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• Visiter Notre-Dame ? Rien n'est impossible quand la technologie s'en mêle. Il aura fallu deux ans pour qu'une exposition immersive voit le jour, avec le concours de différents partenaires. Genèse de ce projet historique et inédit, dans lequel le spectateur devient acteur.
Notre-Dame, plus vraie que nature, comme si vous y étiez !
• « J’accepte de vous répondre parce que c’est un sujet important et délicat. » Sensible pour les médecins, sage-femme, écoutante, théologien, sollicités pour cette enquête, la question de l’accompagnement des femmes face à une IVG l’est aussi pour Le Pèlerin. Marque d’une confiance inattendue, le Dr Marianne Lainé nous a ouvert son cabinet à Rouen et certaines de ses patientes ont accepté que j’assiste à la consultation avec Florence Brochoire, la photographe. Là, petite souris adossée au mur, j’ai repensé à nos premières discussions collectives quelques semaines plus tôt : comment allions-nous traiter l’actualité législative sur l’IVG dans nos pages ? Comme chaque semaine : à visage humain et dans le respect de la sensibilité de nos lecteurs. Dans l’écoute et la présence dépourvue de jugement, assurément.
« L’accompagnement représente la voie du discernement et du soutien sur le plus long terme. » Père Laurent Lemoine, théologien spécialiste d’éthique.
Chloé Morin : « Nous sommes tous responsables de la démocratie »
• Avons-nous oublié que les élus sont aussi des humains ? C'est en tout cas par ce constat que s'ouvre le dernier essai de la politologue, dans lequel elle réhabilite leur engagement politique. L'état des lieux qu'elle dresse dans cette rencontre avec notre journaliste, souligne les dysfonctionnements de la démocratie, dont les citoyens sont garants.
Une prise de recul nécessaire en ce début de période électorale.
• Visiter Notre-Dame ? Rien n'est impossible quand la technologie s'en mêle. Il aura fallu deux ans pour qu'une exposition immersive voit le jour, avec le concours de différents partenaires. Genèse de ce projet historique et inédit, dans lequel le spectateur devient acteur.
Notre-Dame, plus vraie que nature, comme si vous y étiez !
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Cinquante ans après la mort de Pablo Picasso, le musée qui lui est dédié lui rend hommage. Peintures, sculptures, dessins, photographies : un nouveau parcours a été pensé pour donner à voir l’incroyable richesse du fonds du musée, et, en miroir, l’ampleur de la pratique artistique de Picasso. La direction artistique a été confiée pour l’occasion au célèbre styliste britannique Paul Smith, qui, par sa patte colorée et pleine d’énergie, a signé un accrochage exceptionnel conçu sous le commissariat de l’équipe de conservation du musée. À travers son regard, c’est un Picasso inventif, drôle, en perpétuelle expérimentation que l’on redécouvre. Paul Smith propose des rapprochements inhabituels, souligne des détails inattendus. Amoureux de la couleur, fasciné par l’univers du spectacle, il souligne de nombreux échos dans la démarche de l’artiste comme dans la sienne. Car l’œuvre de Picasso demeure vivante et elle ne cesse et n’a cessé d’être regardée et stimulante pour les artistes d’hier et d’aujourd’hui. Sont ainsi disposées au fil du parcours quelques œuvres de Paul Cézanne, Emile Bernard, Louise Bourgeois, Guillermo Kuitca, Chéri Samba, Obi Okigbo ou Mickalene Thomas. Le catalogue de l’exposition rend compte de ce nouvel accrochage à travers des analyses, mises en perspective et interviews d’artistes, et se pare des couleurs du couturier britannique.
Exposition musée national Picasso-Paris, du 07 mars au 27 août 2023
176 pages - Paru le 1 mars 2023 - Broché - 23 × 28 cm - EAN : 9791020407962
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Cinquante ans après la mort de Pablo Picasso, le musée qui lui est dédié lui rend hommage. Peintures, sculptures, dessins, photographies : un nouveau parcours a été pensé pour donner à voir l’incroyable richesse du fonds du musée, et, en miroir, l’ampleur de la pratique artistique de Picasso. La direction artistique a été confiée pour l’occasion au célèbre styliste britannique Paul Smith, qui, par sa patte colorée et pleine d’énergie, a signé un accrochage exceptionnel conçu sous le commissariat de l’équipe de conservation du musée. À travers son regard, c’est un Picasso inventif, drôle, en perpétuelle expérimentation que l’on redécouvre. Paul Smith propose des rapprochements inhabituels, souligne des détails inattendus. Amoureux de la couleur, fasciné par l’univers du spectacle, il souligne de nombreux échos dans la démarche de l’artiste comme dans la sienne. Car l’œuvre de Picasso demeure vivante et elle ne cesse et n’a cessé d’être regardée et stimulante pour les artistes d’hier et d’aujourd’hui. Sont ainsi disposées au fil du parcours quelques œuvres de Paul Cézanne, Emile Bernard, Louise Bourgeois, Guillermo Kuitca, Chéri Samba, Obi Okigbo ou Mickalene Thomas. Le catalogue de l’exposition rend compte de ce nouvel accrochage à travers des analyses, mises en perspective et interviews d’artistes, et se pare des couleurs du couturier britannique.
