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  • Cloître Saint-Trophime(photo perso)

    Pic_0517_039.jpgDate : XIIe-XIVe siècles.

    Le cloître occupe la partie sud-est du site actuel, lequel se trouve entre le théâtre antique et la place de l’hôtel de ville. On y accède par le portail et la cour de l’archevêché qui s’ouvre sur cette place du centre ville.

    Le cloître Saint-Trophime est au centre des bâtiments canoniaux de la cité épiscopale. A partir du XIIe siècle, l’espace au sud de la cathédrale Saint-Trophime est occupé par deux grands ensembles : d’une part, le palais de l’évêque, d’autre part, le claustrum, un espace réservé à la communauté des chanoines, «ceux qui vivent selon la loi de l’Eglise». Vers cette époque, le Chapitre d’Arles est touché par la réforme grégorienne. Celle-ci tente d’imposer une règle de vie commune à ces clercs chargés d’assister l’évêque et de gérer les biens de l’Eglise. On entreprit donc la construction de bâtiments conventuels organisés autour d’un cloître. Les deux premières galeries, romanes, de ce dernier, présentent des sculptures d’une exceptionnelle qualité, véritables fleurons de l’art roman provençal. L’édifice sera complété au XIVe siècle de deux autres galeries de style gothique. Les modifications ultérieures de la cité épiscopale préserveront le cloître et ses salles adjacentes. Cependant le temps, l’érosion pluviale et la pollution atmosphérique mettront à mal ces joyaux de la statuaire médiévale. Actuellement des études sont menées afin de procéder, comme sur le portail de l’église voisine, à une restauration de l’édifice.

    La structure du cloître et de ses salles
    L’ensemble des bâtiments canoniaux fut construit en plusieurs étapes. Un vaste réfectoire charpenté sur cave voûtée vint prolonger l’aile sud du transept de la cathédrale, et une première salle capitulaire fut ajoutée à l’est. Doublée en longueur par une autre salle, elle aussi voûtée en berceau, la salle capitulaire reçut, à la fin du XIIe siècle, une somptueuse façade à arcades sur colonnettes, séparées de pilastres à l’antique. Un dortoir voûté vint former un troisième coté à l’est. Les chanoines entreprirent alors de relier ces bâtiments par les galeries d’un cloître, en commençant la construction par la galerie nord (fin XIIe siècle). La galerie orientale, conçue avec l’aile du dortoir, date sans doute du début du XIIIe siècle. Le projet resta inachevé et les pilastres-contreforts des piliers qui scandent le rythme des arcades ne reçurent jamais la superstructure prévue.

    Les galeries romanes
    Le décor des galeries romanes (nord et est), est d’une richesse exceptionnelle. Pour la galerie nord le programme iconographique associe étroitement deux thèmes : une réflexion sur le mystère pascal et une exaltation des saints patrons de l’église d’Arles élevés à la dignité des Apôtres. Dans la galerie est, plus large, l’arcade intègre de nouveaux éléments comme la mouluration des arceaux et des motifs caractéristiques de l’époque gothique, figurés dans des écoinçons : vierges sages et vierges folles ou symboles des Evangélistes. L’iconographie y est fort différente de celle de la première galerie : tandis que l’évocation de la Passion s’inscrit sur les piliers, les chapiteaux offrent, en sens inverse de lecture, un récit vivant de l’enfance et de la vie publique du Christ.

    Les galeries gothiques
    Les deux dernières galeries, (sud et ouest), voûtées sur croisées d’ogives, et le grand portail gothique dans le mur sud du cloître ne furent réalisés que vers 1370-1380. Les piles de la galerie sud, la plus ancienne des deux, sont ornées de niches qui abritaient jadis des statuettes. Le décor sculpté des chapiteaux illustre la vie de saint Trophime, d’après le récit qui en est fait dans un poème rédigé vers 1225. Le programme iconographique de la galerie ouest est moins cohérent que dans les autres galeries. Des épisodes bibliques se mêlent à des thèmes chers aux Arlésiens, accordant une large place aux dévotions nouvelles comme le Couronnement de la Vierge ou le culte des saints de Béthanie. Le centre du cloître de la cathédrale Saint-Trophime est constitué d’un jardin, ancien cimetière. Les voûtes de ces galeries sont soutenues vers l’intérieur par des piliers et des colonnettes et vers l’extérieur par des pilastres engagés dans les murs clôturant le cloître.


