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  • J'ai fait découvrir samedi à mon mari:Musée Jacquemart André(où je vais régulièrement)

    musée jacquemart andré le 16 septembre 2009,paris,mes photosmusée jacquemart andré le 16 septembre 2009,paris,mes photosphotos perso de vendredi dernier à Paris

    paris 16 septembre 2009 006.jpgSitué à côté des Champs Elysées, le Musée Jacquemart-André présente la plus belle collection privée d’œuvres d’art de Paris, associée à l’atmosphère d’une grande demeure du XIXème siècle. Découvrez avec une visite audioguidée ce magnifique hôtel particulier, la passion d’Edouard André et de Nelie Jacquemart et leur éblouissante collection de peinture flamande, du XVIII siècle français, de la Renaissance Italienne, de mobilier rare… Le café Jacquemart-André offre l’un des plus beaux décors de Paris. Un moment inoubliable dans le musée préféré des Parisiens

    http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/jacquemart/

    Photo perso de l'entrée du musée du 16 septembre 2009

    Précédente publication:23/09/2009 15:57

     

  • J'ai vu le 16 septembre 2009:Bruegel, Memling, Van Eyck... La collection Brukenthal au Musée Jacquemart- André

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    Le Musée Jacquemart-André accueille, du 11 septembre 2009 au 11 janvier 2010, les chefs-d’œuvre de la collection Brukenthal, l’une des plus prestigieuses d’Europe centrale qui rassemble des œuvres flamandes des plus grands maîtres du XVème siècle au XVIIème siècle : Van Eyck, Jordaens, Bruegel, Memling ou Teniers.

    En savoir plus sur l'expo sur mon site source :

    http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/jacquemart/177-events/?displayType=DetailALaUne&eventId=485

    et sur le musée dans ma note d'hier.

  • J'ai lu: ” Lettre A D. ; Histoire D'Un Amour” d'André Gorz

    Tu vas avoir quatre-vingt-deux ans. Tu as rapetissé de six centimètres, tu ne pèses que quarante-cinq kilos et tu es toujours belle, gracieuse et désirable. Cela fait cinquante-huit ans que nous vivons ensemble et je t'aime plus que jamais. Je porte de nouveau au creux de ma poitrine un vide dévorant que seule comble la chaleur de ton corps contre le mien. " L'auteur du Traître revient avec cinquante ans de recul sur les années décisives de son histoire. Il restait beaucoup à dire. Car ce n'était pas la sienne seulement. http://www.chapitre.com/CHAPITRE/fr/BOOK/gorz-andre/lettre-a-d-histoire-d-un-amour,1215140.aspx

  • Jacques André : ”La surprise vient toujours de l'expérience des patients”

    Le Monde | 07.03.2013 à 14h04 • Mis à jour le 07.03.2013 à 14h39

    Propos recueillis par Propos recueillis par Jean Birnbaum

     
     

    Psychanalyste, professeur à l'université Paris-VII-Diderot, Jacques André dirige la collection "Petite bibliothèque de psychanalyse" aux Presses universitaires de France. Auteur de plusieurs essais sensibles et élégants, dont L'Imprévu en séance (Gallimard, 2004), il signe aujourd'hui un "Que sais-je ?" sur La Sexualité masculine.

    Dans votre livre, les seules paroles que vous citez sont celles de vos patients et celles des écrivains, Baudelaire, Sade, Aragon, Houellebecq ou Philip Roth. En revanche, vous mobilisez peu de références théoriques. Est-ce à dire que les praticiens de la psychanalyse peuvent désormais se passer de concepts ?

    Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr. Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1€ / mois | Découvrez l'édition abonnés

    Plus d'un siècle après la fondation de la psychanalyse, la théorie est pour l'essentiel constituée et, même si la théorisation est sans fin, même si le monde où nous vivons appelle des perspectives différentes, on dispose des bases de l'édifice, on n'a plus besoin de construire de grands systèmes. Aujourd'hui la surprise vient toujours d'ailleurs : de la pratique, de l'expérience des patients. Là, l'imprévu est garanti ! Que l'art, et en particulier la littérature, puisse éclairer ces surprises, voilà une idée qui remonte à Freud lui-même. Il était convaincu que les grands artistes saisissaient quelque chose de la vie humaine dans ce qu'elle a de plus violent, de plus sauvage. Il faut donc sans cesse nouer ces trois éléments : la pratique, la puissance métaphorique de l'art et l'héritage théorique.

    Donc, dans la pratique, la théorie vient en dernier ?

    Elle est toujours présente, bien sûr, mais en pointillés. Ce qui est premier, en séance, c'est la parole du patient. L'art peut aussi intervenir très vite, par associations d'idées, du côté de l'analyste comme du patient d'ailleurs. Ensuite seulement vient le temps de la théorie, mais nécessairement après la séance. Sinon, elle doit rester de l'ordre de l'inconscient cognitif. Quand la réflexion théorique vient à l'esprit en séance, sur le mode "ça je sais, ça je connais", c'est presque toujours le signe d'une résistance du côté de l'analyste, cela signifie plutôt que ses oreilles se ferment. Quand le praticien convoque son savoir, il n'écoute plus le patient. C'est tout le paradoxe de la psychanalyse : sa méthode appelle une écoute flottante alors que sa théorie est un savoir arrêté.

