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  • PROCKTOR, Patrick

    San Alvise

    PROCKTOR, Patrick

    San Alvise, 1977
    Aquarelle sur papier
    Signée et datée au recto en bas à droite
    45 x 60 cm
     
     

    Les films, les livres, les expos, les infos, les poèmes, l’actu, les œuvres, les artistes, les polars  nourrissent ce blog mais aussi mes 13 livres en vente ici:

    http://www.thebookedition.com/livres-laura-vanel-coytte-auteur-95.html

  • PROCKTOR, Patrick

    Zattere - vaporetto

    PROCKTOR, Patrick

    Zattere - vaporetto, 1977
    Aquarelle sur papier
    Signée et datée au recto en bas à droite
    17 x 25 cm
     
     

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  • J'ai vu à midi:Exposition ”LE GRAND ATELIER & LES MAISONNEES”Régénération et dynamiques urbaines - Quartier St Roch à St

    Atrium de la BU Tréfilerie

    Cette exposition présente le travail d’atelier de deuxième année de l’école nationale supérieure d’architecture de Saint-Etienne.
    Cette année, au sein de l’atelier Architecture/Culture constructive/Environnement, les étudiants se sont emparés des problématiques existantes sur le centre ville de Saint-Etienne pour proposer un projet de Maisonnées questionnant la régénération du quartier St-Roch.

    LE GRAND ATELIER

    A travers ce projet, il s'agit d’interroger les rapports physiques et de sens entre structure-lumière, enveloppe-matière, forme-site, dedans-dehors, etc.
    Il 's’agit aussi de prendre acte des relations qui se jouent entre un édifice et son aire d'accueil, en amont lorsque le milieu impacte la formation du projet, en aval lorsque celui-ci devient un composant participant à la dynamique du territoire.
    Le programme est un prétexte à l’exploration spatiale, à ce qui se joue dans l’assemblage, la répétition, la superposition, la composition de tout édifice, mais aussi un questionnement :
    - sur les fonctions et les usages propres,
    - la dialectique entre choix constructifs et écologiques dans le processus de projet,
    - la mise en forme architecturale.
    Les planches, les carnets et les maquettes exposées révèlent un mode pédagogique bien spécifique qui est basé sur la pratique intense et répétée du projet ainsi que sur sa contextualisation. Les documents présentent successivement un diagnostic du quartier et les projets proposés par les étudiants.

    LES MAISONNEES : EXPLORATION D’UNE NOUVELLE FORME D’HABITAT


    Dans le cadre d'une réflexion urbaine globale, les étudiants ont conçu plusieurs maisonnées offrant des usages nouveaux. Elles sont réparties dans le quartier sur des sites contribuant à générer et cristalliser des dynamiques urbaines visibles : axes de liaisons existant à conforter, création d'un passage, requalification d'un cœur d'ilot, proximité d'un espace public majeur, proximité d'une école ou de services existants.

    Un habitat métis avec des usages et des espaces mutualisés

    Une maisonnée offre un programmes d’habitat mixte qui accueille des logements et de l’hébergement ponctuel associés à plusieurs fonctions et des usages mutualisés.
    Les rapports d'usages entre l'habitat, les rez de chaussée et l'espace public constituent des enjeux majeurs.
    Les rez de chaussée en particulier, souvent vacants, ne sont plus sollicités par les commerces de proximité, alors que ces espaces non institutionnels peuvent être appropriés par les habitants et devenir des lieux de ressource dédiés au faire ensemble.
    Ils peuvent accueillir des usages et des espaces pour l'amélioration de la qualité de l'habitat à l'échelle d'un immeuble ou d'un ilot, ils peuvent être associés à de l'hébergement pour des personnes de passage et offrir des locaux communs et de rencontre, un espace d'échange et de services, un lieu ou se restaurer, une bibliothèque partagée, un local pour garer les vélos dans des espaces sécurisés, une buanderie commune, des ateliers pour des activités de conseil, de formation et de production, destinés à l'accompagnement des habitants désirant par exemple s'engager dans des constructions ou des rénovations écologiques et économiques de leur habitat.

    Ou plus simplement des lieux pour habiter le quartier, au-delà des pratiques marchandes et inventer un art de vivre la proximité, l'autre, le présent …

    LES ETUDIANTS

    82 étudiants ont travaillé en groupe sur les études de diagnostic et individuellement sur le projet.
    Qu’ils soient tous remerciés pour leur énergie et la dynamique qu’ils ont su insuffler pendant un semestre.

