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  • J'ai vu ce matin au MAM de St Etienne: LÉA BELOOUSSOVITCH

    Feelings on felt

     DATESDU 16 DÉCEMBRE 2020 AU 15 AOÛT 2021

     LIEUMAMC+

    LE DESSIN AUX CONFINS DE L'ABSTRACTION

    Découvrez l'approche singulière du dessin de Léa Belooussovitch à travers une quarantaine d'œuvres réalisées à main levée et au crayon de couleur sur du feutre textile blanc. L'artiste réinterprète selon un long processus, des photographies de nature violente issues des médias. Cette démarche confère un nouveau souffle à ces photographies, en faisant ressortir la part d’humanité qu’il y reste.

     

    Les dessins de Léa Belooussovitch répondent à un même protocole. Elle commence par sélectionner dans la presse ou sur Internet des images qui nous assaillent quotidiennement, liées à des faits d’actualités dramatiques : attentats au Pakistan, scènes de guerre en Syrie... L'artiste se concentre sur la représentation de victimes anonymes blessées ou vulnérables. Léa Belooussovitch soumet ces images-sources à diverses manipulations (recadrage, agrandissement) avant d’entamer leur transfert sur le support du feutre. Ce travail lent et répétitif d’accumulation des traits du crayon de couleur altère l’aspect lisse de la matière et lui confère un volume duveteux.

    Les formes qui émergent sont des halos colorés brouillant la reconnaissance de la scène. Dans ce passage du pixel au pigment, la netteté de l’image initiale se mue ainsi en un dessin flou qui semble contenir et atténuer sous sa surface la douleur de la représentation. Le titre de chaque œuvre ancre néanmoins le dessin dans le réel en situant la ville, le pays et la date de l’événement tragique. La bande blanche de feutre laissée vierge en haut du dessin suggère, quant à elle, le recadrage effectué à partir de la photographie d’origine.

    Par ce brouillage des repères et cette mise à distance de la violence, Léa Belooussovitch nous interpelle autant sur notre rapport à l’information que sur le voyeurisme, tout en activant notre imaginaire. Le caractère esthétique et sensible, voire sensuel, de ses dessins dissimule sous un voile pudique de douceur la présence/absence de l’humain confronté aux atrocités et aux soubresauts du monde contemporain. Cette démarche vise à démontrer combien, selon les mots de l’artiste, "la violence de l’information a pris le dessus sur l’humanité que l’événement contient".

    Léa Belooussovitch est invitée dans le cadre de la 10e édition du Prix des Partenaires. Le Musée décerne ce Prix chaque année à un artiste émergent, grâce au soutien de ses mécènes.


    Prolongez votre visite de l'exposition à la bibliothèque Jean Laude du Musée. Découvrez une sélection de livres d’artistes sur les thématiques des violences, des conflits, des guerres, dans le cadre des expositions de Léa Belooussovitch, Feelings on felt et d'Éric Manigaud, La mélancolie des vaincus. Que ce soit au travers de reproductions de photographies ou encore de coupures presse, appréhendez des épisodes marquants de l'histoire ayant inspiré ces deux artistes dans leurs œuvres.

    La bibliothèque, située au premier étage du musée, vous accueille de 14 h à 18 h le lundi, mercredi, jeudi et vendredi et sur rendez-vous en juillet et août.

    L'ARTISTE

    Léa Belooussovitch est née en 1989 à Paris, elle vit et travaille à Bruxelles. Elle est diplômée en dessin de l'ENSAV La Cambre, Bruxelles en 2014. Son travail est présent dans des collections privées et publiques. Elle est représentée par la galerie Paris-Beijing à Paris.

    En savoir plus : http://www.leabelooussovitch.com/

    COMMISSARIAT

    Alexandre Quoi
    Responsable du département scientifique du MAMC+

    LIVRE D'ARTISTE

    Léa Belooussovitch. Feelings on felt
    Livre d'artiste. Entretien de Léa Belooussovitch avec Alexandre Quoi. Édition bilingue français – anglais. Coédition avec The Drawer. 100 pages. Prix : 23 euros.ISBN 9782955992784

    ENV. 40 DESSINS

    UN PROCESSUS LENT ET RÉPÉTITIF

    PARTENAIRES

    https://mamc.saint-etienne.fr/fr/expositions/lea-belooussovitch

  • J'ai vu ce matin au MAM de St Etienne: ÉRIC MANIGAUD

    ÉRIC MANIGAUD

    La mélancolie des vaincus

     DATESDU 16 DÉCEMBRE 2020 AU 15 AOÛT 2021

     LIEUMAMC+

    DES DESSINS SAISISSANTS À PARTIR DE PHOTOS D'ARCHIVES

    Éric Manigaud prend pour sujet des épisodes de l'Histoire du XXe siècle, dont certains méconnus. L'exposition rassemble ainsi une soixantaine de dessins réalisés à partir de photographies d’archives, empreintes d’une mémoire collective sensible.

    Le visiteur est immergé dès la première salle dans la matière première qui nourrit l'art d'Éric Manigaud. Des archives originales côtoient planches médicales, plaques photographiques et magazines. Des dessins de matières, eau, terre, racines en gros plan, transportent d'emblée le visiteur au cœur de l’organique. Il se perd dans les gris ouatés, la brillance du graphite, la texture du papier, le tout se confondant avec la matière représentée.

