Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Direction Tokyo pour la galerie Ceysson & Bénétière(une autre déjà St Etienne)
L’enseigne d’art contemporain ouvrira au second semestre 2024 un ambitieux espace dans la capitale du Japon.
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L’enseigne d’art contemporain ouvrira au second semestre 2024 un ambitieux espace dans la capitale du Japon.
Inauguré en 1888, l’édifice se distingue par sa monumentale façade sculptée et émaillée et son plan en U. Il accueillait à l’origine trois institutions : le Musée d’Art, le Muséum d’Histoire naturelle et la bibliothèque.
Labellisé "Musée de France", le Musée d'Art dispose de fonds d'art ancien et moderne, contemporain, d’arts graphiques ainsi que des objets archéologiques et ethnographiques.
Autre point fort de la collection : L’Orient et le voyage en Méditerranée. Les peintres provençaux (Coudouan, Ziem, Tournemine, Montenard…) ne sont pas indifférents à l’engouement pour l’Orient qui se manifeste au XIXe siècle. Cette fascination les entraîne vers une exploration nouvelle de la lumière et des couleurs.
Pour des raisons de conservation, ces œuvres seront présentées au public par roulement, sous forme d’expositions temporaires dans le cabinet d’Arts graphiques.
Elle allie le respect des normes en vigueur (accessibilité, sécurité, éclairage, température, acoustique, hygrométrie, etc.) et la valorisation des précieuses collections du musée, tout en étant à même d’accueillir des expositions nationales, voire internationales.
Pour ce faire, les volumes ont été réorganisés, les éclairages totalement revus, les cheminements revisités et les thématiques choisies avec soin.
Le bâtiment a été totalement repensé. De fait, dès l’arrivée sur le boulevard Leclerc, la transformation saute aux yeux : la cour intérieure, totalement réaménagée, est passée d’un dénivelé de 2,5m à une pente douce accessible à tous, agrémentée de bassins d’eau et largement ouverte sur la ville. Le volume du hall a été multiplié par deux, un ascenseur (pour les personnes à mobilité réduite) et un monte-charge (pour les œuvres) ont été installés et la lumière naturelle baigne à nouveau l’escalier monumental. Jean-Louis Duchier, l’architecte du projet souligne que c’est un pari fou, compte tenu des délais, mais un pari tenu.
La profonde réhabilitation dont le musée a fait l'objet l'a complètement métamorphosé dans le respect du passé . La bibliothèque a été conservée « dans son jus », mais une partie de celle-ci est devenu un cabinet de curiosités. A l’entresol, ouverture de la mezzanine et création d’un cabinet d'arts graphiques. Le musée propose en outre plusieurs espaces à vocations spécifiques : une salle de lecture consacrée à l’art régionaliste (complétant l’offre de Chalucet), un lieu dédié à la médiation culturelle ainsi que des espaces de bureau et de conservation.
https://toulon.fr/envie-bouger/article/musee-d-art-de-toulon-mat
fascicule sur ce peintre:
http://peintres-officiels-de-la-marine.com/Barbaroux-Edmond/Barbaroux-Edmond.html
voyage à Toulon:
les autres épisodes:
http://www.lauravanel-coytte.com/voyage-a-toulon-du-28-juillet-au-1-er-aout-2022
des marque pages d'oeuvres
en souvenir:
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Fichier:Dinet_-_Une_crue_de_l%27%27Oued_M%27%27Zi.jpg
https://www.auction.fr/_fr/lot/simon-hantai-laquo-etude-pour-pierre-reverdy-raquo-1969-3892983
http://www.dossier-art.com/numero-250/musee-d-arts-nantes.4715.php
L'oeuvre, qui rappelle une autre toile de l'artiste figurant le même paysage et conservée au Museum of Fine Arts de Cleveland, représente les massifs des Dents du Midi et du Grammont, vus depuis la terrasse de la maison de « Bon-Port » à la Tour-de-Peilz, dans laquelle Gustave Courbet a vécu ses années d'exil politique. Elle témoigne de « l'ambiguïté des sentiments [du peintre] au cours de son exil : fascination pour le paysage grandiose des montagnes suisses, angoisse de l'emprisonnement et de l'inéluctable maladie, aspiration à la liberté ». Pour la conservatrice en chef, responsable du pôle Beaux-Arts, Laurence Madeline, le musée d'Art et d'Histoire de Genève se devait d'acquérir cette vue idéale des Alpes, qui enrichit la collection du musée de paysages alpins. Uniquement répertorié dans le Catalogue raisonné de l'oeuvre de Courbet établi en 1977 par Robert Ferrier, Panorama des Alpes sera présenté au public pour la première fois lors de l'exposition « Courbet. Les années suisses » au Musée Rath, du 5 septembre 2014 au 4 janvier 2015.
