Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Jean Hélion. La prose du monde au musée d’Art Moderne de Paris
https://www.beauxarts.com/produit/jean-helion-la-prose-du-monde/
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
https://www.beauxarts.com/produit/jean-helion-la-prose-du-monde/
MAGNIFIQUE!!!!!!
sous la direction de Helmut Friedel et Annegret Hoberg ; avec la participation de Evelyn Benesch, Christian Derouet, Helmut Friedel... [et al.] texte traduit de l'allemand par Olivier Mannoni, Caroline Jouannic et Odile Ménégaux
Edité par Citadelles & Mazenod , DL 2017
http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/399114/vassily-kandinsky-sous-la-direction-de-helmut-friedel-et-annegret-hoberg
Jacques Ferrandez
Edité par Casterman , 1999
http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/285953/istanbul-jacques-ferrandez
|
| ||||||||||||||||||||||||||
|
| ||||||||||||||||||||
|
Cara D.Denison, Evelyn J.Phimister et Stéphanie Wiles
Edité par The Pierpont Morgan Library , 1994
Le Liberté, scène nationale de Toulon, a ouvert ses portes au public en septembre 2011, au coeur du carré haussmannien de la Haute-Ville, en présence du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, du Maire de Toulon, et de nombreuses personnalités du monde du spectacle dont Emmanuelle Béart, Fanny Ardant, Nathalie Baye, Tonie Marshall, etc.
Ce vaste chantier, difficile en raison de la présence d’eau dans le sous-sol et d’amiante dans les combles de l’ancien cinéma, aura duré 4 ans (juillet 2007 - été 2011) pour un coût total de 12,7 millions d'euros.
Labellisé scène nationale et dirigé par Charles et Philippe Berling, deux enfants du pays, ce nouvel équipement poursuit l'objectif de devenir un pôle artistique et culturel majeur de création en Méditerranée.
Dominée par la façade cossue du théâtre de Toulon, cette vaste place étale ses terrasses dès que le soleil pointe. Quelques palmiers, la statue de Jules Muraire - plus connu sous le nom de Raimu ! on flâne et on s'attarde ici avec plaisir ?
https://www.lebonguide.com/loisirculturel/place-victor-hugo_58216
voyage à Toulon:
les autres épisodes:
http://www.lauravanel-coytte.com/voyage-a-toulon-du-28-juillet-au-1-er-aout-2022
3 rue Javelin Pagnon
42000 Saint-Etienne - France
18:00
Visite guidée en famille de l'exposition Homework, Une ecole Stéphanoise
18:00 - 00:00
Visite libre de l'exposiiton Homework, Une Ecole Stéphanoise
19:30 , 20:30 , 21:30 , 22:30
Visites guidées de l'exposition Homework, Une Ecole Stéphanoise
2, place Louis Comte
42000 Saint-Etienne - France
19:00 , 20:00 , 21:00, 22:00 , 23:00
Atelier en famille : « Bourses à coulisse »,
19:00 - 01:00
Les Plus
14:30 , 19:00 , 19:30 , 20:00 , 20:30 , 21:00 , 22:00 , 23:00 , 23:30 , 00:00
Visite guidée de l'élevage de vers à soie
2 autres évènements
LA TERRASSE - CS 10241
42000 Saint-Etienne - France
21:30 , 23:00
CONCERT / PERFORMANCE - TEMPEST
14:00 - 16:00 , 19:00 - 00:00
Visites guidées
Hôtel Jullien-Chomat de Villeneuve 11 - 13 bis rue Gambetta
42000 Saint-Etienne - France
21:00 , 22:00 , 23:00
Concert : Duo Endicha ...
