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Au sommaire de ce numéro : Portfolio : la collection Koch à Zurich, 4 000 ans d'histoire des bagues. Luca Giordano, prodige de la peinture au Petit Palais. Réouverture du musée Ingres Bourdelle à Montauban. Claudius Popelin (1825-1892), une renommée acquise par l'émail peint. Les nouvelles salles de parade du château de Dresde.
Je déteste et j'aime en même temps le défi du samedi quand il rajoute à ma liste déjà longue(infinie) de paysages à voir comme dans le Défi 723 de samedi dernier.
Visionnez en replay ou sur le lien ci dessous, le passage d’Etienne dans le Grand Echiquier. Il interprète « Roman Inachevé » en live et accompagné par l'Orchestre de l’Opéra Royal du château de Versailles, dirigé par Stephan Plewniak.
REPLAY LE GRAND ECHIQUIER
Visionnez en replay ou sur le lien ci dessous, le passage d’Etienne dans le Grand Echiquier. Il interprète « Roman Inachevé » en live…
Edition 2014 : Vendredi 30, samedi 31 mai et dimanche 1er juin De 14h à 18h
Organisés par le ministère de la Culture et de la Communication, les "Rendez-vous aux jardins" créent l’événement chaque premier week-end de juin.
Le parc du Château de Bouthéon vous ouvre ses portes et vous invite à profiter de ce week-end pour découvrir les jardins thématiques du domaine : potager, roseraie, jardins à la française...
Amoureux de la nature, d’histoire et de savoir-faire, les jardins du château vous invite à porter un tout autre regard sur le monde végétal.
Tarifs
Entrée "Parc" - Vendredi, Samedi et Dimanche : Tarif réduit (2,80€) pour toutes personnes âgées de plus de 18 ans / Gratuit pour les enfants de moins de 18 ans
Les films, les livres, les expos, les infos, les poèmes, l’actu, les œuvres, les artistes, les polars, les paysages nourrissent ce blog mais aussi mes 13 livres en vente ici:
C’est autour de l’histoire des sciences au XVIIIe siècle qu’intervient l’exposition intitulée Un rêve de lumière. La première partie de l’exposition est consacrée à l’abbé Nollet, souvent présenté comme précurseur de l’enseignement technique moderne et de la formation des ingénieurs. L’événement du château de La Roche-Guyon tient notamment au fait que les deux globes terrestres et célestes réalisés par le religieux reviennent ici, dans leur lieu originel. Pièces rares, scientifiques et artistiques, ils sont des marqueurs de l’évolution de la cartographie française. Divers instruments de physique conçus par Nollet enrichiront l’exposition.
La deuxième partie sera consacrée à sept artistes contemporains ayant abordé les thèmes de la science, de la lumière et du système solaire. Parmi eux, le sculpteur et photographe Raphaël Zarka, la plasticienne Sophie Bruere ou l’artiste-peintre Geneviève Morgan. Enfin, deux colloques se tiendront sur l’histoire des sciences au XVIIIe siècle d’une part, la relation art et science de l’autre.
Situé à la frontière des départements du Var et des Bouches du Rhône, Vauvenargues étend son vaste territoire au pied de la face Nord du massif de la Sainte Victoire.
La vallée qui entoure le village est de toute beauté, elle demeure intacte et accueillante. De très belles promenades sont à faire sur les sentiers de grande randonnée qui traversent Vauvenargues. Cependant, en raison des risques d'incendies, les abords de la Sainte Victoire sont protégés au mois de Juillet et Août.
A l'extérieur du village, niché dans la verdure, le château de Vauvenargues semble surveiller l'entrée de la vallée. Flanqué de deux tours rondes du XIV° et entouré d'une enceinte du XVI°, son histoire mouvementée remonte aux Comtes de Provence.
On sait qu'en 1257 le château appartenait aux archevêques d' Aix , en 1722 Louis XV l'offrit pour bons et loyaux services rendus pendant la peste de 1720 à un certain Joseph de Clapiers....et c'est en 1958 que le château devint la propriété du célébrissime peintre Pablo Picasso qui, selon ses voeux en fit sa demeure éternelle.
A visiter, à voir :
L'église du XVI° dont une partie romane date du V°siècle. Gouffre du Garagaï. La Glacière. Vallon des Masques. Citadelle
La Cité des Baux-de-Provence a accueilli l’exposition de Matthieu Faury « Métaphysique des casques », du 15 février au 6 mai 2012, à l’Hôtel de Manville et sur l’esplanade du Château des Baux. Depuis le Moyen-âge, l’architecture et l’identité des Baux-de-Provence se sont constituées autour de la forteresse et de sa fonction défensive. « Défendre et protéger » servent de point de départ à une exposition qui s’intéresse à la dimension artistique des Casques, et en révèle la valeur poétique, symbolique, et finalement métaphysique. Le titre de l’exposition « Métaphysique des Casques » fait référence au titre d’un livre de Michel Onfray intitulé « Métaphysique des Ruines ». La découverte d’un casque corinthien en bronze du V siècle sur le site des Baux-de-Provence est mentionnée dans un ouvrage de Fernand Benoit intitulé « Les Baux ». Cet élément apporte une dimension historique à cette exposition. L’exposition des oeuvres à l’Hôtel de Manville est gratuite. Elle est ouverte, de 10h à 17h, du lundi au vendredi et, de 13h à 17h, les week-ends et jours fériés. La presentation de Matthieu Faury, sur l’esplanade du Château, est comprise dans le prix d’entrée de la citadelle et accessible, tous les jours, durant les heures d’ouverture du Château.
A moins de 200 kilomètres au sud de Paris, entre les villes de Tours et de Blois, se cache un trésor de poésie. Oasis naturel, promontoire perché à 40 mètres au dessus de la Loire sauvage, le Domaine de Chaumont-sur-Loire, propriété de la Région Centre-Val de Loire, vous ouvre toute l’année les portes de son château et de son parc. Chaumont sur Loire, qui fut la propriété de Catherine de Médicis, de Diane de Poitiers et de la Princesse de Broglie vous accueille en toutes saisons avec ses intérieurs chaleureux et richement meublés, considérablement embellis ces dernières années.