    L’histoire du siècle dernier, faite d’anonymes, surgit dans la salle suivante : un couple assassiné, des femmes japonaises aux dos brûlés, des corps à terre, des espaces laissés vides après le drame... L'artiste reproduit des documents photographiques dans un format agrandi. Il porte alors à l’échelle humaine des scènes difficiles à regarder, presque insoutenables. Une confrontation physique s'instaure avec ces images souvent censurées ou confidentielles en leur temps, peut-être en vue d’une acceptation.

    Pour Éric Manigaud, le passage du document au dessin se fait armé d’une gamme de crayons gras et de poudre graphite. Il effectue des micro-hachures centimètre carré par centimètre carré grâce à la projection de l’image agrandie sur le papier. Cette pratique "neutralise" l’image et met à distance les traumas du passé.

    La série Madge Donohoe, du nom d’une médium australienne des années 1930, ponctue l'exposition. La médium entrait en contact avec l'au-delà en pressant son visage contre une plaque photographique. Les dessins d’Éric Manigaud dégagent tout à coup une force libératrice, puisée dans le registre de l’inconnu.

    Les figures aperçues dans les salles précédentes, gueules cassées, regards prisonniers de la folie ou visages terrifiés par l’arrestation policière, passent alors du statut de fantômes à celui de vaincus, laissant un amer sentiment mélancolique.


    Prolongez votre visite de l'exposition à la bibliothèque Jean Laude du Musée. Découvrez une sélection de livres d’artistes sur les thématiques des violences, des conflits, des guerres, dans le cadre des expositions d'Éric Manigaud, La mélancolie des vaincus et de Léa Belooussovitch, Feelings on felt. Que ce soit au travers de reproductions de photographies ou encore de coupures presse, appréhendez des épisodes marquants de l'histoire ayant inspiré ces deux artistes dans leurs œuvres.

    La bibliothèque, située au premier étage du musée, vous accueille de 14 h à 18 h le lundi, mercredi, jeudi et vendredi, et sur rendez-vous en juillet et août.

    L'ARTISTE

    Éric Manigaud est né en 1971, il vit et travaille à Saint-Étienne. Agrégé d’arts plastiques, il expose régulièrement son travail en France et à l’étranger. Ses œuvres font partie de collections publiques et privées. Il est représenté par la galerie Sator à Paris, la Galerie C à Neuchâtel et la Fifty One Gallery à Anvers.

    En savoir plus : https://galeriesator.com/eric-manigaud-oeuvres

    COMMISSARIAT

    Aurélie Voltz
    Directrice du MAMC+

    CATALOGUE

    Éric Manigaud, La mélancolie des vaincus
    Textes d'Aurélie Voltz, Jean-Christophe Bailly et Philippe Dagen. Bilingue français – anglais. Coédité avec Snoeck Publishers, les galeries C, Fifty-One et Sator. 100 pages. ISBN 9789461616289. Prix : 25 euros.
     

    ENV. 60 DESSINS

    CONFRONTATION PHYSIQUE À L'IMAGE

    PARTENAIRES

    https://mamc.saint-etienne.fr/fr/expositions/eric-manigaud

  • J'ai vu ce matin au MAM de St Etienne: HASSAN SHARIF

    HASSAN SHARIF

    I am the single work artist

     DATESDU 5 MARS AU 26 SEPTEMBRE 2021

     LIEUMAMC+

    UNE PREMIÈRE RÉTROSPECTIVE RICHE ET FOISONNANTE !

    L'artiste émirati Hassan Sharif (1951-2016) est considéré comme l’un des artistes les plus influents du monde arabe aujourd’hui ; il a créé une œuvre d'une variété étonnante. Venez découvrir au MAMC+ l'exposition I am the single work artist (Je suis l’artiste d’une œuvre unique) : dessins, performances et expérimentations marqués par l’art conceptuel répondent aux accumulations, découpages, tressages d’objets glanés dans les marchés, parfois déployés en des installations monumentales.

    Artiste, enseignant, critique, Hassan Sharif concourt à changer le paysage artistique de son pays pour l’affranchir de la calligraphie traditionnelle. Durant quatre décennies, il développe un important corpus d’œuvres : dessins, peintures, performances, sculptures et installations. Contrepied à cette foisonnante production, le titre de l’exposition (I am the single work artist - Je suis l’artiste d’une œuvre unique) suggère que cet ensemble doit être compris comme un seul geste conçu dans la durée et la répétition.

    La pratique d’Hassan Sharif évolue dans un contexte économique et social bouleversé par la découverte du pétrole, sa commercialisation en 1958 puis la création des Émirats arabes unis en 1971. Son œuvre est marquée par la transformation accélérée de Dubaï, alors modeste territoire en une mégalopole de luxe. Il critique une modernisation à marche forcée au fil de ses caricatures publiées jusqu’en 1979, date à laquelle il se concentre sur sa pratique artistique. Sa formation londonienne ouvre son regard sur l’art constructiviste britannique, l’art minimal et Fluxus, dont il combine habilement les influences. Ses performances dans le désert de Hatta, au début des années 1980, figurent parmi les premiers gestes conceptuels dans le Golfe : sauter, jeter une pierre, enregistrer un rocher, disparaître derrière une dune... Des photographies, des collages ou des écrits documentent ses actions, dans sa cour intérieure, dans un taxi ou dans les souks.

    Organisant des expositions éphémères et subversives avec le collectif de l’Atelier Al Mureijah, il porte peu à peu un intérêt aux matériaux et objets de pacotille, qu’il trouve en quantité croissante sur les marchés. Procédant par accumulations, découpages, tressages, assemblages, il développe un pan majeur de son travail qu’il qualifie d’"archéologie urbaine". À partir des années 2000, alors que ses installations deviennent monumentales, il reprend sa pratique picturale, qu’il agrémente des mêmes objets de la vie quotidienne. Le style grotesque et la touche expressionniste illustrent autrement, avec réalisme, une société de consommation aux codes grossiers.

