Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
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Place de Lenche de Marseille
Située à proximité du Vieux-Port et du quartier du Panier, la place de Lenche est, selon les dires, la plus ancienne de Marseille. Elle mérite donc bien un petit arrêt au détour d’une promenade dans le coin.
La place de Lenche tire son nom de la famille corse éponyme qui y fit construire, au 16ème siècle, un atelier de corail, des magasins et un somptueux hôtel particulier. Aujourd’hui, le bâtiment est toujours debout et abrite le théâtre de Lenche.
Avant la place, l’abbaye des religieuses de Saint-Sauveur se dressait. S’il ne reste aucun vestige extérieur de l’histoire de la place, d’autres ont tout de même subsisté en sous-sol. Il s’agit des caves de Saint-Sauveur, des édifices classés au titre des monuments historiques depuis 1840 ! Leur vocation n’est pas clairement établie : pour certains, il s’agirait d’un ancien réservoir d’eau de la ville alors que pour d’autres, c’était des locaux destinés au stockage de denrées sèches comme des céréales.
Grâce à ses nombreuses terrasses de café, la place est très animée et est agréable à fréquenter. Elle est ornée d’un magnifique buste en bronze d’Henri Tasso, ancien maire de Marseille ente 1935 et 1939.
Les indiscrets et les bons plans
La rumeur veut qu’à l’époque grecque, l’agora, c’est-à-dire le lieu de rassemblement politique et mercantile des cités, soit le centre de la ville, se trouvait sur la place de Lenche.
https://madeinmarseille.net/5481-place-lenche-panier-marseille/
Et en dessous:
http://www.tourisme-marseille.com/fiche/caves-st-sauveur-place-de-lenche-marseille/
Toutes les notes sur Marseille et notamment notre dernier séjour:
http://www.lauravanel-coytte.com/marseille-bouches-du-rhone-13-paca/
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Des clichés à propos du Nord(de la Loire) de la France
Voir aussi:
Le 13 juillet, nous avons quitté la moitié sud (de la Loire) de la France, notre St Etienne
pour nous diriger vers le Nord de la Loire
Autant vous dire qu'il y avait plus du monde dans le sens descente.
A midi, nous sommes arrivés à Langres(ci-dessus) et nous avons mangé dehors.
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Les museum pass de Venice connected
Nous avons vu:
ANTHONY CARO AT CORRER MUSEM
Correr Museum, June 1st - October 27, 2013MULTIPLE VEDOVA
Correr Museum - Ca' rezzonico - Ca' pesaro
May 18 - October 13, 2013TÀPIES. THE GAZE OF THE ARTIST
Palazzo Fortuny, June 1st - November 24, 2013
TALKS. A NEW LAYOUT FOR CA'PESARO
Ca’ Pesaro – International Gallery of Modern Art, from May 31, 2013THE SONNABEND COLLECTION
Ca’ Pesaro – International Gallery of Modern Art, May 31 – September 29, 2013A VERY LIGHT ART
Ca’ Rezzonico – Museum of 18th-Century Art, May 31 – November 24, 2013et nous aurions pu voir:
FLORA VIALE. SACRED FRAGMENTS
Lace Museum, May 18 2013 – January 5, 2014SEGUSO. ART GLASS 1932/1973
Glass Museum May 18 - September 29, 2013ANNA SKIBSKA
Glass Museum, May 31 – December 1st, 2013ERALDO MAURO. SLIDES
Glass Museum May 31 – December 1st, 2013CONTEMPORARY BESTIARY. Italian artists from the ACACIA collection
Museum of Natural History, May 31 – October 24, 2013ANTONELLA ZAGGIA. CARTEMARCIE. PAPER JEWELS
Carlo Goldoni's house , May 18 – September 17, 2013http://veniceconnected.com/content/important-notices-about-venice-city-museums
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Mort de Gérard Fromanger, peintre engagé et héraut de la couleur
Le peintre contemporain Gérard Fromanger s'est éteint aujourd'hui à l'âge de 81 ans. Convaincu que sa pratique artistique était un acte politique, il laisse derrière lui un œuvre extrêmement riche et coloré, qui a fondamentalement transformé le paysage artistique français.
Avec son esthétique pop et colorée, Gérard Fromanger était un incontournable de l’art contemporain français. Décédé ce vendredi 18 juin à l’âge de 81 ans, il avait fait des aplats de couleur et des silhouettes anonymes ses marques de fabrique. Alternant entre ses ateliers de Paris et de Sienne, en Toscane, Gérard Fromanger était un forcené de l’art, expliquant travailler jusqu’à l’épuisement sur ses toiles dès que l’inspiration le frappait. Imprégné de la culture subversive de Mai 68, il voyait dans son art un formidable outil de contestation de la société de consommation, à la manière des artistes des mouvements de la Nouvelle Figuration et de la figuration narrative, dont il ne fit jamais pleinement partie.
