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Rechercher : marie laurencin

  • Bruce Willis au secours de Marie Brizard

     

     

    Par Isabelle Chaperon
    04/02/2013 | Mise à jour : 13:00

    INTERVIEW - À une semaine d'une assemblée générale décisive, l'acteur, premier actionnaire et créancier du groupe Belvédère, apporte son soutien au plan de sauvetage du roi de la vodka et de l'anisette.

     

    Les actionnaires de Belvédère auront à se prononcer le 12 février sur l'avenir du groupe en difficulté. Bruce Willis ­an­nonce qu'il votera en faveur du plan négocié par l'administrateur judiciaire Frédéric Abitbol. La star, qui assure depuis 2009 la promotion de...
     
     
  • Café littéraire avec Marie-Hélène Lafon

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    Marie-Hélène Lafon

     

    Marie-Hélène Lafon, lauréate du Prix du Style 2012, est l'invitée d'honneur des 13es Rencontres littéraires en Pays de Savoie organisées par la Fondation Facim. Venez découvrir son oeuvre et partager avec elle un moment d'exception.

     

    Dans le cadre des 13es Rencontres littéraires en Pays de Savoie, la Fondation Facim a proposé à Marie-Hélène Lafon de venir participer, le 8 juin 2013 à la Chartreuse d'Aillon, à une journée autour de la thématique "Trajectoire d'écrivain", en compagnie de Bérengère Cournut et Fabienne Swiatly, deux auteurs également invitées pour l'occasion. Parallèlement à ce temps fort, de nombreux cafés littéraires sont organisés dans les Pays de Savoie. Gratuites et ouvertes à tous, ces rencontres permettent de découvrir un auteur et d'évoquer la place qu'occupe l'écriture dans une vie d'écrivain

    http://www.savoie-mont-blanc.com/offre/fiche/cafe-litteraire-avec-marie-helene-lafon/sitraEVE916688

  • Marie Jalowicz, l’échappée belle

     

    Natalie LEVISALLES 25 mars 2015 à 17:11
    CRITIQUE

    Comment une jeune fille juive a défié les nazis en restant à Berlin jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale

    Pour voir en quoi les livres influent sur moi, cf. mes 14 livres en vente sur ce blog

    Aquoi tient une vie ? Qu’appelle-t-on chance ? Et qu’est-ce qui fait que certains la saisissent et d’autres pas ? Ce sont des questions qu’on se pose à chaque instant en lisant Clandestine. Ce récit, où Marie Jalowicz raconte comment, jeune fille juive de 19 ans, elle a vécu - survécu - à Berlin, au cœur de l’Allemagne nazie jusqu’à la fin de la guerre, n’est pas le premier livre publié sur le sujet. Celui-ci est particulier par les questions qu’il suscite et par ce qu’on y voit du comportement des Berlinois, qui n’étaient pas comme un seul homme derrière le Führer, et pas non plus tous terrorisés. Pendant sa plongée dans la clandestinité, Marie Jalowicz a croisé des nazis fanatiques, des résistants courageux, des citoyens humains et des voisins magouilleurs.

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    Le récit commence en mars 1941 à la mort de son père (sa mère est morte en 1938) et finit en avril 1945. Quatre années de fuite et de solitude, de peur et de faim pour cette jeune fille de la bourgeoisie cultivée. A la différence d’autres «clandestins» comme Anne Frank, elle ne reste pas derrière une fausse cloison mais est au contraire toujours en mouvement. Elle marche, prend le bus ou le métro, traverse les parcs ou longe la Spree, guidée par sa détermination à survivre et une intuition qui lui permet d’échapper aux arrestations, de trouver des faux papiers ou un endroit pour dormir.

    Elle passe d’une arrière-boutique à un cagibi, hébergée par des gens qui savent qui elle est, ou qui ne savent pas, ou qui s’en doutent. Les uns l’aident par conviction politique ou par humanité et risquent leur vie. D’autres se font payer en espèces ou en nature.

