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  • Le château du Rivau

    Ce château médiéval entouré par 14 jardins de conte de fées, se dresse au milieu des champs à 10km de Chinon, entre Tours et Poitiers.

    Château de Pierre de Beauvau, grand chambellan de Charles VII qui logeait à Chinon à l’époque, le château du Rivau a reçu Jeanne d’Arc qui allait chercher des chevaux pour le siège d’Orléans et Rabelais.

    Aujourd’hui le château, les écuries, et le parc de 6ha vous accueillent pour une promenade ludique dans un royaume alliant féérie, botanique, histoire et art. Laissez vous emporter par la magie des lieux…

    Le château du Rivau est ouvert du 26 mars au 2 novembre 2016. Retrouvez les informations Pratiques.

    Le château du Rivau se situe en Touraine, en Val de Loire, classé au Patrimoine Mondial de l'UNESCO, à 1h30 de Paris en TGV. Il est ouvert au public du 26 mars au 2 novembre en 2016. Visite possible toute l'année pour les groupes sur réservation.

    Château du Rivau
    Le Coudray
    37120 Lémeré
    Tel: 02 47 95 77 47
    Fax: 02 47 95 78 46
    Email: info@chateaudurivau.com

    http://www.chateaudurivau.com/fr/infos-pratiques.php

  • Château Ollieux Romanis

    http://www.ollieux.com/

    Château Ollieux Romanis Non millésimé

     

     

    Photo : DR
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Photo : DR
    Photo : DR

    La terre des Ollieux a connu les premières traces de vie humaine avec l’arrivée des romains. La vigne n’était pas encore développée, contrairement aux céréales, aux oliviers et aux troupeaux de moutons. Les origines du domaine viticole remontent au XIème siècle avec la famille Durban-Latreille qui habitait à proximité des Ollieux. Néanmoins, c’est en 1868 que le domaine viticole, tel qu’il est aujourd’hui, fut créé. Depuis cette époque, il appartient à la même famille. En 1872, la propriété fut divisée entre les deux filles de la famille, qui ont su mutualiser leurs efforts dans le travail des vignes.

    Un siècle plus tard, Jacqueline et François Bories reprennent la succession du château Ollieux Romanis et engagent un peu plus tard, en 1984, un régisseur pour sauver la cave et les vignes. Ce plan de sauvetage va durer 4 ans.

    Le domaine compte aujourd’hui 70 hectares de vignes, entourant l’étonnante cave de vinification.

    En 2006, la famille Bories a racheté les 75 hectares du Château les Ollieux, réunifiant ainsi l’ensemble du domaine, un siècle plus tard.

     

    Le producteur vous en parle

    Le château Ollieux Romanis se situe sur la commune de Montséret au cœur même du cru Boutenac. Le vignoble, d'une superficie de 150 hectares, bénéficie d'une exposition particulièrement privilégiée (sud/sud-est) sur les coteaux de la Roquesestiére, ce qui le met à l'abri du vent du nord et lui procure le meilleur ensoleillement. La famille Bories, viticultrice dans l'âme à su au fil des ans apporter de la modernité à ses vins tout en respectant leurs cépages autochtones et la sincérité de leurs terres.

     

    L'actualité de Ollieux Romanis

    Aujourd'hui, nous produisons 670 000 bouteilles avec une règle : respecter la nature. Depuis 10 ans déjà, nous n'utilisons plus de pesticides et produisons notre propre compost afin de bannir les engrais chimiques.

     

    Vins de ce producteur



    En savoir plus : http://avis-vin.lefigaro.fr/vins-champagne/languedoc/corbieres/d17101-ollieux-romanis#ixzz30HqZPTKg

  • Les collections du château Borély

     
     
    18 septembre 2013

    À l’occasion de la réouverture, après rénovation, du musée Borély, Beaux arts éditions publie un hors-série exceptionnel sur ce chef-d’œuvre de l’architecture baroque et sur ces étonnantes collections.
    Réalisée au XVIIIe siècle par de riches négociants marseillais, les Borély, et aujourd’hui classée au registre des monuments historiques et labellisée "musée de France", la bastide Borély accueille les collections d’Arts
    décoratifs – mobiliers, textiles, céramiques et verres, arts graphiques et objets d’art – de faïence et de mode, du XVIIe siècle à l’époque contemporaine.
    Le musée des Arts décoratifs occupera une place unique au sein d’un espace cher aux Marseillais, qui auront le plaisir de retrouver un lieu témoignant de l’histoire patrimoniale.

    Couverture provisoire

    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-695-Les-collections-du-chateau-Borely.html

  • Château d'Ampuis

    chateau_dampuis.jpg

    Photo:

    http://www.choisir-un-vin.com/domaine-guigal--1483.html

    Ampuis semble devoir son nom au latin "emporium", emprunté au grec et désignant un marché ou une place de commerce.

    En effet, un comptoir commercial aurait été installé à cet endroit, bien avant l'arrivée des Romains. Depuis l'époque romaine, on cultive la vigne qui monte à l'assaut des coteaux escarpés. Il est possible également que le mot vigne, du grec "ampelos " soit aussi à l'origine du nom de la commune.

    Il y a deux mille ans déjà, des auteurs latins tels que Pline célébraient ce vin connu sous le nom de "vin viennois".

    Aujourd'hui, près de 200 hectares de vigne s'enracinent sur des terrasses "chayets" soutenues par des "cheys".

    Par-ci par-là, de grands murs de soutènement signalent les noms en lettres géantes de négociants-éleveurs du vignoble.

