En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Qui a eu cette idée folle Un jour d'inventer la photo? Qui a eu cette idée folle Un jour d'inventer la photo ? Ce sont ces sacrés frères Lumière Sacrés frères Lumières
De fixer les moments de nos vies Que sur des plaques autochromes De fixer les moments de nos vies Sur des clichés jaunis
Ce sont ces sacrés frères Lumière Sacrés frères Lumière
Ces enfants de Besançon Avaient de l’ambition Et sont montés à Lyon Pour parfaire leur belle invention
Qui a eu cette idée folle Un jour d'inventer la photo? Qui a eu cette idée folle Un jour d'inventer la photo ? Ce sont ces sacrés frères Lumière Sacrés frères Lumières
Yukiho et Ryoj ont deux points communs : ils fréquentent la même école et la mère de Yukiho est la dernière personne à avoir vu le père de Ryoji avant qu'il soit assassiné. Après une enquête infructueuse, l'affaire est classée sans suite. Les années passent. Yukiho devient lycéenne, puis étudiante ; elle se marie, divorce, se remarie, dans une éblouissante ascension sociale. Ryoji,...
Editeur : Actes Sud Date de parution : 6 Mai 2015 Catégorie : Policier et Suspense Voir le livre »
L'hyperstructure tout en voiles de verre dessinée par l'architecte Franck Gehry ouvrira ses portes au public le 27 octobre.
Frank Gehry, portrait d'un architecte urbaniste
Après la pose de la première pierre de la fondation Luma à Arles, l'Américano-Canadien inaugure la fondation Vuitton dans le bois de Boulogne et voit toute sa carrière consacrée au Centre Pompidou. Bernard Arnault lève le voile sur sa Fondation
En attendant le détail de la programmation de cette 13e édition, et alors que certains éléments du programme ont déjà été dévoilés, coup d'œil sur les sections permanentes qui forgent, année après année, l'identité d'un festival devenu l'un des plus importants de sa catégorie. Comme à chaque édition, ces sections seront accompagnées d'une programmation dédiée au Prix Lumière, remis cette année à Jane Campion, d'invitations à des artistes, de grandes soirées, ainsi que des célébrations et nombreux événements qui font de Lumière la grande fête du cinéma classique et le lieu de célébration du grand écran !
Histoire permanente des femmes cinéastes
Pour chaque édition, le festival Lumière propose au public la rétrospective d’une cinéaste dont le travail a été parfois oublié, ou entravé par le contexte conservateur de son époque. Le cycle Histoire permanente des femmes cinéastes a permis la redécouverte des œuvres d'Alice Guy, Germaine Dulac, Larissa Chepitko, Muriel Box, Dorothy Arzner, Ida Lupino, Lina Wertmüller ou encore Joan Micklin Silver. Cette année, le festival proposera une rétrospective intégrale des films de la seule réalisatrice de l'âge d'or du cinéma japonais : Kinuyo Tanaka, en collaboration avec Carlotta.
Classiques en noir et blanc
Au Louvre La Joconde et au festival Lumière Orson Welles, Roberto Rossellini ou Yasujirō Ozu. Parce que vous avez peut-être déjà vu ces films, mais jamais dans ces conditions (en séances présentées, sur grand écran, dans leur dernière restauration), Lumière propose chaque année une sélection de monuments de l’histoire du cinéma. Pour s’ébahir, s’émouvoir et transmettre.
Sublimes moments du muet
Des frères Lumière au Chanteur de Jazz, les trente premières années du siècle dernier ont façonné un art, inventé un langage et créé une industrie. C’est pour rendre hommage à la beauté et à la grandeur du cinéma muet que le festival Lumière propose chaque année des films de cette époque, souvent accompagnés en ciné-concert. Et comme le disait Norma Desmond, magnifique héroïne du Boulevard du crépuscule de Billy Wilder : « Nous n’avions pas besoin de dialogue, nous avions des visages..»
Lumière Classics
À la fois une programmation-clé de chaque édition et un label destiné à soutenir les films sélectionnés, Lumière Classics est un écrin particulier, afin de mettre en valeur le travail de restauration des archives, producteurs, ayant-droits, distributeurs, studios et cinémathèques. Restaurations inédites présentées en amont de leur sortie en salle.
Trésors et curiosités
Section composée de films rares et récemment restaurés, Trésors et curiosités nous rappelle l’importance de se plonger dans des territoires cinématographiques souvent peu connus et pourtant indispensables. Elle souligne aussi le travail conséquent et actif des cinémathèques et archives du monde entier pour faire vivre le cinéma classique.