19:30 , 20:30 , 21:30 , 22:30 , 23:30
Découverte de l'ilôt qui entoure l'hôtel de Villeneuve
19:00 - 00:00
Saint-Etienne au Moyen Age
1 autre évènement
Parc Joseph Sanguedolce 3, boulevard Maréchal Franchet d'Esperey
42000 Saint-Etienne - France
20:00
Edition spéciale avec AVATARIA
9:30 - 12:30 , 14:00 - 18:30
Visite découverte du Site Couriot
DATESDU 16 DÉCEMBRE 2020 AU 15 AOÛT 2021
LIEUMAMC+
Éric Manigaud prend pour sujet des épisodes de l'Histoire du XXe siècle, dont certains méconnus. L'exposition rassemble ainsi une soixantaine de dessins réalisés à partir de photographies d’archives, empreintes d’une mémoire collective sensible.
Le visiteur est immergé dès la première salle dans la matière première qui nourrit l'art d'Éric Manigaud. Des archives originales côtoient planches médicales, plaques photographiques et magazines. Des dessins de matières, eau, terre, racines en gros plan, transportent d'emblée le visiteur au cœur de l’organique. Il se perd dans les gris ouatés, la brillance du graphite, la texture du papier, le tout se confondant avec la matière représentée.
L’histoire du siècle dernier, faite d’anonymes, surgit dans la salle suivante : un couple assassiné, des femmes japonaises aux dos brûlés, des corps à terre, des espaces laissés vides après le drame... L'artiste reproduit des documents photographiques dans un format agrandi. Il porte alors à l’échelle humaine des scènes difficiles à regarder, presque insoutenables. Une confrontation physique s'instaure avec ces images souvent censurées ou confidentielles en leur temps, peut-être en vue d’une acceptation.
Pour Éric Manigaud, le passage du document au dessin se fait armé d’une gamme de crayons gras et de poudre graphite. Il effectue des micro-hachures centimètre carré par centimètre carré grâce à la projection de l’image agrandie sur le papier. Cette pratique "neutralise" l’image et met à distance les traumas du passé.
La série Madge Donohoe, du nom d’une médium australienne des années 1930, ponctue l'exposition. La médium entrait en contact avec l'au-delà en pressant son visage contre une plaque photographique. Les dessins d’Éric Manigaud dégagent tout à coup une force libératrice, puisée dans le registre de l’inconnu.
Les figures aperçues dans les salles précédentes, gueules cassées, regards prisonniers de la folie ou visages terrifiés par l’arrestation policière, passent alors du statut de fantômes à celui de vaincus, laissant un amer sentiment mélancolique.
Prolongez votre visite de l'exposition à la bibliothèque Jean Laude du Musée. Découvrez une sélection de livres d’artistes sur les thématiques des violences, des conflits, des guerres, dans le cadre des expositions d'Éric Manigaud, La mélancolie des vaincus et de Léa Belooussovitch, Feelings on felt. Que ce soit au travers de reproductions de photographies ou encore de coupures presse, appréhendez des épisodes marquants de l'histoire ayant inspiré ces deux artistes dans leurs œuvres.
La bibliothèque, située au premier étage du musée, vous accueille de 14 h à 18 h le lundi, mercredi, jeudi et vendredi, et sur rendez-vous en juillet et août.
Éric Manigaud est né en 1971, il vit et travaille à Saint-Étienne. Agrégé d’arts plastiques, il expose régulièrement son travail en France et à l’étranger. Ses œuvres font partie de collections publiques et privées. Il est représenté par la galerie Sator à Paris, la Galerie C à Neuchâtel et la Fifty One Gallery à Anvers.
En savoir plus : https://galeriesator.com/eric-manigaud-oeuvres
Aurélie Voltz
Directrice du MAMC+
Éric Manigaud, La mélancolie des vaincus
Textes d'Aurélie Voltz, Jean-Christophe Bailly et Philippe Dagen. Bilingue français – anglais. Coédité avec Snoeck Publishers, les galeries C, Fifty-One et Sator. 100 pages. ISBN 9789461616289. Prix : 25 euros.
ENV. 60 DESSINS
CONFRONTATION PHYSIQUE À L'IMAGE
Cinq ans après sa disparition, et près de quinze ans après la dernière rétrospective, le musée rend hommage au peintre d’origine chinoise Zao Wou-Ki (1921–2013).
