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  • J'ai fini de lire aujourd'hui:Diego Rivera: révolutionnaire et agitateur

    Rivera (Petite Collection Art)Picasso, Dali et André Breton ont décrit Diego Rivera, le mari de Frida Kahlo, comme un révolutionnaire et un agitateur, mais celui-ci a aussi été à l’origine d’un art public, à la fois très élaboré et profondément accessible.

    En 1910, Rivera s’installe en Europe où il se nourrit de l’influence cubiste. Après la révolution mexicaine, il rentre dans son pays pour mettre les leçons de l’avant-garde européenne au service du peuple mexicain. Ses propres fresques, ainsi que celles des muralistes mexicains qui ont suivi son exemple offrent une vision utopique d’un Mexique postrévolutionnaire.

    Les tableaux historiques de Rivera expriment sa manière de concevoir la révolution et ses idéaux, dans un style qui le conduit à revenir aux racines précolombiennes de la culture mexicaine, en réinventant un langage visuel réaliste et coloré capable de s’adresser directement au peuple en grande partie illettré. Cet ouvrage propose la première étude qui, en dehors du circuit des expositions, aborde de manière globale l’œuvre de cet artiste extraordinaire.

    Rivera

    http://www.taschen.com/pages/fr/catalogue/art/all/01741/facts.rivera.htm

  • Photo, Afrique, antiquités : bon bilan pour 3 foires parisiennes

    Le Quotidien de l'Art

    Édition du 17 novembre 2021
     
    À la une du N°2273
    Photo, Afrique, antiquités : bon bilan pour 3 foires parisiennes
    676 millions de dollars pour la collection Macklowe
    La cité des arts Diego Rivera ouvre à Mexico
    Le chiffre du jour : 7 musées autour du vin de Porto
    Les télex du 17 novembre
    TÉLÉCHARGER MON ÉDITION
    Toutes les éditions de Quotidien de l’Art sont disponibles sur
    www.lequotidiendelart.com
  • J'ai notamment aimé à l'expo ”Los modernos”:Frida Kahlo, Autoportrait à la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis,

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    Los Modernos. Dialogues France|Mexique

    Exposition du 2 décembre 2017 au 5 mars 2018     |     Dossier de presse     |     Dossier pédagogique

    Après son grand succès auprès du public du Museo Nacional de Arte de Mexico (MUNAL) et du MUSA de Guadalajara, où l’exposition a été vue par plus de 200 000 visiteurs mexicains, l’exposition Los Modernos est présentée à Lyon dès le 2 décembre 2017.
     
    Frida Kahlo, Autoportrait à la frontière entre le Mexique et les États-Unis (détail), 1932 © 2017 Banco de Mexico Diego Rivera Frida Kahlo Museums Trust, Mexico, D.F. / ADAGP, Paris. Photo © Christie’s Images / Bridgeman Images. Conception graphique : Per
     
    Découvrez les liens qu’ont entretenu les plus grands noms de l’art moderne de chaque côté de l’Atlantique avec, entre autres, Léger, Picasso, Bacon, Rivera, Siqueiros, Orozco. L’exposition Los Modernos met en regard deux scènes de l’art moderne, à travers les collections du MUNAL (Museo Nacional de Arte) de Mexico et du musée des Beaux-Arts de Lyon. Plus de 300 peintures, sculptures et photographies – une première au musée des Beaux-Arts de Lyon – mettent en lumière les correspondances et les influences entre art moderne français et mexicain, mais  également leurs ruptures et leurs spécificités.

    À Lyon, l’exposition reprend le principe de l’exposition mexicaine : montrer deux collections, celles du musée des Beaux-Arts de Lyon et celle du MUNAL, comme illustrant deux scènes de l’art moderne entre 1900 et 1960.

    Elle bénéficie de nombreux prêts provenant d’autres collections de musées et de collections particulières.

    Elle s’enrichit notamment de trois dossiers :
         1/ le premier concerne le cubisme avec notamment la figure de Diego Rivera,
         2/ le second traite de l’influence des artistes mexicains sur le mouvement surréaliste en France
         3/ et le troisième s’intéresse aux regards croisés entre photographes mexicains, américains et français. L’exposition est introduite par un focus sur le patrimoine mexicain dans les collections lyonnaises (cinéma, estampes, objets ethnologiques).


    Catalogue de l'exposition 
    Sous la direction de Sylvie Ramond, Lienart éditions, 2017, 360 pages, 39€


    Activités culturelles : Un programme de visites commentées en français et, pour la première fois, en espagnol, des nocturnes, des  ateliers pour tous et un cycle de conférences enrichissent l’exposition pendant toute la durée de sa présentation au public. En savoir + 
     
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    Frida Kahlo, Autoportrait à la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis, 1932, Huile sur métal, Collection particulière, México © 2017 Banco de México Diego Rivera Frida Kahlo Museums Trust, Mexico, D.F. / Adagp, Paris Photo © Christie's Images / Bridgeman Images

     
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    Albert Gleizes, L’Éditeur Eugène Figuière, 1913, huile sur toile, Lyon, musée des Beaux-Arts © ADAGP, Paris 2017. Image © Lyon MBA - photo RMN/René-Gabriel Ojéda
     
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    Diego Rivera, L’Architecte Jesús T. Acevedo/El Arquitecto Jesús T. Acevedo, 1915-1916, huile sur toile Mexico, INBA / Museo de Arte Álvar y Carmen Carrillo Gil © ADAGP, Paris 2017 © 2017 Banco de México. Diego Rivera Frida Kahlo Museums Trust, Mexico, D.F. Photo © Francisco Koche
     
     
    http://www.mba-lyon.fr/mba/sections/fr/expositions-musee/prochaines-expos/los-modernos-lyon
     
  • J'ai terminé hier soir: soir:L'ultime secret de Frida K.

