Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
JEUDI 4 OCTOBRE 2018
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Pour les marathoniens du Grand Palais à Paris, c’est parti ! Après les allées de la Fiac (18-21 octobre), ils enchaîneront celles de Paris-Photo (8-11 novembre). Mais que vous soyez parisien ou non, bon marcheur-regardeur ou non, vous pourrez toujours être informé en vous plongeant dans le n°460 d’artpress. Catherine Francblin, qui vient de consacrer un livre à cette grande figure du marché de l’art que fut Jean Fournier, a eu l’idée de réunir quatre galeristes appartenant à différentes générations, pour les interroger sur leur conception du métier et sur son évolution. Tandis qu’Étienne Hatt a délibérément laissé de côté les questions économiques et institutionnelles pour... mettre en avant des photographes et leurs œuvres. > VOIR LE SOMMAIRE | ||
FIAC Les galeries entre engagement et pragmatisme Quatre galeristes ont été conviés à confronter leur expérience : Florence Bonnefous qui dirige, avec Édouard Mérino, la galerie Air de Paris ; Emmanuel Perrotin, de la galerie éponyme ; Nathalie Boutin, directrice, avec Solène Guillier, de la gb agency ; Thomas Bernard qui a inauguré en 2015 une galerie à son nom. Ils ont été rejoints Fabrice Hyber qui entretient avec les galeristes un rapport distancié, si ce n’est critique. Débat animé par Catherine Francblin | ||
DOSSIER Paris Photo, des artistes et des oeuvres Monumentalités contemporaines par Étienne Hatt Artistes : Chargesheimer, Mao Ishikawa, Lorenzo Vitturi par Marc Aufraise, Safia Belmenouar, Étienne Hatt OEuvres : Yo-Yo Gonthier, Des ânes et des lions ; Denis Darzacq, Act 50 ; John Gossage, The Last Days of Fontainebleau ; Silvana Reggiardo, Sans titre no 8 par Marc Aufraise, Étienne Hatt | ||
actualités / spotlight Le charme de Łódź par Thibaut de Ruyter | ||
hors-cadre Jean-Yves Jouannais, assiéger la guerre par Éric Mangion | ||
livre Jean-Christophe Bailly, à l'écart du poème interview par Laurent Perez | ||
agendaRetrouvez ici les événements en cours et ceux à venirà Paris, en province et à l'étranger > CONSULTER | ||
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Au fil du temps, les magazines sont comme ceux qui les font, dont les bureaux se laissent gagner par le désordre (du moins certains…). Nous avons donc réfléchi à vous proposer un magazine mieux adapté à de nouveaux souhaits rédactionnels. C’est cet artpress rafraîchi, cher lecteur, que vous allez tenir entre les mains. > LIRE L'ÉDITO DE CATHERINE MILLET > VOIR LE SOMMAIRE | ||
Charles Ray le sentiment géologique du temps À la faveur de son exposition à la Matthew Marks Gallery, à New York, au printemps dernier et de son exposition prévue au Centre Pompidou, en 2020, Charles Ray engage une réflexion sur l'histoire de la statuaire et sur son œuvre. Massimiliano Gioni l'a rencontré. | ||
Bernar Venet 1966 : le moment monosémique Deux expositions d’envergure célèbrent cet automne l’œuvre de Bernar Venet. Au Musée d’art contemporain de Lyon, Bernar Venet,« Rétrospective 2019-1959 » revient sur l’ensemble de sa carrière, tandis que « Bernar Venet, les Années conceptuelles 1966-1976 », au MAMAC, Nice, se concentre sur cette décennie qui vit l’œuvre se radicaliser considérablement d’un point de vue théorique. Par Richard Leydier. | ||
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https://www.loiretourisme.com/fiche/157170/collegiale-notre-dame-desperance
percussions jeudi soir
classique ce soir
Il n’y a pas que Art Basel (14-17 juin) à Bâle, il y a aussi, jusqu’au 26 août, la rétrospective intégrale de Bruce Nauman au Schaulager et une exposition, The Black Madonna (9 juin-21 octobre) de Theaster Gates au Kunstmuseum. Interview exceptionnelle du premier par Robert Storr et présentation du second, tout à la fois chanteur, travailleur social et artiste, par Guillaume Désanges. | ||
