Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai aimé en 20212:ARCABAS
Prolongation jusqu’au 16 septembre
Le Musée de Fourvière propose une exposition consacrée à Arcabas.
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Prolongation jusqu’au 16 septembre
Le Musée de Fourvière propose une exposition consacrée à Arcabas.
L'art, comme tout CE QUe j'aime, inspire ce que j'écris à acheter ici
Les expos, comme tout ce qui m'intéresse, inspirent ce que j'écris à acheter ici
Au musée Berlioz, j'avais craqué pour ce double cd
Le musée Guimet a été fondé par Émile Guimet - industriel, chimiste, philanthrope et expert amateur de l'histoire des religions - au retour d'un voyage en Extrême-Orient. Inauguré en 1879, le bâtiment de l'architecte Jules Chantron met en valeur la collection d'art personnelle de Guimet et abrite une bibliothèque ainsi qu'un institut de recherche et d'enseignement. Le projet ne suscite cependant que peu d'intérêt de la part des étudiants ou de la ville de Lyon, ce qui incite Guimet à transférer sa collection dans un nouveau lieu, construit à l’identique, à Paris.
Transformé en brasserie, en théâtre, puis en patinoire, le bâtiment lyonnais est finalement acquis par la Ville de Lyon, qui y transfère en 1913 les collections municipales du muséum d’histoire naturelle. Le musée ferme définitivement en 2007 et demeure depuis inexploité. En 2014, ses collections sont transférées au musée des Confluences, conçu par Coop Himmelb(l)au. Les périodes de prospérité et de déclin de ce musée et de son bâtiment abandonné incarnent des cycles de fragilité et de résistance qui font écho aux thèmes centraux de la 16e Biennale de Lyon.
Rebaptisée "Les Lauriers Roses" par le poète, elle est empreinte de son passage et marquée par les rencontres amicales qu'il y cultiva. À l'image de celle entretenue avec le céramiste Clément Macié ou le peintre modeleur Paulin Bertrand, dont les œuvres parsèment la maison. Ce dernier séjourna dans la bastide avec son épouse et en hérita lorsque son ami s'éteignit en 1921. C'est Julia Pillore (épouse de Paulin Bertrand) journaliste et critique d’art sous le pseudonyme de Léon de Saint-Valéry qui légua la demeure pour qu'elle devienne le musée Jean Aicard-Paulin Bertrand.
https://toulon.fr/envie-bouger/article/musee-jean-aicard-paulin-bertrand-mab
Inauguré en 1888, l’édifice se distingue par sa monumentale façade sculptée et émaillée et son plan en U. Il accueillait à l’origine trois institutions : le Musée d’Art, le Muséum d’Histoire naturelle et la bibliothèque.
Labellisé "Musée de France", le Musée d'Art dispose de fonds d'art ancien et moderne, contemporain, d’arts graphiques ainsi que des objets archéologiques et ethnographiques.
Autre point fort de la collection : L’Orient et le voyage en Méditerranée. Les peintres provençaux (Coudouan, Ziem, Tournemine, Montenard…) ne sont pas indifférents à l’engouement pour l’Orient qui se manifeste au XIXe siècle. Cette fascination les entraîne vers une exploration nouvelle de la lumière et des couleurs.
Pour des raisons de conservation, ces œuvres seront présentées au public par roulement, sous forme d’expositions temporaires dans le cabinet d’Arts graphiques.
Elle allie le respect des normes en vigueur (accessibilité, sécurité, éclairage, température, acoustique, hygrométrie, etc.) et la valorisation des précieuses collections du musée, tout en étant à même d’accueillir des expositions nationales, voire internationales.
Pour ce faire, les volumes ont été réorganisés, les éclairages totalement revus, les cheminements revisités et les thématiques choisies avec soin.
Le bâtiment a été totalement repensé. De fait, dès l’arrivée sur le boulevard Leclerc, la transformation saute aux yeux : la cour intérieure, totalement réaménagée, est passée d’un dénivelé de 2,5m à une pente douce accessible à tous, agrémentée de bassins d’eau et largement ouverte sur la ville. Le volume du hall a été multiplié par deux, un ascenseur (pour les personnes à mobilité réduite) et un monte-charge (pour les œuvres) ont été installés et la lumière naturelle baigne à nouveau l’escalier monumental. Jean-Louis Duchier, l’architecte du projet souligne que c’est un pari fou, compte tenu des délais, mais un pari tenu.