Dans le château ou à travers les sentiers du parc, les installations de nombreux artistes contemporains sauront vous surprendre, vous séduire et vous émouvoir. En 2015, 15 nouveaux artistes investissent le domaine, le parc et ses dépendances : dans le château, l’artiste mexicain Gabriel Orozco avec ses sublimes « fleurs fantômes », les artistes suisses Gerda Steiner et Jörg Lenzlinger avec leur surréaliste jardin suspendu, le Brésilien Tunga avec une installation spectaculaire dans le manège des Ecuries, le sculpteur ghanéen El Anatsui, avec une exceptionnelle tenture dans la Galerie du Fenil. Sont à découvrir dans le parc historique les structures arachnéennes de l’artiste allemande Cornélia Konrads, la « constellation du Fleuve » de Christian Lapie et l’arbre chevalier du Finlandais Antti Laitinen. De grands photographes, tels Edward Burtynsky, Naoya Hatakeyama, AlexMacLean mettent en lumière, avec des images d’une incroyable beauté, les ravages de l’action humaine sur la nature, tandis que Mélik Ohanian, Xavier Zimmermann et Jean-Christophe Ballot dévoilent la picturale splendeur d’arbres d’ici et d’ailleurs.
A Chaumont sur Loire, tout invite à l’émotion artistique.
La Diana, fondée en 1862 à l'initiative du duc de Persigny, ministre de Napoléon 111, avait pour but de préserver le patrimoine forézien. Une bibliothèque vit le jour rapidement dans une salle héraldique classée Monument historique à Montbrison, puis un Musée archéologique en 1884. Très tôt sensibilisée à la sauvegarde du patrimoine foncier historique, la Diana achète, outre ses locaux à Montbrison, la chapelle de Baffie à Saint-Germain-Laval (Loire) à la fin du XIXe siècle, puis le château de la Bastie d'Urfé en 1909, le château de Couzan en 1933. Elle s'investit financièrement ensuite sur les sites de Saint Rambert en Forez, du Prieuré de Saint-Romain-le-Puy et fait l'acquisition en 1998 de la Commanderie de Saint-Jean des Prés de Montbrison (Ordre de Malte), pour la sauver de la ruine imminente. Parallèlement à ces occupations, forte en 2001 de 1070 sociétaires, la société publie un bulletin (depuis 1876), et différents ouvrages de manière périodique qui totalisent aujourd'hui plus de 50000 pages publiées. La société s'est définitivement ouverte au public en 1990, afin de faire profiter à la collectivité de sa bibliothèque (43000 volumes), de ses archives (1 kilomètre de rayon), des ateliers pour les scolaires. Son site Internet a eu en 2000 : 121 500 visiteurs. Les chantiers 2001-2002 portent sur la réfection de la Commanderie de Saint-Jean des prés (première tranche de travaux de 400 000 F), et l'achèvement de la réfection de la chapelle du château de Couzan (seconde tranche de travaux de 200 000 F). L'objectif social étant toujours de permettre aux amateurs ou universitaires de pouvoir publier leur travaux concernant le Forez.
La saison dédiée à la sculpture lorraine du XVIIIe siècle, à ses grands représentants et à ses nombreuses variations, se déploie en deux expositions parallèles : à Nancy, une première rétrospective réunissant 112 chefs-d’oeuvre est consacrée aux Adam, la plus grande famille de sculpteurs français du XVIIIe siècle, tandis qu’au château de Lunéville, c’est toute la richesse de la sculpture mise en scène au sein des résidences ducales de Lorraine qui est à l’honneur.
Lire des textes documentaires et littéraires en relation avec le Moyen Âge.
Étudier les composantes et l’organisation de la description des lieux.
Comprendre quelques visées( fonctions) essentielles de la description.
Distinguer discours narratif et discours descriptif dans un extrait de récit.
Supports
deux descriptions du Mont-Saint-Michel, l’une extraite d’un ouvrage didactique, l’autre du Horla, de Maupassant, 1886
extraits de Perceval, Chrétien de Troyes, de Tristan et Iseut et de Érec et Énide, Chrétien de Troyes
extrait de Joseph Bédier, Le Roman de Tristan et Iseult
Dire
Un poème
Outils de langue
Étudier les compléments circonstanciels de lieu
Revoir l’imparfait et le présent : morphologie et valeurs
Découvrir un vocabulaire propre aux lieux médiévaux décrits dans les textes étudiés
Plan de la séquence.
Le Mont Saint-Michel
Séance 1 :
Objectif : Reconnaître une description objective et une description subjective. Comprendre la visée (la fonction) de ces deux types de descriptions.
Support : deux descriptions du Mont-Saint-Michel, l’une extraite d’un ouvrage didactique, l’autre du Horla, de Maupassant, 1886
Conjugaison : le présent et l’imparfait
Séance 2 :
Objectif : Morphologie de l’imparfait et du Plus-que-parfait, du présent et du passé composé. Valeurs de l’imparfait et du présent.
Support : Polycop.
Le château, la forêt et le verger
Séance 3 :
Objectif : Découvrir trois types de lieux essentiels de l’imaginaire médiéval : le château, la forêt, le verger. Comprendre les visées des descriptions de ces lieux
Support : extraits de Perceval, Chrétien de Troyes, de Tristan et Iseut et de Érec et Énide, Chrétien de Troyes
Les compléments circonstanciels de lieu
Séance 4 :
Objectif : Identifier des indications de lieu dans une description, distinguer la nature et la fonction de ces groupes de mots. Comprendre le rôle de ces compléments circonstanciels de lieu dans un discours descriptif.
Support : extraits de Perceval, Chrétien de Troyes, de Tristan et Iseut et de Érec et Énide, Chrétien de Troyes
Le verger de Tristan et Iseult
Séance 5 :
Objectif : Distinguer le discours narratif et le discours descriptif dans un extrait de récit complexe.
Support : extrait de Joseph Bédier, Le Roman de Tristan et Iseult.
Le discours descriptif
Séance 6 :
Objectif : Bilan sur le discours descriptif : organisation, vocabulaire.
Support : Polycop
Séance 7 :
Evaluation
Séance 8 :
Correction.
Séance 1. 1h
Le Mont Saint-Michel
Séance 1 :
Objectif : Reconnaître une description objective et une description subjective. Comprendre la visée (la fonction) de ces deux types de descriptions.