Marc Toulin, photographe et réalisateur né à Paris en 1959, vit depuis plus de vingt ans à Rouen. Ses activités professionnelles l’ont amené à arpenter le monde pour de nombreux reportages photographiques et des documentaires pour la télévision. Sensible à la démarche artistique de Skerzo projetant sur la cathédrale de Rouen des tableaux de lumière, inspiré par la magie du moment, il s’est orienté vers un travail épuré. Par alchimie entre les lumières projetées et leur effet sur la pierre ancienne, les clichés de Marc Toulin recréent ici la vision d’une nouvelle matière photographique.
" J’en demande pardon aux professionnels, je ne puis résister à l’envie de m’établir, pour un jour, " critique d’art ". La faute en est à Claude Monet. Je suis entré chez Durand-Ruel, pour revoir à loisir les études de la cathédrale de Rouen dont j’avais eu la joie dans l’atelier de Giverny, et voilà que cette cathédrale aux multiples aspects, je l’ai emportée avec moi. Je ne puis m’en débarrasser. Elle m’obsède. Il faut que j’en parle, et, bien ou mal, j’en parlerai. " Georges Clemenceau. Cet article, paru dans La Justice le 20 mai 1985, témoigne de la profonde entente qui liait l’artiste et l’homme politique, son voisin de campagne et ami. Monet a peint entre 1982 et 1983 trente toiles sur le thème de la cathédrale de Rouen.
Par marie-caroline-missir (Express Yourself), publié le10/12/2012 à 18:56, mis à jour à 19:12
"Etaler le 8 décembre sur quatre jours, c'est un truc d'hérétique", s'agace notre contributrice Marie-Caroline Missir, journaliste chef des infos à L'Express. Cette lyonnaise d'origine déplore l'évolution, année après année, d'une fête autrefois confidentielle.
LYON- "Il y a une vingtaine d'années, les lyonnais mettaient discrètement sur leur fenêtre un petit lumignon. Nous seuls savions ce que ça voulait dire", se souvient notre contributrice. Depuis, la Fête des Lumières a pris de l'ampleur.
Pacmanise me - Place Sainte Anne - Theorz Crew
Quatre millions de visiteurs, quatre jours de festivités, un événement internationalement prisé: la Fête des Lumières, ce n'est plus ce que c'était. Et ça n'a plus grand-chose de lyonnais.
Parce que le lyonnais, si chauvin soit-il, aime la discrétion et fuit l'ostentation. En bonne lyonnaise, exilée dans la capitale, je veux plaider pour un retour aux origines. Certes, la Fête des Lumières a permis de parler de Lyon autrement que pour le saucisson ou les bouchons, mais où est passée l'âme du 8 décembre?
Pour commencer, le 8 décembre ce n'est pas le 9, le 10 ni le 7. C'est le 8. Point final. Etaler le 8 décembre sur quatre jours, c'est un truc d'hérétique.
Ensuite, le 8 décembre, pour tous ceux qui sont nés dans les années 70, consiste surtout à essayer de glisser un lumignon dans un pot de yaourt en verre pour les installer sur sa fenêtre. Tout lyonnais qui se respecte saura de quoi je parle. L'opération suppose surtout une consommation effrénée de laitages d'une marque bien connue, des semaines durant. Et tout lyonnais qui se respecte en garde une sainte horreur des yaourts nature.
Le 8 décembre, à l'origine, c'est une histoire de peste noire et de Vierge Marie
Il y a une vingtaine d'année, le 8 décembre était une fête pour initiés. L'idée que l'on puisse en parler dans les medias nationaux à grand renfort de communication et d'opération touristique était inenvisageable. Cela nous conférait, à nous lyonnais, une aura de mystère, un lien invisible et sacré, bien au delà du Parc de la Tête d'Or. Tous les lyonnais, partout dans le monde, mettaient discrètement sur leur fenêtre un petit lumignon. Et nous seuls savions ce que ça voulait dire.
Le 8 décembre dans les années 80 c'était l'occasion de manger des merguez et des marrons chauds, avec, les bonnes années, un concert de Jean-Michel Jarre. Personne ne savait ce que c'était, hormis de la Croix-Rousse à Bellecour, et c'était très bien comme ça.