    Dans votre "Que sais-je ?" sur la sexualité masculine, c'est l'inconscient lui-même qui semble arrêté, immobile. Vous affirmez que, malgré les évolutions de la société et notamment les bouleversements des relations entre hommes et femmes, l'inconscient, lui, n'a pas bougé. "L'inconscient fait de la résistance, il est politiquement incorrect", écrivez-vous dans cet essai où vous semblez lancer un avertissement du type : mesdames, mesdemoiselles, méfiez-vous des dons Juans féministes... Oui, il y a là deux temporalités distinctes. Celle de l'histoire et de la société, qui peut connaître des mutations accélérées. Et celle de l'inconscient, qui est différente, plus autonome. Dans son essai sur La Domination masculine (Seuil, 1998), Pierre Bourdieu lui-même ne pouvait que constater que cette domination traverse les siècles de façon assez stable. Prenons deux grandes figures du fantasme de l'homme devant la femme : celui qui fait de la femme une putain, et celui de l'angoisse devant la démesure de la sexualité féminine. Ces deux figures n'ont pas bougé, ces fantasmes n'ont pas pris une ride, même si la vie sexuelle a connu beaucoup de transformations, et si la frontière entre ce qui est raffiné et ce qui ne l'est pas s'est déplacée. Simplement, l'offre sexuelle considérable, les multiples possibilités qui existent aujourd'hui permettent aux femmes et aux hommes de jouer et de rejouer quelque chose de la sexualité sous toutes ses figures, sans empêcher ni le respect ni l'amour, sans contraindre à seulement faire avec l'une, l'amante, ce que l'on se refuse avec l'autre, l'épouse. Le fond, cependant, reste inchangé : on peut être un homme aussi démocratique et paritaire que possible, et ne pouvoir parvenir à la satisfaction sexuelle que si la femme se soumet en position de levrette.

    Vous qui avez à la fois une activité d'éditeur et de formateur, comment voyez-vous la façon dont la jeune génération de psychanalystes réinvente la relation entre héritage théorique et expérience clinique, et donc son rapport au livre ?

    Il est devenu très difficile d'écrire la psychanalyse, qui a déjà été beaucoup écrite. Il y a du reste surcharge de l'édition, profusion de livres qui souvent tombent des mains. On ne peut pas continuer sur le mode du pensum et de la plomberie théoriques, ni même du récit de cas. Il faut retrouver de nouvelles formes, une manière de communiquer quelque chose de la psychanalyse par d'autres moyens. Cette tâche revient aux jeunes. En tant qu'éditeur, je travaille avec des 30-40 ans. Je travaille aussi à la formation des jeunes analystes. Ce sont souvent des personnes qui ont sacrifié aux parcours intellectuels classiques, littéraire ou scientifique, avant de se tourner vers la psychanalyse. A l'heure contemporaine de la "contrainte de résultats" et du bonheur en 20 leçons, ils ont le mérite de ne pas lâcher sur l'essentiel : la psychanalyse est la seule forme de psychothérapie qui ne fuit pas devant le négatif de l'expérience humaine, qui fait que le plaisir côtoie l'angoisse et la détresse. Le jeune psychanalyste est plus que jamais un être intempestif, à la fois en prise immédiate sur son époque et confronté aux énigmes de toujours. On attend de lui qu'il nous parle autrement.

    La Sexualité masculine, de Jacques André, PUF, "Que sais-je ?", 128 p., 9 €.

    Psychanalyse Édition abonnés Contenu exclusif

    http://www.lemonde.fr/livres/article/2013/03/07/jacques-andre-la-surprise-vient-toujours-de-l-experience-des-patients_1844121_3260.html

  • André Derain, sculpteur et collectionneur d'art primitif(photo perso)

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    André DERAIN

    (Chatou, 1880 – Garches, 1954)

    Né à Chatou en 1880, André Derain commence à peindre très jeune. Lors de ses études à Paris, à l’Académie Carrière, il rencontre Henri Matisse et Maurice de Vlaminck avec lequel il se lie d’amitié. Exposant au Salon d’Automne de 1905, il fait partie du groupe des fauves dont les hardiesses provoquent un scandale.  

    Vers 1908, il abandonne le fauvisme et se tourne vers l’enseignement de Cézanne et aborde une vision plus approfondie de la nature. A la veille du déclenchement de la Première Guerre mondiale, il découvre l’art nègre et, à partir de 1912, ses œuvres sont marquées par une stylisation archaïsante dans le dessin et par une plus grande austérité dans la couleur.

    Au cours des années d’après-guerre, en réaction contre la prolifération du mouvement Dada et du surréalisme, il se tourne vers la réalité, influencé par l’Antiquité, le Caravage et Gustave Courbet.

    Sa recherche est alors parallèle à celle des artistes du mouvement du Noveccento qui vont se tourner vers le passé des artistes qui se sont révélés dans le futurisme.

    Au cours de sa carrière artistique, il a également créé des décors et des costumes pour La boutique fantasque de Diaghilevde Jack in the Box d’Erick Satie, ainsi que de nombreuses gravures.

