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EXPOSITION du 11 mars 2014 au 17 avril 2014, à Chartres (28)
Cette exposition décline des projets architecturaux contemporains qui entretiennent une relation particulière avec le paysage : disparition, mimétisme, déformations topographiques…
L’émergence d’une conscience écologiste au cours des années 1960-70 a contribué à une prise en compte du paysage dans la conception architecturale.
De nombreux architectes ont ainsi imaginé des projets qui tendent à se fondre dans le paysage soit en se « camouflant », soit en utilisant des matériaux naturels ou vernaculaires. D’autres envisagent une relation au paysage qui passe par le modèle du jardin. D’autres encore proposent d’en imiter les formes en reprenant les mouvements et les déformations topographiques du sol pour engendrer des architectures qui abandonnent les formes géométriques traditionnelles et s’organisent autrement.
Un partenariat Frac Centre-CAUE28
EXPOSITION HABITER LE PAYSAGE du 11 mars 2014 au 17 avril 2014 au CAUE28 - 87 rue du Grand Faubourg à Chartres Entrée libre du lundi au vendredi : 9h > 13h et 14h > 18h sauf vendredi 17h
Contact CAUE d’Eure-et-Loir 87 RUE DU GRAND FAUBOURG 28000 CHARTRES TÉL. 02 37 21 21 31
Le jury du Concours de Carnets de voyage Nouvelles Frontieres s’est réuni hier et a déterminé les noms des 10 carnets finalistes qui seront exposés ce week-end au festival. Il s’agit de : Isabelle TALON, Mathilde SEGONS, Claire BRUCY, Marie STRICHER, Antoine WILMERT, Bernard LAVAYSSIERE, Emeline TALON, Leo SUCHEL, Sylvie LEVILLAYER, Gaëlle CHARDONNET. Bravo à eux! Venez feuilleter leur carnet (Centre de Congrès, entrée libre), et voter pour celui que vous préférez! Car le concours de carnets de voyage c’est aussi un prix du public! Un billet d’avion Corsair à gagner pour l’heureux élu.
Le Prix littéraire Curieux Voyageurs sera remis plus tôt que prévu !
Les quatre livres du Prix (« Ennedi, la beauté du monde », « Le défi d’une vie debout », « De Dakar à Paris, un voyage à petites foulées », « Nouvelles vagabondes et autres histoires cyclopédiques » ) ont été lus par deux cent lecteurs de 18 médiathèques de la Loire. Une centaine de votants a permis de déterminer qui est l’auteur primé cette année. Nous aurons le plaisir de lui remettre son prix samedi 20 avril à 17h45, dans l’amphithéâtre du Centre de Congrès, juste avant la séance « Nahanni », et pas à 20h comme nous l’avions annoncé dans le programme.
Longue traversée gris bleu de Loire à la tache verte
Huile sur toile
1,80 x 2,30 m
Acquis en 1980
Inv. 1980-5-1
Si les premières peintures d'Olivier Debré manifestent des tendances impressionnistes, marquées notamment par l'influence de l'œuvre de son grand-père maternel Edouard Debat-Ponsan, dès 1941 le peintre se tourne vers l'abstraction qui sera alors son unique mode d'expression. Des rencontres avec Picasso et avec d'autres artistes contemporains seront déterminantes dans ce choix, mais Debré voulant se dégager d'une peinture moderne qui lui semble trop théorique, se dirige définitivement vers une expression plus émotive et plus sensuelle.
Aux premières toiles abstraites structurées par de grands aplats maçonnés au couteau et réalisées dans les années 1950, succèdent des œuvres travaillées dans une matière plus fluide, presque transparente à certains endroits, l'artiste cherchant à dégager la pureté de la couleur dans cette légèreté.