    L'appellation Côte Rôtie se regroupe sur deux terres séparées par un ruisseau et dénommées la "Côte Blonde" et la "Côte Brune".

    Il y résonne la légende du seigneur de Maugiron, seigneur d'Ampuis, qui aurait partagé le domaine entre ses deux filles, l'une blonde et l'autre brune, baptisant ainsi ces deux célèbres appellations.

    C'est à l'époque du seigneur de Maugiron que le château d'Ampuis a été le lieu d'une "première gastronomique".

    En effet, c'est un beau jour de 1553 que furent servis à des convives de marque, de curieux et énormes volatiles : les premiers dindons jamais servis en France.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Ampuis

    J'ai découvert ce château du train qui me mène 4 jours par semaine de Saint-Vallier à Lyon (aller et retour).

    Après l'avoir bien localisé, nous avons pu le voir de près en voiture le 16 avril 2010

    Peu de photos(ni d'écriture) à cause des douleurs... qui me prennent la tête.

    ampuis 23 mai 2010 020.jpgPhoto perso d'hier

  • Le Château de Versailles fait sa révolution

    v-17857.jpgPar Olivier Le Naire, publié le 25/06/2010 à 18:30

    Retraite rêvée des plus hauts serviteurs de l'Etat, rendez-vous obligé des people, destination immanquable de 6 millions de touristes... Versailles n'a jamais tant rayonné et attiré.

    Bertrand Desprez/VU pour L'Express

    Le mythique domaine de Louis XIV achève peu à peu sa métamorphose. Restauré à coups de millions d'euros, repensé par la com', il n'a jamais offert tant de divertissements à son nouveau roi : le public. Souvent pour le meilleur, mais pas toujours.

    Ah, s'il revenait ne serait-ce qu'une heure à Versailles ! Sans doute éprouverait-il quelque stupeur devant ces hordes de visiteurs venus d'un autre monde qui se pressent et se compressent dans la galerie des Glaces. Mais quelle fierté de voir son palais fasciner encore et toujours la planète en ce IIIe millénaire !

    Depuis sa mise en chantier, voilà plus de trois cents ans, Versailles n'a jamais tant fait rêver ni attiré de monde. Restauré, repensé, réorganisé, ce domaine qui naguère fleurait bon la poussière des siècles, la promenade du dimanche en souliers vernis, et d'où sourdait un délicieux ennui, a opéré sa métamorphose. En quinze ans, il est devenu la retraite rêvée des plus hauts serviteurs de l'Etat, le rendez-vous obligé des people. Et l'incontournable destination de 6 millions de touristes, qui déposent aux pieds du Roi-Soleil leur écot en dollars sonnants, en yens trébuchants.

    Aujourd'hui, que cela plaise ou non, à Versailles, Jeff Koons accroche des homards aux lustres du château, Sofia Coppola travestit Marie-Antoinette en rock star, Vanessa Paradis donne des concerts sur la scène de l'Opéra royal, des intellectuels dissertent au Jeu de paume sur "Internet et la démocratie". Même James Bond envisage une partie de ski nautique sur le Grand Canal, et le tournoi de Roland-Garros espère se décentraliser à l'extrémité du parc ! Nicolas Sarkozy, lui, refait le monde et ses gouvernements à la Lanterne, tandis que le Tout-Paris se rue aux vernissages d'expositions prestigieuses. Dans les bosquets, de riches mécènes, lors des soirées VIP, s'abandonnent, une coupe de champagne à la main, au chant de fontaines qui, avant leurs dons généreux, étaient aussi asséchées que nos finances.

    Signe tangible de cette révolution de palais, nombre de ministres rêveraient de troquer leur fardeau contre la présidence de ce merveilleux domaine, jadis abandonné aux mains expertes de conservateurs anonymes. Comment s'étonner que le sémillant Jean-Jacques Aillagon, actuel maître des lieux, se soit battu bec et ongles pour garder son poste ? Et Xavier Darcos pour tenter en vain de le lui rafler à la hussarde (lire l'entretien de Jean-Jacques Aillagon) !

    Oui, Versailles a changé. Tant changé, même, que ceux qui n'y ont pas mis les pieds depuis longtemps auront le sentiment de découvrir ce qu'ils croyaient connaître. Depuis la transformation du musée en établissement public, en 1995, et le lancement du schéma directeur prévoyant 390 millions d'investissements sur vingt ans, d'énormes travaux ont déjà été menés à bien. Autant grâce à l'Etat qu'aux mécènes, plus courtisés aujourd'hui que le Roi-Soleil en son temps.

    Côté château, la galerie des Glaces a été restaurée, la climatisation installée, le chauffage et les toitures ont été rénovés, le système de sécurité a été revu, l'accueil du public, amélioré et le circuit de visite, repensé. L'Opéra royal (voir notre diaporama) et de nombreux appartements ont été remis en état ou remeublés. Initiatives plus discutables et discutées, l'ancienne grille royale, détruite à la Révolution, a été restituée, les huisseries ont été repeintes en jaune, les toitures, redorées. Et la statue équestre de Louis XIV a été déplacée sur la place d'Armes.

    Côté jardin, la tempête de 1999 a paradoxalement débouché sur un miracle. Grâce aux dons du public, le parc et une partie du domaine ont été replantés en un temps record. On en a aussi profité pour restaurer le Petit Trianon et le Hameau de la reine. Après la résurrection du bosquet des Trois Fontaines - qui n'était plus qu'un champ de ronces ! - les Bains d'Apollon, rafraîchis, viennent de rouvrir. Et le bassin de Latone se prépare à son tour à un grand lifting. Sans parler des 43 kilomètres d'allées qui retrouveront bientôt une nouvelle jeunesse, toujours grâce au mécénat. Seul le Grand Trianon, en triste état, attend toujours son généreux donateur.