    Toute sa vie, André Derain s’est intéressé à la sculpture. Vers 1906, il sculpte la pierre en taille directe. Pendant la guerre de 1914, il ne cesse de marteler des douilles d’obus. Ce n’est qu’en 1938 qu’il va modeler la terre. Cette année-là, un arbre de son jardin est déraciné et laisse apparaître une terre argileuse et facile à modeler. Toujours préoccupé de diversifier ses modes de création, Derain multiplie têtes, plaquettes, figurines, laissant libre court à son imagination et à sa fantaisie. Ces pièces fragiles seront par la suite fondues en bronze.

    (Emmanuel BENEZIT, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays par un groupe d’écrivains spécialistes français et étrangers, [Paris],  Gründ, 1976)

    http://www.musee-troyes.com/index.php/oeuvres-musee-art-moderne-troyes/artistes-musee-art-moderne-troyes/20-artistes/68-les-artistes-derain-andre.html

    voyage-de-l-ete-2017

    Mes 14 livres

  • Pierre Tal-Coat (peintre), Henri Maldiney (philosophe), André du Bouchet (poète) - La Triade

     

    Pierre Tal-Coat (peintre), Henri Maldiney (philosophe), André du Bouchet (poète) - La Triade : Tal-Coat. Envol. Novembre 1974, lavis sur papier, 103x72 cm. Collection particulière. © Laurent Lecat.    Pierre Tal-Coat (peintre), Henri Maldiney (philosophe), André du Bouchet (poète) - La Triade : Tal-Coat. Sans titre. 1981, huile sur contreplaqué, 9x15 cm. Collection particulière.    Pierre Tal-Coat (peintre), Henri Maldiney (philosophe), André du Bouchet (poète) - La Triade : Tal-Coat. Sans titre. 1981-1982,  huile sur carton d'aggloméré, 22,5x16 cm. Collection particulière.   

    09/07/2014 - 28/09/2014
    Musée Quesnel-Morinière
    2 rue Quesnel-Morinière
    50200 Coutances

    Ces trois personnages, qui œuvrent dans les champs différents de la pensée, de la peinture et des mots, se trouvent réunis à Coutances pour perpétuer un dialogue commencé dans la seconde moitié du XXe siècle. Les tracés enfouis de Tal-Coat évoquant les terres violacées de la Drôme, les collines de Provence et les champs verts et jaunes de Colza mettent en lumière les livres et carnets d’une philosophie du sentir, du rythme et d’une poésie hiératique de l’homme. Ainsi, « c’est tout de même quelque chose que cette rencontre de trois expériences éprises avant tout de Réalité » [Henri Maldiney, lettre à André du Bouchet à propos d’une exposition des peintures de Tal-Coat]. Organisée autour du travail pictural de Tal-Coat, cette exposition se veut centrée sur la dimension plastique des œuvres présentées. Le lecteur méconnaissant les œuvres de Tal-Coat y découvrira un artiste atypique qui forgea son œuvre au contact du philosophe Maldiney et du poète Du Bouchet rencontrés en 1943 à Château-Noir, demeure où Cézanne se confronta à la montagne Sainte-Victoire dans le pays d’Aix. L’exposition suit le parcours de cette amitié dans le temps et dans la matière car si chacun exerce au sein de son domaine propre, la peinture est une composante essentielle de la Triade. Ainsi Du Bouchet écrivait sous forme de boutade « Je suis peintre » et Maldiney étudiait les grands maîtres : Goya, Cézanne, De Staël entre autres, et aussi son ami Tal-Coat.

    Le commissaire de l’exposition, Jean-Pascal Léger, également éditeur de poésie et écrivain, animera la première journée du colloque « À l’épreuve d’exister avec Henri Maldiney » du 28 juillet au 4 août au Centre Culturel International de Cerisy-la-Salle en présentant l’amitié féconde et jamais démentie que constituait La Triade.

    Thibault Mirabel

    http://www.artabsolument.com/fr/default/exhibition/detail/2217//Pierre-Tal-Coat-peintre-Henri-Maldiney-philosophe-Andre-du-Bouchet-poete-La-Triade.html

  • Décès de la cinéaste Florence Malraux, fille unique d'André et Clara Malraux

  • Voyage au cœur de l'abbaye de Lérins ; Sœur Andrée fête ses 117 ans ; Michel Barnier...

    12 FÉVRIER 2021

     
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    Journaliste à la une 

    PAR NOTRE JOURNALISTE
    ALBAN DE MONTIGNY

     

    Michel Barnier " On peut être patriote et européen "

     

    ● En 2019, nous avions suivi Michel Barnier dans les couloirs du Parlement européen à Bruxelles. Le négociateur en chef de l’Union européenne pour le Brexit tentait alors de trouver un compromis. Nous avions été surpris par son calme apparent, malgré les revirements Outre-Manche. " Il faut toujours être détendu, sinon vous communiquez votre nervosité ", confiait-il. Deux ans ont passé, mais Michel Barnier n’a pas perdu son flegme britannique.

    Il revient sur ce marathon historique et évoque son avenir sur la scène nationale...à quatorze mois de la présidentielle.

     

    Rencontre

     
    Image Article 01
     

    Covid ou pas, ils font vivre l’Église

     

    ● À quelques jours du Carême, Le Pèlerin est allé à la rencontre de celles et ceux qui se mobilisent pour faire vivre les paroisses et les mouvements, envers et contre tout.