    ABDELKADER Mehdi, ALTOUNJI Diana, ARBEZ Océane, ARFUTI Georg, BARILLER Saskia, BAUDIN Quentin,
    BELAADEL Oumaima, BERGÉ Jules, BERTHELOT Laurie, BIARD Mélissa, BITARD Anaïs, BODET Francois –
    Xavier, BOISSET Marine, BOUCHER Juliette, BOULIN Michel, BRETON Tanguy, BRIDON Antonin, CARADEC
    Valerian, CHENG Yixiao, OELHO Samantha, COQUARD Marianne, COUTIERE Camille, CROUZET Matthieu,
    CROZET Malaurie, DESINDE Tom, DUCLOS Chloé, DUHALDE Sarah, DUPEYRE Victor, EL OUAZZANI Riham,
    ELBAHI Oumaima, FOURNEL Elodie, GESSE Damien, GILLET Logan, GORGORIO-TRUBESSET Victoria,
    GOUDOT Louise, GREGOIRE Céline, GUENOT Marine, GUGGIARI Remy, GUILLOT Ingrid, GUILLOT Pierrick,
    HACHACHE Amira Saadia, HENGAN Lucas, HIRTZ Célia, KILO Maha, KOZIKOWSKI Sarah, LACROIX Timothé,
    LAMIELLE Martin, LAURENT Charline, LEGROS Bastien, LEONCE Justine, LIBES Pauline, MALÉ-MOLE Judith,
    MATUSZEZAK Maxime, MICHOUD Antoine, MISERY Chloé, MONNIER Dylan, MONTROBERT Ema, MOREL
    Océane, MOUAMINE Meriem, MULLER Prescillia, NAMPRY Elisabeth, NGO-TRONG Marine, NIESS Romane,
    ORDONNEAU Anaïs, PARET Alice, PARRET Lucas, PASSEMARD Armand, SADAOUI Wassila, SAULNIER Gaëlle,
    SAUNIER Arthur, SAUNIER Gaëtan, SOARES Noémie, THION Estelle, TRÉLET Quentin, VALENTIN Alexia,
    VERNAY Caroline, VERSCHUURE Amelie, VIAL Aurélie, VIOUJAS Thibault, YAZJI Sally, ZIMMERMANN
    Romain.

    LES ENSEIGNANTS

    L’atelier est organisé autour de la pratique du projet et enrichi par plusieurs disciplines.

    Gérald Lafond, Frank Le Bail, Francis Martinuzzi, Christian Massard, Marcel Ruchon, architectes.
    Jonathan Bruter, architecte et paysagiste. Rachid Kaddour, géographe. Pierre Antoine CHabriac, Ingénieur
    thermicien. Jean Pierre Schwartz, Ingénieur structure. Patrick Condouret, Artiste.

     

    Localisation

    https://scd.univ-st-etienne.fr/fr/tout-l-agenda/actualites-2016-2017/toutes-les-actualites-2016-2017/expo-ensase.html

  • Anne & Patrick Poirier

    Anne & Patrick Poirier
           Jusqu'au 16-11-2015
        Musée Jean CocteauMenton
      

      La Chambre D'Orphée
        

     

    http://www.artabsolument.com/fr/

     

     

     

  • Patrick Modiano, Paris Nobel

     

    Claire DEVARRIEUX 9 octobre 2014 à 19:56

    Patrick Modiano, chez lui à Paris, le 3 octobre 2007. Patrick Modiano, chez lui à Paris, le 3 octobre 2007. (Photo Olivier Roller)

    PORTRAIT

    L’académie de Stockholm a créé la surprise en récompensant le discret écrivain de 69 ans, qui a beaucoup dépeint la capitale, notamment pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Patrick Modiano plutôt que Philip Roth, ou Haruki Murakami. Les académiciens suédois qui attribuent le prix Nobel de littérature ne détestent pas étonner le monde. Mais si la surprise est de taille, elle est aussi excellente : quel écrivain peut se vanter de s’attirer une sympathie aussi constante, jamais démentie, et cela dans toutes sortes de publics, sans pour autant jouer dans la catégorie galvaudée des best-sellers ? C’est vrai pour la France, mais aussi pour les Etats-Unis. On aime imaginer un engouement d’envergure internationale : Patrick Modiano est traduit en 36 langues, comme J.M.G. Le Clézio, l’autre Français récemment couronné (en 2008, lui aussi un auteur Gallimard), mais les deux écrivains n’ont pas le même fan-club. Le lectorat de Modiano se caractérise par une discrète addiction, et cela dure depuis qu’il a commencé à publier, en 1968, à 23 ans (la Place de l’Etoile). Sa carrière est longue, prolifique, régulière, sans fracas - à l’exception du prix Goncourt en 1978 pour Rue des boutiques obscures - ni baisse de tonalité.