Amitiés fondatrices
Né en 1939 dans les Yvelines, celui qui explique avoir commencé à peindre à l’âge de 2 ans a su très tôt que l’art était sa vocation. Dès ses 17 ans, il intègre l’Académie de la Grande Chaumière puis passe brièvement par les Beaux-Arts de Paris. Il rencontre ensuite César qui l’accueille pendant 2 ans dans son atelier. Il se lie également d’amitié avec Alberto Giacometti et Jacques Prévert, qui le présentent au marchand d’art et collectionneur Aimé Maeght. Il collaborera avec le galeriste de Matisse et Chagall de 1964 et 1967. En 1965, il passe définitivement du gris à la couleur avec son Prince de Hombourg, où l’acteur Gérard Philippe se voit démultiplié. Viennent ensuite les événements de Mai 68, pendant lesquels il cofonde l’Atelier populaire de l’école des Beaux-Arts avec Gilles Aillaud et Eduardo Arroyo notamment. Il réalise également l’album de sérigraphies « Le Rouge », dans lesquelles il remplace les manifestants par des silhouettes ou des masses rouges, opposées aux policiers en bleu et blanc.
Œuvre politique
Pour Gérard Fromanger, la portée politique et subversive d’une œuvre réside avant tout dans sa dimension esthétique et non dans son message même. Son esthétique se rapproche, dès 1965, du mouvement dit de la « Figuration narrative », qui, s’opposant à l’abstraction dominante, reprend les codes du Pop Art en lui appliquant une dimension politique, bien plus critique de la société de consommation. Ce courant prend corps en 1964 à l’occasion de l’exposition « Mythologies quotidiennes », qui regroupe notamment Niki de Saint-Phalle, Antonio Recalcati et Jean Télémaque. Pour Fromanger, la rue est une source d’inspiration sans fin, comme on le voit dans ses différentes représentations de scènes de ville, de la série Boulevard des Italiens (1977) jusqu’à son Impression soleil levant 2019 (2019), en passant par Sens dessus dessous (2003). Selon ses propres termes, « il n’y a [que la rue] qui peut changer le monde ».
De multiples facettes
Fromanger a pourtant quitté plusieurs fois ces sentiers battus pour s’aventurer dans le monde du portrait, qu’il composait à grand renfort de lignes colorées, ou même de compositions plus abstraites, comme son Le soleil inonde ma toile (1966), éminemment avant-gardiste. Pour lui, peindre est une « nécessité », un appel quasi-mystique auquel il ne peut que répondre, et qui donne souvent lieu à des séries de tableaux. Le peintre avait récemment réalisé le plafond du foyer-café du théâtre des Bouffes du Nord, avait exposé ses œuvres face à celles des impressionnistes du musée Marmottan-Monet et s’était dévoilé au musée des Beaux-Arts de Caen. Gérard Fromanger nous laisse en héritage ses couleurs subversives.
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Je viens de terminer :De Beaubourg à Pompidou. I. Les architectes, 1968-1971 / Lorenzo Ciccarelli
médiathèque de l'Ecole supérieure d'art et design de St-Etienne
http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/386838/de-beaubourg-a-pompidou-i-les-architectes-1968-1971-lorenzo-ciccarelli
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8 fautes à la finale de 20 e de la dictée de la Fête du Livre le 15 octobre 2016
8 fautes comme l'année dernière(le 1 er a fait 4 fautes 1/2)
5 participations, 3 finales
Dictées
2011:finaliste de la 1 ère édition des Timbrés de l'orthographe à Paris(article dans le journal local)
2013, 2014 et 2016 :finale Régionale des 3e, 4 e et 6 e édition à Lyon
En résumé sur 6 participations: 3 finales régionales et 1 finale nationale
2014: 3 e de la Finale de la Dictée de St Etienne
2016: Finaliste en octobre prochain: 8 fautes comme l'année dernière(le 1 er a fait 4 fautes 1/2)
5 participations, 3 finales
1 ère de la dictée des Archives de St Etienne
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Encore un questionnaire de Proust
trouvé chez: http://st-phanelaurent.over-blog.com/article-21216547.html
Ton plat préféré: la tartiflette faite par mon mari ; parce qu’il faut choisir
L'aliment que tu détestes: je n’aime pas parler de ce que je déteste La passion personnelle qui te fait honte: je n’ai honte de rien ; j’assume mes goûts contradictoires Ton film culte: Jules et Jim
Ta BD favorite: une de celles d’Hugo Pratt
Le film que tu détestes: Je n’aime pas parler de ce que je déteste
Tes revenus mensuels: Si vous achetiez plus mes livres, j’en aurais
Passion qui te fait claquer ton fric: Je n’en ai pas les moyens
Voyage qui t'a le plus marqué: Le premier avec mon mari
Ton pays européen préféré: la France
Ton plus grand regret: joker Ton plus grand bonheur: mon couple Ton sport favori: la natation
Ton animal préféré: le chat
Si tu pouvais changer quelque chose dans ton physique, ce serait quoi ?: tout donc rien
La ville que tu préfères: Toulouse
Ta plus grande honte: je préfère l’oublier
Ton péché de jeunesse: la timidité
Le rêve d'enfance que tu as réalisé: écrire Ton prochain défi: vendre mes livres -
De Maistre dans le panthéon de Sollers
et nous incite à le lire.
Il fait partie du patrimoine savoyard. Avec son frère Xavier, il a d’ailleurs été statufié devant le château de Chambéry. Mais qui sait ce qu’écrivait Joseph de Maistre ? Assurément pas grand monde. Il a pourtant inspiré des auteurs illustres tels que Baudelaire, Cioran, André Breton ou René Guénon. Et en 2007, Philippe Sollers consacra le premier article du numéro 100 de sa revue littéraire L’Infini à un éloge de celui qu’il présenta comme l’écrivain le plus maudit qui soit. C’est que le comte de Maistre, pour qui la Révolution française ne fut rien de moins que l’œuvre du Malin, est perçu comme un affreux réactionnaire. Selon Sollers, acteur majeur de l’avant-garde littéraire française des cinquante dernières années, Joseph de Maistre est en fait celui qui peut le mieux nous permettre d’appréhender en toute connaissance de cause les problématiques religieuses qui enflamment la planète aujourd’hui.