     
     

    Dans une galerie d'art mexicaine, un tableau de Frida Kahlo a été volé. On trouve au sol des douilles de kalachnikov, l'arme favorite des narcotrafiquants. Quant au galeriste, son crâne a été fracassé à coups de statuette représentant la Santa Muerte, un squelette en robe de mariée, ou Vierge des délinquants. Au même moment, des autels dédiés à son culte sont profanés, des strip-teaseuses assassinées, la Vierge macabre tatouée sur le coeur. Plongée dans les bas-fonds de Mexico sur les traces de ce mystérieux autoportrait que Frida aurait peint en 1940 pour son amant caché, Trotski, installé dans la maison bleue du couple étrange que forment Kahlo et le muraliste Diego Rivera. Si l'on accepte le prétexte d'un message caché dans un tableau censé ne pas exister, on passe alors des heures délicieuses dans l'intimité de la belle Frida et de son révolutionnaire en exil

    http://www.lepoint.fr/livres/l-ultime-secret-de-frida-k-10-05-2012-1697946_37.php

  • Frida Kahlo

    Frida Kahlo -

    Bernadette Costa-Prades

    Picasso estimait qu’elle était meilleure portraitiste que lui. André Breton, fasciné par son originalité, parlait de son art comme d’« un ruban autour d’une bombe ». Plongée dans la vie artistique et politique mouvementée de la première moitié du XXe siècle, Frida Kahlo (1907-1954), célèbre peintre mexicaine, est une femme hors du commun. Elle a puisé ses sources d’inspiration en grande partie dans ses douleurs physiques, conséquences d’un terrible accident de la circulation à l’âge de dix-huit ans. Sa passion amoureuse et tumultueuse avec le peintre Diego Rivera retrace l’histoire fascinante d’un couple d’artistes d’exception. Engagée auprès des Indiens et des plus démunis de son pays, aimant les hommes comme les femmes, maîtresse de Léon Trotski et du photographe Nicolas Murray, Frida Kahlo était drôle, généreuse, intelligente, libre, emportée… et un brin manipulatrice. Elle a bâti une oeuvre artistique unique.

    http://www.editionslibretto.fr/frida-kahlo-bernadette-costa-prades-9782369140269

  • Frida Kahlo de A à Z, expo-évènement à Mexico pour son 100e anniversaire

    15 juin 12:14 - MEXICO (AFP) - Frida Kahlo aurait eu 100 ans cette année: au lieu de cent bougies, le palais des beaux arts de Mexico lui rend hommage avec une exposition extraordinairement complète qui rassemble toutes ses oeuvres majeures et des peintures habituellement éparpillées aux quatre coins du monde.

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    Auto-portrait de Frida Kahlo exposé au musée del Barrio en décembre 2004

    AFP/Archives -

     

     

     

     

     

     

     

    Les deux Fridas", "La colonne brisée" plongent instantanément le visiteur dans l'univers dramatique de Frida Kahlo et la souffrance qui a été la sienne du fait de son handicap après un accident de tramway et 33 opérations chirurgicales.

    Les 354 oeuvres, dessins, gravures, lettres de Frida et des photos de l'artiste, de ses proches sont distribuées dans huit salles du vieil édifice art-déco. C'est la première fois qu'on parvient à rassembler le patrimoine des musées mexicains et étrangers et celui des collectionneurs privés.

    Le parquet grince sous les pas des milliers de fanatiques ou d'écoliers en uniforme. D'habitude bruyants, les Mexicains observent un silence admiratif quand il s'agit de Frida Kahlo, fierté d'un pays.

    "Ce sont les gens qui l'ont rendue célèbre, comme (Pablo) Picasso. Elle appartient au peuple. C'est une icône universelle", commente Juan Coronel, un des organisateurs de l'exposition.

    L'exposition visible jusqu'au 19 août, retrace les grandes étapes de sa vie, ce qu'elle qualifie comme ses deux accidents --celui du tramway et sa rencontre avec le peintre muraliste Diego Rivera qui lui sera infidèle--, ses séjours aux Etats-Unis et son engagement politique du côté des communistes.

    Une série de dessins "Frida et la fausse-couche" la représentent nue, en larmes, un foetus à côté d'elle, et rappellent ses fausse-couche et son chagrin de ne pas pouvoir avoir d'enfant en raison des séquelles de son accident.

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    Léon Trotsky (g), accompagné de sa femme Natalia Sedova, est accueilli par Frida Kahlo (3e g) et Diego Rivera lors de son arrivée à Mexico, le 24 janvier 1937

    AFP/Archives -

     

     

     

     

     

     

    Dans un texte écrit en hommage au peintre, l'écrivain mexicain Carlos Fuentes voit en elle une "Cléopâtre brisée", "Frida est cassée, déchirée à l'intérieur de son corps", ajoute-t-il en soulignant qu'elle était pourtant gaie et enjouée.

    Après les autoportraits, une salle est dédiée aux natures mortes, avec une touche de surréalisme, une autre aux photographies, de nombreux clichés sont de son père, Guillermo Kahlo, immigré allemand.

    On la voit aussi avec Léon Trotski, qui fut son amant.

    Une cinquantaine de lettres écrites à la main ou à la machine à écrire sont suspendues au plafond par des fils. La plupart sont adressées à son médecin et confident Léo Eloesser et commencent par "mon très cher petit docteur" ou "joli petit docteur de mon coeur".

    André Breton, qu'elle a accueilli à Mexico, disait d'elle qu'elle était "une bombe avec un ruban autour".

    Riche en oeuvres, dont certaines sont présentées pour la première fois, mais du fait d'un montage classique, l'exposition n'a pas le cachet de celle de 2004, pour le cinquantenaire de la mort de Frida.

    Lors de l'inauguration de l'exposition mercredi, la politique s'est invitée à la fête. Le président Felipe Calderon a été conspué par des manifestants de gauche qui lui lançaient "Frida était communiste", "si elle était vivante, elle serait avec nous".