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      Patrick Modiano : «Si on fait de la prose, c’est parce qu’on est mauvais poète»

      Par Philippe Lançon

    Les nobélisables possibles dont les noms circulaient le plus, ces derniers temps, sont deux auteurs dotés d’une aura politique, un genre très représenté dans le palmarès : le Kényan Ngugi Wa Thiong’o, qui écrit en kikuyu après avoir abandonné l’anglais, langue de la colonisation, et la Biélorusse Svetlana Alexievitch, à travers laquelle aurait été saluée, pour une fois, la littérature de «non-fiction».

    Familiarité. En récompensant Modiano - hypothèse apparue brusquement sur Internet, au début de la semaine -, les Nobel ont, apparemment, choisi la littérature pure, le murmure plutôt que l’ardeur militante, le balbutiement plutôt que la prose déclarative. A propos de balbutiement, les groupies unanimes de Patrick Modiano réclament de l’entendre prononcer son discours à Stockholm. Saura-t-il finir ses phrases ? Parlera-t-il, comme d’habitude, avec les mains ? Devra-t-il se faire tailler un habit sur mesure pour caser son mètre quatre-vingt dix-huit ? Qu’on nous pardonne cette familiarité. Même les détracteurs de Patrick Modiano ont de l’affection pour lui, tant la sincérité de son engagement littéraire ne fait de doute pour personne.

    Le prix Nobel récompense l’auteur des Boulevards de ceinture (1972) pour «l’art de la mémoire avec lequel il a évoqué les destinées humaines les plus insaisissables et dévoilé le monde de l’Occupation». Sans être comparable à celle de Proust - si sa phrase est courte, c’est sans doute à mettre en relation avec son refus de l’analyse psychologique -, la recherche modianesque qui se développe depuis environ trente romans et quarante livres n’en concerne pas moins le temps perdu. Disons plutôt un temps troué, dont l’écrivain essaie de rattraper les mailles. Un temps flou et trouble qu’il tente de préciser, sans le juger, tournant autour de noms, de rues parisiennes, qui furent ceux de son enfance et de sa jeunesse, et qui reviennent de livre en livre. C’est un monde d’images et de sensations qui se déroule comme un film noir, avec des personnages louches, comme une filature angoissante dont l’inaboutissement est l’objet même.

    Papiers anciens. Patrick Modiano est né en 1945 «d’un juif et d’une Flamande qui s’étaient connus à Paris sous l’Occupation». Il n’a pas vécu la guerre, et pourtant elle est au cœur de son œuvre. Mémoire collective et traumatisme individuel se rencontrent dans le creuset romanesque. Enquêtant sur son propre passé, dont il ne parvient pas à résoudre les mystères, le narrateur (ce sont souvent des textes écrits à la première personne) s’approche des zones d’ombre, le marché noir (activités du père de Modiano ) ou la présence de la «gestapo française» de la rue Lauriston (la Ronde de nuit, 1969). En 1974, Patrick Modiano écrit avec Louis Malle le scénario de Lacombe Lucien, histoire d’un petit paysan qui bascule du mauvais côté, celui des miliciens, par hasard. En 1997, il publie un récit, Dora Bruder, quintessence d’une œuvre hantée par la disparition. Ce qu’il explique à ce moment-là dans un entretien publié par Gallimard résume bien sa démarche obsessionnelle, sa passion des guides, des annuaires, des papiers anciens : «En consultant de vieux journaux, en décembre 1988, je suis tombé, dans le numéro du 31 décembre 1941 de Paris Soir, sur l’avis de recherche de Dora Bruder. Cet avis de recherche m’a profondément troublé. J’imaginais ces parents ayant perdu la trace de leur fille le dernier jour de l’année. Et je voyais bien l’endroit où ils habitaient, je connaissais le quartier : le cinéma Ornano 43, à côté du 41, boulevard Ornano.»