    De cette épreuve planétaire, l’Église peut-elle sortir plus vivante ?

    Enquête

     
    Banniere VOYAGE
     
    Image Article 02
     

    À l’abbaye de Lérins : mer, silence et vignes

     

    ● Envie de prendre le large ? Suivez-nous cette semaine à l'abbaye de Lérins, située sur l'île Saint-Honorat, en baie de Cannes. Frère Marie, l'un des moines cisterciens, nous y accueille.


    Au rythme des vagues, écoutons rimer tradition avec innovation.

    Podcast

     
    Image Article 03
     

    Sœur Andrée, doyenne européenne a fêté ses 117 ans

     

    ● Il y a deux ans, nous avions rencontré sœur Andrée. Elle était alors vice-doyenne des Français et fêtait ses 115 ans. Aujourd'hui, alors qu'elle se remet sans difficulté du Covid, elle souffle sa 117ème bougie ce qui fait d'elle la doyenne européenne.


    Son vœux ? Vivre l'amour fraternel jusqu'au bout et transmettre cette parole : "Aimez-vous ! Aidez-vous !"

    Portrait

     
    Image Article 03
     

    Il y a 163 ans, Marie apparaissait à Lourdes !

     

    ● Bernadette Soubirous a 14 ans quand la Vierge lui apparaît pour la première fois, le 11 février 1858, dans la grotte de Massabielle.


    Que s’est-il passé ce jour là ?

    En savoir plus

     
    Banniere VOYAGE
     
     

    ET AUSSI

    triangle bleu

    ● Les confidences d’Hubert Reeves
    " La compassion sauvera le monde "

    ● " Sous la cendre "
    L’édito de la semaine, par François-Xavier Maigre

     
    Le Pèlerin de la semaine
  • J'ai terminé hier soir: Tempêtes / Andrée A. Michaud(médiathèque)commencé le 4

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    Andrée A. Michaud

    Edité par Editions Payot & Rivages. Paris , DL 2019

    Marie Saintonge emménage dans une vieille maison léguée par un oncle qui a brutalement mis fin à ses jours. Située au coeur du Massif bleu, la maison isolée semble hantée par des présences fantomatiques. Lorsqu'une violente tempête se lève, Marie est peu à peu gagnée par l'angoisse, d'autant plus qu'un homme mystérieux rôde dans la montagne. Sur l'autre versant du massif, Ric Dubois, prête-plume de l'écrivain Chris Julian, est venu terminer le manuscrit qu'il compte signer sous son nom puisque Julian est décédé. Mais il est lui aussi confronté à la fureur de la montagne lorsque des orages d'été éclatent. Il se retrouve face à des morts étranges et les habitants du cru en viennent à le soupçonner...

    http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/445973/tempetes-andree-a-michaud

  • J'ai aimé vendredi l'expo de Jacquemart André et samedi, nous avons aimé celle de Maillol

     Canaletto à Paris. Rivalité dans les musées


     

     
     
    Canaletto à Paris. Rivalité dans les musées

    La rentrée culturelle parisienne 2012 sera italienne ou ne sera pas.

    Après les expositions Fra Angelico (Jacquemart-André), Cima (musée du Luxembourg), Le paysage à Rome (Grand Palais), ou encore Titien, Tintoret, Véronèse (Louvre), l’engouement pour la Renaissance italienne se semble pas prêt de s’achever. Pour notre plus grand plaisir.

    C’est Canaletto, « le peintre de Venise », qui sera bientôt au centre de toutes les attentions car sujet d’un véritable petit duel muséal. Les prestigieux musées Maillol et Jacquemart-André présenteront simultanément une exposition consacrée au maître vénitien en septembre. Acte manqué ou guerre ouverte ?

    Giovanni Antonio Canal (1697-1768), plus connu sous le nom de Canaletto, est la figure phare de la peinture vénitienne, surtout célèbre pour ses sublimes vues des canaux de la ville flottante. Ses œuvres d’une stupéfiante précision doivent beaucoup de leur beauté à la parfaite maîtrise que Canaletto avait de l’étude de la lumière. Contrairement à la majorité de ses contemporains, le peintre travaillait beaucoup en extérieur, d’où peut être son talent à « fixer » l’air si particulier de Venise.

    1er état des lieux des expositions :

    Le musée Maillol concentrera son propos sur la seule figure de Canaletto avec une sélection de plus de 50 œuvres du maître vénitien (en collaboration avec La Fondazione Musei Civici di Venezia ainsi qu’avec le Polo Museale Veneziano).

    Jacquemart-André se distinguera par une étude comparée de Canaletto et Francesco Guardi. L’essentiel des œuvres présentées chez Jacquemart proviendra de prêts londonien et américain : British Museum, National Gallery, Collection Royale de la Couronne britannique, Frick Collection (New-York) et Philadelphia Museum of Art. La couronne britannique est en effet propriétaire de la plus importante collection de peintures et de dessins de Canaletto. Huit de ces œuvres seront exposées pour la première fois à Paris.

    L’approche de Maillol pourrait se définir comme celle d’un véritable hommage au peintre ainsi qu’à la ville de Venise. Le musée affiche son désir de clore un cycle d’expositions consacrées aux vedutisti (De l’italien vues. Désigne l’étude très détaillée d’un paysage, le plus souvent urbain) en Europe dont Canaletto était la figure centrale.

