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Rechercher : timbrés de l'rthographe

  • Les secrets de la princesse de cadignan

    LES SECRETS DE LA PRINCESSE DE CADIGNAN

    Le cinéma , comme tout ce que j'aime, inspire ce que j'écris, à acheter ici

    Romance, Histoire, Drame,  01:28:00   TP
    "Don Juan femme", selon l'expression de Balzac. Une princesse, une grande séductrice. D'une intelligence diabolique. Cette femme, qui a eu de nombreux amants -presque tous les personnages masculins de la "Comédie Humaine"-, va enfin trouver l'amour. Le vrai. Le grand.

     

    Réalisation : Arielle Dombasle


    Acteurs : Arielle Dombasle, Julie Depardieu, Cédric Kahn, Stanislas Merhar, Théo Cholbi, Andy Gillet, Michel Fau, Nicolas Herman, Léa Wiazemsky, Roland Menou, Olivier Py, Théodore Le Blanc

    Sortie : 15/06/2023
     
  • Ils ont parlé de la nouvelle édition de mon recueil de poèmes

    853e3b5fcfdb4b84c608100df1e7d6dc.jpgComme de la toute première (auto-) édition d'ailleurs:

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Elisabeth dans son blog de passions:

    http://boulevarddesresistants.hautetfort.com/archive/2007/06/29/recueil-de-poesie-paysages.html#comments

    Yann dans son blog de "poésie érotique:

    http://poesie-erotique.typepad.com/le_blog_de_posieerotique/2007/06/livre-paysages-.html#comments

    Je les remercie vivement.

    Je vous rappelle que mon recueil de poésies est en vente sur le site d'Ambroise:

    http://www.e-monsite.com/ecritureenvrac/rubrique-1082657.html

    f770edff1343e2740a472dc4719d7525.jpgMon mémoire de maîtrise lui est toujours en vente sur Lulu:

    http://stores.lulu.com/store.php?fAcctID=617288

     

     

  • ”Dictionnaire insolite de l’Égypte” de Guillaume de Dieuleveult

    Pour le voyageur fraîchement débarqué, l’Égypte est une bouffée d’impressions nouvelles. Il y a le ronflement des vieux taxis, le miel de la pop orientale à la radio, les néons qui brillent sur les minarets, les publicités géantes. Mais c’est aussi un univers qui nous est familier : le Nil éternel, les hommes en tarbouche, le thé qui fume, les pyramides… Ce pays mérite que l’on s’y arrête, afin de dépasser les images de l’actualité, de regarder ailleurs – en posant le nez dans la poussière des trottoirs, sur les étals des marchands de fruits ou dans les boîtes à mouchoirs des chauffeurs de taxi. L’Égypte est un pays à coup sûr insolite.

    Parution : avril 2012.

    http://www.editionscosmopole.com/Dictionnaire-insolite-de-l-Egypte

  • La rencontre de Nicolas de Staël et de Jeannine Guillou

     la vie dure » - 9 octobre 2011 - 8 janvier 2012

     

    Musée Picasso

    Exposition temporaire 9 octobre 2011 – 8 janvier 2012

    Jeannine_Guillou

    En 1937, lors d’un voyage au Maroc, Nicolas de Staël rencontre Jeannine Guillou. Peintre comme lui, elle décide alors de le suivre dans la suite de ce périple qui les ramène en France l’année suivante. Jusqu’à sa mort en 1946, ce compagnonnage conjugal et artistique nourrira leurs œuvres respectives à un moment où le jeune Nicolas de Staël cherche précisément les voies de son art.


