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  • Plurielles, les femmes font Villeurbanne ».

    DU 16 NOVEMBRE 2023 AU 30 SEPTEMBRE 2024

    L’exposition est pensée de manière à rendre visibles des Villeurbannaises d’hier et d’aujourd’hui et à aller ainsi à l’encontre de la tendance profondément ancrée à minorer leur rôle et leur place dans la société. Le parcours fait émerger des traces et des mémoires, des figures et des collectifs de femmes mobilisées et engagées, qui, à travers leurs luttes menées pour leur  émancipation et contre les inégalités, ont contribué à l’écriture de l’Histoire et à la construction d’une ville et d’une société locale. Les raisons de l’occultation de nombreuses d’entre-elles sont explorées et expliquées, ainsi que l’évolution des représentations des femmes au cours de  l’histoire, locale et nationale. Un espace ludique et interactif sensibilise les visiteurs aux stéréotypes femmes-hommes, pour faciliter une prise de conscience et aider à mieux appréhender la question du genre, à s’interroger par exemple sur le féminisme, les codes (vestimentaires…) ou encore sur la notion sociologique d’intersectionnalité. L’exposition est émaillée de portraits de femmes réalisés par l’artiste Céleste Gangolphe, qui invitent à découvrir des récits de vie, avec des identités et des réalités sociologiques multiples.

    >> Télécharger le dossier pédagogique de l’exposition : « Plurielles, les femmes font Villeurbanne ».

    Précédentes expositions :
    2022-23 : Ca se trame à Villeurbanne – L’aventure textile
    2021-22 : Villeurbanne à Hauteur d’enfants

    https://lerize.villeurbanne.fr/exposition/

  • Nous avons aimé hier: Les gratte-ciel (1934) à Villeurbanne

    L’invention de la tour européenne (4/30) : 

    A Villeurbanne, le maire Lazare Goujon et Môrice Ledoux, un jeune inconnu qui deviendra architecte, matérialisent leur rêve en édifiant, de 1930 à 1934, un mini- Manhattan dans cette cité ouvrière proche de Lyon : « Les gratte-ciel ».

    Les gratte-ciel de Villeurbanne méritent une attention particulière. Tout ou presque dans leur réalisation et leur histoire a un caractère d’exemplarité et diffère en partie de ce qui se fait alors en France et de ce qui s’est fait depuis. Le maire de la ville, le médecin Lazare Goujon (1869 – 1960), suscite et porte le projet de bout en bout.
    C’est le projet éminemment politique d’une Section française de l’Internationale ouvrière qui croit aux vertus du progrès, de l’urbain et de l’architecture pour structurer et réformer la société. Au début des années 1920, Villeurbanne, vouée à l’industrie, n’a pas de centre digne de ce nom (à l’époque une place aménagée en 1835) et, à part des usines, aucun bâtiment n’est susceptible de symboliser son identité face à Lyon, dont l’influence s’étend et qui a déjà annexé les communes de La Croix-Rousse, La Guillotière et Vaise. Comme de nombreux socialistes, Lazare Goujon stigmatise l’insalubrité, surtout celle des logements.
    Aujourd’hui, la cohérence du quartier des gratte-ciel laisse entendre qu’elle est le fruit d’un projet dessiné d’emblée et construit tel quel. En fait, son invention et sa réalisation se font au files d’opportunités foncières, financières, habilement saisies ou suscitées, et grâce à la réunion d’équipes efficaces, des hommes capables de combiner technique, architecture, règlement et cadre opérationnel.