    C’est plus précisément à ce genre pictural que Jacquemart-André s’intéressera en démontrant la filiation des études de Canaletto et de Guardi. Les vedutisti de Canaletto auraient en effet grandement influencées celles de Guardi.

    On attend avec impatience de comparer la différence d’approche des deux musées en relisant l’ Éloge de Venise, de Luigo Grotto Cieco d’Hadria, prononcée pour la consécration du Doge Sérénissime Luigi Mocenigo, le 23 août 1570 :

    « (…) qui ne la loue est indigne de sa langue, qui ne la contemple est indigne de la lumière, qui ne l’admire est indigne de l’esprit, qui ne l’honore est indigne de l’honneur. Qui ne l’a vue ne croit point ce qu’on lui en dit et qui la voit croit à peine ce qu’il voit. Qui entend sa gloire n’a de cesse de la voir, et qui la voit n’a de cesse de la revoir. Qui la voit une fois s’en énamoure pour la vie et ne la quitte jamais plus, ou s’il la quitte c’est pour bientôt la retrouver, et s’il ne la retrouve il se désole de ne point la revoir. De ce désir d’y retourner qui pèse sur tous ceux qui la quittèrent elle prit le nom de venetia, comme pour dire à ceux qui la quittent, dans une prière douce: Veni etiam, reviens encore. »

     

    Infos pratiques :

    Musée Jacquemart-André : Canaletto- Guardi. Les deux maîtres de Venise (14 septembre 2012-14 janvier 2013)

    Musée Maillol : Canaletto à Venise (19 septembre 2012- 10 février 2013)

    Photo :
    Le Grand Canal vu de San Vio à Venise. Peinture à l’huile (XVIIIe siècle)
    © Archives Larbor


    http://toutelaculture.com/2012/08/canaletto-a-paris-rivalite-dans-les-musees/
  • Nous avons aimé dimanche dernier:Exposition Albert André, peintre post-impressionniste, Pont-du-Gard, du 8 juin au 25 se

    De juin à septembre 2011 est présentée une rétrospective de l’oeuvre d’Albert André (1869-1954). Ce peintre fut l’ami et le confident d’Auguste Renoir dont plusieurs toiles et dessins seront exposés.



    Exposition Albert André, peintre post-impressionniste, Pont-du-Gard, du 8 juin au 25 septembre
    Un peintre entre modernité et tradition
    Le parcours de l’exposition permettra de suivre l’évolution de la peinture d’Albert André, séduit par la modernité dans les années 1890 et préférant un retour à la figuration et à la mesure à partir de 1910.
    La dernière séquence sera consacrée aux thèmes préférés d’Albert André : natures mortes, fleurs, nus, paysages et scènes de genre. La peinture d’Albert André allie la brillance des couleurs à la sérénité des sujets dans un métier toujours maîtrisé.

    Collections du Musée municipal de Bagnols sur Cèze et du Musée départemental d’Art sacré à Pont Saint Esprit (Gard). L’Exposition est organisée par Conseil général du Gard et l’Etablissement Public du Pont du Gard.
     

    Pratique

    Ouverture du site : Toute l’année 7jours/7
    Ouverture des Espaces de Découvertes : toute l’année
    Le site est multilingue : français, anglais, allemand, espagnol.
    Horaires : Ouverture des Espaces de Découverte : de 9h00 à
    19h00 (juillet août : 9h00 à 20h00)
    Ouverture des boutiques : de 9h00 à 19h00 (juillet août : 9h00 à 20h00)
    Ouverture des plages : de 10h00 à 19h00
    Restauration rapide rive gauche : 9h00 à 19h00
    Restaurant Les Terrasses ouvert midi et soir pendant l’été

    Tarifs
    Entrée site : forfait 15€ par jour (pour 5 personnes dans un même véhicule)
    Comprenant la visite du musée, l’espace enfant Ludo, le parcours muséographique en plein air Mémoire de garrigue, la surveillance et l’équipement des plages Rendez-vous à la rivière, la mise en lumière du monument tous les soirs d’été et l’ensemble des services du site (stationnement, toilettes, aires de pique-nique…).
     

     

  • L'OBJET D'ART HORS-SÉRIES ANDRÉ DEVAMBEZ. VERTIGES DE L'IMAGINATION N° 158 - Mars 22

    L'Objet d'Art Hors-séries n° 158 - Mars 22

    Prix de Rome, professeur aux Beaux-Arts, académicien, commandeur de la Légion d’honneur… Né sous le Second Empire, la même année que Bonnard, et disparu en 1944, André Devambez cumula tous les honneurs. Seul lui fut refusé celui de la postérité. Aujourd’hui largement méconnu du grand public, cet artiste éminemment sympathique à l’imagination débordante et à l’humour débridé sort enfin des limbes à l’occasion d’une ambitieuse rétrospective.

    https://lobjet-dart-hors-serie.com/numero-158/andre-devambez-vertiges-l-imagination.52914.php

    L'art, la presse, comme tout(s) ce(ux) que j'aime(première partie de ce blog), qui m'intéresse, inspire ce que j'écris(deuxième partie de ce blog) comme "acrostiches" à acheter ici

  • « Retour d’U.R.S.S. » d’André Gide, 1936 : controverse autour d’une désillusion

    Photographie d'André Gide parue dans Le Figaro, 1937 - source : RetroNews-BnF
     

    Dans son livre-témoignage Retour d’U.R.S.S., l’écrivain André Gide, qui s’était d’abord enthousiasmé pour le régime soviétique, fait part en 1936 de sa déception après un voyage en terre communiste. Alors que les journaux de droite exultent, L’Humanité voue aux gémonies l’écrivain.

