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Rechercher : cheveux

  • Cheveux chéris

    frivolités et trophées

     
    Affiche de l'exposition © musée du quai Branly

    du mardi 18 septembre 2012 au dimanche 14 juillet 2013

    • mezzanine Ouest
    • billet Collections

    commissariat 

    • Yves Le Fur, Directeur du département du Patrimoine et des collections du musée du quai Branly

    autour de l'exposition

    visites, catalogue et événements autour de l'exposition

    l'exposition

    Au croisement de l’anthropologie, de l’histoire de l’art ancien et contemporain, de la mode et des mœurs, l’exposition met en œuvre les problématiques de l’intime individuel et sa sociabilité sur le thème universel des cheveux. 

    Abordant l’idée que chacun donne de sa personnalité par la coiffure, elle se présente tout d’abord sous l’angle de la frivolité, des compétitions entre blonds/blondes, rousses et bruns, lisses et crépus dans un large éventail de peintures classiques, de sculptures et de photographies d’auteurs. Comparant les coquetteries en Papouasie Nouvelle-Guinée, celles des belles citadines africaines ou des artistes de la haute coiffure, l’exposition avance vers l’idée du matériau humain à modeler, à sculpter, support à la fois de savoir-faire, de la relativité de la beauté mais aussi objet de perte, symbole du temps qui passe, de la maladie et de la mort.

    Supports de mémoire, reliques, talismans, les cheveux conservent pour beaucoup l’aura et l’énergie de leur propriétaire. Une large partie de l’exposition est consacrée à ces mana qui ont donné naissance, dans le monde, à de multiples objets dits « magiques » ou dotés de pouvoirs que l’on s’approprie.

    La question du reste et du trophée est ainsi posée et plus largement du statut de certains « objets » campés aux frontières de l’horripilant et de l'insoutenable, interrogeant nos catégories à partir d’une expérience universelle.

  • Fin de:Cheveux chéris

    frivolités et trophées

     
    Affiche de l'exposition © musée du quai Branly

    du mardi 18 septembre 2012 au dimanche 14 juillet 2013

    • mezzanine Ouest
    • billet Collections

    commissariat 

    • Yves Le Fur, Directeur du département du Patrimoine et des collections du musée du quai Branly

    autour de l'exposition

    visites, catalogue et événements autour de l'exposition

    l'exposition

    Au croisement de l’anthropologie, de l’histoire de l’art ancien et contemporain, de la mode et des mœurs, l’exposition met en œuvre les problématiques de l’intime individuel et sa sociabilité sur le thème universel des cheveux. 

    Abordant l’idée que chacun donne de sa personnalité par la coiffure, elle se présente tout d’abord sous l’angle de la frivolité, des compétitions entre blonds/blondes, rousses et bruns, lisses et crépus dans un large éventail de peintures classiques, de sculptures et de photographies d’auteurs. Comparant les coquetteries en Papouasie Nouvelle-Guinée, celles des belles citadines africaines ou des artistes de la haute coiffure, l’exposition avance vers l’idée du matériau humain à modeler, à sculpter, support à la fois de savoir-faire, de la relativité de la beauté mais aussi objet de perte, symbole du temps qui passe, de la maladie et de la mort.

    Supports de mémoire, reliques, talismans, les cheveux conservent pour beaucoup l’aura et l’énergie de leur propriétaire. Une large partie de l’exposition est consacrée à ces mana qui ont donné naissance, dans le monde, à de multiples objets dits « magiques » ou dotés de pouvoirs que l’on s’approprie.

    La question du reste et du trophée est ainsi posée et plus largement du statut de certains « objets » campés aux frontières de l’horripilant et de l'insoutenable, interrogeant nos catégories à partir d’une expérience universelle.

  • Cheveux de Ramsès II :le propriétaire s'excuse

    medium_ramses.jpgNOUVELOBS.COM | 30.11.06 | 10:11

    "Je le regrette beaucoup, je présente mes excuses au gouvernement égyptien", a déclaré l'homme qui avait mis en vente les mèches de cheveux sur internet.

