Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Des voitures de Paris-Nice à St Etienne jeudi dernier(en allant prendre mon train)
les 2 étapes autour de chez moi/
https://www.paris-nice.fr/fr/etape-4
https://www.paris-nice.fr/fr/etape-5
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https://www.saint-chamond.fr/decouvrir-saint-chamond/patrimoine-et-tourisme/lhotel-flachat/
https://www.saint-chamond.fr/wp-content/uploads/2019/05/pdf_flachat_17519.pdf
hôtels en face et évoqués sur la plaque:
pHOTOS PERSO DU 14 JUILLET
... La rue des Glacis conduit du boulevard Richelieu à la place qui se trouve à la convergence des rues Jean-de-Caulaincourt, de la Pomme Rouge, Pontoile et de Vermand. Les premières maisons de cette rue ont été construites vers l'année 1850. Auparavant c'était un chemin rural, souvent impraticable. Le talus qui bordait le boulevard était planté d'arbres. Elle a été pavée en 1889. Les rues de Châteaudun et de Calixte-Souplet, la traverse au moyen de ponts élevés après leur ouverture.
Le nom de Glacis vient de ce qu'elle a été ouverte sur les glacis des fortifications. En 1850, on voyait encore sur le bord de cette rue, à l'endroit où se trouve le rond-point des marronniers et le pont de la rue Calixte-Souplet, un monticule fort élevé et couvert d'un beau gazon, sur lequel les habitants du voisinage allaient se reposer au retour de printemps...
http://scaramouche.free.fr/ruedesglacis.htm
Photos perso de Scaramouche qui a un très beau site sur St-Quentin (lien ci-dessus)
Pendant la grande Guerre
Entre Alpes et mer (altitude 730m) sur la route Napoléon (N.85), au centre d’une région touristique, 29 km de Cannes, 12 km de Grasse (la cité des Parfums), 50 km de Nice et de son aéroport international.
Saint Vallier de Thiey est avant tout un charmant village provençal avec son église du XIIe siècle et ses portes anciennes, ainsi préservé le village d’autrefois livre ses aspects cachés à ceux qui savent musarder.
http://www.saintvallierdethiey.com/
Voyage du 2 juin 2009.
http://www.leprogres.fr/loire/2016/12/03/saint-etienne-une-sainte-barbe-lumineuse
Exposition "L’Aisne en aquarelles, 1925-1941, par Louis Guindez, architecte"
17 juin – 24 octobre 2011
Architecte municipal de Saint-Quentin de 1925 à 1942, Louis Guindez (1889-1978) fut l’un des principaux artisans de la reconstruction de la ville après la Première Guerre mondiale (on lui doit notamment l’entier réaménagement de l’hôtel de ville). Sa formation à l’École nationale des beaux-arts et son métier l’avaient conduit à pratiquer régulièrement l’aquarelle, art délicat du mélange de l’eau et de la couleur, qui devint une passion. Au cours des vingt ans qu’il passa à Saint-Quentin, il sillonna le nord de l’Aisne et les communes limitrophes des autres départements de Picardie et immortalisa nombre de paysages, d’églises et de châteaux remarquables.
En souvenir de ses années saint-quentinoises, Louis Guindez offrit, en 1971, quarante de ses aquarelles au musée Antoine Lécuyer. Cet ensemble forme une sorte de recensement illustré des richesses architecturales et naturelles de la région dans l’entre-deux-guerres. Si ce rare inventaire est partiel, il témoigne d’une impressionnante connaissance d’un patrimoine souvent confidentiel, et aujourd’hui parfois disparu, fruit d’une exploration attentive du territoire : de Saint-Quentin, de ses environs et de la Thiérache à l’est du département, terre des spectaculaires églises fortifiées.
Exposition ouverte jusqu’au 24 octobre 2011, tous les jours, sauf le mardi et le dimanche matin, de 10 h à 12 h et de 14 h à 17 h (18 h le week-end et tous les jours du 1er juillet au 31 août 2011). Le musée sera fermé le 14 juillet et le 5 septembre 2011.
Dans le cadre de l’opération « Au musée cet été », organisée par le Conseil Général de l’Aisne, l’accès au musée sera gratuit et des animations autour de l’exposition seront proposées les week-ends des 9-10 juillet et 20-21 août.
