Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : yves brayer

  • La Chapelle des Pénitents aux Baux-de-Provence(photos perso)

    arles 18 mai 2012 084.jpgarles 18 mai 2012 085.jpgarles 18 mai 2012 087.jpgarles 18 mai 2012 089.jpgarles 18 mai 2012 091.jpg

    Sur la place de l'église des Baux-de-Provence, en bordure de la falaise dominant le vallon de la Fontaine, la Chapelle fut construite au milieu du XVIIe par la Confrérie des Pénitents Blancs. Elle est relevée de ses ruines en 1937 par cette maintenance des Confréries de Langue d'Oc. Elle est dédiée à Estelle, Sainte, chargée de veiller sur le souvenir des anciens pénitents des Baux.

    La porte d'entrée monumentale ornée de pierres en bossage est surmontée d'un bas-relief  représentant deux pénitents agenouillés avec une inscription martelée : « In nomine Jesu omne genus flectatur » (Au nom de Jesus tout genou doit se plier).

    L'intérieur de la chapelle, autrefois voûtée en croisée d'ogives, est décoré de fresques d'Yves Brayer (1974) représentant le Noël des Bergers dans la tradition provençale.

     

    http://www.lesbauxdeprovence.com/les-baux-de-provence/culture-et-patrimoine/la-chapelle-des-penitents-blancs.html

  • J'ai lu et aimé hier soir:Le ciel comme atelier : Yves Klein et ses contemporains / sous la direction d'Emma Lavigne(mé

    Couverture du catalogue Le Ciel comme atelier. Yves Klein et ses contemporains

    sous la direction d'Emma Lavigne

    Edité par Centre Pompidou. Metz , 2020

    L’exposition s’accompagne d’un catalogue richement illustré qui inscrit l’oeuvre d’Yves Klein dans son contexte historique et met en perspective les sources d’inspiration et la perméabilité entre ses recherches et celles de contemporains allemands, italiens et japonais. Des essais inédits d’historiens de l’art développent les principales thématiques de l’exposition. Emma Lavigne, présidente du Palais de Tokyo et commissaire de l’exposition, explore la quête de sensibilité immatérielle qui traverse la dimension performative de l’oeuvre d’Yves Klein et tout particulièrement son Journal d’un Jour. Luca Massimo Barbero, directeur de l’Institut d’histoire de l’art de la Fondation Giorgio Cini et commissaire associé à la collection Peggy Guggenheim, de Venise, étudie le rôle central de Lucio Fontana dans l’approche de l’espace chez les artistes de cette époque. Yuko Hasegawa, directrice artistique du musée d’Art contemporain de Tokyo (MOT), aborde les relations entre Yves Klein et l’esthétique des avant-gardes japonaises autour de la notion du vide. Antje Kramer-Mallordy, maître de conférences à l’université Rennes 2, analyse le rôle fédérateur des expositions dans la collaboration entre Yves Klein et le mouvement ZERO. Frédéric Migayrou, directeur adjoint du Musée national d’art moderne en charge de la création industrielle, interroge l’emblématique Architecture de l’air d’Yves Klein, projet d’une conquête de l’espace par la sensibilité, au regard des utopies architecturales de l’après-guerre.Parmi les auteurs qui apportent leur expertise à cet ouvrage en analysant les croisements spécifiques des oeuvres d’Yves Klein et de certains de ses pairs, on retrouve notamment Valérie Da Costa, Hélène Guenin, Noémi Joly, Giovanni Lista, Florence de Mèredieu, Aomi Okabe, Sophia Sotke ou Dominique Stella.

    http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/461674/le-ciel-comme-atelier-yves-klein-et-ses-contemporains-sous-la-direction-d-emma-lavigne