    HISTORIQUE
    La construction du cloître vint achever une réédification du complexe cathédral qui avait débuté vers la toute fin du XIe siècle ou au milieu du XIIe siècle. La ville est alors la capitale théorique du royaume d’Arles. L’empereur Frédéric Barberousse est couronné roi d’Arles en 1178 à Saint-Trophime. Entrepris dans une période de prospérité de la ville et de son Eglise, le cloître souffrira du déclin de l‘influence régionale d’Arles au profit d’Aix et d’Avignon. Ainsi les deux dernières galeries ne sont-elles achevées qu’à la fin du XIVe siècle. Une fois achevé, le cloître n’a abrité que peu de temps la communauté régulière. Les chanoines retrouvent une vie séculière (non cloîtrée) en 1455. Les belles salles deviennent alors des greniers et des réserves… Au XVIIe siècle, les salles furent divisées en deux salles par l’ajout d’une voûte et la construction d’un grand escalier à balustres. Après la Révolution, le cloître Saint-Trophime dépend de la paroisse Saint-Trophime et est en partie occupé par des habitations. Il fut classé Monument Historique en 1846 et ses salles en 1943.

    En 1826, la cour intérieure du cloître fut déblayée. En 1843 Prosper MERIMEE, inspecteur général des Monuments Historiques, lance un programme important de restauration et de consolidation des galeries, et de la terrasse, ainsi qu’un nettoyage de la végétation envahissante. Des interventions localisées sont réalisées dans les galeries ouest et sud (colonnes engagées et parements), et la partie occidentale de la galerie sud est colmatée. Par ailleurs, une partie du parement de la galerie ouest est restaurée. Une nouvelle campagne intervient au milieu du XXe siècle, concernant notamment les salles capitulaires et le dortoir, débarrassées de constructions parasitaires. Des ouvertures anciennes sont rétablies et l’accueil du public aménagé en 1976 depuis la cour de l’archevêché. En 2000, des interventions de conservation préventive ont démarré en préambule à la future campagne de restauration du cloître lui-même et de sa statuaire. La réfection des toitures a déjà permis de mettre les galeries hors d’eau, et une préconsolidation de la pierre sous ses concrétions noires, a été entreprise grâce à la pose de pansements de papier Japon. Par ailleurs, il est envisagé d’équiper le cloître d’un véritable lieu d’accueil où se concentreraient une billetterie, une boutique, des sanitaires et des informations améliorant la visite.

    Carte d'identité du monument

    Date : XIIe-XIVe siècles
    Epoque : Moyen Age
    Type : Architecture religieuse
    Statut : Propriété de la Ville d'Arles ; Classé Monument historique (1846 et 1943) ; Patrimoine mondial de l'Unesco (1981)

    http://www.arles-tourisme.com/fr_FR/Ville_visite.aspx?Code=43e5705c-fadb-4e21-9e3a-af1f82c6a0da&Page=1&Ville=Arles

  • Les Alyscamps

    Allée des sarcophages et église Saint-Honorat © Ville d’Arles
    Allée des sarcophages et église Saint-H...
    © Ville d’Arles
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    Description     

     

    Date : IVe siècle, XIIe siècle

    Dans l’Antiquité, les cimetières étaient toujours extérieurs à l’enceinte des cités et souvent implantés le long des grands axes routiers. Dès le début de l’Empire Romain, tombes à incinération, sarcophages et mausolées s’égrenèrent aux abords de la Via Aurelia, constituant une vaste nécropole. Mais, c’est à l’époque paléochrétienne que le cimetière prit une importance majeure avec l’inhumation du martyr saint Genest et la sépulture des premiers évêques d’Arles, abrités dans une chapelle bientôt entourée par un grand nombre de tombes pressées sur plusieurs rangs.

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  • Catégories : Les Bouches-du-Rhône(13,région PACA:séjours)

    Cryptoportiques d'Arles

    Description     

     

    Date : Fin Ier siècle avant J.-C.

