Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai ramené de l'expo Fantin Latour
ces marque-pages:
Henri Fantin-Latour, Capucines doubles, 1880
Autoportrait
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
ces marque-pages:
Henri Fantin-Latour, Capucines doubles, 1880
Autoportrait
Du 7 décembre 2011 au 19 mars 2012
Musée national Eugène Delacroix
1863, année du scandale du Déjeuner sur l’herbe de Manet au Salon des Refusés, est aussi celle de la mort d’Eugène Delacroix dans son appartement de la place de Fürstenberg.
Choqué par la tiédeur des hommages officiels rendus à l’artiste lors de sa disparition, Fantin-Latour se lança dans la réalisation de son fameux Hommage à Delacroix pour le Salon suivant : toile-manifeste qui rassemblait une nouvelle génération d’artistes novateurs, et de critiques comme Baudelaire et Champfleury, autour de l’austère effigie du maître disparu. Manet, Whistler, Legros, Bracquemond et les autres n’étaient pourtant pas des disciples fidèles, mais en se plaçant sous son égide, ils revendiquaient une même liberté artistique face aux conventions.
Une exposition présentée au musée Delacroix, Paris (7 décembre 2011 - 19 mars 2012).
Publié le mercredi 18 janvier 2012
L’exposition du musée Delacroix retrace l’aventure de la peinture de Fantin-Latour "Hommage à Delacroix" sa conception, les variantes, les élus et les exclus parmi les figurants. Cette grande toile-manifeste rassemble une nouvelle génération d’artistes novateurs et de critiques autour du portrait de Delacroix, et révèle leur révolte contre le poids de la tradition académique.
Fantin-Latour, Manet, Baudelaire : L’hommage à Delacroix, nouvelle exposition du confidentiel Musée national Eugène Delacroix, raconte la fascination qu’exerce le peintre de La Mort de Sardanapale dans les années 1860 sur un petit cénacle d’artistes et de critiques.
1863. Eugène Delacroix disparaît. L’artiste a marqué son siècle par son indépendance radicale à l’égard des conventions académiques — son œuvre fit souvent scandale — indépendance teintée d’ambivalence, tant il cherchait aussi la reconnaissance institutionnelle. Objet d’un culte fiévreux porté par certains, auréolé de commandes officielles, c’est pourtant dans une indifférence relative que se déroulent ses obsèques. Indigné, le jeune et fervent Henri Fantin-Latour (1836-1904) prépare sa réponse, un ambitieux hommage pictural au Maître.
Roberto BOLAÑO , "Un individu ne fait pas le poids face à l'histoire."
13, place émile goudeau le douanier rousseau s'envole d'un de ses tableaux
Cf. note 9
Occupé de nos jours par une supérette, le numéro 84 correspond à l'emplacement successif de deux cabarets : Le chat noir de Rodolphe Salis puis le Mirliton de Bruant dont l'enseigne annonçait : public aimant se faire engueuler. »
Sur le Chat Noir, cf.
http://www.lechatnoir.free.fr/chat_noir/index.htm
Sur Bruant et le Mirliton, cf.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Aristide_Bruant
Ci-contre, Aristide Bruant par Toulouse-Lautrec.
Récapitulatif du voyage de mars 2009 :
Belaud savait mille manières
De les surprendre en leurs tanières,
Les couleurs de Manet et des autres
80 ans après l'installation de Picasso 7 rue des Grands Augustins, l'Atelier de l'artiste va enfin revivre grâce à sa fille, Maya.
Eglise Saint-Laurent
V'la la petite marchande de plaisir
à M. Le Vicomte de Chateaubriand
I
Malheur à l’enfant de la terre,
Qui, dans ce monde injuste et vain,
Porte en son âme solitaire
Un rayon de l’esprit divin !
Malheur à lui ! l’impure envie
S’acharne sur sa noble vie,
Semblable au Vautour éternel,
Et, de son triomphe irritée,
Punit ce nouveau Prométhée
D’avoir ravi le feu du ciel !
La Gloire, fantôme céleste,
Apparaît de loin à ses yeux ;
Il subit le pouvoir funeste
De son sourire impérieux !
Ainsi l’oiseau, faible et timide,
Veut en vain fuir l’hydre perfide
Dont l’œil le charme et le poursuit,
Il voltige de cime en cime,
Puis il accourt, et meurt victime
Du doux regard qui l’a séduit.
Ou, s’il voit luire enfin l’aurore
Du jour, promis à ses efforts ;
Vivant, si son front se décore
Du laurier, qui croît pour les morts ;
L’erreur, l’ignorance hautaine,
L’injure impunie et la haine
Usent les jours de l’immortel.
Du malheur imposant exemple,
La Gloire l’admet dans son temple,
Pour l’immoler sur son autel !
II
Pourtant, fallût-il être en proie
À l’injustice, à la douleur,
Qui n’accepterait avec joie
Le génie, au prix du malheur ?
Quel mortel, sentant dans son âme
S’éveiller la céleste flamme
Que le temps ne saurait ternir,
Voudrait, redoutant sa victoire,
Au sein d’un bonheur sans mémoire,
Fuir son triste et noble avenir ?
Nos expressions ont une histoire (1/5)
Chaque jour, « La Croix » remonte aux sources d’une expression célèbre. Aujourd’hui, le diable Vauvert, ce lieu du bout du monde, devenu un jardin célèbre.
Hier : Ruines du château de Vauvert, gravure du XIXe siècle. « On y entendait des hurlements affreux. On y voyait des spectres traînant des chaînes», affirme l’écrivain Germain-François Poullain de Saint-Foix en 1753.
En expirant, le cygne chante encor,
Ah laissez-moi chanter mon chant de mort !...
Ah laissez-moi chanter, moi qui sans agonie
Vais vous quitter dans peu d'instants,
Qui ne regrette de la vie
Que quelques jours de mon printemps
Et quelques baisers d'une amie
Qui m'ont charmé jusqu'à vingt ans !...
« Ce sont les cadets de Gascogne de Carbon de Castel-Jaloux ; Bretteurs et menteurs sans vergogne, ce sont
les cadets de Gascogne ! »
8 fautes comme l'année dernière(le 1 er a fait 4 fautes 1/2)
5 participations, 3 finales
2016: "Vénus en son miroir" dans le recueil "Poésiades 2016"
Rire dans l'Anthologie poétiques de Flammes vives volume 2 2016
J'ai reçu le BAT de Je vous... parle qui sera publié dans le volume 3 de l'anthologie 2016 de Flammes vives
IMITATION !
A vous de jouer les amis !
Nous recevrons vos participations
à l'adresse bien connue :
A tout bientôt !
http://samedidefi.canalblog.com/archives/2016/10/22/34454955.html