    LIRE LA SUITE
     



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  • L'Eurostar prend ses quartiers dans son nouveau terminal londonien de St-Pancras

    4654719d40a2ec772f936d47f65bca89.jpg AFP - il y a 2 heures 34 minutesLONDRES (AFP) - Après avoir fait mardi ses adieux à la gare de Waterloo, l'Eurostar devait lancer mercredi matin son service à grande vitesse depuis son nouveau terminal londonien de St-Pancras, malgré une grève des cheminots français qui ne devrait pas affecter le trafic Paris-Londres. (publicité) Le public sera admis à 08H00 GMT tapantes mercredi (09H00 heure de Paris) dans l'ancienne gare victorienne de St-Pancras, située dans le nord de la capitale britannique, qui a été entièrement rénovée et transformée en station ultra-moderne. Le train roulera alors à 300 km/h sur la totalité de ses parcours entre Paris, Bruxelles et Londres, puisqu'il empruntera désormais le tronçon à grande vitesse récemment achevé entre Ebbsfleet, au sud-est de Londres, et St Pancras. L'achèvement de cette ligne à grande vitesse a nécessité 18 kilomètres de tunnels et coûté, avec la rénovation de St-Pancras, quelque 5,8 milliards de livres (8,4 milliards d'euros). Ce nouveau trajet fera gagner vingt minutes sur les temps de parcours, et l'Eurostar reliera à partir de ce mercredi Londres et Paris en 02H15 et Londres et Bruxelles en 01H51. La compagnie ferroviaire a assuré mardi que ses services "ne seront pas perturbés" par le mouvement de grève dans les transports publics en France, mais a prévenu que les passagers devant emprunter des correspondances côté français "doivent s'attendre à des retards de celles-ci". Eurostar a toutefois du annuler les festivités prévues en gare du Nord mercredi pour le départ et de l'arrivée des premiers trains de St-Pancras. Celles prévues à Londres sont quant à elles maintenues. http://fr.news.yahoo.com/afp/20071114/tts-gb-belgique-france-transport-c1b2fc3_1.html

  • Le prix de Lire à St-Etienne « Les soleils de Nucera » revient à Jean-Paul Versini

    Le prix de Lire à St-Etienne « Les soleils de Nucera » revient à Jean-Paul Versini

    Littérature. Ce journaliste raconte dans un magnifique ouvrage l’histoire d’un coureur cycliste italien Gino Bartali.

    Roland Romeyer et Dominique Rocheteau entourent Jacques Plaine et Jean-Paul Versini qui tient le Babet d’or, emblème du prix . Photo Marie-Louise Savoy Roland Romeyer et Dominique Rocheteau, entourent  Jacques Plaine et Jean-Paul Versini qui tient le Babet d'or, emblème du prix  Photo Marie-Louise Savoy

    Roland Romeyer et Dominique Rocheteau entourent Jacques Plaine et Jean-Paul Versini qui tient le Babet d’or, emblème du prix . Photo Marie-Louise Savoy Roland Romeyer et Dominique Rocheteau, entourent Jacques Plaine et Jean-Paul Versini qui tient le Babet d'or, emblème du prix  Photo Marie-Louise Savoy

    Jean-Paul Versini a reçu, jeudi sur le podium de l’arrivée de Paris-Nice à la Croix de Chaubouret au Bessat, le prix « Les soleils de Nucéra » 2015, pour son ouvrage « Gino le Juste, Bartali, une autre histoire de l’Italie » paru aux éditions Le Pas d’oiseau. Il lui a été remis par Jacques Plaine, président de Lire à Saint-Etienne, et le partenaire du prix, Roland Romeyer, président de l’ASSE.

    Ce prix littéraire, lancé en 2002 par l’association Lire à Saint-Etienne, rend hommage à Louis Nucera, écrivain, fidèle de la Fête du livre, tué sur son vélo le 9 août 2000. Décerné par un jury parisien, il récompense un roman sur le thème du vélo paru dans l’année.

    « J’ai bien connu Louis Nucera. Ce prix, représente une énorme satisfaction et un encouragement à continuer mon activité d’auteur », confie Jean-Paul Vespini, journaliste, pour qui l’écriture tient une grande place dans sa vie.

    Gino-le-pieux qui va devenir Gino-le-juste

    L’auteur, donne à lire un ouvrage où l’histoire de Gino Bartali, est intimement liée à la grande histoire de l’Italie et de l’Europe. Il entraîne le lecteur dans la roue de Gino-le-pieux qui va devenir Gino-le-juste, reconnu à titre posthume le 24 septembre 2013. Juste parmi les nations par le mémorial Yad Vashem. Né à Ponte à Emma près de Florence, ce toscan, est révélé campionissimo le 17 mars 1938 pour ses débuts professionnels lors du Milan-San Remo, dans cette Italie où monte le fascisme. Le sport devient prétexte à l’endoctrinement. Le Duce commande. En 1938, il le prive de Giro pour qu’il se consacre au Tour de France. « Gino-la-rage » prend le dessus, il devient un opposant, un rebelle silencieux. Il s’est imposé au Tour sans apporter un brin de gloire au régime qu’il hait.

