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  • J'ai terminé hier soir:Le dernier repos de Sarah / Robert Dugoni(bien construit, écrit, efficace/médiathèque)

    Le dernier repos de Sarah / Robert Dugoni | Dugoni, Robert

    Robert Dugoni ; traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Hélène Amalric

    Edité par M. Lafon , DL 2017

    Lisa Gardner Tracy Crosswhite vit depuis vingt ans avec la disparition tragique de sa soeur Sarah. Malgré le procès qui a condamné un coupable providentiel, elle est persuadée que cette histoire recèle encore de nombreux mystères. Pour que justice soit rendue, elle est même devenue enquêtrice dans la police de Seattle. Lorsque les restes de Sarah sont finalement découverts dans la ville où elles ont passé leur enfance, Tracy est bien décidée à faire toute la lumière sur cette affaire. Dans sa poursuite du véritable criminel, elle mettra au jour des secrets enfouis depuis trop longtemps.

    http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/390689/le-dernier-repos-de-sarah-robert-dugoni

    Que dix coupables échappent à la justice, plutôt que souffre un seul innocent....

  • Nous avons vu à Paris et nous vous conseillons




    Robert Adams

    Lieu : Paris - Jeu de paume
    Date : du 11 février 2014 au 18 mai 2014
     
    From the South Jetty, Clatsop County, Oregon (Vue depuis la jetée sud, comté de Clatsop, Oregon), 1991.

    From the South Jetty, Clatsop County, Oregon (Vue depuis la jetée sud, comté de Clatsop, Oregon), 1991.

     

     

    Le Jeu de Paume, à Paris, consacre une rétrospective à l’Américain Robert Adams, des séries de photographies en noir et blanc datées des années 60 et dédiées à l’Ouest américain.

     

    Informations pratiques :

    Ouverture
    Ouvert le mardi de 11h à 21h
    Du mercredi au dimanche de 11h à 19h
    Fermé le lundi

    Tarifs
    Tarif plein : 8,50 EUR
    Tarif réduit : 5,50 EUR

    Informations complémentairesJeu de paume1, place de la Concorde75008 Paris Tel : +33 (0)1 47 03 12 50En savoir plus sur le lieu

    http://www.connaissancedesarts.com/photo/agenda/robert-adams-105193.php

  • Les sculptures du jardin du MAM de Troyes(photos perso)

    13 et14.07.2017 Toyes.Nogent sur seine 147.jpgRobert Couturier (1905 - 2008) 

    Adam et Eve

    [1945 - 1946]

    Bronze doré

    217 x 90 x 65 cm

     
     

    Acquisition de l'Etat, 1949. Attribution au Musée national d'art moderne / Centre de création industrielle, 1949

    Numéro d'inventaire : AM 889 S

    https://www.centrepompidou.fr/cpv/resource/cgz5g8X/rzARnL7

    13 et14.07.2017 Toyes.Nogent sur seine 147.jpg

    Torse d'après "Zeus"

     
    Photo (C) Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Droits réservés
  • Nous avons découvert mercredi avec plaisir le Jeu de Paume et voir les photos d'un artiste dont j'avais présum&é qu'il m

    Elisabeth FRANCK-DUMAS 12 février 2014 à 17:56

    «Colorado Springs, Colorado», 1969.San Francisco et Matthew Marks Gallery, New York«Colorado Springs, Colorado», 1969. San Francisco et Matthew Marks Gallery, New York (Photo Robert Adams. Courtesy Fraenkel Gallery.)

    PHOTO

    Le Jeu de Paume, à Paris, consacre une rétrospective à l’Américain, exposant ses séries qui, à partir des années 60, montrent crûment des environnements en mutation.

     

    C’est une photographie de noir et blanc, économe, presque frugale. Une maison au toit écrasé de soleil. Une flaque d’eau qui luit sous un réverbère. Un homme et une femme qui discutent, de dos, dans une rigole qui sert de rue au sein d’un lotissement en construction. Paysages de la modernité architecturale et mentale. Formes de désolations contemporaines à la consolante beauté.

