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  • Nous avons visité le 1 er AOUT 2019:St-Quentin 2050

    Sur quelles orientations reposera la Ville dans 30 ans ?

    À la suite de la démarche de prospective citoyenne « Saint-Quentin 2050, l’avenir est entre nos mains », venez partager la vision des habitants et des acteurs socio-économiques sur le Saint-Quentin de demain ! Venez découvrir les différentes orientations sur lesquelles reposera la Ville dans 30 ans !

    https://www.saint-quentin.fr/actualite/1859/283-actualites.htm

    voyage-ete-2019/

    montargis-loiret-centre-val-de-loire/

    paris/

  • Château du Jarez à St Chamond le 12 août 2018

    P1290733.JPG

    • Conçue par l’architecte Léon Lamaizière (1855-1941), cette maison est liée à la Compagnie des Hauts Fourneaux Forges et Aciéries de la Marine et des Chemins de fer et du directeur, Adrien de Montgolfier.
      Ce château est situé dans un parc d’accès public. 
      Le bâtiment accueille aujourd’hui des salles de réception, l’association Rhino Jazz(s) Festival, l’association Saint-Chamond Handball et le relais Malakoff Loire.

      PLUS D'INFOS...

       INFOS PRATIQUES

      Adresse : 11 rue Benoît Oriol 42400 Saint-Chamond

      http://www.monweekendasaint-etienne.com/saint-etienne-metropole/la-vallee-du-gier/saint-chamond/le-chateau-du-jarez

  • J'ai vu ce matin au MAM de St Etienne: LÉA BELOOUSSOVITCH

    Feelings on felt

     DATESDU 16 DÉCEMBRE 2020 AU 15 AOÛT 2021

     LIEUMAMC+

    LE DESSIN AUX CONFINS DE L'ABSTRACTION

    Découvrez l'approche singulière du dessin de Léa Belooussovitch à travers une quarantaine d'œuvres réalisées à main levée et au crayon de couleur sur du feutre textile blanc. L'artiste réinterprète selon un long processus, des photographies de nature violente issues des médias. Cette démarche confère un nouveau souffle à ces photographies, en faisant ressortir la part d’humanité qu’il y reste.

     

    Les dessins de Léa Belooussovitch répondent à un même protocole. Elle commence par sélectionner dans la presse ou sur Internet des images qui nous assaillent quotidiennement, liées à des faits d’actualités dramatiques : attentats au Pakistan, scènes de guerre en Syrie... L'artiste se concentre sur la représentation de victimes anonymes blessées ou vulnérables. Léa Belooussovitch soumet ces images-sources à diverses manipulations (recadrage, agrandissement) avant d’entamer leur transfert sur le support du feutre. Ce travail lent et répétitif d’accumulation des traits du crayon de couleur altère l’aspect lisse de la matière et lui confère un volume duveteux.

    Les formes qui émergent sont des halos colorés brouillant la reconnaissance de la scène. Dans ce passage du pixel au pigment, la netteté de l’image initiale se mue ainsi en un dessin flou qui semble contenir et atténuer sous sa surface la douleur de la représentation. Le titre de chaque œuvre ancre néanmoins le dessin dans le réel en situant la ville, le pays et la date de l’événement tragique. La bande blanche de feutre laissée vierge en haut du dessin suggère, quant à elle, le recadrage effectué à partir de la photographie d’origine.

    Par ce brouillage des repères et cette mise à distance de la violence, Léa Belooussovitch nous interpelle autant sur notre rapport à l’information que sur le voyeurisme, tout en activant notre imaginaire. Le caractère esthétique et sensible, voire sensuel, de ses dessins dissimule sous un voile pudique de douceur la présence/absence de l’humain confronté aux atrocités et aux soubresauts du monde contemporain. Cette démarche vise à démontrer combien, selon les mots de l’artiste, "la violence de l’information a pris le dessus sur l’humanité que l’événement contient".

    Léa Belooussovitch est invitée dans le cadre de la 10e édition du Prix des Partenaires. Le Musée décerne ce Prix chaque année à un artiste émergent, grâce au soutien de ses mécènes.