    Invention de la société d’économie mixte
    Ce projet évolue au jour le jour et trouve sa vigueur, son pragmatisme, sa réactivité, son efficacité, voire sa liberté dans la volonté d’aboutir et la force de conviction de ses initiateurs, inscrites dans le long terme. Quand il est élu en novembre 1924, Lazare Goujon pense déjà à un nouveau centre et fourbit ses armes : créations de commissions (finances, travaux publics, voiries), d’une Sem avant la lettre (en 1930), de la SVU (Société Villeurbannaise d’Urbanisme), achat de terrains, conception d’un plan parcellaire de la commune au 1 / 1.000e, etc.
    Sa première ambition est de créer un palais du Travail, non pas un temple du labeur, mais un lieu fort, symbole d’accueil des habitants et des associations, avec dispensaire, théâtre, brasserie, piscine (rajoutée plus tard). Le choix du site est exceptionnel, au cœur géographique de la ville. Le concours d’architecture (fin 1927, mars 1928), étendu à la France entière, est remporté le 30 mars 1928 par Môrice Leroux (32 ans), inconnu à Lyon, métreur, dessinateur à Beauvais et Paris (inscrit à l’Ordre comme architecte en 1942), qui connaît de l’intérieur le monde du bâtiment et de l’entreprise. Édifice fondateur – aujourd’hui devenu le TNP (Théâtre National Populaire) -, le palais du Travail tempère sa massivité et sa hauteur par des ailes de hauteurs décroissantes. Suivront bientôt, en vis-à-vis au-delà d’une place, l’hôtel de ville conçu en 1930 par Robert Giroud (1890 – 1943) avec son beffroi central, puis les fameux gratte-ciel, perpendiculaires aux deux premiers.
    Trois alignements de six groupes d’immeubles, confiés sans concours à Môrice Leroux, sont construits de 1931 à 1936. Ils sont conclus au nord, de part et d’autre de l’avenue Henri-Barbusse, par deux tours de 19 étages et 60 m de hauteur.
    En fin d’opération, le tout dessine au sol ou en plan une tour couchée, crantée, orientée sud-nord. Ces immeubles culminent à des hauteurs inusitées (entre 31,8 m et 38,1 m), modestes aujourd’hui, mais impressionnantes pour l’époque, surlignées par les constructions basses alentour. Certes indissociables de l’ensemble des équipements et des aménagements soignés de la voirie, ils proposent des logements à loyer modéré, de l’habitat social et constituent un nouveau quartier, mais pas n’importe lequel : le centre-ville, fait quasi unique en Europe.

    Clin d’œil à Manhattan
    Le mot de gratte-ciel colle à ces immeubles et ce n’est pas fortuit, même si cette appellation semble tardive (courant 1942 – 44). Elle renvoie aux grands frères américains, à Manhattan et son tissu de rues dessiné en continu par les façades des tours, un phénomène rare de ce côté de l’Atlantique. Références et influences des États-Unis, mais aussi d’Afrique du Nord, d’Henri Sauvage, etc. se lisent dans l’association des gratte-ciel, des redents et des gradins, ces derniers imposés par des limitations de hauteur et d’épannelages, en partie libérés courant 1930 – 31 par une nouvelle règle faite pour eux. Un parti pris habile a été choisi pour à la fois densifier (1.500 logements en tout), chercher le maximum de linéaire de façade, de premier jour et d’ensoleillement. Idem pour les techniques de construction : comme aux USA, le choix se porte sur une structure de poutrelles d’acier, rivetées et boulonnées.
    Pour les immeubles comme les deux tours aux angles triangulés afin de résister aux vents, les briques creuses viennent en remplissage et reçoivent un enduit de ciment vibré. La construction en ossature métallique assure rapidité d’exécution, économie et solidité, mais se cache. La couleur blanche des façades, soulignée à l’époque par une bichromie ponctuelle d’ocres jaune et rouge, ainsi qu’un éclairage très étudié assurent l’unité générale, enrichie de fortes variantes formelles d’un groupe d’immeubles à l’autre. On sent une volonté évidente de constituer un ensemble à partir d’objets d’allure similaire, mais variés dans le détail des balcons, des fenêtres, leur rythme, etc. Au rez-de-chaussée, par exemple, un socle sur deux niveaux réservés aux commerces et entrepôts lie l’ensemble des édifices entre eux, comme les lie aussi le soin apporté aux sols, aux places, aux arbres. C’est une vision globale de l’urbaine dont tous les constituants sont convoqués. Le confort comme modernité sociale s’incarne dans chaque appartement, quelle que soit la variété des configurations et des plans, taillés pour se caler sur les enveloppes : eau y compris chaude, électricité, chauffage central, salle de bains, cuisinière électrique, tout-à-l’égout, vide-ordures, ascenseur, monte-charge…