    Tout au long de l'année 2007, un hommage national est rendue au Mexique à Frida Kahlo (1907-1954), à l'occasion du centenaire de sa naissance, et à son époux Diego Rivera (1886-1957) pour le 50e anniversaire de sa mort.

    Le 5 juillet, le Musée Frida Kahlo a présenté quelques uns des "Trésors de la Maison bleue", 22.000 documents inédits (photos, dessins) découverts il y a trois ans, dans la maison de la famille des Kahlo-Rivera.

    © 2007 AFP
    AFP
    texte
    20070615101447
  • ”Sous les rideaux” de Frida Kahlo

    medium_Rideaux.jpgEn 1937, Frida peint un autoportrait "Sous les Rideaux" où elle tient une lettre : elle y a écrit une dédicace destinée à Léon Trotski, le célèbre révolutionnaire russe qui s'est vu accordé, grâce à Diego Rivera, l'asile politique à Mexico et qui est hébergé chez Frida à Coyoacán. Ils ont eu une brève liaison que l'on dit passionnée. Elle lui présentera le tableau, où elle se présente sous son meilleur jour, le 7 novembre 1937, date anniversaire de Trotski, et de celui de la Révolution russe... "Pour Léon Trotski, je dédicace cette peinture avec tout mon amour..." . Trotski sera assassiné deux ans plus tard ( en août 40, à coup de pique à glace...). Pour l'histoire, Siqueiros, autre peintre célèbre, tentera de lui-même de l'assassiner...

    http://www.vivamexico.info/Index1/FridaKahlo.html

  • Mon mari et moi, nous avons visité samedi après-midi:Mexique(attente avec ou sans billet) et avons ramené ce hors série

    1900-1950

    9.50 € TTC

     
    12 octobre 2016

    Le Grand Palais et le Museo nacional de Arte de Mexico se sont associés pour organiser une exposition dressant un vaste panorama de la modernité mexicaine. Montrant des artistes célèbres tels que Diego Rivera, Frida Kahlo ou Rufino Tamayo, le parcours dresse un constat de la bouillonnante créativité artistique du pays tout au long du XXe siècle. Beaux Arts éditions revient sur les figures emblématiques de cette révolution artistique, les sources d’inspirations et les liens avec les avant-gardes internationales.


    Exposition au Grand Palais à Paris
    du 5 octobre 2016 au 23 janvier 2017


    Informations sur le livre: 68 pages - 22 x 28,5 cm
    EAN : 9791020402950
    Reliure : Broché
    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-1235-Mexique.html
    Cette note (que je n'ai pas écrite et dont je donne toujours la source) est un des aspects de ce(ux)que j'aime qui nourrit ce que j'écris(dont  mes 14 livres en vente par les bannières sur ce blog).
  • Mercredi prochain, rendez-vous avec les couples mythiques de l'art ❤

    Le mercredi 14 avril à 18h30, rendez-vous avec
    les couples mythiques de l’art !


    Camille Claudel et Auguste Rodin, Dora Maar et Pablo Picasso, Frida Kahlo et Diego Rivera… ces couples de créateurs ont marqué l’histoire de l’art !

    Leurs relations tumultueuses ont nourri leurs cheminements artistiques et sont encore aujourd’hui l’objet de tous les fantasmes et toutes les interrogations : peut-on être à la fois muse et artiste ? Comment exister et créer face à l’autre ? La collaboration est-elle possible entre deux personnalités hors du commun ?

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  • Vincent - La vie et la mort de Vincent Van Gogh

    Vincent - La vie et la mort de Vincent Van GoghLa vie de Vincent Van Gogh nous est racontée à travers les lettres qu'il a écrites à son frère Théo de 1872 jusqu'à sa mort tragique. Grâce à ces documents, nous entrons dans l’intimité de l’artiste en découvrant l’homme, ses motivations et sa profonde humanité. A travers les propres mots de l’artiste, le film explore l’Europe que Vincent van Gogh a parcourue, les lieux de son inspiration, les couleurs qu’il a observées et les saisons qu’il a vécues, de Groot-Zundert, Nuenen, Le Borinage, La Haye à Paris, Arles, Saint-Rémy-de-Provence et enfin Auvers-sur-Oise où il est décédé

    Date de sortie 4 juin 2014 (1h45min
    Réalisé par Paul Cox
    Avec John Hurt, Marika Rivera, Gabriella Trsek
    Genre Documentaire , Biopic
    Nationalité Australien , belge , américain
    Spectateurs
      3,3 pour 7 notes dont 2 critiques
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    • DVD et Blu-Ray
     

     

    Bande-annonce & extrait Vincent - La vie et la mort de Vincent Van Gogh

     

    Actrices et acteurs Vincent - La vie et la mort de Vincent Van Gogh

    Casting complet et équipe technique

     

    Critiques Spectateurs Vincent - La vie et la mort de Vincent Van Gogh

    Dernière critique la plus positive Par David Bowman le 24 juin, 2014
     
      5,0 - Chef-d'oeuvre

    La voix rauque de John Hurt souligne à merveille la progressive descente aux Enfers d'un des plus grands artistes peintres du XIXe siècle. Un chef-d'oeuvre !

     
     

    Photos Vincent - La vie et la mort de Vincent Van Gogh

    • Vincent - La vie et la mort de Vincent Van Gogh : Affiche
     
     

    Secrets de tournage Vincent - La vie et la mort de Vincent Van Gogh

    Un fan de la première heure
    Secret de tournage sur Vincent - La vie et la mort de Vincent Van Gogh

    Paul Cox, le metteur en scène, affirme avoir réalisé le film parce qu'il était fasciné par le travail du célèbre peintre et ses nombreux tableaux.