    Yves Klein devant son relief-éponge au Neues Stadttheater de Gelsenkirchen

    Du 18 juillet 2020 au 1er février 2021. Prolongation jusqu'au 15 mars 2021

    Lieu(x) : Grande Nef
    Catégorie : Expositions
    Public : Tout âge

    Le Centre Pompidou-Metz présente à partir du 18 juillet 2020 une exposition consacrée à Yves Klein (1928-1962), figure majeure de la scène artistique française et européenne d’après-guerre. « Le ciel comme atelier » dévoile les affinités esthétiques qu’il développa, au-delà de la mouvance des Nouveaux Réalistes, avec une constellation d’artistes, de Gutai au Japon aux spatialistes en Italie, de ZERO en Allemagne au groupe Nul aux Pays-Bas. « Peintre de l’espace », Yves Klein projeta avec eux l’art dans une nouvelle odyssée. Le ciel, l’air, le vide et le cosmos figurent alors l’atelier immatériel propice à réinventer l’art et le rapport de l’homme au monde après la tabula rasa de la guerre. Dès 1946, Yves Klein signe de son nom l’envers du ciel s’appropriant cet espace infini comme l’une de ses toiles, tandis que les spatialistes autour de Lucio Fontana s’aventurent à faire « apparaître dans le ciel des formes artificielles, des arcs-en-ciel merveilleux ». Piero Manzoni s’engage dans la quête d’un espace sans limites au sein duquel « la matière devient une énergie pure » qui répond à la recherche de sensibilité picturale immatérielle de Klein et à celle d’Otto Piene qui envisage l’art comme le médium sensoriel et régénérateur permettant de reconnecter l’homme à l’univers.

    Les nouvelles stratégies plastiques développées visent à dépasser la matérialité de l’oeuvre d’art, vue comme un obstacle à la liberté, et s’aventurent dans l’expérience de la monochromie, du vide et de la lumière, en des gestes où l’oeuvre est, à l’image des toiles lacérées ou trouées de Lucio Fontana, ouvertes à l’infini. Cette aspiration cosmogonique est partagée par ces artistes qui dans la lignée de Klein allient l’eau et le feu, la terre et l’air. Les oeuvres de lumière de Günther Uecker, Otto Piene, Heinz Mack qui évoquent des galaxies en formation rendent latentes leurs angoisses face à la menace d’une guerre nucléaire. Le corps se fait le sismographe de cette conscience aiguë que l’homme doit trouver des échappatoires à la terre blessée, s’en échapper ou la re-fertiliser comme les danses reptiles dans la boue de Kazuo Shiraga, qui comme les Anthropométries de Klein, font du corps le médium même de la peinture.

    Dans le contexte de la conquête spatiale, la dimension poétique du cosmos se trouve mise à l’épreuve et Klein affirme : « Ce ne sera pas avec des rockets, des spoutniks ou des fusées, que l’homme réalisera la conquête de l’espace car, ainsi, il resterait toujours un touriste de cet espace ; mais c’est en l’habitant en sensibilité. » Il explore avec Claude Parent l’utopie d’une architecture de l’air qui fait de l’énergie et de l’air les principaux matériaux de construction en dialogue avec d’autres projets expérimentaux tels que la New Babylon de Constant, la Ville hydro-spatiale de Gyula Kosice, le théâtre pneumatique de Manzoni destiné à accueillir les « ballets de lumière » de Piene, qui font de l’oeuvre d’art l’espace illimité où le corps peut se projeter. Dans le sillage de Klein qui envisage combien « l’homme libre l’est à tel point qu’il peut même léviter! », cette génération d’artistes partage un nouvel idéalisme libertaire. Ils font du ciel le bouclier immatériel et spirituel face à la course à l’armement nucléaire et à la prolifération de ses soleils artificiels.

    Artistes présents ou exposés :
    Bernard Aubertin, Claude Bellegarde, Alberto Burri, Enrico Castellani, Constant, Dadamaino, Lucio Fontana, Hans Haacke, Hiroshi Hamaya, Oskar Holweck, Eikoh Hosoe, Fumio Kamei, Akira Kanayama, Kikuji Kawada, Yves Klein, Gyula Kosice, Yayoi Kusama, Liliane Ljin, Heinz Mack, Piero Manzoni, Sadamasa Motonaga, Saburo Murakami, Henk Peeters, Otto Piene, Giuseppe Pinot-Gallizio, Roberto Rossellini, Rotraut, Shozo Shimamoto, Fujiko Shiraga, Kazuo Shiraga, Takis, Jean Tinguely, Günther Uecker, Jef Verheyen, Lothar Wolleh, Gil J. Wolman.

