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Catégories : CE QUE J'AI LU,VU (et aimé), J'ai lu dans la presse

Un ravissant cadeau de Noël pour la Fondation Bemberg

L'OBJET D'ART, les mardis

À LA UNE
 
 
 
 
Mary Cassatt (1844-1926), Portrait de jeune femme au chapeau blanc (détail), 1879. Huile sur toile, 46 x 38 cm. Estimation : 800 000/1 200 000 €. Adjugé 1 216 000 € (frais inclus) à la Fondation Bemberg. Photo service de presse. © Ader
 
 
Un ravissant cadeau de Noël pour la Fondation Bemberg
Nichée au cœur de la Ville rose, la Fondation Bemberg parachève sa mue après trois années de travaux, avant de rouvrir ses portes au public le 2 février prochain. En guise de célébration de sa renaissance, elle vient d’acquérir un exquis portrait féminin de la main de l’Américaine Mary Cassatt, emporté chez Ader à Drouot le 24 novembre dernier pour 1 216 000 € (frais inclus). O.P.-M.
 
 
 
 
Nicolas de Staël (1914-1955), Sicile, 1954. Huile sur toile, 114 x 146 cm. Musée de Grenoble. Photo service de presse. © Adagp, Paris, 2023 © Ville de Grenoble / musée de Grenoble / photo J.-L. Lacroix
 
 
Nicolas de Staël : la peinture comme seule issue
Le Musée d’Art Moderne de Paris consacre une magistrale rétrospective à Nicolas de Staël, au fil de quelque 200 œuvres. Issues en grande partie de collections privées, nombre d’entre elles n’ont jamais été montrées dans un musée français. Sa vie entourée d’un véritable mythe et son travail, dense et complexe, y sont analysés sous un jour nouveau. B.A.
 
 
VIENT DE PARAÎTRE
 
L'OBJET D'ART N° 606 L'ASIE RETROUVÉE
 
 
 LE CHOIX DE LA RÉDACTION
 
 
 
 
Julia Margaret Cameron (1815-1879), J’attends (détail), 1872. Tirage albuminé. Photo service de presse. © Collection de la Royal Photographic Society au V&A, acquise avec l’aide généreuse du National Lottery Heritage Fund et de l’Art Fund. Museum no. RPS.1297-2017
 
 
Julia Margaret Cameron : pionnière de la photographie d’art
Ses jeunes filles aux visages songeurs et ses portraits de chérubins inspirés des tableaux de la Renaissance comptent parmi les photographies les plus originales de l’Angleterre victorienne. Une carrière aussi brève qu’intense, à découvrir d’urgence au Jeu de Paume. E.B.
 
Vincent van Gogh (1853-1890), Escalier à Auvers, 1890.
 
 
Vincent van Gogh (1853-1890), Escalier à Auvers, 1890. Huile sur toile. Musée d’art de Saint-Louis, Missouri. Photo service de presse. © Saint Louis Art Museum
 
 
Les derniers voyages de Van Gogh
Dans le sillage de l’exposition qui se tient actuellement au musée d’Orsay, le château d’Auvers dresse un panorama saisissant des quatre dernières années – particulièrement fécondes – de la vie de Vincent van Gogh. De 1896 à 1890, l’artiste sillonne la France et séjourne à Paris, Arles, Saint-Rémy-de-Provence et enfin à Auvers-sur-Oise. Le parcours de l’exposition déployée dans les différents espaces du château a été imaginé comme un périple numérique : les œuvres du peintre – qui se dévoilent pour l’occasion en très haute définition – côtoient celles d’artistes l'ayant fréquenté. Le visiteur est invité à mettre ses pas dans ceux de Van Gogh, des années parisiennes chez son frère Theo jusqu’à ses derniers mois à Auvers-sur-Oise ; c’est ici qu’il réalisa plus de 75 tableaux en seulement 70 jours, dans une ultime fièvre créatrice. De son côté, la Maison du docteur Gachet fait écho à cette exposition à travers un nouvel agencement qui s’approche au plus près du décor initial découvert par Van Gogh à son arrivée dans la ville en 1890. F.L.-C.
« Van Gogh. Les derniers voyages », jusqu’au 29 septembre 2024 au château d’Auvers, rue François Mitterrand, 95430 Auvers-sur-Oise.
 
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 ÉDITION NUMÉRIQUE DE DÉCEMBRE
 
Visuel guide des expositions septembre 2023

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