    Sur le même sujet

    Depuis près de cinquante ans, le photographe Robert Adams n’a pas dévié de sa route. Inlassable chroniqueur de l’Ouest américain, il braque son objectif épris d’exactitude sur le monde qui l’entoure, ce monde qu’il a vu se parer de tous les atours de l’industrialisation, de la commercialisation galopante, et dont il ne se contente pas de déplorer les changements. Il aime à citer la poétesse russe Anna Akhmatova : «Le miraculeux est si proche des ruines sales.»

    Sinistrose. La rétrospective que lui consacre le musée du Jeu de Paume, à Paris, montre la cohérence de cette œuvre patiente, construite au fil du temps, livre par livre, série par série. Les plus importantes sont présentes ici, souvent les plus anciennes : les déambulations nocturnes des Soirs d’été (1976-1982), l’urbanisation de New West (1968-1971), la sinistrose du Denver de Ce que nous avons acheté (1970-1974). Les tirages datent des années 60-70, au moment où une nouvelle génération de photographes américains s’empare de ce grand mythe national, le paysage, pour imposer un style qui tranche avec celui de leurs prédécesseurs et leurs sujets - cascades, falaises, montagnes. Ce nouveau style est une absence de style, une manière factuelle de rendre compte d’environnements en mutation, un genre de nouveau roman de la photo américaine. Leurs travaux seront regroupés, en 1975, dans une exposition de la George Eastman House devenue légendaire, «New Topographics : Photographs of a Man-Altered Landscape» (1). Lewis Baltz et Stephen Shore sont de la partie. Robert Adams aussi.

    New West_49, 7/9/07, 4:18 PM, 16C, 4626x4439 (938+2021), 100%, Custom,  1/60 s, R54.5, G28.4, B41.4«Longmont, Colorado, 1979». Photo Robert Adams. Courtesy Fraenkel Gallery. 

    Né en 1937 dans le New Jersey, Adams a grandi dans le Colorado. Après des études d’anglais en Californie, il y revient en 1965, pour enseigner. La région a changé. Il se met à la photo pour immortaliser ce qu’il aime - une église méthodiste, des monuments funéraires. Mais un voyage en Scandinavie (sa femme, Kerstin, est suédoise) et la découverte de l’architecture moderniste lui enseignent qu’il est possible de vivre en harmonie avec le paysage et l’histoire. A son retour, il se tourne vers des constructions contemporaines, si possible banales : une halte routière (Eden), des maisonnettes de bois (New West).

    Graminées. Le titre de l’exposition, «L’Endroit où nous vivons», est emprunté à la monographie publiée chez Steidl à l’initiative de l’université Yale, aux Etats-Unis, qui détient la plus importante collection de tirages d’Adams et où la rétrospective commença en 2012. Le titre anglais, The Place We Live, est plus juste : il s’agit du lieu «que» nous vivons, dont nous faisons l’expérience. Car le tour de force de ces photos, humbles de format et de sujet, est de donner à éprouver ce que serait de s’y tenir. Par la justesse de la lumière, qui rend le flash cru d’un soleil du Colorado, le laiteux d’un smog californien. Par un premier plan souvent détaillé, qui fourmille de petits riens sensuels : le granuleux d’une route goudronnée, le duveteux de graminées qui se balancent dans le vent et célèbrent la nature envers et contre tous. Par le choix de sujets d’une quotidienneté universelle - une maison, la nuit, alors que l’on se promène un soir d’été. Ces artefacts de l’urbanisation qu’il a, selon les mots du génial critique et conservateur John Szarkowski, «rendus non pas beaux, mais importants.»

    (1) «Nouvelles topographies : photographies d’un paysage modifié par l’homme.»

    Elisabeth FRANCK-DUMAS

    L’endroit où nous vivons de Robert Adams Musée du Jeu de Paume, 75008. Jusqu’au 18 mai. Rens. : www.jeudepaume.org

    http://www.liberation.fr/photographie/2014/02/12/robert-adams-l-ouest-sans-fard_979748

     

    Précédente publication:14/02/2014 15:55

  • En 2014, les expositions parient sur la découverte

    Dans la programmation artistique de cette rentrée, « La Croix » a sélectionné quelques propositions innovantes.