La profonde réhabilitation dont le musée a fait l'objet l'a complètement métamorphosé dans le respect du passé . La bibliothèque a été conservée « dans son jus », mais une partie de celle-ci est devenu un cabinet de curiosités. A l’entresol, ouverture de la mezzanine et création d’un cabinet d'arts graphiques. Le musée propose en outre plusieurs espaces à vocations spécifiques : une salle de lecture consacrée à l’art régionaliste (complétant l’offre de Chalucet), un lieu dédié à la médiation culturelle ainsi que des espaces de bureau et de conservation.
https://toulon.fr/envie-bouger/article/musee-d-art-de-toulon-mat
fascicule sur ce peintre:
http://peintres-officiels-de-la-marine.com/Barbaroux-Edmond/Barbaroux-Edmond.html
Le musée est né de la volonté de la « Société des Amis du vieux Toulon ». Dans ses rangs, l’association comptait entre autres Jean Aicard, membre de l’Académie française, et le sculpteur André Allar. Elle a fêté son centenaire en février 2012.
Sa vocation : recueillir et conserver les œuvres d’art et documents relatifs à l’histoire de Toulon et de sa région, à l’image de la bibliothèque d’Octave Teissier ou de la collection de cahiers de Pierre Letuaire.
Une vocation restée intacte et un fonds enrichi au fil du temps qui méritait bien le nouvel écrin offert par la Ville à l’association.
Aujourd’hui, le Musée d’histoire de Toulon et de sa région peut accueillir son public dans les meilleures conditions de confort et de sécurité.
Au rez-de-chaussée, une salle d’exposition lumineuse permet de découvrir les collections : plan-relief, carnets de croquis, documents, bustes, peintures, aquarelles…
Le 1er étage accueille pour sa part la bibliothèque, riche de milliers de titres et fréquentée par nombre d’étudiants et de chercheurs, alors que le 2e étage est dévolu aux réserves. Ces deux niveaux sont desservis par un ascenseur.
Au final, ce haut-lieu de la culture locale a gagné en lisibilité et les moyens de démontrer que, décidément, il mérite bien plus qu’un détour.
L’association est également l’administratrice testamentaire du musée Jean Aicard/Paulin Bertrand.
Parmi les noms célèbres présents au musée, on peut noter les sculpteurs Pradier et Pierre Puget, le peintre Olive Tamari ou Félix Mayol.
Le Musée, dont le fonctionnement est assuré par l’association, est ouvert gratuitement du lundi au samedi de 14h à 18h. (Fermé le dimanche).
10 rue Saint Andrieu, Toulon.
Renseignements : 04 94 62 11 07
Encres rêvées, songes de papier
Hyun Jeung
Exposition du 13 mai au 30 octobre
Ateliers avec l’artiste le 14 mai à 15h et 21H (nuit des musées) puis le dimanche 30 octobre à 14h (ouverture exceptionnelle/ finissage)
Hyun Jeung est une artiste coréenne originaire de Daegu. Ingénieur en électronique dans son pays, elle a entrepris ensuite des études d’arts plastiques en France à la Sorbonne. Depuis plus de 25 ans, elle se consacre à la gravure sur bois.
La première chose qui étonne dans l’œuvre de Hyun Jeung, c’est que chaque tirage est fondamentalement et délibérément unique. La gravure sur bois, technique millénaire, est exploitée par l’artiste non pas comme un simple moyen de reproduction, mais comme un véritable art du processus qui donne à voir les variations du vivant à travers la répétition. Les œuvres de Hyun Jeung forment une continuité avec la tradition coréenne, tout en l’adaptant à notre temps et aux évolutions esthétiques et conceptuelles de l’histoire de l’art du XXIe siècle. Hyun Jeung ne passe pas par un dessin préparatoire. Elle grave directement la planche, créant ainsi une matrice qui va permettre d’imprimer sa création sculptée. La feuille passe l’épreuve des multiples passages sur la matrice encrée. Elle utilise du papier traditionnel coréen (hanji, papier fabriqué à partir des fibres du mûrier).
Hyun Jeung partage ainsi par ses œuvres ses songes d’encre et ses rêves de papier, emmenant une nouvelle fois les visiteurs du musée vers un imaginaire artistique où la douceur et la couleur sont maîtres.