    Plusieurs autres chantiers majeurs sont d'ores et déjà bien engagés. Le plus important concerne le déménagement au Grand Commun, en 2012, de tous les services administratifs, qui libéreront de la place pour mieux accueillir les visiteurs. Autre projet d'envergure : le redéploiement, dans les espaces libérés par le Parlement, de l'ensemble des collections du méconnu musée de l'Histoire de France, créé par Louis-Philippe (lire l'article).

    Cette révolution, Versailles la doit à son statut. En contrepartie d'une large autonomie, l'établissement doit s'autofinancer. Donc faire venir des célébrités, des mécènes. Et trouver toujours plus d'idées, bonnes ou moins bonnes, pour attirer les touristes et les regards. C'est la loi de l'argent, la loi de la com'. La loi du siècle.

    Les grandes eaux répétées abîmeraient la statuaire

    Cela présente d'indéniables avantages pour le public, devenu le nouveau roi de Versailles. On se soucie enfin de son confort, on lui aménage des lieux d'accueil, de superbes salles à manger et - miracle ! - des toilettes décentes. Jamais il ne lui a été proposé de découvrir tant d'espaces et de trésor. Car il se passe toujours quelque chose à Versailles !

    A condition de payer, ce sont chaque week-end, en saison, les grandes eaux musicales dans les bosquets restaurés. Une merveille ! Payants aussi le domaine de Marie-Antoinette, les spectacles pyrotechniques... mais aussi les expositions, les opéras, les concerts. Un week-end ne suffirait pas à épuiser tant de plaisirs.

    Cette multiplication de l'offre n'est évidemment pas due au hasard : pour éviter l'engorgement et multiplier les recettes, l'établissement tente de répartir le public sur l'ensemble du domaine et prévoit de généraliser la réservation à horaires fixes. Ainsi, en attendant l'heure de visiter les appartements royaux, les touristes auront-ils le loisir d'arpenter le musée d'Histoire de France, les bosquets du Petit Parc, les Trianons, voire le Jeu de paume ou le parc de Marly, qui dépendent aussi, hors des grilles, de cet immense domaine.

    Si la course à la fréquentation et à la rentabilité a redonné vie à Versailles, elle a pourtant son revers. Pour nombre d'inconditionnels des lieux - dont Didier Rykner, fondateur du site culturel La Tribune de l'art, s'est fait le héraut - les grandes eaux à répétition abîment la statuaire ; certaines restaurations "clinquantes" ou des spectacles de variétés "racoleurs" trahissent la "dysneylandisation" du site. Et la perte progressive du pouvoir des conservateurs face aux politiques et aux mécènes signerait une "privatisation rampante", à l'heure où l'Etat n'a plus un sou à mettre dans ses monuments. Versailles est ainsi, à sa manière, le porte-étendard de la nouvelle politique patrimoniale.

    Jean-Jacques Aillagon, dont l'action est saluée quasi unanimement, et qui s'est démené pour attirer visiteurs et mécènes, a beau affirmer qu'il pourrait accueillir encore plus de visiteurs, est-ce bien ce qu'il faut souhaiter ? A voir.

    Pour tout savoir sur les conditions de visite du château et de son domaine, de ses dépendances, mais aussi sur les expositions, les grandes eaux, les concerts, les spectacles, les colloques, les visites conférences : www.chateauversailles.fr

    http://www.lexpress.fr/culture/art/patrimoine/le-chateau-de-versailles-fait-sa-revolution_901507.html?XTOR=EPR-618

  • Dans mon château(extrait)

    ampuis 23 mai 2010 023.jpg

    Dans mon château

    Je mettrais un chapeau

    Pour prendre le soleil

    Dès mon réveil

     

     

    2 juin 2010

     

    Pour lire la suite et d'autres textes de moi, cf. mes 13 livres en vente sur ce blog.

    Ampuis 23 mai 2010

    Précédente note à ce sujet hier

    Photo perso

  • Votez pour mon Château chez Dana

    C'est une photo de février 2009, le numéro 24 chez Dana:

    chateau chantilly dana hf.jpghttp://la-tribu-de-dana.over-blog.com/article-30104682.html

    Merci à l'avance.

    Cf. ci-dessous d' autres photos et ma note de février.

     

    chantilly.jpgSortie par le nord de Paris et arrivée à Chantilly  sous la neige.

    Pendant que mon mari monte une tête d'enduction dans une usine, je visite le musée Condé de Chantilly :

    http://www.museeconde.com/

    3 petits marque-pages en souvenir et des tonnes de dépliants pour approfondir la visite.

    Les grandes écuries et le musée du cheval sont fermés mais on aperçoit dans la brume le célèbre hippodrome où se court le prix de Diane.

    Je suis dans le Valois de Nerval !!!!

    Une belle balade dans l'histoire et l'art.... très fatigante. Des épaules aux pieds, des piques de douleur dont j'ai eu confirmation de la cause avec une radio hier : écrasement d'un disque qui pince le nerf sciatique.

    J'étais contente de partir... mais aussi bien contente de rentrer chez moi à22h30 après plus de 5h de route.

    Impossible de vous parler de toutes les choses vues, les impressions.

