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Rechercher : marie laurencin

  • J'ai aimé faire découvrir le barrage de Bimont à mon mari fin septembre

    27 JANVIER 2012 039.jpg

    Vendredi 27 janvier, je suis montée au barrage de Bimont

    en bus de la gare routière d'Aix-en-Provence puis à pied

    pour voir la Sainte-Victoire ... et le barrage Bibemont

    2 paysages enchevêtrés entre Cézanne(peinture), son ami Zola(littérature), canal de provence, montagne(Ste Vitoire) et ciel mitigé mais air doux -bref comme je les aime- qui m'ont tant captivés que j'en ai raté le bus pour redescendre sur la ville (7 km) et sans savoir à quelle distance était le village de Vauvenargues (où vécut Picasso pour voir la Ste Victoire de Cézanne.27 JANVIER 2012 044.jpg27 JANVIER 2012 065.jpg

    Photos perso du 27 janvier

    Les Barrages Bimont et Zola

    Le barrage Zola
    Réalisé en pierre de taille entre 1850 et 1854 par le père d’Émile Zola, François, le barrage Zola était destiné à retenir les eaux de ruissellement de la montagne Sainte-Victoire afin de créer une réserve nécessaire à l’alimentation de la ville d’Aix-en-Provence. Une fois réalisée, la dérivation du lit de l’Infernet pour les besoins des Aixois fut très mal ressentie par certains propriétaires terriens du massif comme le marquis de Galliffet propriétaire du château du Tholonet . En effet, cette construction les empêchait de disposer librement et abondamment des eaux de la montagne Sainte-Victoire comme cela avait été le cas pendant des siècles. Compte tenu de la faiblesse du débit d’eau disponible 1m3/s, le barrage Zola fut dès 1877 remplacé par les eaux du canal du Verdon. Actuellement, le barrage n’a plus de fonction d’alimentation en eau.
    Le Barrage Bimont
    D’une hauteur de 87 mètres, il est le plus récent des barrages construits dans le massif Sainte-Victoire. Construit entre 1946 à 1951, ce barrage peut stocker 40 millions de m² d’eau. et servait à assurer l’alimentation en eau des grands centres industriels et urbains de la vallée de l’Arc et de Marseille. Il permettait de stocker à la fois les eaux de ruissellement du massif Sainte-Victoire et une partie des eaux provenant du canal du Verdon. Mais la construction du canal de Provence réduisit l’importance de cet ouvrage qui constitue surtout aujourd’hui une réserve de sécurité.

    L’action de réhabilitation du Grand Site

    Une des premières actions d’envergure du Grand Site a été l’aménagement de l’aire d’accueil de Bimont, d’une capacité de 200 véhicules, la plus importante sur le massif. Cet aménagement paysager s’est récemment enrichi de la création de deux itinéraires accessibles aux personnes handicapées.

    http://www.grandsitesaintevictoire.com/index.php/grand_site/patrimoine/patrimoine_bati/les_barrages_bimont_et_zola

  • Gérard de Nerval : une lettre édifante à Marie-Laetitia de Solms.

    Publié le 17 janvier 2011 par Bernard Vassor

    Par Bernard Vassor

    Marie de solms ratazzi de ruthe cadre.jpg

    Marie-Laetitia Bonapartre Wise est la petite-fille de Lucien, le frère de Napoléon. Elle fut l'épouse du comte de Solms en 1848, puis du premier ministre Italien Rattazzi en 1854. Femme de lettre, artiste, elle fut la première femme caricaturiste en 1850. Elle tint un salon littéraire, boulevard Bonne-Nouvelle, fréquenté par Hugo, Dumas, Sand Nerval et fut la dernière égérie d'Eugène Sue en exil à Annecy.

    Cette lettre fut écrite par Gérard en janvier 1853.

    A Madame de Solms

    Janvier 1853.

    Ne me donnez pas, chère bienfaisante, le beau  livre que vous m'avez promis pour mes étrennes, je les convoitais depuis longtemps ces beaux volumes dorés sur tranche, cette édition unique. Mais, ils coûtent très cher et j'ai quelque chose de mieux à vous proposer : une bonne action. 

    Je vous sens tresaillir de joie, vous dont le coeur est si chercheur ! Et bien ! voici ma belle amie, de quoi l'occuper pendant toute une semaine ! Rue Saint-Jacques, n°7, au cinquième étage, croupissent dans une affreuse misère- une misère sans nom- le père, la mère, sept enfants, sans travail, sans pain, sans lumière.

    Deux des enfants sont à moité morts de faim. Un de ces hasards qui me conduisent souvent m' y a porté hier. Je leur ai donné tout ce que je possédais : mon manteau et quarante centimes. O misère ! Puis, je leur ai dit qu'une grande dame, une fée, une reine de dix-sept ans, viendrait en leur taudis avec tout plein de pièce d'or, de couvertures, de pain pour les enfants.  Ils m'ont regardé comme un fou. Je crois vraiment que je leur ai promis des rubis et des diamants, et, ces pauvres gens, ils n'ont pas bien compris, mais ils se sont mis à rire et à pleurer.