    Les cryptoportiques forment le soubassement, la partie invisible du forum, place publique centrale de la ville romaine. Du forum arlésien proprement dit, on connaît peu de choses. Il ne subsiste de son aménagement et de sa décoration que quelques éléments qui permettent de dater le début des travaux quelques années seulement après la fondation de la colonie, en 46 av. J.-C. Ces fondations sont destinées à stabiliser la vaste esplanade sur un terrain naturellement en pente. Elles se présentent sous la forme de trois galeries formant un U ouvert vers l'est. La galerie sud est creusée dans le rocher, tandis qu'au nord, le terrain est remblayé de plusieurs mètres, ce qui a permis la conservation de vestiges de la ville préromaine. Le niveau de circulation actuelle correspond assez bien à celui du sol antique, largement plus bas que le niveau actuel. Seule la galerie nord, en raison de la pente du terrain, s'ouvrait sur une place, ancêtre de notre actuelle place du forum. Une quatrième galerie, caractérisée par l'emploi de briques, témoigne probablement d'une restructuration du forum à l'Antiquité tardive.

    La galerie nord des cryptoportiques © Ville d’Arles
    La galerie nord des cryptoportiques © V...
    © Ville d’Arles
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  • Catégories : Les Bouches-du-Rhône(13,région PACA:séjours), Mes photos

    L'Eglise Saint-Trophime à Arles(photo perso)

    arles 17 mai 2012 162.jpg

    Date : XIIe, XVe siècles.
    Nommée aussi primatiale ou cathédrale Saint-Trophime.

    La communauté chrétienne d’Arles est l’une des premières de la Gaule, avec la présence d’un évêque attestée dès 254. Bien plus, la cathédrale d’Arles obtiendra un temps le rang de primatiale des Gaules, et demeurera siège d’un archevêché jusqu’à la Révolution. Aujourd’hui, elle est église paroissiale. Initialement située à proximité du rempart antique de l’Hauture, la cathédrale fut déplacée vers le Ve siècle à proximité de l’ancien forum romain. Elle fut élevée en plusieurs phases et l’essentiel du monument que nous voyons aujourd’hui date du XIIe siècle, époque à laquelle sa façade, initialement sobre, fut rehaussée de sa magnifique statuaire historiée. L’édifice est l’un des plus importants du domaine roman provençal. C'est par ailleurs une église à reliques sur la route de Compostelle. Un chœur gothique remplace les absides romanes au XVe siècle.

    Le monument est érigé en plusieurs phases. Il possède le plan caractéristique des édifices de Provence : une haute nef de cinq travées, voûtées en berceau brisé et flanquée d’étroits collatéraux ; un transept très court dont la croisée est surmontée d’une coupole et supporte le clocher. Le chœur comportait une abside principale et deux absidioles. A l’ouest, un portail somptueusement décoré complète l’ensemble. Enfin, au milieu du XVe siècle, un long chevet gothique avec déambulatoire et chapelles rayonnantes, remplacera l’ancien chœur roman. Consacré à l’évocation du Jugement dernier, le portail est aussi un modèle de vie proposé au fidèle et une illustration des gloires de l’église d’Arles. La composition superpose trois thèmes majeurs : l’assemblée des saints Patrons, l’Epopée divine et l’Epopée humaine, allant de la chute originelle au sort futur des élus et des damnés. La composition culmine sur l’image solennelle et triomphale du Christ. Le trait dominant de cette œuvre magistrale est l’ampleur de son inspiration antique, héritage culturel romain symbole d’une véritable «renaissance».


    HISTORIQUE
    Des salles voûtées et un certain nombre de vestiges de l’antiquité tardive, suggèrent la présence d’un bâti préexistant à l’église romane. Après une période de difficultés, l’Eglise et la ville d’Arles connaissent entre le Xe et le XIIe siècles un essor important qui nourrit les ambitions de renouer avec le passé glorieux de l’ancienne métropole. Avec la construction de l’église, l’ancien vocable de Saint-Etienne est remplacé par celui de Saint-Trophime. Le chantier commença vers 1100, la translation des reliques de saint Trophime dans la nouvelle cathédrale eut lieu en 1152. Au milieu du XVe siècle, le monument fut transformé : aux trois absides qui terminaient le chœur, fut substitué un chœur à déambulatoire et à chapelles rayonnantes de style gothique. A la fin du XVIIe siècle, Monseigneur de Grignan entreprit une vaste modernisation de l’église, ajoutant notamment des balcons à balustres aux extrémités du transept ainsi que de grandes verrières. Deux nouvelles portes à fronton sont ajoutées sur la façade. Lors de la Révolution, l’église fut transformée en temple de la Raison, et son mobilier d’origine en grande partie détruit. Par ailleurs, Arles perdit l’archevêché au profit d’Aix et Saint-Trophime fut désignée comme paroisse en remplacement de Notre-Dame-la-Principale (église Sainte-Anne) désaffectée.

