Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : biennale de lyon

  • Lyon plage


    4 juin 2010

    Videz votre sac : portable, trousseau de clés, tube de gloss et mascara, stylos, jetez tout. Sauf votre bikini. Aller prendre l'eau à dix minutes du bureau, ça vous dit ? Cap sur le meilleur spot nautique de Lyon.

    La Saône qui clapote comme la grande bleue, le soleil et les couleurs qui vont avec et vous en sirène slalomant sur l'eau... Le Ski Nautique Club de Collonges au Mont d'Or, c'est Biarritz-sur-Saône, que vous ayez un niveau de torpille ou un profil de loutre. Il vous suffit de choisir : ski nautique, kite surf ou pourquoi pas bare foot, les doigts de pieds tout écarquillés de plaisir...
    De quoi s'offrir un petit rayon de vacances, vite fait bien fait entre deux réunions. Jusqu'au 15 juin, il faudra cibler le week-end ou les fins de journée mais après, vous pourrez passer votre vie sur l'eau...


    Ski Nautique Club de Collonges
    Quai de la Libération
    69660 Collonges au Mont d'Or
    T 04 78 22 62 67
    Tarifs découverte (adhésion, licence plus 1er tour) 45 euros.
    Plus d'infos: snccollonges.free.fr

  • LYON SUR TOUS LES FRONTS !

    La Bibliothèque municipale de Lyon vous propose
    14-18 : LYON SUR TOUS LES FRONTS !

    Les prochains rendez-vous :
     
    Romain Rolland :
    l'invention de la dissidence
    JEUDI 11 DÉCEMBRE À 18H30
    Conférence avec Christophe Prochasson

    La guerre de 14 a-t-elle émancipé les femmes ?  
    MARDI 16 DÉCEMBRE
    À 18H30
    Conférence avec Michelle Zancarini-Fournel et Peggy Bette
     
    Bibliothèque de la Part-Dieu

    en savoir plus
    Lyon sur tous les fronts !
    logo de la ville de Lyon

    Bibliothèque de la Part-Dieu
    30 boulevard Vivier-Merle - 69003 Lyon
    04 78 62 18 00
    www.bm-lyon.fr

  • Libé Lyon

    Le Rhône placé en vigilance orange canicule

    Les bassins et fontaines vont de nouveau se retrouver pris d'assaut aujourd'hui à Lyon. Le département du Rhône va être placé en vigilance orange canicule à partir de ce jeudi à midi. 

    http://www.libelyon.fr/info/2010/07/le-rhône-placé-en-vigilance-orange-canicule.html

    Moi, j'adore; ça me rappelle Casablanca... BIEN QUE LE CHALEUR Y SOIT PLUS RESPIRABLE.

    mAIS FAITES ATTENTION AUX PERSONNES FRAGILES!

  • Lyon et ses plaisirs

     

    Signature : Myriam Boutoulle - 13 octobre 2014
     
    Léon Comerre, La Loge de la ballerine, v. 1885, huile sur toile, 56 x 47 cm (Paris, Galerie de Souzy/©Studio Baraja)

    Léon Comerre, La Loge de la ballerine, v. 1885, huile sur toile, 56 x 47 cm (Paris, Galerie de Souzy/©Studio Baraja).

     

     

    Cafés, brasseries, théâtres ont été au cœur des rencontres entre amateurs d’art et artistes, mais aussi entre les artistes eux-mêmes.

     

    L'exposition « Théâtres et cafés » expose des peintures représentant les lieux de spectacles lyonnais au tournant du siècle (par Jules Chéret, Raoul Dufy, Jules Flandrin, Pierre Puvis de Chavanne...) ainsi que des maquettes préparatoires de décors, comme celle du peintre Joanny Domer pour le plafond du théâtre Bellecour.