    Commissaire : Emma Lavigne, Présidente du Palais de Tokyo, en collaboration avec Daniel Moquay, directeur des Archives Yves Klein
    Chargées de recherche et d’exposition : Colette Angeli et Chloé Chambelland

    https://www.centrepompidou-metz.fr/le-ciel-comme-atelier-yves-klein-et-ses-contemporains

  • Art moderne

    Bernard Buffet (1928-1999)
    Bernard Buffet (1928-1999)
    Nature morte sur fond rouge, 1993
    Huile sur panneau d’Isorel
    33 x 46 cm
    Estimation : 18 000-25 000 €

    Dans le cadre de sa cession estivale de vente d’Art moderne, Artcurial | Briest - Poulain - F. Tajan présentera le 6 juillet prochain aux enchères, près de 340 œuvres couvrant les années historiques du 20e siècle : une sélection de qualité où une fois de plus le Surréalisme et ses affinités occuperont le devant de la scène.

    De ce mouvement majeur du 20e siècle, on remarque en particulier une œuvre historique du peintre Pierre Roy dont on retrouve dans une magistrale nature morte Le Chou-fleur  de 1931, toute la science naturaliste et l’esprit teinté de « Mystère onirique » de ce descendant de Jules Vernes. Cette œuvre qui compte parmi les plus importantes de l’artiste, a figuré dans toutes les expositions significatives de Roy depuis 1933 et a été publiée à de nombreuses reprises dans les ouvrages consacrés au surréalisme. Autour, de rares témoignages de Picabia, Brauner, Masson, Cocteau, Bucaille, Seligman, Kay Sage, Marcel Jean, Raymond Queneau et Salvador Dali, viendront illustrer le caractère médiumnique du Surréalisme et du Réalisme magique. Enfin deux toiles importantes d’Yves Laloy complètent sur un ton presque Dadaïste cet ensemble, Saturne pas rond, 1949.

     

    Pierre Roy
    Pierre Roy (1880-1950)
    Le chou fleur, 1931
    Huile sur toile
    60 x 73 cm
    Estimation : 70 000-80 000 €

    Parmi les artistes de l’Avant-garde historique qui sont représentés au cours de cette vente, citons Albert Gleizes avec une importante Composition, huile sur toile de 1936, très caractéristique de la conception ornementale du Cubisme par l’un de ses principaux théoriciens. Cubisme ornemental également chez Serge Charchoune avec deux œuvres « Puristes » de 1927 ainsi que chez André Lhote avec huit gouaches, aquarelles et toiles dont une remarquable évocation d’un bar parisien, Cocktail Bar à l’époque des années folles. Sonia Delaunay, Fernand Leger, Survage, Ferat, comptent parmi les artistes sélectionnés dans cet ensemble.

    Plus proche de nous, deux compositions de Bernard Buffet des années 1991, Nature morte sur fond rouge et Barques et tentes sont entourées d’œuvres par Carzou, Brayer, Pignon ou l’italien Guttuso qui viendront clôturer cette vente de l’après-midi.

     

     

     

     

     

    Albert Gleizes
    Albert Gleizes (1881-1953)
    Composition, 1936
    Huile sur toile
    104 x 80 cm
    Estimation : 60 000-80 000 €

    Auparavant, lors de la session du matin, un choix d’œuvres sur papier et de tableaux du début du 20e siècle aux années de l’entre-deux guerres, illustreront les recherches postimpressionnistes et figuratives alors propres à l’Ecole française de la première moitié du siècle : des feuilles d’études signées de Boldini, Vuillard, Villon et de Roussel, précéderont une huile de Forain, Au claque, aux accents à la Degas ; une Main gauche par Rodin s’élève au coté d’une Jeune faunesse de 1906 par Joseph Bernard et d’un Masque de Pallas par Bourdelle ; les œuvres de Louis Anquetin et d’Emile Bernard annoncent celles de de Vlaminck, Friesz et Derain. Enfin, un ensemble de tableaux de l’Ecole de Paris 1905-1939 clôturera ce chapitre avec notamment des portraits, paysages et natures-mortes par Isaac Dobrinsky, Henri Hayden, Henri Epstein, Pascin et Kikoïne.