     

    3 secrets de tournage 

    http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=228285.html

  • Jeudi, au Musée des Beaux-Arts de Lyon, nous avons vu l'expo:Los Modernos. Dialogues France/Mexique

    Frida Kahlo, Autoportrait à la frontière entre le Mexique et les États-Unis (détail), 1932 © 2017 Banco de Mexico Diego Rivera Frida Kahlo Museums Trust, Mexico, D.F. / ADAGP, Paris. Photo © Christie’s Images / Bridgeman Images. Conception graphique : Per

    Exposition du 2 décembre 2017 au 5 mars 2018

    AAprès son grand succès auprès du public du Museo Nacional de Arte de Mexico (MUNAL) et du MUSA de Guadalajara, où l’exposition a été vue par plus de 200 000 visiteurs mexicains, l’exposition Los Modernos est présentée à Lyon dès le 2 décembre 2017.
     
     
    Découvrez les liens qu’ont entretenu les plus grands noms de l’art moderne de chaque côté de l’Atlantique avec, entre autres, Léger, Picasso, Bacon, Rivera, Siqueiros, Orozco. L’exposition Los Modernos met en regard deux scènes de l’art moderne, à travers les collections du MUNAL (Museo Nacional de Arte) de Mexico et du musée des Beaux-Arts de Lyon. Plus de 300 peintures, sculptures et photographies – une première au musée des Beaux-Arts de Lyon – mettent en lumière les correspondances et les influences entre art moderne français et mexicain, mais  également leurs ruptures et leurs spécificités.

    À Lyon, l’exposition reprend le principe de l’exposition mexicaine : montrer deux collections, celles du musée des Beaux-Arts de Lyon et celle du MUNAL, comme illustrant deux scènes de l’art moderne entre 1900 et 1960.

    Elle bénéficie de nombreux prêts provenant d’autres collections de musées et de collections particulières.

    Elle s’enrichit notamment de trois dossiers :
         1/ le premier concerne le cubisme avec notamment la figure de Diego Rivera,
         2/ le second traite de l’influence des artistes mexicains sur le mouvement surréaliste en France
         3/ et le troisième s’intéresse aux regards croisés entre photographes mexicains, américains et français. L’exposition est introduite par un focus sur le patrimoine mexicain dans les collections lyonnaises (cinéma, estampes, objets ethnologiques).

    Un programme de visites commentées en français et, pour la première fois, en espagnol, des nocturnes, des  ateliers pour tous et un cycle de conférences enrichissent l’exposition pendant toute la durée de sa présentation au public. En savoir +

     
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    Vue d’exposition Los Modernos : BACON Francis, Étude pour une corrida, n° 2, 1969 ; Carcasse de viande et oiseau de proie, 1980 © The Estate of Francis Bacon /All rights reserved / Adagp, Paris and DACS, London 2016. Photo © Christian Ramirez Carrillo / Laboratorio de Arte Documental
     
    http://www.mba-lyon.fr/mba/sections/fr/expositions-musee/prochaines-expos/los-modernos-lyon
     
  • Bataille de chats

    Bataille de chats - Eduardo MendozaMadrid 1936

    Eduardo Mendoza

    Traduit par François Maspero

    Date de parution 01/03/2012

    Cadre vert

    396 pages - 22 € TTC

    Au printemps 1936, un Anglais nommé Anthony Whitelands arrive en gare de Madrid. Il doit authentifier un tableau inconnu appartenant au duc de la Igualada, un ami du chef de la Phalange, José Antonio Primo de Rivera. La valeur du tableau peut-être décisive pour favoriser un changement politique crucial en Espagne. A peine arrivé à son hôtel, Whitelands va se trouver bien malgré lui au centre d'un imbroglio politique mêlant policiers, diplomates, espions, ministres, femmes du petit et du grand monde, tous lancés à ses trousses dans une atmosphère de conspiration et de veillée d'armes.


    De rebondissement en rebondissement, Bataille de chats renoue avec le meilleur de Mendoza: des événements dramatiques, une intrigue policière et un humour à toute épreuve sont au rendez-vous, rappelant au lecteur que la tragédie est l'un des masques de la comédie humaine.


    Pris Planeta 2010

    Traduit de l'espagnol par François Maspero



    Eduardo Mendoza, auteur entre autres du Mystère de la crypte ensorcelée, La Ville des prodiges, Sans nouvelles de Gurb, L’Artiste des dames, est né à Barcelone en 1943. Son œuvre est traduite dans le monde entier. Il a reçu en France le Prix du meilleur livre étranger en 1998 pour Une comédie légère.


    http://www.seuil.com/livre-9782021050646.htm
  • Les peintures de Frida Kahlo à Bruxelles

    25/01/2010

     

    Femme libre, peintre, torturée par des douleurs physiques et sentimentales, Frida Kahlo a laissé une oeuvre à son image. Le Palais des Arts de Bruxelles rend hommage à la peintre mexicaine, avec une exposition jusqu'au 18 avril 2010 baptisée "Frida Kahlo y su mundo".
    Enfant puis adolescente, Frida Kahlo, née en 1907 au Mexique, se destinait à une vie émancipée, et à une carrière de médecin. Le second destin fut enterré à l'âge de 17 ans, lorsqu'elle fut grièvement blessée dans un accident d'autobus. Son corps était en morceau, elle resta hospitalisée et alitée pendant des mois. C'est alors que Frida commença à peindre. On suspendit un miroir au dessus d'elle dans son lit à Baldaquin. Elle put alors prendre sa propre silhouette pour modèle. C'est ainsi que naquît une oeuvre particulière : peu prolifique, 143 peintures, et composée aux deux-tiers d'autoportraits, qui montraient crûment et simplement ses états d'âme et ses souffrances physiques. La vie de Frida Kahlo, décédée en 1954, rongée par la maladie, fut aussi marquée par son amour tumultueux avec Diego Rivera, peintre lui aussi. Signalons à ce sujet une biographie écrite par J. M. Le Clézio, publiée en 1995, "Diego et Frida". Frida vécut aussi son émancipation par son engagement politique. Elle se dirigea très rapidement vers le Parti Communiste. Lorsqu'elle hébergea Léon Trotski des années plus tard alors qu'il était en exil, elle eut une relation avec lui.