Issu d’un milieu lettré et fortuné, Zao Wou-Ki quitte son pays après avoir découvert l’art occidental à travers Picasso, Cézanne et Matisse. Arrivé à Paris à tout juste 27 ans, il entre aux Beaux-Arts, fréquente les milieux d’avant-garde et se lie avec le poète Henri Michaux, qui lui permet de vendre ses premières toiles. Marqué par l’influence de Paul Klee lors d’un séjour à Berne en 1951, il prend le parti de l’abstraction. Naturalisé français en 1964, à l’instigation d’André Malraux, il poursuit une carrière à la fois d’artiste et de professeur.
Poète de la couleur, qu’il rend avec un art subtil de la transparence, Zao Wou-Ki allie au paysagisme abstrait la puissance d’évocation de la calligraphie, pour donner naissance à une œuvre complexe.
Beaux Arts Éditions revient sur l’œuvre de Zao Wou-Ki, sa complexité, sa poésie. L’album s’attache à redonner sa place dans l’histoire de l’art de la seconde moitié du XXe siècle ; souligne l’ouverture et la modernité d’une œuvre au croisement de deux civilisations.
Exposition au musée d’Art moderne de la Ville de Paris,
du 1er juin 2018 au 6 janvier 2019
68 pages - À paraître le 13 juin 2018 - Broché - 22 × 28.5 cm - EAN : 9791020404534
https://www.beauxarts.com/produit/%EF%BB%BFzao-wou-ki-lespace-est-silence/
| ||
Mémoires | ||
Du 05 mars 2016 au 22 mai 2016 | ||
L’exposition "Mémoires" dans la salle centrale du Musée accueille Jacques Villeglé, figure majeure du courant des Nouveaux réalistes. Cette exposition exceptionnelle et unique est consacrée à un nouveau projet de l’artiste, créé spécialement pour l’occasion. Pour la première fois, Villeglé se met à l’épreuve de l’installation. AGENDA AUTOUR DE L'EXPO 04-03-2016 05-03-2016 12-05-2016 RESSOURCES CATALOGUE
INFOS ET TARIFS Horaires | Visites commentées | Tarifs | Prises de vue L'expo dans les salles : |
|
| ||||||||||||||||||||||||
https://www.beauxarts.com/produit/les-amis-du-musee-national-dart-moderne/
sous la direction de Katharina Dohm, Claire Garnier, Laurent Le Bon, Florence Ostende
Edité par Flammarion , copyright 2017
Cela implique évidemment une conscience solide de l'espace et du temps, les deux dimensions que le paysagiste transforme dans ses projets. D'où l'
http://strabic.fr/Michel-Corajoud
L'intervention minimale Le fait qu'un lieu existe avant qu'on se propose d'y faire quoi que ce soit retentit profondément sur la nature même de l'intervention et pose, de manière radicale, la question de savoir s'il faut ou non intervenir. Le 14 septembre 1981', le sénateur Ludovico Corrao nous avait 429BERNARD LASSUS
https://books.google.fr/books?
http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/400345/l-horizon-des-lieux-reparer-par-le-paysage-concu-par-la-direction-generale-de-l-amenagement-du-logem
On en revient à Julien Gracq : trouvons des limites intégratrices. L'urbain médiéval dans la tête d'un Européen reste un espace à enceinte qui permet d'intégrer. La seule chose qui a changé, c'est que cet espace se définissait contre la forêt, et qu'aujourd'hui c'est la forêt qu'il faut protéger contre l'urbain...
J'aime la terre, ce que je vois me comble, et il m'arrive même de croire que la ligne pure des cimes, la majesté des arbres, la vivacité du mouvement de l'eau au fond d'un ravin, la grâce d'une façade d'église, puisqu'elles sont si intenses, en des régions, à des heures, ne peuvent qu'avoir été voulues, et pour notre bien. Cette harmonie a un sens, ces paysages et ces espèces sont, figés encore, enchantés peut-être, une parole, il ne s'agit que de regarder et d'écouter avec force pour que l'absolu se déclare, au bout de nos errements. Ici, dans cette promesse, est donc le lieu. ..