    Le passé français est riche de pans entiers qui restent cachés, mal assumés, mal assimilés. Qui ne passent toujours pas. Outre l’Occupation, la guerre d’Algérie et l’affaire Ben Barka rôdent dans la mémoire collective comme dans celle de Modiano (Des inconnues, Dans le café de la jeunesse perdue, l’Herbe des nuits) et le Paris qu’il met en scène inlassablement, rive droite pour la guerre, rive gauche pour les années 50 et 60 : c’est une des raisons pour lesquelles il est un écrivain si important et aimé. Il endosse les tourments d’une société, d’un pays, les mêle aux siens. L’autre raison de l’attachement de ses lecteurs étant la manière dont il parle de l’abandon (lire, entre autres, la Petite Bijou, 2001). Alors que son père bénéficiera d’un regard un peu plus amène au fil des ans, voici comment il parle de sa mère dans Un pedigree, unique texte résolument autobiographique, très bref, paru en 2005 : «C’était une jolie fille au cœur sec. Son fiancé lui avait offert un chow-chow mais elle ne s’occupait pas de lui et le confiait à différentes personnes, comme elle le fera plus tard avec moi. Le chow-chow s’était suicidé en se jetant par la fenêtre. Ce chien figure sur deux ou trois photos et je dois avouer qu’il me touche infiniment et que je me sens très proche de lui.»

    Le hasard fait que Patrick Modiano vient de publier un nouveau roman, Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier, où on retrouve les adresses de la jeunesse (square du Graisivaudan et rue Coustou), celles des rendez-vous paternels (boulevard Haussmann quand ce n’est pas rue Lord-Byron). Il revient, une fois de plus, comme dans Remise de peine (1988), sur la manière dont il passa une partie de son enfance, loin de ses parents et du quai de Conti, dans une maison de la région parisienne. Cette adresse deviendra un des points récurrents de sa géographie littéraire.

    Fugues. Dans la vraie vie, Modiano alors n’était pas seul, il était avec son frère Rudy, de deux ans son cadet, qui allait mourir d’une leucémie à l’âge de 10 ans. «Seuls mon frère, ma femme et mes filles sont réels», écrit-il en mai 2013, dans la préface du «Quarto» Gallimard qui regroupe dix de ses romans, de Villa triste (1975) à l’Horizon (2010), et pour lequel il ouvrit ses tiroirs et donna des photographies : celles de ses parents «sont devenues des photos de personnages imaginaires». Puis : «Et que dire des quelques comparses et fantômes qui apparaissent sur l’album, en noir et blanc ? J’utilisais leurs ombres et surtout leurs noms à cause de leur sonorité et ils n’étaient plus pour moi que des notes de musique.»

    Le terme d’autofiction, pas plus que celui d’autobiographie, ou alors il s’agit d’une «autobiographie rêvée», ne convient à l’univers créé par Patrick Modiano, mélodique et mélancolique. De pension en fugue, de refuge provisoire en survie difficile, l’adolescence triste de Modiano s’achève un soir de juin 1967 à Paris, «dans le petit appartement de quelqu’un dont je n’ai jamais retrouvé le nom», place Dancourt, rive droite. «Ce soir-là, je m’étais senti léger pour la première fois de ma vie. La menace qui pesait sur moi pendant toutes ces années, me contraignant à être sans cesse sur le qui-vive, s’était dissipée dans l’air de Paris.» C’est la fin de Un pedigree. La vie peut commencer : un écrivain n’existe que par et dans son œuvre.

     

    Les derniers Nobel de littérature

    2013 Alice Munro (Canada). 2012 Mo Yan (Chine). 2011 Tomas Tranströmer (Suède). 2010 Mario Vargas Llosa (Pérou). 2009 Herta Müller (Allemagne). 2008 J.M.G. Le Clézio. 2007 Doris Lessing (Royaume-Uni). 2006 Orhan Pamuk (Turquie). 2005 Harold Pinter (Royaume-Uni). 2004 Elfriede Jelinek (Autriche). 2003 J.M. Coetzee (Afrique du Sud). 2002 Imre Kertesz (Hongrie). 2001 Vidiadhar Surajprasad Naipaul (Royaume-Uni). 2000 Gao Xingjian (Chine). 1999 Günter Grass (Allemagne). 1998 José Saramago (Portugal). 1997 Dario Fo (Italie).

    Son œuvre

    1968 La Place de l’Etoile. 1969 La Ronde de nuit. 1972 Les Boulevards de ceinture. 1975 Villa triste. 1977 Livret de famille. 1978 Rue des boutiques obscures. 1981 Une jeunesse. 1982 De si braves garçons. 1985 Quartier perdu. 1986 Dimanches d’août. 1988 Remise de peine. 1989 Vestiaire de l’enfance. 1990 Voyage de noces. 1991 Fleurs de ruine. 1992 Un cirque passe. 1993 Chien de printemps. 1996 Du plus loin de l’oubli. 1997 Dora Bruder. 1999 Des inconnues. 2001 La Petite Bijou. 2003 Accident nocturne. 2005 Un pedigree. 2007 Dans le café de la jeunesse perdue. 2010 L’Horizon. 2012 L’Herbe des nuits. 2014 Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier.

