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photos perso dans le voyage vers les paysages de Courbet
Salins-les-Bains, station thermale située à une quarantaine de kilomètres de Besançon, s’étend au fond d’une vallée naturelle creusée par la Furieuse.
Salins-les-Bains
La Furieuse
Dans un site verdoyant, dominée par le mont Poupet (850 m), proche du parc Naturel du Haut- Jura, cette jolie cité fortifiée protégée par le fort Belin et le fort Saint André, est, grâce à ses salines, entrée dans l’univers prestigieux du patrimoine mondial de l’Unesco le 27 juin 2009.
Comment les Salinois et Salinoises ne seraient-ils pas fiers de cette distinction méritée ?
Le sel est dû à la présence de la mer sur le sol franc-comtois il y a plus de 200 millions d’années. Dès le moyen âge, les hommes ont su tirer partie de cet « or blanc » et en faire au fil des années un fleuron du patrimoine industriel. Les salines cessèrent leur activité en 1962. Un musée du sel, dont l’architecture souterraine témoigne de l’importance du site, a été ouvert en 2009, retraçant l’histoire, les techniques et l’exploitation du sel.
Mais les salines ne sont pas le seul attrait de cette cité comtoise de caractère au remarquable et riche passé historique. Flâner à travers ses rues et ruelles en pente, emprunter ses escaliers anciens pour découvrir ses richesses architecturales, culturelles et religieuses.
Notre Dame Libératrice
Admirer, par exemple, la chapelle Notre Dame Libératrice du 17e siècle dotée d’un dôme en tuiles vernies.
La tour de Flore édifiée au 15e siècle, porte d’entrée des Salines.
La collégiale Saint Anatole (13e s) de style gothique bourguignon.
Escalier à boules
L’ancien couvent de la visitation au bel escalier à boules avec pilastres et rampe en fer forgé transformé en H.L.M.
L’ancien couvent des Clarisses (1713)
L’Hôtel de Ville (1718-1739)
Fontaine de Madame Truchot
Les nombreuses fontaines sculptées comme la fontaine du Vigneron ou la fontaine de Madame Truchot (1754-1755) œuvre du sculpteur graylois Michel Desvosge.
Cancoillotte, Morteau
Et pourquoi ne pas terminer la journée dans un restaurant de la ville devant un plat franc-comtois ?
La Petite Gitane (1613) de Cervantès constitue la matrice d'un mythe qui, se développant dans le seconde moitié du XVIIIe siècle, se répand dans la littérature et les arts à l'époque romantique. On connaît l'Esméralda de Hugo et la Carmen de Mérimée mais on sait moins que les écrivains et artistes contemporains (George Borrow, la poète tchèque Macha, Lamartine, Liszt, Valerio...) se passionnent pour un peuple nomade apparemment rebelle à toute obéissance aux lois de la société, et dont la marginalité même lui confère une dignité nouvelle.
Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 11 livres en vente sur ce blog
Photos perso de Montbrison du 7 novembre 2010
De ce passé prestigieux, la cité conserve un riche patrimoine dont la Collégiale Notre-Dame d’Espérance, fondée en 1223 est l’illustration la plus imposante.
Centre commercial attractif : ses 280 commerces en centre ville et son marché hebdomadaire le samedi matin sont réputés.
Classée "Ville fleurie 4 fleurs", son fleurissement fait l’admiration de tous.
Montbrison appartient au Pays d’art et d’histoire, réseau regroupant 117 villes et pays d’art et d’histoire attachés à la valorisation et à l’animation du patrimoine et de l’architecture. : www.vpah.culture.fr/
Fleurs suspendues
Le label " Villes ou Pays d’art et d’histoire " est attribué par le ministère de la Culture et de la Communication à des collectivités locales qui souhaitent valoriser leur patrimoine, favoriser la création architecturale et promouvoir la qualité dans les espaces bâtis ou aménagés. Le terme de patrimoine doit être entendu dans son acception la plus large puisqu’il concerne aussi bien l’ensemble de patrimoine bâti de la ville que les patrimoines naturel, industriel, ainsi que la mémoire des habitants. Il s’agit donc d’intégrer dans la démarche tous les éléments qui contribuent à l’identité d’une ville ou d’un pays riche de son passé et fort de son dynamisme.