    Ah ! si vous aviez vu ! Vite donc, accourez, avec vos grands yeux si doux, qui leur feront croire à l'apparition d'un ange, réaliser ce que votre pauvre poète a promis en votre nom.

    Donnez à cette bonne oeuvre le prix de mes étrennes, car je veux absolument y concourir, ou plutôt remettez à D... les quatre-vingts francs que devraient coûter le chef-d'oeuvre auquel je ne veux plus penser, et je cours au Temple et chez le père Verdureau acheter tout un aménagement de prince Russe en vacances.

    Ce sera beau vous verrez ! Vous serez éblouie !

    Je cours quêter chez Béranger.

    Au revoir petite reine, à bientôt au grenier de mes pauvres. Nos pauvres  ! je suis fier en écrivant ces mots. Il y a donc quelqu'un de plus pauvre que moi de par le monde !

    N'oubliez pas le numéro.  A cinquième, dernier couloir, la porte à gauche.....

     

  • Marie-Josée Croze s'attaque à un monstre sacré !

    News publiée Le Vendredi 20 Mai 2011 à 23:25
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    Le groupe France Télévisions est connu pour ses nombreuses adaptations de la littérature des dix-neuvième et vingtième siècles. Après Musset ou encore Baudelaire, la chaîne s'attaque maintenant à Stendhal et son roman La chartreuse de Parme. Et pour l'adaptation de ce classique, qui sera diffusée sur France 3, la chaîne a choisi un casting plus qu'exceptionnel.

    Le téléfilm est en ce moment en tournage à Parme et à Bologne jusqu'au 16 juillet. Hippolyte Girardot, actuellement à Cannes pour soutenir le film polémique La Conquête dans lequel il interprète Claude Guéant, incarnera le rôle du compte Mosca. François Berléand, lui aussi à Cannes pour présenter Un jour mon père viendra, interprétera le prince de Parme. Quant à la duchesse de Sanseverina, elle sera incarnée par l'excellente Marie-Josée Croze, qui était il y a quelques jours à Athènes pour défendre le très bon Un balcon sur la mer avec Jean Dujardin.

    Cette adaptation co-produite par la France et l'Italie n'a pour le moment pas de date de diffusion, mais au vu du casting comprenant l'excellent François Berléand, papa de jumelles de deux ans (Adèle et Lucie) avec sa compagne Alexia Stresi, on a hâte de le découvrir !

    http://www.purepeople.com/article/marie-josee-croze-s-attaque-a-un-monstre-sacre_a80226/1

  • J'ai aimé vendredi soir: Marie-Claude Mioche, ”L'Astrée”

    Errata Astrée I.pdf

    Enregistrement de l'émission "A plus d'un titre " sur RCF  diffusé ce samedi à 10h et lundi à 18h16100_0653.JPG100_0654.JPG

    Honoré d'Urfé, L'Astrée. Première partie (Delphine Denis éd.)

    Parution livre (édition) reçu pour Acta en attente de rédacteur

    Information publiée le mardi 29 mars 2011 par Matthieu Vernet (source : Editions Honoré Champion)


     

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    Honoré d'Urfé, L'Astrée. Première partie

    Sous la direction de Delphine Denis

    Paris : Editions Honoré Champion, collection "Champion Classiques. Série littératures", 2011.

    EAN 9782745321367

    720 p.

    Prix 15EUR

    Présentation de l'éditeur :

    Un roman

    Un siècle après l'Arcadia de Sannazar (1504), L'Astrée marque l'achèvement de la conquête de l'antique fable pastorale par les littératures européennes en langues vulgaires : paru entre 1607 et 1628, le roman d'Honoré d'Urfé est le dernier des grands chefs-d'oeuvre nourris de la veine des histoires de bergers. Mais la narration des amours de Céladon et Astrée dans la Gaule du Ve siècle inaugure aussi une nouvelle époque de la littérature française. Premier des grands récits publiés au moment où la France répare les plaies nées des guerres de Religion, l'oeuvre est très vite apparue comme une étape décisive dans l'art du roman, en même temps que, par sa philosophie de « l'honnête amitié », elle s'est imposée à ses lecteurs comme une référence commune, offrant ainsi la mémoire littéraire des manières de sentir et d'aimer de l'âge classique.

    Ce premier volume d'un ensemble appelé à en compter cinq constitue la première édition critique intégrale de L'Astrée.

    Cette publication a reçu le soutien du CNL au titre des " Lacunes ".