Les temps changent | ||
En mars dernier, on apprenait abruptement par la presse que la municipalité de Bordeaux désignait la porte de sortie à María Inés Rodríguez, directrice nommée en 2013 du CAPC de Bordeaux. | ||
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Pour ceux à qui la période estivale laisse enfin un peu de temps pour se balader dans Paris, et pour les parisiens heureux de s'échapper vers les festivals en région, l'actualité à ne pas manquer > VOIR LE SOMMAIRE | ||
John De Andrea des sculptures qui respirent Si les troublantes figures humaines en polyester et fibre de verre, au réalisme froid, de John De Andrea sont connues (visibles à la galerie G. Ph. et N. Vallois), l'artiste qui crée l'est beaucoup moins. Erik Verhagen l'a rencontré. | ||
Une jeune scène israélienne Une génération de jeunes artistes israéliens aux œuvres riches et abouties, parmi lesquels le réalisateur Roee Rosenà découvrir au Centre Pompidou et au Jeu de Paume, accède désormais à la scène internationale. Par Alina Yakirevitch. | ||
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Et dans le cahier Livres, Pierre Michon, discret ironiste,Richard Millet et Hans Magnus Enzensberger, les "scandaleux". | ||
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Note précédente sur cette visite
Précédente visite à Montbrison
Médiathèque Loire-Forez(2)
Office de tourisme
https://boutique.connaissancedesarts.com/offres/2950
Edité par Presses de la Cité. Paris cedex 13 - 2022
Troisième volet des enquêtes de l'adjudant Derval après Trois femmes en noir et Les Brumes de décembre, entre univers du football et parties fines de notables... L'adjudant de gendarmerie Philippe Derval, muté depuis peu à Vannes, et la lieutenante de police Héloïse Daubert aiment se retrouver le soir au café pour évoquer les affaires qui les occupent. Pour le premier, c'est le corps d'une adolescente étranglée que l'on a trouvé au cimetière dissimulé sous une pierre tombale, pour la seconde le double homicide d'un couple sans histoire poignardé chez lui. Ces deux tragédies secouent la paisible ville de Vannes, d'autant que les mobiles paraissent incompréhensibles et que les cadavres ne tardent pas à s'accumuler. Isolés par leur hiérarchie, le gendarme et la policière échangent réconfort et entraide dans leurs enquêtes respectives. Et ne tardent pas à céder à l'attirance qui les pousse l'un vers l'autre. Un polar qui révèle les dessous d'une belle cité bretonne, entre univers du football et parties fines de notables...
28:14,43 km
29:14,13 km
30:11,62 km
genou et tête brûlants de douleur
oublié genouillère et froid
douleur fulgurante(au lieu de sourde habituellement) à l'épaule gauche
1161 photos
mauvaises nuits
comme depuis 15 jours d'ailleurs
aussi au retour
31 cinéma, courses et danse
2,22 km
a-lyon-du-28-au-30-decembre-2022
À la Une
L’Italie du marquis de Campana : antiques, bijoux, sculptures, peintures…
Et aussi
Les Égyptiens et leurs mythes
Rencontre de la bande dessinée et de l’archéologie
108 pages - Paru le 5 septembre 2018 - Broché - 22 × 28.5 cm - EAN : 9791020404923
https://www.beauxarts.com/produit/%EF%BB%BFgrande-galerie-n45/
Malaise des musulmans britanniques à la suite de l'assassinat de Woolwich. PAROLES. Claire Arènes, Doctorante en civilisation britannique, spécialiste du multiculturalisme : « Il y a vingt ans, Londres était une plaque tournante de l'islamisme radical »
http://www.la-croix.com/lacroixsearch/search?keyword=malaise+des+musulmans
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Récemment, j’ai changé de lunettes. J’ai découvert que si mes yeux étaient fatigués, c’est parce que ma vision était surcorrigée ! Il fallait donc baisser la correction pour améliorer ma vision.