    Des opérations de réhabilitation
    Fêté en 2004, le 70e anniversaire de l’opération montre l’évolution des regards : modernes en leur temps, les gratte-ciel émargent à l’histoire et au patrimoine. Certes l’ambition, la volonté d’innover, de proposer et d’incarner des idées généreuses, ainsi que la force de conception frappent encore et restent un modèle de ce que la conviction politique, associée à l’engagement des partenaires, en particulier celui de l’architecte, peut réaliser, surtout quand l’objectif est le bien-être partagé par le plus grand nombre.
    Pour l’histoire de l’architecture, de l’urbanisme, la grande idée reste la volonté de construire un centre – ville hygiéniste, moderne, de grande hauteur, à forte identité et densité, mêlant équipements publics et habitat social. Marqués par leurs cousins d’Amérique, ces immeubles illustrent le goût pour le monumental des années 1930 et se rapprochent sur le plan formel du mouvement moderne émergent, qui s’éloigne du plan général classique avec son axe central et ses voies perpendiculaires, ponctué de places, de monuments, de bâti scandé et continu sur rue. Inachevé sur le flanc est, ce projet appelait des extensions qui ne verront jamais le jour. Centripète, il s’articule autour de l’avenue Henri-Barbusse, et tourne presque le dos aux quartiers environnants existants qui, se transformant plus tard, lui rendront la pareille. Ce centre-ville en partie enclavé est peu à peu perçu comme une sorte de manifeste sans équivalent et réelle descendance, à forte valeur patrimoniale, d’où les opérations de réhabilitation et de mise en conformité engagées dans les années 1980 par la mairie (Charles Delfante, architecte), dans le cadre élargi d’un projet de ZPPAU (Zone de Protection du Patrimoine Architectural et Urbain). Ce projet, susceptible de redynamiser à la fois le quartier et de le connecter avec le tissu urbain de Villeurbanne, est poursuivi aujourd’hui, appuyé sur les propositions de Christian Devillers.

    Ce feuilleton est réalisé dans le cadre de l’exposition « L’invention de la tour européenne » créée par le Pavillon de l’Arsenal.
    Commissaire scientifique : Ingrid Taillandier, architecte et enseignante, Olivier Namias, architecte et journaliste avec Jean-François Pousse, journaliste / Scénographe : Manuelle Gautrand Architecture
    Exposition du 14 mai au 4 octobre 2009 au Pavillon de l’Arsenal, entrée libre
    En savoir + sur www.pavillon-arsenal.com

    Focus

    Repères

    Maître d’œuvre : Môrice Ledoux
    Maître d’ouvrage : Société villeurbannaise d’urbanisme

    Calendrier: 1930 – 1934
    Adresse : place du Docteur-Lazare-Goujon, avenue Aristide-Briand et avenue Henri-Barbusse – 69100 Villeurbanne
    Hauteur en mètres 60 m
    Nombre de niveaux :19

    http://www.lemoniteur.fr/157-realisations/article/retrospective/682730-l-invention-de-la-tour-europeenne-4-30-les-gratte-ciel-1934-a-villeurbanne

  • Nous avons visité hier:iNSTITUT D'ART CONTEMPORAIN DE VILLEURBANNE

    Collection à l'étude à Villeurbanne

    Expériences de l'œuvre, proposé par le Laboratoire espace cerveau

    du 19 septembre 2014 au 11 janvier 2015
    Invitation expériences

    Des œuvres sont placées dans cet espace pour vous permettre de les éprouver, d’en faire l’expérience. Vous pouvez si vous le désirez, regarder, écouter, prendre conscience de vos sensations et de ce que ces œuvres évoquent pour vous. Au bout de ce cheminement, racontez !
    Parallèlement à la diffusion permanente de sa collection sur le territoire de Rhône-Alpes, l’Institut d’art contemporain présente sa collection tous les deux ans dans ses murs, in situ. Le projet Collection à l’étude, Expériences de l’œuvre poursuit et amplifie ce principe biennal en s’étendant ex situ, sur le territoire de Villeurbanne : au Centre des Humanités de l’INSA, à la MLIS, au Rize, avec l’URDLA, à l’E.N.M. et au TNP.