    Prolongez votre visite de l'exposition à la bibliothèque Jean Laude du Musée. Découvrez une sélection de livres d’artistes sur les thématiques des violences, des conflits, des guerres, dans le cadre des expositions de Léa Belooussovitch, Feelings on felt et d'Éric Manigaud, La mélancolie des vaincus. Que ce soit au travers de reproductions de photographies ou encore de coupures presse, appréhendez des épisodes marquants de l'histoire ayant inspiré ces deux artistes dans leurs œuvres.

    La bibliothèque, située au premier étage du musée, vous accueille de 14 h à 18 h le lundi, mercredi, jeudi et vendredi et sur rendez-vous en juillet et août.

    L'ARTISTE

    Léa Belooussovitch est née en 1989 à Paris, elle vit et travaille à Bruxelles. Elle est diplômée en dessin de l'ENSAV La Cambre, Bruxelles en 2014. Son travail est présent dans des collections privées et publiques. Elle est représentée par la galerie Paris-Beijing à Paris.

    En savoir plus : http://www.leabelooussovitch.com/

    COMMISSARIAT

    Alexandre Quoi
    Responsable du département scientifique du MAMC+

    LIVRE D'ARTISTE

    Léa Belooussovitch. Feelings on felt
    Livre d'artiste. Entretien de Léa Belooussovitch avec Alexandre Quoi. Édition bilingue français – anglais. Coédition avec The Drawer. 100 pages. Prix : 23 euros.ISBN 9782955992784

    ENV. 40 DESSINS

    UN PROCESSUS LENT ET RÉPÉTITIF

    PARTENAIRES

    https://mamc.saint-etienne.fr/fr/expositions/lea-belooussovitch

  • J'ai vu ce matin au MAM de St Etienne: ÉRIC MANIGAUD

    ÉRIC MANIGAUD

    La mélancolie des vaincus

     DATESDU 16 DÉCEMBRE 2020 AU 15 AOÛT 2021

     LIEUMAMC+

    DES DESSINS SAISISSANTS À PARTIR DE PHOTOS D'ARCHIVES

    Éric Manigaud prend pour sujet des épisodes de l'Histoire du XXe siècle, dont certains méconnus. L'exposition rassemble ainsi une soixantaine de dessins réalisés à partir de photographies d’archives, empreintes d’une mémoire collective sensible.

    Le visiteur est immergé dès la première salle dans la matière première qui nourrit l'art d'Éric Manigaud. Des archives originales côtoient planches médicales, plaques photographiques et magazines. Des dessins de matières, eau, terre, racines en gros plan, transportent d'emblée le visiteur au cœur de l’organique. Il se perd dans les gris ouatés, la brillance du graphite, la texture du papier, le tout se confondant avec la matière représentée.

    L’histoire du siècle dernier, faite d’anonymes, surgit dans la salle suivante : un couple assassiné, des femmes japonaises aux dos brûlés, des corps à terre, des espaces laissés vides après le drame... L'artiste reproduit des documents photographiques dans un format agrandi. Il porte alors à l’échelle humaine des scènes difficiles à regarder, presque insoutenables. Une confrontation physique s'instaure avec ces images souvent censurées ou confidentielles en leur temps, peut-être en vue d’une acceptation.

    Pour Éric Manigaud, le passage du document au dessin se fait armé d’une gamme de crayons gras et de poudre graphite. Il effectue des micro-hachures centimètre carré par centimètre carré grâce à la projection de l’image agrandie sur le papier. Cette pratique "neutralise" l’image et met à distance les traumas du passé.

    La série Madge Donohoe, du nom d’une médium australienne des années 1930, ponctue l'exposition. La médium entrait en contact avec l'au-delà en pressant son visage contre une plaque photographique. Les dessins d’Éric Manigaud dégagent tout à coup une force libératrice, puisée dans le registre de l’inconnu.

    Les figures aperçues dans les salles précédentes, gueules cassées, regards prisonniers de la folie ou visages terrifiés par l’arrestation policière, passent alors du statut de fantômes à celui de vaincus, laissant un amer sentiment mélancolique.