Yves Bonnefoy, L'arrière-pays -
Yves Bonnefoy
[éditeur scientifique Amanda Renshaw]
Edité par Phaidon. , 2013
Support : Livre
En 1833, les industriels mulhousiens rassemblés au sein de la Société Industrielle de Mulhouse décident de conserver leurs créations. Mieux ils s’efforcent de compléter ces archives en collectionnant les productions d’autres pays et d’autres temps. L’ensemble devenu vite important, se constitue de textiles du monde entier, centré sur l’impression alsacienne. La préoccupation, clairement avouée, est professionnelle : il s’agit de regrouper les productions passées pour inspirer les dessinateurs textiles et servir à leur apprentissage. Cet esprit d'émulation du dessin appliqué préside à la création, en 1857, du Musée du Dessin industriel, destiné avant tout aux praticiens. Les collections augmentent régulièrement, offrant une source de plus en plus riche aux industriels de l'impression. Ce principe d'accueil des industriels se poursuit aujourd'hui au sein du Service d'Utilisation des Documents. Une bibliothèque spécialisée d'environ 9000 volumes reçoit chercheurs et étudiants.
En 1955, est fondée une association de droit local chargée de fonder le musée sur des bases patrimoniales. Il s’installe dans le bâtiment de la rue des Bonnes Gens, construit entre 1880 et 1883 pour abriter une partie des nombreuses collections de la Société Industrielle de Mulhouse. Les expositions se succèdent, tandis que dons et achats enrichissent chaque année les collections. Outre 3 millions d'échantillons, le musée conserve près de 50000 documents textiles : métrages, dessus-de-lit, foulards, châles, etc. du XVIIIe siècle à nos jours. D'une façon plus large, l'impression s'inscrit dans une vaste famille textile dont d'importantes collections représentatives sont également conservées au Musée comme les fameux plangi, ikats, batiks : l'univers des décors textiles, en provenance du monde entier, se trouve représenté. De 1994 à 1996, le musée fait l’objet d’une restructuration complète.
Le musée a pour vocation de mieux comprendre et faire connaître l’impression textile. Musée d’art décoratif, musée industriel, musée d’histoire locale, musée de société, musée de la mode : le musée de l’impression oscille entre de nombreux pôles patrimoniaux qui ont tous leur importance.
Sa richesse, tant qualitative que quantitative est sa plus grande force. Conserver, restaurer et mettre en valeur cet ensemble unique au monde est la tâche quotidienne du musée. Expositions temporaires, publications, démonstrations d’impression à la planche de bois ou sur machine à rouleaux de cuivre, animations pour enfants et adultes, visites guidées, rééditions de documents anciens vendus à la boutique : autant d’outils au service d’un patrimoine complexe entre mémoire et création.
Pour visiter le musée:
http://www.musee-impression.com/musee/visite1.html
Vu que mon mari est dans le textile, j'ai été particulièrement attentive, ai pris des notes et lui ai fait un compte-rendu...
Récapitulatif de mon voyage dans l'est:
«Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire»
(extrait du dernier article écrit par Jean Jaurès, dans l’Humanité, le 31 juillet 1914).
Créé en 1959 à l’occasion du centenaire de la naissance de Jean Jaurès à Castres, le musée est devenu centre national en 1988.
Implanté au cœur de la ville, le Centre national et Musée Jean Jaurès a pour vocation de présenter la vie et l’œuvre du tribun. Grâce à un parcours muséographique et des expositions, il présente les idées et thèmes fondamentaux de la pensée politique des XIXe et XXe siècles.