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Mort de Goethe, figure tutélaire du romantisme allemand
La vie humaine est un songe : d'autres l'ont dit avant moi, mais cette idée me suit partout. Quand je considère les bornes étroites dans lesquelles sont circonscrites les facultés de l'homme, son activité et son intelligence ; quand je vois que nous épuisons toutes nos forces à satisfaire des besoins, et que ces besoins ne tendent qu'à prolonger notre misérable existence ; que notre tranquillité sur bien des questions n'est qu'une résignation fondée sur des chimères, semblables à celles des prisonniers qui auraient couvert de peintures variées et de riantes perspectives les murs de leur cachot ; tout cela mon ami, me rend muet. Je rentre en moi-même, et j'y trouve un monde, mais plutôt en pressentiments et en sombres désirs qu'en réalité et en action ; et alors tout s'embrouille en moi, et, perdu dans mes rêves, je poursuis en souriant ma route dans le monde.
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Délivrée par Jésus de l’emprise de « sept démons », elle se décida à le suivre. Fidèle jusqu’au bout, elle fut présente lors de la crucifixion et le premier témoin de la Résurrection au matin de Pâques.
Refrain: Mon âme a soif de toi, Seigneur mon Dieu !
Dieu, tu es mon Dieu, je te cherche dès l’aube :
mon âme a soif de toi ;
après toi languit ma chair,
terre aride, altérée, sans eau. R
Je t’ai contemplé au sanctuaire,
j’ai vu ta force et ta gloire.
Ton amour vaut mieux que la vie :
tu seras la louange de mes lèvres ! R
Toute ma vie, je vais te bénir,
lever les mains en invoquant ton nom.
Comme par un festin, je serai rassasié ;
la joie sur les lèvres, je dirai ta louange. R
Oui, tu es venu à mon secours :
je crie de joie à l’ombre de tes ailes.
Mon âme s’attache à toi,
ta main droite me soutient. R
« J’ai trouvé celui que mon âme désire »
Paroles de la bien-aimée. Sur mon lit, la nuit, j’ai cherché celui que mon âme désire ; je l’ai cherché ; je ne l’ai pas trouvé.
Oui, je me lèverai, je tournerai dans la ville, par les rues et les places : je chercherai celui que mon âme désire ; je l’ai cherché ; je ne l’ai pas trouvé.
Ils m’ont trouvée, les gardes, eux qui tournent dans la ville : « Celui que mon âme désire, l’auriez-vous vu ? »
À peine les avais-je dépassés, j’ai trouvé celui que mon âme désire : je l’ai saisi et ne le lâcherai pas.
(On peut aussi lire 2 Corinthiens 5, 14-17.)
« Femme, pourquoi pleures-tu ? »
Le premier jour de la semaine, Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin ; c’était encore les ténèbres. Elle s’aperçoit que la pierre a été enlevée du tombeau. Elle se tenait près du tombeau, au-dehors, tout en pleurs. Et en pleurant, elle se pencha vers le tombeau. Elle aperçoit deux anges vêtus de blanc, assis l’un à la tête et l’autre aux pieds, à l’endroit où avait reposé le corps de Jésus. Ils lui demandent : « Femme, pourquoi pleures-tu ? » Elle leur répond : « On a enlevé mon Seigneur, et je ne sais pas où on l’a déposé. » Ayant dit cela, elle se retourna ; elle aperçoit Jésus qui se tenait là, mais elle ne savait pas que c’était Jésus. Jésus lui dit : « Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? » Le prenant pour le jardinier, elle lui répond : « Si c’est toi qui l’as emporté, dis-moi où tu l’as déposé, et moi, j’irai le prendre. » Jésus lui dit alors : « Marie ! » S’étant retournée, elle lui dit en hébreu : « Rabbouni ! », c’est-à-dire : Maître. Jésus reprend : « Ne me retiens pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Va trouver mes frères pour leur dire que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. » Marie Madeleine s’en va donc annoncer aux disciples : « J’ai vu le Seigneur ! », et elle raconta ce qu’il lui avait dit.