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Parmi les grandes mutations dont le XIXe siècle fut témoin, le prodigieux essor des villégiatures et des loisirs de plein air est un phénomène qui concerne également l’histoire de l’art.
Pour la première fois, l'atelier du peintre quitte la ville, se transposant dans la nature même. Ce bouleversement est le sujet de ce hors-série édité à l'occasion de l'exposition du musée des Beaux-Arts de Caen et du festival Normandie impressionniste.
Île de la Jatte, Argenteuil, Chatou, Bougival... Entre les impressionnistes et la grande boucle de la Seine, s'est tissée une véritable histoire d'amour. Il y flotte encore un délicieux parfum d'antan et une douceur de vivre qui doivent beaucoup aux œuvres lumineuses de ces peintres.
Quand on s'promène au bord de l'eau "Quand on s'promène au bord de l'eau Comme tout est beau Quel renouveau " Le vacarme des autres Se tait et le silence Apaisant le remplace
Le paysage est partagé Entre l' ombre bienfaisante Et le soleil régénérateur, deux amis
Le roseau , à l'image de ma soif de vie Plie mais ne rompt pas Son exemple me réconforte
Tige après tige Les fleurs se tendent vers moi M'invitant à les cueillir
"Quand on s'promène au bord de l'eau Comme tout est beau Quel renouveau"
L'eau tremble sous le vent Qui tempère La chaleur de l'air
Pas d'harmonie dans mon coeur Mais le monde Lui semble en ordre
Le parme des pétales Se bat avec le bleu du ciel Et le jaune des rayons
Au bord de l'eau Je voudrais que le divin Existe pour y croire vraiment
Si la mer invite à la baignage J'accepte cette offre Et je nage
Même si le sentier Est semé d'embûches Cet instant est une pause
"Quand on s'promène au bord de l'eau Comme tout est beau Quel renouveau"
Je me souviens du bord de mer Avec ces filles au teint si clair Elles avaient l'âme hospitalière C'était pas fait pour me déplaire
Naives autant qu'elle étaient belles On pouvait lire dans leurs prunelles Qu'elles voulaient pratiquer le sport Pour garder une belle ligne de corps Et encore, et encore Z'auraient pu danser la java
Z'étaient chouettes les filles du bord de mer Z'étaient faites pour qui savait y faire
Y en avait une qui s'appellait Eve C'était vraiment la fille d'mes rêves Elle n'avait qu'un seul défaut Elle se baignait plus qu'il ne faut
Plutôt que d'aller chez le masseur Elle invitait le premier baigneur À tâter du côté de son cœur En douceur, en douceur En douceur et profondeur
Z'étaient chouettes les filles du bord de mer Z'étaient faites pour qui savait y faire Z'étaient chouettes les filles du bord de mer Z'étaient faites pour qui savait y faire
Lui pardonnant cette manie J'lui proposais de partager ma vie Mais dès que revint l'été Je commençais à m'inquièter
Car sur les bords d'la Mer du Nord Elle se remit à faire du sport Je tolérais ce violon d'Ingres Sinon elle devenait malingre
Puis un beau jour j'en ai eu marre C'était pis que la mer à boire Je l'ai refilée à un gigolo Et j'ai nagé vers d'autres eaux En douceur, en douceur
Z'étaient chouettes les filles du bord de mer Z'étaient faites pour qui savait y faire Z'étaient chouettes les filles du bord de mer Z'étaient faites pour qui savait y faire
Z'étaient chouettes les filles du bord de mer Z'étaient faites pour qui savait y faire
Sur le flanc oriental du massif du Pilat, s'étagent en immense amphithéâtre les communes qui forment le canton de Pélussin. Pélussin tire son nom du fruit du prunier, appelé vulgairement « pelosse », très abondant dans la région.(http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9lussin)
Photos perso de Roisey(canton de Pélussin)
A proximité donc: Pélussin qui nous a paru très joli, à revoir; en savoir plus:
Lieu de découverte et de convivialité, Les Turbulences - Frac Centre proposent aux visiteurs une expérience artistique nouvelle au cœur d’une architecture innovante. Elles développent un programme d’expositions et un programme culturel transdisciplinaire autour des relations entre art, architecture et design. Ce programme met en lien ses expositions avec d’autres disciplines artistiques (théâtre, musique, cinéma, etc.).