    Prolongez votre visite de l'exposition à la bibliothèque Jean Laude du Musée. Découvrez une sélection de livres d’artistes sur les thématiques des violences, des conflits, des guerres, dans le cadre des expositions d'Éric Manigaud, La mélancolie des vaincus et de Léa Belooussovitch, Feelings on felt. Que ce soit au travers de reproductions de photographies ou encore de coupures presse, appréhendez des épisodes marquants de l'histoire ayant inspiré ces deux artistes dans leurs œuvres.

    La bibliothèque, située au premier étage du musée, vous accueille de 14 h à 18 h le lundi, mercredi, jeudi et vendredi, et sur rendez-vous en juillet et août.

    L'ARTISTE

    Éric Manigaud est né en 1971, il vit et travaille à Saint-Étienne. Agrégé d’arts plastiques, il expose régulièrement son travail en France et à l’étranger. Ses œuvres font partie de collections publiques et privées. Il est représenté par la galerie Sator à Paris, la Galerie C à Neuchâtel et la Fifty One Gallery à Anvers.

    En savoir plus : https://galeriesator.com/eric-manigaud-oeuvres

    COMMISSARIAT

    Aurélie Voltz
    Directrice du MAMC+

    CATALOGUE

    Éric Manigaud, La mélancolie des vaincus
    Textes d'Aurélie Voltz, Jean-Christophe Bailly et Philippe Dagen. Bilingue français – anglais. Coédité avec Snoeck Publishers, les galeries C, Fifty-One et Sator. 100 pages. ISBN 9789461616289. Prix : 25 euros.
     

    ENV. 60 DESSINS

    CONFRONTATION PHYSIQUE À L'IMAGE

    PARTENAIRES

    https://mamc.saint-etienne.fr/fr/expositions/eric-manigaud

  • J'ai vu ce matin au MAM de St Etienne: HASSAN SHARIF

    HASSAN SHARIF

    I am the single work artist

     DATESDU 5 MARS AU 26 SEPTEMBRE 2021

     LIEUMAMC+

    UNE PREMIÈRE RÉTROSPECTIVE RICHE ET FOISONNANTE !

    L'artiste émirati Hassan Sharif (1951-2016) est considéré comme l’un des artistes les plus influents du monde arabe aujourd’hui ; il a créé une œuvre d'une variété étonnante. Venez découvrir au MAMC+ l'exposition I am the single work artist (Je suis l’artiste d’une œuvre unique) : dessins, performances et expérimentations marqués par l’art conceptuel répondent aux accumulations, découpages, tressages d’objets glanés dans les marchés, parfois déployés en des installations monumentales.

    Artiste, enseignant, critique, Hassan Sharif concourt à changer le paysage artistique de son pays pour l’affranchir de la calligraphie traditionnelle. Durant quatre décennies, il développe un important corpus d’œuvres : dessins, peintures, performances, sculptures et installations. Contrepied à cette foisonnante production, le titre de l’exposition (I am the single work artist - Je suis l’artiste d’une œuvre unique) suggère que cet ensemble doit être compris comme un seul geste conçu dans la durée et la répétition.

    La pratique d’Hassan Sharif évolue dans un contexte économique et social bouleversé par la découverte du pétrole, sa commercialisation en 1958 puis la création des Émirats arabes unis en 1971. Son œuvre est marquée par la transformation accélérée de Dubaï, alors modeste territoire en une mégalopole de luxe. Il critique une modernisation à marche forcée au fil de ses caricatures publiées jusqu’en 1979, date à laquelle il se concentre sur sa pratique artistique. Sa formation londonienne ouvre son regard sur l’art constructiviste britannique, l’art minimal et Fluxus, dont il combine habilement les influences. Ses performances dans le désert de Hatta, au début des années 1980, figurent parmi les premiers gestes conceptuels dans le Golfe : sauter, jeter une pierre, enregistrer un rocher, disparaître derrière une dune... Des photographies, des collages ou des écrits documentent ses actions, dans sa cour intérieure, dans un taxi ou dans les souks.