Enfin, le 8 décembre, à l'origine, c'est une histoire de peste noire et de Vierge Marie. Cela n'a pas grand-chose à voir avec les plasticiens branchés et les cars de touristes australiens. Tous les lyonnais le savent: oui, la ville a été sauvée de la grande peste par la maman du petit Jésus (qui à Lyon est aussi un saucisson). Et c'est pour cette raison qu'un grand "Merci Marie" en lettre capitale est allumé aux pieds de la Basilique de Fourvière....J'ai longtemps cru que c'était moi qu'on remerciait.
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
Témoin prestigieux de l'architecture du début du XXe siècle, le Palais Lumière (thermes d'Evian de 1902 à 1984) a été reconverti en espace culturel et de congrès en 2006. Il accueille:
Né il y a trois siècles, l’auteur des Confessions incarne mieux qu’aucun autre «l’homme sensible» adulé par le XVIIIe siècle : celui qui pense par concepts autant que par envolées littéraires, chants et élans du coeur. Plus que tout autre, il a souhaité mettre l’éducation et la transmission au coeur de ses préoccupations, et à cet égard son tricentenaire vaut comme un rappel. À l’heure où toute l’Europe se prépare à méditer sur l’héritage de Rousseau, Le Magazine Littéraire revient sur la vision des sciences, des arts et de l’éducation du philosophe ; sur son rapport au progrès, à la nature, à la religion, ainsi que sur ses aptitudes musicales, sa passion pour la botanique et les débats enflammés que sa pensée a toujours suscités. Un dossier coordonné par Maxime Rovere, avec les contributions de Michael O’Dea, Béatrice Didier, Bruno Bernardi, André Charrak, Jean-François Perrin, Céline Spector…
Pour lire la suite et d'autres textes de moi, cf. mes 13 livres en vente sur ce blog
Nouveau jeu d'Enriqueta (27/08). Sans date limite.
Ecriture libre sur le thème "De l'ombre ou de la lumière". Vous pouvez glisser cette expression dans votre texte, utiliser les mots du champ lexical ombre et du champ lexical lumière... Les visuels sont aussi les bienvenus.
Laissez vous inspirer par Calogero et Grand Corps Malade.
Déjà 5 participations :
La première participation est un visuel d'ABC...Ombre et lumière de Justequelqu'un...et de Crystal...Deux autres visuels : Nicole...et Jackie...
La liste de mes jeux en cours est toujours dans la colonne de gauche.
"Depuis le temps qu'on espère, retrouver dans un sourire toutes les lois de l'univers".
Dans Élémentaire, mon cher Voltaire!, le livre de Frédéric Lenormand issu de la série «Voltaire mène l'enquête», le romancier joue le détective pour sauver une grande amie.
Situé le long de la nouvelle rue Flandin au sud-est de la Part-Dieu, le nouveau siège régional du groupe Orange, baptisé Orange Lumière, est officiellement inauguré et accueille ses premières équipes depuis la rentrée 2020. A l’issue de 3 années de travaux, le projet a permis l’édification de deux bâtiments de 8 étages connectés au central téléphonique historique Lacassagne, œuvre de l’architecte André Gutton.
Inscrit dans la stratégie immobilière du groupe Orange, ce projet vise à rationaliser les implantations de l’entreprise sur la Métropole de Lyon. L’ensemble des équipes de la division Centre-Est du groupe Orange, soit 2600 salariés sont regroupés sur ce site qui vient en complément des 1 500 salariés installés depuis 2019 dans le site mitoyen de Sky 56, rue Mouton-Duvernet. Orange devient à ce titre l’un des principaux employeurs de la Part-Dieu, membre du Club des Entreprises de la Part-Dieu qui rassemble 67 entreprises soit la moitié des salariés du quartier. Une implication qui permet notamment de prendre part aux sujets de mobilité et d’impliquer les salariés aux événements inter-entreprises de la Part-Dieu.
Un projet urbain partenarial réussi, associant immobilier et espaces publics
La SPL Lyon Part-Dieu, la Ville et la Métropole de Lyon, Orange et Pitch promotion ont élaboré un projet urbain partenarial (PUP) pour penser ensemble la requalification du secteur avec une participation du privé au financement des aménagements publics. Le projet a en effet inclus la rétrocession à la Métropole de Lyon d’une parcelle pour l’agrandissement de l’esplanade Nelson Mandela, un espace vert de pause, de respiration et de pratique sportive en bordure du nouveau siège d’Orange et que la SPL Lyon Part-Dieu aménagera à horizon 2024 sur 1,7 hectares.