     

     

    Un défi

    L'extrême complexité de la tradition éditoriale de l'Astrée a dissuadé plus d'un chercheur de se lancer dans l'aventure d'une publication rigoureuse, véritablement critique. L'Astrée reste classé, en France, jusqu'à ce jour, au titre des « Lacunes du patrimoine » par le Ministère de la Culture. Attendue par toute une communauté de spécialistes et de lecteurs enthousiastes, car aucune édition critique complète de L'Astrée n'a encore vu le jour, en dépit de nombreuses recherches qui ont, depuis le texte procuré par Hugues Vaganay (Lyon, Masson, 1925-1928), enrichi notre connaissance des nombreux problèmes à résoudre sur le seul plan philologique. C'est ce défi que l'équipe éditoriale se propose de relever.

    Une méthode

    Pour le mener à bien, deux objectifs s'imposent. D'une part, donner à lire un texte établi selon un rigoureux protocole philologique. D'autre part, tout en faisant choix d'une tradition éditoriale déterminée – en l'occurrence la plus diffusée, qui fut aussi celle retenue par les deux grandes éditions collectives de 1632-1633 puis de 1647 –, offrir au lecteur l'intégralité des options éditoriales concurrentes, ainsi que des variantes constituées par les états antérieurs du texte. Il faut donc recourir à un dispositif inédit. Les éditeurs s'appuient ainsi sur deux supports complémentaires :

     

     

    – d'un côté, le livre imprimé, appareillé de notes critiques en version reliée (collection Champion "Sources classiques" n°104. 9782745321350. 50 EUR) et en version brochée dans le format semi-poche de la collection Champion Classiques, en 5 volumes ;

     

     

     

    – de l'autre, un site Internet (www.astree.paris-sorbonne.fr) entièrement dédié au roman, numérisé au format XML TEI, qui permettra au lecteur de confronter les divers états du texte. Un moteur de recherches inédit, élaboré en partenariat avec l'ARTFL (Université de Chicago), facilitera la consultation méthodique des variantes. Les deux conclusions ou continuations rivales (celle de Baro et celle de Gomberville) du roman, resté inachevé à la mort de l'auteur en 1625, figureront également sur le site. Y seront également publiées les réécritures tardives entreprises à compter de 1678, jusqu'à la monumentale édition illustrée attribuée à l'abbé Souchay (Paris, Witte et Didot, 1733, 5 vol.).

     

    L'équipe éditoriale

    Delphine DENIS, directrice du projet, est professeur à l'Université de Paris-Sorbonne; Jean-Marc CHATELAIN est conservateur à la Bibliothèque nationale de France; Camille ESMEIN-SARRAZIN est maître de conférences à l'Université d'Orléans; Alexandre GEFEN est maître de conférences en littérature française du XXe siècle à l'Université Montaigne (Bordeaux-III); Laurence GIAVARINI est maître de conférences à l'université de Bourgogne; Frank GREINER est professeur à l'Université de Lille 3; Françoise LAVOCAT, professeur de littérature comparée à l'Université Denis-Diderot (Paris 7); Stéphane MACÉ est professeur à l'Université Stendhal-Grenoble III.


     

    Url de référence :
    http://www.honorechampion.com/cgi/run?wwfrset+3+0+1+2+cccdegtv1+08532136+1

    http://www.fabula.org/actualites/l-astree-premiere-partie-sous-la-direction-de-delphine-denis_43802.php

  • J'ai fait découvrir samedi à mon mari:Musée Jacquemart André(où je vais régulièrement)

    musée jacquemart andré le 16 septembre 2009,paris,mes photosmusée jacquemart andré le 16 septembre 2009,paris,mes photosphotos perso de vendredi dernier à Paris

    paris 16 septembre 2009 006.jpgSitué à côté des Champs Elysées, le Musée Jacquemart-André présente la plus belle collection privée d’œuvres d’art de Paris, associée à l’atmosphère d’une grande demeure du XIXème siècle. Découvrez avec une visite audioguidée ce magnifique hôtel particulier, la passion d’Edouard André et de Nelie Jacquemart et leur éblouissante collection de peinture flamande, du XVIII siècle français, de la Renaissance Italienne, de mobilier rare… Le café Jacquemart-André offre l’un des plus beaux décors de Paris. Un moment inoubliable dans le musée préféré des Parisiens

    http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/jacquemart/

    Photo perso de l'entrée du musée du 16 septembre 2009

    Précédente publication:23/09/2009 15:57

     

  • Ce que j'écris:A mon mari(des poèmes à lire et relire)

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    -Treize ans :

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/09/25/mon-poeme-d-adulte-inedit-sur-ce-blog-treize-ans.html

    -Une coupure de bonheur :

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/08/25/mon-poeme-d-adulte-inedit-sur-ce-blog-une-coupure-de-bonheur.html

    -Il n’y a plus que toi :

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/08/22/mon-poeme-inedit-sur-ce-blog-il-n-y-a-plus-que-toi.html

    D'autres poèmes disséminés dans ce blog, un livre pour eux et un chapitre dans mon recueil "Des paysages amoureux et érotiques"( catégorie à ce titre dans "ce que j'écris") que vous pouvez acheter en passant par la bannière en haut de ce blog.