    J ean-Michel Diebolt, le facteur qui avait mis en vente sur internet des mèches de cheveux qu'il affirme provenir de la momie de Ramsès II, provoquant la colère des autorités égyptiennes, a présenté mercredi 29 novembre "ses excuses à l'Egypte" sur le plateau de France 3 Alpes.
    "Jamais je n'aurais imaginé faire un incident diplomatique, si je l'avais su, bien sûr que jamais je ne l'aurais fait, je le regrette beaucoup, je présente mes excuses au gouvernement égyptien", a déclaré Jean-Michel Diebolt, 50 ans, d'une voix tremblante.
    "Je vais envoyer mes excuses écrites au conservateur du musée du Caire", a-t-il ajouté.

    Pousuite judiciaire ?

    Jean-Michel Diebolt a déclaré qu'il avait retrouvé ces restes dans les affaires de son père, puis qu'il les avait oubliés avant de les redécouvrir. Il a expliqué qu'il avait trouvé un collectionneur américain qui avait payé 150.000 dollars des cheveux d'Abraham Lincoln. Il lui avait proposé ces cheveux de Ramsès II pour 4.000 euros, puis était descendu à 2.000 euros, avant de proposer ces cheveux sur internet.

    Interrogé sur les risques de sanctions, Jean-Michel Diebolt a répondu: "on m'a dit que vu que j'étais sincère, que comme j'avais remis spontanément tout ce que je possédais à la PJ, il n'y aurait aucune poursuite judiciaire".
    Il avait été interpellé mardi vers 20H30 et remis en liberté mercredi vers 16H30 sans faire l'objet de mise en examen.
    "Vends mèches de cheveux de la momie de Ramsès II", avait indiqué le vendeur dans une annonce du site vivastreet.fr, proposant aussi, photos et certificats à l'appui, de la résine d'embaumement et des bandelettes pour un minimum de 2.000 euros le lot.

  • La maladie d'amour

    Elle court, elle court, la maladie d'amour,
    Dans le cœur des enfants de 7 à 77 ans.
    Elle chante, elle chante, la rivière insolente
    Qui unit dans son lit
    Les cheveux blonds, les cheveux gris.

    Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde.
    Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie.
    Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre
    Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.

    Elle court, elle court, la maladie d'amour,
    Dans le cœur des enfants de 7 à 77 ans.
    Elle chante, elle chante, la rivière insolente
    Qui unit dans son lit
    Les cheveux blonds, les cheveux gris.

    Elle surprend l'écolière sur le banc d'une classe
    Par le charme innocent d'un professeur d'anglais.
    Elle foudroie dans la rue cet inconnu qui passe
    Et qui n'oubliera plus ce parfum qui volait.

    Elle court, elle court, la maladie d'amour,
    Dans le cœur des enfants de 7 à 77 ans.
    Elle chante, elle chante, la rivière insolente
    Qui unit dans son lit
    Les cheveux blonds, les cheveux gris.

    Elle court, elle court, la maladie d'amour,
    Dans le cœur des enfants de 7 à 77 ans.
    Elle chante, elle chante, la rivière insolente
    Qui unit dans son lit
    Les cheveux blonds, les cheveux gris.


    En savoir plus sur http://www.paroles.net/michel-sardou/paroles-la-maladie-d-amour#kFxMQpaV1ouA9m1L.99

  • La prérévolution en chantant

    La prérévolution en chantant

    La prérévolution en chantant

    LE MONDE DES LIVRES | 2 octobre 2014 | 854 mots

    Le 6 janvier 1989, sur la scène des Bouffes du Nord, à Paris, Hélène Delavault voit soudain surgir du public plusieurs hommes masqués, blousons de cuir et cheveux ras. La cantatrice donne son récital, intitulé La Républicaine, composé de chansons de la Révolution française. Cela fait plusieurs...