    Organisant des expositions éphémères et subversives avec le collectif de l’Atelier Al Mureijah, il porte peu à peu un intérêt aux matériaux et objets de pacotille, qu’il trouve en quantité croissante sur les marchés. Procédant par accumulations, découpages, tressages, assemblages, il développe un pan majeur de son travail qu’il qualifie d’"archéologie urbaine". À partir des années 2000, alors que ses installations deviennent monumentales, il reprend sa pratique picturale, qu’il agrémente des mêmes objets de la vie quotidienne. Le style grotesque et la touche expressionniste illustrent autrement, avec réalisme, une société de consommation aux codes grossiers.

    Parallèlement à ces installations, Hassan Sharif développe un travail plus ascétique et graphique tout aussi répétitif : les "semi-systèmes". À partir de calculs mathématiques, il se fixe des règles pour créer des dessins géométriques, en d’infinies colonnes de lignes et de droites segmentées. Il laisse la fatigue et l’ennui le gagner pour y introduire des erreurs, laissées visibles. À l’image de son œuvre, les semi-systèmes exposent une confrontation à l’autorité et les moyens d’y échapper.

    Le travail d’Hassan Sharif trouve un écho dans de nombreux positionnements artistiques occidentaux des années 1970 aux années 1990. Dans le prolongement de l’exposition, deux salles sont consacrées aux collections du MAMC+, s’arrêtant en particulier sur l’art minimal, Fluxus, la performance ou Supports/Surfaces.

    Cette exposition itinérante a été conçue par la Sharjah Art Foundation, Sharjah, E.A.U., et organisée par Hoor Al Qasimi. L'itinérance européenne de l'exposition a été organisée par la Sharjah Art Foundation en collaboration avec le KW Berlin, le Malmö Konsthall et le Musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole.

    L'ARTISTE

    Hassan Sharif est né en Iran en 1951 et décède à Dubaï en 2016. Dans les années 1970, il est caricaturiste pour le journal Akhbar Dubaï. Au début des années 1980, il part étudier à Londres, à la Byam Shaw School of Art. Diplômé en 1984, il s’installe dans les Émirats et réalise ses premières expositions, fonde plusieurs associations d’artistes, tout en poursuivant sa pratique et une activité de critique d’art. Son travail a été présenté à l’occasion d’expositions collectives à la Whitechapel Gallery à Londres et au New Museum à New York... Il fut exposé à deux reprises dans le pavillon des Émirats arabes unis de la Biennale de Venise en 2009 et 2015. Ses œuvres font partie des plus grandes collections publiques telles que le Guggenheim New York, le Guggenheim Abu Dhabi, le Centre Pompidou, la Tate Modern ou le Mathaf : Arab Museum of Modern Art à Doha. Il est représenté par la galerie gb agency à Paris.

    COMMISSARIAT

    Hoor Al Qasimi
    Directrice de la Sharjah Art Foundation

    Aurélie Voltz
    Directrice du MAMC+

    CATALOGUE

    Hassan Sharif. I am the single work artist
    Coéditée par la Sharjah Foundation et Koenig Books, cette monographie offre une vision intime de l’œuvre plurielle de l’artiste, enrichie de nouvelles traductions de ses écrits. Bilingue anglais – arabe. 320 pages. Prix : 22 euros.

    PLUS DE 150 ŒUVRES

    PARTENAIRES

    https://mamc.saint-etienne.fr/fr/expositions/hassan-sharif

  • Hier, pour la Nuit des musées, nous avons visité au MAM de St Etienne

     
     
    Valérie Jouve, Sans titre (Les Arbres)
    Valérie Jouve, Sans titre (Les Arbres), 2004-2018. C-Print. Courtesy galerie Xippas. © Valérie Jouve / ADAGP, Paris 2018.
      
    Valérie Jouve
    Formes de vies
    Du 19 mai 2018 au 16 septembre 2018
    Découvrez la première exposition à Saint-Étienne de Valérie Jouve, artiste originaire de la région stéphanoise ! Née à Firminy en 1964, le Musée accueille la photographe, vidéaste et réalisatrice dans le cadre son 30e anniversaire.

    Valérie Jouve présente pour cette exposition un film et des photographies figurant des lieux (maison, façade, rue, ville, paysage), et des êtres (arbre, individu).
    Laurent Gueneau, Guangzhou, Question de NatureVues urbainesCollection de photographies du Musée
    Du 19 mai 2018 au 16 septembre 2018
    Explorez la riche collection de photographies du Musée à travers un accrochage inédit en connivence avec l'exposition "Formes de vies" de Valérie Jouve. ''Vues urbaines'' présente des oeuvres peu montrées, offrant une perspective sur la Ville et ses habitants, à travers les époques et les lieux, de Londres à Chicago, en passant par Saint-Étienne et sa région.