Support : deux descriptions du Mont-Saint-Michel, l’une extraite d’un ouvrage didactique, l’autre du Horla, de Maupassant, 1886
I - Textes lus et travail préparatoire
1. Lisez attentivement ces deux textes.
2. Qu’est-ce qu’une abbaye ? une crypte ? un cloître ? un réfectoire ?
3. En même temps que quelle autre partie de l’abbaye le réfectoire a-t-il été construit ?
4. Recherchez le vocabulaire inconnu pour le texte 2.
5. Le narrateur du texte 2 n’est-il que narrateur ?
II - La description objective
Questionnaire oral pour guider la lecture
- Quel est le point commun de ces deux textes ?
(Ce sont deux textes qui font la description d’un même lieu : le Mont-Saint-Michel.)
- Correction de questions préparatoires 2 et 3.
- Pourrait-on trouver ces deux descriptions dans le même type d’ouvrage ?
(La première description pourrait se trouver dans un guide de voyage, la seconde dans un récit, roman ou nouvelle.)
- Une phrase comme « Je poussai un cri d’étonnement » pourrait-elle se trouver dans le premier texte ? Pourquoi ?
(Non, car ce genre de phrase traduit le sentiment du narrateur et on se moque du sentiment de celui qui a rédigé le guide, on se moque de son avis personnel.)
- Le texte 1 raconte-t-il une histoire ?
- Le but de ce récit est-il le même que dans un roman ?
(Non, il ne s’agit pas ici de distraire mais de raconter pour informer.)
- Quelle autre particularité vous semble propre au genre du texte 1 ?
(L’utilisation de termes techniques.)
Trace écrite possible (1) : il est important qu’elle soit conçue avec les élèves et pas seulement dictée par le professeur. Il est indispensable de la concevoir comme un bilan de la lecture effectuée.
I - La description objective
Le texte 1 a pour but d’informer de manière précise, la description est objective, c’est-à-dire que l’auteur décrit la réalité sans donner son appréciation personnelle. Il s’agit d’un texte à visée informative.
Le texte informatif utilise des termes techniques et précis (abbatiale, nef, transept, déambulatoire…). Les informations qu’il donne sont sûres, elles peuvent êtres vérifiées par tout le monde.
III - La description subjective
Questionnaire oral pour guider la lecture
- Correction des questions préparatoires 4 et 5.
- Comment progresse la description du lieu dans le texte 2 ?
(La description est organisée par la progression du narrateur.)
- Par quels termes et expressions sont désignés le Mont et son abbaye ?
(« fantastique rocher », « fantastique monument », « énorme bloc de pierre », « la plus admirable demeure gothique construite pour Dieu sur la terre », « gigantesque bijou de granit, aussi léger qu’une dentelle ».)
- Soulignez les termes par lesquels le narrateur semble donner son avis.
(On trouve essentiellement des adjectifs qualificatifs.)
- Quelle impression cette vision fait-elle sur le narrateur ?
- Relevez le champ lexical de l’étrange et commentez l’adjectif « fantastique ».
Trace écrite possible (2) : mêmes remarques que pour (1)
II - La description subjective
Dans le texte 2, le narrateur est aussi personnage : c’est une narration à la première personne. La description se fait à travers le regard de ce personnage.
Le narrateur est partagé entre l’admiration et l’inquiétude, qui semble dominer à la fin.
L’état d’esprit de l’observateur peut influencer la description du lieu. Le vocabulaire traduit ses émotions et ses sentiments. On dit alors que la description est subjective.
Séance 2. 1h
Conjugaison : le présent et l’imparfait
Séance 2 :
Objectif : Morphologie de l’imparfait et du Plus-que-parfait, du présent et du passé composé. Valeurs de l’imparfait et du présent.
Support : Polycop.
I.Présent et passé composé.
Bordas. p. 356.
2) ajouter les verbes prendre et pouvoir.
Exercice : 1, 2, 5, 6, 11
Noté : 12.
II.Imparfait et plus que parfait.
Bordas, p. 358
Exercices : 1. 5, 7, 9, 12
Noté : 14, 15.
Séance 3. 1h
Le château, la forêt et le verger
Séance 3 :
Objectif : Découvrir trois types de lieux essentiels de l’imaginaire médiéval : le château, la forêt, le verger. Comprendre les visées des descriptions de ces lieux
Support : extraits de Perceval, Chrétien de Troyes, de Tristan et Iseut et de Érec et Énide, Chrétien de Troyes
I - Lecture et vocabulaire
Texte 1 :
- valet : jeune homme
- barbacane : construction avancée percée de meurtrières
- débouché : endroit où la rivière rejoint la mer
- moellons : pierres de construction
- châtelet :
Texte 2 :
- archer : tireur à l’arc
- venaison : gibier
- feuillée : assemblage de feuilles, feuillage
Texte 3 :
huis : porte d’entrée
II - Le château
1. Une caractérisation méliorative
- Par quels adjectifs qualificatifs le château est-il caractérisé ? (lien avec la séance précédente)
- Ces adjectifs qualificatifs donnent-ils une image élogieuse ou négative du château ?
(Ces adjectifs donnent une image élogieuse du château.)
- Quelle image du château l’auteur veut-il transmettre à travers ces adjectifs ?
(Un château puissant, invulnérable)
2. Les éléments décrits
- Quels sont les différents éléments du château décrits ?
(les tours, le donjon, la barbacane, la muraille, les moellons, le châtelet, le pont-levis)
Trace écrite possible (1) : il est important qu’elle soit conçue avec les élèves et pas seulement dictée par le professeur. Il est indispensable de la concevoir comme un bilan de la lecture effectuée.
I - Le château
Les adjectifs « haute », « forte », « solide », « basse », « trapues », « grand » et « robuste » caractérisent le château. Cette description donne une idée de puissance, le château paraît invulnérable.