Ses tableaux sont le résultat de sensations, d'émotions "d'impressions" ressenties et exprimées par le seul biais de la couleur, le peintre désirant dans ses toiles : "projeter cette chaleur que l'on a en soi, cette charge humaine, dans des formes qui deviennent évidentes non pas parce qu'elles représentent quelque chose qui appartient au monde lisible, mais parce qu'elles contiennent en elles-mêmes la vie que nous avons en nous".
Ce pourrait être le bar le plus cher du monde. Un grand coffre qui, jusqu'à ces derniers mois, abritait les bouteilles qu'une brave famille du centre de la France exhumait à l'heure de l'apéro, et qui sera vendu par l'étude Rouillac, au château de Cheverny (Loir-et-Cher), dimanche 9 juin.
Un grand coffre qui a immédiatement évoqué un souvenir à Philippe Rouillac et à son fils Aymeric lorsqu'ils l'ont vu pour la première fois. Celui d'un exemplaire similaire, mais plus petit, conservé au Victoria & Albert Museum de Londres : en cèdre, laqué, incrusté de nacre, d'or et d'argent. Un objet exceptionnel, fierté du musée, puisqu'il est non seulement très rare – le Japon prohiba l'exportation de laques en 1641, et bon nombre de celles parvenues en Europe furent démembrées pour être adaptées à des meubles de style occidental – mais eut aussi un premier propriétaire prestigieux, le cardinal Mazarin.
Or, des coffres japonais, Mazarin en posséda plusieurs. "Et si le bar à apéritif faisait partie de l'ensemble collectionné par le cardinal ?", se prirent à rêver les deux commissaires-priseurs. Ils allèrent mener l'enquête sur les bords de la Tamise. L'exemplaire londonien est orné de scènes inspirées du Dit du Genji, un des premiers "romans psychologiques" de la littérature mondiale, rédigé au XIe siècle, et contant la vie et les amours – variées –...
L'académicien Goncourt a terminé son autobiographie romanesque.
EN PUBLIANT début février Les Trompettes guerrières (Albin Michel), Robert Sabatier met un point final à son autobiographie romanesque. Des titres qui carillonnent comme autant de succès populaires : Les Allumettes suédoises, Trois Sucettes à la menthe, Les Noisettes sauvages, Les Fillettes chantantes. Des centaines de milliers d'exemplaires qui font de leur auteur, membre de l'académie Goncourt, l'un des écrivains français les plus lus de l'après-guerre. Le petit Olivier, héros de cette saga, revient à l'âge de 22 ans en uniforme de maquisard. Sans tirer un seul coup de fusil, l'enfant de Montmartre devenu un Auvergnat de Saugues, en Haute-Loire, la région de ses ancêtres, sera confronté aux malheurs d'un pays dans l'attente de sa libération. Le sacrifice des résistants, leurs martyrs en feront un adulte. La trompette guerrière qu'on retrouve dans le Chant du départ sonnera une nouvelle vie illuminée par la poésie. « Je parle de choses qui se sont passées il y a soixante-cinq ans, et j'ai toujours l'impression d'être ce jeune homme. Je n'ai rien oublié, dit Robert Sabatier, qui travaille actuellement à la rédaction de ses Mémoires. Quinze cents pages sont déjà écrites. Je suis arrivé à l'an 2000. Encore trois cents pages et ce sera terminé. De temps en temps, un personnage intervient. il est souvent en contradiction avec moi-même. »
Le site Couriot / Une découverte d’un peu plus d’1h30 de l’univers de la mine qui enchantera petits et grands, à l’ombre de la silhouette du chevalement du principal siège d’extraction du bassin de la Loire entre 1913 et 1950 et au cœur d’un haut lieu du patrimoine stéphanois.
Après avoir visité la “salle des pendus”, gigantesque et émouvant vestiaire où se changeaient et se lavaient les hommes, puis la lampisterie où chacun prenait sa lampe, place ensuite à la descente au fond, auquel on accède par la colonne du puits. En 45 minutes de parcours souterrain, en empruntant le train qui conduisait les hommes sur les chantiers, puis en se faufilant le long du travers-bancs et en progressant entre les convoyeurs à bandes et ce qui encombrait les galeries, vous serez initié aux techniques de l’extraction comme si vous étiez, tantla galerie a été reconstituée avec soin par les anciens de la mine.