    «Culot». Un moment, elle est travailleuse forcée chez Siemens, parmi d’autres femmes juives. Les contremaîtres, non juifs sont, pour la plupart, «aimables et corrects», note-t-elle. L’un d’entre eux, Schultz, arrive un jour en disant : «Mon curé dit que les nazis sont les plus grands criminels de l’histoire.» Schultz tombera amoureux de la délicieuse Ruth, une amie de Marie. «Schultz fut le premier amour de Ruth et, comme elle n’avait plus longtemps à vivre, le seul.» Dans l’usine, s’organise un circuit de sabotage auquel prennent part les ouvrières et plusieurs des contremaîtres. Il y a aussi le chef d’atelier, le SS Schönfeld. Quand Marie lui apprend la mort de son père, il lui lance un regard de sympathie. Elle lui dit alors qu’elle veut partir. «Je vois comment tout cela va finir. Ils nous déporteront et pour tout le monde, ce sera la fin.» Il «hoche imperceptiblement la tête», il fera le nécessaire, dit-il, et lui souhaite «bonne chance».

    Plus tard, il y aura ce policier qui, la croisant dans la rue avec ses copines, dit : «Vous êtes trois filles si mignonnes et ça ne se voit pas du tout. Enlevez donc cette saloperie d’étoile, montez dans le métro et le tour est joué.» Ou ce charcutier qui lui offre du boudin. Elle réalise alors que la moitié du quartier sait qui elle est et que personne ne l’a dénoncée. Sans parler bien sûr de la communiste Trude Neuke : «A partir de maintenant, et jusqu’à la victoire de l’armée Rouge, je prends la responsabilité de ta vie.» Trude tiendra parole. Jour après jour, mois après mois, Marie évite les pièges qui l’attendent. A plusieurs reprises, elle joue le tout pour le tout. A la poste, l’euphémisme pour «déporté» est : «Parti vers l’est. Destination inconnue.» Le jour où le facteur lui apporte une lettre, elle lui répond : «Partie vers l’est.» «C’est comme cela que je fus rayée du fichier de l’Arbeitsamt, en ayant le culot d’informer les services publics que j’étais déjà déportée.» Un jour, elle va au tribunal des tutelles et demande à être majeure émancipée, «sinon il y aura des difficultés pour correspondre avec mon tuteur d’un camp de concentration à l’autre». Le juge manque de s’étrangler et se débarrasse d’elle en lui signant tout ce qu’elle veut. Une autre fois, elle se débrouille pour convaincre le policier venu l’arrêter de la laisser descendre chercher du pain en chemise de nuit. Dans la rue, elle aborde un vieil ouvrier, il lui prête son blouson, trop content de «faire quelque chose contre ces Canaques !»

    A partir de 1942, quand elle décide de ne plus porter son étoile et d’entrer dans l’«illégalité», elle évitera de rencontrer des Juifs mais, avant, elle fait ses adieux à sa famille. La tante Grete d’abord : «Tu ne veux pas venir de ton plein gré ? Il faudra tous y aller, tôt ou tard.» Puis l’oncle Leo, très sec : «Tu déranges, nous n’avons pas le temps. Mes sœurs sont occupées à préparer notre déportation.»

    Ambiguïtés. Dans ce récit précis et lucide, il n’y a ni gentils ni méchants, ou en tout cas pas seulement, mais beaucoup d’hommes et de femmes qui, à certains moments, dans certaines situations, se conduisent bien ou mal. Sauf que, dans cette situation, leurs actes font que d’autres vivront ou mourront. Une des grandes forces de ce livre est qu’il ne cache rien des ambiguïtés de tous, elle comprise. Il y a par exemple le gynécologue juif Bruno Heller. D’un côté, c’est un dandy vaniteux qui, dans sa jeunesse, a été très à droite avant de passer à gauche. Son épouse, non juive, est une femme désagréable qui oblige ses visiteurs à mettre un journal sous leurs fesses pour ne pas salir le velours de ses chaises. Mais, aussi antipathiques soient-ils, tous deux risquent chaque jour leur vie en planquant des Juifs dans leur appartement. Heller finira d’ailleurs par être arrêté.

