Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Rechercher : 26 décembre 2018
-
-
Art press 451 janvier 2018
CÉSAR la rétrospective – KENTRIDGE scénographie, interview – Michel Nedjar – Daniel Dezeuze – GAUGUIN les artistes et l’exil – NOBUHIRO SUWA Le lion est mort ce soir –Collectifs d’artistes en Colombie – Grégoire Bouillier – Jean-Louis Baudry – Nicolas Bourriaud
-
St Patrick 2018 samedi dernier
-
JEUDI 1er NOVEMBRE 2018
Sophie de Villeneuve,
rédactrice en chef de CroireÉDITO
Saints ? Sans défaut ? Irréprochables ?
"Dieu vous a réconciliés avec lui, afin de vous faire paraître devant lui saints, sans défaut et irréprochables." Cette sainteté, à laquelle saint Paul nous exhorte, n’est pas une sainteté conquise de haute lutte, à la force du poignet. C’est une grâce, un don, qui touche tous ceux qui sont appelés par Dieu et répondent à cet appel. Celui-ci est très personnel. Chacun est saint à sa manière, dans l’état de vie qui est le sien, et c’est bien souvent le réel qui guide vers la sainteté. La fête de tous les saints, que nous célébrons aujourd’hui, rassemble donc l’immense foule de tous ceux qui, sans avoir été cités en exemple par l’Église, ont mené une vie "parfaite", qu’ils soient vivants ou morts. Bien sûr il ne s’agit pas d’évacuer la responsabilité personnelle de chacun mais de mettre plutôt l’accent sur cette sainteté collective que la communion des saints souligne. Bonne fête donc, à tous !
La vidéo de la semaine
BIBLE
Quel est le sens du 2 novembre ?
Qu'est-ce que la sainteté de l'Eglise ?
L’ÉVANGILE DU DIMANCHE COMMENTÉ
Tu aimeras ton prochain…
-
Minette Walters, Dans la cave,2018(médiathèque)
Edité par Robert Laffont. , 2018
En apparence, une famille bourgeoise sans histoire, émigrée en Angleterre depuis un pays africain : la mère, le père et les deux fils. Mais les Songoli cachent un secret : Muna, quatorze ans, orpheline. Elle dort à la cave, vit recluse, sans que personne de l'extérieur ne soupçonne son existence, et sert d'esclave à toute la famille. Puis un jour, le plus jeune des deux fils ne revient pas de l'école. Scotland Yard investit la maison afin d'enquêter sur sa disparition. Face à la police, le couple Songoli est obligé de donner le change et de traiter Muna comme sa fille. Mais ce que ses tortionnaires n'ont pas deviné, c'est que Muna est extrêmement intelligente... Manipulatrice de génie, elle organise méticuleusement sa vengeance. Une plongée oppressante dans la psyché d'une adolescente criminelle. Si vraisemblable, si proche de ce qu'on peut lire à la page des faits-divers, qu'on ne peut s'en détacher, fasciné.
http://mediatheques.saint-etienne.fr/
-
JEUDI 10 MAI 2018 - ASCENSION
DIAPORAMA : L'Ascension du Christ
Une magnifique page des Très riches Heures du duc de Berry, commentée par le bibliste Régis Burnet.
P. Sébastien Antoni, assomptionniste
rédacteur à CroireÉDITO
Mais où est-il passé ?
Jésus a promis d’être présent auprès de son Eglise jusqu’à la fin des temps. Et voilà que l’on nous dit qu’il a disparu, et même qu’il s’est envolé ! Monter aux cieux signifie rejoindre Dieu. C’est ce que Jésus a fait, non pour s’y reposer mais pour nous y préparer une place ! Comprise ainsi, l’Ascension devient source de liberté. Jésus ressuscité ne s’impose pas à l’humanité par une présence qui nous obligerait à croire en lui. Son « absence » est une invitation, pour chacun, à croire librement guidé par le désir de vivre auprès de Dieu, nous aussi. L’Ascension c’est la fête de ceux qui désirent Dieu plus que tout. « Pourquoi restez-vous là à regarder vers le ciel ? » (Ac 1, 11) s’entendent dire les apôtres : l’Ascension du Christ est donc aussi un appel à un plus grand engagement dans le monde pour porter la Bonne Nouvelle. Bonne fête à tous !
