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  • Jour 1 : Marie, nouvelle Ève - Neuvaine à Marie qui défait les nœuds

    hozana
    Marie qui défait les noeuds

    Marie qui défait les noeuds dans Neuvaine à Marie qui défait les nœuds

    Jour 1 : Marie, nouvelle Ève

     
    Jour 1 : Marie, nouvelle Ève
     

    Acte de contrition

     "Mon Dieu, j'ai un très grand regret de vous avoir offensé parce que vous êtes infiniment bon, infiniment aimable, et que le péché vous déplaît. Je prends la ferme résolution, avec le secours de votre sainte grâce de ne plus vous offenser et de faire pénitence."

    Supplication

    Sainte Marie, Mère de Dieu, vous étiez femme et vous étiez mère, vous avez dit à Dieu « Que votre volonté soit faite » : communiquez-moi votre force, la force de votre foi et de votre amour.

    Vierge Marie, je viens vers vous aujourd'hui, le cœur plein de douleurs. Je viens pleurer mes souffrances dans les bras de la Mère qui toujours nous écoute, qui supporte tout, qui croit tout. Croyez en moi, ô ma Mère, croyez en ma douleur, en mes angoisses.

    Que ne ferait une mère pour son enfant ? Que ne feriez-vous, Marie, ma Mère, pour moi ? Je vous demande seulement de m'écouter. Que mes supplications parviennent jusqu'à vous. Présentez-les à votre Fils bien aimé. Intercédez pour moi.

    Pour que je puisse dire à mon tour, « Seigneur, que votre volonté soit faite », Marie, rendez-moi capable d'accueillir le projet de Dieu pour ma vie.

    Ma main est dans la vôtre, Marie. Guidez-moi, protégez-moi, dénouez l'écheveau compliqué des problèmes qui m'étouffent. Vierge puissante, vous seule pouvez me libérer, vous seule pouvez dénouer ces nœuds. En dehors de vous et de votre Fils, qui pourra me délivrer du mal qui m'oppresse ?

    Jour après jour, je trébuche sur le chemin, empêtré dans les filets de l'orgueil, de l'amour-propre, de l'incompréhension, prisonnier de mon manque de charité et de solidarité.

    C'est pourquoi, j'ai recours à vous, Marie, ma Mère : libérez-moi de ces entraves, défaites ces nœuds qui m'empêchent d'être heureux, de me rapprocher de vous et de votre fils.

    Que ma prière transforme mon cœur de pierre et me permette d'être l'artisan d'un monde meilleur et plus généreux.

    Marie, écoutez ma prière.

     

    Réciter les trois premières dizaines du chapelet.

    Méditation

    Sainte Marie, donnez-moi la force de persévérer dans mon amour pour Dieu. Faites que, non seulement j'aie recours à Lui dans les moments difficiles, mais aussi que j'apprenne à lui rendre grâce pour tous ses dons : ceux que je vois et ceux que je ne parviens pas à voir.

    Marie, Vierge très pure, défaites ce nœud que je vous présente : (le nommer si possible)…...................

    Contemplons Marie, seule capable avec son Fils de défaire les nœuds du mal, car elle est la femme qui enfante celui qui écrase sous ses pieds la tête du serpent (Gen 3,15) ; la seule capable de reconstruire le chemin entre l'humain et le divin car elle est la Vierge qui met au monde l'Emmanuel, « Dieu avec nous » (Is 7,14).

     

    Prier ensuite les deux dernières dizaines de chapelet.

    Prière

    Cliquez sur "Je prie" pour prier la prière de la neuvaine. 

     

    Je prends un instant pour méditer toutes ces choses dans mon coeur
    (cf: Luc 2, 19)

    Je prie Je prie
  • Jour 3 : Marie, servante du Seigneur - Neuvaine à Marie qui défait les nœuds

    Mon coin prière Mon coin prière

    hozana
    Marie qui défait les noeuds

    Marie qui défait les noeuds dans Neuvaine à Marie qui défait les nœuds

    Jour 3 : Marie, servante du Seigneur

     

    Jour 3 : Marie, servante du Seigneur

     

    Acte de contrition

        "Mon Dieu, j'ai un très grand regret de vous avoir offensé parce que vous êtes infiniment bon, infiniment aimable, et que le péché vous déplaît. Je prends la ferme résolution, avec le secours de votre sainte grâce de ne plus vous offenser et de faire pénitence."