Riche d’un fonds constitué de nombreux documents manuscrits, imprimés, ouvrages, le Centre national et Musée Jean Jaurès possède également d’importantes collections de caricatures, lithographies, dessins, articles de presse, œuvres d’art et objets divers de la IIIe République et de la vie politique en général (œuvres de Léandre, Steinlen, Eloy-Vincent, Noël Dorville, Jean Veber…), accessible aux chercheurs, étudiants, historiens et à toutes personnes intéressées.
Le CNMJJ propose en outre à la location une salle de conférences sonorisée et équipée pour la projection. (Capacité : 48 places).
Né à Castres le 3 septembre 1859, brillant élève, normalien d’exception, Jean Jaurès débute sa carrière comme professeur de philosophie.
Ecrivain et journaliste, il se lance très tôt dans la politique pour devenir, à vingt-six ans, le plus jeune député de France !
Préoccupé par les questions économiques et sociales de son temps, Jean Jaurès intervient en 1892 lors de la grande grève des mineurs de Carmaux dont il prend la défense.
Dès lors, il devient le porte-parole de la classe ouvrière toute entière en mettant son éloquence et sa plume au service des avancées sociales (liberté syndicale, création des caisses de retraite…).
A la suite de la publication du fameux J'accuse de Zola en 1898, Jaurès prend la défense du capitaine Dreyfus, considérant qu’il ne s’agit pas d’une simple affaire individuelle, mais de la souffrance d’un homme accusé à tort et de ses conséquences politiques.
En 1904, il fonde le quotidien L’Humanité, ce qui lui permet d’écrire en toute liberté. En 1905, à l’issue de longs débats, il parvient à unifier les divers courants socialistes sous la bannière de la SFIO (Section Française de l’Internationale Ouvrière).
Partisan convaincu de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, Jaurès est également l’un des premiers à mettre en cause la politique coloniale de la France.
Pacifiste par conviction, il s’attache jusqu’à sa fin tragique à sensibiliser l’opinion sur les conséquences de la guerre imminente.
Le 31 juillet 1914 il est assassiné à Paris au Café du Croissant et devient pour beaucoup le premier mort de la Grande Guerre.
Coordonnées - réservations :
Centre national et Musée Jean Jaurès
2, place Pélisson
81100 CASTRES
Tél. : 05.63.62.41.83
Fax : 05.63.50.39.02
E-mail : jaures@ville-castres.fr
Horaires :
10h-12h et 14h-18h
(17h du 1er octobre au 31 mars)
Fermé le lundi sauf en juillet et en août
Fermé les dimanches du 01/11 au 31/3, et 1er janvier, 1er mai, 1er novembre, 25 décembre
Tarifs :
1,50 €
TARIF REDUIT : 0,75 €
groupes, étudiants, militaires, cartes jeunes (-de 26 ans)
BILLET GROUPE : plein tarif : 4 € - ½ tarif : 2 €
(Musée Jaurès + Musée Goya + Centre d’art contemporain)
BILLET GROUPE : plein tarif : 6 € - ½ tarif : 3 €
(3 musées + visite de la ville par l’office de tourisme)
GRATUIT :
Moins de 18 ans, demandeurs d’emploi, groupes scolaires,
Amis des musées de Castres, Ambassadeurs tarnais et pour tous publics : 1er dimanche du mois d’avril, mai et octobre
Jean-Charles Pellerin, cartier dominotier à Épinal (Vosges) se lance dans une belle aventure, une fabrique qui utilise les techniques d'impression de son époque, la gravure sur bois pour l'expression du trait , et le coloris au pochoir pour faire vivre l'image par la couleur.
Dans son petit atelier de la rue Léopold Bourg, il donne naissance à la future Imagerie d'Épinal. Il sait s'adapter aux techniques dites modernes avec la lithographie en 1820 et il n'hésite pas à construire des machines permettant la mécanisation de huits coloris au pochoir avec l'aquatype. La fabrique vit ses heures de gloire grâce à une distribution populaire assurée par les colporteurs qui, de village en village font connaître les travaux de l'Imagerie. Après cette ascension, il y eut la terrible descente aux enfers suivie du dépôt de bilan.