La vidéo de la semaine
-
J'avais lu pour préparer notre visite du 26 juillet 2019:DOSSIER DE L'ART N° 265 LE MUSÉE GIRODET N° 265 - Déc. 18
http://www.bla-bla-blog.com/inondations-de-montargis/
Á l'occasion de la réouverture du musée Girodet de Montargis, à l'issue d'un chantier de six ans, Dossier de l'Art se penche sur ses collections faisant la part belle au XIXe, et sur la restauration d’envergure dont elles ont fait l’objet suite à l’inondation de 2016.
https://www.dossier-art.com/numero-265/musee-girodet.51379.php
J'ai lu pendant le voyage vers Orléans
Précédente publication:
30/12/2018 17:22
-
Je suis en train de lire le catalogue de cette expo que j'ai vue en décembre:Kata, Catastrophes minières Exposition temp
À partir du 26 novembre, le Puits Couriot / Parc-musée de la Mine vous invite à découvrir sa nouvelle exposition KATA, Catastrophes minières. Présentée jusqu'au 25 mai 2020, elle traite d'un sujet sensible encore bien présent dans la mémoire collective des Stéphanois.
Entre les causes mal connues, l’écho que l’événement reçoit dans les médias, les images inventées et l’appropriation par la littérature et le cinéma, la catastrophe minière - notamment le coup de grisou - est l’objet de tout les fantasmes pour ceux de la surface. Pour les mineurs, du fond comme du jour, elle est le symbole de la peur. Témoignages, reconstitutions, explications techniques et objets sont réunis dans cette exposition.
L'exposition, qui vous permettra d'en apprendre davantage sur le monde minier et ses dangers, aborde les catastrophes minières sous différents angles :
- l'angle historique, avec une grande frise chronologique qui met en évidence une concentration des catastrophes entre 1870 et 1906. L'augmentation du nombre de catastrophes pendant cette période est notamment causée par la multiplication des exploitations. Après 1906, la catastrophe de Courrières dans le nord fait plus de 1 000 morts ; une prise de conscience permet une analyse et meilleure connaissance des causes.
- l'angle sensible et immersif : aujourd'hui encore, les catastrophes minières qui ont lieu dans le monde ont une forte répercussion. La peur et l'angoisse face à ce monde souterrain inconnu ont notamment été magnifiées par la littérature, en particulier par Germinal d'Émile Zola. La scénographie vous propose une approche sensible, avec notamment des témoignages d'anciens mineurs et un espace immersif qui vous plonge dans une galerie.
- l'angle scientifique, qui vous permettra de mieux comprendre les causes et leur prévention avec de nombreux objets et des éléments ludiques numériques afin de tester vos connaissances.Exposition à découvrir au fil de la visite ou lors de visites guidées pour groupes ou individuels.
Tarifs visite libre : plein 6,50 € - réduit 5 € (de 16 à 25 ans) - gratuit pour les moins de 16 ans.
Un ouvrage sur le thème de l'exposition, en vente à la boutique, est édité par le musée. Un livret-jeux et un livret d'enquêtes vous permettent de visiter l'exposition d'une manière ludique et en autonomie. -
En décembre 2021, deux géants de l’architecture basés à Londres, Richard Rogers et Chris Wilkinson, ont rendu l’âme.
En décembre 2021, deux géants de l’architecture basés à Londres, Richard Rogers et Chris Wilkinson, ont rendu l’âme. L’un était un maître du dessin, l’autre ne dessinait pas bien du tout. Chronique d’Outre-Manche.
Rogers et Norman Foster étaient les principaux protagonistes de l’architecture High-Tech, laquelle a commencé avec des hangars industriels et se caractérise par une construction modulaire légère, des services et la structure ouverts à la vue.
Dans la majeure partie du travail de Rogers, fondateur de Stirk Harbour + Partners (RSHP), agence devenue mondiale, perdure le goût de la High-Tech, de même que des touches de couleurs aussi vives que les chemises qu’il portait toujours. Perdure aussi la passion de Roger pour la justice sociale. Wilkinson avait également une approche axée sur l’ingénierie et, avec ce qu’il appelait les « supersheds », maîtrisait l’art de couvrir de grandes portées et la conception d’ouvrages d’art. Il a lui aussi fondé un cabinet mondial : WilkinsonEyre.
Rogers, né en Italie, n’a plus besoin d’être présenté en France. Il est entré sur la scène mondiale avec Renzo Piano lorsqu’ils ont remporté le concours du Centre Pompidou en 1971. Cinquante ans plus tard, en 2021, son dernier projet est niché dans un vignoble d’Aix-en-Provence.