    Infos pratiques

     
    Les artistes lyonnais entre théâtres et cafés
     
  • J'ai aimé jeudi à Lyon

    Elmgreen & Dragset

     

    Michael Elmgreen & Ingar Dragset © henridraws

    Biographie

    Sculptures, installations, performances… Michael Elmgreen et Ingar Dragset ressuscitent esprit critique et humour subversif autour de sujets tels que la politique sociale, le poids institutionnel ou la marche du monde en général. Leur travail prend volontiers place dans l’espace public. Jouant sur le décalage et le déplacement, ils créent des situations signifiantes, installant une boutique Prada en plein désert Texan (2005) ou conduisant un projet collectif pour reconstituer dans le pavillon du Danemark de la 53è Biennale de Venise (2009) la maison d’un collectionneur.
    Michael Elmgreen est né en 1961 à Copenhague (Danemark). Ingar Dragset est né en 1968 à Trondheim (Norvège). Ils vivent et travaillent à Berlin (Allemagne).

    Interview de Michael Elmgreen et Ingar Dragset

    1. Pourquoi réactiver aujourd’hui l’histoire de la sculpture classique ?
    En fait, notre sculpture ne sera pas de facture historique, ni ne fera référence à une notion historique ; elle utilisera le langage de la sculpture classique afin de jouer avec.
    2. En quoi votre geste renversera-t-il l’académisme de la statuaire pour l’inscrire dans la contemporanéité ?
    Beaucoup d’éléments rendront notre sculpture contemporaine : le sujet, l’idée que cette sculpture évoque le fait de prendre soin de soi, de différentes manières. Le matériau utilisé, ainsi que son échelle (elle mesurera environ 270 cm) la rendront également très contemporaine. Le fait que ce ne soit pas une sculpture à l’échelle humaine accentuera sa profondeur.
    3. Votre sculpture parlera du « Me and myself ». Y a t-il ici une signification contemporaine, quelque chose auquel on aurait du mal à faire face ?
    Oui, je pense que ce sera très représentatif de notre culture contemporaine. L’œuvre ne célèbrera pas un héros, ni quelqu’un qui poursuivrait un but, tenterait d’accomplir quelque chose. Ce sera l’histoire de quelqu’un qui essaie de se sauver lui-même.

     

    Les oeuvres

    The weight of One Self, Michael Elmgreen & Ingar Dragset

    Une expérience visuelle et philosophique, l’idée d’un ordre bousculé par un geste subtil, respectant la nature patrimoniale et urbaine du site Un homme debout en porte un autre, inanimé, dans ses bras. Vient-il de le tirer des flots le sauvant de la noyade ? Troublant détail, les visages des deux protagonistes s’avèrent identiques. L’homme porte son double, devenant ainsi son propre sauveur mais aussi son propre fardeau. Ces préoccupations philosophiques font écho aux questions de responsabilités civiques et individuelles débattues quotidiennement au Palais au Justice. Conçue par les artistes Elmgreen&Dragset, l’œuvre reprend la longue tradition de la sculpture : le nu héroïque et le marbre même si il s’agit ici d’une technique nouvelle (la poudre de marbre solidifiée). Une recherche formelle en clin d’œil à l’architecture des lieux. Par son échelle, supérieure à l’échelle humaine, cette sculpture de 2,7m de haut fait également fonction de repère dans le paysage. « L’œuvre sera très représentative de notre culture contemporaine. Elle ne célèbrera pas un héros, ni quelqu’un qui poursuivrait un but, tenterait d’accomplir quelque chose. Ce sera l’histoire de quelqu’un qui essaie de se sauver lui-même. »
     


     

     

    Quelques oeuvres des artistes


    CONCEPTEURS

    Voir tous les concepteurs

    http://www.lesrivesdesaone.com/concepteurs-artistes/elmgreen-dragset/

  • Les lauréats de la Biennale d’architecture de Venise 2014

     

    Signature : Laura La Fata - 10 juin 2014
     
    Vue de l’exposition du Pavillon français « Modernité : promesse ou menace ? », 14e Exposition internationale d’architecture, « Fundamentals », Biennale de Venise, 2014 (Courtesy de la Biennale de Venise. ©Andrea Avezzù)

    Vue de l’exposition du Pavillon français « Modernité : promesse ou menace ? », 14e Exposition internationale d’architecture, « Fundamentals », Biennale de Venise, 2014 (Courtesy de la Biennale de Venise. ©Andrea Avezzù).