Exposition musée national Picasso-Paris, du 07 mars au 27 août 2023
176 pages - À paraître le 1 mars 2023 - Broché - 23 × 28 cm - EAN : 9791020407962
LE FIL LIVRES - A l'occasion du numéro spécial Villes de Télérama, notre historien - et grandlecteur - Gilles Heuré nous entraîne dans le Paris du XIXe siècle, celui de Baudelaire, attaché à explorer l'envers du décor de cette ville qu'il aimait corps et âme... Les mots du poète parlent d'eux-mêmes.
Le Musée de La Poste propose une exposition sur le thème de la course et du message, dont le point de départ s'inspire de la légende du coureur de Marathon, Philippidès, en 490 av. J.-C. À travers 160 œuvres d'art contemporain et supports, extraits de films, affiches, journaux, objets sportifs, textes, bandes dessinées, le public est invité à une déambulation intellectuelle, émotionnelle et artistique.
L'exposition s'inscrit dans le contexte des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Par association d’idées, les Jeux ont renvoyé les commissaires à la Grèce Antique et à la fonction première de La Poste : délivrer des messages. De nature et d’origine très diverses, 160 items exposés - dont des œuvres d'art contemporain, moderne et antique - jalonnent le parcours d'exposition évoquant les méandres du message.
« Ce qu’ils semblent rechercher avant tout, c’est l’impression », note, désorienté, en avril 1874, un des visiteurs de l’exposition des « intransigeants ». Trente et un artistes y sont réunis, dont le seul point commun est, d’abord, celui de s’être affranchis des carcans de l’art officiel. Parmi eux, Monet, Renoir, Degas, Berthe Morisot, Pissarro, Sisley, Cézanne… Cent cinquante ans après la première exposition impressionniste, le musée d’Orsay réunit, en un saisissant face-à-face, une large sélection des œuvres qui furent révélées au public le 15 avril 1874, et des œuvres académiques exposées quinze jours plus tard au Salon officiel. Le Figaro Hors-Série retrace l’histoire de cette aventure dans laquelle se jetèrent les peintres. Qui furent les grandes figures impressionnistes ? Quels furent leurs projets, leur esthétique ? De qui s’inspiraient-ils ? Furent-ils accueillis ou bannis par la critique ? La peinture contemporaine est-elle leur héritière ? Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur ce courant pictural, cette rafale de vent nouveau que fut l’« impressionnisme ».
Profitez également de notre visite guidée exclusive pour découvrir l'exposition au musée d'Orsay ! Retrouvez toutes les dates de visites en cliquant-ici.
« Ce qu’ils semblent rechercher avant tout, c’est l’impression », note, désorienté, en avril 1874, un des visiteurs de l’exposition des « intransigeants ». Trente et un artistes y sont réunis, dont le seul point commun est, d’abord, celui de s’être affranchis des carcans de l’art officiel. Parmi eux, Monet, Renoir, Degas, Berthe Morisot, Pissarro, Sisley, Cézanne… Cent cinquante ans après la première exposition impressionniste, le musée d’Orsay réunit, en un saisissant face-à-face, une large sélection des œuvres qui furent révélées au public le 15 avril 1874, et des œuvres académiques exposées quinze jours plus tard au Salon officiel. Le Figaro Hors-Série retrace l’histoire de cette aventure dans laquelle se jetèrent les peintres. Qui furent les grandes figures impressionnistes ? Quels furent leurs projets, leur esthétique ? De qui s’inspiraient-ils ? Furent-ils accueillis ou bannis par la critique ? La peinture contemporaine est-elle leur héritière ? Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur ce courant pictural, cette rafale de vent nouveau que fut l’« impressionnisme ».
Profitez également de notre visite guidée exclusive pour découvrir l'exposition au musée d'Orsay ! Retrouvez toutes les dates de visites en cliquant-ici.
"Rien ne relie les passagers montés à bord du train de nuit n? 5789. A la faveur d'un huis clos imposé, tandis qu'ils sillonnent des territoires endormis, ils sont une dizaine à nouer des liens, laissant l'intimité et la confiance naître, les mots s'échanger, et les secrets aussi. Derrière les apparences se révèlent des êtres vulnérables, victimes de maux ordinaires ou de la violence de l'époque, des voyageurs tentant d'échapper à leur solitude, leur routine ou leurs mensonges. Ils l'ignorent encore, mais à l'aube, certains auront trouvé la mort. Ce roman au suspense redoutable, célèbre le miracle des rencontres fortuites et nous rappelle que nul ne maîtrise son destin. Edition adaptée facile à lire : malvoyance ; fatigue visuelle ; troubles de l'apprentissage ; troubles cognitifs ; troubles DYS ; dyslexie ; dysgraphie ; TDA/H ; alphabétisation, FLE. "
Cette vidéo est sous-titrée en français pour les personnes en situation de handicap auditif.