    Supplication

    Sainte Marie, Mère de Dieu, vous étiez femme et vous étiez mère, vous avez dit à Dieu « Que votre volonté soit faite » : communiquez-moi votre force, la force de votre foi et de votre amour.

    Vierge Marie, je viens vers vous aujourd'hui, le cœur plein de douleurs. Je viens pleurer mes souffrances dans les bras de la Mère qui toujours nous écoute, qui supporte tout, qui croit tout. Croyez en moi, ô ma Mère, croyez en ma douleur, en mes angoisses.

    Que ne ferait une mère pour son enfant ? Que ne feriez-vous, Marie, ma Mère, pour moi ? Je vous demande seulement de m'écouter. Que mes supplications parviennent jusqu'à vous. Présentez-les à votre Fils bien aimé. Intercédez pour moi.

    Pour que je puisse dire à mon tour, « Seigneur, que votre volonté soit faite », Marie, rendez-moi capable d'accueillir le projet de Dieu pour ma vie.

    Ma main est dans la vôtre, Marie. Guidez-moi, protégez-moi, dénouez l'écheveau compliqué des problèmes qui m'étouffent. Vierge puissante, vous seule pouvez me libérer, vous seule pouvez dénouer ces nœuds. En dehors de vous et de votre Fils, qui pourra me délivrer du mal qui m'oppresse ?

    Jour après jour, je trébuche sur le chemin, empêtré dans les filets de l'orgueil, de l'amour-propre, de l'incompréhension, prisonnier de mon manque de charité et de solidarité.

    C'est pourquoi, j'ai recours à vous, Marie, ma Mère : libérez-moi de ces entraves, défaites ces nœuds qui m'empêchent d'être heureux, de me rapprocher de vous et de votre fils.

    Que ma prière transforme mon cœur de pierre et me permette d'être l'artisan d'un monde meilleur et plus généreux.

    Marie, écoutez ma prière.

    Réciter les trois premières dizaines du chapelet.

    Méditation

    Sainte Marie, Médiatrice et ma Mère, enseignez-moi à apprécier les biens terrestres en fonction des biens du Ciel. Faites que, par mes efforts, je parvienne à mettre mes pas dans les pas de votre Fils pour atteindre, ainsi, le royaume des Cieux.

    Marie, Dame de la Sainte Espérance, défaites ce nœud que je vous présente : (le nommer si possible)......................

    Observons comment Marie est capable de défaire les nœuds du manque de confiance, car elle a cru en « l'accomplissement de ce qui lui a été dit de la part du Seigneur » (Lc 1,45) ; et les nœuds de mort car elle est celle qui, par l'œuvre du Saint-Esprit, engendre le Fils de Dieu, auteur de la vie (Lc 1,35).

    Prier ensuite les deux dernières dizaines de chapelet.

    Prière

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    Je prends un instant pour méditer toutes ces choses dans mon coeur
    (cf: Luc 2, 19)

    Je prie Jhozanae prie
  • Jour 5 : La foi de Marie - Neuvaine à Marie qui défait les nœuds

    hozana
    Marie qui défait les noeuds

    Marie qui défait les noeuds dans Neuvaine à Marie qui défait les nœuds

    Jour 5 : La foi de Marie

     
    Jour 5 : La foi de Marie
     

    Acte de contrition

    Acte de contrition

        "Mon Dieu, j'ai un très grand regret de vous avoir offensé parce que vous êtes infiniment bon, infiniment aimable, et que le péché vous déplaît. Je prends la ferme résolution, avec le secours de votre sainte grâce de ne plus vous offenser et de faire pénitence."

    Supplication

    Sainte Marie, Mère de Dieu, vous étiez femme et vous étiez mère, vous avez dit à Dieu « Que votre volonté soit faite » : communiquez-moi votre force, la force de votre foi et de votre amour.

    Vierge Marie, je viens vers vous aujourd'hui, le cœur plein de douleurs. Je viens pleurer mes souffrances dans les bras de la Mère qui toujours nous écoute, qui supporte tout, qui croit tout. Croyez en moi, ô ma Mère, croyez en ma douleur, en mes angoisses.