     

    5/1/14 - 17 H 36

    Viola_lacroix_moyen

    Paris à la Belle Epoque

    L’exposition nous a séduits cet été au Musée de la civilisation à Québec. Pour sa présentation parisienne, Christophe Leribault, directeur du Musée du Petit Palais, promet de l’étoffer encore avec des pièces de mode ou d’art décoratif dans une scénographie spectaculaire. Elle se concentre sur la période 1900-1914 où, avant de basculer dans la Grande Guerre, Paris s’étourdit dans les plaisirs (ci-contre Le Bal blanc, de Joseph-Marius Avy, 1903). De l’Exposition universelle de 1900 au boom des théâtres, des cafés-concerts, des fêtes foraines et du cinéma, c’est la naissance d’une nouvelle société des loisirs. De nombreuses œuvres sortent des réserves des musées parisiens pour l’occasion, telles les monumentales Halles peintes par Léon Lhermitte, restaurées grâce au mécénat de Rungis.

     « Paris 1900. La ville spectacle », au Petit Palais à Paris, du 2 avril au 17 août. 

    Fantastique Gustave Doré

    Chat botte

    Le Chat botté. (Musée D’ Orsay)

    Ses illustrations de la Bible, de Dante ou des contes de Perrault (ici, Le Chat botté) ont fait rêver des milliers de lecteurs. Artiste éclectique, Gustave Doré a laissé aussi des caricatures drolatiques, des tableaux monumentaux, des sculptures méconnues que rassemblera une rétrospective au Musée d’Orsay, la première depuis trente ans. Au même moment, le Musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg, ville natale de l’artiste, présentera six de ses livres illustrés. Les deux expositions exploreront aussi la postérité de Doré, dans la bande dessinée ou le cinéma.

     « Gustave Doré. L’imaginaire au pouvoir ». Au Musée d’Orsay à Paris, du 18 février au 11 mai. Au Musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg, du 21 février au 25 mai. 

    Robert Adams et Mathieu Pernot, la pertinence des images

    Adams

    Robert Adams, Longmont, Colorado, 1979.  (R. Adams. Courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco et M. Marks Gallery, New York)

    L’exposition « L’endroit où nous vivons » va permettre de découvrir enfin en France l’œuvre de Robert Adams, qui suit depuis 1960 l’évolution des paysages de l’Ouest américain marqués par les activités humaines (ci-dessous Longmont, Colorado, 1979). Auteur de nombreux ouvrages, il participa à l’exposition « New Topographics » (1975), qui changea la façon d’aborder le paysage. Le Jeu de paume consacre aussi une rétrospective au Français Mathieu Pernot au parcours sans fautes, depuis ses premières séries sur la communauté gitane jusqu’à son dernier ouvrage L’Asile des photographies, prix Nadar 2013, dont La maison rouge expose les images (du 13 février au 11 mai, www.lamaisonrouge.org).

     « Robert Adams. L’endroit où nous vivons » et « Mathieu Pernot. La traversée », au Jeu de paume, à Paris, du 11 février au 18 mai. 

    Meret Oppenheim, femme libre et surréaliste

    OppenheimBis

     "Le Couple", 1956. (ADAGP2014)

    De la belle photographiée par Man Ray, le public connaît peu de chose, excepté son célèbre Déjeuner en fourrure, détournant une banale tasse avec son assiette en festin érotique. Pourtant Meret Oppenheim a laissé une œuvre aussi variée que riche. À travers 200 pièces, le Musée d’art moderne de Villeneuve d’Ascq dévoile ses autoportraits ambigus, son goût des métamorphoses, ses assemblages malicieux (ci-contre, Le Couple, 1956) mais aussi son intérêt pour la nature, partagé avec l’ami Hans Arp, et ses explorations de l’invisible, rêves ou brumes délicates… Un hommage attendu à cette égérie du féminisme, entouré d’œuvres de ses proches, de Giacometti à Duchamp.