Photographe et cinéaste français d’origine roumaine, Eli Lotar (Eliazar Lotar Teodorescu, Paris, 1905-1969) arrive en France en 1924 et devient rapidement l’un des tous premiers photographes de l’avant-garde parisienne. Proche de Germaine Krull qui lui apprend le métier, et plus tard des surréalistes, il publie dans les revues d’avant-garde — Vu, Jazz, Arts et métiers graphiques —, et participe à plusieurs expositions internationales majeures, parmi lesquelles « Fotographie der Gegenwart », « Film und Foto », « Documents de la vie sociale ».
L’exposition « Eli Lotar (1905-1969) » examine, sous un jour nouveau, le rôle de cet acteur crucial de la modernité photographique à travers un parcours thématique, de la « Nouvelle Vision » au cinéma documentaire, en passant par ses paysages urbains, industriels ou maritimes. Ses portraits montrent son attrait pour les poses et postures et sa proximité avec la plupart des grands artistes de l’époque. L’engagement social et politique d’Eli Lotar ainsi que son goût pour le travail collectif se révèlent dans la réalisation de nombreux projets avec des écrivains (Jacques et Pierre Prévert), des hommes de théâtre (Antonin Artaud et Roger Vitrac) ou encore des réalisateurs de cinéma connus (Joris Ivens, Alberto Cavalcanti et Luis Buñuel) que le contexte sociopolitique troublé des années 1930 ne laissait pas indifférents.
L’exposition rassemble plus de cent tirages vintage récemment localisés dans une quinzaine de collections et d’institutions internationales ainsi qu’une sélection d’une centaine de documents (livres, revues, lettres, négatifs, films) qui constituent le cœur du travail d’Eli Lotar. Elle est organisée en cinq sections thématiques qui ne suivent pas un ordre strictement chronologique.
Les deux premières parties de l’exposition traitent des reportages photographiques effectués par Eli Lotar en majorité pour la presse illustrée. Intitulées « Nouvelle Vision » et « Déambulations urbaines », elles permettent de se plonger dans l’univers du photographe, reconnu pour la singularité de son œuvre dès la fin des années 1920. La reproduction de revues de l’époque ( VU, L’Art Vivant, Arts et métiers graphiques, Jazz, Bifur) montrent une partie des nombreuses publications de Lotar à cette période. Les tirages d’époque, les impressions réalisées à partir des négatifs et les documents présentés dans cette section permettent de prendre la mesure de sa notoriété précoce au sein de l’avant-garde photographique européenne.
Attiré par l’univers du cinéma, Lotar participe, dès 1929, à des productions de films documentaires en travaillant avec des cinéastes comme Jean Painlevé, Joris Ivens et Luis Buñuel. La troisième section est consacrée aux œuvres les plus socialement engagées de Lotar avec une sélection de photographies et de films où se reflète la complexité sociale et politique de l’entre-deux-guerres, comme par exemple le réalisme cru de sa série sur les Abattoirs (1929) et sa collaboration sur Terre sans pain (1933) le seul film documentaire de Luis Buñuel qui illustre les conditions de vie déplorables de la région isolée et aride des Hurdes, en Espagne. Le travail avec des cinéastes qui participent activement à l’émergence du cinéma documentaire marque fortement la carrière de Lotar, qui après guerre, réalise Aubervilliers (1945), un documentaire poétique sur les conditions de vie dans les taudis de cette ville.
Les deux dernières sections de l’exposition portent une attention particulière aux rencontres artistiques et littéraires fructueuses de la vie de Lotar. Elle présente des images inédites de ses voyages ainsi qu’une série de prises de vues des poses loufoques des personnages du théâtre Alfred Jarry d’Antonin Artaud. Ses collaborations avec plusieurs artistes, dramaturges et poètes lui permettent d’apporter son expertise artistique et technique (notamment le travail de la lumière et du cadrage) aussi bien lors de voyages sur le pourtour méditerranéen avec Jacques Bernard Brunius et Roger Vitrac, que dans ses photomontages pour le théâtre Alfred Jarry d’Antonin Artaud ou encore sa collaboration amicale avec Alberto Giacometti dont Lotar sera le dernier modèle.