    http://culturebox.france3.fr/all/19012/les-peintures-de-frida-kahlo-a-bruxelles
    http://www.wikio.fr/article/peintures-frida-kahlo-bruxelles-culturebox-164487281

     

  • Le Douanier Rousseau

     

     

     

     

    au musée d'Orsay

    9.50 € TTC

     
    23 mars 2016

    Le musée d’Orsay organise une magnifique exposition sur l’inclassable peintre Henri Rousseau. Plus de 200 chefs-d’œuvre y sont présentés, provenant des collections du musée d’Orsay et du musée de l’Orangerie mais aussi des plus prestigieuses institutions internationales.
    Petit employé de l’octroi de Paris, d’où le surnom de « douanier », Henri Rousseau échappe à sa modeste condition sociale par la peinture, qu’il pratique sur le tard en parfait autodidacte. Célébré par Alfred Jarry, Apollinaire, Picasso, Robert et Sonia Delaunay, ou Kandinsky, il est aujourd’hui reconnu comme l’une des figures les plus originales de l’art du XXe siècle.
    Le musée d’Orsay lui rend hommage en réunissant une vingtaine de ses peintures. Confrontées à celles de Picasso, Frida Kahlo, Diego Rivera, Kandinsky ou Otto Dix, qui comme lui voulaient s’affranchir du carcan de l’académisme et de l’art officiel, elles construisent un dialogue fécond autour de la question du retour à l’archaïsme.
    Le hors-série revient sur sa vie et son œuvre, en donne les clefs de compréhension tout en les confrontant aux œuvres des artistes de son temps, évoquant ainsi la richesse des liens qui se tissent autour du Douanier Rousseau, creuset d’une voie originale dans l’exploration de la modernité.


    Exposition au musée d'Orsay à Paris
    du 22 mars au 17 juillet 2016


    Informations sur le livre: 68 pages - 22 x 28,5 cm
    EAN : 9791020402363
    Reliure : Broché
    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-1153-Le-Douanier-Rousseau.html
  • Centenaire de la naissance de Frida Kahlo (à Casablanca-Maroc)

    Projection le 21 avril 2007 à 20h à l'IFC d'un documentaire: medium_frida.jpg FRIDA KAHLO : ENTRE L'EXTASE ET LA DOULEUR Auteur-réalisateur Ana Vivas et Rodrigo Castano Diffusion/Distribution Zarafa Films Aux confins du symbolisme et d’un (sur)réalisme naïf, Frida Kahlo est aujourd’hui considérée comme l’un des plus grands artistes de tous les temps. Picasso disait à son sujet qu’elle était certainement la meilleure portraitiste du XXème siècle, et André Breton organisa lui - même, en 1939 à Paris, l’une des premières grandes expositions de ses œuvres en dehors du Mexique. Dans son travail, elle recrée un univers entier à partir de fragments de son moi et des traditions tenaces de sa propre culture. Les peintures de Frida Kahlo constituent l’âme de ce film, aussi bien que ses dessins et les peintures que composent son Journal. C’est dans son Journal intime que nous puisons la parole de l’artiste. Ces textes, d’une grande puissance poétique et émotionnelle, sont interprétés par Marina Vlady. http://www.harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=video&no=948 Et le 21 avril, présentation, au complexe Touria Sekkat, à 20h30 de la pièce de théâtre "Attention peinture fraîche" mettant en scène la vie de Frida Kahlo. Artiste clef du surréalisme, figure de proue de la peinture et de la culture mexicaine, femme de Diego Rivera, icône du féminisme, elle côtoie les plus grandes figures artistiques (Kandinsky, Ernst, Duchamps, Derain, Miro, Picasso... ). Elle fait l'objet de nombreuses expositions, au Mexique, aux Etats-Unis, en Angleterre, en Italie et en France où elle revient au Théâtre Déjazet nous offrir en voyage sa propre vie. Dans une mise en scène hors du temps, dans un lieu où les souffrances se rencontrent et dansent avec les rendez-vous perdus. Frida Kahlo revendique tout, sauf le mensonge. Il est beaucoup de douleur impossible à partager et si l'espoir nous fait souvent défaut, ici cette légende universelle qu'est Frida Kahlo nous montre, sans narcissisme, en peignant son image à même la peau, que la vie est riche de tous nos désirs et de tous nos rêves à venir. http://www.evene.fr/culture/agenda/attention-peinture-fraiche-4590.php Déjà jouée en 2005 à Paris au théâtre Dejazet.

  • Pierre Clavilier

    medium_frida_kahlo.2.jpgLe 22 novembre 2006, Pierre a sorti un nouveau livre:Frida Kahlo, les ailes froissée aux éditions du Jasmin.(J'en fais d'autant plus volontiers écho que j'admire Frida Kahlo)

    Voilà comment il le présente dans son blog d'homme-livre:

    C’est la première biographie écrite en français de cette peintre mexicaine… il y avait bien un romande  J-M G Le Cléziot mais de biographie, point. Je vous en livre ici la couverture et le prière d’inséré, rédigé par mon éditeur.

    Rebelle dès son jeune âge, Frida Kahlo mène sa vie avec force et passion. Engagée dans le combat politique, proche des idéaux communistes, elle est l’une des femmes les plus marquantes de l’ère révolutionnaire mexicaine. Émancipée, elle ne veut pas suivre le chemin tout tracé de la femme mexicaine du début du siècle. Elle veut étudier, elle veut voyager, elle veut la liberté et le plaisir ! Elle lutte aussi pour la défense des plus démunis et pour la reconnaissance des anciennes cultures mexicaines.

          Après une maladie d’enfance et un terrible accident, elle met en scène son corps et sa souffrance dans ses tableaux : son style de peinture, les thèmes qu’elle aborde dans ses toiles la mèneront à la célébrité.