  • Je viens de lire: le Télérama Hors-série consacrée à Marie-Antoinette

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    Une expo, un film, une bio et même un hors-série Télérama… Victime d’un mépris haineux pendant la Révolution, la dernière reine de France nous revient en icône moderne, genre héroïne glamour à la Lady Di. Gardons la tête froide : la vérité est entre les deux.

    Marie-Antoinette, par Mme Vigée-Lebrun en 1783.

    Marie-Antoinette, icône moderne ? Il y a seulement vingt ans, qui aurait imaginé voir ainsi celle qu'avec mépris les pamphlétaires de son temps surnommaient « l'Autrichienne » accéder au rang de star – héroïne glamour pour Sofia Coppola, sujet d'une biographie signée de la Britannique Antonia Fraser (1) ? L'engouement populaire pour le destin tragique de Marie-Antoinette, exécutée en octobre 1793 alors qu'elle n'était plus la reine de France, atteint aujourd'hui des sommets. Reposant, en partie, sur un élan de compassion parfaitement anachronique, qui fait même comparer Marie-Antoinette à Lady Di , l'une et l'autre victimes expiatoires de leur époque, l'une et l'autre femmes « rebelles », modernes, ayant payé au prix fort l'affirmation de leur singularité.

    Cet excès irraisonné d'empathie apparaît comme la réponse outrée à l'aversion démesurée qu'elle provoqua longtemps. C'est que Marie-Antoinette revient de loin. Il n'est besoin, pour s'en convaincre, que de se plonger dans les libelles et pamphlets haineux qu'elle suscita, dès les premières années de son mariage (1770) avec le futur Louis XVI, qui n'était encore que le Dauphin. Chantal Thomas a fait ce travail et a publié, en 1989, l'année du bicentenaire de la Révolution, les fruits de cette immersion dans les archives : ce fut La Reine scélérate (2), belle étude historique qui tient le registre des agressions verbales d'une violence inouïe dont fit l'objet Marie-Antoinette. Injures teintées de xénophobie, de misogynie, de fantasmes sexuels, qui contribuèrent à véhiculer l'image erronée d'une souveraine frivole, dépensière, traîtresse, incestueuse.

    Le propos rigoureux et argumenté de Chantal Thomas n'était certes pas d'idéaliser Marie-Antoinette, mais simplement de rectifier l'image, de lui rendre ses justes couleurs. En se gardant de toute sensiblerie. En évitant aussi le piège de la manipulation historique et idéologique qui consisterait, à travers la réhabilitation de la reine, à mettre en cause l'héritage de l'événement révolutionnaire et les valeurs fondatrices de la République issues de ces années terribles. Entre glorification et diabolisation, l'équilibre réside dans une vérité historique à laquelle ont contribué aussi, au cours des dernières années, les travaux biographiques d'Evelyne Lever (3) et les réflexions de Mona Ozouf sur la Révolution et la fin de la royauté (4). Marie-Antoinette est bel et bien un individu d'Ancien Régime. Une ­figure complexe « attachée à une image ancienne de la royauté que dans le même temps elle bafoue et contribue à discréditer », explique Mona Ozouf dans le hors-série que Télérama consa­cre à Marie-Antoinette. Une personnalité qu'aucun cliché ne saurait résumer.

    Nathalie Crom

    (1) Ed. Flammarion.
    (2) Ed. du Seuil et en poche dans la coll. Points.
    (4) “Varennes, la mort de la royauté”, éd. Gallimard.
    (3) Ed. Fayard. On doit aussi à Evelyne Lever la très belle édition de la “Correspondance de Marie-Antoinette” (éd. Tallandier).
     
    A VOIR

    Marie-Antoinette, exposition par Robert Carsen : 300 oeuvres (peintures, sculptures, objets d'art...) pour évoquer la vie et le siècle de la souveraine. Du 15 mars au 30 juin aux Galeries nationales du Grand Palais, Paris VIIIe. Tél. : 01-44-13-17-17.

    A LIRE

    Télérama Hors-série "Marie Antoinette, rétrospectice au Grand Palais", 7,80 €.

    http://www.telerama.fr/scenes/26006-une_tete_qui_nous_revient.php

  • ”Le mari est toujours le dernier à soupçonner l'infidélité de sa femme.” Oscar Wilde

    Bonjour,

    Aujourd'hui : "Un examen de routine ?"