La présence d‘Eli Lotar aux avant-postes du modernisme a pourtant fait l’objet d’une reconnaissance tardive. Il faut attendre le début des années 1990 pour qu’une première rétrospective lui soit consacrée au Centre Pompidou. Depuis, les avancées dans le champ des études du surréalisme, de la photographie de l’entre-deux-guerres, mais aussi du cinéma, permettent de poser un regard nouveau sur son travail et de restituer toute la singularité de sa trajectoire et de son univers visuel. Le Jeu de Paume et le Centre Pompidou à Paris s’associent pour présenter une exposition rétrospective constituée à partir des archives et du fonds d’atelier du photographe conservés au Centre Pompidou et de tirages d’époque provenant de collections et d’institutions internationales.
« Eli Lotar (1905 - 1969) » Une exposition du 40e anniversaire du Centre Pompidou, coproduite par le Centre Pompidou et le Jeu de Paume.
Pour partager son anniversaire avec le plus large public, le Centre Pompidou propose un programme inédit d’expositions, de prêts exceptionnels, de manifestations et d’événements partout en France et pendant toute l’année. Expositions, spectacles, concerts, conférences et rencontres sont présentés dans plus de quarante villes françaises, en partenariat avec un musée, un centre d’art contemporain, une scène de spectacle, un festival, un acteur du tissu culturel et artistique français… Au croisement des disciplines, à l’image du Centre Pompidou, ces projets témoignent de son engagement depuis sa création aux côtés des institutions culturelles locales, acteurs essentiels de la diffusion et de la valorisation de l’art et de la création de notre temps.
Commissaires : Damarice Amao, Clément Chéroux et Pia Viewing.
Partenaires médias : À Nous Paris, de l’air, France Culture, Paris Première et Time Out.
L'Institut Culturel Roumain de Paris apporte son soutien à l'exposition « Eli Lotar (1905-1969) ».
L’exposition « Eli Lotar (1905-1969) » participe au Mois de la Photo du Grand Paris 2017.
Échange tarifaire Centre Pompidou / Jeu de Paume Pendant la durée de l’exposition « Eli Lotar (1905-1969) », un tarif réduit est proposé, au Jeu de Paume, pour les visiteurs du Centre Pompidou (sur présentation du billet d’exposition ou de la carte d’abonnement) et inversement.
Paris est plus que jamais une fête. Et peut-être bien la plus joyeuse de cette nouvelle collection de hors série «Grand Tour» auquel vous invite Le Point, à travers les lieux de civilisation qui font la joie des esthètes éclairés. Après Rome, Paris s’éveille.
Les choix de la rédaction du Point entre bonnes planques, jolis lits et nouveaux artisans.
Les repaires de créateurs, architectes, fleuristes, artistes comme Victoire de Castellane, Jean-Michel Othoniel, Rabih Kayrouz, Véronique Nichanian, Guillaume Henry, Youssouf Fofana ou Benoît Astier de Villatte et Ivan Pericoli...
Les lieux de mémoire sur les traces de Marie de Médicis, Louise Michel, les Amanzones de la Nouvelle Athènes ou Dalida...
Ce nouveau hors-série Histoires de Paris du Parisien nous invite à découvrir tous ces lieux qui auraient dû exister dans la capitale mais qui n’ont finalement jamais vu le jour ou ont été anéantis : les nombreuses démolitions orchestrées par le baron Haussmann sous le second Empire, la fin des Halles qui a constitué l’un des grands scandales patrimoniaux du XXe siècle, la disparition du Palais rose de Boni de Castellane, le palais du Bardo brûlé au parc de Montsouris. Et avant cela, le palais des Tuileries incendié pendant la Commune, le palais de Chaillot mais aussi les prisons (la Bastille, Mazas, la Petite Roquette) et tous les couvents disparus qui ont laissé leur nom dans la voirie parisienne tel les Grands-Augustins.
Le Paris des projets qui auraient dû voir le jour regorge d’idées délirantes : des immeubles du plan Voisin de Le Corbusier aux 200 gratte-ciel d’Auguste Perret, de la tour cybernétique de Nicolas Schöffer - de plus de 300 mètre - qui aurait clignoté à la Défense à l’aéroport de nuit sur l’île aux Cygnes.
Mais aussi le palais du roi de Rome voulu par Napoléon ou le phare des Invalides. Et l’inventivité des hommes ne se limite pas au plancher des vaches : y contribuent aussi les taxis volants de Robida ou les autoroutes souterraines d’Edouard Utudjian.
Le Paris disparu est une véritable ville en creux. Grâce à des recherches minutieuses dans les archives de la ville et à la magie de la reconstitution, cette édition extraordinaire fait renaître un Paris inédit, tel que nous ne verrons jamais.
Le parrain de notre collection Lorànt Deutsch, dont c’est le sujet de prédilection, y lance un appel vibrant en faveur des édifices menacés qu’il faut sauver aujourd’hui.
Damon Albarn, Eels, Rufus Wainwright, Timber Timbre, Etienne Daho... Ne perdez pas de temps: achetez vos billets pour ces soirées incontournables du festival Days Off 2014, programmées à la Salle Pleyel ou à la Cité de Musique de Paris.