    Que ne ferait une mère pour son enfant ? Que ne feriez-vous, Marie, ma Mère, pour moi ? Je vous demande seulement de m'écouter. Que mes supplications parviennent jusqu'à vous. Présentez-les à votre Fils bien aimé. Intercédez pour moi.

    Pour que je puisse dire à mon tour, « Seigneur, que votre volonté soit faite », Marie, rendez-moi capable d'accueillir le projet de Dieu pour ma vie.

    Ma main est dans la vôtre, Marie. Guidez-moi, protégez-moi, dénouez l'écheveau compliqué des problèmes qui m'étouffent. Vierge puissante, vous seule pouvez me libérer, vous seule pouvez dénouer ces nœuds. En dehors de vous et de votre Fils, qui pourra me délivrer du mal qui m'oppresse ?

    Jour après jour, je trébuche sur le chemin, empêtré dans les filets de l'orgueil, de l'amour-propre, de l'incompréhension, prisonnier de mon manque de charité et de solidarité.

    C'est pourquoi, j'ai recours à vous, Marie, ma Mère : libérez-moi de ces entraves, défaites ces nœuds qui m'empêchent d'être heureux, de me rapprocher de vous et de votre fils.

    Que ma prière transforme mon cœur de pierre et me permette d'être l'artisan d'un monde meilleur et plus généreux.

    Marie, écoutez ma prière.

    Réciter les trois premières dizaines du chapelet.

    Méditation

    Sainte Mère du Seigneur, enseignez-moi à aimer avec votre simplicité, la vie, et tout ce qui m'entoure. Marie, mère généreuse, épouse exemplaire, faites que je sois animé, comme vous l'avez été, par l'amour inconditionnel de mon prochain.

    Marie, Médiatrice de toutes grâces, défaites ce nœud que je vous présente : (le nommer si possible)......................

    Méditons comment Marie, qui a élevé un chant au Tout-Puissant qui « disperse les superbes et élève les humbles », est capable de défaire les nœuds de la vanité et de l'esprit de domination (Lc 1,51-52) ; et aussi les nœuds de l'ambition et de la richesse, car Elle est celle qui glorifie Dieu, lui qui « comble de biens les affamés et renvoie les riches les mains vides » (Lc 1,53).

    Prier ensuite les deux dernières dizaines de chapelet.

    Prière

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    Je prends un instant pour méditer toutes ces choses dans mon coeur
    (cf: Luc 2, 19)

    Je prie Je prie
  • Marie, celle qui a dit oui Marie, celle qui a dit oui

    Marie, celle qui a dit oui

    Marie, celle qui a dit oui
    Nouveauté
     

    Elle est celle par qui le Salut arrive. Celle qui fut choisie entre toutes pour une mission unique. Le Figaro Hors-série se penche sur la figure de celle que l’Eglise catholique reconnaît comme la Mère de Dieu. Ce numéro exceptionnel réunit biblistes, archéologues, historiens et théologiens pour passer le cas de Marie au crible de l’histoire. Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Marie, dans un numéro magnifiquement illustré par les plus grands peintres, sculpteurs ou maîtres verriers.

  • Himmler, grand criminel et petit mari

     

    Le Monde | 13.02.2014 à 10h30 • Mis à jour le 13.02.2014 à 18h18 | Par Elisabeth de Fontenay (philosophe)

     
     

    La famille Himmler avec une amie de Gudrun, à Gmund, vers 1935.

    Ingénieur agronome, éleveur de poulets, député, maître de la SS, chef de la police allemande, patron des Sonderkommando lors de l'opération « Barbarossa », supérieur d'Heydrich et d'Eichmann, ministre de l'intérieur du Reich, commandant de l'armée de réserve de la Wehrmacht…

    Heinrich Himmler, ayant endossé successivement tous ces rôles, peut être tenu pour le meurtrier du siècle. Responsable, avec Hitler bien sûr, des décisions dont on géra les modalités d'application à la conférence de Wannsee, il fut l'architecte de la « solution finale ». Rien ne définit mieux son idéal et son action que le fameux discours de Poznan du 4 octobre 1943 : « La plupart d'entre nous savent ce que cela signifie quand cent cadavres sont alignés les uns à côté des autres, quand il y en a cinq cents, quand il y en a mille. Avoir tenu bon face à cela (…) et être resté correct pendant ce temps-là, cela nous a rendus durs. C'est une page glorieuse de notre histoire, une page qui n'a jamais été écrite et qu'il ne faudra jamais écrire. »

    C'est de ce terrifiant acteur de l'histoire que paraît aujourd'hui la correspondance : ouvrage éditorialement unique, puisqu'il donne accès aux lettres qu'un dirigeant nazi de premier plan a échangées avec sa femme, Marga, entre 1927 et 1945. Lettres volées par des soldats américains, puis vendues et finalement échouées, les unes à Coblence, les autres à Tel-Aviv.