    http://www.artcurial.com/fr/actualite/cp/2010/2010_07_06_1805_art-moderne.asp

  • J'aurais aimé voir au Musée Marmottan

    Raoul et Jean Dufy
    Complicité et rupture

    14 avril — 26 juin 2011

    Le musée Marmottan Monet organise pour la première fois en France une exposition consacrée à Raoul (1877-1953) et Jean (1888-1964) Dufy.
    Si l’on connaît bien l’oeuvre de Raoul, celle de son frère Jean, peintre lui aussi, l’est moins. Cadet de 11 ans, Jean se forme à la peinture entre 1906 et 1914, encouragé par son frère qui participe alors aux aventures fauve et cubiste. À partir de 1920, date de ses premières peintures, Jean produit une oeuvre riche et partage avec Raoul des préoccupations artistiques communes.
    Les frères sont proches et entretiennent une correspondance régulière. Raoul et Jean développent des parcours parallèles et collaborent peu, à l’exception notable de La Fée électricité qui est aussi l’objet de leur rupture en 1937. Chacun d’eux crée une oeuvre abondante (environ 2500 pièces), structurée en séries, traitant de thèmes plaisants, rendus par un sens de la couleur auquel on les identifie l’un et l’autre.

    Regroupant une centaine de peintures, d’aquarelles et de céramiques provenant de musées et de collections particulières du monde entier, l’exposition cherche à mettre en évidence les liens qui unissent l’oeuvre de Jean à celle de Raoul comme ce qui les singularise l’une de l’autre. Esquissant en préambule les périodes fauve et cubiste de Raoul, le parcours présente ensuite des grands thèmes communs aux deux frères et propose de comparer leur peinture : mer, fenêtres ouvertes et ateliers constituent la première partie du parcours ; puis les thèmes se singularisentà travers deux sections parallèles : à la palette chaude et à la touche vibrante des cirques peints par Jean répond la musique évoquée par Raoul ; aux courses et paddocks de Raoul font ensuite face les allées cavalières de Jean ;
    enfin, les tableaux ayant pour thème Paris et Nice sont consacrés aux oeuvres tardives des deux frères et soulignent une évolution commune vers un style graphique initié par Raoul et subtilement revisité par Jean.
    Cette exposition s’inscrit dans le champ des études dédiées à la filiation dans l’art et des manifestations qui lui sont consacrées depuis dix ans. Elle propose une lecture croisée de l’oeuvre des deux frères et permet de mieux situer la peinture de Jean Dufy.

    Commissariat
    Marianne Mathieu, historienne de l’art
    Charles Sala, professeur honoraire à l’université de Paris X
    Jacques Bailly, auteur du Catalogue raisonné de l’oeuvre de Jean Dufy

    MONET : SON MUSEE
    7 octobre 2010 - 20 février 2011
    Pour la première fois, le musée présente l'intégralité de sa collection Monet, la plus riche au monde.

    2010
    MONET ET L'ABSTRACTION
    17 juin - 26 septembre 2010
    7 œuvres pour présenter l'influence de Monet sur l'évolution de la peinture abstraite de la seconde moitié du XXème siècle.

    FEMMES PEINTRES ET SALONS AU TEMPS DE PROUST
    De Madeleine Lemaire à Berthe Morisot
    15 avril - 6 juin 2010
    Une exposition inédite autour des Salons littéraires et musicaux et des femmes peintres de la fin du XIXème siècle.

     


    2009
    LUCIEN CLERGUE - YANN ARTHUS-BERTRAND
    Deux photographes académiciens à Marmottan
    28 mai - 20 septembre 2009

    2008
    VOYAGE à GIVERNY
    De Claude Monet à Joan Mitchell.
    Du 21 février - 11 mai 2008
    Depuis sa découverte par Claude Monet en 1883, la maison de Giverny et le jardin féerique que l’artiste citait comme « son plus beau chef d’œuvre » fascine tout autant le promeneur qu’un grand nombre d’artistes. « …deux mondes, celui des fleurs et celui de l’eau », motif toujours renouvelé qui subjugua Monet pendant plus de trente ans et depuis les peintres des nouvelles générations.