    J'ai aussi plein de notes et de lectures à propos de ce voyage.

    Récapitulatif complet du voyage:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/02/17/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-a-paris-de-fevrier.html#comments

     

     

  • Château Grand Destieu

    Domaine : Château Grand Destieu Gastronomie, boissons et tabac > Breuvages > Vin Bordeaux - Rive Droite Appellation : Saint-Émilion Grand Cru
    Vin rouge - AOC - Cépages : Cabernet franc, Merlot
    Les années de ce vin
     

    Présentation du vin

    Le château Grand Destieu offre à ses vignes les terroirs argilo-calcaires du sud-ouest de l'appellation. Les vignes sont âgées, plus de 60 ans en moyenne, et couvrent 4 hectares, avec 90% de merlot et 10% de cabernet franc.

    Après des vendanges manuelles, la vinification se déroule dans des cuves en bois thermorégulées, avant un élevage double, en cuves pour un tiers et en barriques de chêne français pour le reste, avec une moitié de bois neuf.

    Le résultat est un Saint-Émilion Grand Cru tout en finesse et rondeur, avec un beau fruité, de l'équilibre et une structure qui annonce des gardes d'une dizaine d'années environ. Bernard Burtschy a apprécié le 2009 pour sa matière des plus agréables et le 2011 pour sa richesse et sa densité.



    En savoir plus : http://avis-vin.lefigaro.fr/vins-champagne/bordeaux/rive-droite/saint-emilion-grand-cru/d23518-chateau-grand-destieu/v23519-chateau-grand-destieu/vin-rouge#ixzz3O8qibRSR
  • Château de VALENCAY

    « Qui n’a pas connu les années qui ont précédé la Révolution ne sait pas ce qu’est la douceur de vivre. »
    Ainsi parlait Charles-Maurice de Talleyrand, propriétaire
    du domaine de Valençay.

    Jusqu’à la fin de sa vie, c’est cette douceur, fruit d’un art de vivre au Siècle des Lumières, qu’il s’est attaché à faire régner en ces lieux majestueux. Alors réservée à une élite instruite et réformatrice, férue de littérature, théâtre, musique, arts plastiques tout autant que de mathématiques, de sciences naturelles, de débats d’idées philosophiques et politiques, elle est à la source d’une culture qui perdure jusqu’à nos jours.

    Cette alliance de la convivialité, du plaisir des sens, d’une pensée placée sous le signe de la raison et de la liberté inspire le programme des manifestations artistiques
    et les diverses réjouissances offertes aux visiteurs.

    http://www.chateau-valencay.fr/

  • Château-Gaillard


    Chateau Gaillard , une position exceptionnelle au-dessus de la Seine et des Andelys

    chateau gaillard les andelys france

    Le château-fort de Richard Coeur-de-Lion

    Les Andelys - France

    Ouvert du 15 mars au 15 novembre
    tous les jours sauf les mardi et le 1er mai,
     de 10h à 13h et de 14h à 18h.

    3 euros, gratuit pour les enfants de moins de 10 ans.
    Visite extérieure libre toute l'année.

    In English : Chateau-Gaillard Andelys France

    chateau gaillard les andelys france
    Chateau Gaillard , une position exceptionnelle au-dessus de la Seine et des Andelys

    chateau gaillard les andelys france
    Chateau Gaillard  dans la brume
    Photo Peter Geyer - Mokena IL USA

    Le château de Richard Coeur-de-Lion

    Vous rappelez-vous la vie extraordinaire de Richard Coeur de Lion, l'ami de Robin des Bois, telle que Walter Scott la raconte dans Ivanhoé ? Château-Gaillard est le lieu où ces récits romanesques rejoignent l'Histoire. Car cette forteresse a été désirée, conçue et bâtie par le bouillant Richard, duc de Normandie et Roi d'Angleterre, plus connu sous le surnom de "Richard Coeur-de-Lion". Un surnom qu'il a gagné à la croisade grâce à sa bravoure.

    Château-Gaillard est le témoin, 800 ans plus tard, de l'existence réelle de ce personnage de légende. Dans ses pierres, on peut encore lire certains traits de caractère de Richard. Comme son créateur, le château-fort des Andelys donne une image de force et de puissance, d'invincibilité. La forteresse réputée imprenable n'a pourtant connu qu'une vie très brève, tout comme Richard, trop confiant dans ses talents de guerrier.  

    Construit en un an

    Il est difficile de croire, quand on contemple l'imposante forteresse, que sa construction n'a duré qu'un an. C'est pourtant un fait historique. On imagine le site grouillant de milliers d'ouvriers, plus de 6000 ! obligés de travailler d'arrache-pied pour parvenir à un tel exploit. Les travaux débutés en 1197 sont achevés en 1198. Richard, qui y a consacré une somme colossale, peut alors s'exclamer : "Qu'elle est belle, ma fille d'un an ! Que voilà un château gaillard !"(bien fortifié).

    En effet, la bastille a de quoi impressionner celui à qui elle doit faire obstacle, le roi de France Philippe-Auguste, dont les terres s'étendent jusqu'à Gaillon, à une dizaine de kilomètres seulement. Château-Gaillard est le verrou qui doit l'empêcher de prendre la Normandie.

     

    chateau gaillard les andelys france
    Il n'a fallu qu'un an pour bâtir Chateau-Gaillard

    chateau gaillard les andelys france
    Monument historique, Château-Gaillard est classé Grand Site National

    L'emplacement

    Richard a soigneusement choisi le site où  bâtir sa place-forte. Aux Andelys, la Seine décrit un méandre assez serré. Dans la courbe, face à la presqu'île, une falaise d'une centaine de mètres de haut s'avance comme la proue d'un navire au-dessus du fleuve. Une langue de terre rattache cet éperon au plateau qui s'étend par derrière.