     « Meret Oppenheim. Rétrospective », au LaM de Villeneuve d’Ascq, du 15 février au 1er juin. 

    Bill Viola, vidéaste métaphysique

    Viola

    The Sleep of Reason (détail), 1988, installation vidéo sonore, en continu, Carnegie Museum, Pittsburgh, Etats-Unis. (Kira Perov)

    Depuis quarante ans, cet Américain s’est imposé comme un des maîtres incontestés de l’art vidéo. Ses œuvres allient des références à de grands maîtres de la peinture (Bosch, Giotto…) ou à des épisodes bibliques comme le Déluge ou la Visitation, et des questionnements métaphysiques sur la douleur, le cycle de la vie et de la mort, l’invisible… Cette première rétrospective en France, riche d’une vingtaine d’œuvres sur plus de 30 écrans, permettra de mesurer l’évolution de sa création. Et de vérifier si la virtuosité de ses effets spéciaux, l’abus du ralenti ou le kitsch de certaines reconstitutions en costumes n’ont pas transformé sa profonde inspiration en maniérisme.

     « Bill Viola », au Grand Palais à Paris, du 5 mars au 21 juillet. 

    Et aussi…

     Denis Dailleux, Égypte, les martyrs de la révolution, à la galerie Fait & Cause à Paris, du 9 janvier au 1er mars.

     Zurbaran au Palais des beaux-arts à Bruxelles, du 29 janvier au 25 mai.

     Henri Cartier-Bresson, au Centre Pompidou à Paris, du 12 février au 9 juin.

     Berlinde de Bruyckere et Philippe Vandenberg, à La maison rouge à Paris, du 13 février au 11 mai.

     El Greco, au Museo de Santa Cruz à Tolède, du 14 mars au 22 juin, puis au Prado à Madrid.

     Moi, Auguste, empereur de Rome, au Grand Palais à Paris, du 19 mars au 13 juillet.

     Véronèse, à la National Gallery de Londres, du 19 mars au 15 juin.

     Indiens des plaines, au Musée du Quai-Branly, du 8 avril au 20 juillet.

     Georges de La Tour. Trois “nuits” pour une renaissance, au Musée des beaux-arts de Rennes, du 18 avril au 17 août.

     Lucio Fontana. Rétrospective, au Musée d’art moderne de la Ville de Paris, du 25 avril au 24 août.

    Sabine Gignoux et Armelle Canitrot

     
     

    5/1/14 - 17 H 36

  • Injustice

    Après avoir obtenu la libération sous caution de Martin, William accepte de le défendre à la seule condition qu'il lui jure d'être innocent. Aidé par sa consoeur Natalie, il constate que le mot «Agadir» apparaît de façon récurrente dans le téléphone portable de Lucy Wilson... L'inspecteur Wenborn découvre que Spaull, impliqué quelques années plus tôt dans un attentat ayant coûté la vie à un enfant d'une dizaine d'années, avait été défendu par Travers et acquitté.

     
     
    14/08/2014 à 20H50 surTous les programmes du jour de Arte
     

    Durée : 45min. ( 20H50 - 21H35 )
    Diffusion : Haute définition
    Cryptage : En clair
    Version : VF
    Genre : Série - Drame policier
    Origine : Angleterre
    Année de réalisation : 2011
    Télétexte : Sourds et malentendants
    Réalisation : Colm McCarthy
    Scénario : Anthony Horowitz
    Distribution : James Purefoy (William Travers), Adam Grant (Robin Miller), Stephen Hagan (David Canning), Kate Dickie (Joanna Kirsten), Susannah Doyle (Susannah James), David Schofield (Stephen Packard), John McGlynn (John Renner), Steve Hansell (Ralph Bates), Kirsty Bushell (Maggie Wenborn), Charlie-Creed Miles (l'inspecteur Mark Wenborn), Nathaniel Parker (Martin Newall), Dervla Kirwan (Jane Travers), Robert Whitelock (Philipp Spaull), Jayne Wisener (Lucy Wilson).
    Rediffusion(s) : 18/08/2014 à 06

    http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/fiche/arte/serie-feuilleton/169480326/injustice.html