    En 2014, la présentation des œuvres ici sélectionnées fait l’objet de recherches du Laboratoire espace cerveau basé à l’IAC, en collaboration avec Denis Cerclet, anthropologue. Plus que des expositions, ce sont des espaces d’expérience qui sont proposés au visiteur, celui-ci devenant, dans ce cadre, l’acteur principal du dispositif.

    Au cœur des projets de l’IAC depuis 2006, l’expérience d’œuvres immersives a corroboré les réflexions du Laboratoire espace cerveau à partir de 2009. Avec Collection à l’étude à Villeurbanne, Expériences de l’œuvre, elles prennent une nouvelle dimension en proposant de déplacer légèrement le regard de l’institution à l’égard de ses publics et de son rôle de transmetteur. Les œuvres qui sont ici présentées ne le sont pas sous la forme d’une exposition « classique », mais dans une succession d’espaces qui met en évidence une diversité de mediums et de démarches. Ce projet à caractère expérimental interroge l’expérience de l’œuvre d’art, sa réception et sa restitution.

    Il s’agit en effet de se libérer des modalités de l’expérience esthétique dans son acceptation habituelle, de décryptage-décodage de l’œuvre, pour privilégier l’attention, la perception, les sensations du visiteur qui, dès lors, consent, voire cherche à «travailler» avec les plis, les appuis, les absences de l’œuvre… Comment considérer que l’œuvre n’aurait rien à dire a priori et que son rôle serait de prendre toute sa place dans un dialogue, un corps-à-corps avec le visiteur, avec l’humain ? Comment reconsidérer l’art comme un vecteur privilégié de la relation à soi ?

    Les différentes expériences suscitées et les moments «inattendus» qui en résulteront, peut-être, seront ici explorés, au gré de chacun, dans leur diversité et leur singularité.

    Ce projet est conduit en partenariat avec le centre de recherches et d’études anthropologiques (CREA), Université Lumière Lyon 2, dont plusieurs axes de recherche portent sur la relation de l’homme à son environnement.
     
     
  • Villeurbanne Capitale, le métro B à Oullins, du compost partout : les infos immanquables de la semaine :

    02 avril 2021
    Encore une semaine riche en actualités dans la Métropole de Lyon ! Petite sélection des infos qu'il ne fallait pas rater...

    Villeurbanne, Capitale française de la culture 2022

    La ville de Villeurbanne vient d'être désignée Capitale française de la culture 2022 par le ministère de la Culture. Une belle récompense pour la candidature villeurbannaise placée sous le signe de la jeunesse et qui devrait profiter à toutes les habitantes et tous les habitants de la Métropole !

    Prolongement du métro B : le tunnelier est arrivé à Oullins

    Le prolongement du métro B entre Oullins et Saint-Genis-Laval a franchi une nouvelle étape importante : le tunnelier a fini de creuser le tunnel entre la future station des hôpitaux Sud et celle d'Oullins centre. Des images impressionnantes !
    Oullins - Arrivée du tunnelier Coline à la station Oullins cen
    Oullins - Arrivée du tunnelier Coline à la station Oullins cen
     

    Compostage des déchets : la Métropole voit plus grand

    "Tous au compost" a lieu jusqu'au 10 avril. L'occasion de découvrir pourquoi c'est important de ne pas jeter ses épluchures de carottes et ses trognons de pommes dans la poubelle... Le compost : on vous explique pourquoi il faut s’y mettre, et ce que fait la Métropole pour le développer.
    Des jeunes collégiens entretiennent un compost
     

    Covid-19 : fermeture des écoles, collèges et lycées dans la Métropole de Lyon

    Emmanuel Macron a annoncé un nouveau renforcement des mesures de lutte contre l'épidémie de Covid-19. Les écoles, les collèges et les lycées vont fermer au moins 3 semaines et le confinement est étendu à toute la France.
     
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  • L'art déco à Villeurbanne(photo du 29 décembre 2022)

    IMG_9763.JPG

    Nous avons évoqué, dans deux précédents articles, l'ensemble de gratte-ciel et l'hôtel de ville de Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon, mais en dehors de ces édifices majeurs, il s'est construit dans la ville d'autres bâtiments révélateurs de l'architecture des années d'entre-deux-guerres, l'architecture Art Déco.
     