La collection du Musée des Arts Asiatiques de Toulon est constituée à plus de 95% de dons ou de legs. Depuis la fin du XIXe siècle, la famille Rothschild, Hyppolite Fauverge de French, Mme Lalande, Monsieur Vittu de Kerraoul, le Commandant Morazzani, les époux Collet et la famille Jubiot (dernier don, photographies japonaises), ont, entre autres, par leur volonté, fait que leurs collections deviennent toulonnaises.
L’acquisition de ces objets par ces collectionneurs-donateurs est en lien direct avec leurs métiers, leurs voyages, leurs passions et surtout leur désir de collectionner. Ces objets sont donc des éléments de leur vie, ils illustrent des épisodes de leurs récits personnels.
Mais, ces collectionneurs sont remarquables par une décision, qu’ils portent tous en commun, celle de garantir l’intégrité de leurs collections dans le temps en les offrant à un musée et à la Ville de Toulon.
Ces objets sont donc passés de la sphère privée à la sphère publique, du cabinet de curiosité au musée, de l’intimité à l’exposition, de la délectation personnelle au parcours muséographique.
Deux thématiques :
Premier étage : Familles et matières
La collection toulonnaise est très riche d’objets chinois, japonais et indiens. Afin de rendre ludique et didactique le parcours d’exposition, les objets, sont présentés soit par famille de matière soit par thématique
L’Inde, l’Asie du Sud-Est, La Chine et le Japon sont donc à l’honneur à travers des objets en céramique, en jade, en bronze, en pierre, en bois, en ivoire ou en soie.
L’hindouisme, le taoïsme, la périodes Edo et l’Ere Meiji japonaises, seront également évoqués comme des thématiques et des périodes phares pour l’enseignement des civilisations asiatiques.
Nos jeunes visiteurs seront également invités à découvrir le riche bestiaire du musée où animaux réels et fantastiques cohabitent et côtoient très souvent des personnages aux récits extraordinaires. Divinités, immortels, gardiens ou héros seront ainsi à l’honneur et présentés dans l’espace réservé aux mythologies et récits.
Second étage : Bouddha et bouddhisme(s)
Les collections asiatiques toulonnaises regroupent des objets antiques mais également contemporains, cependant une thématique clé est commune aux collections toulonnaises : le bouddhisme.
Ainsi à Toulon, la collection permet de relater cinq scènes de la vie du Bouddha historique.
De même et afin de travailler sur l’histoire et l’évolution de la représentation du bouddha et des bodhisattvas à travers les pays et les civilisations asiatiques, des sculptures, des céramiques, des ivoires, des bronzes et des thangka complètent la présentation initiatique et pédagogique de la découverte du bouddhisme.
Tous ces objets, par leur richesse visuelle singulière et intrinsèque, décrivent parfaitement la nature multiforme des pratiques culturelles et des croyances liées à Bouddha en Asie, de la civilisation gandharienne (actuels Afghanistan et Pakistan) au Japon.
Musée des Arts Asiatiques
*exceptionnellement ouvert le dimanche 30 octobre pour le finissage
https://www.toulon.fr/envie-bouger/article/musee-arts-asiatiques
La Ville de Toulon propose une exposition des oeuvres de Hyun Jeung "Encres rêvées, songes de papier"
Encres rêvées, songes de papier
Hyun Jeung
Exposition du 13 mai au 30 octobre
Ateliers avec l’artiste le 14 mai à 15h et 21H (nuit des musées) puis le dimanche 30 octobre à 14h (ouverture exceptionnelle/ finissage)
Hyun Jeung est une artiste coréenne originaire de Daegu. Ingénieur en électronique dans son pays, elle a entrepris ensuite des études d’arts plastiques en France à la Sorbonne. Depuis plus de 25 ans, elle se consacre à la gravure sur bois.
La première chose qui étonne dans l’œuvre de Hyun Jeung, c’est que chaque tirage est fondamentalement et délibérément unique. La gravure sur bois, technique millénaire, est exploitée par l’artiste non pas comme un simple moyen de reproduction, mais comme un véritable art du processus qui donne à voir les variations du vivant à travers la répétition. Les œuvres de Hyun Jeung forment une continuité avec la tradition coréenne, tout en l’adaptant à notre temps et aux évolutions esthétiques et conceptuelles de l’histoire de l’art du XXIe siècle. Hyun Jeung ne passe pas par un dessin préparatoire. Elle grave directement la planche, créant ainsi une matrice qui va permettre d’imprimer sa création sculptée. La feuille passe l’épreuve des multiples passages sur la matrice encrée. Elle utilise du papier traditionnel coréen (hanji, papier fabriqué à partir des fibres du mûrier).