     

     

    Claire DEVARRIEUX

     

    http://www.liberation.fr/livres/2014/10/09/patrick-modiano-paris-nobel_1118528

  • « Bonus » de Patrick Raphaël au Silo

    Jusqu’au 9 mai 2014. Vernissage le jeudi 16 janvier !! Né à Marseille, Patrick Raphaël s’expose aujourd’hui au cœur du Silo, dans la Salle des Mamelles pour près de 5...

     

    Jusqu’au 9 mai 2014.
    Vernissage le jeudi 16 janvier !!

    Né à Marseille, Patrick Raphaël s’expose aujourd’hui au cœur du Silo, dans la Salle des Mamelles pour près de 5 mois d’exposition. Le public du Silo pourra côtoyer le monde de l’artiste mais aussi le rencontrer car il y réalise également le tournage, ouvert à tous, d’une vidéo d’un » work in progress ». La toile alors produite, lors de cette « session de travail in situ » en public sera mise aux enchères au profit de la fondation Iris, lors d’une journée de clôture.

    Patrick Raphaël mène une guérilla contre la grisaille et la désillusion ambiante. A coup de couleurs et de sujets décalés, il bâtit un monde ou les sucres Candy s’érigent en barrières aux mauvaises nouvelles. Doggy, son avatar, qu’il partage avec ses spectateurs, lui prête main forte mais son mordant doit plus au sourire qu’il accroche à ses babines qu’à ses crocs !
Le public le plus jeune trouvera assurément dans ses toiles un peu de l’énergie nécessaire à résoudre les grandes désespérances de notre époque.

    En rouvrant la malle à jouets de notre enfance, Patrick Raphaël nous propose de nous ressaisir des peluches, totems qui nous ont formés, aidés à grandir.
…et par là même il nous encourage à ne pas renoncer si vite à nos mondes rêvés, ceux qui font le meilleur de chacun de nous.

    http://www.toutma.fr/12079/bonus-de-patrick-raphael-au-silo/

  • Patrick Lapeyre reçoit le prix Femina

    Par Dominique Guiou, Astrid De Larminat
    02/11/2010 | Mise à jour : 23:09


    Patrick Lapeyre a remporté le prix Femina au terme d'un long délibéré. Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro
     
    Suite à une mise en demeure, je supprime cette photo

    Un roman délicat sur les affres de l'amour est récompensé par le jury constitué exclusivement de femmes.

    Mardi à l'Hôtel de Crillon, les dames du Femina, d'ordinaire très ponctuelles, n'en finissaient pas de délibérer. L'heure tournait. La porte du salon Taittinger où le jury déjeunait a fini par s'ouvrir avec vingt bonnes minutes de retard : La vie est brève et le désir sans fin, de Patrick Lapeyre (P.O.L) l'a emporté au sixième tour de scrutin par 7 voix contre 6 à Qu'as-tu fait de tes frères ? de Claude Arnaud (Grasset). Les deux finalistes ont été départagés par la double voix de la présidente du jury qui était cette année Chantal Thomas. Sur la table, un monticule de bulletins de vote posé sur un plateau d'argent attestait de la longueur des discussions qui ne furent pas âpres mais serrées. «Il faut savoir lire quand on est juré, mais il faut aussi savoir compter» , s'exclama Paule Constant, les joues rougies par le feu des débats.

     

    La fidélité couronnée

     

    Le Femina étranger était attribué à la Finlandaise Sofi Oksanen pour son roman Purge (Stock) et le Femina essais revenait à Jean-Didier Vincent pour sa biographie d'Élisée Reclus (Laffont) au 7e tour.

    Le prix Femina récompense cette année une histoire d'adultère. Mais il couronne aussi, indirectement, la fidélité. Celle du couple auteur éditeur. Lapeyre a publié en 1984 son premier roman, Le Corps inflammable, chez P.O.L, éditeur qu'il n'a jamais quitté. Pendant vingt-six ans, main dans la main, Lapeyre et P.O.L ont attendu le couronnement d'un grand prix d'automne. L'édition, école de la patience.