1984
C' est une date événement pour l'Imagerie d'Épinal,un groupe de 50 actionnaires spinaliens décide de recapitaliser l'Imagerie pour faire renaître ce patrimoine cher au cœur des spinaliens, comme tous ceux qui ont été bercés depuis leurs plus tendres enfances par ces images populaires offertes en récompense aux enfants sages.
1989
Avec une direction d'entreprise judicieuse et économe qui saura préserver le caractère propre de la maison, le coloris au pochoir, l'Imagerie adapte ses réalisations aux techniques d'impression les plus modernes. Elle retrouve ses racines dans l'expression graphique et artistique de son époque. Elle s'assure la collaboration d'un premier artiste qui sait adapter son talent aux exigences de l'Imagerie : Antonio Gacia
ECOMUSEE
Imagerie d'Epinal : deux mots symboliques évocateurs de tout un monde d'histoire et de légendes passant de l'Epopée Napoléonienne aux mésaventures du Petit Poucet.
Nul n'ignore cette Imagerie unique au monde ni la richesse de ses collections rares et complètes. Mais qui peut se vanter de bien les connaître ?
C'est en 1796 que Jean-Charles PELLERIN fonde son imprimerie. Il reprend une technique vieille de plusieurs siècles : l'image est tirée d'après un bois gravé, puis coloriée au pochoir, établissant ainsi les bases de la future Imagerie d'Epinal. Le tirage de la gravure s'effectue à l'aide d'une presse dite de GUTENBERG, en hommage au célèbre inventeur de l'imprimerie et qui est encore utilisée aujourd'hui.
Pour pallier aux inconvénients de l'utilisation de bois gravé (affaissement dû à la pression et thermites), l'Imagerie, devenue une véritable industrie, intègre une nouvelle technique vers 1820 : la stéréotypie. Elle permet, par moulage du bois gravé, sa reproduction sur une matrice de plomb et d'étain. Le bois original, fragile, pourra être conservé tout en gardant à la gravure reproduite sa fidélité à l'original.
Après ce travail préliminaire, dans un premier temps sur une planche de bois et ensuite sur une matrice de plomb, vient la minutieuse tâche du coloriage. A l'aide de différents pochoirs découpés avec une pédalette, les coloristes vont appliquer une à une les multiples couleurs nécessaires à la finition de l'ouvrage. C'est la technique du coloris aux pochoirs à la main.
Les premières œuvres éditées par PELLERIN furent des images religieuses. Ces estampes étaient vendues par les colporteurs ou "chamagnons" qui les répandaient dans les villes et les villages. Un peu plus tard, le répertoire imagier s'étendit aux images profanes : contes, légendes, chansons, témoins d'événements passés – ou plus récents.
A partir de 1798, une nouvelle technique, la lithographie, bouleversant les méthodes traditionnelles, apparaît. Elle détrône peu à peu la gravure sur bois. En effet, la pierre lithographique offre une plus large possibilité à l'artiste et, de ce fait, le style change. Le dessin s'orne de détails et le trait est beaucoup plus fin. L'Imagerie multiplie les sujets pour enfants. Elle crée à leur attention des sujets à découper et à monter comme des pantins ou encore des constructions de modèles divers.
La réputation de l'Imagerie est acquise et des éditions en toutes langues apparaissent.
En 1897, l'Imagerie construit de nouveaux ateliers et, pour répondre à une demande toujours accrue, elle fait également fabriquer une ingénieuse machine à colorier : l'aquatype. Elle permet la pose de neuf couleurs différentes grâce à neuf pochoirs. C'est une véritable révolution car la machine peut colorier jusqu'à 500 images en une heure alors qu'avec la technique du coloris aux pochoirs à la main, pour une centaine d'images, sept heures de travail sont nécessaires. Cette machine, toujours en activité, peut encore colorier 350 images en une heure.