rois nouvelles acquisitions complètent les collections permanentes du musée, exposées depuis le 10 mars 2015
La Translation de la Sainte Maison par les Anges réalisée entre 1828 et 1837 par Pierre Claude François Delorme (1783-1859)
Don Juan et Haïdée (1839) de Marcel Saulnier (?-1842)
Portrait de Pauline Viardot (1821-1910), cantatrice, en sainte Cécile. Ary Scheffer (Dordrecht, 1795 – Argenteuil, 1858)
- Ary Scheffer (1795-1858). Portrait de Pauline Viardot (1821-1910),cantatrice, en sainte Cécile. (c)Alexandra Llaurency
Pauline Viardot (1821-1910) est une figure majeure du monde artistique et littéraire du Paris romantique. Sœur de la diva Maria Malibran, elle marque son temps par ses talents de cantatrice autant que par ses qualités de compositrice et de comédienne. Mariée en 1840 à Louis Viardot, directeur du théâtre des italiens, elle s’installe en 1848 rue de Douai qui devient alors le lieu de rendez-vous d’une brillante société littéraires et musicale. Le portrait qu’a acquis le musée de la Vie romantique, faussement attribué à Lehmann, est en réalité l’effigie commandée à Ary Scheffer pour orner l’orgue de salon de la chanteuse, livré en 1851 par Cavaillé-Coll et connu par plusieurs gravures. Considéré parfois comme un portrait réalisé en hommage à sa sœur morte en 1836, sa ressemblance avec les autres images de Pauline et les témoignages contemporains infirment cette hypothèse.
Cette acquisition permet de réunir au musée de la Vie romantique deux portraits de Pauline Viardot par Scheffer et montre une facette peu connue du travail de cet artiste, entre peinture religieuse et portrait mondain.
La Translation de la Sainte Maison par les Anges réalisée entre 1828 et 1837 par Pierre Claude François Delorme
Notre-Dame de Lorette est un monument emblématique de la Nouvelle Athènes et atteste au plan monumental de la même diversité et effervescence artistique que le musée de la Vie romantique dans ce quartier neuf du Paris des années 1830. L'acquisition de La Translation de la Sainte Maison par les Anges (1828 et 1837) par Pierre Claude François Delorme (1783-1859) permet ainsi de faire entrer dans nos collections, un témoignage important de ce renouveau artistique avec l’oeuvre d’un artiste qui fait écho aux compostions religieuses d’Ary Scheffer.
Ce jour-là, prenant la route, je tombe sur un panneau « Route barrée ». Si ce scénario vous rappelle quelque chose, vous connaissez la suite : demi-tour, déviation mal indiquée puis plus indiquée du tout, re-panneau, re-demi-tour, re-re-panneau, re-re-demi-tour… et de nouveau « Route barrée ». À bien des égards, notre monde ressemble à cela, n’est-ce pas ? Par exemple en ce qui concerne la crise écologique. Comment agir efficacement face au réchauffement climatique ? Route barrée ! Face à la détérioration des relations sociales et à l’inertie politique ? Route barrée ! On pourrait laisser là toute espérance au nom du « réalisme » ; on pourrait aussi tout attendre d’un sauveur dont les pouvoirs magiques résoudraient les problèmes en un clin d’œil. Jésus, lui, a ouvert et emprunté une autre voie. Il est passé dans le monde « en faisant le bien »* avec la force de sa prière confiante. Les attentes déçues de son peuple, les pleurs et les gémissements de la création tout entière, Il les a assumés. Il est allé jusqu’à traverser l’échec apparent de toute sa vie, la Croix. Et voici qu’Il nous provoque aujourd’hui : membres de son Corps, nous portons la responsabilité de prolonger son action sur notre terre. Beaucoup le suivent et nous précèdent sur cette route que nous avons décidé dans notre monastère d’emprunter pas après pas, soutenues et guidées par la prière. Nos cultures bio et nos lombrics ne sauveront peut-être pas la planète ; mais qui, à part Dieu, connaît la fécondité d’une action ? Alors, route barrée, ou sauvée par la croix ?
Enfant, je montais à cheval, passionnée par cette collaboration du faible avec le fort. Le saut d’obstacles était une communion entre deux créatures pour franchir la barrière. Avec les études et la vie professionnelle, ce contact régulier avec la création s’est perdu. Depuis mon entrée au monastère, en pleine nature, il s’est renoué : petite main pour désherber, récolter thym et romarin dans notre jardin. La nature m’interpellait. L’oiseau qui chante à la fenêtre de mon bureau n’est-il pas un appel pour attirer mon regard et être présente là à celui qui a tout créé ? La Création serait alors notre « pédagogue ». Elle nous invite à la louange qu’elle-même chante. « Les cieux proclament la gloire de Dieu le firmament raconte l’ouvrage de ses mains. »* Dans notre vie de moniales, plusieurs fois par jour nous nous rassemblons pour louer le Seigneur. Au cours de la vie, cette louange mûrit. Elle décentre de soi parce qu’elle est une œuvre collective. Elle nous fait communier à la louange de la Création, celle d’une fleur qui éclot, d’une araignée qui tisse sa toile, celle de l’homme qui admire un paysage. Gardienne de la louange de l’homme, la nature ne le serait-elle pas aussi de mon humilité et de ma charité ? Les animaux font ce pour quoi ils sont créés. Ils obéissent toujours à ce que Dieu a insufflé en eux. La création me rappelle, comme en miroir, ma condition de créature avec sa vocation propre, connaître, louer et aimer. Il est vital d’être gardien de la création. Et tout autant de l’accueillir comme notre gardienne pour prendre soin de toi, de moi, de nous.