On trouve le champ lexical d’un château-fort : les tours, le donjon, la barbacane, la muraille, les moellons, le châtelet, le pont-levis
VERSAILLES [24.09.14] – Le procès en appel des protagonistes de l’affaire de la Fondation Hamon s’est ouvert lundi 22 septembre à Versailles. Condamnés en première instance en janvier 2013 pour « détournement de fonds publics » et « recel de faux », Charles Pasqua et André Santini clament leur innocence. PAR Nathalie Eggs
BRAUNAU AM INN (AUTRICHE) [23.09.14] – La création d’un musée qui questionnerait la responsabilité de l’homme serait une réponse envisagée par le ministère de l’intérieur autrichien et les autorités municipales à la question épineuse concernant le devenir de la maison natale d’Hitler. PAR Cléo Garcia
PARIS [23.09.14] – Françoise Banat-Berger succède à Agnès Magnien à la tête des Archives nationales. Elle prend ses fonctions dans un contexte difficile. PAR Cléo Garcia
PARIS [22.09.14] – L’ex-directeur de l’Institut Supérieur des arts de Toulouse succède à Richard Lagrange à la direction du Centre national des arts plastiques. PAR Jean-Christophe Castelain
PARIS [08-22.09.14] - Le cabinet de Fleur Pellerin est presque au complet et se partage entre ceux qui l’ont suivie au gré de ses précédents portefeuilles ministériels et les anciens du cabinet Filippetti. PAR LeJournaldesArts.fr
PARIS [19.09.14] – Pour leur 31e édition, les Journées européennes du patrimoine ouvrent leur horizon avec un thème porteur d’avenir : le lien qui unit le patrimoine naturel et le patrimoine culturel. La nature sera mise en valeur comme un élément à part entière et non plus un simple écrin. PAR Nathalie Eggs
PARIS [16.09.14] – Le Musée Arménien tente de mobiliser ses soutiens et d’obtenir la réouverture du Musée Arménien de France à travers une pétition. PAR Nathalie Eggs
BALE (SUISSE) [16.09.14] - Le 12 septembre dernier a eu lieu une première inauguration du Campus der Kunst Basel, également nommé la Hochschule für Gestaltug und Kunst, avec concerts, performances et remises de diplômes. Ce campus entièrement dédié aux arts ne sera inauguré officiellement que le 23 octobre. PAR Juliette Soulez
PARIS [12.09.14] - A la suite d’un conflit entre la Fondation Carmignac et l’artiste iranienne, la Fondation a annulé l’exposition qu’elle devait lui consacrer en novembre prochain. Newsha Tavakolian reproche à Edouard Carmignac son ingérence. La Fondation argue d’un non-respect du règlement du prix Carmignac Gestion du photojournalisme. PAR Christine Coste
BRUXELLES (BELGIQUE) [11.09.14] - Jean-Claude Juncker a présenté sa liste de commissaires européens dans laquelle le Hongrois Tibor Navracsics prend en charge l’éducation, la culture, la jeunesse et de la « citoyenneté ». Il est l’actuel ministre des affaires étrangères du très controversé Viktor Orban. PAR Jean-Christophe Castelain
Le portrait hagiographique d’Aimé Maeght est le prétexte pour sa petite-fille de dresser un réquisitoire contre sa famille. PAR Jean-Christophe Castelain
PARIS [05.09.14] - Jean-François Chougnet est nommé à la présidence du MuCEM en remplacement de Bruno Suzzarelli parti fin août à la retraite. Fleur Pellerin a entériné le choix de son prédécesseur. PAR Christine Coste
Longtemps « satellites » des grandes appellations, Blaye, Bourg, Canon-Fronsac et Fronsac, Castillon affichent des ambitions légitimes
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/week-end/vins-et-gastronomie/02176862682-lheure-de-la-revanche-a-sonne-pour-les-grands-terroirs-meconnus-du-bordelais-1121703.php?5gJKsDuKFUkBuJL6.99
l est des vignobles dont on perçoit, d'un simple coup d'oeil, le potentiel : des coteaux bien exposés qui favoriseront une maturité idéale du raisin, un sol maigre accroché à un socle de calcaire et de marne, dans lequel la vigne s'enracinera profondément, régulant ainsi son alimentation, une vue splendide sur la rivière, qui s'imprimera durablement dans la mémoire de chaque visiteur. Et, ici et là, des vestiges architecturaux d'une gloire ancienne, signe que les Anciens ne se trompaient pas dans le choix des meilleurs terroirs viticoles. Cette immédiate séduction nous saisit dès que l'on découvre les vignobles de Fronsac et Canon-Fronsac, installés sur de splendides collines dominant deux cours d'eau, la Dordogne et l'Isle. Malgré des conditions idéales, le Fronsadais est resté un cru trop méconnu des amateurs et même des professionnels, loin derrière les deux stars voisines - de l'autre côté de la ville de Libourne - que sont Saint-Emilion et Pomerol, dont la notoriété longtemps sans partage s'est construite entre la fin du XIXe siècle et le milieu du XXe sous l'impulsion de quelques négociants, dont le plus entreprenant fut le Corrézien Jean-Pierre Moueix, promoteur de Petrus. Les terroirs périphériques, eux, furent dédiés à la production de vins plus abordables et plus courants, même lorsqu'ils étaient capables de faire beaucoup mieux.