Alors comme il l’a fait avec succès pour le sulfureux marquis de Sade, Sollers travaille à la réhabilitation de l’écrivain savoisien qu’il estime être l’un des plus grands auteurs de langue française. La tâche est difficile, même pour un homme que l’on dit très influent dans le milieu littéraire parisien. Car Maistre est désormais encore plus tabou que Sade et, malgré une réédition récente rassemblant nombre de ses œuvres, certains de ses livres majeurs restent quasi introuvables. Philippe Sollers est donc dans la Voix pour vous en parler.
Philippe Sollers, que vous inspire le fait que, alors qu’une statue des frères de Maistre se trouve devant le château à Chambéry, l’œuvre de Joseph soit très largement méconnue sur sa terre savoyarde ?
Ah ! La Troisième République… L’ignorance organisée qui débouche sur la dévastation. Mais Joseph de Maistre n’est pas méconnu seulement sur sa terre savoyarde. C’est la même chose en France. Et si j’observe que faire une statue avec les frères de Maistre est une initiative très charmante, l’un est quand même extraordinairement important, tandis que l’autre est notable. Les mettre ensemble, c’est déjà atténuer la portée extrêmement vaste et profonde de Joseph. Alors pourquoi est-il méconnu et même maudit ? A cause de l’enseignement falsifié de l’histoire de France depuis au moins la Révolution.
On dit d’ailleurs de Joseph de Maistre que c’est un écrivain français, alors qu’il n’a jamais été français…
Il n’a jamais été de nationalité française, mais on est l’écrivain de la langue qu’on écrit, surtout lorsqu’elle est si bien écrite. Et puis il s’est quand même occupé de questions qui touchent de près à l’identité française. Donc c’est un très grand écrivain français dont le travail le plus impressionnant porte sur l’histoire des religions, à l’intérieur même du christianisme.
Il propose aussi un regard sur une période historique particulièrement mouvementée…
Oui, car il a d’abord vécu le choc de la Révolution française. Il faut lire ce qu’il en dit, notamment sur son caractère satanique, un mot très fort. Il est ensuite devenu ambassadeur du royaume de Sardaigne en Russie, dans le cadre d’une carrière diplomatique tout à fait intéressante, en menant en même temps des activités occultes évidentes, puisqu’il était franc-maçon, ce qui le caractérise encore mieux dans la connaissance de l’envers de l’histoire. C’est un personnage prodigieux dont la vie romanesque est extrême. Et ses livres sont absolument capitaux pour étudier l’histoire.
Comment l’avez-vous découvert ?
Il traînait dans la bibliothèque familiale deux volumes d’une ancienne édition des Soirées de Saint-Pétersbourg. J’ai pris le livre, je l’ai ouvert et j’ai trouvé ça éblouissant. D’accord, pas d’accord, ce n’est pas le problème. Le style vous emporte immédiatement. Depuis, j’y reviens toujours, tout simplement pour approfondir les connaissances sur l’analyse religieuse, car c’est nécessaire pour savoir ce qui s’est passé, d’autant que l’Eglise catholique est difficile à comprendre. Et Maistre montre par exemple très bien, dans De l’Eglise gallicane, quand s’est produite la rupture entre le catholicisme romain et un catholicisme français devenu très exsangue, tout à fait lamentable, si l’on peut dire. C’était sous Louis XIV. Mais, aujourd’hui encore, les querelles de religion sont absolument centrales. Elles prennent même depuis trente ans de plus en plus d’importance.
La lecture de Maistre permet-elle de comprendre quelque chose aux problèmes de religion actuels ?
Oui, car c’est l’auteur cardinal sur ces sujets. Il y a très longtemps qu’il a écrit, mais c’est véritablement prophétique et d’une profondeur tout à fait géniale.
Il met en avant le rôle central de la providence, qui est à l’origine de véritables punitions divines dont la Révolution française serait une illustration éclatante…
Il pense même à une chose extraordinairement étonnante. C’est que, après le péché originel, il y a eu inculpation en masse de l’humanité. Donc il y a des passages fantastiques où l’ange de l’extermination tourne autour de la planète et frappe tantôt une nation, tantôt une autre, selon ses péchés. D’après Maistre, la France a été sanctionnée pour ses mauvaises conduites dans ses relations avec Rome. On n’est pas obligé de penser comme lui, mais c’est prodigieusement inspiré. Et ce qui m’intéresse, c’est la vision. Elle est d’une intense poésie, très profonde philosophiquement et d’une érudition historique absolument sans faille.
Vous dites que, pour lui, il y a Rome, rien que Rome. En même temps, dans Les Soirées de Saint-Pétersbourg, il écrit que toutes les traditions sont vraies, qu’il suffit de les nettoyer et de les remettre à leur place pour les voir briller dans toute leur cohérence…
Oui, à Rome. Tout cela converge vers un panthéon qui est St-Pierre de Rome. Pour Maistre, c’est la papauté, indubitablement, qui relie. La synthèse universelle, si vous voulez, est catholique. Que vous soyez juif, musulman, bouddhiste, si vous creusez à fond, tous les chemins mènent à Rome.