« C’est beau la vie, c’est beau la vie, merci ! » chante Solène. Elle court et saute dans le couloir de l’hôpital où elle vient d’avoir sa chimiothérapie. La vie, elle ne l’a que depuis quatre ans… Et nous, les yeux rouges à force de fixer l’écran, chantons-nous merci à la vie ? Elle peut être dure, mais quelles que soient les difficultés, il y a des dons essentiels ; Solène nous l’enseigne, sa vie est un cadeau et elle dit merci. Sur quoi je pose les pieds en sortant du lit… la terre ! Elle n’est pas l’œuvre de mes mains, c’est un pur cadeau, merci ! Ce jour qui chaque matin se lève et me donne le soleil, la pluie, le vent, les ai-je achetés ? Pour eux et leur mystère, merci aussi ! Cette lune qui me berce ou me fatigue, ces nuits qui rythment ma vie, c’est bon pour moi qu’elles existent, cadeau ! Qui a planté le premier arbre ? Ni vous ni moi, ni nos ancêtres, mais quel cadeau, soyons honnêtes. Ce n’est pas une prime offerte. S’agirait-il d’un cadeau empoisonné puisque le soleil a brûlé notre champ de lavande l’été dernier, que le mistral a enlevé notre portail et que le gel a fait éclater les conduites d’eau ? Cadeau empoisonné, ces journées pas assez longues et ces nuits trop courtes ? Qui répondra au grognon qui parle en moi ? La petite voix de Solène qui respire aussi en moi et choisit de dire merci au cadeau plus beau que ses malfaçons. Au premier office du matin, notre communauté chante « Pour le don de la terre, béni sois-tu Seigneur ». Nous le chantons en vérité pour nous, pour vous, pour le monde, pour les quatre années de Solène. Merci !
En m’annonçant la bonne nouvelle de sa grossesse, une amie me fait part de l’impatience qu’éprouve son mari à « déballer le cadeau ». Qu’as-tu donc de si merveilleux à offrir à tes parents, petit enfant préparé dans le secret, sinon accueillir leur amour dans toute ta vulnérabilité ? Cette vulnérabilité qui va provoquer tes parents à livrer le meilleur d’eux-mêmes, jusqu’à donner ce qu’ils ne pensaient pas posséder. La lumière, le firmament, la terre et l’eau, les herbes et les animaux, par leur existence même, chantent chacun quelque chose de la bonté de Dieu. Mais à toi et à moi, fragiles êtres humains, l’Amour a donné en partage ce qu’Il a de plus précieux : la ressemblance. Nous sommes créés à l’image et à la ressemblance de celui qui est Amour. Depuis notre venue au monde, que nous en ayons conscience ou non, un appel à accueillir l’amour et à nous offrir est inscrit au plus intime de notre être. Pas facile, même pour des moniales. Saint ou pécheur, quel que soit le regard que les autres me portent, je suis en vérité un cadeau, tel que je suis maintenant. Comme le nouveau-né, j’ose offrir mes fragilités comme mes forces, et tout simplement moi-même ; j’ose recevoir les autres comme des merveilles, tels qu’ils sont maintenant, même mes sœurs moniales ! Dans cette offrande réciproque et féconde, l’univers entier trouve son harmonie. Oui, l’ordre voulu par le Créateur, bien avant d’être une suite de règles est une perpétuelle respiration. Dieu, alors, voit combien son œuvre est bonne… Il s’y repose.
Sophie de Villeneuve, rédactrice en chef de Croire
ÉDITO
Courons en Avent !
Nous voici, "voyageurs infatigables et décidés", en marche vers Noël. L’homélie de l’Avent du Bienheureux Guerric, second abbé de l'abbaye cistercienne de Notre-Dame d'Igny, est un encouragement à ne jamais perdre de vue le but de notre marche : courir "dans la voie des commandements de Dieu, comme un géant que rien n’épouvante". Alors bien sûr, dimanche, vous ferez la crèche et décorerez le sapin, allumerez la première bougie de la couronne de l’Avent, et vos enfants ouvriront la première fenêtre de leur calendrier. Mais vous, vous n’oublierez pas que préparer les voies du Seigneur se fait chaque jour et "que la bonté de l'être vers lequel vous vous avancez n'a pas de bornes". Sur cette route, Croirevous accompagne fidèlement. Bon Avent à tous !