    L’exposition du musée Picasso d’Antibes, « La rencontre de Nicolas de Staël et de Jeannine Guillou : la vie dure », rend compte de cette quête en présentant un ensemble important de peintures de Staël, réalisé entre 1939 et 1946 et, pour la première fois, une sélection de tableaux et de dessins de Jeannine Guillou, dans le contexte créatif qui a accompagné leur éclosion, fait d’échanges avec des artistes rencontrés par le couple à Grasse, lors de leur séjour à Nice entre 1941 et 1943, et à Paris. Sont ainsi réunies des œuvres, entre autres, Sonia Delaunay, Jean Arp, Sophie Taeuber-Arp, César Domela, Alberto Magnelli, Wilfrid Moser, Jean Deyrolle, Vassily Kandinsky. L’exposition témoigne, au-delà de simples influences, des nombreux aller retour d’une œuvre à l’autre, d’un artiste à l’autre, au sein de ce petit groupe d’amis, lié par des recherches communes vers une certaine abstraction et la grande éthique de leur art.

     

     

     

    Extraits de textes de Anne de Staël in « La rencontre de Nicolas de Staël et de Jeannine Guillou : la vie dure », catalogue de l’exposition, coédition Musée Picasso, Antibes / Silvana Editoriale, Milan.


    « […] Janine naît le 17 mai 1909 à Concarneau. Elle commence à peindre vers l’âge de quatorze ans. La famille a l’habitude de passer six mois de l’année à Concarneau et six mois d’hiver dans le midi. […]


    La grande maison près du phare, 7 place de la Croix, a ses fenêtres qui donnent sur la mer et la mer a construit aux deux sœurs un intérieur de bateau, tant elles sont sous l’emprise des tempêtes dont on ne sait jamais si elles sortiront déportées ou si la terre aura su les retenir. Les fenêtres se comportent sur la façade comme de petits verres d’eau dont le plein et le vide répond au beau ou mauvais temps. L’appel du vent est si fort qu’il peigne la pluie horizontalement. Ces maisons ont presque un siècle et demi de tempête et sont toujours debout ; parfois, par beau temps, on dirait qu’on les a tirées sur la grève pour les restaurer.

    Au dernier étage, l’atelier de Janine, avec sa grande verrière qui ouvre sur les toits et sa petite fenêtre sur le large.

    À l’âge de dix-sept ans, elle entre à l’école des arts décoratifs de Nice dont elle sortira avec tous les honneurs.

    À vingt ans, elle épouse Olek Teslar, son aîné de dix ans. Elle prend alors la nationalité polonaise. […]

    […] Après leur mariage ils partent pour Varsovie, où naîtra en 1931 leur fils Antek. De 1932 à 1937, va se dérouler la longue escapade du Maroc […].
    […]

    On raconte qu’avant de partir de Nice, Janine marchait sur la plage à l’heure de midi pour se familiariser avec les foudres de la chaleur. Elle vendit pour ce voyage, une bague, un diamant qu’elle tenait de sa famille. Cette expédition, sous le protectorat, était périlleuse, mais la nécessité de parvenir à un tableau avait raison de tous les dangers. […]

    […]
    Le « Cahier du Maroc » tenu jusqu’en 1937, avait replié ses ailes au fond d’un tiroir. Traversé par des décennies d’hibernation, sans aucune ombre, il resurgit aujourd’hui de son soleil intouché, nous permettant d’atteindre à la réalité contemplative de ce périple. […]


    […] Elle fait la connaissance du jeune peintre Nicolas de Staël, lui-même tout juste revenu de Mogador. Ils se rencontrent dans un café de la place Djema El Fna où tout le monde avait l’habitude de se retrouver. La couleur, l’aura de leurs personnalités respectives les conduit à se reconnaître sans qu’ils se soient jamais vus. La réalité coupera la route à ce rêve et « très calmement, » deviendra tout à coup « de toute urgence ». Les ateliers prennent la relève des voyages. Et ce n’est pas pour rien qu’alors la seule lumière du nord de ces hautes verrières écartera tout autre soleil que celui des couleurs, et deviendra le témoin de tant d’études sur le vivant. […]

     