     

     

    Samedi 7 juin, le jury de la Biennale d’architecture de Venise 2014, présidé par l’Italien Francesco Bandarin, a distribué ses premiers prix.

    Samedi 7 juin, le jury de la Biennale d’architecture de Venise 2014, présidé par l’Italien Francesco Bandarin, a distribué ses premiers prix.

     

    L'exposition « Crow's Eye View : The Korean Peninsula » du Pavillon sud-coréen a été récompensée du Lion d'or pour la meilleure participation nationale, tandis que « Monolith Controversies » du Pavillon chilien a reçu un Lion d'argent pour la meilleure participation nationale. Un autre Lion d'argent a été décerné à « Sales Oddity. Milano 2 and the Politics of Direct-to-home TV Urbanism », pour le meilleur projet de recherche de la section « Monditalia ». Trois Mentions spéciales du jury pour participation nationale ont été attribuées au Canada, à la Russie et à la France. Organisée par l'Institut Français et le ministère de la Culture et de la Communication-Direction Générale des Patrimoines, de concert avec la Cité de l'Architecture et du Patrimoine, l'exposition du Pavillon français « Modernité : promesse ou menace ? », dont le commissariat est assuré par Jean-Louis Cohen, aborde la notion de modernité à travers ses utopies et ses traumas.

    http://www.connaissancedesarts.com/archi-jardin-patrimoine/actus/les-laureats-de-la-biennale-d-architecture-de-venise-2014-107129.php

     

    Les films, les galeries, les lieux,les livres, les expos, les infos, les poèmes, l’actu, les œuvres, les artistes, les polars  nourrissent ce blog mais aussi mes 13 livres en vente ici:

     

    http://www.thebookedition.com/livres-laura-vanel-coytte-auteur-95.html

     

  • Biennale de Venise : l’âme de la cité africaine

     

    Publié le 25 juin 2015 à 18h44
     

    Avec l'exposition « Villes africaines en mouvement » organisée à l'occasion de la biennale de Venise, le cabinet Architecture-Studio invite à une plongée sensorielle, en vidéo, au cœur de l'ébullition urbaine.

    Depuis un peu plus d’un mois, une cité algérienne réputée pour ses divers trafics s’est installée à Venise, à deux pas du Rialto, où des millions de visiteurs défilent chaque année pour se prendre en photo face au pont des Soupirs. Cette cité, c’est Climat de France, un ensemble monstrueux d’Oued Koriche imaginé par l’architecte marseillais Fernand Pouillon dans les années 1950 et qui, depuis, domine toujours Bab El Oued.

    À l’occasion de la 56e Biennale de Venise, qui se tient en Italie jusqu’au 22 novembre 2015, le cabinet Architecture-Studio organise une exposition intitulée « Villes africaines en mouvement » dans son fort coquet centre, la CA’ASI. Principal invité de cet événement, le photographe Stéphane Couturier, qui travaille sur les mutations de l’espace urbain et s’est particulièrement intéressé aux réalisations de Pouillon dans la cité phocéenne comme à Alger. Ses photos présentées à Venise – parmi lesquelles un très impressionnant panoramique – restituent l’étonnante ambiance de Climat de France. Cinq mille logements conçus il y a plus de cinquante ans, une cour centrale ornée de 200 colonnes et rebaptisée parfois « la Colombie », et une histoire qui se lit à fleur de béton. Les façades, envahies de linge, de paraboles et de climatiseurs, et certaines parties du bâtiment ont été transformées au cours des années selon les besoins d’habitants qui s’entassent parfois dans de minuscules réduits. Les hommes ont modifié l’architecture, la détournant parfois de ses objectifs initiaux, mais l’architecture n’a-t-elle pas elle aussi pesé sur les hommes – ou du moins créé une atmosphère propice à un certain état d’esprit ? C’est de Climat de France, faut-il le rappeler, que sont parties les émeutes de la faim en 1988. L’ensemble fut en outre longtemps sous la coupe du FIS… et entra en ébullition en 2011. Cela, Stéphane Couturier ne le raconte pas, préférant faire ressentir au visiteur la réalité du quotidien dans la cité. Une vidéo à 360°, ininterrompue, montre l’ensemble de la cour intérieure du bâtiment, laisse deviner les débrouilles du système D et la survie au jour le jour, mais permet aussi d’imaginer l’enfermement panoptique produit par un tel lieu.