    Où l'on découvre les secrets d'une bourgeoisie hollandaise

    Jan Steen, La visite du médecin, vers 1660, Wellington Museum, Londres
    Voir en grand

    Dans un intérieur bourgeois richement décoré, une jeune femme visiblement mal en point se tient la tête tandis qu’un médecin lui prend le pouls.

    Une domestique tient un flacon de verre. Il s’agit de la Visite du médecin, peinte par Jan Steen en 1660. Une scène de la vie quotidienne, bien banale en somme…

    Mais quand on connaît la malice du peintre hollandais et son goût pour les énigmes, on peut y voir tout autre chose.

     

    Les œuvres d’art accrochées dans cette pièce reflètent l’opulence d’un salon bourgeois de l’époque.

    Sur le mur de droite, Jan Steen s’est amusé à peindre un tableau dont il est propriétaire : Pekelharing de Frans Hals, peintre du Siècle d’or hollandais (XVIIème siècle).

    détails du tableau

    Aux pieds de la malade, un enfant joue avec des flèches : un Cupidon, évocation de l’amour ?

    En observant attentivement la jeune femme, on remarque son bas-ventre arrondi. La couleur ambrée du flacon laisse penser qu’on analyse son urine. Pas de doute, cette femme est enceinte !

    Détail intéressant : le chien, symbole de fidélité, toise la jeune femme d’un air réprobateur… De plus, un autre tableau retient notre attention : au fond de la pièce, on voit une scène amoureuse, représentant Vénus et Adonis, son amant.

    Détail du tableau

    Ces touches ironiques du peintre nous invitent à voir ce tableau comme la dénonciation d’une relation extraconjugale. Jan Steen propose ici une morale dans une œuvre illustrant le quotidien, une caractéristique des scènes de genre.

    Et le regard entendu entre le médecin et la servante en dit long sur ce qu’ils savent…

    Jan Steen, Autoportrait, huile sur toile, 1670, Rijksmuseum, Amsterdam
    http://newsletters.artips.fr/CdA/Voir en grand

  • Mon poème inédit pour la St Didier le 23 mai(mon mari):Je n'écris plus

    Je n'écris plus 

    Mais je t'aime de plus

    En plus

     

    Je crie beaucoup

    Et je te pousse à bout

    Mais ça reste nous

     

     

     

    J'ai toujours mal

    Et ça me fait aussi mal

    De t'aimer mal

     

    Je parle trop

    Du boulot

    C'est un de mes maux

     

    Je me plains sans cesse

    Mais jamais je ne cesse

    De désirer tes caresses

     

    Tu m'as fait si peur

    Peur de perdre le bonheur

    De nos corps à cœur

     

    Je n'écris plus 

    Mais je t'aime de plus

    En plus

     

    Vendredi 22 mai 2015,18h48

    BONNE FETE

     

  • Je viens de terminer:Vincent Van Gogh. Le brouillard d'Arles (cadeau de mon mari pour NOEL)

    Lire la note de Bogomila Welsh-Ovcharov dans le cadre de la polémique.

    "Voici la découverte la plus révolutionnaire de toute l’histoire
    de l’œuvre de Van Gogh. Non pas un dessin, ni dix,
    ni même cinquante, mais soixante-cinq !"

    Ronald Pickvance

     

    Du livre de comptes, autrement appelé "brouillard", offert par monsieur et madame Ginoux, les propriétaires du Café de la Gare à Arles, Vincent Van Gogh a fait un carnet de dessins qu’il a emporté avec lui pendant deux années cruciales, dans ses pérégrinations en Provence, entre février 1888 et mai?1890, pour réaliser des paysages, des esquisses, quelques portraits, dont celui de Gauguin, et son autoportrait, de face, saisissant. On découvre ainsi toute la gamme du génie dans les derniers mois de sa vie, juste avant la remontée fatale vers Auvers-sur-Oise.

    Ce document d’une valeur historique et esthétique inestimable a traversé plus de cent vingt ans d’oubli pour ressurgir aujourd’hui comme un trésor intact, dont l’analyse détaillée de Bogomila Welsh-Ovcharov permet de saisir toute la mesure et le retentissement. Elle raconte l’histoire passionnante de ce "brouillard", et resitue chaque dessin dans le contexte de l’œuvre de Van Gogh et de son séjour à Arles puis à Saint-Rémy-de-Provence.

    Ce livre est l’acte de divulgation d’un carnet enfin retrouvé, et porté à la jouissance de chacun.

    seuil.com/

  • Bonne fête à Didier , mon mari(avec ce poème inédit):Toi

    Toi

    Toi, qui es mon espace et mon paysage

    Toi, qui es mon jardin secret et mon paradis sur terre

    Toi qui hais ceux qui m’infligent des souffrances

    Toi qui aime ma peau, mon corps et mon visage

     

    Toi qui es mon mari, mon amant et mon frère

    Je sais que cela est beaucoup et te pèse

    Toi qui es mon ami et ma famille

    Je suis plus forte que tu ne penses

    Toi que j’aime aimer lorsqu’aimer aime

    Caresser, embrasser et se nourrir d’étreintes

    Toi qui m’aimes sans  mesure

    Mesure que je t’aime plus que moi-même

     

    Toi qui calme un peu mes angoisses

    Toi qui me fais gagner en confiance

    Appuie-toi sur moi plus, sur mes faiblesses :

    Pour toi, elles se feront forces.