  • The Closer : L.A. Enquêtes prioritaires

    Refus d'extradition (Saison 5 - Episode 12/15)

    © DR
    07/06/2010 à 20H35 surTous les programmes du jour de France 2

    Titre original : The Closer
    Durée : 49min. ( 20H35 - 21H25 )
    Cryptage : En clair
    Genre : Série - Policier
    Origine : Etats-Unis
    Année de réalisation : 2009
    Réalisation : Kevin Bacon
    Scénario : Adam Belanoff
    Distribution : Kyra Sedgwick (Brenda Leigh Johnson), Phillip P. Keene (Buzz), Raymond Cruz (Détective Sanchez), Gina Ravera (Détective Daniels), J.K. Simmons (Will Pope), Corey Reynolds (David Gabriel), Jon Tenney (Fritz Howard), Robert Gosset (Le capitaine Taylor), G.W. Bailey (Lieutenant Provenza), Anthony John Denison (Andy Flynn), Sosie Bacon (Charlie), Barry Corbin (Clay).

    RÉSUMÉ

    Une jeune femme est sauvagement assassinée de plusieurs coups de couteau près de sa piscine. Son mari qui dormait à l'étage dit s'être réveillé après avoir entendu les cris de sa femme. Il affirme avoir vu un homme habillé en Ninja fuir la scène de crime ! Une voisine dit avoir vu le même individu s'enfuir au volant d'une mustang rouge immatriculée à El Paso au Texas. Brenda contacte le commissariat de la ville, le lieutenant, Curt Landry, qui saute dans le premier avion en partance pour la Californie. Deux femmes ont été tuées selon le même mode opératoire à El Paso et quatorze autres dans des villes sillonnant l'autoroute 10...

    NOTRE AVIS

    Cet excellent épisode a l'originalité d'avoir été mis en scène par le comédien Kevin Bacon

    Perpétuité (Saison 5 - Episode 13/15)

    07/06/2010 à 21H30 surTous les programmes du jour de France 2

    Titre original : The Closer
    Durée : 54min. ( 21H30 - 22H25 )
    Cryptage : En clair
    Genre : Série - Policier
    Origine : Etats-Unis
    Année de réalisation : 2009
    Réalisation : Steve Robin
    Scénario : Hunt Baldwin, John Coveny
    Distribution : Kyra Sedgwick (Brenda Leigh Johnson), Gina Ravera (Détective Daniels), J.K. Simmons (Will Pope), Corey Reynolds (David Gabriel), Jon Tenney (Fritz Howard), Robert Gosset (Le capitaine Taylor), G.W. Bailey (Lieutenant Provenza), Anthony John Denison (Andy Flynn), Phillip P. Keene (Buzz), Raymond Cruz (Détective Sanchez).

    RÉSUMÉ

    Les secours sont informés par un appel anonyme de la mort d'un jeune adolescent. A l'adresse indiquée, Manuel Soto, douze ans, gît sur le sol de la cuisine, abattu de trois balles dans l'abdomen. Son index a été sectionné. Le préadolescent portait un tatouage (effaçable) d'un gang du coin. Le père de la victime a fait onze ans de prison pour avoir poignardé une personne. Et le grand frère, Cruz, purge actuellement une peine de sept ans pour coups et blessures et détention d'armes prohibés. Ce dernier est à la tête du gang des «Tres Colores» qu'il dirige de sa cellule. Il devrait être mis en liberté conditionnel dans un mois...

    http://www.tvmag.com/programme-tv/fiche/france-2/seriefeuilleton/34262270/the-closer-la-enquetes-prioritaires.html

  • 20 mars 1727

    Mort de Newton, découvreur de la loi de gravitation universelle

     

     

    Lettre à Robert Hooke

    Si j'ai vu si loin, c'est que j'étais monté sur des épaules de [...] - Isaac Newton...