De retour au jour, la visite n’est pas finie : la salle de la gigantesque machine d’extraction, la salle d’énergie et le grand audiovisuel consacré à l’aventure de la houille dans le bassin stéphanois vous attendent pour terminer de vous compter l’aventure du charbon qui s’est achevée à Couriot en 1973. Un parcours fascinant qui fait réellement revivre cet univers qui a fondé la richesse industrielle de Saint-Étienne.
Musée de la Mine de Saint-Étienne 3, bd Maréchal Franchet d'Esperey 42000 Saint-Étienne Tél : 04 77 43 83 23 Fax : 04 77 43 83 29
Mon pont traverse la Seine De mon enfance et enjambe Mon adolescence vers la Capitale. Entre Aisne et Marne, la Vesle Passe sous les arcades De mes errances. Mes assises s’assurent Avec un homme De Picardie solide. La maturité me ramène A retourner maintes Sur les ponts de la Seine Enchantée de la Capitale. Mes piles s’élargissent Pour traverser la France Vers la Garonne Aux reflets roses De la chanson du poète Nougaro ; un concert sublime. Puis c’est auprès de la Loire Que je bâtis un pont intime. Puis il n’y a plus de pont ; une impasse. Je me jette dans l’Atlantique Change de continent, de culture De climat, de religion et quitte Mon pays de naissance Pour le Maroc aux contrastes Désolants et sublimes. Et je reviens par l’aérienne Voie des larmes célestes Par le Nord vers le Rhône Qui m’invite à visionner encore Les images du cours de mon âme. Le ponton ici s’arrête Et je ne peux que Sauter que dans le visible L’inconnu, le connu et l’invisible.
7 octobre 2008
Pour lire d'autres poèmes de moi, cf. mes 2 recueils que vous pouvez acheter en passant par les bannières (remises) en haut de ce blog.
-Le château de Roussillon (seul château de la Renaissance en Isère).
-Parc et maison St Prix au Péage de Roussillon : très beau parc aux arbres centenaires. La maison musée de l'ancien comédien Raymond St Prix possède une belle collection de dessins et d'objets anciens, témoignages du théâtre du début du 20ème siècle. Rue Nivoley - 38 Péage de Roussillon. Tél : 0474867207.
-Le Prieuré roman de Salaise-sur-Sanne, le pont des moines et la fontaine Saint-Juste, le quartier ancien de la Rebatière et l'église du 19ème S avec choeur chevet roman.
Situé au carrefour de 4 départements (Loire, Rhône, Ardèche et Drôme), le Pays Roussillonnais s'étend sur 22 communes du Sud-Ouest de l'Isère dont Roussillon (7437 habitants) est le chef-lieu. Bénéficiant du climat doux et ensoleillé de la vallée du Rhône, il est la 1ère zone productrice de fruits de l'Isère et le 1er terroir de production de pommes en Rhône-Alpes. On y fabrique aussi des pêches, fraises, abricots, cerises et framboises. Le vaste plateau de Louze entre Auberives-sur-Varèze et Roussillon est un exemple de verger Roussillonnais.
MÂCON (AFP) - Le record de l'an dernier a été battu ce week-end à Digoin (Saône-et-Loire), où 8.400 douzaines, soit 100.800 escargots de Bourgogne, ont été engloutis au cours de la 18e fête de l'escargot qui se terminait lundi soir, a-t-on appris auprès des organisateurs.
Selon Jacky Pommier, président du comité d'organisation, "tous les records ont été battus, malgré la pluie", qui s'est abattue lundi après-midi.