    Évolutions, révolutions, transformations, changements : les commissaires de l’exposition, Pascale Cassagnau et Françoise Docquiert, ont choisi la vidéo pour évoquer la dynamique urbaine en Afrique. Outre présenter le travail de Stéphane Couturier, « Villes Africaines en mouvement » propose des films de Safia Benhaïm, de Nicolas Boone, de Frédérique Lagny, d’Ange Leccia et de David Yon. Des films de plasticiens exigeants – il ne s’agit en aucun cas de documentaires – dont le langage formel relève plus de la poésie existentielle que du discours analytique. Une petite fille dans un bâtiment inachevé, un homme dans une décharge, une agression dans les rues de Hillbrow (Johannesburg), une publicité pour une demeure (virtuelle) de rêve, le visage d’une femme et celui d’un dictateur, autant d’images qui s’impriment durablement sur la rétine et rendent sensible la violence exacerbée des rapports humains dans la cité. Dans l’ombre de Ponte City, Nicolas Boone filme par exemple dix scènes de la vie à Hillbrow, jouées par des acteurs mais collectées sur place. En Afrique du Nord, Ange Leccia joue avec Azé de la dérive des images, opposant d’une certaine manière la beauté fugace de femmes entraperçues au hasard des rues et la présence obsessionnelle des portraits de Bachar al-Assad placardés un peu partout dans la ville. Au fond, il ne s’agit plus vraiment de parler d’architecture, mais plutôt d’explorer l’âme des villes et de ceux qui s’y côtoient.

    Nicolas Michel

    http://www.jeuneafrique.com/mag/238218/culture/biennale-de-venise-lame-de-la-cite-africaine/

  • Diaporama : Le beau pluriel de la Biennale de Saint-Étienne 2015

    Diaporama : Le beau pluriel de la Biennale de Saint-Étienne 2015

     
    PreviousNext

    http://www.connaissancedesarts.com/design-decoration/diaporama/le-beau-pluriel-de-la-biennale-de-saint-etienne-2015-110108.php

  • Biennale de Venise 2015, les Rêvolutions de Céleste Boursier-Mougenot

     
    Toutelaculture
    Pavillon français de la Biennale de Venise 2015 : Céleste Boursier-Mougenot révèle son projet
    A la Biennale de Venise, “Rêvolutions”, le projet de l'artiste Céleste Boursier-Mougenot, transformera le pavillon français en un îlot “onirique et ...
    Google PlusFacebookTwitterSignaler comme non pertinent
     
     
    Le Figaro
    Biennale de Venise 2015, les Rêvolutions de Céleste Boursier-Mougenot
    Céleste Boursier-Mougenot, qui représente la France à la 56e Biennale de Venise du 9 mai au 22 novembre, a révélé un peu de son projet baptisé ...
    Google PlusFacebookTwitterSignaler comme non pertinent
     

  • Bilal met en boîte le public de la Biennale de Venise

    Diaporama

     

    Dans le cadre de la Biennale de Venise, Enki Bilal prend possession de la Fondazione Giorgio Cini en plongeant le visiteur dans une expérience sensorielle inédite. Entre vidéo, installation et bande dessinée, Inbox brise les frontières qui séparent virtuel et réel.

