Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Sophie Marceau et Patrick Bruel s'engueulent !
J.-J.L.
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Le Français Patrick Modiano remporte le Nobel de littérature.
Plus d'infos sur Le FigaroPatrick Guillain
Edité par Nouvelles éditions de l'Aube , 2018
"C'est la mort noire ! C'est la peste ! " Sorti de nulle part, le fléau des civilisations se répand à nouveau dans les rues de Paris. Les malades, puis les morts, se multiplient dans la capitale. La jeune médecin de l'InVS, Maud Bordet, est en première ligne. Assistée du jeune chercheur Samuel Laveran et des experts du laboratoire de recherche sur la peste de l'institut Pasteur, elle mène une course vertigineuse contre l'épidémie mortelle. Mais rapidement, des difficultés inattendues et des incohérences font naître des doutes dans la cellule de crise dirigée par Maud. Et si cette épidémie n'était pas naturelle ?
http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/417770/le-semeur-de-mort-patrick-guillain
Patrick Amand
Edité par Editions du Caïman , C 2019
13 janvier 1937 : en pleine nuit, Louis Aragon débarque dans la demeure de son ami écrivain Jean-Richard Bloch à Poitiers, La Mérigote. De ce rendez-vous nocturne naîtra Ce soir un des plus grands quotidiens français. 80 ans plus tard, jour pour jour, le maire de Poitiers Charles Salviac annonce à la surprise générale la création d'une résidence d'écrivains dans ce lieu. Face à d'obscures motivations où seront mêlés bibliothécaires, chercheurs, étudiants, la demeure de l'écrivain poitevin dans laquelle se sont côtoyées les plus grandes plumes de l'entre deux guerre -Zweig, Malraux, Rolland, Aragon, Romains ... - devient soudainement une maison où tourbillonnent le passé et des quêtes obsessionnelles. Le jeune journaliste Jean-Michel Hénère, fondateur de l'hebdomadaire C ton Poitiers se retrouve bien malgré lui embarqué dans une aventure romanesque, noire. Avec son lot de drames, il devra assembler un puzzle dont il découvrira les pièces au fur et à mesure de ses investigations et des morts qui jalonneront sa route sur le chemin de La Mérigote.
où habitent mes beaux-parents
avec nos derniers affaires laissées avant notre départ du Maroc, il y a six ans
Epilogue d'une aventure malheureuse(un épisode ci-dessous) que les habitués de ce blog connaissent
Un petit coucou du cyber le 29/04/2008
Hier, nous avons visité le musée des papillons de Saint-Quentin que mon mari Saint-quentinois n'avait jamais vu.
Magnifique!!!!
et ça m'a fait penser aux "Papillons" de Nerval dont je parle dans mon mémoire de maîtrise(lien ci-contre).
Les papillons
I
De toutes les belles choses
Qui nous manquent en hiver,
Qu'aimez-vous mieux ? - Moi, les roses ;
- Moi, l'aspect d'un beau pré vert ;
- Moi, la moisson blondissante,
Chevelure des sillons ;
- Moi, le rossignol qui chante ;
- Et moi, les beaux papillons !
Le papillon, fleur sans tige,
Qui voltige,
Que l'on cueille en un réseau ;
Dans la nature infinie,
Harmonie
Entre la plante et l'oiseau !...
Quand revient l'été superbe,
Je m'en vais au bois tout seul :
Je m'étends dans la grande herbe,
Perdu dans ce vert linceul.
Sur ma tête renversée,
Là, chacun d'eux à son tour,
Passe comme une pensée
De poésie ou d'amour !
Voici le papillon "faune",
Noir et jaune ;
Voici le "mars" azuré,
Agitant des étincelles
Sur ses ailes
D'un velours riche et moiré.
Voici le "vulcain" rapide,
Qui vole comme un oiseau :
Son aile noire et splendide
Porte un grand ruban ponceau.
Dieux ! le "soufré", dans l'espace,
Comme un éclair a relui...
Mais le joyeux "nacré" passe,
Et je ne vois plus que lui !
II
Comme un éventail de soie,
Il déploie
Son manteau semé d'argent ;
Et sa robe bigarrée
Est dorée
D'un or verdâtre et changeant.