    Lire aussi « Le Monde des Livres » publie des lettres inédites de Himmler à sa femme

    NI SECRETS D'ALCÔVE NI SECRETS D'ETAT

    On aurait pu attendre de cette parution des confidences intimes et des révélations historiques. Or, on se trouve confronté à un ahurissant constat : non seulement on n'y découvre pas plus de secrets d'alcôve que de secrets d'Etat mais on voit, jour après jour, se dessiner les mœurs incroyablement kitsch d'un couple et s'effacer soigneusement le contexte de la terreur nazie dont l'époux porte la responsabilité. La déception est d'autant plus grande que l'éditeur a relié ces lettres par des notices historiques qui font éclater la sinistre contemporanéité des fadaises et des crimes. C'est pourtant cette déception qui fait l'immense intérêt du livre.

    On n'y trouve en effet que des échanges incultes, dépourvus de toute fantaisie amoureuse, remplis de tics de langage et de répétitions mécaniques. Le chef tout puissant qui organise le déplacement et l'élimination de populations entières – pour lui des « animaux humains » – afin d'installer à l'Est « les purs Germains », est un petit bourgeois falot qui compense ses absences en écrivant qu'il baise les « bonnes mains », la « chère bouche » de sa « pure et chère haute dame ». Cette correspondance sirupeuse est tellement dépourvue d'intimité qu'elle en paraît insincère même si, dans un premier temps, Himmler met du piment dans son couple en se proclamant « lansquenet », « homme très méchant » ou en se laissant traiter par sa femme de « garnement », de « fripouille », de « tête de mule », qualificatifs que du reste il lui retourne.

     

    Heinrich Himmler en tenue militaire, vers 1943.

    INQUIÉTANTE BÊTIFICATION

    Ces mots pour se faire peur ne cesseront pas quand l'épouse sera enceinte de la petite Gudrun, surnommée « Poupette », et l'inquiétante bêtification reprendra de plus belle : « Bonne petite bonne femme garnement aimée du fond du cœur (…) le méchant mari va très bien (…) et pense toujours à sa douce petite femme qui va devenir la petite mère de notre doux garnement ». Mais les niaiseries seront bientôt relayées par la chronique hautement hygiénique des maux d'estomac et d'intestins, des bains, des rasages, des changements de linge.

    Et le Reichsführther finira par signer pitoyablement « ton petit papa » les lettres envoyées à cette mère qu'il n'appellera plus que « Mamette » et qu'il aura, sans l'abandonner, délaissée au profit de sa secrétaire, non moins conforme à la norme des cheveux blonds et des yeux bleus, mais beaucoup plus jeune et avec laquelle, selon la doctrine de la double famille qu'il inculquait à ses SS, il produira deux spécimens de la prétendue race nordique.

    Il arrive malgré tout que surgissent des allusions faussement innocentes et valant sans doute dénégation. Quand, par exemple, Marga évoque un moment passé avec Hitler : « C'était gentil de discuter avec le Führer ». Et quand Himmler mentionne les villes où se perpètre ce que plus tard on nommera la Shoah par balles : « Mon voyage me mène à présent à Kovno, Riga, Vilnius, (…) Minsk ». Ou qu'il précise : « Dans les jours qui viennent je serai à Lublin, Zamosch, Auschwitz, Lemberg », signalant, de manière anodine, sa présence active sur les lieux de l'extermination.