    Une installation méditative

    http://www.connaissancedesarts.com/art-contemporain/bilal-met-en-boite-le-public-de-la-biennale-de-venise-1125542/

  • La 55e Biennale de Venise, une édition très cosmopolite

    Le temps de la Biennale, Venise redevient la capitale mondiale de l’art contemporain. Pour sa 55e édition, la?manifestation, comme pour ses précédentes éditions depuis 1998, se décline selon deux grands axes principaux, une “exposition internationale” pensée, organisée et articulée afin de délivrer une vision sur les?évolutions et les directions de l’art, et les expositions des pavillons “nationaux ” (quatre-vingt-huit au total dont douze nouveaux pays en 2013), où les artistes sont choisis et présentés par les États.
    par Philippe Fouchard-Filippi

     

    Magazine : L'Estampille/L'Objet d'Art n° 492 Page : 94-96

  • Paolo Baratta: «La Biennale de Venise est le lieu où il faut être»

    Paolo Baratta: «La Biennale de Venise est le lieu où il faut être»

    INTERVIEW - Président de la Biennale de 1998 à 2000, puis de nouveau depuis 2008, cet ancien ministre italien explique au Figaro comment il a redressé une énorme entreprise culturelle où accourt désormais le monde entier, Vatican et pays émergents compris.

    Paolo BARATTA.-J'ai été nommé la première fois président de la Biennale dans une période de crise extrême, après 1968. Jusqu'en 1998, la Biennale n'a pas retrouvé son identité. Les statuts ont alors changé. On est venu me chercher, moi qui étais en dehors du monde de l'art et des institutions publiques culturelles et venais d'une autre planète. J'ai trouvé les Giardini dans un état épouvantable, le pavillon Italia où se tenait la grande exposition internationale était plein d'eau, impraticable. L'entretien des 30 pavillons nationaux incombait, comme aujourd'hui, aux pays concernés, selon des accords divers tissés par 120 ans d'histoire. La Biennale n'avait pas encore son palais bien à elle, car l'Arsenal était toujours propriété de la marine. Mon instrument pour reconstruire l'éclat perdu de la Biennale a été l'obtention de la concession des lieux pour un certain nombre d'années - une forme de bail emphytéotique - en échange de travaux de réhabilitation des lieux. Cette souveraineté nouvelle nous a permis de restaurer l'espace, de faire des projets, de créer. J'ai obtenu l'Arsenal en cinq mois. C'était un entrepôt fermé, encombré, délabré et dangereux pour tout visiteur. On a dû restaurer la charpente du XVIe siècle en six mois pour être prêt pour la Biennale de 1999 dont Harald Szeemann (historien d'art et commissaire d'exposition suisse, 1933-2005) fut le directeur artistique.

    Avec déjà 4400m2 au pavillon Italia et 25.000 m2 à l'Arsenal, pourquoi étendre encore la surface d'exposition?

    Grâce aux arts plastiques, nous continuons de restaurer le patrimoine architectural de Venise. Depuis que nous avons engagé cette politique de restauration, nous avons de nouvelles demandes de pays désireux de participer. Le Kosovo est devenu indépendant et rêvait de Venise, première manifestation d'un jeune pays qui se veut complet, avec l'art et la reconnaissance internationale instantanée qu'il donne. De nombreux pays veulent avoir leur pavillon permanent.

    Quels sont les nouveaux venus?

    Cette année, les derniers arrivés sont l'Argentine, les Émirats arabes unis, l'Afrique du Sud, le Vatican. Ils financent la restauration des nouveaux espaces d'exposition dans l'ancienne salle d'Armes au cœur de l'Arsenal. Ce sont de magnifiques espaces avec leurs hautes fenêtres ancrées directement dans le bassin et conçus pour exposer la puissance militaire de Venise. Ils en disposeront pour 20 ans. Le coût moyen est de 2 millions d'euros pour 500 m2, sorte d'anticipation du loyer. Nous discutons d'un accord avec la Turquie. Venise est clairement le lieu où il faut être.

    Qu'est-ce que le Vatican vient faire dans une biennale d'art contemporain?