Voici le "machaon-zèbre",
De fauve et de noir rayé ;
Le "deuil", en habit funèbre,
Et le "miroir" bleu strié ;
Voici l'"argus", feuille-morte,
Le "morio", le "grand-bleu",
Et le "paon-de-jour" qui porte
Sur chaque aile un oeil de feu !
Mais le soir brunit nos plaines ;
Les "phalènes"
Prennent leur essor bruyant,
Et les "sphinx" aux couleurs sombres,
Dans les ombres
Voltigent en tournoyant.
C'est le "grand-paon" à l'oeil rose
Dessiné sur un fond gris,
Qui ne vole qu'à nuit close,
Comme les chauves-souris ;
Le "bombice" du troëne,
Rayé de jaune et de vent,
Et le "papillon du chêne"
Qui ne meurt pas en hiver !...
Voici le "sphinx" à la tête
De squelette,
Peinte en blanc sur un fond noir,
Que le villageois redoute,
Sur sa route,
De voir voltiger le soir.
Je hais aussi les "phalènes",
Sombres hôtes de la nuit,
Qui voltigent dans nos plaines
De sept heures à minuit ;
Mais vous, papillons que j'aime,
Légers papillons de jour,
Tout en vous est un emblème
De poésie et d'amour !
III
Malheur, papillons que j'aime,
Doux emblème,
A vous pour votre beauté !...
Un doigt, de votre corsage,
Au passage,
Froisse, hélas ! le velouté !...
Une toute jeune fille
Au coeur tendre, au doux souris,
Perçant vos coeurs d'une aiguille,
Vous contemple, l'oeil surpris :
Et vos pattes sont coupées
Par l'ongle blanc qui les mord,
Et vos antennes crispées
Dans les douleurs de la mort !...
Gérard de NERVAL (1808-1855)
(Recueil : Odelettes)
http://poesie.webnet.fr/poemes/France/nerval/30.html
Il y avait aussi 2 expositions dont je vous parlerais dès que possible car là, je vais essayer de trouver une option pas trop chère pour avoir un PC (le mien est dans son carton à Casa) et internet en Ardèche.
Cet après-midi, piscine.
Le 1 er mai, la Somme, chez le frère de lait de mon mari.
L'abbaye, les musées, l'église paroissiale :
Le Mont Saint-Michel, au milieu de la baie, accueille chaque année près
de 2,5 millions de visiteurs, pèlerins ou simples touristes.
A l’entrée de cette cité médiévale, l’ancien Corps de Garde des Bourgeois, face aux canons, abrite l’office de tourisme. En passant la porte du Boulevard, puis celle du Roy munie d’un pont-levis, vous rencontrez la Grande Rue avec ses musées, ses commerces et ses maisons du XV et XVI ème siècles (le passage du pont-levis conduit également sur votre droite, au chemin des remparts).
L’Eglise Paroissiale, petit édifice du XV et XVIème siècles est dédiée à Saint-Pierre, patron des pêcheurs.
Enfin, l’ascension du Grand Degré est un prélude à la Merveille et à la visite de l’Abbaye.
EN PARTENARIAT AVEC | ||
Expo Othoniel
Invisibility faces
Note précédente sur la Côte St André
Note précédente sur la Côte St André
La Halle Datant de la fin du xiiie siècle19, elle abrite encore le marché le jeudi matin. Régulièrement entretenue, elle fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 23 avril 192520.
Scan de:Le point 6 juillet 2023 et de mon figaro magazine du 5 mai 2023
Artiste anglais né à Dublin en 1936, Patrick Procktor reste un total inconnu en France.
Nous avons tant aimé la bohème glamour du « Swinging London » des années 60 et ses têtes d’affiches, David Hockney, Gilbert & Georges, Richard Hamilton, Francis Bacon, tous amis de Procktor, à la fois peintres et modèles de leur amours et des célébrités de l’époque, Mike Jagger, Jimi Hendrix, la princesse Margaret, … Pourquoi avons-nous laissé passer dans les mailles du filet cet artiste superbe, dandy voyageur qui, en un clin d’œil, d’un seul trait de pinceau, capte la beauté d’une ambiance, la tonalité diaphane d’un paysage, le décalé d’un geste ou d’une physionomie. Les aquarelles de l’exposition, qui proviennent toutes de collections vénitiennes, reflètent magnifiquement cet univers.