"Nous avons eu plus de monde que l'année dernière avec de nombreux vacanciers originaires de toute la France, et des étrangers également", a-t-il ajouté.
Selon lui, 500 kg de beurre, 55 kg de persil et 33 kg d'ail ont été nécessaires pour la préparation, selon la recette "traditionnelle", de cette variété d'escargots.
Les animaux servis pendant ces trois jours de fête, portant le label Escargots de Bourgogne, avaient été fournis par la société SA Grandjean, basée à Replonges (Ain), qui les fait venir de Pologne, où ils sont élevés.
"De nombreux amateurs dégustent entre cinq et sept douzaines d'escargots au cours du même repas", a souligné M. Pommier.
Cette manifestation, l'une des plus importantes du genre en France, attire chaque année des milliers de visiteurs. L'an dernier, plus de 8.000 douzaines d'escargots - 96.000 gastéropodes - avaient été dégustés par plus de 10.000 visiteurs.
Jean Pestre animera une conférence sur l'architecture et les paysages du Velay ce jeudi 3 décembre à la Salle de spectacle de l'Embarcadère de Vorey à 20h30. Le 02/12/2009
Territoire reconnu par César, longtemps plaque tournante de routes diverses, le Velay a formé la majeure partie du département de la Haute-Loire voici plus de deux siècles. Aujourd'hui, quelque peu isolé des grands axes, il a conservé ses caractéristiques humaines, bâties et paysagères propres à sa géologie volcanique et aux reliefs saisissants qui en font son charme. Avec le public, Jean Pestre portera un regard attentif à ce pays, ses particularités et son architecture typique. Jean Pestre est né au Puy, il y fait sa scolarité, y compris ses études d'architecture auprès de l'architecte des bâtiments de France. Après avoir été dessinateur et travaillé pour l'agence de Michel Kaeppelin pendant dix ans, il a créé son agence d'architecte en 1968 et a été élu au Conseil régional de l'Ordre des architectes.
La conférence, organisée par le réseau des bibliothèques de l'Emblavez, sera suivie d'une discussion autour d'un verre. Le prix d'entrée est de 3 €.
C’est jeudi que sera dévoilé le projet d’un rapprochement entre l’École de Commerce de Saint-Etienne de l’École de management de Lyon. Saint-Etienne deviendra ainsi le troisième campus de l’EM, après celui d’Écully et celui ouvert à Shanghai.
Le protocole d’accord, qui devrait être finalisé le 31 mars 2013, prévoit l’ouverture d’un Bachelor International (Bac + 4 d’Excellence) à Saint-Etienne dès la rentrée prochaine. « Ce Bachelor sera directement concurrent de celui de l’ESSEC. L’École de management nous garantit 500 élèves par promotion, qui portera donc le total à 2 000 étudiants au bout de 4 ans », précise André Mounier, président de la CCI de Saint-Etienne.
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
Cette exposition présente un ensemble de pièces, issues de l'importante donation d'oeuvres d'Emile et Henri Tournayre faite en juin 2013 à l'association Histoire et Patrimoine de Saint-Etienne par Henri Tournayre (près de 700 pièces).
Déclinée en trois parties, elle propose dans un premier temps de découvrir les sculptures d'Emile Tournayre (1875-1951). Sont ensuite exposées les peintures, dessins et croquis du fils, Henri Tournayre (1923-2014), autour de grands thèmes : vues de Paris, nus féminins, paysages méditerranéens, paysages locaux ...
Cette rétrospective se termine par un zoom sur l'activité d'Henri comme dessinateur à la Direction Départementale de l'Equipement de la Loire.
Le catalogue de l'exposition est disponible à la boutique du musée, ou sur commande.
N. 255 de la revue Histoire & Mémoire, 56 p., quadri, 11 euros (franco de port : 13 euros).
Le jardin est en fête dans toute la France! De Cahors à Chaumont-sur-Loire, festivals, expositions et livres cultivent notre patrimoine et invitent les jardiniers en herbe à découvrir de nouveaux lieux et de nouveaux paysagistes.