    Richard va tirer le meilleur parti de cette position stratégique. Le seul côté par lequel on peut attaquer le château, c'est le côté du plateau. Tout un système de défenses successives qui s'emboîtent à la manière des poupées russes est donc mis en place de ce côté. Le donjon, l'ultime retraite, est retranché au-dessus de l'à-pic qui domine le fleuve.

    Les fortifications

    Face au plateau, un ouvrage avancé de forme triangulaire, hérissé de cinq tours, constitue la première défense de la forteresse. Un large fossé de 12 mètres de profondeur l'entoure.

    Si l'ennemi parvient à se rendre maître de cette bastille, il se heurtera à de hautes murailles d'enceinte. Il lui faudra franchir ce rempart crénelé pour arriver dans la basse-cour, puis devant le château proprement dit, protégé par une seconde enceinte entourée d'un second fossé.

    chateau gaillard les andelys france
    Les meurtrières de chateau Gaillard se découpent dans d'épaisses murailles

    chateau gaillard andelys
    L'enceinte bossuée, une des originalités de Chateau-Gaillard

    Nouveauté architecturale

    Cette deuxième enceinte, c'est la partie la plus originale de Château-Gaillard. Richard Coeur-de-Lion a eu l'idée de faire un mur non pas lisse, mais festonné. Le rempart est composé de 19 arcs de cercle percés de meurtrières. La forme arrondie donne une moindre prise aux projectiles qui ne trouvent pas d'angle saillant à accrocher. Elle permet aussi de tirer de biais par les meurtrières depuis n'importe quel point de l'enceinte, si bien que celle-ci ne présente pas d'angle mort. Cette disposition était tout à fait inédite en France au 12ème siècle.

    Les puits

    Une seule porte est aménagée dans l'enceinte festonnée. Elle n'est pas dans l'axe du plateau, mais sur le côté, il faut donc que l'ennemi longe une partie de l'enceinte avant de se présenter devant la porte, à laquelle on accède par un pont protégé par une herse.

    La visite de l'intérieur du château permet de découvrir un autre tour de force de ses bâtisseurs : les deux puits. L'un est situé dans la basse-cour, l'autre s'ouvre non loin du donjon et plonge à travers la roche jusqu'à la nappe phréatique, plus de 100 mètres plus bas. Il a fallu que les puisatiers creusent la pierre à la lumière des torches, consommatrices du peu d'oxygène disponible au fond du trou, puis qu'ils évacuent avec des cordes des tonnes de déblais. L'exploit force l'admiration.

    chateau gaillard andelys
    L'escalier qui mène au cachot de Chateau Gaillard

    chateau gaillard les andelys france
    Le donjon de Chateau Gaillard

    Le donjon

    A l'intérieur de l'enceinte bossuée se dresse le donjon. Richard lui a donné des murs de cinq mètres d'épaisseur et des mâchicoulis redoutables, copiés sur ceux qu'il a vus en Orient. Ils n'auront pas l'occasion de servir. Tout contre le donjon s'élève le logis du Gouverneur. On peut encore y voir des fenêtres à meneaux bordées de banquettes, d'où les occupants avaient vue sur le merveilleux panorama.

    La mort de Richard

    Richard a vu son château fini, mais il ne l'a pas vu vaincu. En effet l'intrépide guerrier meurt un an plus tard, le 6 avril 1199, alors qu'en plein Carême, il attaque le château de Châlus, près de Limoges. La petite histoire raconte que c'est parce que son vassal ne voulait pas lui remettre un bas-relief en or trouvé sur ses terres. Richard est atteint à l'épaule par une flèche tirée par un défenseur du château de Châlus. Le duc-roi succombe à sa blessure 13 jours plus tard.

    C'est Jean sans Terre, son frère, qui prend sa succession. Il signe d'abord un traité avec Philippe-Auguste, où il se reconnaît vassal du roi de France pour tous ses fiefs sauf l'Angleterre. Le rusé Philippe-Auguste voit loin : il pourra confisquer les terres si son vassal se comporte mal. Ce que Jean ne manque pas de faire dès 1202. Jugé par contumace par les nobles de France pour désobéissance au roi, il est condamné à la confiscation de tous ses biens. Il ne reste plus qu'à appliquer la sentence : Philippe-Auguste se lance à la conquête de la Normandie.

    chateau gaillard les andelys france
    Dans le logis du gouverneur de Chateau Gaillard, des fenêtres à banquettes

    chateau gaillard les andelys france
    A l'entrée des Andelys, une évocation du roi de France Philippe Auguste

    Le siège de Château-Gaillard

    Il ne faut pas longtemps à l'armée du roi de France pour se rendre maître des défenses avancées de Château-Gaillard, dans la boucle de la Seine, sur l'île au pied de l'éperon et à Andely. Les 1700 habitants et défenseurs du bourg courent se réfugier au château. Jugeant que la forteresse est trop difficile à prendre d'assaut, Philippe-Auguste décide d'en faire le siège. Il installe ses troupes tout autour. Jean sans Terre, qui se trouve à Rouen, ne réagit pas.