Sous une apparente docilité aux genres du portrait, de la nature morte, du paysage, il casse toutes les conventions qu’il est sensé servir. La distorsion des formes, l’audace des couleurs acides et pâles, portent un coup fatal à l’étiquette réaliste.
Cette esthétique de la légèreté, d’un certain détachement romantique, est aujourd’hui idolâtrée dans les œuvres d’Elisabeth Peyton ou celles de Peter Doig que l’on aime à qualifier d’anti-modernes. Dans le cas de Procktor, elle prend ses racines chez Parmigiano (l’allongement des figures), chez Tiepolo (les ciels et les nuages), Whistler, Turner (l’humidité de la lumière) et Manet (le décadrage).
En 1999, une grande partie de son œuvre a péri dans l’incendie de sa maison de Manchester Street, ainsi que tous les tableaux de ses amis artistes et, dit-on, une merveilleuse peinture de Constable. Il disparaît en 2003.
Man reading a book, 1966
Le Monde.fr | 23.08.2013 à 14h04 | Par Macha Séry
Plein de souffle, ce roman écrit à quatre mains se nourrit de la légende de l'aventurier.
PRIX LITTERAIRES – Le juré du Femina a couronné Patrick Deville pour son roman Peste & Choléra (Editions du Seuil), lundi 5 novembre. L'auteur est un des grands favoris de la saison des prix littéraires, puisqu'il figure également dans la liste du prix Goncourt et du Renaudot, qui seront remis mercredi.
Peu avant le couronnement officiel à 13 heures, cette nomination a été annoncée à l'AFP par l'éditeur, qui avait également tweeté la nouvelle, avant de se raviser et d'effacer son message sur le réseau social.
>> Si vous vous sentez l'âme d'un juré littéraire, rendez-vous ici pour attribuer vos prix aux livres de la rentrée avec notre jeu interactif.
Grand voyageur, Patrick Deville, qui publie là son dixième roman, aime les aventuriers. Dans Peste & Choléra, il raconte la formidable épopée d'Alexandre Yersin, jeune chercheur de l’Institut Pasteur, marin puis explorateur, qui a découvert le bacille de la peste à Hong Kong, en 1894. Le récit de sa vie, réalisé à partir de milliers de lettres échangées par "la bande des Pasteuriens", conservées aux archives des Instituts Pasteur, a conquis la critique et reçu le prix Fnac 2012.
Le prix Femina étranger a quant à lui été remis à l'Américaine Julie Otsuka pour Certaines n'avaient jamais vu la mer (Editions Phébus). Ce roman traite de l’histoire de ces milliers de Japonaises émigrées aux Etats-Unis, au début du XXe siècle, pour épouser des Américains inconnus. Elles avaient correspondu avec un prince charmant, elles ont trouvé des paysans souvent rudes, et découvert le racisme. Salué comme un chef d’œuvre, ce deuxième roman de l’auteur a obtenu le prix PEN/Faulkner Award for fiction aux Etats-Unis.
Tous les articles de notre série sur les prix littéraires sont à retrouver ici.
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
Les meilleures troupes irlandaises, écossaises et bretonnes seront réunies en ce 17 Mars 2010 pour trois heures de spectacle avec plus de 100 artistes sur scène. Un spectacle Inter-celtique qui mêlera l'Écosse, l'Irlande et la Bretagne.
Un Voyage dans l'âme d'une tradition bien vivante. Le groupe irlandais Celtic Dances terminera la soirée dans une atmosphère typique Saint Patrick rappelant indéniablement les pubs irlandais.
Rendez vous donc au Zénith de Saint Étienne (rue Scheurer Kestner 42000 Saint Etienne) pour assister au spectacle avec le Bagad de Roanne et les Bugale Spontus, les Celtic Dances et The Scottish Pipe band.
http://www.bretons-de-lyon.org/a428_saint-patrick-2010-au-zenith-saint-etienne-42_2010-03-17.html
(Photo : T.Natha, P. Deville et J. Otsuka)
Le jury du Prix Femina a annoncé les trois lauréats 2012 ce lundi 5 novembre.