  • Le mot du mois dans ”Virgule” de Novembre

    Alphonse de Lamartine,Jocelyn

    Nous rions en voyant tous deux nos cheveux blancs,
    Poudrés par les frimas, de givre ruisselants

    Et, comme ses horreurs, l'hiver a ses beautés. L'œil aime ces frimas, ces tapis argentés, Ces rocs de diamants, ces aigrettes flottantes, En mobiles cristaux à nos arbres pendantes. Delille, Trois règnes nature,1808, p. 138.

  • Elle est debout sur mes paupières

    Elle est debout sur mes paupières
    Et ses cheveux sont dans les miens,
    Elle a la forme de mes mains,
    Elle a la couleur de mes yeux,
    Elle s'engloutit dans mon ombre
    Comme une pierre sur le ciel.

    Elle a toujours les yeux ouverts
    Et ne me laisse pas dormir.
    Ses rêves en pleine lumière
    Font s'évaporer les soleils,
    Me font rire, pleurer et rire,
    Parler sans avoir rien à dire

  • Dans ma lecture des Evaporés:Richard Brautigan

    Retombées de sombrero par Brautigan

    Disparu : brève étude Quand les rêves s'éveillent la vie s'achève. Ensuite les rêves ont disparu.(Journal japonais)

    La nuit continuait de passer pendant que Yukiko poursuivait son rêve, et que ses longs cheveux noirs reflétaient l'obscurité comme un miroir.(Retombées de sombrero)

  • Sport du 21 octobre 2022(douleurs et vie quotidienne): pas de vacances pour les douleurs!

    shampoing: le 1 er depuis dimanche soir

    ouf

    mes cheveux se gonflent au séchage

    presse du vendredi à la gare

    tram

    bus

    marché: pommes et poires pour 15 jours car le producteur ne sera pas là

    et les vieux lui reprochent

    rrrrrrrrr

    yaourts de chèvre

    moules

    3,06 km

    crudités

    pain au levain+ pain au choco

    et croissant

    car toujours au bord du malaise

    bus

    bus

    pisine:1,5 km

    ramené 20 litres de pétrole: j'en ai bavé

    7,16 km+ danse

    épaules et dos en douleurs intenses

  • Mon poème inédit sur ce blog:Dans la glace

    Semaine du 17 au 23 octobre 2016 - Ce matin trois cheveux blancs

     
    Cette semaine c'est JCP qui nous propose un thème (suggéré dans le cadre de la dernière "Foire aux thèmes") :
     
    "Dans la glace en me levant
    Ce matin trois cheveux blancs..."
     

    Vers ou prose, comme vous le souhaitez.
    Bien entendu, cette phrase est l'idée directrice de votre texte ...
     
    Vous pouvez choisir de citer ou non cette phrase dans votre texte, mais il devra obligatoirement nous parvenir avant dimanche soir 23 octobre à l'adresse habituelle : impromptuslitteraires[at]gmail.com
     
    http://impromptuslitteraires.blogspot.fr/

    Dans la glace

     Dans la glace en me levant

    Ce matin trois cheveux blancs

    Me narguent parmi le blond

    De mon enfance qui fond

     

    Dans la glace en me levant

    Ce matin trois rides  me servant

    A me souvenir que j’ai souri et pleuré

    Ma vie se grave dans ma peau de bébé

     

    Dans la glace en me levant

    Mes deux yeux ouverts tout grands

    Sur la journée et le monde

    Curieuse du beau et de l’immonde

     

    Dans la glace en me levant

    Mes seins sont toujours opulents

    Et défie ceux que l’abondance

    Effraie ; ils préfèrent la pénitence

     

    Dans la glace en me levant

    Mon corps réclame des dopants :

    Marche, gym, étirement et natation

    Reflet de mon âme toujours en tension

     

    Dans la glace en me levant

    Les cernes et les yeux brulants

    Pourtant toujours avides de mots

    Ecrits et d’images en couleurs de mots

     

    Dans la glace en me levant

    Mes cheveux courts n’imposant

    Aucun temps de coiffage

    Sauf masque et lavage

     