Dans les Soirées, il est aussi dit que des oracles annoncent que les temps sont arrivés, en faisant allusion à l’Apocalypse de saint Jean, mais aussi à la Révolution française qui aurait mis en mouvement le grand événement. Doit-on voir dans cette révolution le début d’une période apocalyptique dont notre époque contemporaine pourrait marquer la fin ?
La pensée apocalyptique a toujours été là. Mais on peut lire dans un texte de Maistre inspiré de Plutarque que les délais de la justice divine peuvent prendre un temps considérable. Alors bien sûr, dans un monde où l’on ne voit pas plus loin que le bout de son pouvoir d’achat remis en question, c’est très difficile d’évoquer des questions historiques larges. Et comme toute tyrannie, celle du marché, qui n’est que le prolongement de la souveraineté de la technique, évacue la culture historique. Celui qui vient d’arriver et qui règne ne souhaite pas que l’on sache ce qui s’est passé avant lui.
On peut quand même lire Maistre en se disant : il écrivait au début de ce grand événement, on est toujours dedans…
Oui, et c’est brûlant, car on assiste à des phénomènes d’une ampleur inimaginable il y a trente ou quarante ans. Qui pouvait alors se douter qu’on aurait un islamisme si enflammé ? Ceux qui savent que de vieilles histoires peuvent revenir avec plus ou moins de violence. C’est pour ça qu’il faut lire Maistre, qui a écrit dans des situations d’intense catastrophe pour lui-même car il a eu une vie très difficile.
Aujourd’hui, quels sont les retours quand vous publiez un éloge de Maistre ?
Des lettres d’insultes.
De qui ?
Je ne sais pas… Il y a encore eu dernièrement un article dans L’Humanité, car il ne faut pas parler de Maistre. Mais cela prouve un refoulement tellement à vif. On a l’impression d’avoir affaire à un vrai cléricalisme. En fait, je reçois des lettres d’insultes de dévots de la religion républicaine jacobine. Et si je fais l’éloge de la Gironde, je vais recevoir aussi des lettres m’avertissant que ce n’est pas bien.
En même temps, vous constatez que les catholiques ne veulent pas non plus entendre parler de Joseph de Maistre. Pourquoi ?
Les catholiques ne veulent pas être catholiques. Ils font du bricolage, mais ne savent rien. L’ignorance sur les questions religieuses est quasiment totale. Je passe mon temps à voir des gens qui ne savent pas ce que c’est. Alors ils voient à peu près les fêtes, encore que savoir ce qu’est l’Ascension, l’Assomption, la Pentecôte… Ils ne peuvent même pas écouter une messe, car ils ne savent pas de quoi ça parle. Ils sont donc extérieurs à la culture occidentale.
Le fait que Maistre touche au domaine de l’ésotérisme peut-il contribuer à faire peur, notamment chez les catholiques, qui ne mettent pas cet aspect de la religion en avant ?
Mais ils ne savent rien de leur propre religion, donc on ne va pas leur demander en plus de s’intéresser à l’ésotérisme. Et ceux qui s’intéressent uniquement à l’ésotérisme ne savent rien non plus du catholicisme. Mais pourquoi rester coupé de quoi que ce soit ? Maistre, lui, ne se prive de rien. Il est évident qu’il est bourré de pensées ésotériques, mais, ce qui est fabuleux, c’est qu’il n’en reste pas là. Il entre résolument dans l’histoire et y voit l’irruption de quelque chose qui s’appelle la Bible, qui s’appelle ensuite la Révolution et ce qui s’ensuit. Une histoire saignante, pour le coup.
Et il voit partout la main de Dieu…
Oui. Il est celui qui analyse le mieux ce qu’on peut penser de l’histoire dans un terme providentialiste ou selon une volonté cachée à longue échéance à partir de la Révolution française. C’est là que ça se joue. Et, aujourd’hui, Maistre peut être une clef pour comprendre notre époque, donc on a tout intérêt à le lire. Sauf qu’on est sous hypnose et que, dans l’enseignement transmis par l’école, par l’université, par les familles, par la politicaillerie, il ne faut surtout pas aborder la question de la Révolution, car c’est le socle. C’est la fondation.
En lisant Joseph de Maistre, les Savoyards pourraient aussi mieux comprendre leur histoire et l’impact qu’a eu la Révolution française sur la Savoie…
Mais ils n’en ont pas envie. Ce sont de tranquilles citoyens éternisés dans le calendrier de la Troisième République, alors qu’on est au début du xxie siècle dans quelque chose qui n’est même pas la Cinquième. Et pour nos élus locaux, c’est encore le xixe siècle à travers les âges. Avis aux Allobroges.
Entretien : Jo Veillard
Article publié dans le n°17 de la VDA, été 2008
http://www.lavoixdesallobroges.org/culture/362-itw-philippe-sollers-sur-joseph-de-maistre
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Comme toutes les fins de semaine, je lis la presse papier:
https://www.lepoint.fr/html/edition-digitale/nl-edition-digitale.html
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L'Estampille/L'Objet d'Art n° 504
Spécial Biennale
N° 504 - septembre 2014 - 8,50 €
ISSN : 0998-8041
LE MAURITSHUIS ROUVRE SES PORTES : À LA DÉCOUVERTE D’UN CHEF-D’ŒUVRE
La réouverture du Mauritshuis à La Haye est un événement majeur pour le monde de l’art. En moins de deux ans, Emilie Gordenker et son équipe ont remis sur pied l’un des plus précieux musées du monde, qui n’abrite rien moins que la Jeune Fille à la perle et la Vue de Delft de Vermeer. Mais le Mauritshuis recèle bien d’autres trésors, à commencer par la demeure elle-même, chef-d’œuvre de l’architecture classique hollandaise. Forte de 800 œuvres, dont un tiers est exposé, cette petite collection exceptionnelle est aujourd’hui révélée par une rénovation réussie.