    Parallèlement à ces installations, Hassan Sharif développe un travail plus ascétique et graphique tout aussi répétitif : les "semi-systèmes". À partir de calculs mathématiques, il se fixe des règles pour créer des dessins géométriques, en d’infinies colonnes de lignes et de droites segmentées. Il laisse la fatigue et l’ennui le gagner pour y introduire des erreurs, laissées visibles. À l’image de son œuvre, les semi-systèmes exposent une confrontation à l’autorité et les moyens d’y échapper.

    Le travail d’Hassan Sharif trouve un écho dans de nombreux positionnements artistiques occidentaux des années 1970 aux années 1990. Dans le prolongement de l’exposition, deux salles sont consacrées aux collections du MAMC+, s’arrêtant en particulier sur l’art minimal, Fluxus, la performance ou Supports/Surfaces.

    Cette exposition itinérante a été conçue par la Sharjah Art Foundation, Sharjah, E.A.U., et organisée par Hoor Al Qasimi. L'itinérance européenne de l'exposition a été organisée par la Sharjah Art Foundation en collaboration avec le KW Berlin, le Malmö Konsthall et le Musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole.

    L'ARTISTE

    Hassan Sharif est né en Iran en 1951 et décède à Dubaï en 2016. Dans les années 1970, il est caricaturiste pour le journal Akhbar Dubaï. Au début des années 1980, il part étudier à Londres, à la Byam Shaw School of Art. Diplômé en 1984, il s’installe dans les Émirats et réalise ses premières expositions, fonde plusieurs associations d’artistes, tout en poursuivant sa pratique et une activité de critique d’art. Son travail a été présenté à l’occasion d’expositions collectives à la Whitechapel Gallery à Londres et au New Museum à New York... Il fut exposé à deux reprises dans le pavillon des Émirats arabes unis de la Biennale de Venise en 2009 et 2015. Ses œuvres font partie des plus grandes collections publiques telles que le Guggenheim New York, le Guggenheim Abu Dhabi, le Centre Pompidou, la Tate Modern ou le Mathaf : Arab Museum of Modern Art à Doha. Il est représenté par la galerie gb agency à Paris.

    COMMISSARIAT

    Hoor Al Qasimi
    Directrice de la Sharjah Art Foundation

    Aurélie Voltz
    Directrice du MAMC+

    CATALOGUE

    Hassan Sharif. I am the single work artist
    Coéditée par la Sharjah Foundation et Koenig Books, cette monographie offre une vision intime de l’œuvre plurielle de l’artiste, enrichie de nouvelles traductions de ses écrits. Bilingue anglais – arabe. 320 pages. Prix : 22 euros.

    PLUS DE 150 ŒUVRES

    PARTENAIRES

    https://mamc.saint-etienne.fr/fr/expositions/hassan-sharif

  • Hier, pour la Nuit des musées, nous avons visité au MAM de St Etienne

     
     
    Valérie Jouve, Sans titre (Les Arbres)
    Valérie Jouve, Sans titre (Les Arbres), 2004-2018. C-Print. Courtesy galerie Xippas. © Valérie Jouve / ADAGP, Paris 2018.
      
    Valérie Jouve
    Formes de vies
    Du 19 mai 2018 au 16 septembre 2018
    Découvrez la première exposition à Saint-Étienne de Valérie Jouve, artiste originaire de la région stéphanoise ! Née à Firminy en 1964, le Musée accueille la photographe, vidéaste et réalisatrice dans le cadre son 30e anniversaire.

    Valérie Jouve présente pour cette exposition un film et des photographies figurant des lieux (maison, façade, rue, ville, paysage), et des êtres (arbre, individu).
    Laurent Gueneau, Guangzhou, Question de NatureVues urbainesCollection de photographies du Musée
    Du 19 mai 2018 au 16 septembre 2018
    Explorez la riche collection de photographies du Musée à travers un accrochage inédit en connivence avec l'exposition "Formes de vies" de Valérie Jouve. ''Vues urbaines'' présente des oeuvres peu montrées, offrant une perspective sur la Ville et ses habitants, à travers les époques et les lieux, de Londres à Chicago, en passant par Saint-Étienne et sa région.

    Laurent Gueneau, "Guangzhou, Question de Nature", 2015. 110 x 138 cm. © L. Gueneau.

    http://www.mam-st-etienne.fr/index.php?rubrique=6

    Précédente sur cette nuit des musées

    Précédentes notes sur ce musée

    WP_20180519_063.jpgWP_20180519_064.jpg

  • Commes les halles de St Etienne, les halles de Toulon sont devenues Biltoki

    Halles municipales de Toulon

    Mariage réussi de l’Ancien et du Moderne

    Grâce à l’escalier spécialement créé, il sera en effet possible d’accéder aux 250 m2 aménagés en bar-restaurant au-dessus de l’espace de vente. L’occasion de se rendre compte, de visu, que c’est l’ensemble du secteur qui a bénéficié d’une cure de jouvence. « Les Halles elles-mêmes ont certes fait l’objet d’un renforcement structurel et d’une remise aux normes actuelles, mais dans le plus grand respect de leur architecture Art déco. De même, la place Raspail a été réhabilitée en parfaite harmonie avec son environnement, les arbres ont été préservés, des agrumes ont été plantés et l’ensemble des immeubles refaits s’intègrent dans la même esthétique » indique Jean-Baptiste Arène, directeur de Var Aménagement Développement. « C’était déjà le cas avec la première réalisation du secteur : le bâtiment du Crédit Municipal, juste derrière, et c’est la même chose avec celui du CAUE, précise encore Hubert Falco. C’est très réussi ! »