    La vie est brève et le désir sans fin décrit les affres de la passion amoureuse. Un sujet qui n'est certes pas neuf, mais que le romancier parvient à renouveler par son humour nonchalant et son ironie délicate. L'étrange Nora, ravissante autant qu'exaspérante, est la figure centrale du roman. Deux hommes sont fous d'elle. Elle va de l'un à l'autre, mettant leurs nerfs à bout. On ne sait jamais sur lequel des deux elle va finalement jeter son dévolu. Mais veut-elle faire un choix ? N'attend-elle pas que l'un de ses deux amants s'engage véritablement, l'élise une fois pour toutes, l'enlève si nécessaire ? «Il y a trop d'amour et il n'y a pas assez d'amoureux», constate-t-elle un peu dépitée… L'amour, un sujet qui a encore de beaux jours devant lui, surtout quand il est traité par un romancier aussi talentueux que Patrick Lapeyre. Mais le livre, on l'a dit plus haut, n'a pas emporté tous les suffrages du jury Femina.

    Danièle Sallenave en saluait les qualités mais regrettait que des auteurs plus novateurs, selon elle, comme Maylis de Kerangal, Olivia Rosenthal ou Philippe Forest aient été supplantés : «Par une espèce de logique dont personne n'est responsable, on en vient à faire des choix consensuels.» Camille Laurens et Paule Constant, qui sera présidente l'an prochain, étaient assez de cet avis.

     

  • Eglise St ANDRE de la Côte St André

    Précédentes notes sur la Côte St AndréP1260811.JPGP1260809.JPGP1260803.JPG

    P1260808.JPGCette église romane située au cœur de la ville a été édifiée entre 1088 et 1102, et plusieurs fois remaniée jusqu'au xixe siècle15. Les styles roman, gothique et moderne coexistent donc. La partie la plus ancienne en est assurément la croisée du transept avec sa coupole sur trompes, mais l'étude archéologique de l'édifice reste à faire16. L'église est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 5 février 198217.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/La_C%C3%B4te-Saint-Andr%C3%A9

    Précédentes notes sur la Côte St AndréP1260810.JPG

  • L'artiste contemporain et la nature. Parcs et paysages européens(Gibert Paris St Denis )

    Colette Garraud, avec la collaboration de Mickey Boël
    L'artiste contemporain et la nature. Parcs et paysages européens

    Consacré à la création contemporaine européenne, dans les parcs, les jardins, le long des sentiers, des berges, en plein champ ou au cœur des forêts, cette enquête porte sur ces lieux d'art «naturels» ou «semi-naturels» et sur la place que tient l'idée de nature dans la motivation des artistes. Elle est introduite par une présentation historique de notions telles que Earth Art, Land Art, art environnemental, art in situ...

    Dans sa première partie, l'ouvrage décline thématiquement cette relation de l'art à la nature. L'auteur y traite d'abord des différentes catégories de lieux selon leur caractère, du «grand paysage» au parc urbain, leurs dimensions, le degré d'intervention et d'appropriation par l'artiste qui peut en faire son atelier ou son territoire privé. Sont recensés également les matériaux utilisés (naturels ou artificiels, sans omettre le recours à l'immatérialité du son et de la lumière), la question de l'échelle de l'objet dans sa relation au site, les modalités de sa découverte par la marche, l'usage de marqueurs, le déplacement (Wooden Boulder de David Nash).

    Les objets de nature manipulés par les artistes se meuvent en effet sur une échelle de temps qui, au regard de la temporalité humaine, touche aux extrêmes (temps cosmique, temps géologique, temps cyclique de la vie végétale) mais peut se clore sur des évènements éphémères. L'insertion de l'oeuvre dans un environnement naturel a profondément modifié les rapports qu'elle entretient avec le temps. L'artiste (Giuliano Mauri, par exemple) sera amené tantôt à œuvrer avec des temps longs, tels ceux de la croissance végétale, tantôt confronté à la destruction rapide. A cet égard, la ruine, traditionnel objet de méditation sur le temps, fera dans l'ouvrage de multiples occurrences.

    Toutefois, s'il est vrai qu'aujourd'hui beaucoup d'interventions artistiques en milieu naturel sont éphémères et souvent pérennisées par la photographie, l'ouvrage, qui se veut une invitation au voyage, met surtout l'accent sur les réalisations durables, et visibles sur le site pour lequel elles ont été conçues.

    Sont étudiées ou citées les œuvres de plus de trois cent artistes, parmi lesquels Magdalena Abakanowicz, Marina Abramovic, Carl Andre, Lothar Baumgarten, Marinus Boezem, Daniel Buren, Eduardo Chillida, Tony Cragg, Chris Drury, Ian Hamilton Finlay, Fischli et Weiss, Dan Graham, Andy Goldsworthy, Antony Gormley, Veronica Janssens, Sol LeWitt, Richard Long, François Morellet, Robert Morris, David Nash, Claudio Parmiggiani, Giuseppe Penone, Anne et Patrick Poirier, Jean-Pierre Raynapol, Sarkis, Richard Serra, Robert Smithson, Bernar Venet, herman de vries... Certains de ces artistes ont placé l'idée de nature au cœur de leur œuvre, d'autres se confrontent occasionnellement au paysage.