/ Entretien avec Hannah Rieger & Prix Art Absolument pour l’Outsider Art /Helen Rae / Delphine Seyrig, Berthe Morisot, Tracey Emin, Séraphine Louis et Cérès Franco / AIMER
A côté d'une Venise de l'évidence se cache une Venise inconnue, celle des églises jamais ouvertes. Jean-Paul Kauffmann a voulu forcer ces portes solidement cadenassées, un monde impénétrable où des chefs-d' oeuvre dorment dans le silence. Qui en détient les clefs ? Ce récit, conduit à la manière d'une enquête policière, raconte les embûches pour se faire ouvrir ces édifices. L'histoire est partie d'une église d'Ille-et-Vilaine où, enfant, l'auteur servait la messe. Il s'y ennuyait souvent, mais, dans ce sanctuaire, il a tout appris. Là, est née la passion de se voir livrer le secret de la chose ignorée ou défendue. Il a poursuivi cet exercice de déchiffrement à Venise, la ville de la mémoire heureuse, pourtant attaquée sans relâche par le tourisme mondialisé. Depuis un appartement de la Giudecca où il s'est installé pendant des mois, il a arpenté une Venise hors champ. Il a trouvé aussi ce qu'il ne cherchait pas. Venise à double tour est un livre sur le bonheur de voir et la jubilation dispensée par la ville qui exalte les cinq sens. On y croise, parmi d'autres, Jacques Lacan, Hugo Pratt, une belle restauratrice de tableaux, une guide touristique souveraine, un Cerf blanc, le propriétaire d'un vignoble vénitien et un Grand Vicaire, maître de l'esquive.
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Dans un an et quelques jours, la France accueillera les JO d’été. À cette occasion, nous vous proposons une programmation spéciale au cours de la semaine à venir, sur l’ensemble de nos supports, pour vous raconter les coulisses de cet événement historique. Travaux, transports, festivités, préparation des athlètes…
Nous ferons le point sur tous les dossiers avec ceux qui vivent déjà les Jeux en Île-de-France. La série « Un site, un champion » vous emmènera sur les sites de la compétition avec des légendes du sport. Notre sondage exclusif vous dira quelles sont les personnalités plébiscitées par les Français pour être le dernier porteur de la flamme olympique.
Mercredi 26 juillet, vous trouverez une édition spéciale de votre journal incluant un poster avec le calendrier complet des épreuves et bien d’autres surprises encore.
Merci de votre fidélité.
Pierre Chausse Directeur Délégué des rédactions du Parisien et d’Aujourd’hui en France
Montmartre, Louvre, Notre-Dame... découvrez le parcours de la flamme olympique à Paris
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Le premier trimestriel des métiers d’art, des savoir-faire d’excellence et de la création contemporaine
À la Une : Eloge de la légèreté
D’apparence si simple, si aérienne, la légèreté est pourtant de ces concepts bien âpres à la définition lapidaire. Les matières et les manières l’incarnent ici de multiples façons… Ce numéro chemine ainsi dans les ateliers, les manufactures mais aussi les grands espaces naturels, peuplés de la virtuosité et de la créativité des artisans : des compositions oniriques de Julien Vermeulen, le plus jeune plumassier de France, aux dentelles délicates de la maison Sophie Hallette, en passant par les savants jeux de plis de Pietro Seminelli ou encore les chercheurs d’or blanc que sont les sauniers de l’île de Ré… Tous sont mis en valeur par des reportages et productions photographiques inédits.
Et aussi : – Un grand entretien exclusif avec Laurence des Cars, présidente-directrice du musé du Louvre, qui nous dévoile les grands chantiers à venir. – Un reportage inédit dans la coulisse de la restauration des sculptures de pierre de Notre-Dame de Paris. – Une rencontre avec les artistes Elmgreen & Dragset, dans leur atelier de Berlin, où ils dévoilent les œuvres de leurs grandes expositions de cet automne-Hiver. – Un vagabondage en Champagne, au fil des clos, lieu de naissance de cuvées de prestige. – L’appartement de l’architecte d’intérieur et collectionneur François-Joseph Graf, les secrets de fabrication de la veste Bar signée Christian Dior, une incursion dans l’univers d’Henry Van de Velde, une longue conversation avec Emmanuel Tibloux, directeur de l’École nationale des Arts décoratifs, une visite dans l’atelier des artistes Elmgreen & Dragset, à Berlin…
andos en bord de la Seine : 16 idées de balades le long du GR2
Dans ce treizième numéro de la collection de hors-série Patrimoine & Balades du Parisien, notre fil rouge est un fil bleu. Tout au long de la vingtaine de reportages, nos journalistes jouent à cache-cache avec la Seine. Après le GR1 l’an passé, nous avons suivi l’itinéraire du GR2, chemin de grande randonnée qui traverse l’Ile-de-France de part en part en suivant peu ou prou les méandres du grand fleuve.
La promenade, découpée en seize étapes, démarre à Montereau-Fault-Yonne, à la frontière entre la Seine-et-Marne et la Bourgogne et se termine à Follainville, dans les Yvelines, à deux pas de Giverny. Entre les deux, des kilomètres et des kilomètres d’une marche apaisante, bercée par le roulis de la Seine.
On croise dans un premier les bien-nommées Affolantes, maisons à l’élégance rare, demeures de villégiature caractéristiques de l’architecture du XIXe siècle. Et puis on remonte vers le nord, laissant Samois, fief de Django Rheinardt, derrière nous. Puis Melun et la forêt de Rougeau. La promenade devient alors plus urbanisée mais reste bucolique. A mi-chemin, c’est une traversée de Paris que nous opérons. Une étape de 14 kilomètres qui, du Quai de la Gare à Issy-les-Moulineaux, permet de redécouvrir les trésors parisiens, de la BNF à Notre-Dame en passant par le Louvre, le Grand Palais, les étals des bouquinistes…
La deuxième partie de la randonnée remonte alors, de Vaucresson à Sartrouville, dans les pas des impressionnistes charmés par ces paysages à la lumière changeante. Puis, sillonnant les Yvelines et le Val-d’Oise, l’itinéraire dévoile des merveilles naturelles avant les derniers méandres d’une beauté époustouflante à l’arrivée aux portes de la Normandie.