Premier centre d’arts consacré à la relation de la création artistique et de la nature, le Domaine de Chaumont-sur-Loire a invité, une fois encore, en 2014, plasticiens et photographes à un nouveau rendez-vous avec l’esprit des lieux.
L’actuelle place de l’Hôtel de Ville n’était qu’un champ jusqu’à la construction du Couvent des Capucins au début du XVIIe siècle. Revenant à la ville à la Révolution, l’édifice abrite les services municipaux de 1800 à 1874 ainsi que le Tribunal de 1800 à 1810 et la Sous-préfecture de 1800 à 1824.
Au 19e siècle, le Duc de Persigny, Ministre de l’Intérieur, convainc le maire de faire construire un nouvel Hôtel de Ville. Dix ans plus tard, un concours pour la construction du bâtiment est lancé. Le projet d’Edouard Corroyer, célèbre architecte parisien et ancien élève de Viollet le Duc est retenu.
Les travaux du nouvel Hôtel de Ville commencent le 25 mai 1865. Suspendus pendant la guerre de 1870, ils s’achèvent en 1874. Le 24 octobre de la même année, le drapeau tricolore flotte sur le campanile.
Des matériaux de différentes teintes ont été employés pour l’édification du nouveau bâtiment comme la pierre noire de Volvic, contrastant avec la pierre blanche de réminiscence byzantine.
La fontaine sculptée située devant l’Hôtel de Ville, est l’œuvre de l’artiste roannais Charles-Louis Picaud. Inaugurée le 5 août 1914 par le 98e Régiment d’Infanterie partant pour le front, elle rend hommage au maire François Populle, qui défendit la ville, aidé de milliers de paysans, face à l’invasion autrichienne de 1814.
Le musée des Sapeurs Pompiers de Firminy est le deuxième de France par son importance. Il existe, en effet, peu d’établissements du même type à aborder le thème des soldats du feu. Toute la richesse de ce musée tient dans son parc de véhicules comprenant plus de 150 pièces. Suite à de récents travaux, il sera désormais ouvert au public toute l’année.
Le Musée des Sapeurs pompiers de la LOIRE, crée en 1997 occupe les locaux actuels depuis 1996, sous l’impulsion de Mr Bernard OUTIN, puis de Mr Dino CINIERI, maires de la commune, des Présidents respectifs du Conseil d’Administration du Service Départemental Incendie et Secours de la LOIRE, le Musée à connu une progression très importante ces dernières années.
Reconnu par la F.N.S.P.F (1) le C.A.S.D.I.S de la LOIRE (2) l’U.D.S.P LOIRE (3) il présente sur plus de 1850 m² une exposition consacrée au petit matériel et aux engins qu’utilisaient les pompiers.e Musée fait partie de la Commission Histoire et musée de la fédération.
De la pompe à bras en passant par les pompes hippomobiles, la pompe à vapeur, l’échelle ROSALIE datant des années 1900, pour découvrir les premières motopompes et arriver aux engins dit modernes de 1921 jusqu’en 1970, le visiteur se trouve plongé dans le temps deux siècles en arrière.
Géré uniquement par une équipe de bénévoles, parmi lesquels plusieurs sapeurs pompiers, professionnels ou volontaires, qui assurent l’entretien la mise en place de la collection et la gestion des visites. Font également partie de cette équipe des non pompiers qui pour diverses raisons s’investissent dans cette tâche.
Des pièces rares sont exposées. Au hasard de la visite on pourra découvrir, une pompe a bras brouette, qui servait dans les châteaux, l’ancienne pompe à bras de PONTEMPEYRAT (43) entièrement remise en état par un membre du Musée après de nombreuses heures de travail.