Gustave Courbet (1819-1877)
Panorama des Alpes, vers 1876
Huile sur toile - 140 x 64 cm
Genève, Musée d’Art et d’Histoire
Photo : Bettina Jacot-Descombes/MAH de Genève
20/5/14 - Acquisition - Genève, Musée d’Art et d’Histoire - Le Musée d’Art et d’Histoire de Genève vient d’acheter auprès d’un particulier un grand tableau de Gustave Courbet représentant un Panorama des Alpes, peint dans les dernières années de la vie de l’artiste après son exil en Suisse.
La vue où l’on reconnaît les massifs des Dents du Midi et du Grammont, est celle qui s’offrait à lui depuis la terrasse de la maison de « Bon-Port » à la Tour-de-Peilz, village où il s’était réfugié et où il mourut en 1877.
Cette toile rappelle un autre paysage alpin de Courbet conservé au Cleveland Art Museum. Mais s’il y peint la même chaine montagneuse, celle-ci prend désormais tout l’espace du tableau où ne figure plus la figure d’un berger entouré de ses chèvres. Si la marque de Courbet sur les paysages de Gustave Doré a souvent été soulignée, il est intéressant de voir ici ce qui pourrait être le signe d’une influence inverse.
L’œuvre, qui témoigne comme le souligne le communiqué du musée « de la puissance picturale de l’artiste à une époque où il était généralement considéré comme un peintre « "fini" », n’avait jamais été exposée au public. Elle figurait dans l’inventaire après décès de l’artiste puis en 1915 dans celui de Juliette Courbet sa sœur, qui avait hérité de ses biens.
Elle sera présentée pour la première fois dans l’exposition « Courbet, les années suisses » qui aura lieu au Musée Rath du 5 septembre 2014 au 4 janvier 2015.
http://www.latribunedelart.com/geneve-achete-un-panorama-des-alpes-de-gustave-courbet
Né en 1926 à Lyon, l’artiste vit et travaille à Cotignac depuis 1962.
Il doit beaucoup à son père, Marcel Avril, peintre du groupe Témoignage et précoce collectionneur d’art africain. Berger en Provence, puis manœuvre à Villeurbanne après la guerre, Avril dit qu’il gardait cependant l’esprit disponible pour penser à la peinture. Visiteur assidu du musée Saint-Pierre, l’autodidacte peint alors des huiles sur papier.
En 1957, il commence à exposer à Lyon au Salon du Sud-Est des peintures colorées sous l’influence de Dufy, Bonnard et Matisse et à la manière de Fusaro et Cottavoz.
Un voyage d’un an en Afrique en 1960, la rencontre de Louis Pons, dessinateur et assembleur d’objets, la découverte du village de Cotignac, grâce à Jean Arène, où il choisira ensuite de vivre, modifient progressivement son orientation artistique. Enthousiasmé par l’œuvre de Gaston Chaissac qu’il découvre à Nantes, il convainc le critique René Deroudille d’organiser en 1968 une exposition de l’artiste au musée des Beaux-Arts de Lyon.
Les premiers montages d’Armand Avril constitués de bouchons de liège taillés, disposés dans des casiers d’imprimerie sont révélés lors de sa première exposition personnelle à la galerie lyonnaise Le Lutrin en 1970 chez Paul Gauzit. Puis les assemblages se diversifient : à travers des matériaux de récupération bricolés, parfois peints puis collés sur des panneaux de bois, s’exprime un univers poétique débordant d’humour et de vitalité.
L’artiste joue avec des effets d’accumulation ; les compositions étagées, telles des objets totémiques, évoquent parfois les rites de magie de cultures lointaines. Le thème de la mort apparaît aussi, mêlé à celui du sacré, dans des sortes de reliquaires d’un art populaire sans âge. En 2008, le Musée des Beaux Arts de Lyon, son Musée-école, lui rend hommage lors d’une exposition rétrospective. C’est pour lui une consécration. Avril poursuit une œuvre prolifique et singulière loin des contingences des modes, dans sa maison-atelier de Cotignac, magnifique bric-à-brac du grand collectionneur où le moindre espace saturé d’objets révèle l’univers intérieur de ce magicien inclassable.
La future Comédie de Saint-Etienne
31, Boulevard Jules Janin – Parc François Mitterrand 42000 Saint-Étienne
http://www.cinemas-lumiere.com/
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