    La seconde partie propose une description de quelques-uns des lieux européens regroupant un grand nombre d'œuvres en Allemagne, Belgique, Espagne, France, Italie, Norvège, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède, Suisse.

    Colette Garraud est professeur des écoles nationales supérieures d'art, actuellement chargée de mission à la Délégation aux Arts plastiques. Elle est l'auteur de textes divers autour de la question «art et nature» (L'idée de nature dans l'art contemporain, Flammarion, 1993).

    Mickey Boël

    http://www.paris-art.com/editeur-design/l-artiste-contemporain-et-la-nature-parcs-et-paysages-europeens/garraud-colette-boel-mickey/1968.html

  • JOYEUSE ST DIDIER

    Combien ?

    Combien  de fêtes avons-nous arrosé ensemble ?

    Combien d’anniversaires fêtés en couple ?

    Je pourrais les dénombrer mais qu’importe

    Le nombre de bouteilles de champagne

    Que nous avons bues, les bougies qu’on souffle

    Sur des gâteaux, l’essentiel est tout autre.

     

    L’essentiel est que tu saches combien je t’aime,

    Combien les fêtes que nous célébrons et les anniversaires

    Que nous fêtons sont les étapes d’un voyage

    Amoureux dans des paysages que je garde

    Comme des cartes postales envoyées avec âme.

    Combien de décors avons-nous vécus ensemble ?

    Si je chéris ces lieux de vie pour leur constance

    Je chéris aussi la tienne dans les joies et les larmes

    Et je ne saurais assez t’exprimer ma reconnaissance.

     

    JOYEUSE FETE

    19 mai 2016

    Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 14 livres en vente par les bannières sur ce blog

     

  • Dans ma ville, St Etienne

    Publications dans Poésie en Stéphanie(cf. publications en revue)  du Cercle des Lettres et des Arts de Saint-Etienne(CLA):http://henrylucienmerle.over-blog.com/

     

     

     

    Lecture de deux de « Mes paysages de Nerval et Baudelaire » à la soirée poétique du Cercle des Lettres et des Arts de Saint-Etienne

     

    Participations aux activités de "Lire à ST Etienne (à titre professionnel et personnel):articles dans le journal local ex: repas des Universitaires

  • St Didier en Velay dimanche

    P1260554.JPGSaint-Didier-en-Velay est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle porte ce nom seulement depuis 1925 (loi du 5 avril 19251) suite à la création de la commune de la Séauve-sur-Semène dont le territoire s'est détaché de celui de Saint-Didier. Avant cette date, elle portait le nom de Saint-Didier-la-Séauve. Déjà en 1866, le territoire de Saint-Didier avait été amputé d'une partie de ses terres lors de la création de la commune de Pont-Salomon1.

    Ses habitants sont appelés les Désidériens, le nom venant du latin Desiderius (Didier).

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Didier-en-Velay

    P1260553.JPG

  • Patrick PROCKTOR(nouvelle sous-partie)

    San Sebastiano

    PROCKTOR, Patrick

    San Sebastiano, 1977
    Aquarelle sur papier
    Signée et datée au recto en bas au milieu
    60 x 35 cm
     
     

    Les films, les livres, les expos, les infos, les poèmes, l’actu, les œuvres, les artistes, les polars  nourrissent ce blog mais aussi mes 13 livres en vente ici:

    http://www.thebookedition.com/livres-laura-vanel-coytte-auteur-95.html

  • Décès de l'écrivain Patrick Cauvin

    AFP
    18/08/2010 | Mise à jour : 18:41
    Réactions (4)

    L'écrivain français Patrick Cauvin, auteur du populaire roman "E=MC2, mon amour", est décédé vendredi à l'âge de 77 ans, annonce son éditeur Plon.

    De son vrai nom Claude Klotz, Patrick Cauvin, né le 6 octobre 1932 à Marseille, est l'auteur de plus d'une trentaine de romans signés sous ses deux identités, dont plusieurs polars. Son dernier livre "Une seconde chance" était paru chez Plon fin janvier alors qu'il était déjà frappé par un cancer.