Tanins raffinés
Aujourd'hui, cet état de fait, qui a perduré longtemps, change significativement, pour plusieurs raisons. D'une part, de nombreux crus, livrés à eux-mêmes ou catégorisés par le négoce bordelais dans une division très inférieure, se sont organisés et ont gagné en autonomie. Des Châteaux de La Dauphine, Haut-Carles, Dalem, Les Trois Croix (photo), Fontenil Fronsac, La Rousselle, Moulin Pey-Labrie, Vrai Canon Bouché (lire ci-contre) ont abandonné tout complexe pour réaliser des fronsacs et canon-fronsac aux tanins raffinés et au fruité éclatant. Il en est de même dans d'autres secteurs encore souvent qualifiés de secondaires : Blaye avec les Châteaux Gigault et Magdelaine Bouhou, Bourg avec l'immense Roc de Cambes, Francs avec les Châteaux Marsau et De Francs. Mais aussi, dans l'orbite immédiate de Saint-Emilion, Montagne avec le Château Faizeau, Lussac avec le Château Soleil, Puisseguin avec Le Bernat, Castillon avec son Clos Puy Arnaud et le Domaine de l'Aurage, ou, un peu plus loin, Sainte-Foy-la-Grande représentée par le Château Hostens-Picant. Toutes ces appellations comptent désormais de petites armées de hérauts capables de porter haut leur gloire. Quitte à être sélectif dans ces appellations qui demeurent hétérogènes. « Il m'est difficile de porter un jugement d'ensemble sur le vignoble de Bourg, confie François Mitjaville qui a fait de son côtes-de-bourg Château Roc de Cambes un vin presque aussi recherché que son saint-émilion ChâteauTertre Roteboeuf. Mais ce que je sais, c'est que le terroir de Cambes est aussi passionnant à travailler que celui du Tertre Roteboeuf ! »
La deuxième grande évolution est l'implication de stars de Saint-Emilion et de Pomerol dans ces appellations. En 1998, deux des plus fameux producteurs de Saint-Emilion, Hubert de Boüard (Château Angélus) et Stephan Von Neiperg (Château Canon la Gaffelière) acquièrent chacun un cru dans ces terroirs alors encore considérés comme périphériques : Château La Fleur de Boüard à Lalande-de-Pomerol pour le premier, le Château d'Aiguilhe à Castillon pour le second. Travaillant là avec autant d'exigence et d'ambition que dans leurs crus classés, ils ont profondément modifié l'image de ces secteurs. Et ont fait de nombreux émules : le consultant oenologique Stéphane Derenoncourt au Domaine de l'A (Castillon), la famille Péré Vergé à La Gravière (Lalande-de-Pomerol), Denis Durantou au Château Cruzelles (Lalande-de-Pomerol)… Enfin, « last but not least », les grands négociants bordelais commencent à manifester pour ces appellations un intérêt de bon augure pour le consommateur. Car ils sont aussi bien moins chers…
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/week-end/vins-et-gastronomie/02176862682-lheure-de-la-revanche-a-sonne-pour-les-grands-terroirs-meconnus-du-bordelais-1121703.php?5gJKsDuKFUkBuJL6.99
Une campagne de restauration s’achèvera au début de l’année prochaine au château du Haut-Koenigsbourg, deuxième monument le plus visité d’Alsace.
Perché à presque 800 m sur son rocher, au cœur de la forêt des Vosges, le Haut-Koenigbourg est un rêve de château fort. Édifié du XIIe au XVe siècle, il est en ruine lorsque la ville de Sélestat décide de l’offrir à l’empereur Guillaume II. Dans l’Alsace devenue allemande en 1870, ce « mémorial du glorieux empire retrouvé » tient une place singulière. Marchant sur les pas des Hohenstaufen et des Habsbourg, l’empereur décide d’y laisser la marque des Hohenzollern, dernière dynastie impériale allemande. On ne se contentera pas de conserver les ruines. On restaurera et reconstruira ! Le colossal chantier se met en branle en 1901. Une carrière de grès est ouverte sur le site. On construit une voie de chemin de fer pour déplacer les blocs de pierre. Deux énormes grues sont installées, ainsi qu’un groupe électrogène, une station de pompage… Le chantier dirigé par l’architecte Bodo Ebhart s’achève en 1908. Dans un climat de nationalisme « anti-boche » exacerbé, la presse française se déchaîne. On reproche à Ebhart la perte d’une ruine romantique, sacrifiée à un « Moyen Âge d’opéra-comique ». Le donjon déclenche une polémique. N’était-il pas rond au Moyen Âge ? « Toute chose vraiment belle et vraiment allemande est carrée dès l’origine, ironise le grand Hansi. La forme du crâne allemand est là pour le prouver. » Le visiteur d’aujourd’hui peut vérifier par lui-même que la base médiévale du donjon, parfaitement conservée par Ebhart, est incontestablement carrée… La fascinante documentation photographique constituée par l’architecte avant le début du chantier, ses archives et dessins conservés au château de la Marksburg, récemment étudiés, montrent avec quels scrupules il analyse et remet en valeur chaque vestige archéologique. Tout au plus peut-on lui reprocher d’avoir exagéré les pentes des toits. Mais cette entorse à la vérité archéologique nous vaut aujourd’hui la fière silhouette du château, qui toise la plaine d’Alsace.
Un monument complexe
En 1919, par le traité de Versailles, le monument est livré « clé en main » à la France, restauré, décoré, remeublé. L’empereur Guillaume II, qui visita douze fois les lieux, n’y dormit pas même une seule nuit. Il préférait le confort du palais impérial de Strasbourg ! Après le classement des ruines en 1862, le château devenu monument national est classé Monument historique dans son intégralité en 1993. En 2007, la propriété est transférée au Conseil régional du Bas-Rhin. Après un important chantier de remise aux normes des installations techniques et la restauration de la couverture du donjon, endommagée par la tempête de 1995, des travaux sont en cour à la Maison alsacienne. Cette construction pittoresque imaginée par Bobo Ebhart avait été cloisonnée et partiellement défigurée dans les années 1960. Outre les espaces de services aux visiteurs, elle accueillera, dans sa grande salle aux lambris de pin sombre et peintures d’origine, la nouvelle billetterie et une salle d’exposition. Après destruction des bétonnages modernes, le chantier a révélé au rez-de-chaussée la présence d’un superbe mur à bossages médiéval. Il sera désormais visible. La Tour du Moulin est elle aussi en travaux. Restaurée, elle accueillera une nouvelle salle pédagogique accessible aux enfants à mobilité réduite. L’achèvement de ces travaux est prévu pour le premier trimestre 2016. Un projet ambitieux est actuellement à l’étude : le réaménagement du restaurant, de la boutique et de la librairie dans le bastion de l’Étoile. Ces travaux permettront de gagner une surface utile de 600 m2 sur trois niveaux. Une campagne de fouilles sera menée au préalable, avec mise en valeur éventuelle des éléments archéologiques découverts. Entrée en fonction en juillet 2014, la nouvelle directrice du château, Stéphanie Edel, a plus d’un tour dans son sac pour attirer de nouveaux publics et faire comprendre au plus grand nombre cet édifice longtemps méjugé. Il est aujourd’hui, avec ses 545 000 entrées, le deuxième monument le plus visité d’Alsace après la cathédrale de Strasbourg. Signalons, pendant l’arrière-saison, l’organisation de visites insolites, qui invitent à une découverte privilégiée du lieu. Des lieux habituellement fermés au public y sont révélés : le donjon et la cuisine moderne de l’empereur Guillaume II, aménagée au-dessus des cuisines médiévales. Luxueusement équipée en 1908, elle n’a jamais été utilisée. Monument complexe, le Haut-Koenigsbourg est un témoignage exceptionnel de l’architecture militaire du Moyen Âge, dont subsistent des pans entiers, parfaitement restaurés. C’est aussi le témoignage non moins exceptionnel d’un des plus ambitieux chantiers de restauration menés au début du XXe siècle. Passé l’époque des polémiques, il est l’heure d’en redécouvrir l’âpre beauté.