            D’André Breton à Picasso, de Henry Ford à Trotski, Frida Kahlo a croisé les plus grands esprits de l’époque, qui ont tous vu en cette femme un être d’exception !

    « le plus grand peintre du monde » le peintre muraliste Diego Rivera


    « un ruban autour d'une bombe » André Breton

    http://20six.fr/pierreclavilier

    Lien vers Amazon(à gauche) sur ce blog pour commander ce livre, "La course contre la honte" et un autre auquel Pierre a participé.

    Lien aussi vers "Fnac.com" (à droite) pour un autre livre de Pierre.

    On peut aussi trouver certains des textes de Pierre Clavilier dans des revues, notamment dans la revue Sarrazine du poète Paul de Brancion ou La Barbacane crée en 1963 par Max Pons.

    Il a aussi publié: 

    -el rey del país de Nishadas (Linajes editores) –Mexico avril 2004 -

    -De vent et de pierres (Editions Bérénice)2005 Paris


     

  • J'ai terminé hier:L'écrivain et l'autre

    L'écrivain et l'autre

    Carlos Liscano, l'écrivain, est né en 1981, en prison. Militant politique, appartenant au mouvement de guérilla urbaine des Tupamaros, il fut arrêté, torturé, enfermé par le régime militaire de son pays, l'Uruguay, en 1972, pour ne sortir qu'en 1985. La lecture, à la bibliothèque du pénitencier, d'une nouvelle de Buzzati, « Les sept messagers », lui donna l'envie d'écrire pour échapper à la folie et contrôler sa pensée. Sur des feuilles de ­papier distribuées parcimonieusement, en lettres microscopiques, il imagina des fictions, décrivit la torture, la nausée, la ­dépendance, la douleur, la solitude. Grâce à un ami, ses textes passeront avant lui les portes de la prison et, lorsqu'il les retrouvera, ils serviront de matière à plusieurs livres comme La Route d'Ithaque, Le Fourgon des fous ou Souvenirs de la guerre ­récente (tous aux éditions Belfond).

    « Ça s'est fait comme ça. J'ai compris un jour, fin 1980-début 1981, que j'étais écrivain. Pas que je serais écrivain mais que je l'étais », explique-t-il dans son nouvel opus, un remarquable essai autobiographique, L'Ecrivain et l'autre. Cette nécessité l'a sauvé, mais le temps de l'innocence littéraire s'éteignit le jour où, revenu à la liberté, il dut prendre en charge son ­dédoublement de personnalité : « J'ai le sentiment d'avoir construit un personnage qui est un écrivain, et je sais que derrière ce personnage, il n'y a rien. »

    Audacieux, grave, ironique et d'une grande profondeur, son texte est à la fois un aveu d'impuissance et une quête d'absolu. A travers cet autoportrait, Carlos Liscano se confronte à l'impossibilité de créer : « Ma vie aujourd'hui [...] est un chemin de solitude, d'improductivité et de doute. » Incapable de vivre sans écrire, tout en se considérant comme un « petit artiste » face à ses maîtres en littérature, que lui reste-t-il ? Surtout pas la pitié, plutôt une lucidité féroce, mais aussi la force de rester aux aguets, dans l'attente, nuit après nuit. Refuser le confort du succès, s'interroger et combattre, ce n'est pas chez Liscano un effet de modestie mais la preuve qu'il demeure un résistant, ­capable de choix radicaux pour être à la hauteur et garder la foi.

     

     

     

    Le 23/01/2010 - Mise à  jour le 18/09/2013 à  17h22
    Christine Ferniot - Telerama n° 3132

     
  • J'ai terminé ce soir:L'Estampille/L'Objet d'Art n° 496

    L'Estampille/L'Objet d'Art n° 496 - Décembre 2013L'Art déco à la Cité de l'Architecture

    N° 496 - Décembre 2013 -

    - L'Art déco à l'honneur à la Cité de l'Architecture ; - Le Nôtre en majesté à l'occasion de la publication chez Fayard d'une nouvelle biographie de référence et de l'exposition du château de Versailles ; - Rogier van der Weyden et ses suiveurs, l'héritage de la peinture bruxelloise de la seconde moitié du XVe siècle encore à découvrir ; - Visite de la Casa Azul, maison d'artiste de Frida Kahlo et Diego Rivera ; - les pièces d'un somptueux surtout d'apparat offert à Napoléon exposées au château de Fontainebleau ; - le siècle d'or des éventails au musée Cognacq-Jay.

     

    Articles

    • 1925-1940, l'Art déco à la conquête du monde
    • Le Nôtre revisité
    • Un héritage encore à découvrir : Van der Weyden et ses?suiveurs
    • Frida et Diego, entre mythologie et création
    • Le?cadeau d’un roi à un empereur
    • Le siècle d’or de?l’éventail au musée Cognacq-Jay

    Actualités

    • Des miniatures mogholes à Bollywood, l'appel de l'Inde
    • Les princes étrusques en majesté
    • Kanazawa : berceau d’une culture guerrière raffinée
    • Serge Poliakoff : l’alchimie secrète
    • La riche collection de bronzes chinois du musée Cernuschi
    • Le rêve et ses mystères à la Renaissance
    • Genèse d’un mythe, Angkor et Louis Delaporte
    • Tony Cragg, l’œuvre récent
    • Le Corbusier à l’honneur
    • Corot dans la lumière du Nord
    • Saison danoise à la Piscine
    • En avant la musique !
    • Fascinants visages de la Vienne 1900
    • Peinture chinoise en majesté au V&A
    • Disparition d’Anthony Caro, l’un des derniers pionniers de la sculpture moderniste
    • Redécouvrir La Dame à la Licorne
    • La nouvelle Tate Britain est arrivée
    • Quand le bijou contemporain bouscule les?traditions
    • Retour à Athènes
    • Paris Tableau, un rendez-vous de référence pour la peinture ancienne
    • Adjugés
    • Lectures choisies
    • Calendrier des expositions

    Fiches

    • La pâte siliceuse : effets dans la matière
    • Coupe à inscriptions signée Hasan al-Kashani

    Numéro précédent : L'Estampille/L'Objet d'Art n° 495 - Diderot

    http://www.estampille-objetdart.com/numero-496/l-art-deco-a-cite-l-architecture.3915.php

  • Mon mari et moi, nous avons visité samedi après-midi:Mexique 1900-1950, l'exposition du Grand Palais

    Mexique 1900-1950, l'exposition du Grand Palais

    Le Grand Palais invite le public parisien à un grand et beau voyage dans le Mexique de 1900 à 1950. À travers un panorama complet de la création artistique (peinture, sculpture, architecture, musique...), l'exposition offre une immersion unique dans un pays d'une créativité sans borne. À voir du 5 octobre 2016 au 23 janvier 2017.