    […] En septembre [1940], elle retrouve Nicolas à Nice. Il donnera à son prénom la forme longue et dorénavant au lieu de signer Janine Teslar, elle signera Jeannine Guillou. […]

     

    […] À Nice, Nicolas peint des portraits de Jeannine. Le portrait à l’écharpe jaune avec une sonorité du Greco. Paysage au broc et Maisons à Nice avec son drap qui sèche. Ces deux tableaux se répondant nous disent la proximité des deux peintres. […]

     

    [Lorsqu’ils remontent fin 1943] à Paris, Jeanne Bucher leur donne les clés […] [de l’hôtel particulier de Pierre Chareau] rue Nollet. Ils s’y installèrent dans le plus grand dénuement en trouvant que c’était un luxe. […]


    […] Sachant ne rien s’approprier pour que les choses soient surtout données en elles-mêmes. Elle habitait cet « en soi ». Elle se tenait dans l’ouverture et l’irradiation de la peinture comme devant le feu d’une forge océanique, « celui d’une fièvre de travail qui vous saisit véritablement ».[…]

     

    […] Il aura fallu à cette époque, tout le solaire de Jeannine pour que Nicolas sorte par éclairs et orage de sa nuit. Les tableaux, forts de cette lumière qui couve l’éclat, ont une formidable détonation au regard du solaire. « Quand Jeannine peignait, elle était joyeuse, elle chantait Quand Nicolas peignait, il était grave, absorbé, inquiet. » (Jean Deyrolle) […]


    […] Tout à coup cette fraîcheur avec laquelle elle intervenait sur sa propre toile se confondit à L’Orage. Elle laissa le monde à l’éclosion d’une expression nouvelle sans en perdre un pétale. Et du vert au noir la déclinaison s’épuisa. C’est elle alors qui s’écarta. […]

    http://www.info-antibes.com/evenements/220-l-la-rencontre-de-nicolas-de-stael-et-de-jeannine-guillou-la-vie-dure-r

  • Sur la mort de Gérard de Nerval, rue de la Vieille Lanterne.

    Publié le 10 janvier 2011 par Bernard Vassor

    PAR BERNARD VASSOR

    7e3ce4c3f4db1433cdfffeb058cd1d85.jpg Ce dernier portrait,fin 1854, début 1855, peu avant sa mort par Félix Nadar, ou Adrien Tournachon son frère,113 rue Saint-Lazare ?.