ENTRETIEN AVEC HENRI DE CASTRES PRÉSIDENT D’AXA
Héritier d’une longue tradition de mécénat dans le domaine culturel, AXA est à l’origine de l’acquisition de nombreux trésors nationaux dans les collections publiques françaises. Entretien avec Henri de Castries, son président-directeur-général, collectionneur et passionné d’art.
SOUS LA VERRIÈRE DU GRAND PALAIS, LA XXVIIE BIENNALE DES ANTIQUAIRES
Dans une scénographie de Jacques Grange, la XXVIIe Biennale des Antiquaires ouvre ses portes du 11 au 21 septembre. Voici une sélection des plus belles pièces que les visiteurs pourront y admirer.
LA RENAISSANCE DU XVIIIE SIÈCLE FRANÇAIS AU LOUVRE
“Qui n’a pas connu l’Ancien Régime ignore ce qu’est la douceur de vivre !”, confiera Talleyrand au XIXe siècle. Si l’époque en question est aujourd’hui révolue, il est néanmoins possible de s’en faire une idée, grâce à la réouverture tant attendue du département des Objets d’art du Louvre. Lever de rideau sur ce “moment de perfection” de l’art français.
NIKI DE SAINT PHALLE, ARTISTE, GUERRIÈRE ET DÉESSE
À travers un parcours de plus de 200 œuvres parfois inédites, le Grand Palais offre une redécouverte de toutes les facettes de Niki de Saint Phalle (1930-2002), peintre, sculpteur, performeuse et cinéaste expérimentale. Celle qui fut l’amie des artistes du pop art et des Nouveaux Réalistes, la femme de Tinguely et aussi celle qui la première tira à la carabine sur la peinture, ne se laissa pas si aisément enfermer dans la rondeur joyeuse et colorée de ses Nanas. Avec sa part d’ombre, l’ensemble de son œuvre retrouve ici complexité et pertinence.
PARIS À CIEL OUVERT, LA BIENNALE OFF
Une belle moisson d’automne : tel est le visage qu’offre Paris dans les galeries et les lieux d’expositions, profitant de l’effervescence suscitée par la Biennale. Chez les Kugel, on admire ainsi un ensemble exceptionnel de pièces illustrant la virtuosité de l’orfèvrerie strasbourgeoise ; le 7e Parcours de la Céramique réunit vingt-sept participants, dispersés entre la rive droite et la rive gauche, tandis que se tient le traditionnel Parcours des Mondes à Saint-Germain-des-Prés ; l’hôtel de Guénégaud prête ses murs à quatre antiquaires pour récréer une éphémère atmosphère XVIIIe... Tour d’horizon éclectique des expositions à découvrir dans les galeries à la rentrée.Articles
- Le Mauritshuis rouvre ses portes. À la découverte d'un chef-d'œuvre
- Entretien avec Henri de Castries président d’Axa
- Sous la verrière du Grand Palais, la XXVIIe Biennale des antiquaires
- Le cabinet des merveilles de Bill Pallot
- La renaissance du XVIIIe siècle français au Louvre
- Niki de Saint Phalle, artiste, guerrière, déesse
- Paris à ciel ouvert, la Biennale off
Actualités
- Le goût pour la Chine au XVIIIe siècle
- Le Louvre lève le voile sur le masque
- L’Arche de Noé d’Antoine de Galbert
- L'Opéra célèbre les Ballets suédois
- Lumière sur l'impressionnisme belge
- La restauration au long cours du Polyptyque de l’Agneau mystique de Gand
- Olivier Gabet, quelle politique pour le musée des Arts décoratifs ?
- La Victoire de Samothrace restaurée et remplumée
- La cuvée de la rentrée
- Des si belles journées...
- Une fâcheuse incertitude
- Adjugés
- Calendrier des expositions
Fiches
- Alexandre-Francois Desportes (1661-1743), Autoportrait en chasseur, 1699
- Joseph Ducreux (1735-1802), Autoportrait en moqueur, vers 1793
L'Estampille/L'Objet d'Art n° 503 - La fondation Maeght fête ses 50 ans
http://www.estampille-objetdart.com/numero-504/special-biennale.4042.php
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L'Oeil N°673
Novembre 2014Réjouissante « Marcel Duchamp. La peinture, même » à Beaubourg, « Niki de Saint Phalle » au Grand Palais, « Émile Bernard » à l’Orangerie, « Impression, soleil levant, l’histoire vraie du chef-d’œuvre de Claude Monet » au Musée Marmottan… La programmation des expositions d’automne, à Paris, s’annonçait aussi passionnante que sans risques et sans surprises. Et tant pis si ces expositions ne devaient pas faire avancer la connaissance, le public était attendu nombreux. Car, disons-le, de Marcel Duchamp, Niki de Saint Phalle, Émile Bernard, comme du tableau qui a donné son nom à l’impressionnisme, tout a été dit, écrit, montré. Duchamp n’est-il pas l’artiste sur lequel on a le plus épilogué ces cinquante dernières années ? Une fois que l’on a vu une nana de Niki de Saint Phalle ou une Bretonne d’Émile Bernard, ne les a-t-on finalement pas toutes vues ? Loin s’en faut !, comme le ...
