, où elle se plaisait à théâtraliser sa vie, recevant de nombreux visiteurs, gens du théâtre, écrivains, artistes surréalistes, sera en effet intégralement reconstitué. Plus qu'un simple décor Art nouveau, on reverra donc une véritable œuvre que la maîtresse des lieux avait composée avec le même soin qu'elle mettait dans ses tableaux. Son mobilier, ses objets d'art et ses luminaires sont signés des grands noms de l'École de Nancy, Louis Majorelle, Émile Gallé. Quant à la moquette, elle est un modèle exclusif, signé Fini.

    Dans le Nord, le musée Matisse du Cateau-Cambresis remerciera Alice Tériade, décédée le 2 février dernier. Par le métier et la passion qui l'animait avec son mari éditeur d'art, elle s'était trouvée au cœur de l'art moderne. En 2002, le musée avait reçu en donation 27 livres conçus et illustrés par Miro, Matisse et Picasso. Aujourd'hui, c'est la deuxième partie de la donation qui est léguée. Soit l'un des plus importants cadeaux jamais reçus par un musée. Il sera visible à partir du 27 janvier : il s'agit de toute la salle à manger que Matisse avait imaginée pour le couple dans sa villa de Saint-Jean-Cap-Ferrat, avec des chefs-d'œuvre peints par Picasso, Miro, Léger, Chagall, Rouault ou sculptés par Giacometti et Laurens.

  • Les nuits de Toulouse-Lautrec

    4b052b150f256ab514af93e516bd2616.jpgForte des succès remportés par ses expositions temporaires consacrées à Camille Claudel et Braque durant les étés 2005 et 2006, la Ville de Dinan propose cette année à ses visiteurs de leur faire découvrir le peintre Henri de Toulouse-Lautrec (1864 –1901).

    Cette exposition s’intéresse à une période d’une quinzaine d’années – entre le milieu des années 1880 et jusqu’à sa mort en 1901, au cours de laquelle l’artiste s’attache à la représentation de l’univers nocturne du Montmartre de la Belle Epoque. Son immersion dans la bohème montmartroise le conduit à un changement radical de ses sujets, des moyens employés pour les transcrire et de son style de vie.

    Ses sujets de prédilection sont alors les divertissements de Montmartre : bars, cafés-concerts, théâtres et cirques, mais aussi les scènes de maisons closes qu’il fréquente assidûment. Il dresse un véritable panorama de ce monde du plaisir et du spectacle – en scène et hors scène – et de ses acteurs : chansonniers, diseuses, comédiens, équilibristes, clowns ou spectateurs clairement identifiés.

    Le parti pris de l’exposition est de faire connaître l’œuvre graphique de l’artiste : dessins, lithographies, partitions illustrées, albums et affiches, près de 200 oeuvres sur papier sont exposées.

    Quarante-quatre ans après la dernière exposition Toulouse-Lautrec en Bretagne (musée des beaux-arts de Rennes, 5 février-17 mars 1963), l’exposition de Dinan permet de « repenser Lautrec ». Elle révèle le génie multiforme de ce vrai-faux aristocrate passionné par des genres considérés comme peu nobles, tels que le café-concert ou le cirque et qui cherche la reconnaissance « de la rue » et du public.

    L’exposition met aussi l’accent sur l’histoire sociale et culturelle d’une époque et entre ainsi en résonance avec les spectacles d’art vivant (spectacles musicaux, café-concert, French Cancan et cirque) programmés à Dinan tout l’été (pour plus d’informations, se reporter à la rubrique http://www.mairie-dinan.com/lautrec-autour-expo.php

    http://www.mairie-dinan.com/lautrec.php