    Après de nombreuses versions déjà publiées sur ce blog, voici celle d'Alexandre Dumas, qu'il semble avoir écrite en 1866, 11 ans après le "suicide" de la rue de la Vieille Lanterne. Cette version bien sûr, contredit les documents officiels (procès-verbal du commissariat de police Saint-Merri) que nous avons déjà évoqué. Notre ami Alexandre père, conteur impénitent, mis sa patte à cette nouvelle histoire et en donna sa version. C'est dans un texte intitulé Nouveaux Mémoires : Sur Gérard de Nerval, Edtions Complexe, 1990. Dans ces Mémoires "inédits", Dumas raconte que le vendredi matin 26 janvier, il fut réveillé par le porteur d'une lettre d'Arsène Houssaye lui annonçant la mort de Gérard dans un accès de folie, lui demandant de venir le rejoindre rue de la Vieille Lanterne. Ce que fit Alexandre en toute hâte. Arrivé sur place, il décrivit les lieux : "Alors la rue se rétrécit. On lit en grosses lettres sur un mur en face : BAINS DE GESVRES et au dessous : BONDET (sic) entrepreneur de serrurerie. Au pied du mur sur lequel sont inscrites ces deux affiches, commence un escalier avec une rampe de fer. Escalier visqueux ,étroit, sinistre, un prolongement de la rue conduit à la boutique d'un serrurier qui a pour enseigne une grosse clé peinte en jaune.(...)dans l'obscurité au fond, vous découvrez une fenêtre cintrée avec des barreaux de fer pareils à ceux qui grillent les fenêtres des prisons. Vous y êtes, c'est à ce croisillon de fer que le lacet était attaché. Un lacet blanc comme ceux dont on fait des cordons de tablier. (...)C'est là, les pieds distants de cette marche de deux pouces à peine que le vendredi 26 janvier 1855 au matin, à sept heures trois minutes, ( notez la précision !) juste au moment où se lève cette aube glaciale des nuits d'hiver que l'on a trouvé le corps de Gérard encore chaud et ayant son chapeau sur la tête.(...)Les gens qui les premiers le virent, n'osèrent pas le détacher, quoique l'un d'eux fit observer qu'il n"était pas mort puisqu'il bougeait encore la main (...) On alla chercher le commissaire de police, M. Blanchet, et un médecin dont j'ignore le nom. Le corps était encore chaud. Le médecin pratiqua une saignée, le sang vint; mais Gérard ne rouvrit pas les yeux. Nous allâmes de la rue de la Vieille Lanterne à la morgue où le corps avit été déposé. De l'endroit où Gérard s'était pendu, jusqu'à la morgue, il n'y avait qu'un pas. Le récit se poursuit avec la description du cadavre de Nerval, vêtu seulement d'un pantalon, le torse nu, puis les démêlés sordides dans ces circonstances avec Gautier et Houssaye à propos des funérailles, et de l"élévation d'une stèle sur sa tombe. b71fb1d2b733d3717340a8c5a2fa33ab.jpg Cette estampe de son ami Célestin Nanteuil fut publiée dans "L'Artiste" avec la légende suivante : "N'est-il pas étrange de penser que Gerard de Nerval, qui a marqué de l'empreinte de son pied hardi, au haut des cascades de Tivoli, des glaciers du Saint-Gothard et des dangers du Vésuve soit venu se briser à ce sombre écueil" La ruelle sera démolie peu de temps après la mort de Gérard. ab40c9ba455ab51254ceda3df29c6299.jpg LA MORGUE DU MARCHE-NEUF C'est Asselineau qui fut prévenu de la mort de Gérard par la Morgue ou la police. Un fragment de carte de visite avait été retrouvé dans la poche de Nerval. 5de8d6dd62be73b30e747d3cb18c2350.jpg 4f7119fa87a5ca662a61ffea1e4c1f55.jpg 76e05f874cb1527cc2f091fd07fcaeb7.jpg REGISTRE DE LA MORGUE : "Arrivée du corps à 9 heures et demie du matin de Labrunie Gérard dit Nerval, demeurant 13 rue des Bons-Enfants; vêtements et objets : un habit noir, deux chemises en calicot, deux gilets de flanelle, un pantalon en drap gris vert, des souliers vernis, des chaussettes en coton roux, des guêtres de drap gris, un col noir en soie, un chapeau noir, un mouchoir blanc. Genre de mort : suspension (..) suicide; cause inconnue (..) cadavre trouvé sur la voie publique rue de la Vieille-Lanterne (..) cet homme était connu avant son entrée à la Morgue (..) le corps a été réclamé par la Société des Gens de Lettres(...)." Procès-verbal du commissariat de police de Saint-Merri : "Ce matin, à sept heures et demie (26 janvier 1855) le dénommé (..) a été trouvé pendu aux barreaux (à l'enseigne) de la boutique d'un serrurier (Boudet) rue de la Vieille Lanterne, déclaration de Laurent, sergent de ville du quatrième arrondissement; l'individu était déjà mort, transporté au poste de l'Hôtel de Ville, secouru par deux médecins, mais en vain. Il, s'est pendu avec un ruban de fil, son corps était attaché aux barreaux avec le lien, aucune trace de violence sur le cadavre" Le 29 janvier 1855, le préfet de Police, donnait l'autorisation de remettre la dépouille de Gérard à Balard, délégué de la Société des Gens de Lettres. Le même jour, le commissaire de Police donnait l'autorisation au sculpteur Auber, de mouler ou daguerréotyper les traits de Gerard de Nerval. D'après une lettre d'Auguste Luchet**, il semblerait que le masque et la photographie aient été réalisés un jour avant que l'autorisation ne lui fut accordée. Jusqu'à ce jour, nous n'avons aucune trace de ces éléments....  D'après les chroniqueurs de ce temps,la température cette nuit-là, était de moins dix-huit degrés.  *Archives de la préfecture de Police **Auguste Luchet, maçon, de la loge Saint Vincent de Paul, avait annoncé la mort de Gérard de Nerval à Godfroy, Louis Ulbach François Favre en ces termes : "M. Auber sculpteur distingué à tous les titres, a bien voulu se charger de reproduire les traits de notre malheureux frère...".C'est moi qui souligne ce passage. Tous ces noms cités sont ceux des futurs (en 1858) créateurs de la revue "Le Monde Maçonnique". Il semblerait donc que Gérard fut du nombre des frères de la loge 113 ??? BnF (Smith-Lesouëf. Res 3683 ) Source principale :  Exposition à la BHVP (1996), Commissaire Eric Buffeteau, qui m'a promis des révélations pour bientôt, A suivr