    Situé dans le sud de l'Amérique du Nord, le Mexique possède une histoire extrêmement riche, marquée par une succession de cultures passionnantes, telles que celles des Mayas et des Aztèques, et par une période de colonisation violente, où le Mexique fût appelé la Nouvelle-Espagne. C'est à cette époque que les principales villes du Mexique sont créées, les villages rasés et la religion catholique imposée. Enfin, en 1821, l'indépendance est acquise et le Mexique entre dans son histoire moderne, jalonnée de périodes d'avant-garde précieuses et de bouleversements politiques.

    image: https://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/1/1e/Frida_Kahlo_(self_portrait).jpg

    60 ans après la dernière exposition consacrée au Mexique, le Grand Palais remet le couvert et propose un très bel aperçu de la culture mexicaine de la première moitié du XXème siècle. On y croise les très célèbres Diego Rivera, Frida Kahlo et Rufino Tamayo, ainsi que toute une génération d'artistes inventifs et un peu fous. Aussi, l'urbanisme est au centre de la modernité pragmatique mexicaine, tandis que la littérature, dont la tendance principale est le réalisme magique, invite le surnaturel à la table de la poésie.

    La musique est, bien sûr, également présente, et c'est quasiment en dansant que l'on visite cette rétrospective ultra-réjouissante du Grand Palais. On y découvre un pays à la culture hybride, entre traditions ancestrales et innovations géniales. 

    Informations pratiques :

    Mexique 1900-1950
    Au Grand Palais
    Du 5 octobre 2016 au 23 janvier 2017
    Tous les jours, sauf le mardi, de 10h à 20h
    En nocturne jusqu’à 22h le mercredi 
    Tarif normal : 13 €
    Réduit : 9 € 


    En savoir plus sur http://www.sortiraparis.com/arts-culture/exposition/articles/122161-mexique-1900-1950-l-exposition-du-grand-palais#BD61eKHd65yIkAY2.99

    http://www.sortiraparis.com/arts-culture/exposition/articles/122161-mexique-1900-1950-l-exposition-du-grand-palais

    Ces notes(que je n'écris pas et dont je donne toujours la source) sont des aspects de ce(ux)que j'aime qui nourrissent ce que j'écris (J'écris et je participe à des ateliers)dont  mes 14 livres en vente par les bannières sur ce blog).

    Lisez mes-derniers-textes inédits-sur-ce-blog

  • J'ai lu hier:L'Oeil N°660

    L'OeilSeptembre 2013

    ÉTÉ STUDIEUX En ce qui concerne le marché de l’art, la France, on le sait, n’est plus le centre du monde. Un récent rapport sur Les Risques induits par une nouvelle augmentation du taux de TVA à l’importation sur les œuvres d’art rappelle que le pays «n’a pas cessé de perdre des parts [de marché] pour ne plus représenter qu’un peu plus de 5% d’un bloc mondial dominé par les États-Unis, la Chine et l’Angleterre». Il en constituait l’élément principal après la Seconde Guerre mondiale. Que s’est-il passé? L’Hexagone a raté le train de la mondialisation, ce qui permet à l’historienne Julie Verlaine de parler, dans sa passionnante étude sur Les galeries d’art contemporain à Paris, 1944-1970, de «marginalisation de la capitale française […] dans la géographie des relations artistiques» (Publications de la Sorbonne). À la rentrée, ce marché risquerait d’être un peu ...

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    L'oeil en mouvement
    L'oeil du collectionneur
    • Tendances
  • Pino Cacucci dans la peau de Frida Kahlo

    Home CULTURE Livres

    Après Tina Modotti et Carmen Mondragon, l'écrivain italien clôt sa trilogie littéraire consacrée à ses icônes féminines avec Frida Kahlo, dans Viva la vida!. Il imagine dans un touchant monologue les derniers mots du peintre mexicain, disparu en 1954 au terme d'un vie douloureuse et tragique, mais surtout flamboyante.

    Qui a lu, il y a une vingtaine d'années, chez Bourgois les fictions débridées Outland Rock et Puerto Escondido, a le nom de Pino Cacucci gravé dans sa tête. Journaliste, scénariste, l'Italien né en 1955 est tombé très tôt amoureux du Mexique où il réside une partie de l'année. Passionné d'art, il a consacré une trilogie à celles qu'il appelle les «magni­fiques fantômes», Tina Modotti, Carmen Mondragon et aujourd'hui Frida Kahlo. Trois femmes sublimes, rebelles, trois destins hors norme forgés au début du XXe siècle au moment où le Mexique ­vivait ses révolutions politiques, intellectuelles et artistiques. À quelques jours de l'exposition que le Musée de l'Orangerie consacre au couple Rivera-Kahlo, l'ouvrage de Cacucci, court, dense et ­poétique monologue prêté à Frida, vaut le détour.