    L'Église a abandonné le leadership des arts depuis 200 ans et a adopté en matière d'architecture des «néo» de toute sorte: néoclassicisme, néogothique, néoroman. Elle n'a pas bien vécu sa relation à la modernité. De pauvres prêtres se retrouvent dans des églises modernes encombrantes avec des laides copies de grandes peintures. Pour la première fois, le cardinal Gianfranco Ravasi, responsable des affaires culturelles du Vatican, a décidé que l'heure était venue de se confronter à l'art contemporain, d'ouvrir un dialogue avec ce monde de l'art qui ne se prive pas de provocations, voire de blasphèmes. C'est un acte d'humilité, car ce n'est pas l'Église qui va donner la règle et définir l'art sacré. Après quatre ans de discussions, le thème choisi par le Saint-Siège est la Genèse et ses onze livres. Un choix œcuménique, moins sujet à bataille que la Madone ou l'Islam. Cela dit, c'est un pur hasard si le pavillon du Vatican se retrouve à côté de celui de l'Argentine! Les Émirats arabes unis voulaient être près du Vatican, car sa présence donne à tout l'endroit une importance majeure et garantit une certaine tenue.

    Quelles sont les ressources de la Biennale de Venise?

    Le budget de la biennale d'art est de 13 à 14 millions d'euros, celui de l'ensemble des biennales (arts, architecture, danse, théâtre et cinéma) est autour de 30 millions par an. Au-delà de ce que nous produisons, il faut ajouter les productions des pays invités à exposer dans leur pavillon, ce qui double le budget réel de la Biennale d'art. Sans compter toutes les actions parallèles et les fondations - François Pinault, Guggenheim ou Prada - qui misent sur l'impact rayonnant de la Mostra, investissent et en tirent bénéfice. Entre la billetterie, les sponsors, les pays qui paient pour participer, la biennale d'art réalise un chiffre d'affaires qui couvre 90 % de ses besoins. La Mostra de cinéma, en revanche, est une grande dépense comme tous les festivals de cinéma. Car il faut inviter au moins deux personnes par film, le jury, parfois payer certains intervenants, pour un public au final plus restreint et plus jeune. Le public de la biennale d'art, qui s'échelonne sur 6 mois, est sans comparaison. On a décidé d'augmenter le prix du billet d'entrée, malgré la crise et le nombre de visiteurs, car la Biennale de Venise le mérite.

    La 55e Biennale de Venise (Giardini et Arsenal) est ouverte au public du 1er juin au 24 novembre. www.labiennale.org

    http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2013/05/28/03015-20130528ARTFIG00273-paolo-baratta-la-biennale-devenise-est-le-lieu-o-il-faut-etre.php

  • A Venise, nous voyons tous les les jours de Venise(Biennale 2013)

    29 Maggio – 29 Settembre 2013
    10-19 tutti i giorni
    Isola di San Giorgio Maggiore, Venezia
    Ingresso libero

    Marc Quinn
    Mostra personale del grande artista inglese
    a cura di Germano Celant

    La Fondazione Giorgio Cini presenta un nuovo importante progetto espositivo aperto al pubblico sull’Isola di San Giorgio Maggiore dal 29 maggio 2013: Marc Quinn, grande mostra personale a cura di Germano Celant e prodotta in collaborazione con l’artista, che vede una selezione di oltre 50 opere – tra sculture, dipinti, disegni e altri oggetti d’arte – realizzate da Marc Quinn, uno dei più noti esponenti della generazione degli Young British Artists.

    Con oltre 50 opere tra cui  15 mai esposte prima,la mostra dal titolo Marc Quinn è tra le più importanti mai dedicate all’artista. Oltre a celebrare il rinnovarsi della collaborazione tra Quinn e Celant (che risale all’esposizione Garden organizzata da Fondazione Prada a Milano nel 2000), Marc Quinn segna il ritorno a Venezia dell’artista inglese dopo The Overwhelming World of Desire alla Collezione Peggy Guggenheim nel 2003, e ribadisce il crescente interesse della Fondazione Giorgio Cini per l’arte contemporanea.