    Ravissement. La jeune Marie est séduisante. Et seule dans la vie. Cela lui vaut toutes sortes d’attentions de la part de toutes sortes d’hommes. A plusieurs reprises, elle se retrouve dans des situations qu’on qualifierait aujourd’hui de viol. La seule fois où elle utilise ce mot, c’est quand les Soviétiques libèrent Berlin et «passent dans les maisons pour violer les femmes. J’y passai moi aussi… Je reçus la visite d’un type costaud, aimable. Cela ne me fit pas grand-chose. Il écrivit ensuite un mot au crayon qu’il laissa sur la porte, disant qu’ici était sa fiancée et qu’il fallait me laisser tranquille. De fait, je ne fus plus jamais importunée». Cet épisode, elle le raconte comme les autres, avec une sorte de détachement, spontané ou construit. En tout cas, elle n’en fait pas un drame public.

    De toute la guerre, la jeune fille ne pleure pas une seule fois. Elle a découvert, avec un mélange d’amusement et de ravissement, le parler populaire berlinois, «la langue des gens qui venaient en aide… C’était avant tout la bourgeoisie allemande cultivée qui avait manqué à ses devoirs». Mais quand, le dernier jour de la guerre, elle rencontre un architecte qui emploie le subjonctif du style indirect, elle a les larmes aux yeux. Cela fait trois ans qu’elle n’a pas entendu cette forme grammaticale qui lui rappelle son école et sa famille.

    L’écriture est sobre, tendue, et très vivante. On comprend pourquoi quand on lit la postface, signée par son fils, l’historien Hermann Simon. Pendant très longtemps, Marie Jalowicz n’a quasiment rien raconté de cette période. Mais, fin 1997, alors qu’elle a 75 ans, son fils la décide à enregistrer son témoignage. Cela donne 77 cassettes dont sont tirées 900 pages de décryptage éditées par l’écrivain Irene Stratenwerth.

    A la fin de la guerre, alors qu’elle venait de trouver un studio où commencer une nouvelle vie, Marie Jalowicz avait pris des résolutions. «Rester seule plutôt que d’avoir un partenaire qui ne serait pas cultivé. Rester toujours honnête comme l’avaient été mes parents. Ne jamais pester contre tous les Allemands sans faire de distinctions.»

    Marie Jalowicz SimonClandestine Edité par Irene Stratenwerth et Hermann Simon. Traduit de l’allemand par Bernard Lortholary. Flammarion, 434 pp., 22,90 €.

    http://www.liberation.fr/livres/2015/03/25/marie-jalowicz-l-echappee-belle_1228250

     

    Pour voir en quoi les livres influent sur moi, cf. mes 14 livres en vente sur ce blog

  • Incendie au domicile de Jean-Marie Le Pen

    ALERTE INFO > 15H08  

    Jean-Marie Le Pen blessé au visage lors de l'incendie de sa maison

    Un incendie s'est déclaré aujourd'hui dans la maison de Jean-Marie Le Pen à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine). Il a été légèrement blessé au visage en voulant échapper aux flammes.

    "La maison a brûlé, mon père était à l'intérieur. Il est blessé au visage, mais il n'y a rien de grave, rien d'inquiétant", a déclaré la présidente du Front national (FN), Marine Le Pen.

    "Il s'agit d'un départ de feu accidentel qui a pris vraisemblablement dans le conduit de la cheminée sur laquelle travaillait un ouvrier", à la mi-journée dans la maison de Jean-Marie Le Pen a relaté une source policière, confirmant une information de LCI. Jean-Marie Le Pen "s'est refugié sur la terrasse" et "est tombé en voulant échapper aux flammes", a expliqué une autre source.

    Avec son épouse Jany, ils ont été pris en charge par les pompiers, mais leur état ne nécessitait pas une hospitalisation.

    Plus d'infos sur Le Figaro

    lundi 26 janvier 2015 - 14:11

     
      
     
       
     
       
     
     

    Un incendie a éclaté au domicile du président d'honneur du Front national, à Rueil-Malmaison, dans les Hauts-de-Seine.