    Laurent Gueneau, "Guangzhou, Question de Nature", 2015. 110 x 138 cm. © L. Gueneau.

    http://www.mam-st-etienne.fr/index.php?rubrique=6

    Précédente sur cette nuit des musées

    Précédentes notes sur ce musée

    WP_20180519_063.jpgWP_20180519_064.jpg

  • Commes les halles de St Etienne, les halles de Toulon sont devenues Biltoki

    Halles municipales de Toulon

    Mariage réussi de l’Ancien et du Moderne

    Grâce à l’escalier spécialement créé, il sera en effet possible d’accéder aux 250 m2 aménagés en bar-restaurant au-dessus de l’espace de vente. L’occasion de se rendre compte, de visu, que c’est l’ensemble du secteur qui a bénéficié d’une cure de jouvence. « Les Halles elles-mêmes ont certes fait l’objet d’un renforcement structurel et d’une remise aux normes actuelles, mais dans le plus grand respect de leur architecture Art déco. De même, la place Raspail a été réhabilitée en parfaite harmonie avec son environnement, les arbres ont été préservés, des agrumes ont été plantés et l’ensemble des immeubles refaits s’intègrent dans la même esthétique » indique Jean-Baptiste Arène, directeur de Var Aménagement Développement. « C’était déjà le cas avec la première réalisation du secteur : le bâtiment du Crédit Municipal, juste derrière, et c’est la même chose avec celui du CAUE, précise encore Hubert Falco. C’est très réussi ! »

    Un quartier redynamisé

    C’est en effet tout un secteur qui a été repensé et au cœur duquel vont cohabiter logements, commerces et secteur tertiaire. Dans un environnement urbain requalifié. « Ici, c’est un peu, à l’est de la ville, le pendant de ce qui a été créé à l’ouest, autour de la place de l’Équerre, ajoute M. Arène. Le commerce, ça se reconquiert. Et le maillage entre les Halles, la rue d’Astour et le Cours Lafayette, avec une offre élargie, sera un important facteur de redynamisation. » Notons, comme l’a également précisé le maire, que cette réalisation (comme d’autres, ailleurs à Toulon), a été rendue possible grâce à un partenariat public/privé, signe de la confiance revenue dans le dynamisme de la Ville.

    Plus que quelques jours de patience pour découvrir les gourmandises de ces nouvelles… Halles gourmandes !

    25 stands gourmands et un rooftop

    Début septembre 2021, ce sont 24 stands d'artisans et producteurs locaux qui animeront ces Halles gourmandes, ainsi que le café Biltoki à l'entrée, pour offrir aux toulonnais et aux visiteurs un espace convivial. À l'étage et en plein air, un rooftop de 180 m2 permettra de savourer un apéritif ou une salade avec une vue unique sur les toits du centre-ville. Près de la moitié de ces espaces ont déjà été commercialisés, attribués à des commerçants soigneusement sélectionnés parmi plus d'une centaine de candidatures. Les professionnels intéressés peuvent d'ailleurs toujours présenter leur projet.
    Créée en 2009, l'entreprise Biltoki - "l'endroit qui rassemble" en basque - affiche une solide expérience dans l'animation de halles commerçantes

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2021/08/06/les-halles-mazerat-biltoki-a-saint-etienne-ouvriront-le-3-se-6330909.html

    https://biltoki.com/

    voyage à Toulon:

    les  autres épisodes:

    http://www.lauravanel-coytte.com/voyage-a-toulon-du-28-juillet-au-1-er-aout-2022

  • Comme la Comédie théâtre de St Etienne, le théâtre de Toulon est scène nationale

    Inauguré en septembre 2011, le Théâtre Liberté, dirigé par Charles Berling et Pascale Boeglin-Rodier, labellisé ''scène nationale'', complète l'offre culturelle du centre-ville (cinémas, Musée d’Art, bibliothèque centrale, Hôtel des Arts, Opéra…).