    Un quartier redynamisé

    C’est en effet tout un secteur qui a été repensé et au cœur duquel vont cohabiter logements, commerces et secteur tertiaire. Dans un environnement urbain requalifié. « Ici, c’est un peu, à l’est de la ville, le pendant de ce qui a été créé à l’ouest, autour de la place de l’Équerre, ajoute M. Arène. Le commerce, ça se reconquiert. Et le maillage entre les Halles, la rue d’Astour et le Cours Lafayette, avec une offre élargie, sera un important facteur de redynamisation. » Notons, comme l’a également précisé le maire, que cette réalisation (comme d’autres, ailleurs à Toulon), a été rendue possible grâce à un partenariat public/privé, signe de la confiance revenue dans le dynamisme de la Ville.

    Plus que quelques jours de patience pour découvrir les gourmandises de ces nouvelles… Halles gourmandes !

    25 stands gourmands et un rooftop

    Début septembre 2021, ce sont 24 stands d'artisans et producteurs locaux qui animeront ces Halles gourmandes, ainsi que le café Biltoki à l'entrée, pour offrir aux toulonnais et aux visiteurs un espace convivial. À l'étage et en plein air, un rooftop de 180 m2 permettra de savourer un apéritif ou une salade avec une vue unique sur les toits du centre-ville. Près de la moitié de ces espaces ont déjà été commercialisés, attribués à des commerçants soigneusement sélectionnés parmi plus d'une centaine de candidatures. Les professionnels intéressés peuvent d'ailleurs toujours présenter leur projet.
    Créée en 2009, l'entreprise Biltoki - "l'endroit qui rassemble" en basque - affiche une solide expérience dans l'animation de halles commerçantes

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2021/08/06/les-halles-mazerat-biltoki-a-saint-etienne-ouvriront-le-3-se-6330909.html

    https://biltoki.com/

    voyage à Toulon:

    les  autres épisodes:

    http://www.lauravanel-coytte.com/voyage-a-toulon-du-28-juillet-au-1-er-aout-2022

  • Comme la Comédie théâtre de St Etienne, le théâtre de Toulon est scène nationale

    Inauguré en septembre 2011, le Théâtre Liberté, dirigé par Charles Berling et Pascale Boeglin-Rodier, labellisé ''scène nationale'', complète l'offre culturelle du centre-ville (cinémas, Musée d’Art, bibliothèque centrale, Hôtel des Arts, Opéra…).

    Un nouvel outil culturel en coeur de ville.

    Le Liberté, scène nationale de Toulon, a ouvert ses portes au public en septembre 2011, au coeœur du carré haussmannien de la Haute-Ville, en présence du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, du Maire de Toulon, et de nombreuses personnalités du monde du spectacle dont Emmanuelle Béart, Fanny Ardant, Nathalie Baye, Tonie Marshall, etc.

    Ce vaste chantier, difficile en raison de la présence d’eau dans le sous-sol et d’amiante dans les combles de l’ancien cinéma, aura duré 4 ans (juillet 2007 - été 2011) pour un coût total de 12,7 millions d'euros.

    Labellisé scène nationale et dirigé par Charles et Philippe Berling, deux enfants du pays, ce nouvel équipement poursuit l'objectif de devenir un pôle artistique et culturel majeur de création en Méditerranée.

    • Lieu de rencontres et d'échanges, le Le Liberté, scène nationale de Toulon invite les publics à des actions participatives et pédagogiques,
    • En phase avec son temps, il met aussi l'accent sur le développement des cultures numériques. Ainsi, une programmation audiovisuelle (projections, expositions et conférences) fait écho à sa programmation tournée vers le spectacle vivant,
    • Agencés autour du hall traversant de la Place de la Liberté à la rue Gimelli, la salle Albert Camus (703 places)le Petit Théâtre entièrement modulable (130 places) et la salle de projection (146 places) permettent d'’accueillir les spectateurs dans des espaces conviviaux et accessibles.

    https://toulon.fr/envie-bouger/proxy/theatre-liberte

    Dominée par la façade cossue du théâtre de Toulon, cette vaste place étale ses terrasses dès que le soleil pointe. Quelques palmiers, la statue de Jules Muraire - plus connu sous le nom de Raimu ! on flâne et on s'attarde ici avec plaisir ?

    https://www.lebonguide.com/loisirculturel/place-victor-hugo_58216

    voyage à Toulon:

    les  autres épisodes:

    http://www.lauravanel-coytte.com/voyage-a-toulon-du-28-juillet-au-1-er-aout-2022

  • Feu d'artifice du 14 juillet 2022 à St Etienne

    Le spectacle était en l'air:IMG_4644.JPG

    IMG_4606.JPGIMG_4609.JPGIMG_4612.JPGIMG_4616.JPG

     

    mais aussi sur le Zenith:

    En repartant vers 23h

    j'ai pu voir la fan zone du tour installée pour le lendemain et le Zenith en vert:

    super organisation de la ville avec tram gratuit jusqu'à 3hIMG_4653.JPG

     

    IMG_4600.JPGIMG_4602.JPGIMG_4605.JPG

  • L'arrivée du tour à St-Etienne vendredi

    je m'arrête à l'arrêt Roger-Rocher

    et je rebrousse vers l'arrivée:

    IMG_4658.JPGIMG_4660.JPGJe m'installe  entre l'arrivée et le podium, comme il y a trois ans avec mon mari

    mais je suis prise par l'ambiance que j'aime tant

    les photographes

    le barnum du tour si bien organisé

    les motos

    les voitures

    l'hélicoptère

    le bruit des gens qui tapent sur les barrières qui annoncent les coureursIMG_4672.JPG

    IMG_4666.JPGIMG_4667.JPG

    IMG_4663.JPG

    IMG_4661.JPG

    la voiture-balaiIMG_4693.JPG

    le directeur du tour

    et le démontage 

    dont la organisation m'intéresse

    et moi, je remonte

    vers le tram

    dans le sens contraire 

    et j'aperçois Bernard Thevenet qui était en dédicace à la librairie

    https://www.placedeslibraires.fr/agenda-121680/dedicace-avec-bernard-thevenet/

    en 2019:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2019/07/14/saint-etienne-etape-du-tour-de-france-arrivee-hier-et-depart-6164018.html

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  • J'ai vu à midi:Exposition ”LE GRAND ATELIER & LES MAISONNEES”Régénération et dynamiques urbaines - Quartier St Roch à St

    Atrium de la BU Tréfilerie

    Cette exposition présente le travail d’atelier de deuxième année de l’école nationale supérieure d’architecture de Saint-Etienne.
    Cette année, au sein de l’atelier Architecture/Culture constructive/Environnement, les étudiants se sont emparés des problématiques existantes sur le centre ville de Saint-Etienne pour proposer un projet de Maisonnées questionnant la régénération du quartier St-Roch.

    LE GRAND ATELIER

    A travers ce projet, il s'agit d’interroger les rapports physiques et de sens entre structure-lumière, enveloppe-matière, forme-site, dedans-dehors, etc.
    Il 's’agit aussi de prendre acte des relations qui se jouent entre un édifice et son aire d'accueil, en amont lorsque le milieu impacte la formation du projet, en aval lorsque celui-ci devient un composant participant à la dynamique du territoire.
    Le programme est un prétexte à l’exploration spatiale, à ce qui se joue dans l’assemblage, la répétition, la superposition, la composition de tout édifice, mais aussi un questionnement :
    - sur les fonctions et les usages propres,
    - la dialectique entre choix constructifs et écologiques dans le processus de projet,
    - la mise en forme architecturale.
    Les planches, les carnets et les maquettes exposées révèlent un mode pédagogique bien spécifique qui est basé sur la pratique intense et répétée du projet ainsi que sur sa contextualisation. Les documents présentent successivement un diagnostic du quartier et les projets proposés par les étudiants.

    LES MAISONNEES : EXPLORATION D’UNE NOUVELLE FORME D’HABITAT


    Dans le cadre d'une réflexion urbaine globale, les étudiants ont conçu plusieurs maisonnées offrant des usages nouveaux. Elles sont réparties dans le quartier sur des sites contribuant à générer et cristalliser des dynamiques urbaines visibles : axes de liaisons existant à conforter, création d'un passage, requalification d'un cœur d'ilot, proximité d'un espace public majeur, proximité d'une école ou de services existants.

    Un habitat métis avec des usages et des espaces mutualisés

    Une maisonnée offre un programmes d’habitat mixte qui accueille des logements et de l’hébergement ponctuel associés à plusieurs fonctions et des usages mutualisés.
    Les rapports d'usages entre l'habitat, les rez de chaussée et l'espace public constituent des enjeux majeurs.
    Les rez de chaussée en particulier, souvent vacants, ne sont plus sollicités par les commerces de proximité, alors que ces espaces non institutionnels peuvent être appropriés par les habitants et devenir des lieux de ressource dédiés au faire ensemble.
    Ils peuvent accueillir des usages et des espaces pour l'amélioration de la qualité de l'habitat à l'échelle d'un immeuble ou d'un ilot, ils peuvent être associés à de l'hébergement pour des personnes de passage et offrir des locaux communs et de rencontre, un espace d'échange et de services, un lieu ou se restaurer, une bibliothèque partagée, un local pour garer les vélos dans des espaces sécurisés, une buanderie commune, des ateliers pour des activités de conseil, de formation et de production, destinés à l'accompagnement des habitants désirant par exemple s'engager dans des constructions ou des rénovations écologiques et économiques de leur habitat.

    Ou plus simplement des lieux pour habiter le quartier, au-delà des pratiques marchandes et inventer un art de vivre la proximité, l'autre, le présent …

    LES ETUDIANTS

    82 étudiants ont travaillé en groupe sur les études de diagnostic et individuellement sur le projet.
    Qu’ils soient tous remerciés pour leur énergie et la dynamique qu’ils ont su insuffler pendant un semestre.