Musée Antoine Lécuyer, 28 rue Antoine Lécuyer 02100 Saint-Quentin
Tél. 03.23.06.93.98 – Fax. 03.23.05.05.08
Email : musee.antoine.lecuyer@wanadoo.fr
http://www.somme-tourisme.org/Espace-presse/Communiques-de-presse/Exposition-L-Aisne-en-aquarelles-par-Louis-Guindez
Football freestyle, show de danse et concert ont lancé, samedi 13 juin Place Chavanelle, le compte à rebours à Saint-Étienne à un an de l'ouverture de l'UEFA EURO 2016 dans la ville.
Pour célébrer le "One year to go" (Plus qu'un an) de l'UEFA EURO 2016 dans la ville (le premier match aura lieu le 14 juin au stade Geoffroy-Guichard), Saint-Étienne a organisé une soirée de spectacles, Place Chavanelle, réunissant 2000 à 3000 personnes.
Premier à entrer sur scène, Karim et son ballon qui s'est taillé déjà une belle réputation de jongleur freestyle sur internet. Produit par Xtreme Prod, une société implantée près de Feurs (à 45 km au nord de Saint-Étienne), le jongleur fou a fait l'étalage de tout son talent durant un quart d'heure, invitant même la foule à participer au spectacle. Trois personnes ont testé le concours de petits ponts.
Autre style mais pas moins spectaculaire : à Karim a succédé sur scène Studio 7DC, une école de danse installée à Saint-Étienne. Trente jeunes artistes ont enchaîné les show de styles musicaux différents, tourné essentiellement autour du hip hop, mais pas uniquement. Une performance d'ensemble très réussie et très appréciée du public.
Roland Romeyer n'a d'ailleurs pas raté une miette du spectacle. "L'ambiance est vraiment formidable, ça laisse augurer de bien belles choses pour dans un an", s'est réjoui le co-président de l'AS Saint-Étienne avec ses yeux d'enfants. Celui-ci a été invité par Gaël Perdriau, le maire de Saint-Étienne, à monter sur scène, à 21h45, pour lancer officiellement le compte à rebours. Également accompagné des deux de ses adjoints, Brigitte Masson, chargée des Sports, et Lionel Boucher, en charge de la coordination des animations, ainsi que Roland Goujon, vice-président de Saint-Étienne Métropole, Gaël Perdriau s'est vu remettre le premier billet de match au stade Geoffroy-Guichard par l'un des ambassadeurs de la ville pour l'UEFA EURO 2016, Jérémie Janot.
"J'ai un cadeau pour vous de la part de Michel Platini", lui a dit l'ancien gardien des Verts, véritablement ovationné par le public stéphanois et dont le nom a été longtemps scandé. "Cela fait chaud au cœur, je suis très fier de représenter la ville", a-t-il répondu. "Saint-Étienne aime le sport et aime faire la fête", a commenté de son côté le maire, rappelant que la ville "accueillera l'équipe de France en 8e de de finale si celle-ci termine deuxième de son groupe".
Les différentes personnalités ont rejoint, quelques mètres plus bas, la structure EURO 2016, restée jusque-là cachée sous un voile noir. La structure 3D a été dévoilée, les flashes ont crépité et plusieurs dizaines de ballons ont été lâchés par les enfants de trois clubs du district de la Loire (SUC Terrenoire, Avant-Garde de Saint-Étienne et ASPTT Saint-Étienne). Avant que la soirée reprenne une saveur musicale avec le concert de Nazim.
©UEFA.com 1998-2015. All rights reserved.
http://fr.uefa.com/uefaeuro/finals/news/newsid=2257688.html
de la culture et de la communication présente
3, 4 et 5 juin 2016
Les couleurs du jardin
3500 événements à découvrir partout en France pour la 14ème édition des Rendez-vous aux jardins. Retrouvez le programme de près de 2 300 jardins sur la carte interactive et dans la rubrique "Dans votre région" !
Nous avons découvert en visite guidée le jardin de l'Hôtel de Villeneuve, Musée du Vieux St Etienne
Nous avons aussi revu l'hôtel lui-même avec des éclaircissements sur son histoire
Read more quotes from Philip K. Dick
sous la direction de Katharina Dohm, Claire Garnier, Laurent Le Bon, Florence Ostende
Edité par Flammarion , copyright 2017
https://boutique-courrier-picard.fr/hors-series/120-18-balades-au-fil-de-l-eau-en-picardie.html
Paris, ses bistrots, ses restos, ses boutiques chics, ses musées mondialement connus et ses… merveilleux parcs, squares et jardins. On s’y réfugie l’été, on les traverse parfois tous les jours, mais connaît-on vraiment les parcs de la capitale ? Ce numéro (vert) est consacré à l’histoire des parenthèses enchantées de Paris.