Le Prix du roman français a été décerné à un favori des prix de l'automne, Patrick Deville, pour Peste &choléra, publié par le Seuil en août 2012. L’ouvrage de 230 pages, déjà récompensé par le prix du roman Fnac, a recueilli 10 voix. Anne Serre a aussi obtenu 2 voix pour Petite table, soit mise ! (Verdier).
Tiré à 70 000 exemplaires, Peste & choléra bénéficie d’un retirage de 80 000 exemplaires. Toujours classé dans les meilleures ventes Ipsos/Livres Hebdo, le roman s'est écoulé à plus de 40 000 exemplaires depuis sa sortie.
L’ouvrage retrace le parcours d'un chercheur, disciple de Pasteur, qui fut associé à la découverte du bacille de la peste à Hong Kong en 1894.
Le prix du Roman étranger est allé à Julie Otsuka, 50 ans, pour Certaines n'avaient jamais vu la mer, publié par Phébus en août 2012. Déjà lauréat du prix PEN/Faulkner Award for fiction il a recueilli 9 voix. L'Américaine d'origine japonaise a mis huit ans pour écrire ce roman de 140 pages qui raconte le destin de milliers de Japonaises ayant quitté leur pays au début du XXe siècle pour les Etats-Unis, afin d’épouser des Américains auxquelles elles ont été promises. Elles vont endurer de grandes déceptions face à la réalité de leur vie : maris violents, xénophobie, travail harassant, barrière de la langue...
Le retirage de cet ouvrage s’élève à 25 000 exemplaires (premier tirage de 10 000 exemplaires), pour 33 000 exemplaires vendus selon l'éditeur.
Il s’agit du deuxième roman de l’auteure, née en 1962. Son premier roman, Quand l’empereur était un dieu, publié en 2004 chez Phébus (puis chez 10/18), traitait des camps de concentration aménagés aux Etats-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale, où des Américains d'origine japonaise se retrouvèrent, après l'attaque de Pearl Harbour.
Ont aussi recueilli des suffrages : 2 voix pour Sebastian Barry pour Du côté de Canaan (J. Losfeld) et 1 voix pour Michiel Heyns pour La dactylographe de Mr James (P. Rey).
Le Prix de la catégorie Essais a couronné Tobie Nathan, pour Ethno-roman (Grasset), paru en septembre dernier ; l’ouvrage a reçu 7 voix. L’universitaire, ethnologue et diplomate évoque son parcours, particulièrement auprès de Georges Devereux et du Centre de consultations ethnopsychiatriques de l’hôpital Avicenne de Bobigny. L'auteur était l'invité de La grande librairie de François Busnel jeudi dernier. Son essai a été tiré à 15 000 exemplaires, et devrait être réimprimé à 9 000 exemplaires. 2 voix se sont portées sur Jean-Michel Delacomptée pour Passions. La princesse de Clèves (Arléa) et 3 sur Jacques Julliard pour Les gauches françaises (Flammarion).
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
En une semaine, Valérie Trierweiler a vendu plus de livres que n'en vendront au mois de novembre les lauréats des prix Goncourt, Renaudot, Interallié et Femina réunis. Lire |
"Sans-dents" : Trierweiler dit détenir des "preuves" L'ex-première dame pourrait bien avoir les moyens de discréditer le démenti du chef de l'État. Lire |
La politique française, c'est "Loft Story" ! Confessions impudiques, ego démesurés... Désormais, l'intime prend le pas sur les enjeux d'État. Lire |
Publié le 25/07/2014 à 17H00, mis à jour le 25/07/2014 à 17H22
Il y a 27 ans, Saint-Malo-du-Bois, en Vendée, organisait une fête de village. Aujourd'hui c'est le festival de Poupet, du nom de la vallée dans laquelle il se trouve, et sa programmation, qui s'étale durant tout le mois de juillet, a de quoi faire pâlir plus d'un programmateur.
Le grand final a lieu ce vendredi soir, ça s'appelle "Poupet redéraille", avec sur scène une seconde fois Patrick Sébatien, la Compagnie Créole, et Francky Vincent.
jeudi 9 octobre 2014 - 13:04 | |||
Prix Nobel de littérature au Français Patrick Modiano | |||
Le prix Nobel de littérature 2014 a été attribué à l'auteur français Patrick Modiano. | |||
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