     
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  • Marie Gillain, étourdissante Vénus à la fourrure

    La Vénus à la fourrure : sado-boulot-maso

     
    <i>La Vénus à la fourrure</i> : sado-boulot-maso

    Marie Gillain et Nicolas Briançon font des étincelles dans l'adaptation au théâtre du livre de Leopolod von Sacher-Masoch, également reprit au cinéma par Roman Polanski.

    Marie Gillain, étourdissante Vénus à la fourrure

     
    Marie Gillain, étourdissante Vénus à la fourrure

    Jérémie Lippmann met en scène la pièce de l'Américain David Ives. Une variation ironique sur le livre de Sacher-Masoch. Face à celle qui incarna Anne Frank, Nicolas Briançon impose sa personnalité.

  • Marie Dubois, les réalisateurs sous le charme de son innocence

     
    Marie Dubois, les réalisateurs sous le charme de son innocence

    L'actrice qui vient de disparaître à l'âge de 77 ans, a su séduire des cinéastes qui appartenaient à toutes les écoles du septième art, de la nouvelle vague aux grandes comédies populaires.
    Décès de Marie Dubois, blonde figure de la nouvelle vague

    Une vague de larmes pour Marie Dubois

     
    Une vague de larmes pour Marie Dubois

    Avec sa voix reconnaissable entre toutes et sa blondeur en signature, l'actrice française, qui a notamment tourné avec Jean-Luc Godard, François Truffaut et Claude Sautet, a également participé au renouveau du cinéma suisse.

  • Dans ma lecture de Jean-Marie Rouart:

    Lesley Blanch, née le à Londres, Royaume-Uni et morte le à Menton en France, est une écrivaine et une éditrice de mode britannique.

    Née à Londres dans une famille de la bourgeoisie britannique, Lesley Blanch a passé la plus grande partie de sa vie à voyager dans des pays lointains qu'elle a décrits dans ses ouvrages.

    Dès l'âge de quatre ans, elle est fascinée par un ami de la famille, un mystérieux Russe, grand voyageur de vingt-cinq ans son aîné. Il devient son amant alors qu'elle a tout juste vingt ans, puis il disparait en Union soviétique. Elle décide alors de se lancer à sa recherche et devient, dans le début de ces années 1930, une des rares personnes à voyager en Union soviétique, s’intéressant plus à l’histoire et à littérature qu’à la politique. Elle racontera en partie cet épisode de sa vie dans ses mémoires, Voyage au cœur de l'esprit, publiées en 1968.

    Revenue à Londres, elle travaille entre 1937 et 1944, comme éditrice au magazine Vogue puis, pendant la guerre, écrit également pour le Ministère de l’Information britannique.

    En 1944, elle fait la connaissance de Romain Gary qu'elle séduit. De dix ans son cadet, l’écrivain français d'origine russe, futur Prix Goncourt, est alors capitaine dans l'escadrille Lorraine des Forces françaises libres du général de Gaulle. Elle l'épouse en troisièmes noces, en 1945, et il fait d'elle l'héroïne de son roman Lady L.. Après la guerre, elle partage la vie diplomatique de son mari au gré de ses affectations, qui les amènent à séjourner à Sofia, à Berne, à New York (où elle écrit The Wilder Shores of Love), en Bolivie (lorsqu'il reçoit le Goncourt, en 1956, pour Les Racines du ciel), à Londres puis à Hollywood. De son côté, elle part dans le Caucase pour faire des recherches sur l'imam Shamyl et trouve l'inspiration pour son livre Les Sabres du paradis publié en 1960. Ensemble, ils visitent de nombreux pays et continents : Turquie, Amérique centrale (dont le Mexique où Romain Gary écrit La Promesse de l'aube), Afrique du Nord. S'ils vivaient déjà séparés lorsque Romain Gary était en poste en Bolivie, ils ne décident de divorcer qu'en 1962 et garderont une « sorte d'amitié téléphonique ». Romain Gary épousera plus tard l'actrice Jean Seberg. De son côté, Lesley décide de s'installer à Paris. Elle continue à voyager et partira une année à Hollywood pour travailler avec le réalisateur George Cukor à la MGM.