C'est officiel: la billetterie de Days Off est désormais ouverte. Du 1er au 10 juillet 2014, le public parisien profitera d'un une programmation musicale plus qu'attractive, avec des têtes d'affiches incontournables comme le chanteur, compositeur et musicien Damon Albarn à l'honneur le 9 juillet pour son album solo"Everyday Robots", mais aussi Etienne Daho, invité d'honneur et à ce titre aux commandes d'un "Domaine Privé" avec plusieurs soirées spéciales (Pop Satori, Pop Hits...), ou encore Rufus Wainwright, M. Ward, Pierre Lapointe, Timber Timbre ou Eels--ce dernier nom ayant été le premier à fuiter.
Autre bonne raison de ne pas manquer le festival Days Off 2014: les concerts se déroulent dans deux salles à l'acoustique et au confort optimales: la Salle Pleyel dans le 8e arrondissement de Paris avec ses 1.900 places de jauge et la Cité de la Musique à l'entrée du Parc de la Villette (19e arrondissement), tout près de la Porte de Pantin, avec une capacité de 1.500 spectateurs. Restez connectés pour découvrir la suite du programme de cette cinquième édition de Days Off, communiqué sous peu.
Francesco Guardi (1712-1793), « Le Palais des Doges et la Piazzetta de Venise vus du Bacino de San Marco » , huile sur toile (69,5 x 102 cm). Estimation: 9,5 à 12 millions d’euros. Christies Images Ltd.
Le carnaval de Venise s’achève. Mais nul besoin de rejoindre la Sérénissime pour ressentir la magie de la lagune. Nul besoin de prendre le premier avion et une fois sur place de vous laisser porter par une gondole bercé par le clapotis de l’eau ou de vibrer à la lumière si particulière des palais se reflétant dans le Grand Canal au soleil levant ou couchant… Il suffit de vous rendre le 3 et 4 mars avenue Matignon chez Christie’s et de vous arrêter devant un tableau. Puis de le contempler. Et vous quitterez vite Paris. L’œuvre exposée est de Francesco Guardi, le roi des vedutistes. Elle représente « Le Palais des Doges et la Piazzetta de Venise vus du Bacino de San Marco ». L’artiste est surtout connu pour ses nombreux « Caprices », inventions architecturales subtiles et délicates. Mais c’est également, comme Canaletto, Marieschi ou Bellotto un merveilleux peintre « urbain ». Il représente Venise avec une fluidité extraordinaire. Antonio Morassi, auteur du catalogue raisonné le plus complet des tableaux de l’artiste, évoque pour ce tableau sa « lumière incandescente teintée de rose, vert et bleu, dans un éventail extravagant de couleurs ». Les ombres projetées par les édifices indiquent que le tableau a été peint en fin de matinée. On y trouve cette impression légèrement brumeuse que laisse la lagune quand le soleil s’installe, le noir des gondoles contrastant avec l’eau encore laiteuse cédant la place à la toute puissance de l’astre solaire. La beauté éclatante mais si fragile de Venise est palpable. On soupire face à cette perfection qui mêle harmonieusement éléments naturels et constructions raffinées. L’agitation des quais et des embarcations rappelle cependant qu’il ne s’agit pas d’un rêve mais d’une ville bien réelle, habitée et grouillante de vie. Ce tableau merveilleux appartint au 5ème comte de Shaftesbury qui lors du traditionnel Grand Tour des jeunes aristocrates britanniques en fit l’acquisition. Puis il rejoint la collection du baron James-Edouard de Rothschild. C’est un chef d’œuvre de Guardi, une pièce exceptionnelle justifiant l’estimation de 9,5 à 12 millions d’euros. Et ce montant pourrait être largement dépassé car le tableau sera également montré à Moscou, Hong-Kong et New-York avant sa mise en vente à Londres début juillet. Alors n’hésitez pas : prenez le métro, embarquez sur une gondole, postez vous près de San Giorgio Maggiore et admirez le bassin de Saint-Marc. Christie’s, 9 avenue Matignon 75 008 Paris, exposition les 3 et 4 mars.