    Un nouvel outil culturel en coeur de ville.

    Le Liberté, scène nationale de Toulon, a ouvert ses portes au public en septembre 2011, au coeœur du carré haussmannien de la Haute-Ville, en présence du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, du Maire de Toulon, et de nombreuses personnalités du monde du spectacle dont Emmanuelle Béart, Fanny Ardant, Nathalie Baye, Tonie Marshall, etc.

    Ce vaste chantier, difficile en raison de la présence d’eau dans le sous-sol et d’amiante dans les combles de l’ancien cinéma, aura duré 4 ans (juillet 2007 - été 2011) pour un coût total de 12,7 millions d'euros.

    Labellisé scène nationale et dirigé par Charles et Philippe Berling, deux enfants du pays, ce nouvel équipement poursuit l'objectif de devenir un pôle artistique et culturel majeur de création en Méditerranée.

    • Lieu de rencontres et d'échanges, le Le Liberté, scène nationale de Toulon invite les publics à des actions participatives et pédagogiques,
    • En phase avec son temps, il met aussi l'accent sur le développement des cultures numériques. Ainsi, une programmation audiovisuelle (projections, expositions et conférences) fait écho à sa programmation tournée vers le spectacle vivant,
    • Agencés autour du hall traversant de la Place de la Liberté à la rue Gimelli, la salle Albert Camus (703 places)le Petit Théâtre entièrement modulable (130 places) et la salle de projection (146 places) permettent d'’accueillir les spectateurs dans des espaces conviviaux et accessibles.

    https://toulon.fr/envie-bouger/proxy/theatre-liberte

    Dominée par la façade cossue du théâtre de Toulon, cette vaste place étale ses terrasses dès que le soleil pointe. Quelques palmiers, la statue de Jules Muraire - plus connu sous le nom de Raimu ! on flâne et on s'attarde ici avec plaisir ?

    https://www.lebonguide.com/loisirculturel/place-victor-hugo_58216

    voyage à Toulon:

    les  autres épisodes:

    http://www.lauravanel-coytte.com/voyage-a-toulon-du-28-juillet-au-1-er-aout-2022

  • Feu d'artifice du 14 juillet 2022 à St Etienne

    Le spectacle était en l'air:IMG_4644.JPG

    IMG_4606.JPGIMG_4609.JPGIMG_4612.JPGIMG_4616.JPG

     

    mais aussi sur le Zenith:

    En repartant vers 23h

    j'ai pu voir la fan zone du tour installée pour le lendemain et le Zenith en vert:

    super organisation de la ville avec tram gratuit jusqu'à 3hIMG_4653.JPG

     

    IMG_4600.JPGIMG_4602.JPGIMG_4605.JPG

  • L'arrivée du tour à St-Etienne vendredi

    je m'arrête à l'arrêt Roger-Rocher

    et je rebrousse vers l'arrivée:

    IMG_4658.JPGIMG_4660.JPGJe m'installe  entre l'arrivée et le podium, comme il y a trois ans avec mon mari

    mais je suis prise par l'ambiance que j'aime tant

    les photographes

    le barnum du tour si bien organisé

    les motos

    les voitures

    l'hélicoptère

    le bruit des gens qui tapent sur les barrières qui annoncent les coureursIMG_4672.JPG

    IMG_4666.JPGIMG_4667.JPG

    IMG_4663.JPG

    IMG_4661.JPG

    la voiture-balaiIMG_4693.JPG

    le directeur du tour

    et le démontage 

    dont la organisation m'intéresse

    et moi, je remonte

    vers le tram

    dans le sens contraire 

    et j'aperçois Bernard Thevenet qui était en dédicace à la librairie

    https://www.placedeslibraires.fr/agenda-121680/dedicace-avec-bernard-thevenet/

    en 2019:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2019/07/14/saint-etienne-etape-du-tour-de-france-arrivee-hier-et-depart-6164018.html

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    IMG_4676.JPGIMG_4686.JPGIMG_4688.JPG

  • L'immense Patrick McGoohan, inoubliable ”Prisonnier”, vient de s'éteindre...

    prisonnier.JPGHier, 19h53

     Purepeople.com


    Le légendaire Patrick McGoohan, créateur de la série culte "Le Prisonnier", dans laquelle il incarnait le formidable Numéro 6, vient de s'éteindre à l'âge de 80 ans.