    ABDELKADER Mehdi, ALTOUNJI Diana, ARBEZ Océane, ARFUTI Georg, BARILLER Saskia, BAUDIN Quentin,
    BELAADEL Oumaima, BERGÉ Jules, BERTHELOT Laurie, BIARD Mélissa, BITARD Anaïs, BODET Francois –
    Xavier, BOISSET Marine, BOUCHER Juliette, BOULIN Michel, BRETON Tanguy, BRIDON Antonin, CARADEC
    Valerian, CHENG Yixiao, OELHO Samantha, COQUARD Marianne, COUTIERE Camille, CROUZET Matthieu,
    CROZET Malaurie, DESINDE Tom, DUCLOS Chloé, DUHALDE Sarah, DUPEYRE Victor, EL OUAZZANI Riham,
    ELBAHI Oumaima, FOURNEL Elodie, GESSE Damien, GILLET Logan, GORGORIO-TRUBESSET Victoria,
    GOUDOT Louise, GREGOIRE Céline, GUENOT Marine, GUGGIARI Remy, GUILLOT Ingrid, GUILLOT Pierrick,
    HACHACHE Amira Saadia, HENGAN Lucas, HIRTZ Célia, KILO Maha, KOZIKOWSKI Sarah, LACROIX Timothé,
    LAMIELLE Martin, LAURENT Charline, LEGROS Bastien, LEONCE Justine, LIBES Pauline, MALÉ-MOLE Judith,
    MATUSZEZAK Maxime, MICHOUD Antoine, MISERY Chloé, MONNIER Dylan, MONTROBERT Ema, MOREL
    Océane, MOUAMINE Meriem, MULLER Prescillia, NAMPRY Elisabeth, NGO-TRONG Marine, NIESS Romane,
    ORDONNEAU Anaïs, PARET Alice, PARRET Lucas, PASSEMARD Armand, SADAOUI Wassila, SAULNIER Gaëlle,
    SAUNIER Arthur, SAUNIER Gaëtan, SOARES Noémie, THION Estelle, TRÉLET Quentin, VALENTIN Alexia,
    VERNAY Caroline, VERSCHUURE Amelie, VIAL Aurélie, VIOUJAS Thibault, YAZJI Sally, ZIMMERMANN
    Romain.

    LES ENSEIGNANTS

    L’atelier est organisé autour de la pratique du projet et enrichi par plusieurs disciplines.

    Gérald Lafond, Frank Le Bail, Francis Martinuzzi, Christian Massard, Marcel Ruchon, architectes.
    Jonathan Bruter, architecte et paysagiste. Rachid Kaddour, géographe. Pierre Antoine CHabriac, Ingénieur
    thermicien. Jean Pierre Schwartz, Ingénieur structure. Patrick Condouret, Artiste.

     

    Localisation

    https://scd.univ-st-etienne.fr/fr/tout-l-agenda/actualites-2016-2017/toutes-les-actualites-2016-2017/expo-ensase.html

  • Mon texte inédit sur ce blog: C'est ma fête: Bonne St Laura(ent) à moi! mais la St Con, c'est tous les jours

    Le seul à me l'avoir souhaité, c'est... mon mari

    Donc, personne ne me le souhaitera aujourd'hui

    Sans être obsédée par le retour de ce qu'on fait aux autres

    Avant, je souhaitais non seulement les anniversaires de tout le monde: famille, conjoint...

    mais aussi les fêtes

    Non seulement, je me faisais vertement disputer quand j'oubliais ....3 dates

    mais on se moquait de moi qui souhaitait les fêtes

    alors je veux bien être gentille, mais aujourd'hui, ce n'est pas la St Con, c'est ma fête

    et depuis quelques temps, je fais le strict minimum

    Par contre, la Saint-Con, c'est tous les jours dans les gens que j'entends parler les gens sur le covid

    ,test et pass

    Pour le peu d'infos télé que j'écoute(pour ne pas rater des événements autres que le covid),radio et beaucoup de presse écrite, le meilleur moyen de savoir ce qui se passe d'autre

    en Europe

    dans le monde

    bien plus grave

    que ces c..s qui se plaignent de faire la queue pour faire un test

    alors que

    c'est cadeau

    et qui paie

    l'Etat et l'Etat c'est moi et autres qui sont vaccinés

    Alors les c...s, au lieu de faire la queue pour le test, faîtes la queue pour être vaccinés

    Quant aux soi-disant restrictions de libertés du pass, allez voir le Memorial de Montluc que j'ai visité jeudi

    et fermez vos bouches!

    Je veux bien être gentille

    mais arrêtez de me prendre pour un c.n

     

  • François-André Vincent doit-il sortir de l’oubli ?

    , par Lunettes Rouges

     

    François-André Vincent, La Mélancolie, vers 1800-1801, plume, 34.7x23.5cm, Louvre

    De François-André Vincent, je ne me souvenais que d'un seul tableau, une Mélancolie sombre qui ne déparait  pas dans l'exposition homonyme (pas éponyme), tableau chagrin et douloureux d'une orpheline éplorée, que Joséphine acheta un an après son divorce d'avec l'empereur, le jugeant sans doute en harmonie avec ses propres sentiments. L'exposition consacrée au peintre au Musée des Beaux-arts de Tours (jusqu'au 19 janvier; ensuite au Musée Fabre à Montpellier, puis à Cognacq-Jay) est l'occasion de découvrir un dessin, qui n'est pas exactement un dessin préparatoire de cette toile, mais une composition à part entière. D'abord, la jeune femme est nue : artifice de sculpteur, d'ordinaire, que de représenter d'abord le personnage nu, et de l'habiller ensuite (Rodin par exemple), mais aussi de peintre comme en témoignent bien des dessins montrés ici. Mais dans toute l'histoire de l'art, on a rarement vu femme aussi peu sensuelle, aussi dure, sèche, tendue, décharnée : non pas tant que ses appâts soient fort maigres, non que sa tristesse irradie toute la scène, mais surtout il y a en elle une forme d'écrasement, de désespoir qui annihile toute beauté, toute féminité. Plus que les évidents symboles funèbres de la tombe, du hibou et de la branche morte, plus que la froide minéralité des blocs de pierre, on suit son doigt et son regard à terre, vers un double manuscrit à peine déroulé, signe de création impuissante peut-être.