    «La Fondazione Cini è nota soprattutto per il suo impegno nella valorizzazione dell’arte antica, e in particolare veneta – afferma il Segretario generale Pasquale Gagliardi – ma ha anche dato periodicamente contributi decisivi e di altissimo livello alla promozione dell’arte contemporanea: basti pensare alla grande mostra di Henry Moore del 1995, agli straordinari saggi sull’arte contemporanea di Rodolfo Pallucchini – direttore dell’Istituto di Storia dell’Arte della Fondazione Cini dal 1972 al 1989 e organizzatore della memorabili Biennali d’Arte veneziane del dopoguerra –, raccolti e pubblicati lo scorso anno, alla recente mostra Penelope’s Labour dedicata ai tappeti e agli arazzi d’oggi. Il progetto Marc Quinn, che segue di pochi mesi l’inaugurazione di Fragile? e l’apertura de ‘Le Stanze del Vetro’ all’arte  contemporanea, è quindi profondamente coerente, da un lato, con le tradizioni della Fondazione Cini, dall’altro con la sua propensione all’innovazione, anche la più provocatoria (come il ritorno in facsimile de Le nozze di Cana di Veronese nel Refettorio palladiano)».

    Marc Quinn ha iniziato la propria carriera esplorando alcuni temi privilegiati, quali il rapporto tra arte e scienza, il corpo umano e i suoi meccanismi di sopravvivenza, la vita e la sua conservazione, la bellezza e la morte. Quinn descrive la mostra come «un’esplorazione del rapporto con il nostro corpo e con il mondo fisico e culturale che ci circonda, cosa significa vivere in un mondo che è reale e virtuale al tempo stesso».

    Nella mostra è possibile ammirare, in uno spettacolare allestimento concepito appositamente per l’Isola di San Giorgio, il ciclo Evolution (2005-07). Questa serie di dieci monumentali sculture di marmo color rosa carne, raffiguranti feti di varie dimensioni in diverse fasi della gestazione, è disposta lungo la discesa che conduce dallo Squero, dove in precedenza si costruivano le barche, all’acqua: un inno al mistero della vita che emerge dalla laguna.

    Un altro omaggio alla natura sono le cinque colossali conchiglie della serie The Archaeology of Art che sembrano chiedere se la volontà di creare arte sia intrinseca nella natura. Forme perfettamente simmetriche, create dalla natura, che celano una strana intelligenza e paiono seguire un ordine a loro superiore. Enormi in termini di dimensioni, ma estremamente dettagliate, queste conchiglie sono tra gli oggetti stampati in 3D ad alta definizione più grandi del mondo, il risultato di un codice digitale emesso da un computer sulla base del codice biologico del DNA che ha creato gli originali. Le conchiglie scolpite nel bronzo giacciono in riva al mare, come cullate dalla marea.

    Infine sarà possibile ammirare una reinterpretazione dell’opera monumentale dell’artista Alison Lapper Pregnant, installata nel settembre 2005 sul quarto plinto al centro della londinese Trafalgar Square (2005-2007). Breath (2012), disposta in prossimità della Basilica di San Giorgio Maggiore per accogliere i visitatori della Fondazione, è una versione gonfiabile dell’originale alta 11 metri. L’opera è stata anche il pezzo principale della cerimonia di apertura dei Giochi Paralimpici di Londra. Breath sembra descrivere il viaggio di un’immagine che diventa parte del discorso culturale, un’immagine senza confini di scala, sorretta dall’alito di chi ne parla, una forma empirica, tanto quanto i famosi autoritratti eseguiti da Marc Quinn con il suo stesso sangue congelato.

    Una scultura di alluminio su grande scala, intitolata The Sound of Silence (2013) è un’installazione mobile di aeroplani e incidenti aerei che volteggiano nell’aria senza mai sfiorarsi. Un’esplosione violenta sospesa nel silenzio, quest’opera rappresenta una diapositiva di un disastro muto, una manifestazione di una delle nostre paure contemporanee più cupe, dal movimento tuttavia ipnotico. Infine, tra le opere inedite, Quinn debutta con una nuova edizione della sua serie Flesh Paintings, iniziata nel 2012, per esplorare il dualismo della bellezza e della repulsione evocate dalla raffigurazione astratta di carne cruda marmorizzata ed enfatizzata.