Un premier secours de type LAFFLY, qui a fait les beaux jours du Corps Stéphanois, de 1945 jusqu’en 1980 ou il fut réformé, trône parmi la collection, ainsi qu’une autopompe grande puissance de marque BERLIET, qui est de surcroit le dernier exemplaire actuellement présenté. Cet engin acquis par la Ville de Saint Etienne en 1952 à été réformé en 1985. Il a notamment participé à de grosses opérations ( feu de FEYZIN, feu de La Manufacture d’Armes, feu de végétation du PLANTOU, ect ) et aujourd’hui coule des jours heureux dans les locaux du Musée.
Le clou de la présentation c’est certainement cette autopompe SOMUA, propriété d’un collectionneur privé qui l’a mise en présentation au Musée. Datant de 1921, elle fut acquise en 6 exemplaires par l’arsenal de BREST ou elle servie jusqu’en 1926. Revendue à la ville de CAEN elle finira sa carrière dans cette ville.
Ce descriptif n’est pas exhaustif, mais tout simplement destiné à aiguiser l’appétit des visiteurs et amateurs de ce genre de collection. Aussi nous vous invitons à venir vous rendre compte sur place de la richesse de notre Musée, par une petite visite.
Le Musée est ouvert les samedis, dimanches, jours fériés, ainsi que les mercredis pendant la période de vacances scolaires de 14 h à 18 h. Il est possible de visiter le Musée hors ces jours, en nous contactant (voir ci-dessous). Un tarif est consenti aux groupes (20 personnes).
Le musée bénéficié du label « Tourisme est handicap » la réception de personne à mobilité réduite est possible.
Nous vous attendons, dans l’univers des pompiers, ou le meilleur accueil vous sera réservé. Commandant (er) DESPREAUX André, président du Musée.
Le cheval occupe durant la seconde moitié du XIXe siècle une place prépondérante. Même si le chemin de fer le remplace progressivement pour les moyens et longs déplacements, l’animal est encore à cette époque là, le mode de traction le plus répandu pour les particuliers. Il peut être aussi une marque de richesse, l’équipage hippomobile étant depuis fort longtemps un indispensable signe d’aisance. Il est également nécessaire à l’organisation des chasses à courre et le noble seigneur affiche ses armes peintes sur sa voiture et montre la magnificence des livrées de ses valets de pied. A ce titre, les écuries de Chaumont-sur-Loire sont exemplaires et représentatives de ce que l’aristocratie fortunée fait construire, à la fin du XIXe siècle, pour abriter ses chevaux.
En 1877, le couple princier confie à l’architecte de renom, Paul-Ernest Sanson, la réalisation d’écuries qui se doivent d’être les plus somptueuses et les plus modernes d’Europe. Le maître d’œuvre opte pour un ensemble en brique et pierre (la brique est utilisée couramment à la fin du XIXe dans la construction des palais équins), mais réutilise cependant un élément sculptural ancien, visible sur les façades du château (frise sculptée où alternent le double « C » de Charles II de Chaumont et la montagne en flammes).
Les écuries de Chaumont s’organisent autour de deux cours d’inégales grandeurs et pouvant communiquer entre-elles; la plus vaste à l’usage des châtelains, l’autre réservée à leurs invités. La grande cour est à la mesure des nombreux chevaux et voitures hippomobiles qui y circulent ainsi que du personnel qui y œuvre. Les écuries fonctionnent de jour comme de nuit avec un nombre important de domestiques. Une vingtaine de personnes (garçon d’attelage, cocher, valet de pied, palefrenier, postillon, groom) s’afférent aux différentes tâches sous la direction du premier cocher, chef des écuries.
Les chambres mansardées (non accessibles aux visiteurs ) des domestiques affectés aux écuries se situent au premier étage des divers bâtiments.