  • Extrait de ”La joueuse de Go” de Shan Sa

    la joueuse de go.gifDepuis 1931, le dernier empereur de Chine règne sans pouvoir sur la Mandchourie occupée par l'armée japonaise. Alors que l'aristocratie tente d'oublier dans de vaines distractions la guerre et ses cruautés, une lycéenne de seize ans joue au go. Place des Mille Vents, ses mains infaillibles manipulent les pions. Mélancolique mais fiévreuse, elle rêve d'un autre destin. « Le bonheur est un combat d'encerclement. » Sur le damier, elle bat tous ses prétendants. Mais la joueuse ignore encore son adversaire de demain : un officier japonais dur comme le métal, à peine plus âgé qu'elle, dévoué à l'utopie impérialiste. Ils s'affrontent, ils s'aiment, sans un geste, jusqu'au bout, tandis que la Chine vacille sous les coups de l'envahisseur qui tue, pille, torture.

    D'une voix pleine de fraîcheur et d'innocence, Valérie Karsenti donne vie à la joueuse de go, jeune lycéenne chinoise amoureuse d'un officier japonais incarné avec sobriété et élégance par Christian Gonon de la Comédie-Française. Une magnifique histoire d'amour et d'apprentissage dans la Mandchourie des années 30.

    Ecoutez un extrait ici:http://www.ecoutezlire.gallimard.fr/detail.asp?id=48324

  • 9 janvier : Centenaire de la naissance de Simone de Beauvoir

    A l'occasion du centenaire de la naissance de Simone de Beauvoir, l'université Paris Diderot, le Centre Roland-Barthes (Institut de la Pensée contemporaine), en partenariat avec la Simone de Beauvoir Society et sous la direction scientifique de Julia Kristeva, proposent de rendre un hommage national à cette personnalité phare de l'histoire intellectuelle du XXe siècle occidental.

    Mercredi 9 janvier

    Simone de Beauvoir romancière

    matinée : Les écrits personnels : autobiographie, correspondance, etc.

    après-midi : Les oeuvres fictionnelles

    Jeudi 10 janvier

    Simone de Beauvoir essayiste

    matinée : Simone de Beauvoir philosophe ?

    après-midi : De 'L'Amérique au jour le jour' à 'La vieillesse' en passant par 'Le deuxième sexe' : l'écriture des essais

    Vendredi 11 janvier

    Simone de Beauvoir militante

    matinée : Les militantismes (politique, fémini...