À lire : Les Cahiers du Haut-Koenigsbourg, éd. Le Verger/Ligne à suivre avec le concours du Conseil général du Bas-Rhin. Volume 1 : « 13 mai 1908. Une inauguration mouvementée », par Bernadette Schnitzler avec Jean Favière ; volume II, « Le château du Haut-Koenigsbourg et l’eau : sources, puits et citernes du Moyen Âge à l’époque actuelle », par René Kill. Prix 24 €.
Avec ce colloque, tenu dans une époque où la psychanalyse continuait en France à jeter tous ses feux, des psychanalystes, des artistes, des critiques ont pris la parole et se sont confrontés sur certaines des questions majeures qui se posent quant à ce que la psychanalyse peut dire sur les arts, et, en particulier, sur les arts de l’image. Dans la présente période, où l’art semble multiplier ses énigmes et où la psychanalyse est diversement battue en brèche, ce livre, à cause de la qualité des propos tenus, conserve une actualité entière.
Table des matières : Introduction par Anne Clancier et Henriette Bessis – Synthèse méthodologique de l’approche psychanalytique des arts plastiques par Béatrice Lehalle – Étude psychanalytique de l’œuvre de Maurice Denis, par Paul Denis – Origines de l’Art / Art des origines (approche analytique de l’art préhistorique) par Jean-Bernard Chapelier et Alain Costes – Céramique géométrique grecque et écriture par Graziella et Nicos Nicolaïdis – Dynamique du simulacre par Pierre Schaeffer – Pensée freudienne chez les peintres automatistes de Montréal par Ray Ellenwood – Esthétique de l’art brut par Murielle Gagnebin – Baigneurs et baigneuses chez Cézanne par Guila Ballas – Table Ronde sur le cinéma, avec Janine Chasseguet-Smirgel, Josée Violette et Daniel Widlöcher – Table Ronde sur les peintres, animée par Anne Clancier avec Philippe Guérin, Michel Ledoux, Jean-Sébastien de Halleux et Henri Yeru – L’œil et la main : essai d’analyse du langage plastique par Pierre Luquet – Art et sexe dans la société archaïque grecque par Anton Bammer – La Vierge du Sacré-Cœur de Delacroix (thème des deux mères) par Jack Spector – Fonction inverse du lapsus par Jean Ricardou – Van Gogh peintre de l’ombre par Jean-Louis Bonnat – Photo-souvenir (à propos de Molinier) par Patrick Lacoste et Jacques Fénelon – Sur le Gréco par Adrienne Mandel – L’inspiration en tant qu’incarnation du Monde par Michel Terrapon – Conclusions par Henriette Bessis et Anne Clancier
PARIS [16.10.14] - Alors que les travaux de construction de l’ENSP ont été programmés pour 2015, le « bleu budgétaire 2015 » mentionne leur report à 2016, suscitant quelques émois. Une scorie des derniers arbitrages, selon le ministère de la Culture. PAR Christine Coste
PARIS [16.10.14] – La ministre de la Culture et de la Communication Fleur Pellerin a annoncé mardi 14 octobre devant la commission des affaires culturelles de l’Assemblée qu’elle présentera un projet de loi relative à la création, à l’architecture et au patrimoine. La ministre reprend ainsi les chantiers inachevés entrepris par Aurélie Filippetti. PAR Nathalie Eggs
PARIS [15.10.14] – La fondation BNP Paribas a fêté son trentième anniversaire en présentant son calendrier d’évènements culturels pour la saison 2014-2015. Après avoir dépensé plus de 40,5 millions d’euros dans 45 pays en 2013, elle a annoncé le lancement du programme international d’éducation artistique « Dream up » : 30 projets dans 30 pays. Situant son action dans une démarche de mécénat pluridisciplinaire, la fondation est également active dans la restauration du patrimoine. PAR Nathalie Eggs
Voir Dakhla pour y revenir ! S’il est des baies qui sont connues de par le monde pour leur beauté singulière, comme celles de Fundy au Canada, de Koto au Monténégro, de Phang Nga en Thaïlande, de San Francisco en Californie, ou encore la baie d’Ha Long au Vietnam, celle de Dakhla n’a rien à leur envier, si ce n’est leur notoriété, elle qui mérite sans nul doute de figurer dans le top ten mondial ! Car Dakhla et sa baie sont, incontestablement, parmi les plus beaux sites naturels du Royaume, bordées par le désert, une lagune longue de 40 kilomètres et d’une superficie de 400 kilomètres carrés ! Et s’il fallait parler de la capitale et principale ville de la Région de Oued Eddahab, la simple évocation de ce site naturel magnifique y suffirait amplement ! Mais Dakhla recèle d’autres trésors. Et sans doute faudrait-il commencer par le commencement… Welcome on board Aller à Dakhla, lorsqu’on réside à Casablanca, n’est pas vraiment un problème puisque la compagnie nationale, Royal Air Maroc, réalise une desserte quotidienne et parfois deux, opérées par des B 737-800. Mais il faut savoir que cette desserte, d’une durée de vol de 2h 20Mn, est parmi les plus demandées par les voyageurs. D’où l’obligation de planifier à l’avance son voyage, jusqu’à ce que d’autres liaisons soient ouvertes comme Marrakech-Dakhla, assuré prochainement par RAM, mais aussi l’arrivée programmée d’Air Arabia, à partir de Casablanca et de Marrakech. On rappellera également le retour très attendu, (pour l’automne 2018), de la compagnie low cost française Transavia, filiale d’Air France-KLM, qui avait fait un tabac durant la saison hivernale 2017, grâce au dynamisme du patron de l’ONMT de l’époque, M. Abderrafie Zouiten.
mon appli 'podomètre" s'est mis bizarrement en pause depuis le 25 mon 1 er jour d'isolement suite à mon test positif du 24 avril(marché où j'avais acheté des légumes pour après mon opération: 2,12 km)
et supermarché où j'avais acheté de quoi manger différemment pour avant l'opération(reportée à dans quinze jours si test pcr négatif)
avant de savoir que j'étais positive
alors que je suis sortie de mon isolement le 4 mai pour voir mon médecin traitant qui a prolongé mon arrêt de travail de 10 jours (doublé d'une attestation d'isolement ) jusqu'à lundi où je reprends dans mon 1 er cdi: encore très fatiguée
par ce virus qui s'est manifesté pour moi par une amplification
des douleurs habituelles: tête(alors que j'ai un traitement de fons et de crise) dos, épaules etc.