    François-André Vincent, La Leçon de dessin, 1774, 61.4x74cm, coll.part.

    Que dire de Vincent, peintre tombé dans l'oubli, rival malheureux de David ? L'exposition montre son évolution, son cheminement qui commence vers 1760 et se déploie d'abord dans des tableaux aimables dans la veine de Fragonard avec qui il voyage en Italie, mais qui n'ont pas la légèreté espiègle de son compagnon. Le plus sémillant peut-être serait cette aimable leçon de dessin, exercice de séduction où on sent bien que la leçon va s'interrompre et se poursuivre par des ébats plus sensuels dans lesquels les rôles seront renversés.

    François-André Vincent, La Leçon d'Agriculture, 1797-1798, 213x313cm, musée des beaux-arts de Bordeaux

    Vincent peint, fort classiquement, de grandes compositions, peinture d'histoire, allégories et peinture morale, comme cette fort rousseauiste scène où les commanditaires, grands bourgeois toulousains, confie leur jeune fils délicat (dont la pose et les fesses évoqueraient le gladiateur Borghese) à un laboureur vigoureux au doigt impérieux (encore une référence); mais ce n'est qu'une leçon d'agriculture...

    François-André Vincent, Allégorie de la libération des esclaves d'Alger par Jérôme Bonaparte, 1806, 37.5x45.5cm, coll. Walewski

    Tout cela est un peu ennuyeux, Vincent n'est ni Greuze, ni David, ni Ingres, mais on sent parfois que, même s'il fait honnêtement carrière, il n'est pas complètement dupe : pour la commande d'un hommage à Jérôme Bonaparte qui racheta 231 prisonniers génois et ligures aux pirates barbaresques (mais qui ne mit peut-être même pas les pieds à Alger, se contentant de payer la rançon), Vincent représente la scène d'un théâtre. L'action elle-même, bateau aux couleurs tricolores et rescapés sur le rivage (l'ancre couchée faisant joliment écho aux bras tendus), se déroule non pas au premier plan, mais sur ce qui semble être un rideau peint en fond de scène; le pilier, à droite, évoque les coulisses. Sur scène, si la petite fille en robe Directoire est porteuse du message d'hommage (en italien : La Riconoscenza a Girolamo Bonaparte), le ridicule petit chien jappant dénonce l'inanité de la scène. Quant au prisonnier basané agenouillé qui porte encore aux chevilles la marque de ses fers, son sarouel et sa calotte montrent (ou dénoncent ? au moins il n'a pas de barbe islamique) son acculturation; humble et reconnaissant, il fixe le spectateur. Jérôme Bonaparte, dont il fallait bien redorer le blason, apprécia-t-il cet hommage ambigu ?

    François-André Vincent, Guillaume Tell et Gessler, 1795, 65x77.5cm, musée de Guéret

    Fut-ce une tentative de s'adapter aux goûts du moment, ou une évolution supplémentaire de sa carrière en zigzag , il y a aussi ici quelques tableaux romantiques, le portrait d'un poète échevelé et cette scène de la vie de Guillaume Tell devant un lac en furie, très 'Sturm und Drang'. Entre Fragonard, David et Géricault, Vincent eut du mal à exister, semble-t-il.

    Signalons l'existence d'un livre (cher...) de Jean-Pierre Cuzin, à la fois étude monographique et catalogue raisonné.

    Photos courtoisie du Musée à l'exception de la première. Voyage à l'invitation du Musée.

    http://lunettesrouges.blog.lemonde.fr/2013/11/18/francois-xavier-vincent-doit-il-sortir-de-loubli/

  • Terres de Vietnam - Céramiques vietnamiennes et oeuvres picturales d’André Maire

     

    Lieu : La Rochelle - Musée des Beaux-Arts de La Rochelle
    Date : du 23 mai 2014 au 8 septembre 2014
     
    Terres de Vietnam - Céramiques vietnamiennes et oeuvres picturales d’André Maire

    A l’occasion des Années croisées France-Vietnam, les musées d’Art et d’Histoire de La Rochelle souhaitent mettre en lumière leur collection de céramiques vietnamiennes.

     

    Informations pratiques :

    Ouverture
    Du 1er octobre au 30 juin
    lundi, mercredi, jeudi et vendredi : 9h30 - 12h30 et 13h45 - 17h
    samedi, dimanche et jours fériés : 14h - 18h
    Du 1er juillet au 30 septembre
    lundi, mercredi, jeudi et vendredi : 10h - 13h et 13h45 - 18h
    samedi, dimanche et jours fériés : 14h - 18h

    Tarifs
    Plein tarif : 4,50 EUR
    Tarif réduit : 3,50 EUR

    Informations complémentairesMusée des Beaux-Arts de La Rochelle28, rue Gargoulleau17000 La Rochelle Tel : +33 (0)5 46 41 64 65En savoir plus sur le lieu

    http://www.connaissancedesarts.com/civilisation/agenda/terres-de-vietnam-ceramiques-vietnamiennes-et-oeuvres-picturales-d-andre-maire-106934.php

  • J'ai lu hier:André Le Nôtre à Vaux-le-Vicomte

    André Le Nôtre à Vaux-le-Vicomte

    Un nouvel art des jardins

    Frédéric Sichet, architecte paysagiste et Aurélia Rostaing, historienne de l'art et des jardins