Paul-Ernest Sanson envisage un développement plus considérable encore des bâtiments des écuries mais sans que ceux-ci puissent être réalisés. L’expérience, ici acquise, permet à cet architecte de concevoir, quelques années plus tard, les écuries modèles du marquis de Breteuil en 1892.
Perché à 40 mètres au-dessus de la Loire, entre les villes de Tours et de Blois, Le Domaine de Chaumont-sur-Loire est un trésor de poésie.
Propriété de la Région Centre-Val de Loire, il fut la propriété de Catherine de Médicis, de Diane de Poitiers et de la Princesse de Broglie. Ce hors-série fait découvrir l’architecture et les riches intérieurs de cette résidence royale et plonge le lecteur dans la création contemporaine avec son prestigieux festival des jardins créé en 1992 et ses installations d’artistes internationaux qui se sont inspirés de ce lieu emblématique.
Perché à 40 mètres au-dessus de la Loire, entre les villes de Tours et de Blois, Le Domaine de Chaumont-sur-Loire est un trésor de poésie.
Propriété de la Région Centre-Val de Loire, il fut la propriété de Catherine de Médicis, de Diane de Poitiers et de la Princesse de Broglie. Ce hors-série fait découvrir l’architecture et les riches intérieurs de cette résidence royale et plonge le lecteur dans la création contemporaine avec son prestigieux festival des jardins créé en 1992 et ses installations d’artistes internationaux qui se sont inspirés de ce lieu emblématique.
La région Centre-Val de Loire est renommée pour sa qualité de vie et son patrimoine culturel d’exception. La Loire classée au Patrimoine mondial, ses châteaux, ses jardins, les Parcs Naturels Régionaux du Perche, de la Brenne et de Loire-Anjou-Touraine sont des richesses que le Conseil régional s’emploie à protéger et promouvoir. En témoignent les succès magnifiques de La Loire à Vélo et du Domaine Régional de Chaumont-sur-Loire. Un nombre croissant de visiteurs découvrent chaque année nos sites et manifestations culturelles.
Notre région démontre un réel dynamisme économique, porté par ses pôles d’excellence, ses laboratoires de recherche, un solide réseau de PME et une agriculture diversifiée.
1re région céréalière d’Europe, elle est au niveau national 1re pour la production de médicaments, 2e pour les secteurs «santé-beauté», «caoutchoucs et plastiques» et 3e pour l’énergie éolienne. La Région Centre-Val de Loire accompagne fortement l’innovation et l’économie «verte» pour aller vers un nouveau modèle de développement et créer les emplois de demain.
Afin de relever les défis économiques, sociaux et environnementaux, elle s’attache à accompagner, former et qualifier ses jeunes. L’éducation est ainsi devenue la cause prioritaire. La moitié du budget régional est consacrée à nos lycéens, apprentis et étudiants. La Région accompagne également la formation tout au long de la vie pour sécuriser les parcours professionnels des salariés et permettre le retour vers l’emploi de ceux qui en sont éloignés.
L’équilibre et la solidarité entre les territoires et entre les générations passent par la présence de services aux habitants sur l’ensemble du territoire. La Région s’est saisie en particulier de la question de l’accès aux soins dans la proximité. Les transports, le logement, les technologies de la communication, la culture pour tous et partout sont des priorités. La Région apporte un soutien attentif aux projets innovants et porteurs de développement local dans le domaine économique, la création de nouveaux services, la valorisation de l’environnement naturel et culturel.
Présentation du territoire régional
En résumé
Quatrième région par sa superficie, le Centre-Val de Loire s'étend sur 39 151 km2. Avec 2,56 millions d'habitants au 1er janvier 2013, soit 4,1 % de la population métropolitaine, la région se situe au 10e rang national. Sa densité, de 65 habitants par km2, moitié moindre que celle de la métropole, en fait une région peu peuplée. La densité de population est plus forte sur l'axe ligérien où vivent la moitié des habitants.