L’architecture High-Tech remonte au Crystal Palace construit par Joseph Paxton à Londres pour l’exposition universelle de 1851 (The Great Exhibition of the Works of Industry of all Nations). Elle s’est ensuite inspirée des conceptions radicales des années 1960 d’Archigram et de Cedric Price, le Pompidou devant d’ailleurs beaucoup au Fun Palace (non construit – 1961) de Cedric Price.
Le premier bâtiment ouvertement de style High-Tech est l’usine métallique Reliance Control à Swindon (1967), conçue par Team 4, équipe dont la moitié des membres était composée de Rogers et Foster, qui étaient ensemble à Yale. N’empêche, l’autre grande œuvre de l’agence, une maison à Cornwall appelée CreakVean et fondue dans la nature environnante. Elle était dotée d’un toit végétalisé, des décennies en avance sur son temps.
Rogers et Foster se sont séparés et la High-Tech est devenue internationale. Le Centre Commercial de Saint-Herblain à Nantes est un exemple du style des premières réalisations métalliques s’inscrivant dans la logique développée par Rogers, mais achevé plus tard, en 1987.
Wilkinson a travaillé avec Rogers et Foster avant de devenir indépendant. Son Magna Science Centre dans le Yorkshire est une série de quatre nacelles suspendues dans une vaste aciérie désaffectée de 350 m de long, où la lumière et la couleur jouent des rôles atmosphériques évoquant la fabrication de l’acier. Une réalisation qui lui valut en 2001 le Stirling Prize, le prix d’architecture le plus prestigieux du Royaume-Uni.
La France connaît moins Wilkinson que Rogers mais elle disposera bientôt du discrètement sculptural Pont de la Salpêtrière en construction derrière la gare d’Austerlitz. L’œuvre de WilkinsonEyre compte de nombreux ponts. Grands et petits, ils exploitent de façon spectaculaire l’expression structurelle pour créer de la beauté. Je pense notamment au Gateshead Millennium Bridge, qui a remporté un autre prix Stirling en 2002, et au pont de 197 m de long ouvert en 2005 à l’aéroport de Gatwick, pont que les passagers peuvent traverser pendant que des avions long-courriers passent en dessous.
Cependant, le pont dessiné par WilkinsonEyre que je préfère est l’exquis Bridge of Aspiration (2003) de la Royal Ballet School, un court passage au-dessus d’une rue du centre de Londres encadré par des portails carrés chacun légèrement tourné par rapport à son voisin. L’espace intérieur se déploie avec grâce, à l’image des ballerines qui le parcourent.
Avec ses « supersheds », WilkinsonEyre a fini par développer une élégance fantastique, dont témoignent par exemple à Singapour les Conservatories at Gardens by the Bay (2012), deux gigantesques serres qui s’incurvent jusqu’à 58 m de haut.
Le premier des deux prix Stirling de RSHP est arrivé en 2006 pour le Terminal 4 de l’aéroport de Madrid-Barajas, une course exaltante de 700 m de long parmi une répétition d’éléments, chacun de l’un à l’autre d’une nuance de couleur vive légèrement différente.
Le premier gratte-ciel de Rogers n’avait cependant presque aucune couleur. Lloyd’s of London, dans le quartier financier historique, compte six tours en acier atteignant 86 m de hauteur qui dominent leur environnement. La grande arche de verre qui laisse entrer la lumière fait écho au Crystal Palace de Paxton. Une grande salle à manger baroque, datée de 1763 et conçue par Robert Adam, ainsi que des luminaires et des meubles ont été relocalisés au 11e étage.
En 2004, le Gherkin de 180 m de haut de Foster est devenu la nouvelle sensation dans la ‘skyline’ du quartier d’affaires. Ensuite, son Willis Building a complètement bloqué la vue depuis la salle Adam de Lloyds.
J’ai eu l’occasion de rencontrer Rogers, en hauteur dans le tout nouveau Cheesegrater (râpe à fromage), son impressionnant gratte-ciel de 225 m de haut, devenu en 2014 le nouveau roi des gratte-ciel de Londres. Je lui ai demandé si Foster et lui se battaient pour la domination de la ‘skyline’ de Londres et jouaient à des jeux similaires avec leurs conceptions de tours pour le site du World Trade Center de New York. « Juste une compétition amicale », a-t-il répondu en souriant.
Pure politesse ? Dans son hommage, évoquant Rogers, Foster a parlé de « [s]on ami le plus ancien et le plus proche ». Heureusement que Rogers ne s’est pas découragé après la mauvaise appréciation du diplôme obtenu à l’Architectural Association de Londres, qui spécifiait son « manque de bonnes compétences en dessin ».