    • 48 pages, 45 illustrations
    • 23 x 29 cm
    • broché
    • Chef-d’œuvre du XVIIe siècle, Vaux-le-Vicomte est un modèle d’harmonie entre architecture et paysage. Constitué à l’initiative de Nicolas Fouquet, surintendant des Finances de Louis XIV, le domaine est la création de trois des plus grands artistes du Grand Siècle : le dessinateur de jardins André Le Nôtre, l’architecte Louis Le Vau et le peintre- décorateur Charles Le Brun. Photographies, images d’archives et gravures d’époque nous plongent au cœur d’un chantier monumental. De l’achat des terres alentour aux grands travaux de terrassement en passant par le dessin subtil de chaque parterre, cet ouvrage retrace les différentes étapes de la réalisation de cette œuvre de l’art et de la nature. À Vaux-le-Vicomte, André Le Nôtre a pour la première fois l’occasion de manifester toute l’étendue de son talent. Le plus célèbre des jardiniers paysagistes français y conçoit une œuvre novatrice et ambitieuse, qui marque une étape décisive dans l’histoire de l’art des jardins.
    • Coédition Château de Vaux-le-Vicomte / Somogy éditions d'Art
    • Code article
    • ISBN-9782757206287
    • paru le 22 mai 2013.

    http://www.somogy.net/fiche.php?ref=9782757206287&cat=11

  • 400 ans de la naissance d'André le Nôtre(dans les Hauts de Seine)

    DP : P.-A. Lablaude

    Le projet des parterres de broderies du parc de Sceaux

    La France célèbre cette année le 400e anniversaire de la naissance d’André Le Nôtre, le jardinier du Roi-Soleil. Le Conseil général des Hauts-de-Seine, propriétaire du parc de Sceaux, l’un des plus beaux exemples de l’art de Le Nôtre, participe à cet événement national.

    Pour rendre à ce parc à la française sa splendeur d’autrefois, le Département reconstitue des parterres de broderies du XVIIe siècle, dessinés par Le Nôtre et disparus depuis. Dès l’été prochain, les visiteurs pourront admirer le résultat de ce projet conçu par l’architecte en chef des Monuments historiques, Pierre-André Lablaude.
    Tout au long de l’année, l’héritage d’André Le Nôtre, sa place dans l’histoire des jardins et le rôle actuel des grands domaines devenus parcs urbains seront au cœur de manifestations dédiées aux amateurs et aux professionnels.

    L’année Le Nôtre dans les Hauts-de-Seine est inaugurée le 8 avril avec la présentation de l’exposition « Le Nôtre à Sceaux » et une visite du chantier de rénovation des broderies.

    http://applis.hauts-de-seine.net/anneeLeNotre/

  • André Malraux, ”Le démon de l'absolu” (suite à mes notes sur Lawrence d'Arabie)

    medium_malraux.jpgLa situation de la France se dégrade de plus en plus à cause de la guerre qui s’établit. Bien qu’il ne fasse pas encore partie de la Résistance, André Malraux destine déjà certains de ses écrits au combat pour la liberté. Il entreprend la composition d’une biographie de Thomas Edward Lawrence (1888-1935), archéologue anglais et érudit, défenseur de l’indépendance arabe dans Les Sept piliers de la Sagesse publié en 1926. En effet, réenraciné en Islam, Lawrence, conseiller de l’émir Faysal dans la révolte arabe contre les Turcs en 1916-1918, fait l’apologie de son transfuge et du double jeu sur la fidélité du bâtard.

  • Charles-Louis Foulon ,ANDRÉ MALRAUX, MINISTRE DE L'IRRATIONNEL

    malraux.gif

    HORS SÉRIE LITTÉRATURE 512 pages - 29,00 €
     
    Comment un génie littéraire, prix Goncourt à trente ans, devient-il un homme politique et cherche-t-il à construire le ministère des Affaires culturelles à partir des Beaux-Arts ?
    Comment un compagnon de route des communistes devient-il le plus ardent défenseur du gaullisme ?
    Pourquoi un ministre inconditionnel s'affirme-t-il comme le modèle du gaulliste irrationnel ?
    Ces questions trouvent ici des réponses sans complaisance au-delà du récit des rapports passionnés de Charles de Gaulle et de son ami. On y retrouve aussi des crises historiques : la torture en Algérie avant l'indépendance, les attentats de l'Organisation de l'armée secrète, la censure avec les batailles pour le film
    La Religieuse et la pièce Les Paravents, les départs de France du musicien Pierre Boulez et du danseur Maurice Béjart, l'affaire de la Cinémathèque et l'occupation de l'Odéon en 1968.
    Ce livre prouve la vérité du portrait de Malraux dressé par le président Kennedy : en lui « la politique et l'art, la vie de l'action et la vie de la pensée, le monde des événements et le monde de l'imaginaire sont un ». Il fait également voir Malraux au quotidien car l'époux tourmenté, chevalier servant de
    La Joconde, fut également un père séparé de la jeunesse par la mort de ses deux fils.
    Alors qu'on vient de fêter les cinquante ans du ministère de la Culture, on saisit ici ses difficultés en voyant les problèmes de sa création, les hautes missions que lui fixa Malraux, sa volonté de promouvoir une civilisation mondiale fraternelle et son grand objectif : non pas instruire mais
    faire aimer.
     
    ANDRÉ MALRAUX, MINISTRE DE L'IRRATIONNEL [2010], préface de Pierre Nora, 512 pages sous couv. ill., 140 x 205 mm. Hors série Littérature, Gallimard -ess. ISBN 9782070127948.
    Parution : 25-05-2010.
     

    http://www.gallimard.fr/Vient_de_paraitre/accueil.go?cgi=/gallimard-cgi/appliv1/ind_ouvrage?ouvrage=0010067612006486804920000