    Scénario du Mari de la coiffeuse

    Professeur de lettres en banlieue pendant dix ans, c'est "E=MC2, mon amour", en 1977, qui fait connaître Patrick Cauvin du grand public et lui vaut un succès retentissant. Cette histoire d'amour passionnée entre deux adolescents surdoués que tout sépare sera adaptée au cinéma par George Roy Hill un an plus tard. En 1977, un des ses précédents romans, "Monsieur Papa", publié en 1976, sort aussi sur les écrans avec Daniel Auteuil et Claude Brasseur, dans un film de Philippe Monnier. L'écrivain signe en 1990 le scénario du touchant "Mari de la coiffeuse", un film réalisé par Patrice Leconte, avec Jean Rochefort.

    Puis c'est "Villa Vanille" en 1997 ou encore "Présidente" en 1998 avant "Pythagore, je t'adore" en 2001, dans lequel les deux protagonistes de "E=MC2", Lauren et Daniel, se retrouvent vingt-deux ans après. Le roman connaît aussi un franc succès. L'année suivante, Patrick Cauvin se met dans la peau de son double Claude Klotz en signant un thriller haletant, "Le sang des roses". Il écrira encore notamment "Les Pantoufles du Samouraï" (2008) et "Déclic" (2009).

    L'écrivain sera incinéré au crématorium du Père Lachaise vendredi à 14h, a précisé Plon.

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/08/18/97001-20100818FILWWW00446-deces-de-l-ecrivain-patrick-cauvin.php

  • La Bretagne de Patrick Poivre d'Arvor

    Par Patrick Poivre d'Arvor
    23/07/2010 | Mise à jour : 18:19 Réagir


    Le château en granit rose de style néomédiéval posé sur l'îlot de Costaérès illustre de nombreuses cartes postales de Ploumanac'h. (Stephan Gladieu/Le Figaro Magazine)

    La Bretagne des grèves et des landes n'a plus de secret pour cet amoureux du Trégor et de ses environs. Selon l'écrivain journaliste, qui aime s'éloigner du tumulte médiatique parisien pour retrouver les Côtes d'Armor, la terre de ses ancêtres est également un phare culturel et artistique qui éclaire toute la France.

    Le 1er mai 1847, Gustave Flaubert quitta Paris avec son ami Maxime Du Camp pour entreprendre un voyage en Bretagne, se promettant d'écrire un journal de bord qu'ils intitulèrent Par les champs et par les grèves. Quand ils arrivèrent dans le Trégor, Du Camp écarquilla les yeux:« Sauf la route stratégique, on ne trouvait guère que les chemins creux surplombés par les haies dont les ronces et les clématites s'entrelaçaient autour des houx, pur langage celtique ; maigre bétail, culture enfantine, bourgades délabrées, insouciance, superstition, misère... »

    Vient de publier La Bretagne vue par Patrick Poivre d'Arvor (Hugo et Compagnie, 320 p., 200 photos, 25 €).

    LES BONNES ADRESSES DE PATRICK POIVRE D'ARVOR

    Boire un verre

    Au bar de l'hôtel Le Beauséjour, qui surplombe la plage de Trégastel. Des hôtes accueillants dans un décor soigné qui fait la part belle aux choses de la mer (maquettes de bateaux et de phares, scaphandrier, filets, bouées...).5, plage du Coz-Pors, Trégastel 02.96.23.88.02).

    Se promener

    Le sentier des douaniers, inaccessible en voiture, permet de découvrir, aux environs de Ploumanac'h, entre Trégastel et Perros-Guirec, des panoramas à couper le souffle... et la maison de Gustave Eiffel, encore habitée par sa famille aujourd'hui.

    Ecouter de la musique

    A l'entrée de Trégastel, le café-concert Toucouleur est un bar qui accueille presque tous les soirs (à l'heure de l'apéritif, puis tard dans la soirée) des groupes ou orchestres de musique celtique (irlandaise et bretonne en particulier). Magnifique ambiance on peut aussi danser.118, rue Poul-Palud, Tourony, Trégastel (02.96.23.46.26).

    Déjeuner ou dîner

    La Suite, à la pointe ouest de la plage de Trestraou, à Perros-Guirec. Dans un cadre chic mais décontracté, un restaurant raffiné avec une terrasse protégée des embruns et une salle à manger bénéficiant d'une magnifique vue sur la baie et les Sept-Iles.Plage de Trestraou, Perros-Guirec 02.96.49.09.34).

    Dormir

    Manoir de Lan Kerellec, vieille demeure familiale, lieu magique et authentique avec la charpente de sa salle à manger en forme de carène de bateau et des chambres qui s'ouvrent sur une vue unique: les îles faisant face à Trébeurden. Allée centrale de Lan Kerellec, Trébeurden (02.96.15.00.00).