    PREMIER ETE CONTEMPORAIN
    Du 28 mai - 28 septembre 2008
    Les oeuvres de Claude Abeille, Albert Féraud, Jean-Marie Granier, Antoine Poncet, Chu Teh Chun dialoguent naturellement à proximité de celles de Claude Monet dasn les salles qui s'enorgueillissent de conserver le fleuron emblématique de l'Impressionnisme...

    MONET, L'OEIL IMPRESSIONNISTE

    2007
    Al'APOGEE DE l'IMPRESSIONNISME, La Collection Georges de Bellio
    10 octobre 2007 - 3 février 2008
    Monet, Pissarro, Sisley, Geffroy, Mallarmé, Mirbeau… Chacun vient s’étourdir devant cette remarquable collection. Quelques tableaux seront dispersés, mais en grande partie elle sera conservée par sa fille Victorine Donop de Monchy et léguée en 1957 à l’Académie des Beaux-Arts pour le Musée Marmottan.
    du 16 octobre 2008 au 15 février 2009

    2006

    LES ESTAMPES JAPONAISES DE CLAUDE MONET
    15 novembre 2006 - 4 mars 2007
    Commencée en 1871, la collection rassemble près de 200 pièces de l'ère Meiwa à l'ère Meji. Des visages de Kitagawa Utamaro aux célèbres paysages d'Utagawa Hiroshige, elles forment un ensemble unique que le maître de Giverny créa avec passion...

    2005
    CAMILLE CLAUDEL
    5 octobre - 31 mars 2006
    Dès l’enfance, Camille pétrit la terre et ses premières figurines datent de son adolescence. Conseillée par le sculpteur Alfred Boucher, elle entre dans l’atelier du «grand Monsieur Rodin» à l’âge de 20 ans.

    PAUL GUIGOU
    15 mars - 26 juin 2005
    "Je considère Guigou comme le plus grand peintre de la Provence... Il n'occupe pas dans le monde des arts, la place à laquelle il a droit. Mais cela viendra."
    Mistral Maillanne, 1910 - catalogue de l'expostion, musée du Luxembourg, Paris 1927

    2004
    JEAN PUY
    automne
    "Réalité, poesie et peinture ne sont pas des vocables qui s'opposent et Jea=n Puy en est une éclatente démonstration."
    Paul Gay, Jean Puy, éditions Braun, 1945

    LA PHOTOGRAPHIE DANS LES COLLECTIONS DE L’INSTITUT DE FRANCE.
    30 mars - 27 juin.
    Avec le soutien de la banque Neuflize Schlumberger Mallet Demachy, France Info, la Fondation Search, ABN –AMRO.

    2003 - 2004
    FRÉDÉRIC BAZILLE.
    Octobre - Janvier 2004.

    2001 - 2002
    LES ENLUMINURES DE LA COLLECTION WILDENSTEIN. NOUVELLE PRÉSENTATION.
    Novembre à janvier.
    avec le soutien du Wildenstein Institute.

    2001
    UNE COLLECTION D’AQUARELLES ET DE DESSINS DE PAUL SIGNAC. ARKANSAS ARTS CENTER DE LITTLE ROCK. DON JAMES T. DIKE.
    Février – mai 2001

    2000
    PROMENADE. LES CHEFS D’ŒUVRE DE MONET DU MUSÉE MARMOTTAN.
    Avril – décembre 2000.
    Avec le soutien du Club Pommery et de Paris Match.

     

    1999 - 2000
    JEAN-FRANÇOIS RAFFAËLLI.
    Octobre 1999 - janvier 2000

    1997 - 1998
    FONDATION DENIS ET ANNIE ROUART. INAUGURATION.
    Septembre à juin.
    Avec le soutien du Club Pommery.

    1995 - 1996
    DE LE BRUN À VUILLARD. DE L’ACADÉMIE ROYALE À L’ACADÉMIE DES BEAUX-ARTS.
    13 octobre - 7 janvier.