    Dans la glace en me levant

    Ce matin trois cheveux blancs

    Eclairent mon blond d’enfance

    Des lumières de l’expérience

     

    17 octobre 2016

    Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 14 livres en vente par les bannières sur ce blog

  • Paul Celan,Fugue de mort(dans ma lecture de ”Etre ici est une splendeur”

    Lait noir du petit jour nous le buvons le soir
    nous le buvons midi et matin nous le buvons la nuit
    nous buvons et buvons
    nous creusons une tombe dans les airs on y couche à son aise
    Un homme habite la maison qui joue avec les serpents qui écrit
    qui écrit quand il fait sombre sur l’Allemagne tes cheveux d’or Margarete
    il écrit cela et va à sa porte et les étoiles fulminent il siffle pour appeler ses chiens
    il siffle pour rappeler ses Juifs et fait creuser une tombe dans la terre
    il nous ordonne jouez maintenant qu’on y danse

    Lait noir du petit jour nous te buvons la nuit
    nous te buvons midi et matin nous te buvons le soir
    nous buvons et buvons
    Un homme habite la maison qui joue avec les serpents qui écrit
    qui écrit quand il fait sombre sur l’Allemagne tes cheveux d’or Margarete
    Tes cheveux de cendre Sulamith nous creusons une tombe dans les airs on y couche à son aise
    Il crie creusez plus profond la terre vous les uns et les autres chantez et jouez
    il saisit le fer à sa ceinture il le brandit ses yeux sont bleus
    creusez plus profond les bêches vous les uns et les autres jouez encore qu’on y danse

    Lait noir du petit jour nous te buvons la nuit
    nous te buvons midi et matin nous te buvons le soir
    nous buvons et buvons
    un homme habite la maison tes cheveux d’or Margarete
    tes cheveux de cendre Sulamith il joue avec les serpents

    Il crie jouez la mort plus doucement la mort est un maître d’Allemagne
    il crie plus sombre les accents des violons et vous montez comme fumée dans les airs
    et vous avez une tombe dans les nuages on y couche à son aise
    Lait noir du petit jour nous te buvons la nuit
    nous te buvons midi la mort est un maître d’Allemagne
    nous te buvons soir et matin nous buvons et buvons
    la mort est un maître d’Allemagne ses yeux sont bleus
    il te touche avec une balle de plomb il te touche avec précision
    un homme habite la maison tes cheveux d’or Margarete
    il lâche ses chiens sur nous et nous offre une tombe dans les airs
    il joue avec les serpents il rêve la mort est un maître d’Allemagne

    tes cheveux d’or Margarete
    tes cheveux de cendre Sulamith

    Bucarest, 1945.

    Traduction Olivier Favier.

     

      

    TODESFUGE

    Schwarze Milch der Frühe wir trinken sie abends
    wir trinken sie mittags und morgens wir trinken sie nachts
    wir trinken und trinken
    wir schaufeln ein Grab in den Lüften da liegt man nicht eng
    Ein Mann wohnt im Haus der spielt mit den Schlangen der schreibt
    der schreibt wenn es dunkelt nach Deutschland dein goldenes Haar Margarete
    er schreibt es und tritt vor das Haus und es blitzen die Sterne er pfeift seine Rüden herbei
    er pfeift seine Juden hervor läßt schaufeln ein Grab in der Erde
    er befiehlt uns spielt auf nun zum Tanz

    Schwarze Milch der Frühe wir trinken dich nachts
    wir trinken dich morgens und mittags wir trinken dich abends
    wir trinken und trinken
    Ein Mann wohnt im Haus der spielt mit den Schlangen der schreibt
    der schreibt wenn es dunkelt nach Deutschland dein goldenes Haar Margarete
    Dein aschenes Haar Sulamith wir schaufeln ein Grab in den Lüften da liegt man nicht eng

    Er ruft stecht tiefer ins Erdreich ihr einen ihr andern singet und spielt
    er greift nach dem Eisen im Gurt er schwingts seine Augen sind blau
    stecht tiefer die Spaten ihr einen ihr andern spielt weiter zum Tanz auf