     

    22 mai 2017

  • J'ai terminé hier soir:Venise est une ville(offert par mon mari pour NOEL)

    venise est une ville

    Préface de Stella Mancuso.
    Traduit de l’italien par Christophe Carraud.

     

    Un ouvrage de 560 pages, de format 22 x 27 cm, imprimé à Venise sur les presses des Grafiche Veneziane.
    890 illustrations. Relié sous jaquette.

    Venise est une ville est un ouvrage exceptionnel d’intelligence urbanistique et environnementale. Le titre en manière d’évidence ironique et affectueuse fait le fond du propos de l’auteur, Franco Mancuso, architecte et urbaniste de renom, dont l’acuité du regard — technique, historique, critique — offre au lecteur de comprendre Venise comme peu d’ouvrages le lui permettent. Venise est une ville : non pas une image, un prétexte à rêverie, un conservatoire de temps révolus, un tableau romantique ou une méditation sur la mort et ses masques — ce qu’elle fut trop souvent, et chez trop d’esprits, pour que l’auteur ait à s’en soucier. Non : une ville où l’on vit, une ville bien actuelle aussi, invitant à la vie qu’on peut y mener, que ses habitants y mènent concrètement, et surtout au déchiffrement de ses formes, de la manière dont elle s’est construite et dont elle continue d’exister.

    Mais bien sûr ce n’est pas n’importe quelle ville : non seulement parce qu’une cité lagunaire n’est pas chose fréquente, et que l’est moins encore une telle richesse architecturale et artistique. Mais aussi parce qu’elle n’a cessé d’inventer sa façon propre d’être une ville, dans les conditions où elle se trouvait. D’où l’immense intérêt de l’ouvrage de Franco Mancuso, dont le lecteur peut suivre les explications et les descriptions pas à pas, en vérifiant au besoin sur le riche matériau documentaire rassemblé par l’architecte : quelles ont été les réalités de sa construction — les moyens de sa négociation avec l’eau, les techniques qu’elle a mises au point, les principes urbanistiques qu’elle a su inventer, en somme cette industrie toute concrète qui l’a rendue telle ? Comment a-t-elle pu exister dans un site si hostile à toute habitation, et comment peut-elle continuer de le faire quand celui-ci est soumis à toutes les menaces de la « modernisation » de la Lagune ?

    tissus original d’Hélène Ferruzzi-Kuhn

    On sait gré à l’auteur de répondre à ces questions avec la sobriété précise et ardente de ses compétences urbanistiques, sans se perdre en propos mille fois lus ; sa connaissance de Venise — qu’il habite depuis l’enfance — et l’inquiétude où il est du devenir de la ville et de son environnement posent à leur manière une question essentielle, celle que suggérait Giancarlo De Carlo : « Venise apparaît par magie plus belle tous les jours, simplement en restant telle qu’elle est, parce que les villes du monde deviennent tous les jours tragiquement plus laides. »

    Richement illustré d’images en grande partie inédites, le livre de Franco Mancuso permet aussi de mesurer la place que peut occuper aujourd’hui l’histoire de Venise et de sa Lagune dans la réflexion sur le devenir des villes que nous habitons et des lieux où elles s’inscrivent.

    http://www.revue-conference.com/collection-lettres-d-italie/venise-est-une-ville.html

     

     

     

  • Cela a été très émouvant de voir l'Eglise Saint-Sever de Rouen où mon mari est allé quand il était jeune

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    L’ancienne église paroissiale St-Sever a été rasée et remplacée par une église beaucoup plus récente entre 1857 et 1860. Elle n’occupe pas exactement le même emplacement. Elle a été déplacée plus au sud. De même son orientation a varié de près de quatre vingt dix degrés. Maintenant le chœur est plein sud. L’église paroissiale du faubourg d’Emendreville, à ses débuts, ne constituait qu’un simple oratoire consacré à  saint Cassien. Cette modeste chapelle St-Cassien reçut donc en 990 les reliques de saint Sever. A partir de cette date, elle ne fut plus connue que sous le nom d’église St-Sever... Les conflits de 1143-1144 entre Mathilde l’Emperesse, petite-fille de Guillaume le Conquérant, et le roi d’Angleterre, Etienne de Blois, pour la possession du duché de Normandie se traduisirent par de violents combats. L’incendie de l’ensemble du faubourg d’Emendreville, désormais aussi dénommé St-Sever, ravagea alors la paroisse. Les premiers desservants de la paroisse, ceux qui en furent les curés au début, n’étaient autres que des pères du proche prieuré de Bonne-Nouvelle.