    1994 -1995
    CHEFS D’ŒUVRE DE LA PEINTURE AUTRICHIENNE. PALAIS DU BELVÉDÈRE.
    28 octobre - 29 janvier.
    Avec le soutien du Club Pommery.

    1994
    LA NOUVELLE VAGUE. L’ESTAMPE JAPONAISE DE 1868 À 1939 DANS LA COLLECTION ROBERT O. MULLER.
    1 juin - 2 octobre.

    1993
    LES FEMMES IMPRESSIONNISTES. MARY CASSATT, EVA GONZALES, BERTHE MORISOT.
    13 octobre au 31 décembre.

    HOMMAGE À YVES BRAYER.
    5 mai - 4 juillet

    1992
    ARTISTES ET THÉÂTRES D’AVANT-GARDE.
    Janvier et février.

    1991 - 1992
    GIOVANNI BOLDINI.
    9 octobre - 5 janvier

    1990 - 1991
    GOYA, L’ŒUVRE GRAVÉ.
    11 octobre - 6 janvier

    1990
    JULES ET PAUL MARMOTTAN COLLECTIONNEURS.

    1989 - 1990
    DAUMIER, LITHOGRAPHE ET SCULPTEUR.
    7 novembre - 4 février.

    1989
    HENRI LE SIDANER.
    2 mai - 16 juillet.

    1988 – 1989
    HENRI MANGUIN.
    19 octobre au 8 janvier.

    1987
    LA DONATION DUHEM. INAUGURATION

    1986
    LES FLACONS DE LA SÉDUCTION.
    22 octobre - 21 décembre.

    1986
    LA COLLECTION BENTICK-THYSSEN. DE BRUEGHEL À GUARDI.
    21 octobre - 28 décembre.

    1986
    LA COLLECTION DU READER’S DIGEST.
    8 avril - 11 mai.
    Avec le soutien du Reader’s Digest.

    1985 - 1986
    ANDRES DE SANTA MARIA.
    20 novembre - 19 janvier

    1985
    DUNOYER DE SEGONZAC.
    26 mars - 2 juin.

    1984
    LOUIS BOILLY.
    3 mai - 30 juin.

    1983
    MAXIMILIEN LUCE.
    24 février - 30 avril.

    1981
    GAUGUIN ET LES CHEFS D’ŒUVRES DE L’ORDRUPGAARD DE COPENHAGUE
    Octobre à novembre.

    1980
    LA COLLECTION WILDENSTEIN. INAUGURATION

    1980
    MONET ET LE JAPON
    23 octobre - 23 novembre

    1980
    DEGAS, LA FAMILLE BELLELLI – VARIATIONS AUTOUR D’UN CHEF D’ŒUVRE.
    6 février - 20 avril

    1979
    CHEFS D’ŒUVRES IMPRESSIONNISTES DU MUSÉE NATIONAL DU PAYS DE GALLES
    mai à juin.

    1979
    MUSÉE DE L’OR DE BOGOTA

    1978
    JEAN-LOUIS FORAIN
    mai à juin

    1976
    CHEFS D’ŒUVRES DES MUSÉES DES ETATS-UNIS
    13 octobre - 5 décembre

    1975 -1976
    TOULOUSE-LAUTREC. CHEFS D’ŒUVRES DU MUSÉE D’ALBI
    17 décembre - 10 avril

    1975
    GIORGIO DE CHIRICO
    12 juin - 31 octobre

    1971
    LEGS MICHEL MONET. UNE CENTAINE D’ŒUVRES DE CLAUDE MONET ET SES AMIS

    http://www.marmottan.com/francais/expositions/expositions-passees.asp#item3

  • Le musée Jean Couty(que nous avons visité plusieurs fois) vous présente sa nouvelle exposition DE MATISSE À CHAGALL

    visuel exposition muse_e jean couty (1).jpg

    Une exposition qui réunit plus d'une quarantaine d’artistes ayant participé de 1951 à 1982 au Salon des peintres témoins de leur temps, un des plus grands salons parisiens, dont Jean Couty fut le lauréat en 1975.