    Schwarze Milch der Frühe wir trinken dich nachts
    wir trinken dich mittags und morgens wir trinken dich abends
    wir trinken und trinken
    ein Mann wohnt im Haus dein goldenes Haar Margarete
    dein aschenes Haar Sulamith er spielt mit den Schlangen
    Er ruft spielt süßer den Tod der Tod ist ein Meister aus Deutschland
    er ruft streicht dunkler die Geigen dann steigt ihr als Rauch in die Luft
    dann habt ihr ein Grab in den Wolken da liegt man nicht eng

    Schwarze Milch der Frühe wir trinken dich nachts
    wir trinken dich mittags der Tod ist ein Meister aus Deutschland
    wir trinken dich abends und morgens wir trinken und trinken
    der Tod ist ein Meister aus Deutschland sein Auge ist blau
    er trifft dich mit bleierner Kugel er trifft dich genau
    ein Mann wohnt im Haus dein goldenes Haar Margarete
    er hetzt seine Rüden auf uns er schenkt uns ein Grab in der Luft
    er spielt mit den Schlangen und träumet der Tod ist ein Meister aus Deutschland

    dein goldenes Haar Margarete
    dein aschenes Haar Sulamith

    http://dormirajamais.org/fugue/

  • Mon poème inédit sur ce blog: Paysages de bien-être pour la proposition 51

     

    Nanou-Atelier d'écriture

    Proposition n°51

     

    - Phrases : avancer dans cette immensité - vivre l’instant présent - svelte et gracieuse à ravir - au fond du jardin - la souffrance des hommes - la lueur des réverbères - coq de bruyère.

    - Mots ou expressions : dindon de la farce - mettre à pied - décrocher le cocotier - constamment - cheveux.

    - et/ou Thème : BIEN-ETRE

    http://lesdefisdanmai.eklablog.com/

    Paysages de bien-être

    Etre face à la mer

    Et avancer dans cette immensité

    Vivre l’instant présent

    Entre ciel et terre

    Avoir une âme svelte et gracieuse

    A décrocher la lune des mots

    Pour dire la souffrance des hommes

    Qui se terrent au fond du jardin d’Eden.

    Observer le coq de bruyère

    Qui chante à la lueur des réverbères

    Le crépuscule baudelairien.

    Pa besoin d’être le dindon de la farce

    Du feel good ambiant.

    Mettre à pied le marché du bien-être.

    Décrocher le cocotier de soi-même

    En s’adaptant constamment

    Comme les cheveux d’ange de mon potage

  • 20 ans de la mort de Dalida

    Reportage photo sur:http://www.lexpress.fr/info/quotidien/24himages/

    Vingt ans après sa disparition le 3 mai 1987, Paris rend hommage à la chanteuse Dalida, à l’occasion d’une grande exposition (jusqu'au 8 septembre 2007), la première jamais consacrée à cette artiste. Images de la transformation de la jeune Yolanda Gigliotti, Miss Egypte aux cheveux de geai et aux yeux bordés de khôl, en Dalida, sirène blonde gansée de strass, et reine incontestée des shows et du disco

  • Marcel Amont,Bleu,blanc,blond(1960)

    Refrain:}
    Bleu, bleu, le ciel de Provence
    Blanc, blanc, blanc, le goéland

    Le bateau blanc qui danse
    Blond, blond, le soleil de plomb
    Et dans tes yeux
    Mon rêve en bleu - bleu - bleu

    Quand j'ai besoin de vacances
    Je m'embarque dans tes yeux
     
    Bleus, bleus, comme un ciel immense
    Et nous partons tous les deux.

    {Refrain}

    Quand le vent claque la toile
    De ton joli jupon blanc
    Blanc, blanc comme une voile
    Je navigue éperdument.

    {Refrain}

    Tes cheveux d'un blond de rêve
    Déferlent en flots légers
    Blonds, blonds, blonds sur une grève
    Où je voudrais naufrager

    {Refrain}