Après les dramatiques péripéties connue à la veille de la Première Guerre Mondiale jusqu'au début des années 80, l'Imagerie d'Epinal a pu, depuis 1984, retrouver un souffle nouveau, comme en témoignent, par exemple, les créations de nouvelles images prestigieuses, l'ouverture à la visite de l'Ecomusée, ou encore l'aménagement d'un magasin permanent d'exposition, de vente de ces merveilleuses images et un espace encadrement des images nouvelles.
http://www.imagerie-epinal.com/index.php?area=1&p=static&page=eco
Récapitulatif de mon voyage dans l'est:
L’exposition Local Line 18 du Musée d’Art Moderne de Saint Etienne Métropole offre une plateforme de diffusion dédiée aux jeunes créateurs de Rhône Alpes et d’Auvergne. En 2015, l’exposition en résonance avec la Biennale d’art contemporain de Lyon / FOCUS, se déploie sur deux sites, au Musée d’Art Moderne de Saint Etienne Métropole et sur le Site le Corbusier à Firminy. 9 artistes exposent sur le Site le Corbusier à Firminy. Ils ont été choisi pour leur capacité à entrer en résonance avec le lieu et à revisiter quelques-uns des grands thèmes qui traversent l’œuvre de Le Corbusier. Les œuvres présentées évoquent tour à tour l’architecture, l’urbanisme, le design, le motif.
Extrait du communiqué de presse :
“David Blasco dessine la structure d’un module architectural dont le visiteur ne connaît pas la finalité. Ces dessins filaires font échos aux plans en trois dimensions de l’unité d’habitation de Le Corbusier. Octave Rimbert-Rivière dépose sur l’un des murs en béton de l’église un tableau en relief qui s’inspire des motifs géométriques servant de décor dans l’architecture moderne. Avec ses Bornes et ses Rochers, Laura Ben-Haïba introduit dans le bâtiment des éléments extérieurs qui scandent le paysage urbain. Grégoire Bergeret et Thomas Jeames réalisent une installation qui procède d’un grand télescopage entre des objets différents qui tous entretiennent un rapport formel à la modernité. Tom Castinel crée une composition avec les logos de labels de musique techno, évoquant les recherches de Le Corbusier sur le motif. Thomas Malenfant propose un ensemble de sculptures qui recrée un espace bureautique ouvert sur lequel souffle l’esprit moderne du film Playtime de Jacques Tati. Le duo d’artistes de KVM – Ju Hyun Lee et Ludovic Burel – entreprend de «Coréaniser Corbu » avec un ensemble de chaises customisées réalisées à partir des mesures du Modulor de Le Corbusier”.
Marie Griffay, commissaire de l’exposition
Créé en 2009 au sein des Résonances de la Biennale, Focus a pour but de faire émerger des projets spécifiques en étroite collaboration avec différentes institutions, particulièrement celles qui se consacrent à la jeune scène artistique.
http://sitelecorbusier.com/fr/expositions
À partir de mai et pendant toute l’année 2018, le musée d'Art et d'Industrie de Saint-Étienne présente l'exposition « Urbanus Cyclus - Le vélo dans la ville » qui invite tous les publics à un grand tour d'horizon des pratiques multiples - et parfois surprenantes - du vélo urbain.
Délaissé au profit de l'automobile et des deux-roues motorisés dans les années 1960, le vélo fait aujourd'hui un retour marqué dans les grandes villes françaises et européennes suscitant un engouement et une inventivité abondante : vélo urbain, single-speed, vélo à pignon fixe pour amateur de sensations, triporteur, vélo dit cargo pour le transport, ou vélo rallongé pour emmener enfants ou courses, vélo en libre service ou vélo à assistance électrique, bmx, polo bike, autant de vélos que d'usages personnels, utilitaires, professionnels ou sportifs qui se développent dans les centres urbains et leur périphérie.
Ayant acquis dès la deuxième moitié du 19e siècle le surnom de
« village des peintres », Barbizon a eu très tôt le souhait de disposer d’un musée qui permette de montrer à ses nombreux visiteurs le témoignage de l’activité artistique qui avait fait sa célébrité.