    L’église détint quelque temps les précieux restes de saint Sever. L’église primitive dut être rebâtie au XIVe siècle. Elle fut ruinée avant le siège des Anglais de 1417-1418. Ce furent les Rouennais eux-même qui la détruisirent pour qu’elle ne serve pas d’abri aux assiégeants. Elle fut ensuite lentement restaurée et seulement en partie. Les travaux traînèrent jusqu’en 1538, année de sa dédicace. L’édifice fut dévasté par les Huguenots en 1562. Ils en brisèrent les ornements, particulièrement les vitraux et les bancs. Elle fut de nouveau dévastée en 1591-1592, lors du siège d’Henri IV contre les Rouennais ligueurs. Elle fut reconstruite au tout début du XVIIe siècle. L’ancienne église était fort simple. Elle ne comportait qu’une nef couverte d’une voûte en bois. Cette nef n’avait que trois travées et se terminait par un chevet plat au niveau de ce qui est maintenant la rue d’Elbeuf. Un seul bas-côté de peu d’élévation courrait au nord sur la longueur de l’édifice. Une lourde tour occupait tout le bas de ce collatéral. Elle était surmontée d’un petit clocher quadrangulaire couvert d’ardoises. Conservée après la Révolution, en 1791, comme église paroissiale, l’église fut ensuite fermée. Elle a été utilisée pour entreposer les linges souillés des prisonniers du Palais de Justice. Après réfection, St-Sever fut rendue au culte après le Concordat, en 1802.

    Toutefois, l’église St-Sever a été tenue, avant le Concordat, par un prêtre acquis au clergé dit “constitutionnel”, très dévoué, et qui - fait exceptionnel - fut maintenu en place jusque vers 1802. En 1856, l’église menaçait ruine et se révélait insuffisante pour les besoins d’une paroisse dont la population s’accroissait toujours. Il fut alors décidé d’édifier une nouvelle église, non orientée. Pendant quatre ans, les travaux furent entrepris pour la construction d’un monument de style néo-Renaissance par l’architecte Vachot. On put voir, peu avant la bénédiction du nouveau sanctuaire, l’ancienne église, à sa place devant la nouvelle. Dès 1860, le vénérable monument fut abattu. Il est possible que l’on ait réutilisé quelques éléments de la vieille église pour la construction de bâtiment faisant autrefois fonction de mairie annexe de St-Sever et de commissariat, de l’autre côté de la rue d’Elbeuf.

     
     
    Clergé
    En 1770, le clergé se composait de 7 personnes : 2 acolytes En 1834, le curé était M. Godequin, 3, rue d'Elbeuf.
     
    Mobilier

    Elle contenait une chaire de bois du XVIIe siècle provenant de l'église Saint-Herbland. Une statue en bois polychrome, du XVIIIe siècle également, représentant saint Sever et placée près du maître-autel, pourrait faire partie de l’ancien mobilier. Un maître-autel surmonté d’un retable avait été installé dans l’église en 1721. Les panneaux orientaux des voûtes de bois étaient peints. Ils contenaient, à droite, la Vierge, saint Jean, saint Luc, saint Grégoire, saint Jérôme, saint Paul et, à gauche, Jésus Christ, saint Marc, saint Matthieu, saint Pierre, saint Augustin, saint Ambroise ainsi que quelques anges et, au-dessus, un prêtre, sans doute le curé de St-Sever qui les avait fait exécuter. La pierre de dédicace de l’église datant de 1538 est encore bien visible au revers du portail de l’actuel.

     
    Tableaux
    Une toile peinte par Déhays fils (1746) figurait dans la décoration de l'église. En 1849, elle avait reçu une toile, copie d'un tableau du peintre Lesueur, l'Assomption. Deux toiles de l’actuelle St-Sever proviennent de l’ancienne église : Jésus nourri par les anges d’un artiste anonyme du XVIIIe siècle et un Ecce homo (ce dernier tableau étant sous verre). Un tableau de confrérie figurait dans l'église. L'église est figurée en arrière plan, à gauche. Il ne reste que deux tableaux dans une chapelle à l'est, près de la sacristie.
     

    Tableau de Confrérie

      
    Saint Yon

    L'Assomption

     
    Nouvelle église
     

    Sa construction a été décidée en 1854 et les travaux ont commencé en août 1856. L'architecte était M. Vachot, l'entrepreneur Baron fils. La pose de la première pierre a été faite plus tard, le 13 avril 1857. l'église a été consacrée le 26 mai 1860. La construction a duré trois ans et demi. L'ancienne église a alors pu être démolie. L'église a la forme d'une croix latine. Elle n'est pas orientée (son chœur est au sud) La nef est accompagnée de deux collatéraux terminés par de petites absides formant chapelles. Son style gothique est mâtiné de celui de la renaissance Le clocher se trouve au-dessus de la façade. Il mesure 57 m de haut.