Côté espace public, la SPL Lyon Part-Dieu a aménagé un parvis piéton arboré et la nouvelle rue Flandin, dont la conception a été assurée par Artelia associé à Passagers des Villes. La SPL a également accompagné Pitch promotion dans la connexion des locaux vélos du siège d’Orange aux nouvelles bandes cyclables à double sens de la rue Flandin.
Un projet durable qui s’appuie sur l’héritage du style Part-Dieu et la végétalisation
Conçus par les architectes Hubert Godet Architectes / Hardel + Le Bihan, les deux nouveaux bâtiments de 26 000 m2 dialoguent avec l’architecture post-moderne du central téléphonique Lacassagne, aux ornementations de brique et de béton blanc. La spécificité du projet tient à cette particularité d’avoir relié les bureaux et le bâtiment technique en un seul et même site. Les bâtiments sont connectés par une grande allée centrale animée et deux passerelles en étages. Au rez-de-chaussée, un vaste socle de 800 m² transparent sur l’espace public accueille les espaces de restauration.
Ce projet est durable par plusieurs aspects : labellisation NF HQE Bâtiments tertiaires neufs niveau excellent (en phases programmation, conception et réalisation), raccordement aux chaud et froid urbains, présence de 3000 m2 de terrasses et de toitures végétalisées, division par deux du nombre de places de stationnement voiture par rapport aux anciens sites, développement d’un local vélo avec services intégrés.
Ce projet marque également la poursuite du redéveloppement de la partie sud-est du quartier en lien avec les implantations des Archives départementales et métropolitaine, plusieurs bâtiments de bureaux et une centrale de production de froid urbain qui alimentera le quartier de la Part-Dieu pour répondre aux besoins des nouveaux programmes.
En chiffres
2600 salariés 26000 m2 de surface 3000 m2 de terrasses et de toitures végétalisées
Les Bassins des Lumières à Bordeaux accueille deux nouvelles expositions numériques immersives : « Venise, la Sérénissime » (programme long) et « Sorolla, promenades en bord de mer » (programme court). La première invite à un voyage à travers la Sérénissime, son architecture et ses célèbres peintres ; la seconde nous plonge dans l'œuvre du grand peintre de la lumière, Joaquín Sorolla, figure majeure de la peinture espagnole du XXe siècle.
Par Emmanuelle Lequeux • le 26 octobre 2022 Disparu ce mercredi à l’âge de 102 ans, Pierre Soulages (1919–2022) a exploré plus qu’aucun autre la lumière à travers le noir, « une couleur violente, mais qui incite pourtant à l’intériorisation ». À l’occasion de son centenaire célébré par le musée du Louvre et le musée Fabre en 2019, Beaux Arts revenait sur les origines de l’outrenoir. Pierre Soulages dans son atelier parisien le 5 décembre 2002 Pierre Soulages dans son atelier parisien le 5 décembre 2002
i C’est un autre pays. Une terre qui ne verrait jamais le jour si ce n’est en ses solstices, ses épiphanies et ses nuits sans sommeil. Un territoire où le noir est roi, en ses plus irradiantes lumières. L’outrenoir est ce continent où Pierre Soulages a décidé de dériver depuis 1979. Maître du noir, il l’est depuis soixante-dix ans. Il fallait donc aller plus loin, vers une ténébreuse aurore boréale où le noir serait, enfin, un au-delà, plus qu’un être-là. C’est un jour de 1979, donc, que la conscience lui vient soudain de ce nouveau voyage nécessaire. Le peintre comprend alors qu’il travaillait non pas avec du noir, mais avec « la lumière réfléchie par la couleur noire
Il a marqué de son œuvre au noir l’histoire du XXe siècle, révélant aux yeux du monde les nuances insoupçonnées d’une soi-disant « non-couleur ». Beaux Arts rend hommage à Pierre Soulages, géant disparu dans la nuit du 25 au 26 octobre 2022 à l’âge de 102 ans.
De sa naissance à Rodez à l’ouverture de son musée en passant par l’invention de l’outrenoir, retour sur le parcours et les œuvres clés de l’un des plus grands peintres de la scène française.
« J’étais dans un tel état d’exaltation, je me suis dit qu’il n’y a qu’une chose importante dans la vie, c’est l’art. Et j’aime la peinture, je serai peintre. »