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Wang Yan Cheng

 

Né en Chine (province du Guangdong) en 1960

Oeuvres ( reproductions grand format )

Wang Yan Cheng   Wang Yan Cheng   Wang Yan Cheng
Sans titre
2013
Huile sur toile
150 x 180 cm
  Sans titre
2013
Huile sur toile
150 x 150 cm
  Sans titre
2013
Huile sur toile
150 x 150 cm
Wang Yan Cheng   Wang Yan Cheng  
Sans titre
2013
Huile sur toile
180 x 150 cm
  Sans titre
2013
Huile sur toile
150 x 180 cm
  Sans titre
2013
Huile sur toile
200 x 200 cm
Wang Yan Cheng   Wang Yan Cheng   Wang Yan Cheng
Sans titre
2011
Huile sur toile
150 x 180 cm
  Sans titre
2011
Huile sur toile
150 x 150 cm
  Sans titre
2011
Huile sur toile
150 x 150 cm
Wang Yan Cheng   Wang Yan Cheng   Wang Yan Cheng
Sans titre
2011
Huile sur toile
100 x 100 cm
  Sans titre
2011
Huile sur toile
200 x 230 cm
  Sans titre
2011
Huile sur toile
100 x 100 cm

Wang Yan Cheng est né le 9 janvier 1960 dans la province du Guangdong, située à l’extrémité sud de la partie continentale de la Chine. Son père est cadre dirigeant d’une société pétrolière et sa mère, aujourd’hui décédée, était directrice d’un hôpital. La famille vit quelques années à Canton avant de s’établir dans la province du Shandong.
Élève à l’École des arts du Shandong de 1978 à 1981, il y acquiert une formation académique à l’art occidental, dispensée notamment par des professeurs chinois revenus enseigner en Chine après avoir poursuivi la tradition du « voyage en
Occident » – et en particulier en France. Il est ensuite élève à l’Académie des beaux-arts du Shandong. Diplômé en 1985, il occupe l’année suivante un poste d’assistant.
De 1986 à 1989, il est chercheur à l’Académie centrale des beaux-arts de Chine, à Pékin, puis travaille pour le comité des Beaux-Arts et le bureau du 7e art à Pékin. Avec l’Association des artistes chinois, il participe à la première foire d’Art contemporain chinois qui a lieu à Pékin en 1989.
Sur invitation d’une relation professionnelle de son père, il n’a pas trente ans lorsqu’il vient pour la première fois en France, en octobre 1989. Pendant un an, il vit dans la région de Saint-Étienne, avant de gagner Paris. Il se souvient : « C’était la dèche. La langue que j’apprends aussi vite que possible, mais enfin il faut le temps. La solitude loin des miens… Je faisais des petits boulots : la calligraphie chinoise. Comme j’étais bon en art figuratif, je faisais des portraits à la commande. J’essayais d’imiter Ingres ! Ça permettait tout juste de vivre. Et de continuer de peindre, de tracer ma voie, d’approfondir mon style, de devenir enfin moi-même. » (in Wang Yan Cheng, Bernard Vasseur, éditions Cercle d’Art, 2010)

Il partage désormais sa vie entre la France et la Chine où il retourne souvent. Nommé maître de conférence en 1992, il est depuis 1995 professeur invité de l’Académie des beaux-arts du Shandong ; de 1991 à 1993 il suit un cursus d’arts plastiques à l’université de Saint-Étienne.
Remarqué au Salon d’automne de 1996, un critique d’art l’invite à exposer dans le cadre de la fondation Prince-Albert II à Monaco où il reçoit le grand prix Prince-Albert.
La même année, il est nommé secrétaire général de l’Association des artistes chinois dans le monde (World Chinese Artists). À partir de 1998, ses œuvres entrent dans les collections publiques chinoises (musée des Beaux-Arts de Shenzhen, musée des Beaux-Arts de Chine à Pékin, Opéra de Pékin…).
En 2002 il est vice-président de l’IACA auprès de l’Association internationale des arts plastiques de l’UNESCO, fondée pour stimuler la coopération culturelle internationale entre les artistes de tous les pays.

Dès 2003, la galerie Protée présente le travail de Wang Yan Cheng et lui consacre plusieurs expositions personnelles. Il devient membre du salon Comparaisons la même année puis est nommé vice-président (section Asie) en 2004.
Partageant toujours son temps entre la France et sa terre natale, il continue d’élargir ses liens institutionnels avec la Chine. En 2003, il est professeur invité de l’Académie des beaux-arts de Shanghai. Entre 2004 et 2006, il est invité au Diaoyutai State Guesthouse de Pékin (enceinte composée de seize maisons et de deux complexes anciens d’architecture, construite en 1958 par le gouvernement chinois afin d’accueillir les chefs d’État ou de gouvernements étrangers invités à prendre part au 10e anniversaire de la fondation de la République populaire de Chine l’année suivante ; cette
« pension d’état » est aujourd’hui un lieu de réunion important pour les dirigeants chinois) pour laquelle il réalise neuf tableaux.
En juillet 2006, Wang Yan Cheng est nommé chevalier dans l’ordre des Arts et des Lettres par le ministère de la Culture et de la Communication français.
En 2007 il réalise pour l’Opéra de Pékin un tableau de 2,30×6,60 mètres, Musique dans la nature. Paraît une monographie aux éditions Cercle d’Art dans la collection Mise en lumière dirigée par Lydia Harambourg (textes de Lydia Harambourg et de Dong Qiang, poète, critique et professeur à l’université de Pékin ; entretien avec Laurence Izern, directrice de la galerie Protée).
Le musée du Montparnasse expose en 2010 une sélection d’œuvres récentes qui sont ensuite montrées à Pékin. Du 9 décembre 2011 au 14 janvier 2012, il expose pour la première fois à la galerie Louis Carré & Cie. Un catalogue avec une préface de Patrick Grainville, Wang Yan Cheng : La Vraie Vie, est publié à l’occasion de l’exposition.
En juillet 2013, Wang Yan Cheng est élevé au grade d’officier dans l’ordre des Arts et des Lettres. Le président du Conseil constitutionnel Jean-Louis Debré lui remet sa décoration à l’occasion d’une cérémonie qui a lieu le jeudi 12 décembre 2013 dans les salons du Conseil constitutionnel.

Depuis 1993, Wang Yan Cheng a été présenté dans de nombreuses foires en France et à l’étranger, notamment par les galeries Protée et Trigano (Guangzhou, Hong-Kong, Singapour, Shanghai, Paris, Miami, Pékin, Gand, Abu Dhabi, Maastricht, Bologne).
Successeur incontestable de Zao Wou-Ki et Chu Teh-Chun, Wang Yan Cheng est devenu en quelques années le grand maître franco-chinois de l’abstraction lyrique.

http://www.louiscarre.fr/artistes/wang-yan-cheng

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