Ces reportages sont agrémentés de conseils de randonneurs aguerris. Et d’une histoire de la Seine particulièrement éclairante, de ses importantes vertus logistiques à ses charmes plus ludiques.
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À la Une : Terre, air, eau, feu… éléments fondateurs
À travers matières, ingéniosité humaine, hypercréativité contemporaine et traditions ancestrales, ce numéro exceptionnel augmenté de 24 pages va à la rencontre des grands alchimistes des quatre éléments essentiels à la vie et à la création. Il révèle les artisans et les penseurs d’un futur vertueux qui, dans les manufactures et les ateliers s’activent à explorer et à mettre en forme matières et idées. Atelier Luma-Arles, Émaux de Longwy, Bougies Diptyque, Centre international d’art verrier de Meisenthal, Verger d’agrumes de Damien Blasco… Tous mis en valeur par des reportages et productions photographiques.
Et aussi :
– Un grand entretien exclusif avec les Ministres Rima Abdul Malak (Culture) et Olivia Grégoire (PME, Commerce, Artisanat, Tourisme) sur leur Plan Métiers d’art. – Un reportage inédit dans la coulisse de la restauration de la charpente de Notre-Dame de Paris. – À Aubusson et Felletin, un vagabondage au fil des ateliers et manufactures de la tapisserie. – Les Ateliers de moulage de la Rmn-Grand Palais, la Villa Kujoyama et ses résidences métiers d’art, un balade sur les pas de Picasso céramiste, une longue conversation avec Alexia Fabre, directrice de l’École des Beaux-Arts de Paris, une visite dans l’atelier de l’artiste Annette Messager…
Randos en bord de la Seine : 16 idées de balades le long du GR2
Dans ce treizième numéro de la collection de hors-série Patrimoine & Balades du Parisien, notre fil rouge est un fil bleu. Tout au long de la vingtaine de reportages, nos journalistes jouent à cache-cache avec la Seine. Après le GR1 l’an passé, nous avons suivi l’itinéraire du GR2, chemin de grande randonnée qui traverse l’Ile-de-France de part en part en suivant peu ou prou les méandres du grand fleuve.
La promenade, découpée en seize étapes, démarre à Montereau-Fault-Yonne, à la frontière entre la Seine-et-Marne et la Bourgogne et se termine à Follainville, dans les Yvelines, à deux pas de Giverny. Entre les deux, des kilomètres et des kilomètres d’une marche apaisante, bercée par le roulis de la Seine.
On croise dans un premier les bien-nommées Affolantes, maisons à l’élégance rare, demeures de villégiature caractéristiques de l’architecture du XIXe siècle. Et puis on remonte vers le nord, laissant Samois, fief de Django Rheinardt, derrière nous. Puis Melun et la forêt de Rougeau. La promenade devient alors plus urbanisée mais reste bucolique. A mi-chemin, c’est une traversée de Paris que nous opérons. Une étape de 14 kilomètres qui, du Quai de la Gare à Issy-les-Moulineaux, permet de redécouvrir les trésors parisiens, de la BNF à Notre-Dame en passant par le Louvre, le Grand Palais, les étals des bouquinistes…
La deuxième partie de la randonnée remonte alors, de Vaucresson à Sartrouville, dans les pas des impressionnistes charmés par ces paysages à la lumière changeante. Puis, sillonnant les Yvelines et le Val-d’Oise, l’itinéraire dévoile des merveilles naturelles avant les derniers méandres d’une beauté époustouflante à l’arrivée aux portes de la Normandie.
Ces reportages sont agrémentés de conseils de randonneurs aguerris. Et d’une histoire de la Seine particulièrement éclairante, de ses importantes vertus logistiques à ses charmes plus ludiques.
Le jeudi 27 avril 2023 de 11h30 à 12h00, les élèves et les professeurs assisteront à un concert découverte sur la cour du site de Givors.
Présence OBLIGATOIRE, merci d'accompagner vos élèves sur la cour en gravier (côté préau) pour 11h20 et de rester avec eux jusqu'à la fin du concert.
Pour la vie scolaire, merci d'accompagner aussi les élèves sur le même créneau et donc de ne pas faire manger les DP à 11h05. Ils attendront la fin du concert.
Évènement exceptionnel : le carillon ambulant de Douai s’invite fin avril à Saint-Thomas d'Aquin et dans la région lyonnaise pour toute une série de concerts accompagnée par la Maîtrise Saint-Thomas d'Aquin !