    A la fin du XIXe siècle, l’architecte en chef des Monuments historiques Henri Revoil entreprend de remettre l’édifice dans le goût médiéval et de supprimer des adjonctions modernes. Ainsi, il procède à la suppression d’un clocheton en haut de la façade, ouvre des fenêtres bouchées et remplace la porte du XVIIIe siècle. En 1873, l’intérieur de l’église subit de grands travaux portant notamment sur la nef, les collatéraux et les tribunes. Par ailleurs, de nombreuses pièces de mobilier sont ajoutées, tels trois sarcophages paléochrétiens. La chaire en marbre polychrome de 1783 est, quant à elle, remplacée par une autre chaire dessinée par Revoil et sculptée par Cantini. Dans les années 1970, plusieurs interventions ont lieu sur les toitures et le clocher. En 1980 est lancée l’opération de restauration du portail et de sa statuaire. Partant d’un constat préoccupant (l’importance des dégradations) et inspiré par une approche scientifique, le chantier se révéla comme une opération pilote, drainant des compétences multiples. Durant sept années (1988-1995), le portail est le point de rencontre de spécialistes venus du monde entier, réunis par une action commune et un même enthousiasme. Outre la consolidation de la pierre, la technique retenue pour la débarrasser de sa gangue noire fut celle de la micro-abrasion, conduite avec un outillage aussi fin que celui d’un dentiste.

    http://www.arles-tourisme.com/fr_FR/Ville_visite.aspx?Code=276cf51b-9c69-4ea2-b20d-71573ab67b46&Page=1&Ville=Arles

    Cf.  ce lieu peint par Lé Lelée que j'ai découvert à Arles:

    http://leo.lelee.free.fr/

  • Catégories : L'art, Les Bouches-du-Rhône(13,région PACA:séjours)

    L'art à Arles

    Déjà en 1796 Jacques Réattu s'installe à Arles pour y vivre et y travailler. Il dédie son atelier à la création et y rêve de créer l'Atelier du Midi, idée qui hantera 60 ans après Van Gogh. C'est d'ailleurs pour cela que le peintre hollandais appelle Gauguin à Arles pour participer à la création de l'Atelier du Midi. Il peint l'Arlésienne en costume. Picasso, grand amateur de corridas, venait régulièrement à Arles où il avait de nombreux amis. Ces artistes ont largement contribué par leurs oeuvres à faire connaître Arles dans le monde entier.

    L'ombre de Van Gogh est omniprésente dans la ville. D'autres peintres sont venus à Arles pour y trouver l'inspiration à leur création comme par exemple Léo Lelée.

    De nombreux peintres vivent à Arles où ils trouvent l'inspiration à leur création.

     
     
     
     
     

    C'est au cours d'un bal des anciens élèves des Arts déco que Lelée retrouve l'aquarelliste et sculpteur, le comte Gaston de Luppé, qui possédait à Arles un spacieux atelier et qui lui parla de son pays, du charme des Arlésiennes, des costumes, du soleil et de toute la féerie provençale. Lelée vibra, s'enthousiasma et partit pour le pays de Mistral où l'attendait la gloire.A Arles Frédéric Mistral le rencontre, le regarde travailler, contemple ses dessins et l'amitié les unit. Léo Lelée devint ainsi le peintre en titre de la ville d'Arles.
    Plus d’informations sur : http://leo.lelee.free.fr

     

     

    Des galeries sont ouvertes toute l'année. Un parcours a été identifié dans le centre ville qui vous permettra ainsi de les découvrir en flânant dans les petites rues. D'autres salles s'ouvrent ponctuellement en fonction des nombreuses expositions temporaires et des évènements (Feria, Prémices du riz ...)