"Le voyage à Paris : les Américains à l'école de la France, 1830-1900" de David McCullough chez La librairie Vuibert (Paris) 0 contributions
Créé le 13/04/2014 à 17h40 -- Mis à jour le 13/04/2014 à 19h40
Comment construire une nation ? Aux yeux des Américains du XIXe siècle, la réponse à cette question se trouvait à Paris. À la recherche d'un modèle à suivre dans la construction des jeunes États-Unis, ils se tournèrent vers la France au point de faire du voyage à Paris un passage obligé pour les jeunes gens en quête de l'excellence. Tous en revinrent transformés. David McCullough se fait le chroniqueur des expériences, des efforts et des succès de ces artistes, écrivains, architectes, médecins, enseignants et hommes politiques. Paris fut leur laboratoire, leur bibliothèque, leur atelier. Samuel Morse y est arrivé comme peintre, il en repartira comme inventeur. Elizabeth Blackwell, étudiante en médecine, rentrera pour fonder la première école de médecine ouverte aux femmes du Nouveau Monde. Charles Sumner Holmes côtoie des étudiants noirs sur les bancs de la Sorbonne et sera à son retour l'un des plus fervents opposants à l'esclavage. Elihu Washburne, ambassadeur des États-Unis, laissera avec son journal un document unique sur le siège de 1870 et la Commune. Le Voyage à Paris donne à voir le moment où de jeunes Américains idéalistes et ambitieux ont afflué dans l'un des grands centres de la civilisation, à la recherche du savoir, de la renommée et de la fortune - changeant au passage l'histoire de l'Amérique. À travers ce brillant inventaire de ce que son pays doit à la France, David McCullough restitue magistralement une ville en perpétuelle effervescence qui était alors la capitale du monde.
Historien de premier plan, encore jamais traduit en français, David McCullough est l'auteur de nombreux ouvrages dont deux ont reçu le prix Pulitzer.
La revue de presse : Corine Lesnes - Le Monde du 10 avril 2014
Deux fois Prix Pulitzer, consulté par Barack Obama, l'historien américain signe " Le Voyage à Paris ". C'est le premier de ses livres à être publié en France - laquelle est pourtant un fil rouge dans son oeuvre... Le nouveau livre de David McCullough est consacré à la France et à l'attraction qu'elle exerce au XIXe siècle. Des milliers d'Américains - peintres, sculpteurs, architectes, médecins - entreprennent le voyage de Paris, alors que la jeune république des Etats-Unis a encore tout à apprendre du Vieux Continent. A dessein, l'historien a évité l'époque des gloires transatlantiques, dont le séjour en France a été souvent décrit, de Thomas Jefferson à Ernest Hemingway, pour se concentrer sur des personnages moins connus, comme Fenimore Cooper, l'auteur du Dernier des Mohicans (1826), voire pas du tout, comme ces générations d'étudiants en médecine venus étudier à la Sorbonne sous la direction des sommités mondiales que sont les docteurs Louis et Dupuytren... Entre 1830 et 1860, la France formera près de 700 jeunes Américains à la médecine, certains chargés par leur père, lui aussi médecin, de faire un rapport sur les techniques et les innovations. Malgré la barrière de la langue, aucun ne renonce.
Le grand hôtel Méridien, situé porte Maillot à Paris, va changer de mains. Selon nos informations, le fonds d'investissement Starwood Capital va le vendre 300 millions d'euros à un autre fonds américain, Mount Kellett. Le vendeur et l'acheteur sont tombés d'accord il y a quelques semaines. La cession, qui concerne les murs et le fonds de commerce de cet établissement 4 étoiles, devrait être signée d'ici à l'été.
Cette transaction n'est pas la plus importante pour un hôtel en France mais pas loin. Le record est détenu par l'hôtel Intercontinental (aujourd'hui Westin) rue de Castiglione à Paris, vendu 315 millions d'euros en 2005. En comparaison, le Crillon cédé en 2010 pour 250 millions à la famille royale d'Arabie saoudite ferait presque figure de parent pauvre.
Si le Méridien est vendu plus cher qu'un palace, c'est qu'il s'agit du plus gros hôtel en France (près de 1 020 chambres) et qu'il marche très bien: son taux de remplissage est de 80 %. Pour autant, cette opération aura mis du temps à aboutir. Starwood Capital avait mis en vente cet établissement à l'automne 2011. S'il n'a pas trouvé preneur plus vite, c'est que son propriétaire était trop gourmand. Initialement, il en demandait 350 millions.
Mal connu en France, Mount Kellett, qui a été fondé par des anciens de Goldman Sachs en 2008, n'en est pas à son coup d'essai dans l'hôtellerie hexagonale. En 2013, ce fonds, qui gère 7 milliards de dollars, a racheté à Accor pour 113 millions d'euros un hôtel Sofitel près de la place de la Concorde à Paris.
S'il accepte de débourser 300 millions pour mettre la main sur le Méridien porte Maillot, c'est que Mount Kellett est persuadé qu'il peut faire une très bonne affaire avec ce gros porteur. Aujourd'hui, cet hôtel est «opéré» par Starwood Hotels & Resorts, un groupe qui n'a rien à voir avec Starwood Capital. Mais le contrat de gestion qui lie le propriétaire de cet établissement à son exploitant arrivera à son terme dans quatre ou cinq ans.