étendues ailleurs: mains par ex.
et une grande fatigue
aller chez le médecin, faire quelques courses mardi m'a lessivé mardi: dormi une heure en rentrant sans manger
et ce matin: presse du jeudi(en manque après une semaine sans), grandes couses supermarché low cost, fruits et légumes, boucherie arabe, fleurs): ko à mon retour
Bizarre de ressortir après 10 jours sans sortir et en voyant juste les livreurs de courses et la croix-rouge pour mes médicaments
moi qui suis habituée à faire 5 km en moyenne par jour
speed comme ils disent
Dire que tout le monde se plaint du confinement
en oubliant que des gens qui font gaffe comme moi
sont touchés
Imaginez qu'on m'a dit que ce n"était rien puisque j'avais l'habitude de ces douleurs!!!!
Pendant ce télétravail, vacances, isolement et arrêt de travail, du temps, même au ralenti, j'ai bien avancé dans la réinstallation du train de mon mari, le rangement du bureau et du salon, fait des abdos, des étirements etc.
UNE BASTIDE PROVENÇALE CLASSÉE MONUMENT HISTORIQUE
Daté de la seconde moitié du XVIIIe siècle, le château Borély est emblématique des demeures de plaisance construites aux alentours de la ville par les grandes familles marseillaises.
Négociants prospères, installés notamment à Alexandrie, les Borély remplissaient également des fonctions officielles au service du roi de France. Fréquenté durant la saison chaude et les fins de semaine, Borély, situé dans le quartier de Bonneveine est considéré dès l'époque de sa construction comme la plus belle des bastides. Chose rare, le château conserve encore aujourd'hui la majeure partie de son décor d'origine et certaines de ses pièces remarquables : salon doré, bibliothèque, chambre et chapelle.
La bastide La façade demandée au célèbre architecte Clérisseau et dont le plan figure dans les collections des musées de Marseille, ne sera pas exécutée. Trop chargée sans doute, de bas-reliefs, de balcons et de statues, elle fut radicalement simplifiée. L'exécution en fut confiée à l'architecte local, Esprit Brun et terminée aux alentours de 1768. A la mort de son père, Louis Joseph Denis (1731-1784), homme cultivé et amateur d'art, poursuivra le dessein paternel, veillant notamment à la réalisation d'un riche programme décoratif à l!intérieur du château, achevé autour de 1778. " Gaston de Panisse - Passis, fils héritier du Domaine Borély, le cèda en 1856 à la Ville et à l'industriel Paulin Talabot. En quelques années, la Ville devait alors acquérir outre la parcelle comprenant le château et ses collections, les terrains attenant à l'est puis la quasi totalité du domaine encore en la possession de la Compagnie des Docks. La partie centrale du parc, confiée à Alphand, architecte paysagiste parisien, collaborateur du baron Hausmann est alors aménagée en parc public bordé à l'est par les serres de la ville, à l'ouest par le champ de course. En 1864, un nouvel espace public était ainsi offert à la population. Déjà, la promenade au parc pouvait s'associer à une visite du château et de son musée alors consacré aux collections d'archéologie. Le musée y demeurera jusqu'à son déménagement en 1989 pour les espaces de la Vieille Charité.
Musée des Arts décoratifs, de la faïence et de la mode, le château Borély présente désormais au public une sélection de 2500 oeuvres d'une grande diversité de techniques mobilier, céramiques, verres, tapisseries, objets d'art, objets exotiques rares, collections de Mode et d'accessoires du XVIIIe siècle à aujourd'hui.
"Les Rubans du patrimoine"
Le château Borély, présenté par la ville de Marseille à l'occasion de la 21e édition du concours des "Rubans du patrimoine", a été distingué du prix régional des "Rubans du patrimoine" pour sa rénovation !
Depuis 1994, le concours des "Rubans du patrimoine", organisé en partenariat par la Fédération française du bâtiment, l'Association des maires de France, la Fondation du patrimoine et la Caisse d'épargne, distingue les communes ayant réalisé des opérations de rénovation ou de mise en valeur de leur apanage bâti, par des prix nationaux, régionaux et départemantaux.
Remixez les collections du musée ! Le projet Borély Hacking tente de faire émerger des dispositifs de médiation numériques innovants en revisitant les collections du musée. En savoir plus sur : http://borely-hacking.tumblr.com
Jérôme Sagnard, historien, auteur de plusieurs ouvrages d'histoire locale nous invite à découvrir l'histoire de ce château de Saint-Genest-Lerpt, qui abrite aujourd'hui le lycée hôtelier "Le Renouveau" (ndFI).
Un domaine en devenir avec Antoine Neyron
Antoine Neyron, négociant en soierie à Saint-Etienne, achète ce grand domaine au milieu du XVIII° siècle pour se rapprocher de ses cousins Neyron, de la Roche-la-Molière. En effet, à proximité du château, se trouve une pierre qui forme la clef de voûte d'une grange portant le chiffre de l'année 1773 mais aussi les initiales A.N. et les armes des Neyron.
Quelques années après, en 1804, il termine la construction du château du Minois comme le précise le chiffre sur la rampe de l'escalier menant au premier étage. Cette noble demeure est bâtie dans le style « Directoire » avec fonction classique et grandes salles de réception en enfilade. De nombreuses dépendances d’agrément sont également bâties comme la tour, la serre sans oublier des équipements indispensables comme un lavoir, une maison de jardinier (maison du concierge actuel), l’écurie des vaches (salle des professeurs), une écurie des chevaux (une cuisine pédagogique), une menuiserie etc. En parallèle de cette construction, il fait aussi construire une maison de ville dans la rue Neuve à Saint-Etienne.