     Voir le programme complet

    http://www.evene.fr/culture/agenda/centenaire-de-simone-de-beauvoir-19576.php

  • ”Fin de course ” de De C. J. Box

    Fin de courseLe garde-chasse Joe Pickett entame sa dernière semaine de travail à Baggs, Wyoming lorsque des événements étranges se produisent sur son territoire. Il décide d'enquêter, mais bien mal lui en prend: à peine s'est-il enfoncé dans la Sierra Madre qu'il rencontre deux frères jumeaux très inquiétants. Armés, sans permis de chasse, ils vivent en ermites avec pour seuls compagnons la Constitution américaine et la Bible. Joe décide de revenir les arrêter plus tard avec des renforts.
    Mais une fl èche le blesse et tue un de ses chevaux. Traqué, il parvient à se réfugier dans une cabane de fortune où il est soigné par une femme en qui il croit reconnaître une championne de course à pied disparue depuis des années. Enfin rentré auprès des siens, il raconte son étrange histoire... mais rares sont ceux qui le croit.
    Pickett se retrouve alors mêlé à une affaire où agents fédéraux, police locale, milice du gouverneur et mercenaires surarmés jouent à cache-cache dans une nature où la mort rôde derrière chaque arbre.

    http://www.librairiedialogues.fr/livre/3780578-fin-de-course-c-j-box-calmann-levy

  • De la Cité de la musique à la Philharmonie de Paris

    Philharmonie de Paris © Atelier Jean Nouvel

     

     

    En janvier 2015, la Cité de la musique devient la Philharmonie de Paris et renforce son action autour des métiers de la musique. Elle offre une expertise en matière d'orientation et de professionnalisation dans le secteur de la musique et, plus largement, du spectacle vivant.
    La Médiathèque de la Cité de la musique est par conséquent exceptionnellement fermée au public jusqu'au 30 novembre 2014.

  • De la Cité de la musique à la Philharmonie de Paris

    Philharmonie de Paris

    © Philharmonie de Paris – Arte Factory - Ateliers Jean Nouvel

       
     

    De la Cité de la musique
    à la Philharmonie de Paris

    Dès janvier 2015

    Partie intégrante du projet de la Philharmonie de Paris, la Cité de la musique devient Philharmonie 2, tandis que le nouveau bâtiment conçu par Jean Nouvel prend le nom de Philharmonie 1. Elle redéploie ses activités afin d’accueillir artistes et public dans les meilleures conditions, tout en conservant l’esprit de sa programmation : retrouvez à la Philharmonie les orchestres, ensembles et artistes qui ont fait sa richesse, ainsi que sa politique de création et les nombreuses activités autour du concert.

     
     
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  • Dit de la force de l'amour(pour les Croqueurs de mots)

    Entre tous mes tourments entre la mort et moi
    Entre
    mon désespoir et la raison de vivre
    Il
    y a l'injustice et ce malheur des hommes
    Que
    je ne peux admettre il y a ma colère

    Il y a les maquis couleur de sang d'Espagne
    Il
    y a les maquis couleur du ciel de Grèce
    Le
    pain le sang le ciel et le droit à l'espoir
    Pour
    tous les innocents qui haïssent le mal

    La
    lumière toujours est tout près de s'éteindre
    La
    vie toujours s'apprête à devenir fumier
    Mais
    le printemps renaît qui n'en a pas fini
    Un
    bourgeon sort du noir et la chaleur s'installe

    Et
    la chaleur aura raison des égoïstes
    Leurs
    sens atrophiés n'y résisteront pas
    J
    'entends le feu parler en riant de tiédeur
    J
    'entends un homme dire qu'il n'a pas souffert

    Toi
    qui fus de ma chair la conscience sensible
    Toi
    que j'aime à jamais toi qui m'as inventé
    Tu
    ne supportais pas l'oppression ni l'injure
    Tu
    chantais en rêvant le bonheur sur la terre

    Tu
    rêvais d'être libre et je te continue.

    Read more at http://www.dico-poesie.com/poemes.php?mot=injustice#hPCQaSkgXe7efU7G.99
     

     Oyez oyez bravs gens de plume...