Cette année, quelques jours après Pâques, la Maîtrise Saint-Thomas d’Aquin propose un concert original et inédit avec un carillon ambulant de 53 cloches et plus de 130 chanteurs ! Une journée pédagogique afin de faire découvrir cet instrument original aux 4 200 élèves du Centre scolaire Saint-Thomas d’Aquin répartis sur 4 sites (Givors, Mornant, Oullins et Saint-Genis-Laval) (Voir pièce jointe)
le carillon ambulant de Douai s’invite fin avril à Saint-Thomas d'Aquin
Evènement exceptionnel : le carillon ambulant de Douai s’invite fin avril à Saint-Thomas d'Aquin et dans la région lyonnaise pour toute une série de concerts accompagnée par la Maîtrise Saint-Thomas d'Aquin !
Cette année, quelques jours après Pâques, la Maîtrise Saint-Thomas d’Aquin propose un concert original et inédit avec un carillon ambulant de 53 cloches et plus de 130 chanteurs ! Deux journées pédagogiques afin de faire découvrir cet instrument original aux 4 200 élèves du Centre scolaire Saint-Thomas d’Aquin répartis sur 4 sites (Givors, Mornant, Oullins et Saint-Genis-Laval) et une journée avec 2 concerts à Grézieu-la-Varenne puis sur l’esplanade de la Basilique Notre-Dame de Fourvière !
LE CARILLON AMBULANT DE DOUAI (59) est l'un des 18 carillons itinérants au monde. Fort de ses 53 cloches pour un poids total de 4 045 kg, il a été construit en 2004 et occupe la 3e place du podium mondial en termes de nombre de cloches ! Cet instrument de plein air peut s’adapter à des projets très divers, en solo ou en association, avec d’autres ensemble musicaux. La venue du carillon ambulant est la garantie d’un moment unique et original de poésie et d’émotion ! Un répertoire vaste et adapté allant de la musique de la renaissance à des musiques actuelles permet de découvrir les nombreuses facettes de l’instrument.
LA MAÎTRISE SAINT-THOMAS D’AQUIN (69) est une structure proposant un enseignement musical pour les chanteurs élèves et adultes du Centre scolaire Saint-Thomas d’Aquin ainsi que des écoles primaires Fleury Marceau à Oullins et Saint-Charles à Charly. La Maîtrise Saint-Thomas d’Aquin est la Maîtrise de la Basilique Notre-Dame de Fourvière et participe activement au rayonnement musical de la Basilique ainsi qu’à la vie culturelle lyonnaise avec la participation à de nombreux évènements. Ce sont plus de 130 chanteurs, qui, au-delà du savoir-faire vocal, se voient ouvrir les portes de la confiance en soi, de l’écoute, de l’autonomie, de l’esprit d’initiative et de la vie en groupe. De fait, l’aspect musical du chant est indissociable de l’aspect humain. À chaque âge son chœur : les Pré-Maîtrises (du CE1 au CM2), Les Petits Chanteurs (de la 6e à la 3e), Le Chœur d’adultes (à partir de 16 ans).
Jeudi 27 avril : Concerts découverte pour les élèves sur les sites Saint-Thomas d'Aquin à Givors et Mornant
Vendredi 28 avril : Concerts découverte pour les élèves sur les sites Saint-Thomas d'Aquin à Oullins et Saint-Genis-Laval
Vendredi 28 avril à 17h : Concert gratuit ouvert à tous sur le Site Saint-Thomas d'Aquin à Saint-Genis-Laval
Samedi 29 avril à 11h : Concert gratuit ouvert à tous à Grézieu-la-Varenne (parking de l'école Jean Lamarque)
Samedi 29 avril à 16h : Concert gratuit ouvert à tous à la Basilique Notre Dame de Fourvière à Lyon (sur l'esplanade)
CLÉMENT PERRIER, direction musicale
Clément Perrier est le chef de chœur de la Maîtrise Saint-Thomas d’Aquin depuis 2019. Il entame l’étude de la musique avec l’accordéon et la pratique du chant choral à l’âge de 6 ans, à La Chanterie de Lyon, chœur d’enfants membre du mouvement À Cœur Joie. À l’âge de 10 ans, il commence à jouer en autodidacte sur le carillon de Grézieu-la- Varenne. Il a passé avec succès plusieurs examens de la Guilde des Carillonneurs de France et de la Classe de carillon du Château des Ducs de Savoie sur le grand carillon de Chambéry. En 2014, il accède à la fonction de chef de chœur à La Chanterie de Lyon. Deux ans plus tard, il réussit
l’examen de la liste d’aptitude des organistes du Diocèse de Lyon et est nommé organiste titulaire de l’orgue de l’église Notre-Dame de Bon-Secours à Lyon 3e. Il devient cette même année carillonneur titulaire du carillon de 36 cloches de Grézieu-la-Varenne et joue régulièrement le carillon de l’Hôtel de Ville de Lyon. Clément fait partie de la Commission d’Art sacré du Diocèse de Lyon depuis 2017. Organiste et carillonneur de formation, il est régulièrement invité à donner des concerts en France et à l’étranger. En 2022, il est nommé Maître de Chapelle de la Basilique Notre-Dame de Fourvière et assure la vie musicale de la Basilique
ÉLIZABETH VITU, carillonneur