L'oeil en mouvement- Image du mois
- Les dieux du musée
- Tout un fromage
- Objet du mois
- Esprit sein
- Actualité
- Le trop lourd poids de l’amour
- Naissance annoncée de Photo Art Basel
- Le Musée Moreau de fond en comble
- On en parle - Novembre 2014
- Figures : Keller, Conesa, Lavandier et Nouvel
- Lorette au cœur du centenaire 14-18
- La main de Michel-Ange
- Question d'actu
- Marc Nouschi - Le patrimoine naturel de la Réunion
- Acquisitions
- L’Amour nourri par l’Espérance
- L'esprit des lieux
- Le Musée Delacroix
- L'art en 2050
- Le temps retrouvé
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- Voir loin - Hervé Bize
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- Guillaume Bresson, peintre chorégraphe
- Béton ! - Vhils
- L'objet de
- Le canif de Philippe Favier
L'oeil magazine- Spécial FIAC
- 7 conseils pour réussir sa collection
- La FIAC des classiques
- La FIAC des contemporains
- Les quatre nominés du Prix Marcel Duchamp
- Les événements pendant la FIAC
- Biographie
- Durand-Ruel : marchand, un métier d’art
- Autopsie
- Autopsie d’un chef-d’œuvre
- Redécouverte
- Émile bernard, retour à l’œuvre
Expositions musées/salons/galeries- Paris/Ile-de-France
- La beauté classique du Pérugin
- Triste Hokusai
- Eggleston, l’art du banal
- L’autre histoire de la Grèce antique
- Fautrier, l’empire des sens et du trait
- Le cousin Armand
- Thomas Lévy-Lasne, réalité augmentée
- Régions
- Clergue, itinéraire d’un bâtisseur
- La céramique, avec brillance
- Les Picasso de Clergue
- Ils roulent depuis un siècle
- La Vache, les artistes et les contes de fée
- 14-18 : la revanche des petits maîtres
- Yeah, les photaumnales !
- Les Corses et la Grande Guerre
- Le peintre et la lissière
- L’adolescence, âge ingrât
- De l'art et des jeux !
- International
- Ce vieux fou de Turner
- Horst, photographe sur papier glacé
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Chemin de Fer des Côtes du Nord
Parc de Boutdeville 1 Promenade Harel de la Noë
22360 LangueuxTéléphone : 02 96 72 75 88Téléphone : 02 96 79 05 22http://chemin-fer-baie-saint-brieuc.fr/wordpress/La seule exposition consacrée à un réseau secondaire en France : histoire du réseau en cartes postales et photos anciennes, 2 autorail De Dion Bouton (1 monument historique), 1 locomotive à vapeur 1928. Promenade à bord de matériel restauré sur le site de la baie de St Brieuc (15 mn), découverte du parc avec le tramway...Une sortie en famille, les plus jeunes adorent !
http://www.trains-fr.org/qui-sommes-nous
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Découverte de la plus ancienne pépinière de la Région Rhône-Alpes
Visite libre avec possibilité de commentaires des roseraies: la Grande roseraie : 20 000 rosiers, créations de la Maison Croix, la petite roseraie technique et la Collection de rosiers botaniques et de roses anciennes : 450 variétés. Les collections bicentenaires de rhododendrons, azalées mollis, érables japonais, conifères et les arbres remarquables.
Photo:
Baptême de Rose aux Pépinières Croix Les Pépinières et Roseraies Paul Croix ouvrent leurs portes le week-end complet pour les Rendez-vous aux Jardins, l'occasion de faire découvrir une nature si fleurit et le parfum des Roses autour de nombreuses animations dans le Jardin remarquable. Dominique CroixLe lieu de l'événement
Pépinières Et Roseraies Paul Croix
Pépinière privée de 5 hectares, créée sous ordonnance royale en 1819 par Adrien Sénéclauze. La famille Croix, obtentrice et créatrice de roses, a transformé une partie de la pépinière en scènes de jardins : 3 roseraies (technique, conservatoire de 18 000 rosiers et 450 variétés de roses anciennes), collection de magnolias, azalées et glycines et parcours des arbres anciens dont érables japonais centenaires. Label jardin remarquable.Accès
Sur la RN 82 entre Annonay et St Etienne avant d'emprunter le Col de la République. Sur l'Autoroute A7 , sortie CHANAS puis prendre la direction St Etienne.Contacts
04 77 39 62 07
domijac.croix@orange.fr; contact@pepinieres-paul-croix.frPhoto:
Dominique Croix
Baptême de Rose aux Pépinières Croix -
Encore plus besoin de vous et de vos achats(nouvelles photos)
Le 21 janvier, j'ai eu un accident de voiture avec mon voisin qui m'avait dit de ne pas abandonner alors que j'avais déjà pris 10 leçons de conduite
sans qu'on m'estime capable de conduire seule
Je ne le sentais pas
mais ça me fait tellement du bien en ce moment qu'on me fasse confiance
J'ai perdu les pédales dans un virage au-dessus de chez moi(les 7 collines de St Etienne sont forcément sinueuses et pentues)Achetez"paysages-poemes-a-mon-mari"
Assureur
Remorqueur
Expert: il a conclu que ma voiture était économiquement irréparable
Mercredi: je suis allée chercher nos quelques affaires qui restaient dans la voiture chez notre concessionnaire qui m'a traité comme une moins que rien
alors que mon mari était un bon client depuis des lustres
Pas de pitié pour les veuves!