    Dans la forteresse, le gouverneur Roger de Lascy fait de son mieux. Il compte ses vivres : de quoi tenir un an, à condition de ne pas garder toute la population qui s'est entassée dans le château. Les Français laissent s'enfuir mille personnes,  mais Philippe-Auguste se met en colère. Les derniers réfugiés, chassés du château, ne peuvent pas franchir les lignes des assiégeants. Ils errent pendant des jours entre les deux camps, jusqu'à y mourir de faim et de froid. C'est l'épisode tragique des "bouches inutiles".

    L'attaque finale

    1. La prise du bastion

    Après sept mois de siège, Philippe-Auguste décide de tenter un assaut. Il fait bâtir une chaussée couverte entre le plateau et le bastion avancé du château. Abrités, ses hommes apportent des matériaux pour combler le premier fossé. Ils arrivent ainsi au pied du châtelet. Là, ils attaquent la base du mur en la minant. Quand le trou est assez grand, ils y entretiennent un feu. Les pierres surchauffées finissent par se fendre. Une partie de la tour s'effondre dans un nuage de poussière. Les défenseurs du château doivent se replier derrière la première enceinte.

    2. La prise de la première enceinte

    Si l'on en croit la chronique rédigée à la gloire de Philippe-Auguste, le roi de France victorieux, les assiégeants n'ont pas eu de mal à se rendre maître de la première enceinte. En en faisant le tour, l'un d'eux remarque une petite fenêtre à trois ou quatre mètres de haut. Les Normands ne songent pas à la défendre : c'est celle des latrines. Le 6 mars 1204, quelques Français se font la courte échelle et entrent dans l'édifice. Au bruit qu'ils font, les Normands les imaginent très nombreux, ils se dépêchent d'allumer un feu pour leur barrer le passage. Mais le vent rabat la fumée sur eux. Les défenseurs sont obligés de s'enfermer derrière la deuxième enceinte.

    Les historiens sont sceptiques quant à la véracité de ce récit. Ils pensent plus vraisemblable que les assaillants aient pénétré dans le château par la chapelle. Cette chapelle mal protégée, c'est Jean sans Terre qui l'a fait rajouter, sans tenir compte des règles de défense que son frère appliquait si bien. Comme les Français ne pouvaient pas se vanter d'avoir profané un lieu saint, ils auraient inventé cet épisode des latrines.

    3. La prise de la deuxième enceinte

    Philippe-Auguste attaque le second rempart à la catapulte le jour-même. D'énormes blocs s'abattent sur les murailles et finissent par y faire une brèche. Les défenseurs n'ont pas le temps de se réfugier dans le donjon. Trop occupés à défendre la brèche, ils succombent sous le nombre des assiégeants. La cour intérieure, trop étroite, les empêche de se déployer. Roger de Lascy et ses 129 chevaliers sont faits prisonniers. Les vaillants défenseurs seront libérés contre rançon quelque temps plus tard.

    chateau gaillard les andelys france
    Le donjon de Chateau Gaillard :
    côté falaise, des fenêtres, côté plateau, des machicoulis

    chateau gaillard les andelys france
    Chateau Gaillard devait faire obstacle au roi de France

    La Normandie devient française

    Avec la chute de Château-Gaillard, le roi de France  Philippe Auguste a le champ libre pour envahir les fiefs du Plantagenêt, qui s'étendent au sud jusqu'aux Pyrénées et à l'Auvergne. En 1204, la Normandie est rattachée au royaume de France.

    Réparé, le château a continué à jouer un rôle défensif, notamment pendant la guerre de Cent Ans, où il passe d'un camp à l'autre à plusieurs reprises. C'est Henri IV qui le fait démolir à la fin du 16ème siècle, après deux ans de siège. Le roi autorise les moines du voisinage à y prélever des matériaux de construction pour réparer leurs couvents.

    Aujourd'hui, les ruines du château fort le plus célèbre de France gardent un fort pouvoir évocateur. Les visiteurs botanistes remarqueront la flore particulière qui pousse sur le site. Certaines plantes rapportées de Palestine par les Croisés s'y sont acclimatées et s'y reproduisent depuis des siècles. 

     

    Bibliographie :

    • Château-Gaillard, Serge Sochon, Editions Charles Corlet
    • La Normandie, Jules Janin, Editions du Bastion
    • L'Eure de la Préhistoire à nos jours, ouvrage collectif sous la direction de Bernard Bodinier, éditions Jean-Michel Bordessoules
    • Les grandes heures de la Normandie, Michel de Decker, éditions Perrin
    • Histoire de Normandie des origines au XIXe siècle, A. Albert-Petit, éditions Barré & Dayez
    • Les richesses de l'Eure, Jean-Yves Bernier, éditions EDL

    Liens :

     

     

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    Voir aussi la catégorie Les Andelys sur le blog de Giverny News

     

    http://lesandelys.com/chateau-gaillard/gaillard.htm

  • La branche aînée des cafés Costes se met à l'heure italienne

     

    Par Valérie Leboucq | 12/03 | 06:00
     
     

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    Le groupe Beaumarly , dirigé par Gilbert Costes et son fils Thierry, lance en France les cafés Corso.
    Il implante à l'international les Cafés Marly et les Cafés Français.