    Elle renoue avec son attirance pour les voyages et part traverser la Sibérie sur le légendaire Transsibérien, puis retourne au Sahara qui lui avait inspiré son premier et célèbre roman : The Wilder Shores of Love en 1954. De fait, elle est fascinée par l'Orient et par les femmes qui l'ont parcouru dans les siècles passés. Elle brosse d'elles quelques portraits que l'on peut retrouver dans son livre Vers les rives sauvages de l'amour, publié en 1974. Cette fascination de l'Orient la pousse aussi à s'intéresser à Pierre Loti, qui lui inspire une biographie en 1983 et un essai sur le romantisme du voyage en 1989.

    Devenue une « délicieuse vieille dame britannique au goût suranné et au caractère affirmé », elle vécut ensuite jusqu'à sa mort le , à Menton, à proximité de la frontière franco-italienne, dans une maison exotique perdue dans des plantations tropicales.

    Elle renoue avec son attirance pour les voyages et part traverser la Sibérie sur le légendaire Transsibérien, puis retourne au Sahara qui lui avait inspiré son premier et célèbre roman : The Wilder Shores of Love en 1954. De fait, elle est fascinée par l'Orient et par les femmes qui l'ont parcouru dans les siècles passés. Elle brosse d'elles quelques portraits que l'on peut retrouver dans son livre Vers les rives sauvages de l'amour, publié en 1974. Cette fascination de l'Orient la pousse aussi à s'intéresser à Pierre Loti, qui lui inspire une biographie en 1983 et un essai sur le romantisme du voyage en 1989.

    Devenue une « délicieuse vieille dame britannique au goût suranné et au caractère affirmé », elle vécut ensuite jusqu'à sa mort le , à Menton, à proximité de la frontière franco-italienne, dans une maison exotique perdue dans des plantations tropicales.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Lesley_Blanch

    http://www.lesleyblanch.com/

  • Dans ma lecture de Jean-Marie Rouart:

    Les Désenchantées

    par Pierre Loti

     

    ( Livre )
    Aubéron
    2003, 344 p., 20 euros
    Première édition : 1906
    ISBN : 2844980449

    Roman des harems turcs contemporains (soustitre) ou la condition de la femme dans l'Empire ottoman finissant.

    Avec Les Désenchantées, Pierre Loti mêle, en une exquise alchimie, réalité et fiction. Dans le mystérieux chassé-croisé de l'intrigue, Loti, le nostalgique de l'Empire ottoman, prend la défense de la femme turque et plaide pour son émancipation.

    Au début du XXe siècle, un écrivain français déjà célèbre occupe un poste diplomatique à Istanbul. Une jeune femme de la haute société turque et deux de ses amies entrent secrètement en contact avec lui. Entre ces admiratrices voilées, prisonnières d'un mode de vie ancestral et l'auteur captivé se met en place un jeu relationnel subtil et violent où émotions et sentiments parfois contradictoires s'expriment dans un décor envoûtant. Entrez dans ce monde chimérique avec harems, amours impossibles et mort inéluctable...

    Ce mélange d'ingrédients fit, à sa parution en 1906, le succès du livre, l'un des plus connus de son auteur. Le lecteur y retrouvait le charme insidieux des couchers de soleil sur le Bosphore, les promenades en caïque aux Eaux-Douces d'Asie et les incomparables évocations d'Istanbul, la ville tant aimée. À cette douce magie orientale, s'ajoutaient les destins tragiques de femmes éprises de modernisme, de liberté d'apprendre, d'agir et d'aimer. Tout à la fois ancrée dans son époque et annonciatrice de recherches littéraires contemporaines (personnages en quête d'auteur, roman dans le roman, mélange du « je » et du « elles »), cette œuvre fascinante est aussi un livre étonnamment moderne qui pose sur les débats actuels un regard aigu et leur apporte une saveur inattendue.