    Liste des ateliers et galeries d'art

  • Les arènes d'Arles et Van Gogh

     

     

    Dès le début de la saison taurine en avril, Van Gogh avait conçu le projet d'une série de tableaux dans les arènes.

    Dans cette œuvre on retrouve des figures de la série de portraits peints par l'artiste. On reconnaît au premier plan trois membres de la famille Roulin : le facteur, de profil, à ses côtés Augustine et le bébé Marcelle dans son giron. Il ne s'agit pas d'une corrida mais d'une course de taureaux sans mise à mort.

    Dans une de ses lettres, il parle d'une «foule magnifique, les grandes foules bariolées superposées à deux et trois étages avec l'effet de soleil et d'ombre».

    http://www.arlestourisme.com/index.php?id=191

  • Catégories : Les Bouches-du-Rhône(13,région PACA:séjours), Picasso Pablo

    Picasso et Arles

     

     

     

    C'est sa passion d'Andalou pour la corrida, et plus encore la présence de Vincent Van Gogh, une figure obsédante, qui attira Picasso à Arles.

    Une première exposition, organisée au musée Réattu par Jean-Maurice Rouquette en 1957, avait contribué à réactiver les liens que l’artiste avait toujours entretenus avec Arles.

    L’année suivante, à Vauvenargues, Picasso entreprend la série des huit portraits de Jacqueline en Arlésienne, écho amplifié des Arlésiennes réalisées en 1912, puis à nouveau en 1937, avec cette fois Lee Miller comme modèle, qui, pas plus que Jacqueline, n’a à aucun moment revêtu le costume, mais puise aux jaunes virés des portraits de Madame Ginoux.

    C’est en 1971, deux ans avant sa mort, que Picasso scelle cet attachement, en offrant au musée un ensemble soigneusement choisi de cinquante-sept dessins.

    http://www.arlestourisme.com/van_gogh_et_picasso.html

  • "L'escalier du pont de Trinquetaille" à Arles et Van Gogh(photos perso et explications)

    arles 17 mai 2012 055.jpg

    Du quai de la Roquette, Vincent Van-Gogh observe en octobre 1888 le pont métallique qui enjambe le fleuve et distribue les échanges entre les deux rives d'Arles.

    Il embrasse l'ensemble des va-et-vient, le trait d'union et l'escalier par lequel femmes et hommes se rendent sur la passerelle.

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  • J'aime aller à Arles chez Actes Sud(photos perso)

    arles 17 mai 2012 050.jpgarles 17 mai 2012 049.jpg

    Créées en 1978, dans un village de la vallée des Baux, par Hubert Nyssen et sa femme, Christine Le Boeuf, bientôt rejoints par les autres fondateurs, Françoise Nyssen, Bertrand Py, Jean-Paul Capitani, les éditions Actes Sud développent une politique éditoriale généraliste.

    Très vite, elles se sont distinguées non seulement par leur implantation en région, leur identité graphique (format des livres, choix du papier, couvertures illustrées…), mais aussi par une ouverture de leur catalogue aux littératures étrangères.

    Installées depuis 1983, au lieu dit Le Méjan, à Arles, les éditions Actes Sud poursuivent leur développement dans une volonté d’indépendance et un esprit de découverte et de partage, entretenant sans cesse la dynamique de la chaîne dite de conviction, qui va de l’auteur au lecteur en passant par les principaux prescripteurs, libraires, bibliothécaires, médias, partenaires culturels. Si son catalogue, depuis l’origine, réserve une place essentielle à la littérature, elle accueille aussi des auteurs venus des divers champs de la connaissance ou des multiples disciplines artistiques. Gouvernées par deux mots-clés, plaisir et nécessité, les éditions Actes Sud ont à coeur de soutenir et d’encourager la créativité de tous ceux qui participent à leur aventure éditoriale et de favoriser l’émergence et la reconnaissance de leur talent.

     

    Siège social

    Place Nina-Berberova BP 90038
    13633 Arles cedex
    Téléphone : 04 90 49 86 91
    Fax : 04 90 96 95 25

     

    Adresse parisienne

    18, rue Séguier 75006 Paris
    Téléphone : 01 55 42 63 00
    Fax : 01 44 42 63 01


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