    Oyez oyez braves gens de plume...

     

     

    Pour le quart 208 c'est moussaillon JB qui s'y colle.

    Quinzaine du 17 au 30 septembre 2018

    (Notre commandant Dimdamdom va être empêchée un p'tit temps.)

     

    Il me fallait trouver, vite fait, un sujet pour le lundi en huit... yes

    Plus deux thèmes en jeudis poésie.

     

    Je vous propose de clamer votre innocence dans une affaire mal barrée pour vous... eh oui !

    Défendez-vous bec et ongles moussaillons, je compte sur tous pardi.

    Ceci pour le lundi 24 septembre avec trois mots en imposé :

    « saint-frusquin, échafauder, alcades »

     

    Pour le jeudi poésie 20 septembre : «L'injustice» ou laissé au choix

    Pour le jeudi poésie 27 septembre : «l'enfermement» ou laissé au choix 

     

    Allez,

    La coquille repart de plus belle, hisse et haut !

     

    Bien cordialement, votre dévoué moussaillon JB

     

     

    Oyez oyez bravs gens de plume...

     Dessin FLOCK

     

  • 30 ANS DE LA MORT DE SIMENON ET 90 ANS DE MAIGRET

    https://next.liberation.fr/livres/2019/01/31/maigret-fait-la-totale_1706366

    Une édition anniversaire : 10 volumes de "Tout Maigret" avec des couvertures originales créées par Loustal. Pierre Assouline signe une préface inédite pour le  tome 1.
    Maigret, ce sont 75 romans et 28 nouvelles publiés entre 1931 et 1972.
    Ce tome 1 regroupe les huit premiers Maigret parus en 1931. Il est préfacé par Pierre Assouline, biographe de Simenon, qui lui a notamment consacré un Autodictionnaire Simenon,  un documentaire, et vient d'adapter plusieurs romans de Simenon pour le théâtre radiophonique.
    Pietr-le-Letton - Le Charretier de "La Providence" - Monsieur Gallet, décédé - Le Pendu de Saint-Pholien - La Tête d'un homme - Le Chien jaune - La Nuit du carrefour - Un crime en Hollande

    Notes de Michel Carly
     
  • La damnation de Faust - La mort de Cléopâtre pour le lundi en musique de Passiflore

    https://pass-if-lore.fr/2023/02/13/pour-ce-lundi-en-musique-83/comment-page-1/?unapproved=17817&moderation-hash=c8f4a27048edfdb79982cca10b5fb918#comment-17817

    Au musée Berlioz, j'avais craqué pour ce double cd

    Dernière note à ce sujet

    Dernière note à ce sujet

    https://musique.fnac.com/a2015398/Hector-Berlioz-La-damnation-de-Faust-La-mort-de-Cleopatre-CD-album

    1 ère publication de cette note:

    /2018/07/09/

  • De médiathèque en librairies, je ramène toujours de Lyon de la documentation:

    https://www.leprogres.fr/loire-42/2017/10/13/style-de-ville-le-nouveau-magazine-lance-par-la-tribune-le-progres

    https://lyon.citycrunch.fr/

    https://www.alalyonnaise.fr/

    https://www.laficelle.com/

    https://lecap-saintfons.com/

    Exposition À vos amourshttps://museedesconfluences.fr/fr

    Coups de coeur audio

    https://www.chrd.lyon.fr/chrd/edito-musee/jean-moulin-les-voies-de-la-liberte

    http://www.ccvl.fr/page.php?page=DT1295444370&lang=fr&codej=france&time=20120615064918

  • Les habits propres de M. de Lauzun




     

    Signature : Jérôme Coignard - 16 décembre 2013
     
    Le grand escalier de l’hôtel de Lauzun (©Mairie de Paris/Jean-Baptiste Gurliat).