    « Jean-Paul Vespini, Gino le Juste, Bartali, une autre histoire de l’Italie », aux éditions Le Pas d’oiseau. 18 €

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    Publié le 14/03/2015 à 05:00 - Reproduction interdite  
     
  • J'ai aimé hier pour les Journées du Patrimoine:la cathédrale St Charles (et ses orgues)

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    En savoir plus ici:

    http://www.forez-info.com/encyclopedie/memoire-et-patrimoine/226-petite-histoire-de-la-cathedrale-saint-charles.html

    Les orgues de la cathédrale (titulaire Paul Engénieux) ont été construites en 1967 par Athanase Dunand, et restaurées en 2008 par Michel Jurine.

     

    http://www.leprogres.fr/sortir/2014/04/04/concert-d-orgues-une-premiere-a-la-cathedrale-stephanoise-saint-charles

     

     

     

     

     

     

  • Mon poème inédit pour la St Didier le 23 mai(mon mari):Je n'écris plus

    Je n'écris plus 

    Mais je t'aime de plus

    En plus

     

    Je crie beaucoup

    Et je te pousse à bout

    Mais ça reste nous

     

     

     

    J'ai toujours mal

    Et ça me fait aussi mal

    De t'aimer mal

     

    Je parle trop

    Du boulot

    C'est un de mes maux

     

    Je me plains sans cesse

    Mais jamais je ne cesse

    De désirer tes caresses

     

    Tu m'as fait si peur

    Peur de perdre le bonheur

    De nos corps à cœur

     

    Je n'écris plus 

    Mais je t'aime de plus

    En plus

     

    Vendredi 22 mai 2015,18h48

    BONNE FETE

     

  • Nous avons aimé cet après-midi au MAM de St Etienne:Jacques Villeglé

    Jacques Villeglé
    Jacques Villeglé. Photo : Yves Bresson/MAMC.
    Mémoires
    Du 05 mars 2016 au 22 mai 2016
     

    L’exposition "Mémoires" dans la salle centrale du Musée accueille Jacques Villeglé, figure majeure du courant des Nouveaux réalistes. Cette exposition exceptionnelle et unique est consacrée à un nouveau projet de l’artiste, créé spécialement pour l’occasion. Pour la première fois, Villeglé se met à l’épreuve de l’installation.

    Cet évènement est entouré d’un certain mystère : la manifestation restera unique et sera dévoilée le soir même du vernissage.

    L’artiste a choisi délibérément de nous intriguer avec le projet de l’exposition "Mémoires".

    En metteur en scène consommé, Jacques Villeglé campe sur la posture adoptée aux lendemains de la seconde guerre mondiale : "L’artiste est celui qui, au carrefour du monde, lorsque l’esprit tourne à tous les vents, est sur le point de coïncidence entre l’homme de l’art et le profane, le régulier et le séculier, le collectif et l’individu. Lautréamont a dit que l’art doit être fait par tous et non par un".(*)

    Commissariat : Martine Dancer-Mourès, Conservateur du patrimoine du Musée d’art moderne et contemporain et Carine Roma-Clément.

    (*) Jacques Villeglé, "Un homme sans métier", Éditions Janninck collection L’art en écrit, 1995.



    AGENDA AUTOUR DE L'EXPO

    04-03-2016
    VERNISSAGE

    05-03-2016
    LA BOUTIQUE | Séance de signature

    12-05-2016
    RENCONTRE AVEC UN ARTISTE | Jacques Villeglé



    RESSOURCES

    CATALOGUE

    Jacques Villeglé, Mémoires
    Titre : Mémoires / Textes : Martine Dancer-Mourès, Lóránd Hegyi, Carine Roma-Clément, Stéphane Zagdanski / Langues : bilingue français - anglais / 104 pages / 50 illustrations / relié 20 x 26,5 cm / Fage Éditions / Date de parution : mars 2016 / ISBN 9782849754030 / Prix : 28 euros / En vente à La Boutique du Musée / En consultation à la bibliothèque Jean Laude.
    Les catalogues des expos en cours


    INFOS ET TARIFS

    Horaires | Visites commentées | Tarifs | Prises de vue

    L'expo dans les salles :

     

    jacques,villegle,memoires
    Jacques Villeglé, "Mémoires", 2016. © ADAGP, Paris 2016.
     
    jacques,villegle,memoires
    Jacques Villeglé, "Mémoires", 2016. © ADAGP, Paris 2016. Crédit photo : Yves Bresson, François Poiret/MAMC, 2016.
     
    jacques,villegle,memoires
    Jacques Villeglé, "Mémoires", 2016. Vue de l'installation in situ. © ADAGP, Paris 2016. Photo : Yves Bresson.
     
    jacques,jacques,villegle,memoiresvillegle,memoires
    Jacques Villeglé, "Mémoires", 2016. Vue de l'installation in situ. © ADAGP, Paris 2016. Photo : Yves Bresson.
     