    La nuova opera è un grande olio su tela intitolato The Way of All Flesh (2013), che vede come protagonista la modella incinta Lara Stone su uno sfondo di carne cruda, a sottolineare l’origine e il fatalismo impliciti nella vita stessa.

    «Le opere di Marc Quinn sono proiettate verso il passato e verso il futuro, dalla nascita alla morte. Sono immagini fluttuanti che raffigurano il corpo, la carne, la felice riproduzione della sua contemplazione, sia in senso positivo che negativo. Esteriorizzano i desideri intimi e le immagini mentali dell’essere umano che transita da una condizione sessuale all’altra e abbracciano sia la vita interiore che quella esteriore – afferma il curatore Germano Celant – Quest’importante mostra personale della Fondazione Giorgio Cini intende contestualizzare la produzione più recente di Quinn per fornire una maggiore comprensione della sua arte, intesa come arte di incarnazione, che mette in primo piano i valori visivi e tattili, mirati alla natura, all’essere umano, ma anche alla luce e alla retina che la filtra.»

     

    Il lavoro concettuale di Quinn si realizza attraverso scultura, pittura e installazioni. Il forte interesse dell’artista per la capacità di metamorfosi sia della natura che della vita umana lo guida verso un’attrazione per la spiritualità innata dell’uomo. Quinn mette in discussione i codici della natura attraverso l’utilizzo di materiali che non accettano compromessi, quali: ghiaccio, sangue, marmo, vetro e piombo. Attraverso l’utilizzo di tali materiali le opere di Quinn esplorano vita, morte, sessualità e religione in modo poetico e allo stesso tempo provocatorio. Quinn trasforma l’atto del semplice osservare, forzando lo spettatore a mettere in discussione quanto lo circonda, spingendolo verso l’ignoto, per favorire la riscoperta.

    In parallelo a Marc Quinn, Skira pubblica per l’occasione una pubblicazione importante, intitolata Marc Quinn Memory Box, a cura di Germano Celant. Il volume di 520 pagine in lingua inglese comprende una conversazione tra Quinn e Celant e delle interviste storiche di Quinn risalenti al 1994. Marc Quinn Memory Box sarà disponibile online e presso la Fondazione Giorgio Cini.

    Per maggiori informazioni su Memory Box: www.skira.net.

    http://www.cini.it/events/marc-quinn

     

  • Nous avons aimé ”La condition des soies” dans le cadre de la Biennale du design

    23 mars 2013 254.jpg

    23 mars 2013 255.jpg

    Sous la peau

    Du 14/03 au 31/03/13 : ouvert tous les jours de 14h à 18h. Vernissage le 16 mars à 19h.
    La Condition des Soies
    Saint-Étienne
    Biennale Internationale Design Off Saint-Etienne,Upcycling par l'exemple ou comment designer en temps de crise.La Condition des Soies sera le 1er Monument Historique BBC de France et l'immeuble le plus luxueux de Saint-Etienne.
     
  • Des élèves de mon 1 er lycée à la Biennale off

    Biennale OFF

    Objet métisseWP_20170314_001.jpgWP_20170314_002.jpgWP_20170313_007.jpg

    WP_20170313_003.jpg

    Le thème "make machine not war" intéresse nos élèves de CAP chaudronnerie au lycée Le Marais Sainte Thérèse à Saint Étienne. Nous souhaitons profiter d'une commande réelle de présentoirs pour traiteur. Ce prototype artisanal devra conduire la réflexion vers une production pouvant être industriellement robotisée, incluant la dimension du coût et du marché. Notre vision est de créer des filiations avec le monde artistique pour produire une pièce en phase avec les usages actuels et d'une esthétique contemporaine enrichie par un apport culturel inhérent à l'origine de chaque participant.

    Jours et horaires : Horaires d’ouverture de la Platine

    http://www.biennale-design.com/saint-etienne/2017/fr/programme/?ev=objet-metisse-

    234&type=biennale_off&thema=&d=

    et une expo au CDI et dans  le couloir pour nos Portes ouvertes ce week-endWP_20170313_008.jpg

    WP_20170313_006.jpg