    Son beau fils, Cleve Landsberg, a en effet annoncé la mort de l'acteur et producteur, qui s'est éteint hier à Los Angeles des suites d'une longue maladie.

    La réplique culte de la série qu'il avait créée en 1967 résonne encore dans toutes les mémoires : "I'm not a number !"

    Indissociable du Prisonnier, Patrick McGoohan avait également une carrière importante au cinéma, puisqu'on avait pu le voir dans les films L'évadé d'Alcatraz de Don Siegel, Scanners de David Cronenberg, Braveheart de Mel Gibson, ou encore Le droit de tuer ? de Joel Schumacher.

    Nous avons une tendre pensée pour ses proches.

    R.I.P.

    Adam Ikx

    http://fr.news.yahoo.com/51/20090114/ten-urgent-l-immense-patrick-mcgoohan-in-0111c6b.html

  • Patrick Jouin et Sanjit Manku : Dans l’esprit du Plaza Athénée 1/3

    Patrick Jouin et Sanjit Manku : Dans l’esprit du Plaza Athénée 1/3

    Un espace incroyable pour le bar du

    Plaza Athénée

    Comment avez-vous travaillé avec le Plaza Athénée, qu’est ce qui caractérise votre travail au Bar, comment incarnez-vous « l’esprit Plaza » dans vos réalisations ?

    Notre travail au Plaza Athénée est toujours un travail très particulier. Nous ne travaillons pas dans tout l’hôtel mais uniquement dans certaines zones (Le bar et le restaurant ADPA). Notre travail devient une partie de l’esprit du Plaza.

    Le bar est un espace incroyable avec de belles proportions. Il est très chaleureux avec tout le bois présent dans l’espace. Mais c’est une belle salle d’une autre époque, il manque un peu de notre âge, de notre époque, et de notre esprit.

    Nous nous interrogeons à chaque rénovation sur ce que nous pouvons rajouter dans cet espace avec respect dans le but de changer l’énergie de la salle. C’est toujours des petites choses et c’est dans les détails que nous transformons l’atmosphère d’une salle. Il faut trouver quelque chose de très moderne à ajouter dans cette salle ancienne sans apporter un contraste qui mettrait mal à l’aise le client ; Nous cherchons, bien au contraire, un lien avec l’histoire et la passerelle avec le futur. C’est une belle prise de risque pour le Plaza pour apporter un contraste au bar et une preuve d’audace !

    Nous avons voulu faire aussi fort qu’en 2000 lors de la précédente rénovation et proposer un plus grand écart entre la dernière rénovation et la nouvelle. Lors de notre première visite ensemble, nous regardons la pièce la première demi-heure, nous ne disons rien, puis nous partageons tout ce qui nous inspire. Nous cherchons à provoquer la surprise et la magie. Nous délimitons les étapes du regard du client. Il va d’abord, rechercher le bar avec un brin de magie, puis la salle au travers le mobilier, le plafond, le sol et le reste. A partir de là, notre travail commence.

    Nous avons voulu apporter de la couleur en haut sur le plafond et une couleur plus sobre, presque monotone et même foncée au sol. L’idée était de voir davantage le visage des gens dans l’ensemble du Bar. Le mobilier est seulement présent pour apporter du confort et des espaces « privatisés » autour de paravents et de fauteuils grands et généreux. Ils rappellent le mobilier de certaines voitures avec des accoudoirs. Nous avons voulu créer des petites cellules dans ce bar et un espace avec des tables hautes pour correspondre aux attentes « plurielles » de la clientèle. Le drapé bleu au plafond est une source d’inspiration. Nous avons voulu chercher une œuvre en suspension et ajouter de la légèreté dans la proportion de la salle.

    Plaza Athenee Bar

    Bar du Plaza Athénée

    Bar du Plaza Athénée

    ancien bar du Plaza Athénée avant rénovation

    http://www.laurentdelporte.com/patrick-jouin-sanjit-manku-lesprit-du-plaza-athenee-13/