    Le nouveau concept de restauration baptisé « Corso » est un mixte du bistrot parisien et du « caffè » italien. - Photo Davide Leggio
    Le nouveau concept de restauration baptisé « Corso » est un mixte du bistrot parisien et du « caffè » italien. - Photo Davide Leggio

    Chez les Costes, on connaissait Gilbert et Jean-Louis, qui ont beaucoup contribué à renouveler et à moderniser la restauration parisienne. Depuis 2008 et après vingt ans de vie commune, les deux frères aveyronnais se sont répartis les actifs pour continuer chacun de son côté. Depuis ce « Yalta » familial, Gilbert et son fils Thierry ont ouvert de nouvelles brasseries dans la capitale, tel le Café Français, dernier-né de la série installé en face de l'Opéra Bastille sur le modèle des Cafés Marly et Beaubourg. Toutes respectent un code ultrarodé : déco stylée, ambiance musicale branchée, carte courte mais bien exécutée et réalisée sur place.

    Avec aujourd'hui une douzaine d'établissements coiffés par le groupe Beaumarly, la branche aînée des Costes pèse quelque 70 millions d'euros de chiffre d'affaires et cherche à grandir en se diversifiant. « Nous avons atteint une taille critique. Les bons emplacements sont rares pour un format de brasserie de 200 couverts et plus nécessitant la proximité d'une grande institution culturelle, susceptible d'attirer une clientèle aisée de touristes et CSP+ », explique Thierry Costes, formé à Dauphine au droit des affaires et à la gestion.

     
     

    Abu Dhabi, Dubaï et Singapour

    Propriétaire aussi de Thoumieux, l'institution du 7e arrondissement, Beaumarly développe ainsi un nouveau concept de restauration sous l'enseigne Corso, appelée à se développer en franchise. Croisement de bistrot parisien (pour les horaires) et de « caffè » italien, Corso propose « des grands classiques, pizza, escalope milanaise, pâtes cuisson minute… », détaille le dirigeant de trente-huit ans.

    Quatre ont déjà ouvert dans Paris, aux Galeries Lafayette, avenue Kléber, Quai de Seine, avenue Trudaine et bientôt à la Grande Bibliothèque près du complexe de cinémas MK2. Les prochains sont prévus à Rouen et à Chartres. « Corso est aussi bien adapté aux centres-villes qu'aux zones périphériques », relève encore Thierry Costes, qui évalue son potentiel à une dizaine en cinq ans. Le groupe familial a aussi l'intention de décliner dans l'est de la capitale le concept de l'Hôtel Amour, dont un premier établissement est implanté dans le 9e arrondissement.

    Quant aux néobrasseries qui ont fait son succès à Paris, quand nombres de bistrots ont baissé le rideau, Beaumarly va maintenant les décliner à l'international sous licence. Un Café Marly ouvrira ainsi début 2016 dans le périmètre du futur Louvre d'Abu Dhabi. Egalement au programme, la création de deux Cafés Français à Dubaï et Singapour.

    Valérie Leboucq
     
     

     

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  • Le théâtre impérial du château de Fontainebleau




     

    9.00 € TTC

     
    14 mai 2014

    Considéré comme la résidence des rois de France et le théâtre d’importants événements politiques, le château de Fontainebleau a accueilli nombre de souverains au cours des siècles. Construite au Moyen-Âge, la demeure souveraine n’était à l’origine qu’un donjon médiéval. L’influence de ses locataires royaux successifs a fait
    de ce château un ensemble parfaitement représentatif de l’évolution architecturale au cours de l’histoire.
    C’est au théâtre impérial que s’intéresse Beaux Arts éditions, lieu tombé en désuétude et en ruine ces dernières décennies. Il fait l’objet d’une importante restauration, dans le cadre d’un accord passé entre le gouvernement et celui des Émirats Arabes Unis. Aménagé à la demande de Napoléon III entre 1853 et 1856 par Hector Lefuel afin de remplacer l’ancienne Comédie, datant du XVIIIe siècle, et devenue obsolète. Contraint par l’implantation des façades et le volume des combles, Lefuel réussit néanmoins, avec beaucoup de brio et d’ingéniosité, à y installer une salle moderne de 400 places et tous les services attenants. Tirant le meilleur parti de la configuration du bâtiment, l’architecte construisit une salle très étirée, en forme d’ellipse. Elle comporte quatre niveaux distincts, répondant à la hiérarchie sociale imposée à cette époque : le parterre, la première corbeille incluant la loge impériale, la seconde corbeille et, enfin, des loges grillées au dernier niveau. La conjugaison des soieries capitonnées, des moquettes fleuries et des ornements peints ou en carton-pierre doré confère à cet ensemble une atmosphère chatoyante et moelleuse. Ce théâtre est directement inspiré du petit théâtre de la reine Marie-Antoinette à Versailles. Il est également devenu un conservatoire unique des arts décoratifs sous le Second Empire.
    Beaux Arts éditions consacre un hors-série au théâtre impérial de Fontainebleau, à son histoire (sa construction sous Napoléon III, son architecture originelle, son statut et les représentations qui y ont été faites), ses innovations techniques, mais aussi son abandon et enfin sa restauration (pourquoi, comment, par qui ?). Beaux Arts fait revivre dans ses pages le dernier témoin d’un théâtre de cour et revient sur les trésors qu’habitent ce lieu chargé d’histoire.
     