Composée de six départements, la région ne compte que deux villes de plus de 100 000 habitants : parmi les plus grandes villes de France, Tours se classe 26e avec 135 000 habitants, devant la capitale régionale Orléans, au 32e rang (115 000 habitants). Les autres préfectures de département, Bourges, Blois, Châteauroux et Chartres, comptent une population comprise entre 39 000 et 66 000.
Les flux migratoires dominés par les échanges avec l’Île-de-France
De 1999 à 2012, la population régionale augmente de 5 %. Sous l'effet d'une reprise de la natalité et d'une baisse de la mortalité, l'accroissement naturel se consolide, sauf dans les départements du sud de la région (Cher et Indre) où le solde naturel est déficitaire. Les flux migratoires sont particulièrement élevés, autant les entrées dans la région que les sorties, et dominés par les échanges avec l'Île-de-France. Le solde migratoire reste favorable à la région. Il est positif à tous les âges excepté pour les jeunes de 18 à 24 ans, nombreux à quitter la région pour finir leurs études ou accéder à un premier emploi.
L'accroissement de population est plus important en zone périurbaine, alors que la démographie continue de ralentir dans les pôles urbains et marque le pas dans l'espace rural. En 2011, le produit intérieur brut (PIB) de la région Centre-Val de Loire s'élève à 65,4 milliards d'euros. Après un recul en 2009 dû à la crise, il a repris sa progression. La région se classe au 11e rang pour son PIB par habitant.
La partie nord de la région, contiguë à l'Île-de-France, bénéficie de l'influence économique de cette dernière, avec laquelle elle entretient de nombreux flux migratoires pendulaires. Son économie, traditionnellement spécialisée dans les activités agricoles et industrielles, avec un secteur tertiaire légèrement sous-représenté, notamment dans le sud régional, très marquée par une spécialisation agricole dégageant une plus faible part de la richesse régionale.
Une économie de tradition industrielle et agricole
Le Centre-Val de Loire est la première région céréalière de France et d'Europe, et l'économie régionale conserve un caractère fortement agricole.
Près des trois quarts de la valeur ajoutée dégagée proviennent du secteur tertiaire contre 80 % au niveau métropolitain.
De même, l'industrie génère encore une part importante du PIB (17 %), notamment la pharmacie, la chimie, la cosmétique, le caoutchouc-plastique, les équipements mécaniques, le matériel électrique, électronique et informatique. Elle permet à la région d'enregistrer des excédents commerciaux.
La région s'est dotée de pôles de compétitivité de renommée internationale, notamment le pôle Cosmetic Valley fédérant les entreprises de la parfumerie et des cosmétiques, le pôle des Sciences et Systèmes de l'Énergie Électrique (S2E2) orienté dans les nouvelles sources d'énergie, et Elastopôle spécialisé dans le caoutchouc industriel et les pneumatiques.
Entre 2008 et 2011, l'emploi total diminue de 1,4 %. L'économie régionale reste pénalisée par le chômage, dont le taux s'établit à 9,9 % contre 10,4 % pour la métropole au premier trimestre 2013 : en 2009, ces taux atteignaient 7,8 % et 8,6 %. La région se situe au 10e rang national en 2013. L'écart avec la métropole s'est réduit (de 0,8 point en 2009 à 0,5 en 2013).
Les régions de l'ouest sont moins touchées (9,1 %) alors que le Languedoc-Roussillon et le Nord Pas-de-Calais sont les plus atteintes (plus de 14 %).
Le revenu fiscal médian régional s'établit à 19 211 euros (contre 18 737 euros pour la France de province) toujours supérieur à celui des autres régions du pourtour de l'Île-de-France. La part des ménages imposés est de 61,3 % contre 58,7 % pour la province et 61,0 % pour la métropole.
Par ailleurs les ménages les plus modestes disposent de revenus moins faibles qu'en province ainsi qu'en métropole (de près de 800 euros).
Premier centre d’art consacré à la relation de la création artistique et de la nature, le Domaine de Chaumont-sur-Loire accueille comme chaque année pour sa Saison d'Art de très grands noms de la sculpture, de la photographie et de la vidéo.