  • Entre deux mondes / Olivier Norek

    Résultat de recherche d'images pour "entre deux mondes"

    Edité par Michel Lafon , DL 2017

    Adam a découvert en France un endroit où l'on peut tuer sans conséquences.

    http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/398579/entre-deux-mondes-olivier-norek

  • J'ai terminé hier:Gainsborough - L'Honorable Mme Thomas Graham

     

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    Gainsborough - L'Honorable Mme Thomas Graham


    Le Musée du Monde - vol. 11

    Prix

    Prix :  5,99 €

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    Description

    L'Honorable Mme Thomas Graham
    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Le onzième volet de cette série met à l’honneur le maître anglais du xviiie siècle, qui a changé les portraits officiels en oeuvres spontanées et expressives.

    Peintre d’un univers idéal où l’homme vivrait en harmonie avec la nature, chantre d’une élégance oublieuse des bouleversements profonds de son temps, Gainsborough (1727-1788) réinvente le monde, pour en livrer sa vision intérieure, sensible et délicate. Aristocrates et personnalités du royaume seront ses commanditaires mais aussi ses sujets d’étude. Ses portraits en pied reflètent autant la psychologie de leur modèle que l’esthétique, les goûts et les aspirations d’une époque. Aussi, lorsqu’il immortalise Mary Graham, noble épouse de Thomas Graham, il campe un art de vivre, une douceur espérée. De la blancheur distinguée de son teint aux détails de sa soyeuse toilette, d’un fragment de colonne classique à une foisonnante et verdoyante campagne anglaise, l’artiste scelle son désir. Car à la ville urbanisée il préfère les paysages champêtres, hérités de la peinture hollandaise de ce xviie siècle qu’il admire. A la rigidité figée des peintures officielles, il oppose des figures aux gestes spontanés, naturels et expressifs. « La principale beauté est l’intention d’un portrait », prônait le peintre, insufflant à ses oeuvres fantaisie, poésie et rêverie – que son rival, Joshua Reynolds, n’hésitera pas à déprécier. Ainsi, au-delà des apparences, Gainsborough est peut-être un peintre frondeur, qui rompra d’ailleurs avec l’Académie et ne cessera d’affirmer sa vision idéale et classique, à l’instar d’architectes nommés Christopher Wren ou Robert Adam. Tel un précurseur du romantisme, le peintre aura offert au monde et à l’histoire une respiration, une échappée belle, une évasion, ce sentiment de flottement et d’inachevé qui ressemble à une idée du bonheur…

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

    http://boutique.lemonde.fr/catalog/product/view/id/11467/?nouveaute=1

  • K. Becker, Le Dandysme littéraire en France au XIXe siècle

    Parution livre

    Information publiée le mardi 27 avril 2010 par Matthieu Vernet (source : Olivier Leplatre)

     

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    Karin Becker: Le dandysme littéraire en France au XIXe siècle

    Paris : Editions Paradigme,coll. "Références, 2010.

    Prix 19 euros

    196 p.

    EAN 978286878286

    Présentation de l'éditeur :

    « Culte de soi-même » selon Baudelaire, « culte de la différence dans le siècle de l'uniforme » selon Kempf, le dandysme apparaît dans les mondanités parisiennes dès 1815. Jeunes messieurs dépensiers et provocateurs, affichant des tenues coûteuses et excentriques, les dandys recherchent la distinction dans l'esthétisation du quotidien.

    Les artistes et les écrivains vont suivre. Ce sera le dandysme littéraire. Pour Balzac, Sue, Musset et jusqu'à Proust, l'originalité du costume va de pair avec l'exaltation du rôle de l'artiste. S'élevant contre ce qui opprime l'individu, les écrivains dandys protestent contre la mentalité matérialiste de leur temps.

    Analysant le discours littéraire sur le dandysme produit au long du XIXe siècle, Karin Becker retrace le phénomène et ses évolutions jusqu'à la « Belle Époque », et éclaire une posture qui a tenté – et tente encore – nombre d'écrivains.