Quelques années après, son fils, en 1827, André-Antoine Neyron marie sa fille unique, Aglaé à André Thomas Colcombet. En dot, il lui donne le domaine de Saint-Genest-Lerpt et le château du Minois. Par la suite, ses nouveaux propriétaires entretiennent le château mais aussi tous ses bâtiments annexes. Ils font également planter de nombreux arbres dans le parc soit plus de 500 arbres de 130 espèces différentes tout en construisant une partie des murs de clôture.
La période des grands travaux avec Adrien Colcombet
En 1864, André Thomas meurt et son fils Adrien hérite du domaine du Minois à 33 ans. Cependant pendant près de 20 ans, il travaille à Lyon et Saint-Genest reste seulement une résidence d'été où la famille y séjourne en juillet et en août. Entre 1884 et 1900, Adrien modifie l'extérieur du Minois en embellissant le ces façades. Sur la façade sud dominant le village, il cherche notamment à donner une allure plus solennelle voire « plus seigneuriale ». Ainsi, le perron est élargi à toute la façade avec la création d'une double volée d'escaliers descendant en pente douce jusqu'à des paliers intermédiaires avant d'arriver au milieu de la terrasse et non plus à ses deux extrémités.
En 1884, le fronton est aussi radicalement transformé. D'abord, un simple triangle avec écusson en son centre, Adrien conserve cet écusson mais il le fait inclure dans une construction beaucoup plus importante comprenant des volutes, une balustrade à la base et le triangle d'ogive au sommet. Toujours en 1884, il fait refaire le grand salon d'angle. En 1888, il fait construire une grande salle de bain extérieure avec une pièce réservée au chauffage de l’eau et l’autre pièce à la baignade. En 1889, il entreprend la réfection de la chambre du rez-de-chaussée qui était constituée auparavant de deux petites pièces dont l'une servait de cabinet et l'autre de débarras pour la cuisine depuis « qu'on avait sorti la baignoire car c'était un cabinet de bains ». En 1891, la toiture est couverte de zinc car son propriétaire craint les infiltrations et le gel. En 1894, il fait la dépose et la réfection du toit en entier ainsi que le suivi des cheminées. En 1896, Adrien Colcombet fait réaliser une cheminée de bois sculptée pour la salle à manger avec blason et armes parlantes pour 1500 francs. Sous la cheminée, lors de la restauration des papiers peints, les ouvriers ont retrouvé une fresque de portraits familiaux peints sans doute par Marguerite ou Régis enfants d’Adrien Colcombet. Une subtile ouverture est aménagée pour les découvrir. En 1900, il fait construire une pièce supplémentaire en rez-de-chaussée accolée à la cuisine pour servir de salle à manger pour le personnel avec un étage supplémentaire pour abriter une chambre pour un devis de 6 000 francs. En 1904, une grande fête familiale rassemble la famille Colcombet pour les 100 ans du Minois.
Un changement de vocation
L’histoire familiale prend fin en 1984 avec la donation au profit de la commune de Saint-Genest-Lerpt. Après de nombreuses réflexions dans l’équipe municipale, le château du Minois change de vocation pour abriter le lycée privé hôtelier « Le Renouveau » en 1995 par bail emphytéotique. En 2012, le lycée compte désormais 250 élèves pour une équipe de 40 professeurs et une dizaine d’administratifs regroupés au sein de ce lycée des métiers.
La chasse de Compiègne
Le salon du château du Minois présente une particularité patrimoniale exceptionnelle. Il possède un papier peint panoramique de 25 lés de la Manufacture Jacquemart et Bénard, sur un carton de Carle Vernet représentant une chasse à Compiègne. Seuls trois exemplaires de ce papier peint panoramique sont encore conservés en France aujourd’hui, et encore sans comprendre toujours la totalité des lés.
La chance du château du Minois est de détenir un exemplaire complet quasiment unique, et suffisamment préservé qui a pu supporter une restauration de qualité.
Le sujet autour de la vie aristocratique se déroule en plusieurs scènes qui évoquent différents aspects de la vie de cour et de la chasse organisée autour de la commune de Compiègne en 1810. Ce papier peint a été restauré dans les ateliers d’Isabelle Lambert, spécialiste des œuvres sur papier en 2011.
Bibliographie :
Colcombet-Allimant (Françoise) Adrien Colcombet Chez l’auteur, juin 2010, 252 p.
Sagnard (Jérôme) Loire, terre de châteaux entre Forez et Roannais Editions Alan Sutton, 2008, 192 p.
Thermeau (Gérard-Michel) André-Antoine Neyron Publication de l’Université Saint-Etienne, 2003
Du 27 mai au 26 octobre 2014, le château de Versailles présente l'exposition La Chine à Versailles, art et diplomatie au XVIIIe siècle. Cette exposition est organisée à l'occasion du 50e anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques entre la France et la Chine.
La Chasse chinoise de Jean-Baptiste Pater, 1736
Informations pratiques
Dans l'appartement de Madame de Maintenon. Du 27 mai au 26 octobre 2014. Tous les jours, sauf le lundi, de 9h à 18h30. Entrée comprise dans les billets Passeports ou Château.
La Chine à Versailles, art et diplomatie au XVIIIe siècle
L'exposition La Chine à Versailles, art et diplomatie au XVIIIe siècle retrace l'histoire des échanges politiques et artistiques entre la Chine et la France au XVIIIe siècle. Les peintures, meubles, laques, porcelaines et tapisseries exposés témoignent du plus grand luxe de leur époque et sont d'une extrême rareté aujourd'hui.
Les quelques 150 œuvres rassemblées pour l'exposition illustrent le goût français pour les productions artistiques chinoises et révèlent également l'intérêt des Européens pour les descriptions de la Chine tout au long du XVIIIe siècle.
Commissariat
Le commissariat de cette exposition est assuré par Marie-Laure de Rochebrune, conservateur au château de Versailles.
Partenaires de l'exposition
Exposition réalisée grâce au mécénat de
Organisée dans le cadre de France-Chine 50, elle bénéficie du soutien du Comité des mécènes de France-Chine 50
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