    Groupe scolaire

    Une jolie surprise, en face de la station de métro Gratte-ciel, une triple école : maternelle, école de garçons, école de fille. Le tout de très belles factures avec de jolis éléments Art Déco ; les portes en ferronnerie et leurs pans coupés, la typographie, le fronton à étage, l'horloge...
     
  • 700 événements pour Villeurbanne(une ville où nous avons vu beaucoup de belles choses), capitale française de la culture

    Le Quotidien de l'Art
    Édition du 23 février 2022
     
    À la une du N°2333
    700 événements pour Villeurbanne, capitale française de la culture
    L'affaire Rothko n'ira pas jusqu'au procès
    La loi sur la régulation des ventes aux enchères adoptée
    Stéphane Jacob s'installe dans le Marais
    Le chiffre du jour : 356 142 entrées pour Signac à Orsay
    Les télex du 23 février
    TÉLÉCHARGER MON ÉDITION
    Toutes les éditions de Quotidien de l’Art sont disponibles sur
    www.lequotidiendelart.com
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  • J'ai vécu lundi et mardi 2 jours intéressants:Formation référente culture MBA LYON/IAC VILLEURBANNE: un parcours tempor

    http://www.mba-lyon.fr/mba/

    in situ
    en cours
    Exposition

    Daniel Steegmann Mangrané

    Ne voulais prendre ni forme, ni chair, ni matière

    du  au 
    Pour le projet de Daniel Steegmann Mangrané, l’IAC pousse encore sa capacité d’adaptation au projet de l’artiste en bousculant les modalités d’exposition, de communication et de médiation jusqu’au fonctionnement quotidien de l’Institut.
    Ainsi, les horaires d’ouverture de l’exposition changeront chaque jour. À mesure que la durée du jour augmentera, la durée d’ouverture de l’exposition augmentera elle aussi symboliquement, suivant le rythme naturel. Cette expérience originale et unique marque une symbiose entre le projet de l’artiste et le lieu qui l’accueille.
    Achetez une entrée et revenez autant de fois que vous le souhaitez !

    Retrouver les nouveaux horaires de l'exposition !
     
    http://i-ac.eu/fr
  • Le vélo'v à Lyon

    Photos perso à la Part-Dieu le 21 juin et dans le quartier de mon ancienne fac le 27 avril 2009.

    Vélo'v désigne un système de location de vélos mis en place dans la communauté urbaine de Lyon et géré par l'entreprise JCDecaux depuis le 19 mai 2005(avant le Vélib' de Paris). C'est le nom sous lequel JCDecaux exploite son système Cyclocity à Lyon et Villeurbanne.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Velo'vlyon 21 juin 2009 017.jpglyon vélos 27 avril 2009 001 (6).jpg

    Autres notes sur Lyon dans la catégorie à ce nom dans la partie "Ce que j'aime"

  • GAGNEZ VOS PLACES POUR LES MATCHES DE PREPARATION DE L'EQUIPE DE FRANCE DE BASKET !

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    Cette année, l'équipe de France masculine dispute l'EuroBasket à Montpellier et Lille. Les Bleus veulent conserver leur titre et vont pour cela se préparer à travers une série de rencontres amicales :

    Vendredi 7 août à 19h30 (NANCY - PALAIS DES SPORTS JEAN WEILLE) : FRANCE / SERBIE

    Dimanche 9 août à 19h15 (VILLEURBANNE - ASTROBALLE) : FRANCE / RUSSIE

    Vendredi 14 août à 20h30 (NANTES - TROCARDIERE) : FRANCE / UKRAINE

    Dimanche 16 août à 19h30 (MOUILLERON LE CAPTIF - VENDESPACE) : FRANCE / UKRAINE

    Vendredi 21 août à 20h (ROUEN - KINDARENA) : FRANCE / GEORGIE

    Samedi 22 août à 18h30 (SAINT-QUENTIN - PALAIS DES SPORTS PIERRE RATE) : FRANCE / BELGIQUE

    Vendredi 28 août à 19h15 (STRASBOURG - RHENUS) : FRANCE / ALLEMAGNE

    Pour participer, et peut être gagner des places pour la rencontre de votre choix, vous devez fournir votre nom et prénom à sportmag@sportmag.fr sujet BASKET. Si vous êtes tirés au sort, vous pourrez récupérer vos billets sur place le jour de la rencontre.