    Derrière ses murs bleus

    Au départ, l'Italien avait rédigé un scénario théâtral pour quatre personnages, Frida, Diego, Cristina (la sœur de Frida et maîtresse de Diego) et Trotski (l'amant de Frida). Lequel devait être mis en musique. L'échec de ce projet ne le découragea pas. Refusant de laisser ses «voix dans un tiroir», il écrivit alors ce récit à la première ­personne d'une femme dont la vie s'achève. Intitulé Viva la vida!, ce texte dit les déchirements de cette artiste qui n'en peut plus de vivre et de souffrir.

    Atteinte de poliomyélite à sept ans, mutilée dans un effroyable accident à dix-huit, victime de fausses couches à répétition, amputée d'une jambe en 1953, Frida n'avait jusqu'alors jamais renoncé à se battre pour ses idées, à créer, à aimer. Face au malheur, celle qui était «l'âme profonde du Mexique» s'était repliée sur son art au cœur de son royaume de la casa Azul, à Coyoacan, derrière ses murs bleus, pour vivre auprès de Diego la grande passion de sa vie.

    «Il est comme un cactus mexicain: fort et puissant, poussé dans le sable et la pierre volcanique, hérissé d'épines pour les étrangers et avec un cœur de douce tendresse qu'il ne révèle qu'à moi…» Bien sûr, le «crapaud lubrique» couche avec tous ses modèles. Elle aura aussi ses conquêtes, hommes et femmes. Mais aucune pour éclipser son «bébé». Alors que cette «femme en miettes» sent ses forces décroître, sa lassitude et son désespoir l'emporter sur son désir de vivre, elle a ces mots pour ­Diego, bientôt orphelin: «Tu rempliras le vide de ton cœur en oubliant la langue muette de nos regards.» On complétera ce joli texte avec les écrits de Frida parus en 2007 chez Bourgois, Frida Kahlo par Frida Kahlo.

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      Après Tina Modotti et Carmen Mondragon, l'écrivain italien clôt sa trilogie littéraire consacrée à ses icônes féminines avec Frida Kahlo, dans Viva la vida!. Il imagine dans un touchant monologue les derniers mots du peintre mexicain, disparu en 1954 au terme d'un vie douloureuse et tragique, mais surtout flamboyante.

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  • J'ai fini hier:L'Oeil N°663

    L'OeilDécembre 2013

    Plurielles comme les « modernités » du nouvel accrochage réussi du Centre Pompidou. Courageusement, le Musée national d’art moderne réalise avec le quatrième accrochage thématique de ses collections permanentes une relecture critique de l’histoire de l’art de 1905 à 1970. Fini le récit progressiste et dominant de l’histoire de l’art occidental qui voit s’enchaîner seuls les mouvements européens d’avant-garde – le cubisme après le fauvisme, etc. –, place à une histoire globale de l’art qui prend en compte les « autres » modernités, celles d’Asie, d’Afrique, des Amériques latine et du Nord… « “Modernités plurielles” élargit ce principe à une relecture non plus thématique, mais générale et historique de l’histoire de l’art », écrit dans le catalogue Catherine Grenier, directrice adjointe du MNAM et grand ordonnateur de ce nouvel accrochage qui ajoute, par ...

    Lire la suite >>

     

     

    L'oeil en mouvement
  • ”Fridamania” à Berlin

    Pendant trois ans, Helga Prignitz-Poda, la commissaire de l'exposition, a mené un travail de détective pour retrouver la trace des oeuvres dispersées à travers le monde, puis a dû persuader les propriétaires de prêter leurs peintures. Une tâche titanesque, la plupart des collectionneurs ne détenant qu'une pièce de l'icône mexicaine. "Pour chaque peinture, il a fallu convaincre une personne", raconte Helga Prignitz-Poda. Avec quelques refus. La chanteuse Madonna n'a pas voulu se séparer des trois tableaux qu'elle possède.

    Les portraits, croquis et objets de cette femme à multiples facettes, compagne de Diego Rivera, muse de Léon Trotski et d'André Breton, sont à découvrir par ordre thématique : ses amis et son entourage dans les mois qui suivent le terrible accident de bus qu'elle subit en 1925, l'influence du surréalisme, les symboles de la lune et du soleil, les autoportraits, les extraits de son journal intime, la douleur ou encore une série de dessins abstraits sur ses émotions.

    Point d'orgue de cette exposition, les oeuvres réalisées à la fin de sa vie et montrées pour la première fois en Europe, notamment L'Autoportrait en tournesol, achevé en 1954, année de sa mort et longtemps considéré comme disparu. L'artiste s'est peinte assise à côté d'un four en brique, symbole de ses passions passées et du feu de l'amour qui se consume. Les couleurs chatoyantes soulignent la grande tristesse qui l'habite. Les derniers mois de sa vie, Frida Kahlo, rongée par la douleur et exténuée par les multiples interventions chirurgicales, abuse des médicaments et de l'alcool.

    PRÉTENDU 100E ANNIVERSAIRE

    La présence de toute une série d'objets de sa vie quotidienne, des extraits de son journal intime, quelques robes, un collier et même un corset en plâtre pour soutenir son dos meurtri, a de quoi ravir les fans de l'artiste. Une pièce entière est consacrée aux photographies. Parmi les images exposées, celles de son père, Wilhelm Kahlo Kaufmann, originaire de Pforzheim, dans le Bade-Wurtemberg, en Allemagne, qui avait émigré à Mexico en 1890.

    On peut aussi admirer les célèbres portraits en couleurs de l'artiste, pris par son ami et amant, le photographe d'origine hongroise Nickolas Muray. Comme un dernier hommage à Frida Kahlo, l'exposition se tient à Berlin l'année de son prétendu 100e anniversaire. Tout au long de sa vie, elle a triché avec son âge en se rajeunissant de trois ans, pour coller à l'anniversaire de la révolution mexicaine de 1810, mais aussi, sans doute, par coquetterie féminine.


    Frida Kahlo- Rétrospective, Martin Gropius Bau, Niederkirchnerstrasse 7, 10963 Berlin. Jusqu'au 9 août.

     

    Cécile Calla