    Partagé entre épouvante et fou rire, on cherche quelle discipline, quel axe de réflexion philosophique, éthique, politique pourrait fournir les moyens de penser l'énigmatique unité de cette personnalité et l'insignifiance de tels échanges, au regard de l'énormité des massacres. Le concept arendtien de «banalité du mal», s'il vaut peut-être pour Eichmann qui, jugé par un tribunal, cherchait à se disculper en se présentant comme un rouage ignorant du mécanisme totalitaire et de l'énormité criminelle de l'entreprise nazie, n'éclaire pas le cas Himmler tel qu'il apparaît à travers cette correspondance privée.

    LA « GENTILLESSE » AU SERVICE DE LA FUREUR GÉNOCIDAIRE

    Car ce qui reste inintelligible, c'est l'articulation entre, d'une part, la sentimentalité médiocre, convenue, de cet homme, et, de l'autre, le silence gardé sur la réalité criminelle de ses activités. L'analyse balance entre deux interprétations. Ou bien il y a chez Himmler une déficience d'affectivité, qui se manifeste aussi bien sur le théâtre des abominations que dans le « château fort » de son foyer, et il dissimulerait l'une sous des douceurs stéréotypées, l'autre par un silence presque sans faille. Ou bien il a voulu tenir à l'écart du pré carré domestique ce qu'il considérait comme des atrocités devant être commises pour la grandeur de la patrie allemande. Il l'aurait fait non pour épargner la sensibilité féminine mais sans doute parce que sa famille, même si Marga partageait son idéologie antisémite et devait se douter des exterminations qui se multipliaient sous son commandement, n'avait pas la vertu stoïque qu'il fallait pour porter le poids de son héroïsme.

    Mais on aurait scrupule à esquisser une psychologie sauvage face à ce qui semble moins un mystère propre à une « âme » allemande que l'abîme d'un homme totalement soumis à l'idéal, donné pour l'éthique la plus haute, de la terreur raciste. On ne doit pas déceler quelque pathologie schizoïde là où il n'y a rien d'autre que la défiguration d'une certaine normalité : un sens du devoir, de la « gentillesse », un « travail » méticuleux, un souci de « correction » mis au service de la fureur génocidaire.

    Lire l'entretien avec l'éditrice, petite-nièce du dirigeant nazi : « Himmler n'a jamais eu mauvaise conscience »

    • Elisabeth de Fontenay (philosophe)

     

     
     

    Monde des Livres

  • Le Plus heureux des trois : ciel, mon mari!

    Le Plus heureux[...]Quelques jours avant la première, le 10 septembre, la troupe du Plus heureux[...]les trois actes jusqu'à la dernière minute et dans le désordre

    Vive l'adultère!

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    Jugnot, la légende d'Arthur

    l'amant dans Le Plus Heureux des trois , d'Eugène Labiche et Edmond Gondinet[...]trois mille trucs en même temps[...]trois théâtres, le Petit Hébertot, les Béliers parisiens (ouvert en 2012) et les Béliers à Avignon[...]«Le Plus Heureux des trois» au Théâtre Hébertot (Paris XVIIe), du mardi au samedi ...

     
     

    Par ici les sorties de la rentrée !

    les plus grands auteurs du répertoire[...]Trois Shakespeare[...]Plus que d'habitude[...]r, d'Ibsen, avec Jacques Weber et Anne Brochet (Montparnasse), Le Plus Heureux des trois , de Labiche, mis en scène par Didier Long (Hébertot) ou La Locandiera , de Goldoni, avec Dominique Blanc (Atelier) dans une mise en scène ...

     
     

    De Shakespeare à Françoise Dorin

    Le plus heureux des trois , pièce d'Eugène Labiche, mise en scène Didier Long, avec Arthur Jugnot, Arnaud Gidoin, Jean Benguigui[...]dans trois lieux différents

     
     

    De Shakespeare à Françoise Dorin

    Le plus heureux des trois , d'Eugène Labiche, mise en scène de Didier Long, avec Arthur Jugnot, Arnaud Gidoin, Jean Benguigui

  • ”Sur la mort de Marie” par Ronsard

    Comme on voit sur la branche au mois de Mai la rose
    En sa belle jeunesse, en sa première fleur
    Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur,
    Quand l’Aube de ses pleurs au point du jour l’arrose :

    La grâce dans sa feuille, et l’amour se repose,
    Embaumant les jardins et les arbres d’odeur :
    Mais battue ou de pluie, ou d’excessive ardeur,
    Languissante elle meurt feuille à feuille déclose :

    Ainsi en ta première et jeune nouveauté,
    Quand la terre et le ciel honoraient ta beauté,
    La Parque t’a tuée, et cendre tu reposes.

    Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs,
    Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs,
    Afin que vif, et mort, ton corps ne soit que roses.

  • Marie Darrieussecq, un Médicis dépaysant

     

    Home CULTURE Livres
    Marie ­Darrieussecq, ici à Paris mardi, a été choisie pour <i>Il faut beaucoup aimer les hommes</i>.

    Marie ­Darrieussecq, ici à Paris mardi, a été choisie pour Il faut beaucoup aimer les hommes. Crédits photo : JACQUES DEMARTHON/AFP

    La passion d'une femme blanche pour un cinéaste noir a séduit le jury du prix littéraire.

    À propos d'Il faut beaucoup aimer les hommes (P.O.L), le nouveau roman de Marie ­Darrieussecq, Sébastien Lapaque écrivait dans Le Figaro littéraire du 12 septembre: «L'histoire d'amour de Solange et Kouhouesso est âpre et prenante. C'est dépaysant, tout public, snob mais pas trop. Le Goncourt, on vous dit.» Marie Darrieussecq n'a pas obtenu le Goncourt, mais le prix Médicis, c'est déjà pas mal. Elle l'a même remporté haut la main, au premier tour de scrutin.

    La romancière, née en 1969, normalienne, s'était fait remarquer dès la parution de son premier roman Truismes, en 1996. Elle en a publié ensuite une dizaine d'autres dont certains ont fait polémique. Celui-ci, l'histoire d'amour d'une femme blanche et d'un homme noir, a fait presque l'unanimité parmi les critiques. «C'est une audacieuse envie qu'a eue Marie Darrieussecq de célébrer le potentiel érotique de l'homme noir. À notre goût, elle l'a fait avec art, malgré quelques insupportables manies durassiennes et une écriture blanche qui a viré depuis longtemps à l'académisme», écrivait encore Sébastien Lapaque.

    Luttes féministes

    C'est aussi un roman sur l'attente amoureuse, a expliqué la romancière après l'annonce du prix: «Car malgré les luttes féministes auxquelles j'ai participé, nous les femmes, on a une Belle au bois dormant dans la tête.»

    Le prix Médicis étranger a été attribué contre toute ­attente, non pas à Laura ­Kasischke, mais à un autre auteur des Éditions Bourgois, Toine Heijmans, dont le premier roman En mer a enthousiasmé le jury. C'est l'histoire d'un homme qui part en bateau avec sa fille, une traversée idyllique qui vire au cauchemar…

    Le prix Médicis essai a été décerné à l'écrivain et journaliste biélorusse Svetlana Alexievitch. Dans Le Figaro littéraire du 26 septembre Étienne de Montety avait salué son livre La Fin de l'homme rouge (Actes Sud), un tableau de la Russie d'aujourd'hui, nostalgique du communisme: «Il se dégage de ce livre dense et puissant comme un fleuve une leçon terrible: à la prospérité l'homme préfère souvent la grandeur.»

     
  • Un premier retour sur les ”Paysages. A mon mari.”

    a MON MARI.jpg"J'ai commencé ton recueil reçu hier : il présente très bien ! J'ai lu quelques poèmes déjà, certains que je reconnais.... Il promet car il est beaucoup mieux (question papier et tenue) que le tout premier que je t'avais acheté (je ne parle pas du contenu qui est toujours aussi bon. Thebookedition a l'air sérieux....) Bon dimanche et je vais poursuivre ma lecture."

    Elisabeth le 5 juillet 2009

    Merci Elisabeth

    http://boulevarddesresistants.hautetfort.com/

  • JOYEUX ANNIVERSAIRE... à mon mari.... mort

    Je n'ai pas mis de petit mot pour m'en souvenir le matin... tellement je suis dans le gaz
    pas de poème imprimé que j'aurais glissé près de sa tasse de petit déjeuner
    L'année dernière, nous étions partis pour Aix-en-Provence
    J'aurais voulu ne pas me réveiller il y bientôt huit mois



    et ce matin
    pour ne pas vivre tous ces moments sans toi
    voir tous ces paysages
    qui rejoignaient si naturellement nos corps
    nos coeurs et nos esprits