Hier, j'ai ramené ma clé et papiers chez l'expert
J'attends l'argent de l'assuranceBeaucoup d'émotion: casser en quelques minutes ce que mon mari a soigné pendant 8 ans
La leçon est de ne pas écouter les conseilleurs
mais d'écouter sa voix intérieureNotre voiture chez le concessionnaire avant qu'elle parte à la casse
La clé dans ma main avec nos deux alliances
Achetez "paysages-amoureux-et-erotiques"
A la maison, il me reste 1 "Paysages de Canelle et 1 "Paysages nervaliens" que je peux vous envoyer, dédicacés
avec un marque pages
alors que j'ai déposé ces 2 livres chez mon marchand de journaux pour les vendre
et que je reprends mon activité d'écrivain public
et que je cherche des dédicaces à St Etienne
1 ère publication:
16/02/2020 19:41
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Comme tous les mercredis dans mon 2 e CDI, je lis la presse papier:
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Comme tous les mercredis dans mon 2 e CDI, je lis la presse papier:
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Souvenirs de Venise
Gioacchino ROSSINI La regata veneziana* [4’24"]
Ludwig van BEETHOVEN Canzonetta veneziana Wo0158a No. 23** [1’22"]
Franz SCHUBERT Gondelfahrer D808 [1’42"]
Felix MENDELSSOHN VenezianischesGondellied Op. 57 No. 5 [1’55"]
Adolf JENSEN Leis’ rudern hier, mein Gondolier Op. 50 No. 4 [2’24"]; Wenn durch die Piazzetta Op. 50 No. 3 [1’41"]
Mikhail GLINKA Venetsianskaya noch’ [2’21"]
Sergei TANEYEV Venetsiya noch’yu Op. 9, No. 1*** [1’43"]
Gioacchino ROSSINI I marinai**** [5’22"]
Charles GOUNOD Venise [4’04"]
Jules MASSENET Souvenir de Venise [1’33"]
Gabriel FAURÉ Barcarolle Op. 7 No. 3 [2’14"]
Reynaldo HAHN Venezia. Chansons en dialecte vénetien [16’45"]
The Songmakers’ Almanac: *Felicity Lott (soprano); Ann Murray (mezzo-soprano); Anthony Rolfe Johnson (tenor) with**Brian Brooks (violin & Justin Pearson (cello); ***Hugo Dalton (mandolin); **** Richard Jackson (baritone); Graham Johnson (piano)
rec. St. Barnabas’s Church, North Finchley, London, 12-13 September 1983. DDD
HYPERION HELIOS CDH55217 [49’22"]
Read more: http://www.musicweb-international.com/classrev/2005/Nov05/Souvenirs_CDH55217.htm#ixzz31WBpcrzL -
Serge de DIAGHILEV
Serge de DIAGHILEV (1872-1929) : impressario russe d’origine aristocratique, il crée à St Petersbourg en 1907 ce qui restera sa grande oeuvre : les Ballets russes. Dès 1909, la compagnie entame une tournée internationale et, en 1911, Diaghilev coupe les ponts avec le Ballet Impérial. La compagnie devient une troupe privée, indépendante, qui se fixe à Monte-Carlo, Paris et Londres, sans s’attacher à aucun théâtre en particulier. Les commandes de ballets qu’il passe aux compositeurs de son temps (Debussy, Satie, Ravel, Poulenc, Prokofiev...), l’audace des décors (signés Léon Bakst, Picasso, Cocteau...) ou des costumes (Paul Poiret), la virtuosité des danseurs (Anna Pavlova, Nijinski, Lifar ou Balanchine), font de ses ballets la vitrine de la modernité des années 10 et 20. Sa collaboration la plus célèbre demeure celle qu’il eut avec Stravinsky. Il lui commanda ce qui allait devenir les oeuvres majeures du compositeur : L’Oiseau de feu, Petrouchka en 1911 et Le Sacre du printemps en 1913. Tous les deux reposent désormais dans la partie orthodoxe du cimetière.
La tradition voulant que les jeunes danseurs viennent déposer leurs chaussons sur la tombe du maître (phénomène analogue sur la prétendue tombe Taglioni au cimetière Montmartre) est ici également respectée.
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Nouvelles catégories de ce blog
les-mediatheques-de-saint-etienne
https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9diath%C3%A8ques_de_Saint-%C3%89tienne
https://scd.univ-st-etienne.fr/fr/index.html
http://www.lauravanel-coytte.com/la-bibliotheque-universitaire-de-trefilerie/
http://www.lauravanel-coytte.com/la-bibliotheque-annexe-du-quartier-carnot
https://www.citedudesign.com/fr/mediatheque
http://www.lauravanel-coytte.com/la-mediatheque-de-la-cite-du-design/
http://www.lauravanel-coytte.com/mil-et-une-suite
298 notes
http://www.lauravanel-coytte.com/le-defi-du-samedi
Ces nouvelles catégories comme les anciennes reflète ce que j'écris
http://www.lauravanel-coytte.com/mil-et-une-suite
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et ce(ux) que j'aime comme:
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inspire mes livres
dont
"Acrostiches "
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Les friandises de nos régions
La France possède de nombreuses spécialités sucrées, nées souvent d'une erreur de fabrication.