    Date du tirage au sort pour l'ensemble des places : Jeudi 9 juillet

     

    L'actualité sportive est à vivre sur www.sportmag.fr

  • MET le magazine de la métropole de Lyon(ramené de ma ballade à Lyon d'octobre 2020)

    Se rendre la liste des magasines

    Octobre / Novembre 2020

    Le MET' n°22

    Au sommaire de ce numéro : 

    • l’édito : 3 questions à Bruno Bernard, président de la Métropole de Lyon [page 3]
    • la photo : qui sont vos nouveaux élus [p.4]
    • l’actu : des masques gratuits pour les collégiens, un tram à Décines, des aides pour rénover votre logement, la nouvelle entrée de la gare Perrache, le week-end piéton à Lyon et Villeurbanne… [p.6 à 10]
    • dossier : la Métropole c’est VOUS ! Portraits d’habitants et d’habitantes [p.11]
    • services : que fait la Métropole pour vous ? [p.18]
    • les projets : le vélo, star de la rentrée 2020 [p.22]
     

    https://met.grandlyon.com/tous-les-numeros-du-met/

    Lyon comme tout(s) ce (ux) que j’aime (2 e partie de ce blog)

    Et que j'évoque dans ce blog 

    Inspire ce que j’écris (1 ère partie de ce blog)

    Dont mes 14 livres à acheter et offrir pour NOEL

    En passant par les bannières sur ce blog

    Achetez ici

     

  • Le MET’ n°28

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    Au sommaire de ce numéro :

    • Les brèves : travaux du pont de la brasserie, prime air bois, la montée Saint-Sébastien piétonne… [pages 4 à 7]
    • Voté au conseil : le schéma de développement du tourisme, la maison du projet Oullins la Saulaie, la place Gabriel Péri à repenser, le schéma des achats publics [p.8]
    • Le sujet qui fâche : le partage de la rue [p.9]
    • Les projets : la vallée de la chimie en mutation [p.10-11]
    • En images : les cantines en mode bio, local et zéro déchet [p.12-13]
    • Le dossier : interview de Bruno Bernard, les 15 projets qui vont changer la donne en 2022 [p.14 à 21]
    • Je participe : l’avis citoyen sur la ZFE [p.22-23]
    • Décryptage ; le chauffage urbain [p.24-25]
    • L’agenda : la nuit de la lecture, la fête du livre de Bron, Villeurbanne, capitale de la culture [p.26-29]
    • Tribunes politiques [p.30-31]
     
  • Je suis en train de lire: Perdue dans les Bois-Noirs / Erika Navilles

    Perdue dans les Bois-Noirs par Navilles

    Les polars  , comme tout ce que j'aime, inspirent ce que j'écris, à acheter ici

     

     

    Livre

    Navilles, Erika

    Edité par Mot Passant. Villeurbanne - 2023

    Un étang au milieu des Bois-Noirs. Le corps d'une jeune fille noyée. Un tatouage de nénuphar rouge sur l'épaule. Diminué par un Covid long, le lieutenant Christophe Roche vient d'être affecté à la brigade de Morages, le village de son enfance. Il a la charge de l'enquête. Depuis qu'elle est arrivée chez lui pour les vacances de la Toussaint, Lucie, sa fille de dix-sept ans, l'ignore. Cette affaire va faire remonter un secret familial enfoui depuis plus de trente ans. Face au danger, père et fille parviendront-ils à se reconstruire et à se reconnecter ?

    https://mediatheques.saint-etienne.fr/Default/doc/SYRACUSE/3211799/perdue-dans-les-bois-noirs-erika-navilles

  • La Voie Lyonnaise n°1 : le 1er kilomètre inauguré

    Elle arrive ! Le premier kilomètre de la Voie n°1 est terminé. Il s'agit du tronçon qui part du quai Claude Bernard et s'étend jusqu’au pont Gallieni. Une fois terminée, la ligne 1 va relier Vaulx-en-Velin à Saint-Fons.
    Voie lyonnaise 1

    Lugdunum fait son festival !