Hyun Jeung partage ainsi par ses œuvres ses songes d’encre et ses rêves de papier, emmenant une nouvelle fois les visiteurs du musée vers un imaginaire artistique où la douceur et la couleur sont maîtres.
La collection du Musée des Arts Asiatiques de Toulon est constituée à plus de 95% de dons ou de legs. Depuis la fin du XIXe siècle, la famille Rothschild, Hyppolite Fauverge de French, Mme Lalande, Monsieur Vittu de Kerraoul, le Commandant Morazzani, les époux Collet et la famille Jubiot (dernier don, photographies japonaises), ont, entre autres, par leur volonté, fait que leurs collections deviennent toulonnaises.
L’acquisition de ces objets par ces collectionneurs-donateurs est en lien direct avec leurs métiers, leurs voyages, leurs passions et surtout leur désir de collectionner. Ces objets sont donc des éléments de leur vie, ils illustrent des épisodes de leurs récits personnels.
Mais, ces collectionneurs sont remarquables par une décision, qu’ils portent tous en commun, celle de garantir l’intégrité de leurs collections dans le temps en les offrant à un musée et à la Ville de Toulon.
Ces objets sont donc passés de la sphère privée à la sphère publique, du cabinet de curiosité au musée, de l’intimité à l’exposition, de la délectation personnelle au parcours muséographique.
Deux thématiques :
Premier étage : Familles et matières
La collection toulonnaise est très riche d’objets chinois, japonais et indiens. Afin de rendre ludique et didactique le parcours d’exposition, les objets, sont présentés soit par famille de matière soit par thématique
L’Inde, l’Asie du Sud-Est, La Chine et le Japon sont donc à l’honneur à travers des objets en céramique, en jade, en bronze, en pierre, en bois, en ivoire ou en soie.
L’hindouisme, le taoïsme, la périodes Edo et l’Ere Meiji japonaises, seront également évoqués comme des thématiques et des périodes phares pour l’enseignement des civilisations asiatiques.
Nos jeunes visiteurs seront également invités à découvrir le riche bestiaire du musée où animaux réels et fantastiques cohabitent et côtoient très souvent des personnages aux récits extraordinaires. Divinités, immortels, gardiens ou héros seront ainsi à l’honneur et présentés dans l’espace réservé aux mythologies et récits.
Second étage : Bouddha et bouddhisme(s)
Les collections asiatiques toulonnaises regroupent des objets antiques mais également contemporains, cependant une thématique clé est commune aux collections toulonnaises : le bouddhisme.
Ainsi à Toulon, la collection permet de relater cinq scènes de la vie du Bouddha historique.
De même et afin de travailler sur l’histoire et l’évolution de la représentation du bouddha et des bodhisattvas à travers les pays et les civilisations asiatiques, des sculptures, des céramiques, des ivoires, des bronzes et des thangka complètent la présentation initiatique et pédagogique de la découverte du bouddhisme.
Tous ces objets, par leur richesse visuelle singulière et intrinsèque, décrivent parfaitement la nature multiforme des pratiques culturelles et des croyances liées à Bouddha en Asie, de la civilisation gandharienne (actuels Afghanistan et Pakistan) au Japon.
Musée des Arts Asiatiques
*exceptionnellement ouvert le dimanche 30 octobre pour le finissage
https://www.toulon.fr/envie-bouger/article/musee-arts-asiatiques
La Ville de Toulon propose une exposition des oeuvres de Hyun Jeung "Encres rêvées, songes de papier"
À quelques jours de la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 2022, le MAMC+ installe une pièce de taille de sa collection design, la Bulle six coques, sur le parvis de la Cité du design, place de la Manufacture d’Armes.
La "Bulle six coques" de Jean Benjamin Maneval tout juste installée sur la place de la Manufacture d'Armes à Saint-Étienne - Photo : J. Abou / SEM
Le musée Jean Couty vous présente sa nouvelle exposition
"Jean Couty - Au fil de l’eau"
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