Contrat plus avantageux
À ce moment-là, Mount Kellett pourra lancer un appel d'offres entre tous les grands exploitants hôteliers (Starwood Hotels, Hilton, Marriott, Accor…). Le fonds espère négocier un contrat de gestion plus avantageux et toucher un pourcentage du chiffre d'affaires réalisé par l'hôtel plus important qu'aujourd'hui. Ce pari n'est pas impossible, car les grands réseaux hôteliers sont prêts à faire des efforts pour élargir leur parc d'établissements à Paris, une ville où les taux de remplissage sont très élevés. L'établissement porte Maillot changera de nom si Starwood Hotels n'est pas retenu, car ce dernier est propriétaire de la marque Méridien qui compte 125 unités dans le monde.
Pour Starwood Capital, la vente de cet hôtel ne constitue pas une surprise. En rachetant le groupe Taittinger en 2005, le fonds avait notamment hérité d'un pôle hôtellerie de luxe, et d'une activité hôtellerie économique avec les chaînes Kyriad, Campanile et Première Classe. Depuis, il a décidé de développer l'activité hôtellerie économique et de revendre tous ses hôtels haut de gamme. En 2012, il a notamment cédé pour plus de 700 millions d'euros quatre grands hôtels (le Martinez à Cannes, le Palais de la Méditerranée à Nice, l'hôtel du Louvre et le Concorde Lafayette à Paris). Deux ans plus tôt, c'est aussi Starwood qui s'était séparé du Crillon et du Lutetia.
Henri Le Secq : "Paris, neige au Champ-de-Mars", vers 1853. | Les Art decoratifs/Paris
Mais à quoi donc pensait Gustave Le Gray lorsqu'il a photographié, vers 1851, un vulgaire râteau tombé au fond d'un jardin, devant un mur au crépi douteux ?
Difficile de trouver un sujet plus banal ou un décor moins palpitant. L'auteur est pourtant celui qui a signé les célèbres "Marines", ces icônes qui battent régulièrement les records dans les salles de vente. Et le photographe phare du XIXe siècle tenait visiblement à cette image, épreuve unique qu'il a tirée avec soin. Si l'on en croit l'exposition "Modernisme ou modernité, les photographes du cercle Gustave le Gray" présentée au Petit Palais, c'est justement ce refus du grandiose et du pittoresque qui fait de Gustave le Gray, et de tous ceux qu'il a formés, des précurseurs de la modernité.
Au Petit Palais, la démonstration est menée tambour battant, en 157 tirages rares ou inédits, et fait mouche. Peu s'étaient intéressés jusqu'ici à l'atelier de Gustave Le Gray. Les commissaires ont été capables d'identifier une "bande de joyeux drilles", c'est-à-dire une cinquantaine de photographes qui ont suivi, plus ou moins longtemps, les leçons du maître dans sa grande maison de la barrière de Clichy. Certains sont connus, comme Charles Nègre, Henri Le Secq, d'autres beaucoup moins.
Artiste visionnaire et chimiste de génie, Gustave Le Gray va enseigner les dernières techniques à ses élèves, mais aussi jeter les bases d'un courant esthétique. "Dans les années 1850 à 1860, ces gens ont inventé un nouveau langage visuel, qui annonce la Nouvelle Vision des années 1920", résume Marc Pagneux.
L'affirmation est assez radicale. Jusqu'ici, on pensait que le premier mouvement artistique, en photographie, était le pictorialisme : à la fin du XIXe siècle, certains, comme Robert Demachy, avaient cru pouvoir élever la photographie en imitant la peinture. Mais c'est exactement le contraire que font les élèves de Le Gray : le choix de sujets triviaux, l'intérêt pour les lignes géométriques, l'importance du vide, le jeu sur les différents plans et le brouillage de l'échelle les éloignent au contraire des références picturales antérieures.
LE FRÈRE DE NADAR RÉHABILITÉ
La preuve est ici en images. Quand Auguste Salzmann photographie l'enceinte du temple de Jérusalem, au lieu de centrer sur son sujet, il crée une image minimaliste en plaçant la pelouse dans l'avant-plan, coupant sa composition dans le sens de la longueur. Quand Firmin-Eugène Le Dien photographie l'aqueduc de Salerne en 1853, il empile trois plans dans le même cadre, au point que le regard s'y perd. Olympe Aguado, lui, n'hésite pas à photographier ses sujets de dos, délaissant son motif principal pour se concentrer sur les matières des vêtements.
Autant de "leçons" de modernité qu'ils ont apprises du maître : ce dernier ouvre l'exposition avec huit icônes remarquables, où il n'hésite pas à frôler l'abstraction ou à photographier une scène de bataille où on ne voit rien.
Le parcours, organisé par thèmes - le sujet, le tirage, le photographique -, sans souci chronologique, force d'abord à regarder ces oeuvres pour leur composition, ce qui est stimulant pour des oeuvres historiques. Mais l'ensemble est aussi un plaisir pour les yeux : les tirages sont splendides, car le perfectionniste Le Gray avait une réputation de "gâcheur" de matériel et a transmis à ses élèves son goût pour les tirages de grand format, aux détails soignés. Seule la partie qui veut faire des photographes des précurseurs du travail en série s'avère moins convaincante - peut-être faute de montrer assez d'exemples.