    Édition établie par Bruno Vercier et Alain Quella-Villéger


    Dans BiblioMonde

    Le secret des désenchantées : L’envers du roman raconté par celle qui fut Djénane.

    Constantinople fin de siècle par Pierre Loti

    Istanbul. Le regard de Pierre Loti

    Istanbul, rêves de Bosphore : des écrivains occidentaux écrivent sur la grande métropole de la Turquie
     
    http://www.bibliomonde.com/livre/les-desenchantees-3311.html
  • Dans ma lecture de Jean-Marie Rouart:

     

    « Ce que j’aime dans la littérature, c’est l’extraordinaire diversité des écrivains qui la compose. Il y a des aristos snobs comme Saint Simon ou Gobineau, des prélats érotomanes come le cardinal de Retz, des riches, des pauvres, des mélancoliques comme Nerval

    et des gais lurons comme Joseph Delteil, des beaux, des laids, des saints comme Pascal ou des crapules comme Maurice Sachs ; certains sont passés par la prêtrise et le monastère, d’autres par la prison. Quant à leurs mœurs, on a  toutes les variations des tempéraments, des sagesses et des perversités. C’est l’exacte reproduction de la vie, mais en mieux ».

  • Baudelaire / Marie-Christine Natta(médiathèque)

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    Marie-Christine Natta

    Edité par Perrin , DL 2017

    Délaissant rumeurs, généralités et clichés, cet ouvrage est appelé à devenir la biographie de référence de l'un des plus grands poètes du XIXe siècle. Enfant, Charles Baudelaire voulait être comédien. Cette fantaisie est très sérieuse : elle révèle toute l'importance que Baudelaire accorde à l'artifice, l'élément fondateur de son dandysme. Loin d'être une mode frivole ou juvénile, le dandysme représente pour lui une philosophie qu'il revendique et manifeste autant par sa vie que par son oeuvre. Voilà, parmi d'autres thèmes, ce qu'apporte cette biographie novatrice de l'auteur des Fleurs du mal : bien des pans de la geste du poète romantique méritaient d'être à nouveau questionnés

    http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/398838/baudelaire-marie-christine-natta

  • François Valéry ”Elle danse Marie” | Archive INA

    Dix-sept ans, le coeur barbouillé
    Elle vit dans sa banlieue paumée
    Marie
    Elle se tire à pied tous les matins
    Pour pointer au lycée du coin
    Marie
    Quand elle passe dans la rue les gens se disent
    Qu'il faut être fou
    D'vivre avec un walkman toujours branché
    Marie elle s'en fout
    Son père lui dit que c'est un garçon manqué
    Au début ça la f'sait pleurer, maintenant :
    Elle danse Marie, elle danse
    Elle adore quand ça balance
    Et elle danse Marie, elle danse
    Pour oublier qu'elle a pas eu d'chance
    Quand ça swing, Marie elle swing
    Et tous ses complexes se débinent
    C'est sa musique son feeling
    Sa raison God Save The Queen
    Six heures du soir, elle rentre chez elle
    Sa chambre c'est son septième ciel
    Marie
    Tant pis si elle est toujours seule
    Loin d'ses parents qui s'font la gueule
    Marie
    Les gens du quartier disent de Marie
    Qu'elle finira mal
    De danser dans le rue c'est pas normal
    Mais elle elle s'en fout
    Elle ne dit rien elle entend pas
    Elle sait qu'un jour elle partira
    Elle danse Marie, elle danse
    Elle adore quand ça balance
    Et elle danse Marie, elle danse
    Pour oublier qu'elle a pas eu d'chance
    Quand ça swing, Marie elle swing
    Et tous ses complexes se débinent
    C'est sa musique son feeling
    Sa raison God Save The Queen
    Elle danse Marie elle danse
    Elle adore quand ça balance
    Et elle danse Marie elle danse
    Pour oublier qu'elle a pas eu d'chance
    Quand ça sonne Marie se donne
    Et tous ses complexes l'abandonnent
    Ce genr' d'musique c'est son hymne
    Un peu son God Save The Queen
    Source : LyricFind
    Paroliers : Gilbert Sinoue / Francois Valery
    Paroles de Elle danse Marie © SM Publishing France, Editions Des Alouettes
  • Sur la terre comme au ciel : Marie, mère de notre espérance

    Sur la terre comme au ciel : 21 jours pour se consoler
    et dire " à Dieu " à nos défunts

     

     

     

    Aujourd’hui, 9 novembre,
    7e jour de la neuvaine de l'espérance.