    Table des matières

    Introduction :

    Le dandysme, un phénomène social et littéraire du XIXe siècle

    I. La naissance du dandysme

     

    L'invention du dandy anglais : Beau Brummell

     

    Lord Byron : le premier dandy-poète

     

    Le passage de la Manche : les «  dandys de Londres » à Paris

     

    Alfred d'Orsay, un intermédiaire entre les cultures

     

    II. Les premiers dandys écrivains en France

     

    Dandysme mondain et dandysme littéraire

     

    Chateaubriand, père des dandys littéraires ?

     

    Un enfant du siècle : Alfred de Musset

     

    Eugène Sue : dandy et socialiste

     

    III. Les dandys dans l'univers romanesque

     

    Stendhal et Julien Sorel : le dandy égotiste

     

    Types de dandys dans l'oeuvre de Balzac

     

     

    IV. La théorie du dandysme

     

    Barbey d'Aurevilly : une définition impossible

     

    Charles Baudelaire : « une espèce de culte de soi-même »

     

    V. Le dandy décadent et esthète fin de siècle

     

    Le dandysme à la Belle Epoque

     

    Robert de Montesquiou et le style décoratif

     

    Esthétisme et névrose : Joris-Karl Huysmans

     

    Villiers de L'Isle-Adam ou le triomphe de l'artefact

     

     

    VI. Apogée et déclin du dandysme

     

    Oscar Wilde et le scandale du dernier dandy anglais

     

    Nostalgie et critique du dandysme chez Marcel Proust

     

    Conclusion

    Bibliographie

    Index des noms de personne

     

    Responsable : Karin Becker

    http://www.fabula.org/actualites/article37584.php

  • J'ai vu hier au cinéma: LA CONSPIRATION DU CAIRE

    LA CONSPIRATION DU CAIRE

    Film suédois, égyptien de Tarik Saleh (2022 - 1h59min - V.O.S.T.)

    avec Tawfeek Barhom, Fares Fares, Mohammad Bakri...

    Adam, simple fils de pêcheur, intègre la prestigieuse université Al-Azhar du Caire, épicentre du pouvoir de l’Islam sunnite. Le jour de la rentrée, le Grand Imam à la tête de l’institution meurt soudainement. Adam se retrouve alors au cœur d’une lutte de pouvoir implacable entre les élites religieuse et politique du pays.

    Prix du scénario - Cannes 2022

    https://www.lemelies.com/spip.php?page=aujourdhuijeanjaures

  • artpress I février 2019

    463 COUV

    Kanata, spectacle de Robert Lepage, a suscité de vives polémiques au Canada parce que les personnages d’Autochtones n’étaient pas interprétés par des Autochtones. Ariane Mnouchkine l’accueille au Théâtre du Soleil où Mathilde Bardou est allée le voir.
    Peut-on jouer avec les photos de famille sans moquerie et susciter l’émotion sans sensiblerie ? L’artiste qui les remet en scène, Erik Kessels, répond aux questions de Safia Belmenouar.
    C’est la Saison France-Roumanie. Adrian Ghenie ou Victor Man font de brillantes carrières internationales, aussi nous sommes-nous posé la question de ce que devient l’École de Cluj... à Cluj !
    Et à l’heure où les morts passent de plus en plus facilement à la trappe de la crémation, Thomas Laqueur publie le Travail des morts, une histoire culturelle des dépouilles mortelles, et démontre que la politique a inventé une nouvelle religion des morts.
    Avec artpress, vous suivez l’actualité, mais pas toujours dans le mainstream et très loin du politiquement correct.

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    Oliver Beer. Household Gods 
    Musicien, compositeur, vidéaste, plasticien, Oliver Beer est avant tout un artiste de l’entre-deux : c’est entre les images, les objets, et même entre les voix et les lieux qu’il se glisse et travaille. Une exposition monographiqueà la galerie Thaddaeus Ropac à Paris, Household Gods (jusqu'au 16 février 2019), une autre à Sydney, une résidence au Met à New York et une installation monumentale en Tasmanie : 2019 est bien partie pour être l’année Oliver Beer.
    Par Bastien Gallet.
     