Élizabeth Vitu a étudié le carillon pendant neuf ans avec Charles Chapman, carillonneur de Luray (Virginie). Durant cette période, elle a souvent assisté aux séances de travail avec les compositeurs Johan Franco et LaSalle Spier. Elle a poursuivi ses études à l’université de Hollins (Virginie) où a été créé spécialement pour elle, un diplôme de carillon. Durant ces quatre années, ses professeurs ont été Jammes Leland, Roy Hamlin Johnson, John Diercks ainsi que Milford Myhre lors d’un stage intensif en Floride. Après avoir obtenu son diplôme avec honneurs, elle a étudié avec Jacques Lannoy à l’École Française de Carillon de Douai (France). Depuis 1997, elle joue le carillon de la Cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Perpignan. En 2006, elle est nommée carillonneur-attitré par l’Évêque de
Perpignan-Elne. En 2014, elle est nommée assistante-carillonneur à l’église Saint-Vincent de Carcassonne. Élisabeth est chargée de la programmation du Festival international de carillon de Perpignan. Elle a publié et édité de la musique pour carillon en Angleterre et aux États-Unis. Elle est régulièrement invitée à donner des concerts en Europe et aux Etats-Unis. Depuis 2011, Élizabeth est professeur de carillon et campanologie au Conservatoire à rayonnement régional Perpignan- Méditerranée. Pour mieux apprendre les nouvelles techniques et se perfectionner, elle a repris ses études de carillon, campanologie, composition et improvisation à l’École Royale de Carillon de la ville de Malines (Belgique) avant d’obtenir son diplôme avec mention en juin 2016.
Dans le langage actuel de l’art contemporain, on parle volontiers d’œuvre « immersive ». Mais que cela signifie-t-il exactement ? Une œuvre qui vient parler à nos cinq sens, qui nous entraîne dans une expérience globale, dans une aspiration d’art total ? ou s’agit-il dans certains cas d’une initiation plus profonde et inédite ? La question se pose face à cette œuvre si dense de Friedrich, Le moine au bord de la mer. Et avec encore plus d’acuité et d’intensité avec la réflexion sur MER GROSSE de Thierry De Cordier, Engloutissement ou quête ultime… Immersion, submersion ? Telle est aussi la proposition inouïe qui a été celle de Patricia de Solages à Saint-Eustache lors de la Nuit Blanche, alliant voyage irréel dans les fonds marins et duo musical…
La Nuit Blanche 2021 à l’église Saint-Eustache à Paris a été un moment de pure poésie musicale et visuelle. Une approche par l’émotion de la beauté des océans qu’il faut protéger.
MER GROSSE présente une masse d’eau sombre et imposante, comme soulevée par une puissance sourde, prête à retomber sur le regardeur. Face à cette œuvre de Thierry De Cordier, le regardeur peut sans nul doute se sentir en danger. Danger d’engloutissement. Pourtant MER GROSSE exerce une fascination mystérieuse. Saisi, le regardeur se trouve face à un choix : fuir ou se laisser transformer par l’expérience.
Quand nous prions, comment nous comportons-nous ? Quelle place donne-t-on à notre corps ? La prière exige-t-elle une immobilité parfaite, le corps ramassé sur lui-même, la tête dans les mains, les yeux fermés ? Voilà une composition musicale qui nous propose de renouveler notre vision de la prière et, peut-être, de nous surprendre.
Sur le blog Ecrits mystiques s'ouvre un nouveau cycle de patristique dédiés aux pères du désert, aux pères cappadociens, aux pères de l’Eglise latine. Voici en ouverture le premier envoi sur la Lectio divina d’Origène (185-253) commentée par Benoît XVI, qui aborde ce véritable itinéraire spirituel par étapes à la lumière de l'Ecriture.
Voici l'ouverture de la Saison #2 de la série « Sanctuaire (s) » diffusée en collaboration avec Vodeus, plateforme VOD du Jour du Seigneur, qui nous invite à aller à la rencontre de l'âme de ces édifices sacrés qui jalonnent la France afin de nous y ressourcer. Ce premier épisode offre une découverte à la fois somptueuse et intime du sanctuaire de Notre-Dame de la Garde, phare spirituel qui veille sur la ville de Marseille et la Méditerranée. A visionner sans attendre, ce film de 5,39 mn réalisé par Jean-Rodolphe Petit-Grimmer !
Du mardi 28 septembre 2021 à 9h00 au dimanche 02 janvier 2022 à 23h55
Sur une proposition du Petit Palais, Jean-Michel Othoniel investit la totalité du musée et son jardin. Il s’agit de la plus grande exposition personnelle de l’artiste à Paris depuis sa rétrospective My Way au Centre Pompidou en 2011. Autre actualité concomittante, Othoniel vient d'être reçu membre de l'Académie des Beaux-Arts. Cette exposition, une « invitation au rêve » pour « résister à la désillusion du monde », est à découvrir jusqu'au 2 janvier 2022.