En revanche, Wilkinson a constamment croqué ce qu’il voyait et imaginait. Son croquis conceptuel des Gasholders (2018) à Kings Cross à Londres comprenait un mécanisme d’horlogerie car ces trois tours de logement (la plus haute à seulement 40,5 m de haut) étaient rondes. Ces appartements en forme de tarte sont encadrés par des exosquelettes métalliques. High-Tech ? Non, ils datent de 1880 et abritaient à l’origine des réservoirs d’essence cylindriques et télescopiques.
Au Gasworks, j’ai interrogé Wilkinson sur le premier gratte-ciel de l’agence qui – étonnamment – est l’International Finance Center (2010), un ouvrage incurvé, mince et élégant (2010) s’élevant à 440 m au-dessus de Guangzhou. La rumeur disait que WilkinsonEyre avait participé au concours uniquement parce qu’un stagiaire chinois avait suggéré son nom. « Oui, c’est le cas », me confirma-t-il.
Avant de quitter les gratte-ciel, noter qu’à côté du Cheesegrater de Rogers, le 8 Bishopsgate, de 204 m de haut, et signé WilkinsonEyre est actuellement en construction. Ces deux tours se devaient d’être plus minces au sommet pour protéger les vues lointaines de la cathédrale Saint-Paul. La tour de RSHP s’incline vers l’arrière, tandis que le nouveau voisin est un empilement de boîtes de verre à faible émissivité, un peu comme le Palais de Justice de Renzo Piano (RPBW) à Paris en termes de forme et de clarté. Malheureusement, Wilkinson ne sera pas là pour l’apprécier.
Rogers a au moins vécu pour voir réalisée la Galerie aux dessins du Château La Coste, sa dernière conception. Comme son concept fondateur pour une maison Zip-Up (1969), il s’agit d’une forme extrudée, creuse et ouverte au-dessus du sol. La galerie elle-même est un espace tubulaire, d’une grande sérénité, à l’intérieur d’un cadre en acier orange vif en porte-à-faux sur 27 m au-dessus d’un ravin. Ses dimensions ont été acquises en mesurant la salle à manger de Rogers.
Comme Stephen Spence, de RSHP et ayant travaillé avec Rogers sur le projet, le relève à mon attention, « il est intéressant qu’il ait commencé avec Pompidou, une grande galerie, pour finir avec la plus petite galerie du monde ». Lorsque la Galerie aux dessins a été achevée l’année dernière, Rogers avait pris sa retraite, s’était déconnecté de l’architecture, des projecteurs médiatiques et de RSHP. Il avait changé le monde, lequel, comme sa pratique, pouvait continuer sans lui.
D’une certaine manière, la Galerie aux dessins est comme un pont dont la seule issue est située entre le sol et l’éther. Rogers et Wilkinson, au fil de leurs conceptions guidées par l’ingénierie, ont suivi des chemins différents mais ils ont, finalement, tous deux presque ensemble, traversé ce pont qui mène de la Terre à l’au-delà.
Herbert Wright
Retrouver toutes les Chroniques d’Outre-Manche -
La route dans le Jura le 23 décembre 2011
-
Nous avons vu samedi 8 décembre 2007
(source de l'image:http://www.espace-maroc.com/blog/images/fatiha_zemmouri.jpg)
à la galerie Nadar, l'exposition "Mémoire saturée" (juqu'au 29 décembre) de Fatiha Zemmouri que nous avions déjà vu à l'IFC au mois de mai de cette année. -
Art press 439 décembre 2016
Jean- Luc Moulène au centre Pompidou – Goshga Macuga – Hans-Peter Feldmann – Collection d'art Russe – Philippe Parreno à la Tate Modern – Mythologie des hôtels – Kenzaburô Ôé – Julia Kristeva – Philippe Sollers – Pascal Quignard
http://www.artpress.com/produit/439-janvier-2016/
Ces notes(que je n'écris pas et dont je donne toujours la source) sont des aspects de ce(ux)que j'aime qui nourrissent ce que j'écris(dont mes 14 livres en vente par les bannières sur ce blog).
-
Connaissance des Arts 19 décembre 2014
Diaporama : Le Quai Branly ressuscite les Mayas
Guy Boyer | [8 clichés] | 18 décembre 2014
C’est de la presqu’île du Yucatan, au Mexique, jusqu’à l’actuel Salvador, que les Mayas vécurent de 2600 avant J.-C. jusqu’au XVIe siècle de...