Retrouvez sur cette page, région par région, bonbons et friandises avec leur histoire et des liens vers des confiseurs régionaux.
Le patron des confiseurs est St Nicolas (fête le 6 décembre). La légende raconte qu'une bonne odeur de myrrhe s'échappait de son sarcophage. De tous les Saints protecteurs, il est au Moyen Âge l'un des plus importants. Dans la tradition Saint Nicolas est représenté avec son âne chargé de friandises, pain d'épices et petits jouets qu'il offre en récompense aux enfants sages
La trêve des confiseurs: Cette expression vient de la trêve de Dieu qui fut imposée en France par le roi St Louis vers 1245. L'Église demandait que les combats guerriers soient arrêtés pendant l'Avent à Noël, le Carême et Pâques. Les combattants devaient attendre jusqu'au huitième jour après la Pentecôte pour reprendre les combats. Par extension, l'expression s'applique à n'importe quelle activité professionnelle ainsi qu'à l'activité politique et diplomatique.
Il est possible que vous ne retrouviez pas une spécialité de votre région. Si c'est le cas, vous pouvez nous en faire la remarque en nous contactant ici et nous l'ajouterons à la liste.
Cliquez ici pour visualiser la carte de France gourmande (image de la chambre syndicale nationale de la confiserie)France Nord-Ouest France Nord-Est France Centre France Sud-Ouest France Sud-Est Bibliographie:
- Wikipédia.org
- Syndicat national de la confiserie
- Sucreries.free
- clémentfaugier.fr
et sur les photos pour découvrir les spécialités régionaleshttp://www.cuisinedenotreterroirfrancais.com/bonbons-friandises.php
Les films, les livres, les expos, les infos, les poèmes, l’actu, les œuvres, les artistes, les polars nourrissent ce blog mais aussi mes 13 livres en vente ici:
http://www.thebookedition.com/livres-laura-vanel-coytte-auteur-95.html
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Pour le défi 249 des Croqueurs de mots que je mène: Paysages de PAQUES
DEFI 249
Pour le premier jeudi poésie du 8 avril, j'aimerais qu'il soit question de PAQUES, tout juste passé/
Paysages de PAQUES
La maison familiale
La maison de campagne de ma famille où mon grand-père cachait les œufs avant que nous arrivions
Je ne me souviens pas trop des chasses aux œufs après sa mort.
Une veillée pascale à St Quentin où il faisait un froid de canard
Une semaine sainte à Reims(dans sa célère cathédrale) où je faisais mes études. Le vendredi saint, j'ai bu pour la première fois du vin de messe.
5 AVRIL 2021
Que ressuscite un Dieu des Lumières;
Que le soleil couvé par l'œuf céleste
Eclose comme un matinée printanière.
Que ce nouveau monde bâti par de libres
Architectes mus par le désir d'apprendre
Se découvre au bord du lac des rêves.
28 mars 2016 -
La sentinelle de Lisbonne(BU)
https://genius.com/Cole-porter-anything-goes-lyrics
Henrique Monroe, inspecteur de police à Lisbonne, n'est pas un flic comme les autres. Son comportement singulier sur les scènes de crime est même légendaire. Et si ses collègues comme sa hiérarchie s'en accommodent, c'est uniquement parce que Monroe est un enquêteur exceptionnel. Mais lorsque Monroe est appelé sur les lieux du meurtre particulièrement odieux d'un homme d'affaires en vue, Pedro Coutinho, ce n'est pas seulement l'enquête qui part en vrille, mais sa propre personnalité. Roman policier hautement psychologique, «La Sentinelle de Lisbonne» emporte le lecteur dans une troublante quête d'identité et dans une affaire si criminelle qu'elle pourrait bien détruire ceux-là même qui feraient émerger la vérité.
https://catalogue-brisees.univ-st-etienne.fr/accueil.html?q=pageCompteLecteur&selection=koha
http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2022/06/09/disparition-de-l-artiste-paula-rego-6386180.html
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Bonjour Monsieur Matisse !
(s)
03 juillet 2013
En 2013, du 20 juin au 23 septembre, le musée Matisse de Nice fêtera son cinquantième anniversaire. À cette occasion, la Ville de Nice organise un cycle de 9 expositions consacrées à la figure d’Henri Matisse.Figure tutélaire de l’art moderne et emblématique de la Côte d’Azur, Henri Matisse marque considérablement les artistes des générations successives. Si d’un point de vue purement formel, son influence est omniprésente, la
citation de ses tableaux est moins manifeste mais tout aussi pertinente.
Le MAMAC (Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de Nice) a choisi de présenter, une exposition sur cette thématique en insistant sur l’héritage figuratif de son corpus. Elle réunira une sélection d’œuvres d’artistes contemporains, puisant directement dans les œuvres et les sujets du maître de la modernité. Si les collections du MAMAC trouvent leur articulation essentielle dans le rapport entre le Nouveau Réalisme et l’expression américaine de l’art d’assemblage et du Pop Art, cette exposition rejouera l’aventure américaine et européenne avec des artistes comme Roy Lichtenstein, Tom Wesselmann, Larry Rivers, Andy Warhol mais aussi Niki de
Saint Phalle, Claude Viallat, Alain Jacquet, Valerio Adami et Erro.
La ville de Nice a confié le soin à Beaux Arts éditions de réaliser le catalogue de cette exposition.Informations sur le livre: 128 pages - 24 x 30 cm
EAN : 9791020400239
Reliure : Broché