    L'été ça se passe aussi au musée. Rendez-vous à Lugdunum pour le Musée'stival, avec une programmation spéciale : cuisine en plein air, visites archéologiques, balades... découvrez le musée sous toutes ses formes jusqu'au 31 août !
    Illustration de l'affiche du musée'stival du Lugdunum 2022. Une femme avec un enfant admire le paysage et le grand théâtre
     

    La ZFE, pour des lendemains qui respirent

    Bonne nouvelle pour la qualité de l'air que nous respirons aujourd'hui et que les plus jeunes respireront demain ! À partir de septembre 2022, la zone à faibles émissions (ZFE) va permettre de sortir les véhicules les plus polluants du cœur de l'agglomération.
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    De Saint Just à Gorge de Loup, une "nouvelle" rue Audry

    La rue Pierre Audry est un axe très fréquenté. La Métropole de Lyon a terminé le projet de réaménagement qui apporte plus de sécurité, de la fraîcheur, mais aussi plus de place pour les piétons et les cyclistes.
     
      

    La Voie Lyonnaise n°1 : le 1er kilomètre inauguré

     
     
     
     

    Les IRréeLs : festival des cultures numériques à Villeurbanne

    Du 7 au 10 juillet, les IRréeLs, le festival qui célèbre toutes les cultures du numérique organisé par le Pôle PIXEL revient à Villeurbanne ! Au programme : e-sport, jeux vidéo, réalité virtuelle, concerts, spectacles et balades en réalité augmentée...
     

    Vogue la Nuit : une programmation surprenante, dansante et enivrante

    Vogue la nuit, c'est le festival off des Nuits de Fourvière. Pour sa première édition du 13 au 17 juillet aux SUBS à Lyon. Rose-Amélie Da Cunha et Claudia Courtial ont eu carte blanche pour créer leur programmation ! Expos, DJ sets, spectacles, dancefloor.
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  • Quais du polar

    Coup d'envoi de cette 7e édition de Quais du Polar dès le 10 mars avec plusieurs évènements en avant-première du festival ! Découvrez l'ensemble de la programmation sur : www.quaisdupolar.com

     
       
     
     

     


    // COURTS DU POLAR : 2e ÉDITION

    Jeudi 10 mars à 20h30 au Cinéma Le Zola à Villeurbanne, projection de la sélection de courts-métrages noirs, Courts du Polar. En présence de Myriam Boyer.

    Renseignements : www.courtsdupolar.com/index.php

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    // CINEMA « JAZZ ET POLAR » À VAULX EN VELIN

    Jeudi 11 mars à 18h au Cinéma Les Amphis à Vaulx-en-Velin, Cotton Club de F.F.Coppola. En partenariat avec A Vaulx Jazz, projection précédée d’une discussion sur le thème « Jazz et polar ».

    Renseignements : www.quaisdupolar.com/prog_cinema.php

     
     
     // LES INVITÉS DE QUAIS DU POLAR 2011

    Découvrez l'ensemble des auteurs invités sur :
    www.quaisdupolar.com/invites.php
     
     

     // PROGRAMMATION DES RENCONTRES

    L'ensemble des rencontres, tables-rondes et conférences disponibles sur :
    www.quaisdupolar.com/prog_litterature.php

     

     
     
     
    // CINÉMA - L'ENFER DE LA CORRUPTION

    8 films présentés par des auteurs invités.
    Réservez vos places dès maintenant sur :
    www.institut-lumiere.org

     

     
         
     
    Plus d'infos sur: www.quaisdupolar.com

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  • Vendredi 21 août 2020

    The Art Newspaper France

    Bannière Art Paris
     


    Nathalie Ergino :
    «C'est avec la création que de réelles métamorphoses pourront advenir»

    Propos recueillis par Philippe Régnier.


    The Art Newspaper donne la parole aux dirigeants des grandes institutions artistiques. Nathalie Ergino est directrice de l’Institut d’art contemporain - Villeurbanne / Rhône-Alpes.

     


    Le nouveau monde de Cooking Sections

    Par Charles Aubin.


    Exposé à l’automne 2020 à la Tate Britain, à Londres, le duo de performeurs anglais interroge des enjeux environnementaux à travers des projets à long terme.

     
    Bannière abo été 2020
     


    Erwin Wurm :
    «Tout peut devenir une œuvre d'art»


    Propos recueillis par Natacha Wolinski.