     
     

     

    Mobilier
    Le maître-autel est particulièrement orné de multiples panneaux historiés. L'autel de la chapelle absidiale est est en bois et consacré à Saint-Michel, celui de la chapelle ouest est à la Vierge. Une poutre de gloire orne l'arc de la première travée de la nef.
     
    Vitraux
    Les vitraux sont de M. Drouin. Il y a cinq verrières dans le chœur, toutes de 1860.
         
    Reine devant la Trinité Résultat d'une quêteSaint Romain et saint Pierre Don de M. TheveninSainte Austreberthe et saint Paul Don de l'abbé LecœurSaint Stéphane et saint Jérôme Don de M. ChéronSaint-Louis et sainte Clothilde Don de P. Lecœur aîné
      
    Rose sud Elle porte en son centre les armes du cardinal de BonnechoseRose nord Elle porte en son centre les armes du cardinal Blanquart de Bailleul
     
    Un vitrail plus récent orne une fenêtre d'une chapelle de façade. Il représente l'Ascension. Il est ni daté ni signé. Le tympan porte les armes de Mgr Martin, archevêque de Rouen.
     
    Tableau
    Un tableau de confrérie fig
     
    Orgues
    L'orgue de tribune a été construit par le facteur rouennais Hubert Kirscher en 1881. Le facteur Bouillou est intervenu en 1900. l'instrument a été relevé en 1926 par Mutin. On a ajouté une grande tribune en avant de l'instrument.

    L'orgue de chœur provient de l'église Saint-Godard. Il date de 1850. Il a été réharmonisé par Cavaillé-Coll en 1851 et transféré à Saint-Sever en 1885 par Narcisse Duputel (le buffet est resté à Saint-Godard). Il a été relevé en 1885 par Krischer et transformé en 1921 par John Abbey. Il a de nouveau été transformé vers 1960 par Maurice Gervais, et relevé en 1987 par Jean Belfort. une dernière restauration a été faite en 2012 par denis Lacorre de Nantes.

     
    Cloches
    L'ancienne église possédait trois cloches qui avaient été fondues par Joseph Mahuet et Petitpas, le 30 août 1758 dans une cour de la rue Pavée. deux d'entre-elles disparurent à la Révolution et furent remplacées en 1814. La Marie-Michel avait été fondue Par Caplain Père et fils. Elle nécessita une refonte à la fin du XIXe siècle. Elle se nomma ensuite Marie-Antoinette-Mathilde et fut fondue par Adolphe Havard de Villedieu. Elle avait été vendue par Henri Roy, de Sainte-Austreberthe.
     
    Confréries

    Les confréries vécurent de nombreux conflits. La Charité. Elle existait semble-t-il au XIIe siècle. Elle a été reconstituée en 1465 et approuvée en 1489. Confrérie de sainte Suzanne, saint Mathurin et sainte Barbe. Elle apparaît en 1468 et est à nouveau érigée en 1525. Confrérie du saint Esprit, saint Jean-Baptiste, saint Sébastien. Fondée en août 1566. Confrérie du saint Sacrement. Approuvée en 1681. Confrérie de sainte Clothilde. Confrérie du Sacré cœur. Confrérie de Notre Dame de Pitié.

    http://www.rouen-histoire.com/Eglises_Rouen/St-Sever.htm

  • Dans ma lecture de Jean-Marie Rouart,Ces amis qui enchantent la vie

    Le mystère de la lecture, c’est que de toutes les passions, c’est une de celles qui ne s’épuisent pas. On pourrait imaginer qu’avec le temps vient la lassitude. C’est tout le contraire. L’appétit reste vif. On mesure tout ce qu’on n’a pas lu et nous restera à jamais ignoré. On va mourir sur sa faim. Des continents entiers demeureront ignorés qui contenaient de petits paradis et des sortilèges qui garderont leurs secrets.

    Pour moi, je n’ai jamais envisagé la lecture que comme un décryptage de ma propre vie. Aussi, quand viendra l’heure, ce ne sera pas seulement au dernier mot d’un livre mais à mon dernier souffle qu’il faudra ajouter le mot « fin »
    
(…) A ces amis qui ont enchanté ma vie, je devais bien dire ma reconnaissance : c’est ce livre.

  • Dans ma lecture de Jean-Marie Rouart,Ces amis qui enchantent la vie

    Nathalie Nerval est une comédienne française, ayant passé près de vingt-cinq ans à la Comédie-Française, née le à Paris et morte le à Paris.

    Cinéma

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    https://fr.wikipedia.org/wiki/Nathalie_Nerval