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Piqûres d’utopie à la Biennale de Lyon

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Installation de Nina Beier, au Musée d'art contemporain de Lyon. Installation de Nina Beier, au Musée d'art contemporain de Lyon. BRUNO AMSELLEM/DIVERGENCE POUR "LE MONDE"
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LE MONDE | 11.09.2015 à 10h57 • Mis à jour le 11.09.2015 à 12h52 | Par Harry Bellet


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Pour Gérard Collomb, maire (PS) de Lyon, la Biennale d’art contemporain est une bénédiction : « Elle apporte beaucoup de visiteurs, donc, du point de vue économique, c’est important. Mais moins que l’image qu’ils gardent de la ville lorsqu’ils en sont repartis : celle d’une cité qui va de l’avant. » Lyon n’avait pas, en effet, c’est le moins qu’on puisse dire, une image avant-gardiste. En treize éditions, la Biennale a changé cela. Elle a désormais sa place parmi les meilleurs événements d’un monde de l’art pourtant saturé : bon an mal an, il y a entre 160 et 200 manifestations du même genre.

 

Sa place, car plutôt que de lutter contre la concurrence des autres biennales, celle de Lyon a eu l’intelligence de regrouper certaines d’entre elles en réseau. Elles sont dix, cette année, à participer à l’invitation hors les murs, ou transfrontières, qui leur est faite à Villeurbanne, de celle de Dakar à celle de Thessalonique, en passant par Gwanju, La Havane, Sharjah, et on en oublie : des regards différents, des arts autres, mais aussi dix artistes français qui seront ensuite invités ici où là, à Singapour pour l’édition de 2015. Une manière originale, car plurielle, de découvrir des jeunes talents.

Sa place, parce que contrairement à d’autres, elle n’est pas réservée à quelques happy few, de retour d’Istanbul, en partance pour Göteborg, pour ne citer que deux biennales...


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