    Le grand escalier de l’hôtel de Lauzun (©Mairie de Paris/Jean-Baptiste Gurliat).

     

     

    Dans l’île Saint-Louis s’achève la restauration de l’Hôtel de Lauzun, joyau de l’architecture parisienne du XVIIe siècle.

     

    Les peintures des plafonds des salles d'apparat ont été nettoyées et consolidées, notamment dans le salon de Musique. Dépourvues de décors historiques, deux ailes sur cour ont été réaménagées pour accueillir le tout nouvel Institut d'études avancées, destiné à favoriser les rencontres entre scientifiques de haut niveau. L'ensemble des façades a été nettoyé et restauré.

    http://www.connaissancedesarts.com/archi-jardin-patrimoine/actus/les-habits-propres-de-m-de-lauzun-104593.php

  • La légende de la naissance de l’art

    Pline l’ancien, histoires naturelles, XXXV, 151

    L’art des potiers trouva son commencement d’un certain Butades de Sicyone, potier de Corinthe. Ayant vu un portrait que sa fille, amoureuse d’un jeune homme qui s’en allait au loin, avait tracé sur son ombre contre un mur, à la lumière d’une lampe, il plaqua de l’argile molle sur les traits et en fit un visage tel quel. Puis après, il le fit cuire au feu avec ses autres ouvrages.

    (D’après une traduction de Blaise de Vignère, XVe siècle)

    A découvrir

    La boîte de Pandore

      , de Viviane Koenig et Louise Heugel, (éd. T. Magnier)

    Les mythes racontés par les peintres

      , de Marie Bertherat (éd. Bayard Jeunesse)

    La Grèce ancienne

      (CD-Rom documentaire MOBICLIC)
    LES PETITES HISTOIRES ET LES ARTS• Arts visuels : le corps et son image (.pdf - 48 Ko)
    LES PETITES HISTOIRES ET L’HISTOIRE• La représentation de la figure humaine (.pdf - 515 Ko)
    • La représentation de la figure humaine - 2 (.pdf - 21 Ko)
    LES PETITES HISTOIRES ET LE TEMPS• Tableau chronologique des Origines (.pdf - 140 Ko)
    LES PETITES HISTOIRES ET LES TICE• Créez votre dossier en histoire de l’art (.pdf - 159 Ko)
    Une histoire à écouter• La Fille du potier de Corinthe,racontée par la compagnie L'Abatros (WMA - 7 000 Ko)
    LES PETITES HISTOIRES ET LA PUB• Mythologies d’aujourd’hui (.pdf - 341 Ko)
    LES PETITES HISTOIRES ET LE http://www.crdp-montpellier.fr/produits/petiteshistoires/origines/h3/temoignages.aspCINEMA

    • L'art des Origines ... et le cinéma (.pdf - 191 Ko)

     

     

  • Les paysages de Picasso au Museu Picasso de Barcelone




        

     

    Barcelone, le 13 mars 2014, Art Media Agency (AMA).

    Du 29 mai jusqu’au mois de septembre, le Museu Picasso de Barcelone propose une exposition intitulée « Paysages de Barcelone ».

    La manifestation présentera des peintures et dessins issus des collections permanentes de l’institution muséale. Ils seront complétés de diverses photographies et éléments documentaires provenant des archives de la ville et évoquant le paysage de Barcelone.

    La plupart des toiles du maître espagnol accrochées aux cimaises représentent l’ancien quartier et le front de mer de la capitale catalane, des vues qui peuvent remonter jusque 1917. « Paysages de Barcelone » se penche tout particulièrement sur l’évolution créative du peintre à travers des lieux connus de la ville, tels que l’église de la Mercè, les arches du cloître de Sant Pau del Camp, ainsi que des constructions plus modernes comme la Casa Martí conçue par l’architecte Puig i Cadafalch

    http://www.artmediaagency.com/90444/les-paysages-de-picasso-au-museu-picasso-de-barcelone/