  • Don Quichotte désarmé par les demoiselles du château


    Un tableau de Charles-Joseph Natoire (1700-1777)

     

    Du 12 décembre 2013 à mars 2014

    Cette œuvre fait partie de L'Histoire de Don Quichotte peinte par Natoire de 1735 à 1744, d'après le célèbre roman du XVIIe siècle de Miguel de Cervantès. La série a été réalisée en dix tableaux pour servir de cartons de tapisserie au tissage d'une tenture unique.
    La commande a été confiée au jeune Natoire, à Paris depuis 1731, après sa formation romaine. Sa réputation ne cessait de croître et, de son vivant, il fut considéré comme l'égal de François Boucher, peintre du roi et maître incontesté du rococo.
    Les toiles, saisies à la Révolution, sont transférées au Musée du Louvre ; elles sont alors au nombre de treize, l'une d'elle ayant été coupée et une autre réalisée en complément décoratif.
    C'est en 1849 et 1850 que neuf œuvres de la série sont envoyées à Compiègne, et la dixième plus récemment en 1977. Trois compositions peintes ont donc disparu depuis le début du XIXe siècle.
    Considéré comme perdu depuis 1810 et seulement connu par la tapisserie, ce tableau est réapparu sur le marché parisien en 2009. Classé « Trésor national » en raison de son importance historique et de sa qualité picturale, il entre aujourd'hui dans les collections de Compiègne grâce à un généreux donateur.
    Il rejoint ainsi, quelque cent ans après, les autres toiles de la série conservées dans la résidence depuis le milieu du XIXe siècle et présentées dans la Galerie Natoire.

    Présentation accessible aux visiteurs munis d'un ticket d'entrée au palais, durant les heures d'ouverture des Grands Appartements.

    Tableau de Charles-Joseph Natoire (1700-1777)

    Expositions passées

    L’œuvre du mois
    Expositions à venir

     

     

    http://www.musee-chateau-compiegne.fr/homes/home_id24655_u1l2.htm

  • Château Paveil-de-Luze

       

    Château Paveil-de-Luze 
     

     

    Bordeaux Margaux
    2009 Vin rouge
    Prix moyen constaté : 43,10€

    Le vin a gagné en densité et en longueur, changement radical tout en restant Margaux



    En savoir plus : http://avis-vin.lefigaro.fr/recherche/chateau-paveil-de-luze#ixzz2xtoLAKC5
    producteurs (1 résultat)
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    Château Paveil de Luze

    Château Paveil de Luze Margaux avec Le Figaro Vin : présentation, infos pratiques et techniques, les vins et l'actualité de Château Paveil…
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    Frédéric de Luze : "Un véritable boulevard s'ouvre à nous "

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    Propriétaire du château Paveil de Luze, à Margaux, et président de l'Alliance des crus bourgeois du Médoc, le visionnaire revient sur les…

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    Notre sélection des Châteaux du Médoc
     

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    Un initiation à la découverte culturel parmi ces châteaux et domaines qui font l'histoire de notre vignoble
    Connaître et déguster (2 résultats)
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    Crus bourgeois : Notre palmarès des dix meilleurs crus de 2009 sur les 177 dégustés

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    Ces vins du Médoc ont été labellisés à l'automne dernier par des commissions spécialisées. Mais qu'en est-il vraiment ? Voici les conclusions…

    Les crus bourgeois reviennent de loin. Cette mention du Médoc, dans la région bordelaise, a failli disparaître. Mais elle résiste. Ni les…



    En savoir plus : http://avis-vin.lefigaro.fr/recherche/chateau-paveil-de-luze#ixzz2xtoRwqed

  • Le château de Fontainebleau redore son blason

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    Face à une baisse inquiétante de la fréquentation, le château de Fontainebleau va faire peau neuve

    Un nouveau programme de développement du site de Seine-et-Marne incluant des rénovations et réouvertures de salles sont prévus pour relancer les visites, qui sont passées de 500.000 par an il y a 10 ans à 350.000 aujourd'hui.

    Résidence royale favorite de François Ier, agrandi par Henri IV, il fut également la rédidence impériale de Napoléon Ier.

    De nouveaux espaces de  visite, des pièces et façades restaurées, un accueil du public repensé, création d'un pôle éducatif et scolaire... tout un programme de développement présenté à la presse mardi.

    Dès l'été 2007, seront à nouveau ouverts au public l'appartement du Pape et l'appartement des Chasses, et l'espace alloué à l'accueil du public sera augmenté de 500 m2, a annoncé Bernard Notari, directeur du château, dont le donjon remonte au XIIe siècle.

    La grille d'honneur de la cour du Cheval Blanc sera rénovée, le cabinet de travail de Napoléon III restauré. Un pôle éducatif et scolaire sera aménagé dans l'aile Louis XV du château, avec pour objectif de faire passer la fréquentation de 25.000 à 60.000 jeunes  sur la période automne/hiver.

    Sont également envisagés la réouverture des deux chapelles Saint-Saturnin, de la cour Ovale et de la porte Dorée, ainsi que la restauration de la grotte des Pins et la reprise de plusieurs façades.

    Selon M.Notari, "la faiblesse relative de cette fréquentation a incité le ministère de la Culture et de la Communication à commander en 2006 un rapport d'audit" sur la base duquel a été mis sur pied le programme de développement.

    Le 27 janvier, un Cercle des partenaires du château de Fontainebleau a été installé par le ministre pour permettre la recherche de mécènes. Le Crédit agricole s'est engagé à verser 1,4 million d'euros sur trois ans, et l'INSEAD, l'école internationale de formation des managers, participera à la  restauration du boudoir turc de Marie-Antoinette.

    Par ailleurs, dans le cadre de l'accord signé le 6 mars entre la France et les Emirats arabes unis, créant un musée du Louvre à Abou Dhabi, l'émirat fera un don de 10 millions d'euros au château qui va permettre de rénover le théâtre Napoléon III.

    Publié le 29/03 à 12:05
    http://cultureetloisirs.france3.fr/patrimoine/actu/29544282-fr.php