     

    Je découvre la proposition du jour

     
     

    Priez le psaume du jour avec les Sœurs de la Nouvelle Alliance,
    lisez la parole de Dieu et méditez un texte d'une grande figure spirituelle.

    • 

     

    Karem, don Paul,
    et les équipes de Prions en Église et du sanctuaire de Montligeon

     

    La joie de la réhabilitation
     
    logoLumières dans la Bible
    S'arrêter, méditer la Bible
    Joie - Bondis de joie !
    Frère Patrick-Dominique Linck
    Nancy
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     Écouter la méditation
    Texte biblique
    Sophonie 3,14-20

    Pousse des cris de joie, fille de Sion ! Éclate en ovations, Israël ! Réjouis-toi, de tout ton cœur bondis de joie, fille de Jérusalem ! Le Seigneur a levé les sentences qui pesaient sur toi, il a écarté tes ennemis. Le roi d’Israël, le Seigneur, est en toi. Tu n’as plus à craindre le malheur. Ce jour-là, on dira à Jérusalem : « Ne crains pas, Sion ! Ne laisse pas tes mains défaillir  ! Le Seigneur ton Dieu est en toi, c’est lui, le héros qui apporte le salut. Il aura en toi sa joie et son allégresse, il te renouvellera par son amour ; il exultera pour toi et se réjouira, comme aux jours de fête. » J’ai écarté de toi le malheur, pour que tu ne subisses plus l’humiliation. Me voici à l’œuvre contre tous tes oppresseurs. En ce temps-là je sauverai la brebis boiteuse, je rassemblerai celles qui sont égarées, et je leur donnerai louange et renom dans tous les pays où elles ont connu la honte. En ce temps-là je vous ramènerai, en ce temps-là je vous rassemblerai ; alors je vous donnerai louange et renom parmi tous les peuples de la terre, quand je ramènerai vos captifs, et vous le verrez, – dit le Seigneur.

    Méditation

     

    La joie de la réhabilitation

     

    Décidément, déjà dans l’Ancien Testament le bon Dieu avait un penchant particulier pour les moutons noirs. Jésus le manifestera très clairement dans l’Évangile : « Les pharisiens et les scribes de leur parti récriminaient en disant à ses disciples : “Pourquoi mangez-vous et buvez-vous avec les publicains et les pécheurs ?” Jésus leur répondit : “Ce ne sont pas les gens en bonne santé qui ont besoin du médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes mais des pécheurs, pour qu’ils se convertissent.” »* La prophétie de Sophonie se réalise par l’incarnation de Jésus, le Fils de Dieu. Dieu se fait homme pour partir à la recherche de la brebis perdue afin de lui rendre sa dignité.

    Comme aumônier de prison, je connais beaucoup de personnes qui ont perdu leur dignité et qui connaissent la honte. Elle atteint leur famille, leurs proches. Leur situation ne leur laisse aucun doute : ils sont bien des brebis boiteuses ou galeuses qui se sont égarées. Pour nous, qui ne sommes pas en prison, nous pouvons toujours nous faire illusion, faire comme si nous n’avions pas besoin de nous convertir. Soyons honnêtes, nous faisons aussi partie du troupeau des brebis égarées. Le Seigneur n’est-il pas justement venu pour les pécheurs, pour ceux qui ont connu la honte, pour ceux qui s’égarent, et qui ont besoin de recevoir de lui : « Louange et renom parmi tous les peuples de la terre. »

    *Évangile de Luc, ch 5, v 30-32.