La fin de l'exposition consacre quelques belles salles à plusieurs auteurs du cercle de Le Gray que les dernières recherches ont mis en lumière. Ainsi Alphonse Delaunay, récemment découvert lors d'une vente aux enchères. Ou John Beasley Greene, mort à vingt-quatre ans, qui semble plus intéressé par les ombres que par les monuments qu'il photographie. Henri Le Secq signe des paysages dépouillés absolument saisissants.
Mais la plus grande surprise vient d'Adrien Tournachon : la postérité a fait du frère de Nadar, le célèbre portraitiste, un photographe commercial et un rejeton maudit. Les deux commissaires, preuves à l'appui, lui réattribuent ici nombre d'icônes. Les expériences de Duchenne de Boulogne, et même le célèbre portrait de Nerval pris juste avant sa mort, seraient de lui. "Nous avons retrouvé les traces d'un procès dans lequel Adrien attaque un journal qui l'a publié sans lui verser des droits", explique Marc Pagneux. Il était temps de rendre à Tournachon ce qui était à Nadar.
Charles Nègre "Le sculpteur Auguste Préault devant le 21 quai Bourbon", Paris vers 1856. | Collection particulière
Modernisme ou modernité : les photographes du cercle de Gustave Le Gray (1850-1860). Petit Palais. Avenue Winston-Churchill - 75008 Paris. Tél. : 01-53-43-40-00 Jusqu'au 6 janvier 2013. Du mardi au dimanche de 10 heures à 18 heures, le jeudi jusqu'à 20 heures. 6 €. Catalogue éd. Actes Sud, 408 p., 69 euros.
Venise se révèle une source d'inspiration inépuisable pour les écrivains et poètes du monde entier. Cette anthologie qui puise dans la littérature et la poésie du xviie siècle à nos jours met en valeur l'insatiable fascination exercée par cette ville la nuit, car Venise revêt alors une atmosphère énigmatique et mystérieuse. Sans prétendre à l'exhaustivité, cette anthologie suggère l'incroyable force d'inspiration de la cité sur les artistes. Des auteurs incontournables s'en sont nourri : George Sand, Gabriele D'Annunzio, Henri de Régnier, Casanova, Thomas Mann ou Marcel Proust, entre autres. D'autres, plus méconnus ou moins lus de nos jours, viennent ponctuer de leurs visions ou de leur analyse sensible ce parcours.
Venise n'est-elle pas restée le « sublime labyrinthe » au cœur duquel on aime à s'égarer ? Tout être féru d'art et de beauté où l'étrangeté n'est pas absente, ne reste jamais indemne d'une plongée au cœur des nuits de Venise.
Camille Pissarro, l’aîné des impressionnistes, aux convictions anarchistes inaltérables, consacre son art au paysage rural ou citadin et aux sujets rustiques qu’il puise dans son environnement du Vexin. L'exposition aborde la période la moins étudiée et la plus complexe de la carrière de l'artiste : les tableaux, dessins et gravures créés à Éragny pendant une période de presque vingt années. En 1884, Camille Pissarro s’installe avec sa famille dans ce village de l’Oise où il vivra au rythme de sa ferme et de la poésie des champs, recevant ses amis artistes, Monet, Cézanne, Van Gogh ou Gauguin. Il y poursuit sa peinture de la vie rurale française et découvre les idéaux anarchistes de la fin du XIXe siècle. Beaux Arts éditions revient sur les dernières années, à la fois bucoliques et engagées, de celui qui est considéré comme l’un des pères de l’impressionnisme.
Exposition au musée du Luxembourg du 16 mars au 9 juillet 2017
Informations sur le livre: 68 pages - 22 x 28,5 cm EAN : 9791020403407 Reliure : Broché
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/24/02/2014/LesEchos/21633-078-ECH_la-fiac-s-exporte-a-los-angeles-et-se-decline-aux-docks-a-paris.htm#Pf5D1HkewWGyt4vk.99
Voilà des mois que la foire d'art contemporain parisienne cherchait à essaimer à l'étranger, à l'instar d'Art Basel déclinée à Miami et à Hong Kong. Fort de son expérience avec Paris Photo exportée à Los Angeles, l'organisateur de la foire, le groupe Reed, implantera aussi la Fiac à L.A. en avril 2015. A Paris, la Fiac se donne également un nouveau challenge et lance sa propre foire off du 22 au 26 octobre 2014 aux Docks, Cité de la Mode et du Design. Baptisée « (Off) Icielle », elle accueillera une soixantaine de galeries d'art contemporain et de la création émergente.
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/24/02/2014/LesEchos/21633-078-ECH_la-fiac-s-exporte-a-los-angeles-et-se-decline-aux-docks-a-paris.htm#Pf5D1HkewWGyt4vk.99