« La foi illumine avec ses ténèbres les ténèbres de l’âme ». St Jean de la Croix
Cette œuvre, intitulée Vêpres, est l’une des étapes de la série sur la Liturgie des Heures de Françoise Bissara, que certains ont pu découvrir lors de la (trop brève) exposition à l’ICP de Paris. Ici se joue le vrai combat spirituel, ses étapes et ses fulgurances, entre profondes ténèbres et surgissement inouï de la lumière.
Sur Narthex, retrouvons La musique, un chemin d’unité, qui en prend la forme de manière concrète à travers la réception d’un psaume par un compositeur catholique et un compositeur réformé, tous deux du XVIe siècle. Pour Goudimel, le psaume est traité comme un choral, tandis que Palestrina l’aborde sur un mode contemplatif : deux approches qui se répondent et s’enrichissent mutuellement.
Nous vous proposons ensuite une conférence en vidéo sur Les Ateliers d'Art sacré pour découvrir l’histoire et les clés de ce mouvement novateur à l’origine de l’essor du renouveau de l'art chrétien au début du XXe siècle. Avec notre blog Ecrits mystiques, poursuivons l’étude de la patristique des premiers siècles avec une grande figure, Ambroise de Milan (339-397), Père de l’Eglise latine qui exerça une influence considérable sur son temps et dont le rayonnement participa même à la conversion de saint Augustin…
Laissons-nous ensuite surprendre par « Saint Joseph en sommeil » : une sculpture de Józef Pyrz formée à partir d’un tronc d’arbre dont les traits de gouge épousent les méandres, œuvre remise en lumière au sens propre et figuré à l’église Notre-Dame de l'Arche d'Alliance à Paris.
Nous arrivons aujourd’hui à la fin de la Semaine de l’unité des chrétiens. Le Père Louis Thomassin écrivait au XVIIe siècle : « la musique […] unit l’esprit à tous les fidèles de l’univers qui chantent et prient aussi ; avec les anges, dont le chant du Trois fois Saint est un chant et une contemplation sans relâche et sans fin. » Voici l’exemple d’un psaume chanté par un compositeur de l’Eglise réformée et le même traité par un compositeur catholique : différentes sensibilités, deux attitudes de prière, mais une même contemplation.
Notre blog Ecrits mystiques poursuit son cycle de patristique dédié aux pères du désert, aux pères cappadociens, aux pères de l’Eglise latine. Nous découvrons ici une figure particulièrement marquante par son action, son rayonnement et ses écrits, avec Ambroise de Milan (339-397) qui eut une influence sur les empereurs de son temps et participa au chemin de conversion de saint Augustin.
Les Ateliers d'Art sacré, fondés en 1919 par Maurice Denis et George Desvallières, ont été à l'origine du renouveau de l’art religieux au début du XXe siècle. Cette conférence de Jean-Paul Deremble propose de donner les clés de ce mouvement novateur, en livrant une approche critique de l'œuvre des Ateliers d'Art sacré et de leur réception. Une passionnante vidéo à découvrir sans tarder !
La parole de l’Ange du Seigneur, apparaissant en songe à Joseph le juste (saint Joseph) : «Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre chez toi, Marie ta femme » (Mt 1, 20) résonne face à la sculpture de l'artiste polonais Józef Pyrz (1946- 2016), récemment mise en lumière dans les locaux de la paroisse Notre-Dame Arche d’Alliance (XVe). Simple tronc d’arbre, à peine équarri, cette œuvre nous fait entrer dans la méditation des Ecritures et la prière. En l’année de la Sainte Famille (2021-2022), découvrons cette déroutante sculpture.
Trésor de la cathédrale de Liège et à l’Archéoforum de Liège
Du mercredi 08 décembre 2021 à 9h00 au dimanche 06 mars 2022 à 23h55
En partenariat avec l’Agence wallonne du Patrimoine, co-organisatrice, le Trésor de la cathédrale de Liège a mis sur pied l’exposition intitulée « Parures de fêtes à Liège. Splendeurs des tapisseries de Saumur » présentée au Trésor de la cathédrale de Liège et à l’Archéoforum de Liège, grâce au concours de la Ville de Saumur, du Département de Maine-et-Loire et des Musée de la Ville d’Angers. A découvrir jusqu'au 6 mars 2022 !
Du samedi 16 octobre 2021 à 9h00 au dimanche 06 mars 2022 à 23h55
Cette rétrospective d’ampleur de l’œuvre de Marinette Cueco proposera un parcours thématique au travers des grandes séries d’installations développées, depuis le début de son travail sur le monde naturel. Marinette Cueco utilise depuis les années 1970 des techniques propres aux arts textiles avec des matériaux bruts, naturels, éprouvant une prédilection pour les mauvaises herbes, l’humus... Une œuvre spécialement créée pour le LAAC sera également installée dans le jardin de sculptures du musée. A découvrir jusqu'au 6 mars 2022.
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