     
     
     
     
     
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    Robert Lepage. Kanata 
    C’est la première fois qu’Ariane Mnouchkine confie la troupe du Théâtre du Soleil à un autre metteur en scène : Robert Lepage. Le spectacle Kanata – Épisode 1 – la Controverse (jusqu’au 17 février 2019 à la Cartoucherie de Vincennes), très attendu du fait notamment de la vive polémique engendrée par l’annonce de sa création, retrace l’histoire du Canada par le prisme d’un fait divers ; la disparition de 49 femmes au début des années 2000.
    Par Mathilde Bardou.
    > à lire aussi sur artpress.com
     
     
     
     
     
     
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    Erik Kessels
    Provocations vernaculaires
    Figure excentrique de la scène artistique européenne, Erik Kessels est animé d’une profonde curiosité. Photographies ratées, absurdes ou bizarres, albums de famille, annonces pornographiques ou pochettes de disques, le Hollandais né en 1966 questionne, avec humour et ironie, tout autant notre rapport aux images que les pratiques artistiques telles la récupération, l’appropriation ou le détournement.
    Interview par Safia Belmenouar.
     
     
     
     
     
     
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    Perspectives roumaines
    La Révolution roumaine de 1989 et la « fin » du couple Ceaușescu ont peut-être été les premiers événements hyper-médiatisés de notre ère. Qui aurait imaginé alors que quelques-uns des jeunes peintres, qui ont installé leur atelier dans une usine désaffectée de la périphérie de la ville de Cluj, seraient 30 ans plus tard des vedettes du monde de l’art international ? À l’occasion de la saison France-Roumanie, nous avons souhaité rappeler ce qui s’était passé entre temps sur la scène roumaine, tout en envisageant « l’après Cluj ».
    Par Magda Carneci et Călin Stegerean.
     
     
     
     
     
     
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    H.C. Westermann
    Une mécanique de l'idée
    H.C. Westermann (1922 - 1981) est l’auteur d’une œuvre singulière, à la croisée de l’artisanat et de l’assemblage. Montrés récemment à la Fondation Prada de Milan, ses objets domestiques le seront à nouveau au Museo Reina Sofía de Madrid (du 5 février au 6 mai 2019). Éloïse Le Gallo est partie sur ses traces, jusque dans son atelier, longtemps conservé en l’état, dans le Connecticut.
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Expositions / Reviews

    Niko Pirosmani, Albertina ; Bieke Depoorter, FOMU ; Dessin politique, dessin poétique, Musée Jenisch ; Renault, l’art de la collection, Fondation Clément  ; Siècles noirs, Jean-Luc Mylayne, Fondation Van Gogh ; Picture Industry, Fondation Luma ; Bengal Stream, arc en rêve centre d’architecture ; Mohamed Kacimi, Mucem ; Que fut 1848 ? Frac Grand Large ; Damien Deroubaix, MAMC+, Saint-Étienne ; Isabelle Champion Métadier, Musée des beaux-arts de Tours ; Franck Scurti, CCC Olivier Debré ; Picasso-Rutault, Musée Picasso  ; Grayson Perry, Monnaie de Paris ; Glen Baxter, Galerie Isabelle Gounod.
     
     
     
     
     

    Livres

    Valère Novarina, hors de lui ; Perrine Le Querrec, la construction du livre ; Gaëlle Obiégly, l’envers du transhumain ; Nathalie Léger, la robe de Pippa Bacca ; Alain Jouffroy, une poétique de l’amitié ; Les Noailles, mécènes de l’avant-garde ; Gaston Chérau, de l’orientalisme au réel ; Gilles Saussier, l’ombre projetée de l’histoire ; Thomas Laqueur, le don de Diogène, le désarroi d’Adam.
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Agenda

    Retrouvez ici les événements en cours et ceux à venir
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    Adapté de faits réels, Spotlight retrace la fascinante enquête du Boston Globe - couronnée par le prix Pulitzer - qui a révélé un scandale sans précédent au sein de l'Eglise Catholique.

    Doté d'un casting d'exception (Mark Ruffalo, Michael Keaton, Rachel McAdams...), Spotlight est nommé aux Golden Globes dont celui du Meilleur Film.

    Découvrez ce film captivant dans les salles le 27 Janvier prochain.

     
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