Il y a les historiques. Le Luxembourg créé par Marie de Médicis, où l’on peut croiser des sénateurs et des tennismen en goguette et où la reine est l’éternelle chaise verte. Les Buttes-Chaumont qui nous racontent les prouesses techniques du XIXe siècle où l’on était, littéralement, capables de déplacer des montagnes. Le parc Monceau, ses arbres centenaires, ses œuvres romantiques, son charme fou. Les Tuileries, rêve d’une souveraine.
Il y a les incontournables. Le Jardin des plantes, héritage révolutionnaire qui renferme de nombreux secrets de la science. La Villette, plus grand parc urbain de la capitale où trônent les miroirs de la Géode. Le Vert Galant en forme de bateau sur l’île de la Cité. Montsouris, façonné sur d’anciennes carrières de calcaire par l’architecte paysagiste Alphand, bras droit du baron Haussmann…
Il y a les pépites. Belleville et sa belle vue. Bagatelle et son havre de paix. Le Jardin Atlantique, mini-Center Park au pied de Montparnasse. Le square des Batignolles, la Butte du Chapeau rouge, les Jardins du Trocadéro, le parc Georges-Brassens et son ballon géant, le jardin d’acclimatation et ses manèges intemporels… La liste est longue ! Cinquante nuances de vert, vingt histoires fascinantes.
124 pages
https://abonnement.leparisien.fr/hors-serie/les-secrets-des-jardins-parisiens
Paru le 13-09-2021
Cela implique évidemment une conscience solide de l'espace et du temps, les deux dimensions que le paysagiste transforme dans ses projets. D'où l'
http://strabic.fr/Michel-Corajoud
L'intervention minimale Le fait qu'un lieu existe avant qu'on se propose d'y faire quoi que ce soit retentit profondément sur la nature même de l'intervention et pose, de manière radicale, la question de savoir s'il faut ou non intervenir. Le 14 septembre 1981', le sénateur Ludovico Corrao nous avait 429BERNARD LASSUS
https://books.google.fr/books?
http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/400345/l-horizon-des-lieux-reparer-par-le-paysage-concu-par-la-direction-generale-de-l-amenagement-du-logem
On en revient à Julien Gracq : trouvons des limites intégratrices. L'urbain médiéval dans la tête d'un Européen reste un espace à enceinte qui permet d'intégrer. La seule chose qui a changé, c'est que cet espace se définissait contre la forêt, et qu'aujourd'hui c'est la forêt qu'il faut protéger contre l'urbain...
J'aime la terre, ce que je vois me comble, et il m'arrive même de croire que la ligne pure des cimes, la majesté des arbres, la vivacité du mouvement de l'eau au fond d'un ravin, la grâce d'une façade d'église, puisqu'elles sont si intenses, en des régions, à des heures, ne peuvent qu'avoir été voulues, et pour notre bien. Cette harmonie a un sens, ces paysages et ces espèces sont, figés encore, enchantés peut-être, une parole, il ne s'agit que de regarder et d'écouter avec force pour que l'absolu se déclare, au bout de nos errements. Ici, dans cette promesse, est donc le lieu. ..
Yves Bonnefoy, L'arrière-pays -
Yves Bonnefoy
[éditeur scientifique Amanda Renshaw]
Edité par Phaidon. , 2013
Support : Livre
L'actualité, comme tout ce qui m'intéresse,inspire ce que j'écris, à acheter ici
JOYEUX NOEL
Fin du XIXe siècle. Quelques artistes se libèrent du joug de l’académie et n’entendent plus répondre à ses critères. La photographie a détrôné la peinture dans son rôle de représentation de la réalité ; les peintres aspirent à autre chose pour son futur. Ces artistes, ce sont les Impressionnistes. Décriés à leur époque, privés de droit d’entrée au salon de Paris, ils se retrouvent et se liguent au salon des Refusés.
A cette époque nait la tube de peinture souple, qui donne à l’artiste une liberté de mouvement. Peu à peu, on quitte l’atelier sombre parisien, pour peindre en pleine nature les scènes de la vie quotidienne. Ce nouvel atelier si vaste et si changeant, permet de travailler la lumière et la couleur, chères aux Impressionnistes, comme aucun autre.