L'Héritage industriel de Saint-Étienne et de son territoire.
100 sites en enjeux
Photographies de Florian Kleinefenn, textes de Philippe Peyre
De la Loire au Rhône, tout au long des vallées du Gier, de l’Ondaine et du Furan, l’industrie a fondé la vie du territoire stéphanois. Ce livre entraîne à la découverte de son héritage industriel, au travers d’une ballade photographique sensible, qui donne à voir ce patrimoine tel qu’il est aujourd’hui. Il s’accompagne d’une grande carte qui permettra à chacun de découvrir ce qui l’entoure au quotidien. A l’heure où le bassin affirme son rebond, il attire ainsi l’attention sur sa remarquable qualité longtemps ignorée, et propose des pistes de réflexion pour réussir l’articulation entre Héritage et Design, la marque de fabrique du Saint-Étienne de demain.
Les auteurs Florian Kleinefenn est installé à Paris. Originaire de la Ruhr et formé à l'École nationale des Arts décoratifs de Paris, il développe un travail exigeant aux confins de l’art contemporain et du patrimoine. Philippe Peyre est directeur du Puits Couriot / Parc-Musée de la Mine (Ville de Saint-Étienne)
COMMANDE EXCEPTIONNELLE DE LA RÉGION CENTRE-VAL DE LOIRE FAITE À GABRIEL OROZCO (2014-2016)
Artiste en constant déplacement, sans atelier fixe, vivant entre le Mexique, les États-Unis et la France, Gabriel Orozco rejette les identifications nationales ou régionales et puise son inspiration dans les différents lieux où il vit et voyage. Il utilise une multiplicité de mediums et de supports différents pour concevoir et réaliser son œuvre. Passant de la photographie à la sculpture, de l’installation à la création numérique, recourant à des objets et des techniques très variés, grand voyageur, il se définit comme un promeneur, parvenant à exprimer avec une grande subtilité l’esprit du temps et des lieux dans lesquels il intervient. S’imprégnant des signes, des traces, des empreintes, quels que soient les sites où se pose son regard, désireux de s’imprégner des reflets du réel, Gabriel Orozco est « intéressé par la combinaison de différents sens et d’informations contradictoires”. Il observe particulièrement les “mécanismes du mouvement et de vibration ». Fervent lecteur et admirateur de Borgès, il considère que « l’art procède d’une simplicité complexe » et ne cesse de renverser les données pour créer un ensemble de sensations nouvelles, pour voir et faire voir autrement le réel. Revendiquant fortement sa liberté d’invention, il est toujours dans « l’attention absolue au présent », dans l’euphorie de ce qui arrive. Il est dans le « faire », dans le « poïein » de la poésie. C’est dans une démarche d’interrogation de l’histoire et de la mémoire du château qu’il se situe à Chaumont-sur-Loire. Sensible aux empreintes du temps, c’est aux fragments de tapisseries anciennes du château, usées par les années, palimpseste d’époques successives, dans les anciens appartements des invités du Prince et de la Princesse de Broglie, qu’il s’est intéressé, trouvant dans ces papiers peints aux élégants motifs floraux, la matrice d’une méditation subtile sur l’espace et le temps.
