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Biennale de Lyon : anatomie de la vie moderne

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Installation de Tatiana Trouvé, à La Sucrière. Installation de Tatiana Trouvé, à La Sucrière. BRUNO AMSELLEM/DIVERGENCE POUR "LE MONDE"

 

Vous hésitez à vous débarrasser de votre ordinateur obsolète, sans avoir le cœur de le jeter ? Suivez le conseil du plasticien Michel Blazy, qui montre comment transformer machines, chaussures et pantalons en jardinières fertiles. Vous doutez de la nécessité de changer les pneus de votre voiture ? Les peintures d’Ed Ruscha et l’installation de Mike Nelson vous convaincront que vous ne devez pas attendre qu’ils éclatent sur l’autoroute.


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LE MONDE | 11.09.2015 à 12h36 • Mis à jour le 11.09.2015 à 12h44 | Par Philippe Dagen (à Lyon)


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La 13e Biennale de Lyon est ainsi : toute de notations quotidiennes et d’objets ordinaires. C’est logique puisqu’elle se consacre à la vie moderne, la nôtre. Aussi la parcourt-on avec un sentiment d’immédiateté et de netteté rare dans les manifestations d’art actuel. Son auteur, Ralph Rugoff, la voulait telle et y est parvenu.

Automobile et informatique y tiennent une place proportionnelle à celle qu’elles occupent dans les pays industrialisés. Il en va de même des relations entre le corps humain et les machines qui veulent l’améliorer – Alex Da Corte et son cyborg musculeux, Katja Novitskova et ses constructions de matériaux de synthèse et de circuits – ou de l’aménagement de nos intérieurs, pour lesquels Tatiana Trouvé et Camille Henrot avancent chacune ses suggestions de couleur et de décor. Camille Blatrix propose le distributeur de billets sentimental qui fait la conversation au client. Julien Prévieux réunit le musée comique des trucages interdits qui permettent des succès sportifs inespérés, de la raquette de tennis à double cordage à la crosse de hockey incurvée pour mieux contrôler le palet. De façon plus...


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