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Aujourd’hui, j’ai envie de changer les règles du jeu.
@ Artem Kovalev
Au hasard dans ma bibliothèque, j’ai pioché un livre. Je vous mets ici les premières lignes et c’est à vous de poursuivre l’histoire dans les commentaires. Un petit paragraphe, quelques lignes, guère plus, et vous pouvez jouer plusieurs fois. A cette contrainte, ajoutons-en une autre, celle de parler de la photographie que j’ai postée.
Autant privilégier le partage. Cloud, si tu veux, tu peux aussi continuer tes textes, je l’espère, du moins.
Voici le début :
Il existe en Russie un professeur émérite du nom de Nicolaï Stépanovitch, conseiller secret et chevalier des ordres de l’Empire : il a tant de décorations, russes ou étrangères, que, lorsqu’il les met, les étudiants l’appellent l’iconostase.
(Iconostase : dans les églises orthodoxes, cloison décorée d’images, d’icônes, qui sépare la nef du sanctuaire.)
Les « règles » de cet atelier : écrire un court texte à partir de cette photo, le poster dans les commentaires, interagir avec les autres participants, parce que c’est toujours très sympa quand un lien se crée.
On reprend « les bonnes habitudes » ? Une photo, et des textes chaque lundi ?
Voici la 369e.
Le point « régularité » durant cette période ? Guère acquis (de mon côté) … La faute, sans doute, au temps qui s’est dilaté jusqu’à former une forme de gloubiboulga. Quel jour sommes-nous déjà ?
Je vous écris le début du texte et chacun, à tour de rôle, le poursuit dans les commentaires. Ainsi, vous écrirez la suite du commentaire précédent. Le but n’est pas d’écrire chacun un long texte, mais bien quelques lignes, un paragraphe tout au plus, puis de donner la main au prochain participant. Vous pouvez participer autant de fois que vous le souhaitez.
Pour garder l’esprit de cet atelier « une photo, quelques mots », j’ajoute une photo. A la fin de la journée, nous aurons écrit un seul et même texte, inspiré de la photo et qui commencera par ces mots :
Dans une petite ville française, une rivière se meurt de chaud au-dessus d’un boulevard, où, vers le soir, des hommes jouent aux boules, et le cochonnet valse aux coups habiles d’un conscrit portant à sa casquette le diplôme illustré, plié en triangle, que vendaient à la porte de la mairie des forains bruns et autoritaires.
Merci Aragon pour cette mise en bouche. A vous de continuer.
Je vous écris le début du texte et chacun, à tour de rôle, le poursuit dans les commentaires. Ainsi, vous écrirez la suite du commentaire précédent. Le but n’est pas d’écrire chacun un long texte, mais bien quelques lignes, un paragraphe tout au plus, puis de donner la main au prochain participant. Vous pouvez participer autant de fois que vous le souhaitez.
Pour garder l’esprit de cet atelier « une photo, quelques mots », j’ajoute une photo. A la fin de la journée, nous aurons écrit un seul et même texte, inspiré de la photo et qui commencera par ces mots :
A force d’aller en avant, il parvint au point où le brouillard de la fusillade devenait transparent. Si bien que les tirailleurs de la ligne rangés et à l’affût derrière leur levée de pavés, et les tirailleurs de la banlieue massés à l’angle de la rue, se montrèrent soudainement quelque chose qui remuait dans la fumée.
Merci Victor Hugo pour cet début d’histoire ! A vous de la poursuivre !
Je vous écris le début du texte et chacun, à tour de rôle, le poursuit dans les commentaires. Ainsi, vous écrirez la suite du commentaire précédent. Le but n’est pas d’écrire chacun un long texte, mais bien quelques lignes, un paragraphe tout au plus, puis de donner la main au prochain participant. Vous pouvez participer autant de fois que vous le souhaitez. (L’image n’est là que pour illustrer mon message.)
Voici le début du texte :
Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d’un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d’une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe.
Je vous ai un peu laissé en carafe ces trois derniers jours, mais voici une nouvelle photo !
@ Andrei Bocan
Tu vois, ma bonne amie, que je te tiens parole, et que les bonnets et les pompons ne prennent pas tout mon temps ; il m’en restera toujours pour toi.
Merci Laclos d’avoir ouvert le bal, à vous de le poursuivre.
Les règles de l’atelier :
Je vous écris le début du texte et chacun, à tour de rôle, le poursuit dans les commentaires. Ainsi, vous écrirez la suite du commentaire précédent. Le but n’est pas d’écrire chacun un long texte, mais bien quelques lignes, un paragraphe tout au plus, puis de donner la main au prochain participant. Vous pouvez participer autant de fois que vous le souhaitez.
Pour garder l’esprit de cet atelier « une photo, quelques mots », j’ajoute une photo. A la fin de la journée, nous aurons écrit un seul et même texte, inspiré de la photo et qui commencera par la citation postée ci-dessus.
Aujourd’hui, nous partons sur les mêmes règles qu’hier. Je vous écris le début du texte et chacun, à tour de rôle, le poursuit dans les commentaires. Ainsi, vous écrirez la suite du commentaire précédent. Le but n’est pas d’écrire chacun un long texte, mais bien quelques lignes, un paragraphe tout au plus, puis de donner la main au prochain participant. Vous pouvez participer autant de fois que vous le souhaitez.
Pour garder l’esprit de cet atelier « une photo, quelques mots », j’ajoute une photo. A la fin de la journée, nous aurons écrit un seul et même texte, inspiré de la photo et qui commencera par ces mots :
Je vois clairement son avenir. Toute sa vie durant il exécutera une centaine de préparations d’une exactitude extraordinaire, écrira un grand nombre d’analyses sèches, excellentes, fera une dizaine de traductions consciencieuses, mais n’inventera pas la poudre. Pour inventer la poudre il faut de l’imagination, de l’invention, de l’intuition …
Aujourd’hui, nous partons sur les mêmes règles qu’hier. Je vous écris le début du texte et chacun, à tour de rôle, le poursuit dans les commentaires. Ainsi, vous écrirez la suite du commentaire précédent. Le but n’est pas d’écrire chacun un long texte, mais bien quelques lignes, un paragraphe tout au plus, puis de donner la main au prochain participant. Vous pouvez participer autant de fois que vous le souhaitez.
Pour garder l’esprit de cet atelier « une photo, quelques mots », j’ajoute une photo. A la fin de la journée, nous aurons écrit un seul et même texte, inspiré de la photo et qui commencera par ces mots :
Je vois clairement son avenir. Toute sa vie durant il exécutera une centaine de préparations d’une exactitude extraordinaire, écrira un grand nombre d’analyses sèches, excellentes, fera une dizaine de traductions consciencieuses, mais n’inventera pas la poudre. Pour inventer la poudre il faut de l’imagination, de l’invention, de l’intuition …