Cet ouvrage rassemble les œuvres des plus grands -Monet, Pissarro, Renoir, Sisley, Lebasque, Bazille, mais aussi Van Gogh - qui mettent au cœur de la toile la nature.
Le CDI décoré par les élèves et la rencontre elle-même avec un journaliste de la presse écrite locale, de la radio
Cassandre vient déclarer à la gendarmerie la disparition de son mari. Pourtant elle sait où il se trouve, et qu’il ne reviendra plus. Bientôt, elle reçoit de mystérieux courriers annonçant des révélations au sujet du passé de Léon. Que peut-elle ignorer de cet époux taiseux, qu’elle a aimé résolument un tiers de siècle durant dans le quotidien rugueux d’une ferme de Saône-et-Loire ? Et connaissait-il bien sa femme, son étrangère à la peau sombre qui ne lui a pas donné d’enfant et n’a cessé de rêver du lointain pays de ses ancêtres ? On ne mesure jamais les zones de violence que recèle toute vie, la part de mensonge que contient tout amour, la force des liens qui nous attachent à la terre et aux hommes.
D’Haïti à la mer Égée, de l’Algérie au Mexique, de l’Antarctique aux États-Unis, ce roman fiévreux à l’écriture envoûtante explore les géographies intimes au hasard desquelles les fragiles destins humains s’abîment, se heurtent et malgré tout se bâtissent.
“J’ai voulu que ce texte éprouve la justesse de nos sentiments, la puissance de nos attachements, un roman à l’intérieur duquel s’insinueraient plusieurs livres comme s’entrelacent plusieurs vies dans chacune de nos existences. Et c’est peut-être cette nécessité fiévreuse qui parcourt ces Baisers : relater la géographie des songes, sonder les abysses, fouiller les interstices, non pas comme on remue un couteau dans la plaie mais comme on draine un abcès.
Ce sont les mots qui ont généré les lieux et non l’inverse. Puisqu’il s’agissait de s’immiscer dans la faille qui façonne nos destins, mon attachement à la terre d’Haïti s’est naturellement imposé. À la faveur d’un poignant reportage photographique, s’est également dessiné un bout de France rurale où les fureurs de la Loire rongent la falaise, fissurent les murs du domaine du Grand-Fleury et le coeur de ceux qui y vivent. Deux contrées puissantes entre lesquelles oscille, écartelée et ambivalente, l’âme vagabonde de Cassandre. Elle est née dans la moiteur des mornes. Elle a grandi et vécu cernée par les méandres du fleuve. Dans cet entre-deux, il lui faudra tracer sa voie. Et lorsqu’elle sera enfin dotée de cette encombrante liberté – décider seule de sa destinée –, Cassandre ne renoncera pas à ses rêves. Elle réalisera qu’à ce choix impossible, être de là où l’on est né ou de là où l’on a grandi, peut se substituer le vertige édifiant de se savoir à jamais de là où l’on a aimé.
Pendant l’écriture de ce texte, le domaine du Grand-Fleury a été détruit. Non pas par les colères du fleuve, mais par l’anticipation précautionneuse des hommes. Je me suis rendue sur ce champ de ruines, j’en ai longuement foulé le sol jusqu’à ressentir la présence de Cassandre et Léon. Et j’ai su alors qu’ils étaient bien là, dans les livres et dans la vie, partout où sont les destins souverains de ceux qui marchent sans fléchir vers eux-mêmes.”
C. R
http://www.actes-sud.fr/catalogue/litterature/et-leurs-baisers-au-loin-les-suivent
Cara D.Denison, Evelyn J.Phimister et Stéphanie Wiles
Edité par The Pierpont Morgan Library , 1994
https://www.decitre.fr/livres/les-ateliers-de-la-modernite-9782900923368.html
p.23:
MARC CHAGALL, "JE SUIS SÛR QUE REMBRANDT M'AIME" Kunstsammlung Jena, Markt 7, 07743 Jena
p.30:
http://classiques.uqac.ca/classiques/Valery_paul/conquete_ubiguite/conquete_ubiquite.html
p.124:
http://www.ader-paris.fr/html/fiche.jsp?id=8615223&np=9&lng=fr&npp=20&ordre=&aff=1&r=
p.229: