Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Catégories : CE QUE J'AI LU,VU (et aimé), J'ai lu dans la presse

POLÉMIQUE En Chine, l'exposition «Matisse by Matisse» reportée à cause de la guerre en Ukraine

 

AU PROGRAMME Bonsoir. Le premier été normal depuis 2019, qu’ils disaient. En même temps vu la façon dont 2022 avait démarré, vous vous doutiez que ça n’allait pas se passer aussi simplement. Mais de là à prévoir ce blizzard-surprise en plein mois d’août... Résultat, vous n’avez rien à vous mettre sur le dos et votre look total White Bird vous rend parfaitement invisible dans la tempête. Au fur et à mesure que vous avancez, il vous semble aussi que votre Audition diminue. Et l’oxygène autour de vous ressemble de plus en plus à de l’Air liquide. Vous n’êtes pas vraiment du genre Petite Nature habituellement, mais là ça commence à devenir un rien pénible. Il y a bien une lumière à l'horizon mais avec la chance que vous avez, ce sera sans doute une maison hantée. Foutu pour foutu, autant essayer. Allez, c’est parti.

Photo: Poursuivie par la police du bon goût pour port de jean blanc, Marie-Kyste commençait à se demander si elle n'avait pas fait une erreur en se cachant dans une chambre réfrigérée. Shailene Woodley dans White Bird de Gregg Araki. BAC Films. Magnolia Pictures.

 

«WHITE BIRD»

de Gregg Araki  (visible sur Prime Video)

A plusieurs reprises dans White Bird, la jeune actrice Shailene Woodley est éclairée d'une façon très particulière: son visage prend un halo sombre, le maquillage noircit les yeux et les sourcils à outrance, la bouche s'ouvre pulpeusement. La ressemblance avec Liz Taylor est frappante. Mais les traits sont mal dégrossis, et sur la surface de la peau naviguent quelques marques d'acné ou autres imperfections juvéniles. C'est en construisant un pont de singe, bizarrement stable, entre les deux, glamour et boutons, archétypes cinématographiques et cultures adolescentes, voire rock, que Gregg Araki a su tisser le fil de sa carrière, nourrissant la trame de films (relativement oubliés) comme The Living End, ou bien d'immenses succès, tel Mysterious Skin. Adaptation d'Un oiseau blanc dans le blizzard, roman de Laura Kasischke paru en 1999, White Bird est mineur au regard des ambitions du récent Kaboom, du même Araki. Et c'est justement cette dimension «mineure» qui fait son charme. A la fin des années 80, Kat a 17 ans, vit dans une ville de la périphérie de Los Angeles, dans une famille d'une banalité confondante: maman est foldingue et papa est bonhomme. Elle se tape un bellâtre d'une bêtise sans nom, traîne avec ses deux meilleures amies, une obèse et une folle. Du jour au lendemain, sa mère disparaît. White Bird suit le cheminement de la jeune femme, entre descriptions des moments pénibles de l'adolescence, rêveries flippantes et scènes de thriller... C.G. 

Lire la suite de l'article sur Libération.fr

Photo: BAC Films. Magnolia Pictures

 
Image
Image
 
 
Image
Image
 

Nous fêtons ce 10 mars la Journée mondiale de l'audition. Dans le film du même nom de Takashi Miike, sorti en 2002, quel sombre secret cache son héroïne, Asami?

Son père était un militaire sanguinaire pendant la Seconde Guerre mondiale

Elle a accidentellement tué une camarade d'école quand elle était enfant

Son hobby consiste à assassiner des hommes en les découpant en morceaux vivants

DEVINEZ, CLIQUEZ, GAGNEZ DU BEURRE!

La réponse au jeu d'hier était bel et bien «23». Bravo aux winners.

LIBÉ CULTURE
vous fut tricoté aujourd'hui par Lelo Jimmy Batista et Olivier Lamm avec Clément Ghys et tout le service Culture en pensées.
Photo: Dylan Calves  – Conception graphique: LibéStudio
Retrouvez-nous sur Libération.fr

Les commentaires sont fermés.