Fasciné par les papiers peints anciens qui ornaient les murs des appartements des invités du Prince et la Princesse de Broglie - derniers propriétaires privés du château - abandonnés depuis 1938 et ouverts pour les artistes contemporains depuis 2011, le grand artiste mexicain Gabriel Orozco, dans le cadre d’une commande spéciale de la Région Centre, s'est longuement imprégné du palimpseste des tapisseries subsistant sur ces murs anciens. Son œuvre entière est marquée par la quête des traces, des empreintes des hommes et du temps. Les « fleurs fantômes » qu’il présente à Chaumont-sur-Loire ravivent la mémoire en suspens, les bribes invisibles de vies éteintes, la densité du souvenir de moments disparus, que le visiteur ressentait confusément, sans distinguer l’origine de son émotion et que révèlent les toiles de Gabriel Orozco. Les œuvres qui jalonnent les « chambres des invités » du château reprennent des détails et des blessures de ces papiers anciens, reconstitués par l'artiste grâce à un procédé unique et lent de projection à jet d'huile sur toile. Le tremblé de l'impression est à l’aune du trouble qui saisit le visiteur en ces lieux, face au dialogue lié par ces œuvres et les murs imparfaits qui s'offrent au regard. L'artiste révèle ainsi ces empreintes et ces couleurs qui jusqu'alors échappaient à la vue, autant qu'il révèle l'émotion en suspens dans ces chambres. C'est à ce dialogue subtil avec le mystère des lieux et de cette mémoire diffuse, que nous invite l'artiste par cette poétique promenade, empruntant les chemins de ronde, sur deux étages (aile ouest et aile sud) du château.
En 2015, Gabriel Orozco enrichit sa collection de « fleurs fantômes » en travaillant sur les dimensions, les supports, les proportions des toiles présentées à Chaumont-sur-Loire. Il ajoute de très grands formats aux toiles déjà exposées, jouant subtilement sur les proportions des fleurs présentées, par un délicat aller retour entre les couleurs, les matières et les époques.
REPÈRES BIOGRAPHIQUES
Gabriel OROZCO MEXIQUE
Gabriel Orozco est né en 1962 à Jalapa, Veracruz au Mexique. Il fait ses études à la Escuela Nacional de Artes Plasticas à Mexico et au Circulo de Bellas Artes à Madrid. Sa première exposition personnelle a lieu en 1983 et, dès le début des années 1990, il s’impose comme l’un des artistes majeurs de sa génération sur la scène internationale. Il a exposé dans de nombreux musées prestigieux : Musée d’Art moderne de la Ville de Paris, (1995 et 1998), Musée d’Art Contemporain, Los Angeles (2000 et 2001), Serpentine Gallery, Londres (2004), Hirshhorn Museum, Washington D.C. (2004), Palacio de Cristal, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid, (2005), Museo del Palacio de Bellas Artes, Mexico (2006), Museum Ludwig, Cologne (2006). Il a participé à la Biennale de Venise, (1993, 2003 et 2005), à la Biennale du Whitney (1997), à la Documenta X (1997) et XI (2002).
Son travail a fait l’objet d’une rétrospective itinérante de 2009 à 2011 au MOMA (New York), au Centre Pompidou (Paris), au Kunstmuseum (Bâle) et à la Tate Modern (Londres).
Ses expositions personnelles récentes incluent « Asterisms », Deutsche Guggenheim, Berlin et Musée Guggenheim, New York (2012), Natural Motion, Kunsthaus Bregenz, Autriche (2013), « Thinking in Circles », Fruitmarket Gallery, Edinburgh (2013). En 2014, il a exposé au Moderna Museet de Stockholm et il prépare pour 2015 une importante rétrospection au Japon.
Gabriel Orozco a reçu à New York, en novembre 2014, l’ « American Society Cultural Achievement Award », très importante distinction aux Etats-Unis.
Gabriel Orozco est représenté en France par la Galerie Chantal Crousel et la Galerie Marian Goodman.
La fête des plantes c'est les 8 et 9 avril 2017 au Parc de l'Europe de Saint-Etienne
Les arbres se parent de leur plus beau feuillage, les magnolias ont fleuris et les jardins prennent de belles couleurs. Chaque année, l'arrivée des beaux jours marque le renouveau de la nature. Au printemps, la fameuse fête des plantes de Saint-Étienne donne envie d'avoir la main verte !
Vous souhaitez jardiner au naturel ? Des stands, des conférences, des animations raviront les passionnés du jardin. Les jardiniers municipaux vous expliquent leurs méthodes horticoles pour faire vivre le sol, planter des vivaces ou des arbustes.