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    Jacques Villeglé, "Mémoires", 2016. Vue de l'installation in situ. © ADAGP, Paris 2016. Photo : Yves Bresson.
     
      
    Jacques Villeglé
    Mémoires
    Du 05 mars 2016 au 22 mai 2016
     

    L’exposition "Mémoires" dans la salle centrale du Musée accueille Jacques Villeglé, figure majeure du courant des Nouveaux réalistes. Cette exposition exceptionnelle et unique est consacrée à un nouveau projet de l’artiste, créé spécialement pour l’occasion. Pour la première fois, Villeglé se met à l’épreuve de l’installation.

    Cet évènement est entouré d’un certain mystère : la manifestation restera unique et sera dévoilée le soir même du vernissage.

    L’artiste a choisi délibérément de nous intriguer avec le projet de l’exposition "Mémoires".

    En metteur en scène consommé, Jacques Villeglé campe sur la posture adoptée aux lendemains de la seconde guerre mondiale : "L’artiste est celui qui, au carrefour du monde, lorsque l’esprit tourne à tous les vents, est sur le point de coïncidence entre l’homme de l’art et le profane, le régulier et le séculier, le collectif et l’individu. Lautréamont a dit que l’art doit être fait par tous et non par un".(*)

    Commissariat : Martine Dancer-Mourès, Conservateur du patrimoine du Musée d’art moderne et contemporain et Carine Roma-Clément.

    (*) Jacques Villeglé, "Un homme sans métier", Éditions Janninck collection L’art en écrit, 1995.



    AGENDA AUTOUR DE L'EXPO

    04-03-2016
    VERNISSAGE

    05-03-2016
    LA BOUTIQUE | Séance de signature

    12-05-2016
    RENCONTRE AVEC UN ARTISTE | Jacques Villeglé



    RESSOURCES

    CATALOGUE

    Jacques Villeglé, Mémoires
    Titre : Mémoires / Textes : Martine Dancer-Mourès, Lóránd Hegyi, Carine Roma-Clément, Stéphane Zagdanski / Langues : bilingue français - anglais / 104 pages / 50 illustrations / relié 20 x 26,5 cm / Fage Éditions / Date de parution : mars 2016 / ISBN 9782849754030 / Prix : 28 euros / En vente à La Boutique du Musée / En consultation à la bibliothèque Jean Laude.
    Les catalogues des expos en cours


    INFOS ET TARIFS

    Horaires | Visites commentées | Tarifs | Prises de vue

    L'expo dans les salles :

    http://www.mam-st-etienne.fr/index.php?rubrique=30&exposition_id=303
     
  • Nous avons aimé cet après-midi au MAM de St Etienne:Lee Kang-So

    Lee Kang-So,
    Lee Kang-So, "Emptiness-09092" (Vide-09092), 2009. Acrylique sur toile. 194 x 259 cm. Courtesy de l'artiste et de la Wooson Gallery.
     
    Lee Kang-So,Emptiness
    Lee Kang-So, "Emptiness-13108 " (Vide-13108), 2013. Acrylique sur toile. 218,2 x 333,3 cm. Courtesy de l'artiste et de la Wooson Gallery.
     
    Lee Kang-So, "From an Island-07247" (À partir d'une île-07247), 2007. Acrylique sur toile. 218,2 x 291 cm. Courtesy de l'artiste et de la Wooson Gallery.
    Du 13 février 2016 au 16 octobre 2016
     

    À l’occasion de l’année France-Corée 2015-2016, le Musée poursuit son ouverture sur la scène artistique coréenne et accueille deux expositions temporaires consacrées à Lee Kang-So et Choi Byung-So.

    Depuis 2005, le Musée a accueilli de nombreuses expositions d’artistes coréens Lee Ufan (2006), Hwang Young-Sung (2007), Chung Sang-Hwa (2011), Lee Bae et Kim Sooja (2012), Lee Bul, Hye-Yeon Park, Seung-Yong Song, Bae Bien-U (2015), ... Il contribue à mieux faire connaître la scène artistique extrême orientale encore peu présente en France.

    Le Musée expose en 2016 Lee Kang-So et Choi Byung-So, deux artistes majeurs de la scène coréenne peu connus en France. Ils ont participé à de nombreuses expositions en Asie et aux États-Unis.

    Lee Kang-So est né en 1943 et débute en tant que “performer“ dans les années 1970. Il présente des peintures, empreintes d’une beauté rare et provocante. À travers ses toiles, il revisite et actualise la peinture classique coréenne, centrée sur la représentation du paysage, et construit un travail aux nombreuses références. Entre la tradition calligraphique asiatique et la peinture gestuelle occidentale, le geste élémentaire transporte le visiteur dans un univers imaginaire, sensuel et énigmatique.



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    04-03-2016
    VERNISSAGE



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    CATALOGUE

    Lee Kang-So
    Titre : Lee Kang-So / Textes : Lóránd Hegyi, Minemura Toshiaki, Lee Kang-So / Langues : bilingue français - anglais - (traduction des textes en coréen en fin d'ouvrage) / 425 pages / Fage Éditions / Date de parution : mars 2016 / ISBN 9788996695370 / Prix : 60 euros / En vente à La Boutique du Musée / En consultation à la bibliothèque Jean Laude.
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