    L’artiste autrichien fait l’objet d’une rétrospective photographique à la Maison européenne de la photographie, à Paris. Entretien.

     
    «APRÈS» :

    «Après» est un projet de soutien à la création contemporaine initié par TRAM Réseau art contemporain Paris / Île-de-France; chacun des 29 lieux membres du réseau participant a invité un·e artiste ou un·e auteur·e à proposer une pièce autour de la notion d’«après».
    Aujourd'hui, focus sur :
    Nour Awada
    Nour Awada,
    « Demain » est le premier mensonge du diable,
    Centre d’art contemporain d’Ivry, le Crédac, Ivry-sur-Seine (94)
    La Une du mensuel de l'été
     
    Actuellement en kiosque
     
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    The Art Newspaper France vous informe
  • Part-Dieu : les tunnels Vivier-Merle et Brotteaux-Servient fermés à la circulation

    dans le panier avant de votre Vélo’v et direction le parc de la Feyssine à Villeurbanne avec ses allées ombragées et ses jolies grèves au bord du Rhône. Attention, baignade interdite, les remous du fleuve sont dangereux.
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    Des travaux sur les ponts de la Métropole prévus cet été

    Pour assurer la sécurité de tous les usagers, la Métropole de Lyon surveille et entretient plus de 700 ponts, passerelles et trémies sur son territoire. Les chantiers sont prévus sur : le pont d'Alaï à Tassin, le pont neuf à Francheville, le pont de Couzon-au Mont-d'Or et le pont Raymond Barre.
     

    Part-Dieu : les tunnels Vivier-Merle et Brotteaux-Servient fermés à la circulation

    Les travaux de transformation de la gare de la Part-Dieu se poursuivent et nécessitent de fermer temporairement les tunnels Brotteaux-Servient et Vivier-Merle pour creuser la sortie du futur parking sous la place Béraudier.
    Photo de la place Béraudier en travaux
     

    23 athlètes de la Métropole de Lyon aux Jeux olympiques de Tokyo

    Des athlètes qui s'entrainent dans la Métropole de Lyon participent aux Jeux Olympiques et aux Jeux Paralympiques de Tokyo au Japon en : athlétisme, basket, escrime, gymnastique, rugby, skate board et tennis... On leur souhaite à toutes et tous, bonne chance !
    Mélina Robert-Michon
     
     
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  • J'ai fini hier soir:Architecture du 20e siècle en France. Modernité et continuité(ramené de Lyon le 13 avril)

    Architecture du 20e siècle en France. Modernité et continuité

    - Dans le cadre d’une vision d’ensemble de l’architecture mondiale, l’ouvrage analyse la situation de la France, de la construction de la tour Eiffel et de la galerie des Machines (exposition universelle de 1889) à nos jours.

    Les structures de la continuité entre ces constructions inventives dans le champ de la technique et les développements récents sont mises en évidence, tout autant que les ruptures introduites par les idées nouvelles et leur application dans la production courante. Dans un moment de l’histoire marquée par un mouvement d’urbanisation sans précédent, l’architecture est considérée au travers de ses rapports avec la nation, l’état et les classes sociales. Projets et édifices condensent les changements intervenant dans la culture visuelle, et dans le champ de la littérature et de la vie intellectuelle. Deux systèmes de tensions apparaissent ainsi, entre l’Art Nouveau et les réalisations hypermodernes les plus récentes, en passant par les œuvres d’Auguste Perret, Le Corbusier, Mallet-Stevens, Jean Prouvé ou celles des brutalistes des années 1970. Le premier est celui des relations dialectiques entre l’architecture expérimentale et la production de masse, que la modernisation difficile de l’École des Beaux-arts révèle. Le second est celui des relations entre la France et le reste du monde, qu’il s’agisse avant 1960 de l’empire colonial, ou, pendant tout le siècle, de la réception des expériences européennes et américaines, conjuguant fascination et accès de xénophobie. Cette alternance d’adhésions et de rejets contribue à donner son rythme à un livre dense en informations précises autant qu’en interprétations d’ensemble.

    En savoir plus sur la reconstruction du vieux Port de Marseille

    Projet de reconstruction de Gien

    Les gratte-ciel de Villeurbanne

    Auguste Bossu à St Etienne