Ceux qui aiment avoir les mains dans la terre apprécieront l'atelier rempotage. Les plus urbains iront à la rencontre de l'association les Incroyables Comestibles, ce collectif citoyen pour jardiner nos rues, en semant dans les friches, des légumes, fruits et plantes aromatiques en libre-service. Vous venez en famille ? Profitez des ateliers de la Frapna Loire et vous pourrez même découvrir le jardin en évedillant vos sens. Admirez aussi le land'art réalisé à base de végétaux ou profitez encore de l'atelier de grimpe accrobranche. Et pour rendre ce moment festif, un groupe de percussions brésiliennes sera présent le dimanche après-midi. SAMBA !
Avec les beaux jours, la fête des plantes de Saint-Étienne est de retour ! Les jardiniers municipaux vous expliquent leurs méthodes horticoles pour faire viv...
Ma carte postale: un acrostiche publié dans "Poésie en Stéphanie" et dans mon livre "Acrostiches"
Sinistre dans mon esprit
Atrophié par les préjugés
Imaginée puis vécue pleinement
Noire tu étais, ville minière
Tu es devenue ma ville
Entièrement mienne, défendue contre
Toutes les attaques
Insidieuses des lieux communs
Et de ceux qui ne savent pas
Naître dans un nouveau paysage
Notoirement connue puis reconnue
Entièrement mienne, ma ville
17/12/2007
Née en Champagne que j'ai quittée à 25 ans, j'ai depuis vécu dans le Nord, le Sud-ouest, la Haute-Loire (où je me suis mariée), Saint-Etienne, le Maroc, la Drôme pour finalement il y a 3 ans faire le choix de vivre à Saint-Etienne pour sa culture et son paysage d'âme.
NANTES (PAYS DE LA LOIRE) [03.04.15] - Une diminution du budget du Lieu Unique, espace emblématique de la scène culturelle nantaise, contraint la direction à supprimer des postes et revoir la programmation. PAR Séverine Petit
LENS (NORD-PAS-DE-CALAIS) [02.04.15] – Elvire Percheron, fille de Daniel Percheron, président socialiste de la région Nord-Pas-de-Calais, vient de rejoindre le Louvre-Lens en tant qu’administratrice adjointe chargée de la communication et du développement des publics. Cette nomination a provoqué une polémique chez les opposants de Daniel Percheron, et même dans son propre camp. PAR Julie Paulais
Le livre d’heures conservé à la Bibliothèque nationale d’Espagne, à Madrid, a été peint vers 1465-1470 par deux artistes méconnus qui gravitent autour des ateliers les plus influents de la vallée de la Loire au XVe siècle, celui du groupe Jouvenel et celui de Jean Fouquet. Le manuscrit est au carrefour des carrières des deux artistes et des deux foyers. Son programme iconographique comporte de nouvelles informations sur les échanges entre Jean Fouquet et les artistes du groupe Jouvenel. Il apporte un complément à l’étude récente de François Avril sur les Heures dites de Jeanne de France parue dans Art de l’enluminure n°47.
L'ex-secrétaire d'Etat Thomas Thévenoud, appelé par le PS à "tirer les conséquences" de ses déboires fiscaux, a annoncé ce soir qu'il quittait le Parti socialiste mais ne démissionnait pas de son mandat de député, dans une déclaration à l'AFP.
"Après m'être entretenu ce lundi soir avec Jean-Christophe Cambadélis, j'ai décidé de me mettre en retrait du Parti socialiste et donc du groupe SRC à l'Assemblée nationale (...) Mais je veux rappeler que l'enchaînement de négligences choquantes qui m'ont placé dans cette situation ne fait pas de moi un fraudeur (...) Mes électeurs de Saône-et-Loire seront mes seuls juges" lors des législatives de 2017, écrit-il.