    À travers une sélection d’une centaine de tableaux, aquarelles, pastels, dessins, affiches et lithographies venez découvrir les maîtres de la peinture moderne comme Buffet, Braque, Chagall, Cocteau, Dufy, Léger, Matisse, Picasso, Rouault, Van Dongen, mais aussi d'autres grands artistes comme Brayer, Couty, Cottavoz, Fusaro, Jansem et bien d’autres…

     

    Toute l’équipe du musée Jean Couty vous souhaite un bel été.

    Au plaisir de vous accueillir prochainement au musée.

    Musée Jean Couty

    1, place Henri Barbusse 69009 Lyon

    Tél : 04 72 42 20 00

     www.museejeancouty.fr

    Horaires d’ouverture : du mercredi au dimanche de 11h à 18h 

    Tarifs :  Plein tarif : 6 € Tarif réduit : 4 € 

    Gratuit pour les - de 12 ans 

    Visites guidées : sur réservation pour les groupes de 10 à 30 personnes

     Suivez le musée sur Facebook et Instagram

    Nous y avons vu l'exposition inaugurale:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2010/04/29/j-ai-aime-hier-jean-couty.html

    IMG_1959.JPG

  • De Matisse à Chagall. Les peintres témoins de leurs temps. La saga d’un salon d’art moderne, 1951-1982 au musée Jean Cou

    De Matisse à Chagall. Les peintres témoins de leurs temps. La saga d’un salon d’art moderne, 1951-1982La presse artistique  comme tout ce que j'aime inspireNT ce que j'écris à acheter ici

    PAYSAGES CHEZ LAMARTINE , DE BOHEMIENS

     

    Vous pouvez partager un article en cliquant sur les icônes de partage présentes sur celui-ci. La reproduction totale ou partielle d’un article publié sur BeauxArts.com, sans l’autorisation écrite et préalable de Beaux Arts & Cie, est strictement interdite. Pour plus d’informations, consultez nos mentions légales.

    L’exposition sera le reflet du salon qui, de 1951 à 1982, s’est tenu au musée d’Art Moderne puis au musée Galliera, à Paris. Ce salon avait ceci de particulier que chaque année les artistes invités devaient proposer des œuvres illustrant un thème en rapport avec l’homme et son environnement. Le bonheur, le travail, l’amour… Seront donc rassemblées au Musée Jean Couty une centaine d’œuvres ayant marqué les trente années d’un salon qui fût le plus visité de Paris, à travers peintures, dessins, affiches, lithographies… L’occasion de découvrir des œuvres inédites ou rarement exposées. Braque, Matisse et Picasso, bien sûr, mais aussi Jean Couty lui-même, Mentor, Brayer, Ambrogiani et tant d’autres.
    Beaux Arts Éditions témoigne et commente cette période exceptionnellement riche en chefs-d’œuvre, mais surtout en expression de courants novateurs à l’aide de documents d’archives passionnants dans cette publication tenant lieu de catalogue.

    Expositions au musée Jean Couty,
    du 26 mai 2023 au 28 janvier 2024

    À paraître le 24 mai 2023 - Broché - 22 × 28.5 cm - EAN : 9791020408228

    https://www.beauxarts.com/produit/de-matisse-a-chagall-les-peintres-temoins-de-leurs-temps-la-saga-dun-salon-dart-moderne-1951-1982/

  • Sport du 24 février 2021

    tram

    médiathèque de la cité du design

    médiathèque municipale

    Yves Rocher

    tram

    bus

    pétrole et courses alimentaires

    5,27 km

    + gym à la maison

  • Le cygne » et les signes

     Le Siècle de Baudelaire, d'Yves Bonnefoy : « Le cygne » et les signes(extrait pour vous, moi je l'ai sur papier en entier)
     
    Le dernier Baudelaire - 01/10/2014 par Odile Bombarde dans Mensuel n°548 à la page 92 (530 mots) |

    La lecture du texte baudelairien est l'occasion, pour Yves Bonnefoy, de méditer - dans un livre à paraître à « La Librairie du XXIe siècle » - sur l'usage de l'allégorie *.

    Yves Bonnefoy déclarait dans son premier texte sur Baudelaire : « Il a gagné par une vie exemplaire le droit d'être interrogé sans répit. » Bonnefoy a véritablement honoré ce droit en lui consacrant une vingtaine d'essais. Le tout dernier, Le Siècle de Baudelaire, paraît le 23 octobre au Seuil : nous en publions en avant-première un extrait dans les pages suivantes. La lecture de Baudelaire par Bonnefoy apparaît inépuisable, toujours renouvelée, avec pourtant l'unique et forte ligne de crête de la condition poétique moderne, inaugurée par l'auteur des Fleurs du Mal [...]

    http://www.magazine-litteraire.com/mensuel/548/siecle-baudelaire-yves-bonnefoy-cygne-signes-01-10-2014-127696

  • Bouygues fait ses premiers pas aux États-Unis




          

    Pour Bouygues aussi, la satisfaction[...]Marc Adler, directeur général adjoint de Bouygues travaux publics[...]Bouygues et Meridiam, un spécialiste de l'investissement en infrastructures[...]Autre source de revenus pour Bouygues[...]Yves Gabriel, PDG de Bouygues Construction[...]Un contrat de 500 millions d'euros réalisé pour le ...

  • J'ai parcouru:Po&sie n°121

    1770231940.jpgCollection : PoésieEditeur : BelinJOHN ASHBERY Paysage / Landscape présenté par Richard RandATTILIO BERTOLUCCI Paysage / Paesaggio, présenté par Martin RueffYVES BONNEFOY Le tombeau de Charles BaudelaireFURIO JESI Rilke et la poétique du rituel, traduit et présenté par Martin RueffSERGE MARGEL Le projet du livre idéalGIACOMO LEOPARDI À Silvia, traduction d’Yves BonnefoyYVES BONNEFOY Le tombeau de Giacomo LeopardiCLAYTON ESHLEMAN À la vitesse du vin, traduit par Chantal BizziniPETER GIZZI Une panique qui peut encore s’emparer de moi, traduit par Pascal PoyetWULF KIRSTEN Scènes de la vie, poèmes traduits et présentés par Stéphane MichaudGABRIELA MELINESCU-COECKELBERGHS Le pouvoir des morts sur les vivants (extraits), traduit par Ed PastenagueRON PADGETT How to Be Perfect (extraits) traduit par Claire Guillot et par Olivier BrossardPARK YI-MUN L’ombre du vide, traduit par Benjamin Joinau et Ahn Seon-hee traduction revue par l’auteurTHEODORE WOROZBYT Aphhttp://www.editions-belin.com/ewb_pages/f/fiche-article-po-sie-na-121-7003.php?lst_ref=1

  • Musée Guggenheim Bilbao

    Conçu par l’architecte américain Franck O. Gehry et inauguré en 1997, le musée Guggenheim Bilbao est un chef d’œuvre d’architecture contemporaine et une icône internationalement reconnue. Le hors-série de Connaissance des Arts retrace la genèse du projet et présente en image les artistes emblématiques exposés dans le musée, tels que Joseph Beuys, Mark Rothko, Yves Klein…

    http://boutique.connaissancedesarts.com/offres/2608

  • La grande soeur de Lucy

    medium_LUCY.jpg

    Le squelette de Selam, morte à trois ans, est "le plus ancien et le plus complet jamais découvert", selon son inventeur éthiopien. Il aurait 150 000 ans de plus que celui de Lucy, mis au jour par Yves Coppens en 1974.

    jeudi 21 septembre 2006, mis à jour à 15:05

     Eric Lecluyse, avec Reuters

  • Beaux Arts magazine n° 391 (janvier 2017)

    En kiosque actuellement

     

    Prochain numéro le 20 janvier 2016


    Dossier spécial : les 60 meilleurs expositions à voir en 2017
    Vermeer, Monet, Rodin, Kandinsky, Picasso, Yves Klein, Damien Hirst...

    Et aussi : les artistes inspirés par les films d'horreur, l'art ...

    Je m'abonne à Beaux Arts magazine
    Je commande ce numéro
     
    http://www.beauxartsmagazine.com/5-magazine.htm